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Manuel du propriétaire | HP DATA PROTECTOR V5.1 SOFTWARE Manuel utilisateur
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HP OpenView Storage Data Protector Guide d'installation et de choix des licences Date de publication : avril 2003 Référence constructeur : B6960-92079 Version A.05.10 © Copyright Hewlett-Packard Development Company, L.P.2003. Informations légales Hewlett Packard ne fournit aucune garantie à propos de ce manuel, y compris, mais non exclusivement en ce qui concerne les garanties implicites de qualité marchande et d'adaptation pour une utilisation particulière. Hewlett Packard ne saurait être responsable des erreurs présentes dans ce manuel ni des dommages directs, indirects, spéciaux, fortuits, ou consécutifs résultant de la mise à disposition, des performances ou de l'utilisation de ce matériel. Garantie. Vous pouvez vous procurer une copie des conditions de garantie spécifiques applicables à votre produit Hewlett Packard, ainsi qu'aux pièces de rechange, auprès de votre agence commerciale locale. Droits limités. Tous les droits sont réservés. Aucune partie du présent document ne pourra être photocopiée, reproduite ou traduite dans une autre langue sans l'accord écrit préalable de Hewlett-Packard Company. Les informations contenues dans le présent document sont susceptibles d'être modifiées sans préavis. L'utilisation, la reproduction ou la divulgation par le gouvernement des Etats-Unis est sujette à des restrictions définies dans le sous-alinéa (c)(1)(ii) de la clause Rights in Technical Data and Computer Software du texte DFARS 252.227-7013 pour les agences rattachées au département de la défense, et dans les sous-alinéas (c) (1) et (c) (2) de la clause Commercial Computer Software Restricted Rights du texte FAR 52.227-19 pour les autres agences. Hewlett-Packard Company Etats Unis d'Amérique Copyright. ©Copyright 1983-2003 Hewlett-Packard Company, L.P., tous droits réservés. La reproduction, l'adaptation ou la traduction du présent document sans autorisation écrite préalable est interdite, sauf dans le cadre des dispositions légales prévues en matière de copyright. © Copyright 1979, 1980, 1983, 1985-93 Régents de l'Université de Californie Ce logiciel se base en partie sur le système 4BSD (Fourth Berkeley Software Distribution) sous licence des Régents de l'Université de Californie. ii © Copyright 1986-1992 Sun Microsystems, Inc. © Copyright 1985-86, 1988 Massachusetts Institute of Technology © Copyright 1989-93 The Open Software Foundation, Inc. © Copyright 1986-1997 FTP Software, Inc. Tous droits réservés © Copyright 1986 Digital Equipment Corporation © Copyright 1990 Motorola, Inc. © Copyright 1990, 1991, 1992 Université Cornell © Copyright 1989-1991 Université du Maryland © Copyright 1988 Université de Carnegie Mellon © Copyright 1991-1995 Stichting Mathematisch Centrum, Amsterdam, Pays-Bas © Copyright 1999, 2000 Bo Branten Marques. UNIX® est une marque déposée aux Etats-Unis et dans d'autres pays, sous licence exclusive de la X/Open Company Limited. X Window System est une marque déposée du Massachusetts Institute of Technology. Motif est une marque déposée de l'Open Software Foundation, Inc. aux Etats-Unis et dans d'autres pays. Windows NT™ est une marque commerciale aux Etats-Unis de Microsoft Corporation. Microsoft®, MS-DOS®, Windows® et MS Windows® sont des marques déposées aux Etats-Unis de Microsoft Corporation. Oracle®, SQL*Net® et Net8® sont des marques déposées aux Etats-Unis d'Oracle Corporation, Redwood City, Californie. Oracle Reports™, Oracle8™, Oracle8 Server Manager™ et Oracle8 Recovery Manager™ sont des marques commerciales d'Oracle Corporation, Redwood City, Californie. Java™ est une marque déposée aux Etats-Unis de Sun Microsystems, Inc. Adobe® et Acrobat® sont des marques commerciales d'Adobe Systems Incorporated. ARM® est une marque déposée d'ARM Limited. iii X/Open® est une marque déposée et X device est une marque commerciale de X/Open Company Ltd. au Royaume-Uni et dans d'autres pays. VisiCalc® est une marque déposée aux Etats-Unis de Lotus Development Corp. HP-UX versions11.00 et ultérieures (configurations 32 et 64 bits) sur tous les ordinateurs HP 9000 sont des produits de la marque Open Group UNIX 95. Netscape et Netscape Navigator sont des marques déposées aux EtatsUnis de Netscape Communications Corporation. OpenView® est une marque déposée aux Etats-Unis de Hewlett-Packard Company. © 2003 Bristol Technology, Inc., Bristol Technology, Wind/U, HyperHelp et Xprinter sont des marques déposées de Bristol Technology Inc. Les autres noms réservés sont des marques et sont la propriété de leurs détenteurs respectifs. iv Sommaire 1. Présentation de la procédure d'installation Description du chapitre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Présentation de la procédure d'installation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Concept d'installation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Choix du système du Gestionnaire de cellule. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Choix du système de l'Interface utilisateur Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .11 L'interface graphique utilisateur de Data Protector. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 2. Installation de Data Protector sur votre réseau Description du chapitre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17 Installation d'un Gestionnaire de cellule UNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 Installation d'un Gestionnaire de cellule Windows . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 Installation des serveurs d’installation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 Installation des clients Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 Distribution du logiciel Data Protector aux clients . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 Installation de clients Windows . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59 Installation de clients HP-UX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66 Installation de clients Solaris . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71 Installation de clients AIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78 Installation de clients Siemens Sinix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81 Installation des clients Tru64 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 Installation de clients SCO . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 Installation de clients Linux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89 Installation de l'Agent de supports DAS pour l'utilisation de la bibliothèque ADIC/GRAU . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95 Installation de l'Agent de supports ACS pour l'utilisation de la bibliothèque StorageTek. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101 Installation locale de clients Novell NetWare . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105 Installation locale de clients OpenVMS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .112 Installation de clients MPE/iX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .118 Installation locale de clients UNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121 Installation de clients MS Exchange 5.x . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125 Installation de clients MS Exchange 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126 Installation de clients MS SQL 7.0/2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127 Installation de clients Sybase . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 Installation de clients Informix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 129 Installation de clients SAP R/3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130 v Sommaire Installation de clients Oracle8/9 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de clients DB2. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de clients NNM. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation du composant Intégration NDMP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation du composant Intégration EMC Symmetrix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation du composant Intégration HP StorageWorks XP . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation du composant Intégration HP StorageWorks Virtual Array . . . . . . . . Installation du composant Intégration HP StorageWorks Enterprise Virtual Array . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de l'intégration HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 . . . . . . . Installation du composant Intégration MS Volume Shadow Copy . . . . . . . . . . . . . Installation de clients Lotus Domino Server. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector sur les systèmes Windows . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector sur les systèmes UNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dépannage. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de l'Edition serveur unique Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Limites de l'Edition serveur unique pour Windows . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Limites de l'Edition serveur unique pour HP-UX et Solaris . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation des Rapports Web Data Protector. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de Data Protector sur MC/ServiceGuard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation d'un Gestionnaire de cellule compatible cluster . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation d'un client compatible cluster . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation d'un Gestionnaire de cellule compatible cluster . