Denon AVC-A1SE Manuel utilisateur
Vous trouverez ci-dessous de brèves informations sur AVC-A1SR, AVC-A1SE. L'AVC-A1SR est un amplificateur audio-vidéo doté des modes THX Ultra 2, Dolby Headphone et d'un convertisseur vidéo montant et descendant. Il prend en charge les formats audio et offre une évolutivité totale. Il se distingue par ses écoutes géniales et sa qualité de finition, améliorant les performances par rapport au modèle SE. Les points faibles incluent un mode d'emploi rébarbatif et un accès parfois difficile aux nouvelles fonctionnalités.
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Prise en mains Denon AVC-A1SR ✔ Points forts ✔ Écoutes géniales THX Ultra 2 ✔ Dolby Headphone ✔ Convertisseur vidéo montant et descendant ✔ Formats audio ✔ Évolutivité totale ✔ ✔ Progression face au SE Qualité de finition Points faibles Toujours ce mode d’emploi rébarbatif ✔ Accès aux nouvelles fonctionnalités pas toujours évident ✔ Prix indicatif : 4 500 € TTC Fiche d’identité Type : amplificateur audio-vidéo Décodeurs : DTS 96/24, DTS ES, THX Surround EX, DPL II, DTS Neo:6, Dolby Headphone ● Processeur THX Ultra 2 : modes Music et Cinéma ● Effets DSP : 8 ● Processeur : AL24 Plus ● Amplis : 7 x 170 W RMS (sur 6 ohms) ● Compatible : 24 bits/192 kHz ● Fonction : Direct et Pure Direct ● Évolutif par carte additionnelle : oui ● ● ● Connectique Entrées audio : 5 (Phono, CD, Tuner, MD, Tape) Entrées audio-vidéo : 8 (DVD, LD, VCR 1, 2 et 3, V-Aux, TV, terminal TV) Entrées S-vidéo : 8 Entrées YUV : 3 Entrée numérique haut débit : Denon Link Entrées numériques : 12 (6 optiques, 5 coaxiales, 1 RF/AC-3) Sorties numériques : 2 optiques Entrées A/V en face avant : non Entrées évolutives 5.1 et 7.1 Sorties ligne : sub, G, C, D, surG, surD, surGc, surDc Sorties secteur commandées : oui ● Prise RS232 pour applications domotiques évoluées (Crestron, AMX) : oui ● Sélection auto des modes 5.1 ou 7.1: oui ● Télécommande LCD : programmable et préprogrammée, 20 macros ● Fonctions domotiques et Multiroom ● Dimensions (L x H x P) : 434 x 216 x 486 mm ● Poids : 29 kg Le chef-d’œuvre de Denon Et de deux ! Voilà le second représentant de l’espèce ampli THX Ultra 2, le Denon AVC-A1SR, évolution très attendue du SE qu’il remplace désormais au catalogue. Un invité de marque arrivé au bras du nouveau lecteur DVD-A1. Sans doute le couple parfait. O n prend les deux, parce le DVDA1 et l’AVC-A1SR ont maintenu le cordon ombilical. À savoir, la liaison Denon Link pour le transfert de tous les signaux audio de l’un à l’autre, une minirévolution en attendant que l’IEEE 1394 daigne un jour montrer le bout de ses connecteurs. Oui mais voilà, le logiciel de décodage vidéo de la DVD-A1 a eu quelques ratés et nous avons dû remettre à plus tard le test complet de cette platine : des images NTSC sublimes d’accord, mais du Pal en noir et blanc, ça le faisait pas. Pas grave, elle nous a bien servi pour évaluer l’AVC-A1SR et cette fameuse connexion Denon Link. On prend donc tout de suite rendez-vous dès notre prochain numéro pour un second épisode avec le test du DVD-A1. L’AVC-A1SR abat sa carte Ce n’est plus un secret pour personne : l’AVC-A1SR est une évolution de l’AVCA1SE de l’année dernière. Seul changement, une carte électronique supplémentaire 110 HOME CINÉ DVD AOÛT/SEPT 02 ● est insérée dans le compartiment arrière du SE qui, à l’origine, devait accueillir une connexion IEEE. On peut dire que Denon a bien caché son jeu puisque cette carte lui permet d’augmenter son capital séduction par l’apport d’une section THX Ultra 2 complète en plus du Denon Link. Il n’y a pas que ça ! Le Dolby Pro Logic II, le DTS 96/24 et surtout le système Dolby Headphone pour l’écoute