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation d'un client compatible cluster . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de clients Data Protector sur un cluster Veritas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation d'un client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation de clients Data Protector sur un cluster Novell NetWare . . . . . . . . . . . . Installation d'un client . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131 132 133 134 135 136 138 139 140 142 143 145 145 147 148 150 150 151 152 154 154 155 156 156 160 163 163 164 164 3. Gestion de l'installation Description du chapitre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Importation de clients dans une cellule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vi 168 169 171 172 Sommaire Exportation de clients d'une cellule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Considérations sur la sécurité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les fichiers allow_hosts et deny_hosts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Enregistrement excessif dans un fichier inet.log . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Contrôle des correctifs Data Protector installés. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Contrôle des correctifs Data Protector à l'aide de l'interface graphique utilisateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Contrôle des correctifs Data Protector à l'aide de l'interface de ligne de commande. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Désinstallation du logiciel Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Désinstallation d'un client Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Désinstallation du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation. . . . . . . . . Suppression manuelle du logiciel Data Protector sous UNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . Changement de composants logiciels Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 175 177 183 184 185 185 187 188 189 190 195 197 4. Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Description du chapitre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 204 Présentation de la mise à niveau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 205 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 208 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation HP-UX . . . .211 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows . . 217 Vérification des changements de configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221 Mise à niveau des clients . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 223 Mise à niveau dans un environnement MoM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 233 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 234 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Solaris . . . 234 Vérification des changements de configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 241 Mise à niveau des clients . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 242 Mise à niveau dans un environnement MoM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 252 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 253 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation HP-UX . . . 253 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows . . 256 Vérification des changements de configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 258 Mise à niveau des clients . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 260 Mise à niveau dans un environnement MoM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 267 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 268 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation UNIX . . . . 268 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows . . 272 Vérification des changements de configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 274 vii Sommaire Mise à niveau des clients . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mise à niveau dans un environnement MoM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mise à niveau à partir de l'Edition serveur unique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mise à niveau des versions antérieures de SSE vers Data Protector A.05.10 SSE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mise à niveau de Data Protector A.05.10 SSE vers Data Protector A.05.10. . . . . . Mise à niveau du système HP-UX 10.20 à HP-UX 11.x. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows . . . . . . . . . . . OmniBack II A.03.50, A.04.x, ou Data Protector A.05.00 installé sous Windows NT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Data Protector A.05.10 installé sous Windows NT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard . . . . . . . . Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server . . 276 279 280 280 280 283 285 285 286 287 291 5. Attribution de licences Data Protector Description du chapitre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Quelles sont les licences disponibles ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A propos des mots de passe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mots de passe Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Obtention d'un mot de passe permanent. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation d'un mot de passe sur le Gestionnaire de cellule . . . . . . . . . . . . . . . . . Recherche du nombre de licences installées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Déplacement des licences vers un autre système Gestionnaire de cellule . . . . . . . Gestion centralisée des licences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 296 297 299 300 302 303 304 307 307 309 6. Dépannage de l'installation Description du chapitre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Avant d'appeler votre représentant support. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Facilité de déploiement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Vérification des connexions DNS dans la cellule Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . Installation et mise à niveau de Data Protector sous Windows . . . . . . . . . . . . . . . . . Installation du Gestionnaire de cellule Data Protector sous Solaris . . . . . . . . . . . . . Installation de clients UNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Echec de l'installation à distance de clients UNIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Problèmes d'installation d'un client HP-UX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Vérification de l'installation du client Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . viii 312 313 315 316 319 320 321 321 321 322 Sommaire Dépannage de la mise à niveau. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les fichiers de la base de données IDB et de configuration ne sont plus disponibles après la mise à niveau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mise à niveau de la partie centrale de la base IDB . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mise à niveau de la partie détaillée de la base IDB . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Procédure de mise à niveau manuelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Utilisation des fichiers journaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fichiers journaux Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Création de traces d'exécution de l'installation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Syntaxe à utiliser pour le débogage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 324 324 324 325 328 330 331 332 333 A. Annexe A Dans cette annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-2 Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-3 Packs Starter. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-5 Extensions de lecteur unique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-7 Extensions fonctionnelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-8 Editions serveur unique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-15 Migration de licence vers Data Protector A.05.10. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-17 Migration des contrats de support . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-18 Configuration de la cellule Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-21 Formulaires d'attribution de licences Data Protector . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .A-26 B. Annexe B Dans cette annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-2 Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-3 Installation et configuration du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows NT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-4 Installation et configuration du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows 2000/XP/Server 2003 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-6 Vérification de la configuration TCP/IP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-8 Modification du nom du Gestionnaire de cellule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-11 Modification du numéro de port par défaut . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-13 Préparation d'un serveur NIS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-15 Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows. . . . . . . . . . . .B-17 Création de fichiers de périphérique (adresses SCSI) sous Windows . . . . . . . . . . .B-21 Vérification de la configuration de kernel sous HP-UX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-25 Configuration de robot SCSI sous HP-UX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-27 Création de fichiers de périphérique sous HP-UX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-32 ix Sommaire Configuration des paramètres du contrôleur SCSI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-35 Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-36 Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sous Solaris . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-38 Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-39 Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-66 Mise à jour des fichiers de configuration. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-66 Création et vérification de fichiers de périphérique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-70 Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows . . . . . . . . . . . . . . .B-72 Configuration des ID SCSI sur une bibliothèque HP StorageWorks 330fx . . . . . . . .B-73 Connexion de périphériques de sauvegarde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-74 Connexion d'un périphérique autonome HP StorageWorks 24 . . . . . . . . . . . . . . . .B-79 Connexion d'un chargeur automatique DAT HP StorageWorks . . . . . . . . . . . . . . .B-80 Connexion d'une bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks . . . . . . . . .B-83 Connexion d'un lecteur de bandes Seagate Viper 200 LTO Ultrium . . . . . . . . . . . .B-87 Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare . . . . . . . .B-90 Identification du périphérique de stockage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-90 Test de démarrage de l'Agent de supports. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-90 Test du démarrage de HPUMA.NLM et de HPDEVBRA.NLM . . . . . . . . . . . . . . . .B-94 Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster avec Veritas Volume Manager . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .B-96 Glossaire x Informations sur cette documentation La version du manuel est indiquée par sa date de publication et sa référence. La date de publication sera différente pour chaque nouvelle édition imprimée. Toutefois, des modifications mineures effectuées lors d'une nouvelle impression pourraient ne pas changer la date de publication. La référence du manuel changera lors de modifications importantes du manuel. Entre les différentes éditions des manuels, des mises à jour pourraient être publiées pour corriger des erreurs ou refléter des modifications du produit. Assurez-vous de recevoir les éditions nouvelles ou mises à jour en vous abonnant au service support produit correspondant. Pour plus d'informations, contactez votre représentant HP. Tableau 1 Informations sur cette édition Référence Date de publication Produit B6960-92058 Août 2002 Data Protector version A.05.00 B6960-92079 Avril 2003 Data Protector version A.05.10 xi xii Conventions typographiques Dans ce manuel, les conventions typographiques suivantes seront utilisées : Tableau 2 Convention Italiques Gras Signification Exemple Titres de manuels ou d'autres documents, titres sur les différentes pages des manuels Pour obtenir des informations complémentaires, reportez-vous au Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector. Fait ressortir le texte Vous devez suivre la procédure décrite. Indique une variable que vous devez fournir lorsque vous entrez une commande. A l'invite, entrez: rlogin votre_nom en remplaçant “votre_nom” par votre nom de connexion. Termes nouveaux Le Gestionnaire de cellule de Data Protector est l'élément principal... xiii Tableau 2 Convention Système Touches du clavier xiv Signification Exemple Texte et autres éléments apparaissant à l'écran Le système affiche alors: Appuyez sur Entrée Noms de commande Utilisez la commande grep pour ... Noms de fichier et de répertoire /usr/bin/X11 Noms de processus Vérifiez si Data Protector Inet est en cours d'exécution. Noms de fenêtre et de boîte de dialogue Dans la boîte de dialogue Options de sauvegarde, sélectionnez ... Texte que vous devez saisir A l'invite, entrez: ls -l Touches du clavier Appuyez sur Entrée. L'interface utilisateur graphique de Data Protector se présente de la même façon sous Windows et UNIX. Pour en savoir plus sur l'interface utilisateur graphique de Data Protector, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Figure 1 Interface graphique utilisateur de Data Protector xv xvi Contacts Informations générales Vous trouverez des informations générales sur Data Protector à l'adresse suivante : http://www.hp.com/go/dataprotector Support technique Vous trouverez des informations sur le support technique dans les centres de support électronique HP à l'adresse suivante : http://support.openview.hp.com/support.jsp Vous trouverez des informations sur les correctifs Data Protector les plus récents à l'adresse suivante : http://support.openview.hp.com/patches/patch_index.jsp Pour plus d'informations sur les correctifs Data Protector requis, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. HP ne fournit pas de support pour les logiciels et matériels tiers. Pour cela, contactez le fournisseur tiers. Vos commentaires Afin de mieux connaître vos besoins, nous vous remercions de bien vouloir nous faire part de vos commentaires concernant la sur la documentation. Pour nous communiquer vos commentaires, utilisez documentation l'adresse suivante : http://ovweb.external.hp.com/lpe/doc_serv/ Formation Pour obtenir des informations sur les formations HP OpenView proposées, consultez le site HP OpenView à l'adresse suivante : http://www.openview.hp.com/training/ Suivez les liens pour obtenir des informations concernant les cours programmés, les formations sur site et les inscriptions aux cours. xvii xviii Documentation Data Protector La documentation de Data Protector se présente sous forme de manuels imprimés et d’aide en ligne. Manuels Les manuels Data Protector sont disponibles au format PDF et en version imprimée. Vous pouvez installer les fichiers PDF lors de l'installation de Data Protector en sélectionnant le composant Interface utilisateur sous Windows ou le composant OB2-DOCS sous UNIX. Les manuels sont alors placés dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\docs sous Windows ou /opt/omni/doc/C/ sous UNIX. Vous pouvez également les consulter au format PDF à l'adresse suivante : http://ovweb.external.hp.com/lpe/doc_serv/ HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide Ce manuel décrit les tâches de configuration et de gestion de l'administrateur chargé de la sauvegarde de systèmes ; ces tâches comprennent notamment la configuration de périphériques de sauvegarde, la gestion de support, la configuration des sauvegardes et la restauration des données. Guide d'installation et de choix des licences HP OpenView Storage Data Protector Ce manuel décrit la procédure d'installation de Data Protector en fonction de votre système d'exploitation et de l'architecture de votre environnement. En outre, il contient des informations sur les mises à niveau de Data Protector et sur l'obtention de licences correspondant à votre environnement. Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector Ce manuel décrit la configuration et l'utilisation de Data Protector dans le cadre de la sauvegarde et de la restauration de différentes bases de données et applications. Ce manuel existe en deux versions : • Guide d'intégration de HP OpenView Data Protector pour Windows Ce manuel décrit les intégrations fonctionnant sous Windows, comme par exemple Microsoft Exchange, Microsoft SQL, Oracle, SAP R/3, Informix, Sybase, NetApp Filer, HP OpenView Network Node Manager et Lotus Domino R5 Server. xix • Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour UNIX Ce manuel décrit les intégrations fonctionnant sous le système d'exploitation UNIX, comme Oracle, SAP R/3, Informix, Sybase, NetApp Filer, IBM DB2 UDB, HP OpenView Network Node Manager et Lotus Domino R5 Server. Guide des concepts HP OpenView Storage Data Protector Ce manuel décrit les concepts Data Protector et fournit des informations de fond sur le fonctionnement du logiciel. Il est destiné à être utilisé avec le HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide, lequel met l'accent sur les tâches du logiciel. Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour EMC Symmetrix Ce manuel décrit l'installation, la configuration et l'utilisation de l'intégration EMC Symmetrix. Il s'adresse aux opérateurs ou aux administrateurs de sauvegarde. Il décrit l'intégration de Data Protector avec les fonctions SRDF (Symmetrix Remote Data Facility) et TimeFinder d'EMC pour les ICDA (Integrated Cached Disk Arrays) Symmetrix. Il traite notamment de la sauvegarde et de la restauration de systèmes de fichiers et d'images disque, ainsi que de bases de données en ligne, telles qu'Oracle et SAP R/3. Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour HP StorageWorks Disk Array XP Ce manuel décrit l'installation, la configuration et l'utilisation de l'intégration de Data Protector avec HP StorageWorks Disk Array XP. Il s'adresse aux opérateurs ou aux administrateurs de sauvegarde. Il traite de la sauvegarde et de la restauration d'Oracle, SAP R/3, Microsoft Exchange et Microsoft SQL. Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour EVA/VA/MSA Ce manuel décrit l'installation, la configuration et l'utilisation de l'intégration de Data Protector avec HP StorageWorks Virtual Array, HP StorageWorks Enterprise Virtual Array ou HP StorageWorks Modular SAN Array 1000. Il s'adresse aux opérateurs ou aux administrateurs de sauvegarde. Il traite de la sauvegarde et de la restauration d'Oracle, SAP R/3, Microsoft Exchange et Microsoft SQL. xx Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour HP OpenView Ce manuel décrit l'installation, la configuration et l'utilisation de l'intégration de Data Protector avec HP OpenView Service Information Portal, HP OpenView Service Desk et HP OpenView Reporter. Il est destiné aux administrateurs de sauvegarde. Il traite notamment de l'utilisation des applications OpenView pour la gestion des services Data Protector. HP OpenView Storage Data Protector MPE/iX System User Guide Ce manuel décrit l'installation et la configuration des clients MPE/iX, ainsi que la sauvegarde et la restauration des données MPE/iX. Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour HP OpenView Operations Ce manuel décrit la procédure de surveillance et de gestion de l'état et des performances de l'environnement Data Protector avec HP OpenView Operations (OVO), HP OpenView Service Navigator et HP OpenView Performance (OVP). HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes Ce manuel fournit une description des nouveautés de HP OpenView Storage Data Protector A.05.10. Il comporte également des informations sur les configurations prises en charges (périphériques, plates-formes et intégrations de bases de données en ligne, SAN et ZDB), des correctifs requis et des limitations, ainsi que des problèmes connus et de leurs solutions. Une version mise à jour des configurations prises en charge est disponible à l'adresse http://www.openview.hp.com/products/dataprotector/specifications/index. asp. Aide en ligne Data Protector comporte une aide en ligne contextuelle (F1) et des rubriques d'aide pour les plates-formes Windows et UNIX. xxi xxii Contenu des manuels Le Guide d'installation et de choix des licences HP OpenView Storage Data Protector décrit l'installation du logiciel de sauvegarde réseau Data Protector, la configuration requise pour l'installation ainsi que des informations sur les mises à niveau et les licences. Public Ce manuel s'adresse aux administrateurs responsables de l'installation et de la maintenance de l'environnement informatique, ainsi qu'aux administrateurs de sauvegarde en charge de la planification, de l'installation et de la maintenance de l'environnement de sauvegarde. Le Guide des concepts HP OpenView Storage Data Protector contient des informations sur les concepts de Data Protector. Sa lecture est recommandée en vue d'une meilleure compréhension des bases fondamentales et du modèle conceptuel de Data Protector. xxiii Organisation Le manuel est organisé de la façon suivante : Chapitre 1 “Présentation de la procédure d'installation”, page 1. Chapitre 2 “Installation de Data Protector sur votre réseau”, page 15. Chapitre 3 “Gestion de l'installation”, page 167. Chapitre 4 “Mise à niveau vers Data Protector A.05.10”, page 203. Chapitre 5 “Attribution de licences Data Protector”, page 295. Chapitre 6 “Dépannage de l'installation”, page 311. Annexe A “Annexe A”, page A-1. Annexe B “Annexe B”, page B-1. Glossaire Définition des termes utilisés dans ce manuel xxiv 1 Présentation de la procédure d'installation Chapitre 1 1 Présentation de la procédure d'installation Description du chapitre Description du chapitre Ce chapitre présente la procédure d'installation de Data Protector et le concept de l'installation. Il présente Data Protector, Gestionnaire de cellule et l'interface graphique utilisateur de Data Protector. 2 Chapitre 1 Présentation de la procédure d'installation Présentation de la procédure d'installation Présentation de la procédure d'installation Un environnement de sauvegarde Data Protector est un ensemble de systèmes doté d'une stratégie de sauvegarde commune dans le même fuseau horaire et sur le même réseau local. Cet environnement réseau est appelé cellule de Data Protector. Une cellule type se compose d'un Gestionnaire de cellule, d'un Serveur d'installation, de clients et de périphériques de sauvegarde. Le Gestionnaire de cellule est le système principal qui gère la cellule à partir d'un point central. Il contient la base de données interne (IDB) de Data Protector et exécute le logiciel central de Data Protector et les gestionnaires de session. La base de données IDB se charge du suivi des fichiers sauvegardés et de la configuration de la cellule. Le Serveur d'installation (IS) est un ordinateur ou le composant Gestionnaire de cellule comprenant le référentiel du logiciel Data Protector utilisé pour les installations de clients distants. Cette fonction de Data Protector facilite considérablement le processus d'installation du logiciel, en particulier pour les clients distants. Une cellule comprend généralement un Gestionnaire de cellule et de nombreux clients. Un système informatique devient un client Data Protector dès que vous le dotez de l'un des composants logiciels de Data Protector. Les composants client installés sur un système dépendent du rôle que joue ce système dans votre environnement de sauvegarde. Les composants Data Protector peuvent être installés localement sur un système unique ou distribués sur de nombreux systèmes à partir des Serveurs d’installation. Le composant Interface utilisateur est nécessaire pour accéder aux fonctions de Data Protector et permet d'exécuter l'ensemble des tâches de configuration et d'administration. Il doit être installé sur des systèmes utilisés pour l'administration des sauvegardes. Data Protector offre une interface graphique utilisateur (GUI) et une interface de ligne de commande (CLI). Le composant Agent de disque Data Protector doit être installé sur les systèmes client dotés de disques devant être sauvegardés. L'Agent de disque vous permet en effet de sauvegarder des données à partir du disque client ou de les restaurer. Chapitre 1 3 Présentation de la procédure d'installation Présentation de la procédure d'installation Le composant Agent de supports doit être installé sur les systèmes client connectés à un périphérique de sauvegarde. Ce logiciel gère les périphériques et les supports de sauvegarde. Avant d'installer Data Protector sur votre réseau, définissez les éléments suivants : ✓ Le système sur lequel le Gestionnaire de cellule sera installé. Pour connaître les systèmes d'exploitation et les différentes versions pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Chaque cellule ne peut comporter qu'un Gestionnaire de cellule. Vous ne pouvez pas exécuter Data Protector si vous n'avez pas installé un Gestionnaire de cellule. ✓ Les systèmes qui seront utilisés pour accéder aux fonctions de Data Protector via l'interface utilisateur, et qui doivent être dotés du composant Interface utilisateur. ✓ Les systèmes qui seront sauvegardés et qui doivent être dotés du composant Agent de disque pour la sauvegarde des systèmes de fichiers et de l'Agent d'application approprié pour les intégrations de bases de données en ligne. ✓ Les systèmes auxquels seront connectés les périphériques de sauvegarde et qui requièrent le composant Agent de supports. ✓ Le(s) système(s) sur lequel (lesquels) le(s) Serveur(s) d’installation Data Protector sera (seront) installé(s). Deux types de Serveur d'installation (IS) sont disponibles pour l'installation des logiciels distants : l'un pour les clients UNIX et l'autre pour les clients Windows. Chacun doit être installé sur la plate-forme à laquelle il correspond. Le choix de l'ordinateur utilisé comme Serveur d'installation est indépendant du Gestionnaire de cellule et du (des) système(s) sur lequel (lesquels) l'Interface utilisateur est installée. Le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation peuvent se trouver sur le même système (s'ils sont tous deux destinés à la même plate-forme) ou sur des systèmes différents. Un Serveur d'installation peut être partagé par plusieurs cellules Data Protector. 4 Chapitre 1 Présentation de la procédure d'installation Présentation de la procédure d'installation REMARQUE Le Serveur d'installation pour Windows doit être installé sur un système Windows. Le Serveur d'installation pour UNIX doit être installé sur un système HP-UX ou Solaris. Reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les versions de système d'exploitation prises en charge. Une fois que vous avez déterminé les rôles des systèmes dans votre future cellule Data Protector, la procédure d'installation comprend les étapes générales suivantes : 1. Vérification des conditions préalables à l'installation. 2. Installation du Gestionnaire de cellule Data Protector. 3. Installation du (des) Serveur(s) d’installation et de l'Interface utilisateur. 4. Installation des systèmes client, soit à distance (option recommandée, si possible), soit en local à partir du CD-ROM. REMARQUE Il est impossible d'installer à distance un client Data Protector sur un système Windows après qu'un Serveur d'installation a déjà été installé sur ce système. Pour installer un Serveur d'installation et un (des) composant(s) client sur le même système, vous devez effectuer une installation client en local à partir du CD-ROM d'installation de Data Protector sous Windows. Dans la fenêtre Installation personnalisée, sélectionnez tous les composants client de votre choix ainsi que le composant Serveur d'installation. L'installation à distance n'est pas possible non plus avec les systèmes client Windows 98/Me/XP Edition familiale, MPE et Novell NetWare. Ceux-ci doivent être installés localement. Chapitre 1 5 Présentation de la procédure d'installation Présentation de la procédure d'installation Figure 1-1 Cellule Data Protector Concept d'installation Une fois que vous avez installé le Gestionnaire de cellule de Data Protector, l'Interface utilisateur et le(s) Serveur(s) d’installation (un de ces éléments au moins est nécessaire pour chaque plate-forme, UNIX et Windows), vous pouvez installer le logiciel Data Protector sur les clients utilisant des systèmes d'exploitation pour lesquels l'installation à distance est prise en charge. Reportez-vous à la figure 1-2, page 8. Chaque fois que vous effectuez une installation à distance, vous accédez au Serveur d'installation via l'interface graphique utilisateur. Le composant Interface utilisateur peut être installé sur le Gestionnaire de cellule, mais ce n'est pas obligatoire. Il est plus probable que vous souhaitiez installer cette interface sur de nombreux systèmes afin de pouvoir accéder au Gestionnaire de cellule à partir de différents emplacements. 