Surround au casque font leur apparition ! Ajoutez à cela la longue litanie de formats déjà reconnus par le SE (Dolby Digital EX, DTS ES, DTS Neo:6), et vous comprendrez aisément pourquoi la trappe de la face avant est surbookée de logos en tous genres. Techniquement, le châssis du SR est exactement identique à celui du SE. Conséquence immédiate : on peut acquérir le SR en l’état, mais les possesseurs du SE pourront l’upgrader en SR moyennant l’insertion de ladite carte contre environ 1 000 euro. C’est cher, mais la greffe est incontournable. Car elle ne se limite pas à l’apport de nouveaux connecteurs et formats. Non, tous les convertisseurs sont changés (les excellents Prise en Analog Devices sont rendus inopérants et remplacés par des Burr Brown), les processeurs aussi (toujours des 32 bits Analog Devices à virgule flottante de la classe Sharc, mais réactualisés), alors que toute la cellule de traitement numérique propriétaire AL24 est neuve. Mieux, cette carte permet aussi de bénéficier du Bass Managment sur les lecteurs DVD audio qu’elle que soit leur origine, avec conservation du mode Small pour les enceintes THX, chose parfaitement impossible auparavant. Bref, la transformation est bien plus radicale qu’elle ne le laisse paraître. Retour à la base Le châssis ne subit aucune modification fondamentale par rapport à la version SE testée dans le N°29 de novembre 2000. Rien, sinon la carte additionnelle qui apporte les différentes fonctions déjà énoncées, plus quelques entrées numériques complémentaires (trois en comptant le Denon Link) au cas où elles viendraient à manquer : on n’ose y croire, ça fait treize en tout ! On a donc toujours droit à une formidable puissance de 7 x 170 W RMS, à une télécommande à panneau LCD rétroéclairé très bien conçue… à condition de s’y habituer, l’accès aux fonctions pouvant dérouter au premier contact. La connectique est toujours aussi démesurée, avec notamment la présence de deux groupes d’entrées évolutives, un en 7.1, l’autre en 5.1, plus quelques raffinements particulièrement pointus. Ainsi, le SR possède toujours les mêmes fonctions Multiroom évoluées. Mais en plus, il intègre d’origine les protocoles de commandes domotiques de Crestron et AMX accessibles depuis la prise informatique RS232. Par ailleurs, il se dote d’un convertisseur vidéo intégral, à la fois montant et descendant, permettant de rentrer les signaux vidéo dans l’ampli en Composite, S-vidéo ou Composante YUV, et de ressortir indifféremment sur l’un de ces trois formats : simplement parfait. Il dispose aussi de deux jeux de connecteurs pour enceintes surround (en plus des surrounds centrales arrière…). On pourra ainsi très bien utiliser des enceintes surround à diffusion directe placées en retrait du point d’écoute, considé- rées plus performantes en mode hi-fi multicanale, et des enceintes dipolaires latérales pour le Home Cinéma. Toutefois, l’intérêt devient ici très relatif avec l’arrivée du THX Ultra 2 en configuration Musique qui apporte de nouveaux éléments de réponse pour gérer les nuances entre ces deux applications : tant mieux, sinon, ça faisait six enceintes surround dans une configuration complète en comptant les deux enceintes centrales ! Une nouvelle version du système de traitement numérique AL24 (AL24 Plus) est disponible sur la carte additionnelle, mais elle n’est toujours effective que sur les signaux PCM stéréo. Pour mémoire, ce système offre la possibilité de contrôler en temps réel les filtres numériques servant à supprimer les bruits de quantification en vue d’une musicalité accrue. Pour les audiophiles, trois modes d’utilisation sont prévus pour l’écoute de leurs CD : Stéréo que l’on