6 Chapitre 1 Présentation de la procédure d'installation Présentation de la procédure d'installation Le logiciel client peut être distribué sur tout système Windows à l'exception des versions 98/Me/XP Edition familiale, à partir d'un Serveur d'installation pour Windows. Les systèmes client sous Windows 98/Me/XP Edition familiale doivent être installés localement à partir du CD-ROM Data Protector pour Windows. Data Protector prend également en charge les clients Novell NetWare, même si l'installation client à distance est impossible. L'installation s'effectue via un système Windows relié au réseau Novell. A partir d'un Serveur d'installation pour UNIX (pour obtenir une liste des plates-formes prises en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes), vous pouvez installer à distance un logiciel client sur HP-UX, Solaris, Sinix, Linux, AIX et tout autre système d'exploitation UNIX pris en charge. Pour les systèmes d'exploitation UNIX pour lesquels l'installation à distance n'est pas prise en charge, ou si vous n'installez pas un Serveur d'installation pour UNIX, vous pouvez installer les clients UNIX localement, à partir du CD-ROM d'installation de Data Protector HP-UX. Notez qu'il existe quelques exceptions qui requièrent une installation à distance uniquement. Pour plus d'informations sur les méthodes d'installation disponibles pour les différents clients Data Protector, reportez-vous à la section “Installation des clients Data Protector”, page 45. Pour connaître la procédure d'installation locale des clients UNIX, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Chapitre 1 7 Présentation de la procédure d'installation Présentation de la procédure d'installation Figure 1-2 Concept d'installation Data Protector 8 Chapitre 1 Présentation de la procédure d'installation Choix du système du Gestionnaire de cellule Choix du système du Gestionnaire de cellule Le Gestionnaire de cellule est le système le plus important de la cellule Data Protector. Le Gestionnaire de cellule effectue les tâches suivantes : • gère la cellule à partir d'un seul point central ; • contient la base de données IDB (fichiers contenant des informations sur les sessions de sauvegarde, de restauration et de gestion des supports) ; • exécute le logiciel Data Protector brut ; • exécute le Gestionnaire de session qui démarre et arrête les sessions de sauvegarde et de restauration et inscrit les informations sur les sessions dans la base de données IDB. Par conséquent, avant de décider sur quel système de votre environnement vous aller installer le Gestionnaire de cellule, il convient de connaître les éléments suivants : ✓ Plates-formes prises en charge Le Gestionnaire de cellule peut être installé sur les plates-formes Windows, HP-UX ou Solaris. Pour obtenir plus d'informations sur les versions/éditions de ces plates-formes qui sont prises en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. ✓ Fiabilité du système Gestionnaire de cellule Dans la mesure où le Gestionnaire de cellule contient la base de données IDB et où la sauvegarde et la restauration sont impossibles en cas de panne du Gestionnaire de cellule, il est important de choisir un système très fiable pour cette installation. ✓ Format IDB • Sous Windows, la base de données IDB stocke toutes les informations texte au format Unicode codé sur deux octets, ce qui permet une prise en charge complète des noms de fichier et des messages localisés dans d'autres langues. • Les noms de fichier provenant des clients UNIX sont toujours stockés tels quels et sont affichés en fonction des paramètres locaux de l'utilisateur qui exécute l'interface. Chapitre 1 9 Présentation de la procédure d'installation Choix du système du Gestionnaire de cellule Toutefois, les données provenant des clients Windows ne peuvent être stockées correctement que pour les caractères de type Latin 1. Les noms de fichier contenant d'autres caractères ne peuvent être sélectionnés pour la sauvegarde ou la restauration (mais ils peuvent être sauvegardés ou restaurés au sein d'arborescences sélectionnables). Pour plus d'informations, reportez-vous à l'Annexe B du document HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. ✓ Croissance de la base de données et espace disque nécessaire La base de données du Gestionnaire de cellule sous Windows se développe légèrement plus rapidement que la base de données sous UNIX, car les informations sont stockées au format codé sur deux octets (Unicode). Cela concerne principalement les informations relatives aux noms de fichier. Sous UNIX (HP-UX ou Solaris), la taille de la base de données dépend du mode de codage des informations stockées (sur un ou deux octets), mais elle est généralement inférieure à la taille de la base de données sous Windows. Pour obtenir des informations sur la planification et la gestion de la taille et de la croissance de la base de données, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Pour obtenir plus d'informations sur l'espace disque requis pour la base de données IDB, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. REMARQUE Vous n'êtes pas obligé d'utiliser le Gestionnaire de cellule comme système de l'interface graphique utilisateur. Vous pouvez par exemple disposer d'un Gestionnaire de cellule UNIX, mais d'un composant Interface utilisateur installé sur un client Windows. Etape suivante Pour connaître la configuration requise de votre futur système de Gestionnaire de cellule, reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. 10 Chapitre 1 Présentation de la procédure d'installation Choix du système de l'Interface utilisateur Data Protector Choix du système de l'Interface utilisateur Data Protector Data Protector offre l'interface utilisateur et l'interface de ligne de commande pour les plates-formes Windows, HP-UX et Solaris. L'interface utilisateur est installée en tant que composant logiciel Data Protector. Le système sélectionné pour contrôler la cellule sera utilisé par un administrateur réseau ou un opérateur de sauvegarde. Il doit par conséquent s'exécuter sur la plate-forme qui simplifiera les tâches de configuration et d'administration de Data Protector. Par exemple, si vous travaillez dans un environnement UNIX dans lequel des fichiers portant des noms japonais sont régulièrement sauvegardés et restaurés, ces noms peuvent être pris en charge via une interface utilisateur sous Solaris ou HP-UX. Toutefois, dans un environnement informatique très important, il peut être préférable d'exécuter l'interface utilisateur sur plusieurs systèmes ; dans le cas des environnements mixtes, il est conseillé de l'installer sur plusieurs plates-formes. Par exemple, si vous disposez d'un réseau UNIX mixte et que l'interface utilisateur est installée sur au moins un système Solaris ou HP-UX, vous pouvez exporter l'affichage de cette interface utilisateur vers tout autre système UNIX exécutant un serveur X. En outre, si vous travaillez dans un bureau très vaste où de nombreux systèmes Windows doivent être sauvegardés, il peut être plus pratique de contrôler les opérations locales de sauvegarde et de restauration à partir d'un système Windows local. Dans ce cas, vous pouvez installer le composant Interface utilisateur sur un système Windows. Pour plus d'informations sur les versions/éditions des systèmes d'exploitation pris en charge pour l'interface utilisateur, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Pour plus d'informations sur la prise en charge des différentes langues et l'utilisation de caractères non-ASCII dans les noms de fichier, reportez-vous à l'Annexe B du document HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Chapitre 1 11 Présentation de la procédure d'installation Choix du système de l'Interface utilisateur Data Protector Une fois l'interface utilisateur installée sur un système de la cellule, vous pouvez accéder à distance au Gestionnaire de cellule à partir de ce système. Vous n'êtes pas obligé d'utiliser l'interface graphique utilisateur sur le Gestionnaire de cellule. L'interface graphique utilisateur de Data Protector L'interface graphique utilisateur de Data Protector est un outil puissant qui permet d'accéder facilement aux fonctions de Data Protector. La fenêtre principale contient plusieurs vues, telles que Clients, Utilisateurs, Sauvegarde, Restauration, Périphériques et supports, Rapports, Moniteur, Restauration instantanée et Base de données interne, lesquelles vous permettent d'exécuter toutes les tâches liées. Par exemple, la vue Clients vous permet d'installer les clients à distance en précisant tous les systèmes cible et en définissant les chemins et les options d'installation envoyés au système du Serveur d'installation spécifié. Lorsque l'installation du système client est en cours, l'utilisateur ne voit que les messages spécifiques à l'installation s'afficher dans la fenêtre du moniteur. 12 Chapitre 1 Présentation de la procédure d'installation Choix du système de l'Interface utilisateur Data Protector Figure 1-3 Interface graphique utilisateur Data Protector Reportez-vous également à la figure 1 de la Préface, qui définit les principales zones de l'interface utilisateur de Data Protector. Chapitre 1 13 Présentation de la procédure d'installation Choix du système de l'Interface utilisateur Data Protector 14 Chapitre 1 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Chapitre 2 15 Installation de Data Protector sur votre réseau Description du chapitre Description du chapitre Ce chapitre contient des instructions détaillées sur : • L'installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. • Installation des clients Data Protector. Reportez-vous à la section “Installation des clients Data Protector”, page 45. • Installation de l'Edition serveur unique Data Protector. Reportez-vous à la section “Installation de l'Edition serveur unique Data Protector”, page 150. • Installation des Rapports Web Data Protector. Reportez-vous à la section “Installation des Rapports Web Data Protector”, page 152. • Installation de Data Protector sur MC/ServiceGuard. Reportez-vous à la section “Installation de Data Protector sur MC/ServiceGuard”, page 154. • Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server. Reportez-vous à la section “Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server”, page 156. • Installation de clients Data Protector sur un cluster Veritas. Reportez-vous à la section “Installation de clients Data Protector sur un cluster Veritas”, page 163. • Installation de clients Data Protector sur un cluster Novell NetWare. Reportez-vous à la section “Installation de clients Data Protector sur un cluster Novell NetWare”, page 164. 16 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Pour connaître le déroulement de la procédure d'installation, reportez-vous à la figure 2-1 : Chapitre 2 17 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Figure 2-1 Procédure d'installation Si vous installez le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation sur le même système, vous pouvez effectuer cette tâche en une seule étape. 18 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector IMPORTANT Tous les fichiers de configuration et d'informations sur les sessions d'une cellule de Data Protector sont stockés dans le Gestionnaire de cellule. Il est difficile de transférer ensuite ces informations vers un autre système. Par conséquent, assurez-vous que le Gestionnaire de cellule est un système fiable installé dans un environnement stable et contrôlé. Installation d'un Gestionnaire de cellule UNIX Cette section fournit des instructions détaillées sur la procédure d'installation d'un Gestionnaire de cellule UNIX. Si vous souhaitez installer uniquement le Gestionnaire de cellule de Windows, reportez-vous à la section “Installation d'un Gestionnaire de cellule Windows”, page 30 : Conditions préalables pour la plate-forme UNIX Le système UNIX qui deviendra le Gestionnaire de cellule doit : ✓ disposer du système d'exploitation HP-UX ou Solaris. Reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour obtenir des informations sur les versions de systèmes d'exploitation, plates-formes, processeurs et composants Data Protector pris en charge. ✓ Disposer d'un espace disque suffisant pour le logiciel Data Protector. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Pour surmonter les problèmes de manque d'espace, vous pouvez effectuer l'installation sur des répertoires liés ; reportez-vous au préalable aux sections “Structure de répertoires installés”, page 25 et “Dépannage”, page 28. ✓ Disposer d'un espace disque suffisant (équivalent à environ 2 % des données à sauvegarder) pour la base de données IDB. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Notez que la conception actuelle de la base de données IDB permet de déplacer les fichiers binaires si sa croissance rend cette opération nécessaire. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. ✓ Prendre en charge les noms de fichiers longs. ✓ Etre équipé du démon inetd, lequel doit être opérationnel. Chapitre 2 19 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector ✓ Disposer du port numéro 5555 (par défaut). Si ce n'est pas le cas, reportez-vous à l'Annexe B, “Modification du numéro de port par défaut”, page B-13. ✓ Disposer du protocole TCP/IP, lequel doit être en cours d'exécution. Ce protocole doit pouvoir résoudre les noms d'hôte. ✓ Avoir accès au périphérique d'entrée correspondant au type de support d'installation, un lecteur de CD-ROM par exemple. ✓ Reconnaître le Gestionnaire de cellule, en cas d'utilisation d'un serveur NIS. Reportez-vous à l’Annexe B, “Préparation d'un serveur NIS”, page B-15. REMARQUE Dans un environnement à plusieurs cellules (MoM), la même version de Data Protector doit être installée sur tous les Gestionnaires de cellule. Installation en local Installez le Gestionnaire de cellule en local à partir du CD-ROM. A ce stade, vous devez décider si vous souhaitez disposer à la fois du Serveur d'installation et du Gestionnaire de cellule : ✓ Sur le même système (option par défaut sous HP-UX). Suivez la procédure décrite dans la section “Installation d'un Gestionnaire de cellule sous HP-UX”, page 21. Sélectionnez le composant logiciel Serveur d'installation pendant la procédure. ✓ Sur des systèmes différents. Suivez la procédure décrite dans la section “Installation d'un Gestionnaire de cellule sous HP-UX”, page 21. Désélectionnez le composant logiciel Serveur d'installation pendant la procédure. Pour installer le Serveur d'installation sur un système séparé, reportez-vous à la section “Installation des serveurs d’installation”, page 35. REMARQUE Pour effectuer l'installation, vous devez disposer soit d'un accès root, soit d'un compte doté des possibilités root. 20 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Installation d'un Gestionnaire de cellule sous HP-UX IMPORTANT Le paramètre de noyau maxdsiz (taille maximale des segments de données) doit être réglé sur au moins 131 072 000 octets (128 méga-octets). Une fois cette valeur définie, il faut recompiler le kernel et redémarrer la machine. Suivez la procédure ci-dessous pour installer le Gestionnaire de cellule UNIX (et le Serveur d'installation, le cas échéant) sur un système HP-UX : 1. Insérez le CD-ROM d'installation HP-UX et exécutez l'utilitaire / usr/sbin/swinstall. 2. Dans la fenêtre Spécifier source, sélectionnez Répertoire réseau/CDROM, puis entrez <point_montage>/DP-DEPOT/ DP_A0510_UX11x.sd_depot dans la zone Chemin d'accès au dépôt source. Cliquez ensuite sur OK pour ouvrir la fenêtre Installation SD - Sélection de logiciel. 3. Dans la liste des produits logiciels disponibles pour l'installation, vous trouverez le produit Data Protector sous la référence B6960MA. Cliquez deux fois sur ce dernier pour afficher le produit DATA-PROTECTOR pour UNIX. Cliquez deux fois sur ce dernier pour en afficher le contenu. Ce produit contient les sous-produits suivants : OB2-CM Logiciel du Gestionnaire de cellule OB2-IS Serveur d'installation pour UNIX OB2-DOCS Documentation de Data Protector comprenant les manuels Data Protector au format PDF. 4. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur DATA-PROTECTOR, puis cliquez sur Marquer pour l'installation afin d'installer le logiciel dans son intégralité. Si vous n'avez pas besoin de tous les sous-produits, cliquez deux fois sur DATA-PROTECTOR, puis cliquez avec le bouton droit de la souris sur un élément de la liste. Cliquez sur Annuler les marques pour l'installation pour exclure le package, ou sur Marquer pour l'installation pour l'intégrer à l'installation. Chapitre 2 21 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Assurez-vous que la valeur d'état Marqué ? en regard des packages OB2-CM et OB2-IS est réglée sur Oui si vous installez le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour UNIX sur le système. Reportez-vous à la figure 2-2. REMARQUE Si vous utilisez des ID utilisateur de plus de 32 bits, vous devez installer le composant Interface utilisateur (OMNI-CS) à distance sur le Gestionnaire de cellule après avoir installé le composant logiciel central Gestionnaire de cellule. 5. Dans la liste Actions, cliquez sur Installation (analyse), puis sur OK pour continuer. Si l'opération Installation (analyse) échoue et si un message d'erreur s'affiche, cliquez sur Fichier journal pour visualiser ce fichier. 22 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Figure 2-2 Fenêtre Installation SD - Sélection de logiciel REMARQUE Les logiciels installés à partir d'un périphérique à bandes ne sont pas accessibles par swinstall sur l'ensemble du réseau. Elle ne peut être chargée qu'à partir d'un périphérique à bandes local. Installation du Gestionnaire de cellule sous Solaris Pour installer le Gestionnaire de cellule sur un système Solaris, suivez la procédure ci-dessous : 1. Insérez le CD-ROM d'installation de Solaris. 2. Accédez au répertoire principal <source_package>, c'est-à-dire le répertoire contenant le fichier dépôt d'installation (dans ce cas, <point_montage>/DP-DEPOT). Les packages de sous-produits suivants liés à l'installation du Gestionnaire de cellule sont inclus dans le produit : OB2-CORE Chapitre 2 Logiciel central Data Protector. 23 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector OB2-C-IS Logiciel central Serveur d'installation. OB2-CC Logiciel de la Console de cellule. Ce logiciel contient l'interface graphique utilisateur et l'interface de ligne de commande. OB2-CS Logiciel du Gestionnaire de cellule. OB2-DA Logiciel Agent de disque. Ce logiciel est requis ; il est indispensable pour sauvegarder la base de données IDB. et (en option) : OB2-MA Agent de supports. Ce logiciel est requis si vous souhaitez connecter un périphérique de sauvegarde au Gestionnaire de cellule. OB2-DOCS Manuels en ligne Data Protector. OB2-INTEGP Logiciel d'intégration central Data Protector. Ce composant est nécessaire pour installer les intégrations. Utilisez la fonction pkgadd pour installer les packages ci-dessus. IMPORTANT Les packages de sous-produits sous Solaris sont interdépendants. Vous devez installer ces packages en respectant l'ordre de la liste ci-dessus. Pour installer chaque package, exécutez la commande suivante : pkgadd -d DP_A0510_SUN78.pkg <nom_package> Si vous souhaitez installer un Serveur d'installation pour UNIX sur votre Gestionnaire de cellule, vous pouvez le faire à ce stade. Pour plus de détails sur les étapes supplémentaires requises, reportez-vous à la section “Installation du Serveur d'installation pour UNIX”, page 36. 