qualifiera de standard, Direct qui contourne tous les étages numériques de traitement du signal (élimination de conversions numériques et analogiques successives provoquant un gaspillage de transparence et de définition), et enfin Pure Direct qui désactive en plus toute la section vidéo pouvant interférer avec l’audio. À part les sept effets numériques d’ambiance qui n’offrent pas grand intérêt, voilà l’essentiel des fonctionnalités d’élite qui sont conservées de l’AVC-A1SE. Vu les fonctionnalités du Denon AVC-A1SR, la façade de la trappe ne sera bientôt plus assez grande pour afficher tous les logos ! Pas la peine de passer en revue toute la DVDthèque, les améliorations sont sensibles en mode THX 2 ! Ce qui change La principale nouveauté concerne donc l’intégration des modes THX Ultra 2 sur lesquels on ne reviendra qu’au paragraphe écoute pour valider certaines fonctionnalités comme le Boundary Gain Compensation ou le mode Music. Nous sommes parfaitement convaincus du bien-fondé de cette nouvelle version du THX, même s’il faut se résigner à en accepter le Le DVD -A1 fait la paire avec l’AVC-A1SR. Il intègre comme ce dernier la prise Denon Link véhiculant les signaux audio analogiques et numériques. AOÛT/SEPT 02 HOME CINÉ DVD ● 111 Prise en mains L’intérieur du modèle AVC-A1SR ne diffère que très peu de son prédécesseur l’AVC-A1SE. L’agencement est toujours aussi géométrique et bien pensé, permettant une disposition judicieuse des connecteurs en face arrière. 112 HOME CINÉ DVD AOÛT/SEPT 02 ● prix (au sens propre). À part le DTS 96/24 qui pour l’instant ne sert pas à grand-chose faute de soft, on note aussi l’apparition du DPL II et surtout du fameux Dolby Headphone. Rappelons que cet énième système développé par Dolby permet l’écoute Surround avec un casque audio de conception tout à fait traditionnelle, augmentant considérablement la notion d’espace et évitant la sensation d’écrasement du son à l’intérieur de la tête. En soulevant un peu les coins, on se rend compte que la carte additionnelle apporte d’autres fonctionnalités comme la possibilité de régler distinctement le grave et l'aigu sur chacun des sept canaux. Ouvrons maintenant une parenthèse pour évoquer quelques petits incidents de parcours. Cette version SR ne dispose pas de boutons supplémentaires pour accéder directement aux nouvelles fonctions proposées par rapport au SE. Du coup, il faut souvent procéder à plusieurs manipulations pas franchement évidentes, d’autant qu’elles ne sont pas toujours suffisamment expliquées dans le mode d’emploi. À ce sujet : aaaah ! Sur le SE, il était nul, incompréhensible, à la limite surtout conçu pour nous embrouiller les neurones plus qu’autre chose. Cette fois, le traducteur s’est surpassé : c’est pire ! Non, franchement les gars, faut arrêter : on perd complètement les pédales au bout de trois mots. À la limite, Si vous possédez l’AVC-A1SR et le DVD-A1, un seul câble suffit pour acheminer vers l’ampli les signaux DVD vidéo (DD/DTS…) et DVD audio ! ça témoigne d’un certain talent : plus on lit le mode d’emploi, moins on comprend, c’est carrément l’enfer. Ne serait-ce que pour valider la jonction Denon Link, vous allez comprendre votre douleur ! Bon, une fois que l’on aura compris toutes ces subtilités, ça devrait aller tout seul, car en dépit de ces errements fatals, le Set-up de l’AVC-A1SR est toujours un modèle de rigueur (même si l’affichage OSD fait un peu vieillot aujourd’hui). Le Denon Link Le Denon Link est une interface numérique à haut débit, une solution sans doute transitoire en attendant qu’un format IEEE 1394 (ou USB 2, on en cause aussi) réussissent à voir le jour. Par rapport à l’IEEE, le Denon Link ne concerne