24 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Structure de répertoires installés Au terme de l'installation, le logiciel central Data Protector réside dans le répertoire /opt/omni/bin, et le Serveur d'installation pour UNIX, dans le répertoire /opt/omni/databases/vendor. La liste suivante présente les Data Protector sous-répertoires et leur contenu (si vous souhaitez utiliser une structure de répertoires différente, reportez-vous à la remarque importante ci-dessous) : /opt/omni/bin Toutes les commandes /opt/omni/gui Eléments de l'interface graphique utilisateur /opt/omni/gui/help Fichiers d'aide en ligne /opt/omni/lbin Commandes internes de Data Protector /opt/omni/sbin Commandes super-utilisateur /opt/omni/sbin/install Scripts d'installation /etc/opt/omni Informations de configuration /opt/omni/lib Bibliothèques partagées pour la compression, le codage de données et la gestion de périphériques /opt/omni/doc/C Documentation en ligne (facultatif) /var/opt/omni/log Fichiers journaux /opt/omni/lib/nls/C Fichiers catalogue de messages /opt/omni/lib/man Pages de manuel /var/opt/omni/tmp Fichiers temporaires /var/opt/omni/db40 Fichiers IDB. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Chapitre 2 25 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector IMPORTANT Si vous souhaitez installer Data Protector sur des répertoires liés, par exemple : /opt/omni/ -> /<préfixe>/opt/omni/ /var/opt/omni/ -> /<préfixe>/var/opt/omni/ /etc/opt/omni/ -> /<préfixe>/etc/opt/omni/ vous devez créer les liens avant l'installation et vous assurer que les répertoires cible existent. Pour plus d'informations, reportez-vous à la section “Dépannage”, page 28. Configuration du démarrage et de l'arrêt automatiques La procédure d'installation de Data Protector consiste à configurer le démarrage et l'arrêt automatiques de tous les processus Data Protector à chaque redémarrage du système. Une partie de cette configuration dépend du système d'exploitation. HP-UX Les fichiers suivants sont configurés automatiquement : /sbin/init.d/omni Script contenant les procédures de démarrage et d'arrêt. /sbin/rc1.d/K162omni Lien vers le script /sbin/init.d/ omni qui permet d'arrêter Data Protector. /sbin/rc2.d/S838omni Lien vers le script /sbin/init.d/ omni qui permet de lancer Data Protector. /etc/rc.config.d/omni Contient une variable omni définissant : omni=1......Data Protector est arrêté et lancé automatiquement au réamorçage du système. C'est l'option par défaut. omni=0......Data Protector est arrêté et lancé automatiquement au réamorçage du système. 26 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Durant l'installation, les fichiers système suivants du Gestionnaire de cellule sont modifiés : Solaris HP-UX/Solaris /etc/services Le numéro de port Data Protector du service est ajouté au fichier. /opt/omni/lbin/crs Le service CRS de Data Protector est ajouté. Les fichiers suivants sont configurés automatiquement : /etc/init.d/omni Script contenant les procédures de démarrage et d'arrêt. /etc/rc1.d/K09omni Lien vers le script /sbin/init.d/ omni qui permet d'arrêter Data Protector. /etc/rc2.d/S97omni Lien vers le script /sbin/init.d/ omni qui permet de lancer Data Protector. Une fois l'installation terminée, les processus suivants sont exécutés sur le Gestionnaire de cellule : /opt/omni/lbin/crs Le service Data Protector Cell Request Server (CRS), qui s'exécute sur le système du Gestionnaire de cellule, est lancé lorsque le logiciel du Gestionnaire de cellule est installé sur le système. Il lance et contrôle les sessions de sauvegarde et de restauration dans la cellule. /opt/omni/lbin/rds Le service Data Protector Raima Database Server (RDS), qui s’exécute sur le système du Gestionnaire de cellule, est lancé lorsque le logiciel du Gestionnaire de cellule est installé sur le système. Le RDS gère la base de données IDB. Chapitre 2 27 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector /opt/omni/lbin/mmd Le service Data Protector Media Management Daemon (MMD), qui s'exécute sur le système du Gestionnaire de cellule, est lancé lorsque le logiciel du Gestionnaire de cellule est installé sur le système. Il gère les opérations de gestion des périphériques et des supports. Configuration des variables d'environnement La procédure d'installation du Gestionnaire de cellule UNIX décrite précédemment installe également l'interface utilisateur de Data Protector. Avant d'utiliser l'interface utilisateur (l'interface graphique utilisateur ou l'interface de ligne de commande), ajoutez les éléments suivants à vos variables d'environnement : /opt/omni/bin, /opt/omni/lbin et /opt/omni/sbin à la variable PATH /opt/omni/bin/man à la variable MANPATH /opt/omni/lib et /opt/omni/lib/arm à la variable LD_LIBRARY_PATH De même, avant de tenter d'utiliser l'interface graphique utilisateur, assurez-vous que la variable DISPLAY est correctement définie. REMARQUE Si vous avez l'intention d'utiliser l'interface utilisateur Data Protector pour effectuer des sauvegardes ou des restaurations sur plusieurs plates-formes, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les limitations en vigueur. Dépannage Vous devez disposer d'une grande quantité d'espace disque pour installer le Gestionnaire de cellule UNIX, en particulier pour le répertoire /opt et, par la suite, pour le répertoire /var où est stockée la base de données (environ 2 % des données de sauvegarde prévues). Si l'espace disque est insuffisant, vous pouvez utiliser des répertoires liés, mais vous devez alors créer les liens avant l'installation et vous assurer que les répertoires cible existent. Voici quelques exemples de procédures : 28 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector • Si vous disposez d'un disque contenant suffisamment d'espace et monté en tant que /data_protector, créez le lien suivant pour opt/ omni : mkdir /data_protector/opt_omni ln -s /data_protector/opt_omni /opt/omni Répétez cette opération pour tout autre répertoire que vous souhaitez lier, par exemple /var/opt/omni et /etc/opt/omni. • Sous HP-UX, si vous disposez d'un système de fichiers non monté / dev/vgspare/lvol2, procédez comme suit : mkdir /opt/omni mount /dev/vgspare/lvol2 /opt/omni • Sous Solaris, si vous disposez d'un système de fichiers non monté / dev/dsk/c0t0d0s0, procédez comme suit : mkdir /opt/omni mount /dev/dsk/c0t0d0s0 /opt/omni Etape suivante A ce stade, le Gestionnaire de cellule ainsi qu'un Serveur d'installation pour UNIX doivent être installés si vous choisissez de les placer sur le même système. Tâches suivantes : 1. Installation d'un Serveur d'installation pour UNIX sur un autre système, si vous le souhaitez. Reportez-vous à la section “Installation du Serveur d'installation pour UNIX”, page 36. 2. Installation d'un Serveur d'installation pour Windows, si vous souhaitez charger l'installation de logiciel sur les clients Windows. Reportez-vous à la section “Installation d'un Serveur d'installation pour Windows”, page 41. 3. Distribution du logiciel aux clients. Reportez-vous à la section “Installation des clients Data Protector”, page 45. Chapitre 2 29 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Installation d'un Gestionnaire de cellule Windows Conditions préalables pour les plates-formes Windows Le système Windows qui deviendra votre Gestionnaire de cellule doit répondre aux critères suivants : ✓ Etre doté d'une version du système d'exploitation Windows prise en charge. Reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les versions de système d'exploitation prises en charge pour le Gestionnaire de cellule. ✓ Disposer de Microsoft Internet Explorer 5.0 ou supérieur. ✓ Disposer d'un espace disque suffisant pour le logiciel Gestionnaire de cellule de Data Protector. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. ✓ Disposer d'un lecteur de disque dur C: ✓ Ne pas contenir de fichiers ou de dossiers intitulés “Program*” autres que ceux qui figurent dans le dossier Program Files du lecteur sur lequel vous allez installer Data Protector. ✓ Disposer d'un espace disque suffisant (équivalent à environ 2 % des données sauvegardées) pour la base de données IDB. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. ✓ Disposer du port numéro 5555 (par défaut). Reportez-vous à l’Annexe B, “Modification du numéro de port par défaut”, page B-13. ✓ Disposer d'une adresse IP fixe pour le système sur lequel le Gestionnaire de cellule doit être installé. Si le système est configuré en tant que client DHCP, son adresse IP change ; il est donc nécessaire soit d'attribuer une entrée DNS permanente au système (et de le reconfigurer), soit de configurer un serveur DHCP afin de réserver une adresse IP fixe pour le système (l'adresse IP est liée à l'adresse MAC du système). ✓ Disposer de l'implémentation Microsoft du protocole TCP/IP, lequel doit être installé et en cours d'exécution. Ce protocole doit pouvoir résoudre les noms d'hôte. Les noms de l'ordinateur et de l'hôte doivent être identiques. Reportez-vous à l'Annexe B, “Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows”, page B-3 pour obtenir des informations sur l'installation et la configuration du protocole TCP/IP. 30 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector ✓ Avoir accès au périphérique d'entrée correspondant au type de support d'installation, un lecteur de CD-ROM par exemple. Client des services ✓ Si vous souhaitez installer Data Protector sous Windows par Terminal Server de l'intermédiaire du Client des services Terminal de Microsoft, sur le Microsoft système où vous installez Data Protector, le Mode Terminal Server doit être spécifié comme Administration à distance : 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez fois sur Outils d'administration, puis sur Configuration Terminal Server. 