que le transfert des signaux audio, et non pas vidéo en numérique. Et contrairement aux autres connecteurs numériques coaxiaux et optiques, tous les formats audio sont concernés, DVD audio compris (en plus des autres formats DTS, Dolby et PCM déjà pris en charge par les liaisons optiques et coaxiales). Premier intérêt : un seul câble suffira au transfert des données, alors qu’auparavant, il fallait à la fois créer une jonction numérique pour tous les formats DTS et Dolby, mais aussi six branchements analogiques pour le DVD audio. Deuxième avantage, on supprime plusieurs étapes de conversion pour l’application du fameux Bass Managment puisque le signal audio parvient sous sa forme originale numérique pure aux processeurs DSP Sharc qui réalisent les filtrages appropriés : là encore, on peut supposer un gain sensible en transparence, en définition, et même un recul des distorsions. Troisièmement, cette liaison permet d’appliquer des effets numériques d’ambiance, et notamment le THX Ultra 2 en mode Music sur des sources DVD audio. Enfin, le signal électrique bas niveau choisi permettrait aussi de limiter le problème de « jitter » (instabilité des signaux d’horloge désynchronisés), le grand mal chronique du transfert de données numériques d’un appareil à un autre et qui, depuis des années, mobilise les forces vives de la haute fidélité. Bref, sur le papier, on a tout à y gagner, aspects pratiques et qualitatifs compris. Prise en mains Larguer la bombe Comme dit plus haut, on s’est un peu arraché les cheveux pour avoir accès aux nombreuses possibilités offertes par cette version SR de l’AVC-A1. Mais une fois acquise, ça ne pose plus réellement problème. Disons que celui qui vient du SE et qui souhaite évoluer en SR (ce qui est plus que probable) se retrouvera assez vite en terrain connu. Parce qu’il fallait bien commencer par quelque chose, nous avons débuté les écoutes sur nos CD test, histoire de se refaire un tympan à neuf et vérifier l’apport des nouveaux convertisseurs Burr Brown. Le choc ! Si l’AVC-A1SE nous avait déjà laissé un excellent souvenir dans cette épreuve (nous avions noté néanmoins un son qui n’arrivait pas à se lâcher complètement), le SR fait décoller la musique : plus de définition, une dynamique en progression spectaculaire, un aigu à la fois plus filé et plus mat, et surtout un relief sonore gigantesque, sans commune mesure. On passe carrément d’un rendu propre sur lui et sans histoire à une restitution d’une beauté flamboyante. Ça commence bien ! Les écoutes en mode THX Ultra 2 en 7.1 ont été menées sur notre système de référence habituel, mais aussi sur le pack Snell THX Ultra 2 (vous pourrez donc croiser les commentaires en vous référant au banc d’essai consacré à ces enceintes). Pas la peine de passer en revue toute la DVDthèque, les améliorations sont sensibles en mode THX 2, avec notamment une plus grande précision sur les effets arrière centraux. Mais c’est le Boundary Gain Compensation qui apporte un gain spectaculaire : sans, le gros caisson Snell « bourre » méchamment dans le sous-grave ; avec, le grave est totalement dégraissé, super tendu, rien à voir ! À noter : ce mode ne convient pas seulement aux enceintes certifiées THX Ultra 2, mais d’une manière générale à tous les caissons capables de descendre très bas en fréquence avec une puissance sonore considérable. Comme les qualités de décodage de l’AVCA1SE sont maintenues, que le gain en précision du THX Ultra 2 est sensible, et que les convertisseurs sont très supérieurs, le résultat est en très nette progression. Le mode THX Ultra 2 Music est intéressant lui aussi. À l’écoute de DVD audio notamment, il permet d’optimiser l’environnement Surround en répartissant équitablement les sons entre les enceintes dipolaires placées sur les côtés et à diffusion directe, sur l’arrière. Avec des mixages réalisés en stéréo, c’est marrant parfois (concert rock/pop en public par exemple ou techno), fatiguant souvent (enregistrements faits en studio), voir carrément pénible (musique classique notamment). Chacun y retrouvera les siens. Pour finir, les performances du système Dolby Headphone sont sensationnelles. Le son gagne en ampleur, il ne prend plus naissance au milieu du crâne mais semble provenir de très loin (plus ou moins selon l’un des trois modes de réglage prédéfinis engagé). À tel point que l’on a parfois la sensation de ne pas porter de casque du tout : c’est le meilleur compliment que l’on pouvait faire. Le SR fait décollerla musique : plus de définition, un aigu à la fois plus filé etplus mat La concurrence Le panneau de connectique est toujours La concurrence se limite à un seul individu, le aussi impressionnant. Et même si l’on note la fameux Pioneer VSA-AX10 dont les principrésence du Denon Link, sachez que l’AVC-A1SR pales caractéristiques (THX 2 notamment) peut encore évoluer dans le futur si une prise s’alignent sur celles de l’AVC-A1SR, tout IEEE ou USB 2 devenait disponible. comme le prix. Au bénéfice du Denon, on retiendra l’intérêt évident de l’évolutivité hard (car le SR pourra encore évoluer au besoin), le Dolby Headphone et des performances sonores qui sont apparues légèrement supérieures. Mais les systèmes d’égalisation et de paramétrage automatiques du Pioneer, absolument géniaux, pourront facilement inverser la tendance, encore plus si l’acoustique de la pièce d’écoute n’est pas optimale. Bref, si vous avez 4 500 € à dépenser dans un ampli, le choix n’est pas cornélien : La mutation SE en SR ne se résume pas à l’implantation de ça sera l’un ou l’autre. quelques formats ou processeurs sonores à grand spectacle. Cela va ■ Mais lequel ? bien au-delà, car les performances audio décollent littéralement : on a PAR DIDIER FLACON Les commandes placées en façade du AVC-A1SR sont les mêmes que celles de l’AVC-A1SE, ce qui ne facilita pas l’accès aux nouvelles fonctionnalités. Un peu de pratique s’impose ! Verdict technique l’impression d’avoir changé d’ampli et on n’y perd pas au change ! Non seulement en 5.1 ou en 7.1, mais aussi en stéréo puisque l’AVC-A1SR déploie une musicalité exceptionnelle. Le Denon Link est une bonne idée pratique qui participe aussi à l’augmentation des performances tout en permettant l’écoute de DVD audio sur un ensemble THX complet. Sinon, ça reste essentiellement un haut de gamme Denon, agréable à utiliser, beau à regarder, et surtout colporteur d’une forme de perfection technique. Un prix amplement justifié ! AOÛT/SEPT 02 HOME CINÉ DVD ● 113 ">

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Caractéristiques clés
- Qualité sonore exceptionnelle
- Certification THX Ultra 2
- Technologie Dolby Headphone
- Conversion vidéo ascendante et descendante
- Prise en charge de nombreux formats audio
- Grande évolutivité
Questions fréquemment posées
L'AVC-A1SR offre une section THX Ultra 2 complète, le Dolby Pro Logic II, le DTS 96/24 et le système Dolby Headphone.
Oui, les propriétaires d'un modèle SE peuvent l'upgrader en SR en insérant une carte additionnelle.
Le Denon Link est une interface numérique à haut débit qui transfère les signaux audio entre les appareils, y compris le DVD audio.
L'AVC-A1SR prend en charge le DTS 96/24, DTS ES, THX Surround EX, DPL II, DTS Neo:6, Dolby Headphone et Dolby Digital EX.
Oui, il intègre les protocoles de commandes domotiques de Crestron et AMX accessibles depuis la prise RS232.