2. Dans la boîte de dialogue Configuration Terminal Server, cliquez sur Paramètres du serveur. Vérifiez que le Terminal Server s'exécute dans le mode administration à distance. Recommandation Avant de procéder à l'installation de Data Protector A.05.10, assurez-vous que vous disposez de Microsoft Installer 2.0. Si vous disposez d'une version antérieure de Microsoft Installer, la configuration de Data Protector procédera à sa mise à jour vers la version 2.0. Toutefois, ces changements ne prennent effet qu'après le redémarrage du système. Une fois l'ordinateur redémarré, reprenez l'installation. Il est recommandé de mettre Microsoft Installer à niveau vers la version 2.0 avant d'installer Data Protector A.05.10. Consultez le support technique Microsoft pour connaître les conditions préalables de Microsoft Installer 2.0 sur les différents systèmes d'exploitation Windows. Installation en local Procédez comme suit pour effectuer une nouvelle installation sur un système Windows : 1. Insérez le CD-ROM d'installation Windows et exécutez i386\setup.exe. L'assistant d'installation de Data Protector s'affiche. 2. Suivez les instructions de l'assistant et lisez attentivement le contrat de licence. Si vous en acceptez les termes, cliquez sur Suivant pour continuer. 3. Indiquez votre nom et celui de votre société. Cliquez sur Suivant pour continuer. 4. Dans la page Type d'installation, sélectionnez Gestionnaire de cellule, puis cliquez sur Suivant pour installer le logiciel Gestionnaire de cellule de Data Protector. Chapitre 2 31 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Figure 2-3 Sélection du type d'installation 5. Dans la fenêtre Installation personnalisée, sélectionnez les composants à installer. Figure 2-4 Sélection des composants logiciels Les composants Noyau Data Protector, Agent de disque, Agent de supports, Interface utilisateur et Serveur d'installation sont sélectionnés par défaut. 32 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector IMPORTANT Vous ne pouvez pas désélectionner le composant Noyau Data Protector car il contient les fichiers nécessaires au fonctionnement de Data Protector. REMARQUE Si vous avez l'intention d'utiliser l'interface utilisateur Data Protector pour effectuer des sauvegardes ou des restaurations sur plusieurs plates-formes, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les limitations en vigueur. Pour visualiser les HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes en ligne, vous devez disposer de la version 4.0 ou ultérieure d'Acrobat Reader. Cliquez sur Changer chemin d'accès pour changer le répertoire de destination. Notez que le changement du répertoire de destination n'est possible que si un composant à installer est sélectionné. 6. Cliquez sur Suivant. 7. Cliquez sur Installer pour démarrer l'installation des composants sélectionnés. L'installation peut durer plusieurs minutes. Pour commencer à utiliser Data Protector immédiatement après son installation, sélectionnez Lancer Gestionnaire Data Protector, puis cliquez sur Terminer. Après l'installation Dès la fin de l'installation, les fichiers du Gestionnaire de cellule se trouvent dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin et le dépôt de logiciel pour Windows se trouve dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\Depot. A la fin de l'installation, les processus suivants s'exécutent sur le Gestionnaire de cellule dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin : Chapitre 2 33 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector crs.exe Le service Data Protector Cell Request Server (CRS), qui s'exécute sur le système du Gestionnaire de cellule, est lancé lorsque le logiciel du Gestionnaire de cellule est installé sur le système. Il lance et contrôle les sessions de sauvegarde et de restauration dans la cellule. rds.exe Le service Data Protector Raima Database Server (RDS), qui s'exécute sur le système du Gestionnaire de cellule, est lancé lorsque le logiciel du Gestionnaire de cellule est installé sur le système. Le RDS gère la base de données IDB. omniinet.exe Le service résident de Data Protector qui permet la communication avec les services Data Protector installés sur les autres systèmes du réseau. Le service Data Protector Inet doit s'exécuter sur tous les systèmes de la cellule Data Protector. REMARQUE Si vous avez l'intention d'utiliser l'interface utilisateur Data Protector pour effectuer des sauvegardes ou des restaurations sur plusieurs plates-formes, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les limitations en vigueur. Dépannage Si l'installation a échoué, contrôlez la configuration vérifiée par le processus d'installation lui-même, et essayez de déterminer les causes de l'échec si la configuration n'a pas été respectée. Reportez-vous aux “Conditions préalables pour les plates-formes Windows”, page 30. Les éléments vérifiés par le processus d'installation sont les suivants : ✓ Version de Service Pack. ✓ NSLookup, qui permet à Data Protector de développer les noms d'hôte. 34 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector ✓ Espace disque. ✓ Droits d'administration. Etape suivante A ce stade, le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour Windows doivent être installés. Tâches suivantes : 1. Installation du Serveur d'installation pour UNIX sur un système HP-UX ou Solaris, si votre environnement de sauvegarde est mixte. Reportez-vous à la section “Installation des serveurs d’installation”, page 35. Ne tenez pas compte de cette procédure si vous n'avez pas besoin du Serveur d'installation pour UNIX. 2. Distribution du logiciel aux clients. Reportez-vous à la section “Installation des clients Data Protector”, page 45. Installation des serveurs d’installation Les serveurs d’installation peuvent être installés sur le système du Gestionnaire de cellule ou sur tout système pris en charge et connecté au Gestionnaire de cellule par un réseau local. Reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les versions de système d'exploitation prises en charge pour le Serveur d'installation. Pour conserver les Serveurs d’installation sur des systèmes distincts du Gestionnaire de cellule, vous devez installer localement le dépôt de logiciel correspondant. La procédure est décrite en détail dans cette section. Il est possible d'installer le Serveur d'installation sur le Gestionnaire de cellule en même temps que d'installer le Gestionnaire de cellule sous Windows, HP-UX ou Solaris. Cette procédure est décrite dans le cadre de la procédure d'installation du Gestionnaire de cellule. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Installation d'un Gestionnaire de cellule UNIX”, page 19 ou “Installation d'un Gestionnaire de cellule Windows”, page 30. Si vous avez installé un Gestionnaire de cellule sur tout système d'exploitation pris en charge sans Serveur d'installation, vous pouvez utiliser la procédure décrite dans cette section pour ajouter un serveur d'installation au Gestionnaire de cellule. Chapitre 2 35 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Installation du Serveur d'installation pour UNIX Conditions préalables pour la plate-forme UNIX Le système UNIX qui deviendra votre Serveur d'installation doit répondre aux critères suivants : ✓ Disposer du système d'exploitation HP-UX ou Solaris. Reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les versions de système d'exploitation prises en charge pour le Serveur d'installation. ✓ Etre équipé du démon inetd, lequel doit être opérationnel. ✓ Disposer du port numéro 5555 (par défaut). Il peut s'agir d'un autre numéro de port utilisé par la configuration du Gestionnaire de cellule. Reportez-vous à l’Annexe B, “Modification du numéro de port par défaut”, page B-13. ✓ Disposer du protocole TCP/IP, lequel doit être en cours d'exécution. Ce protocole doit pouvoir résoudre les noms d'hôte. ✓ Disposer d'un espace disque suffisant pour l'intégralité du dépôt de logiciel de Data Protector. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. ✓ Disposer d'un périphérique d'entrée correspondant au type de support d'installation, un lecteur de CD-ROM par exemple. Installation locale sous HP-UX Pour installer le Serveur d'installation pour UNIX sur un système HP-UX, procédez comme suit : REMARQUE Les logiciels installés à partir d'un périphérique à bandes ne sont pas accessibles par swinstall sur l'ensemble du réseau. Ils ne peuvent être chargés qu'à partir d'un périphérique à bandes local. 1. Insérez le CD-ROM d'installation de HP-UX. 2. Dans la ligne de commande, tapez /usr/sbin/swinstall pour exécuter le programme d'installation. 3. Dans la fenêtre Spécifier souce, sélectionnez Chemin réseau/ CD-ROM, puis dans la zone Chemin d'accès au dépôt source, entrez <point_montage>/DP-DEPOT/DP_A0510_UX11x.sd_depot. Ouvrez ensuite la fenêtre Installation SD - Sélection de logiciel. 36 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector 4. Dans cette dernière, cliquez deux fois sur DATA-PROTECTOR pour obtenir la liste des logiciels d'installation. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur OB2-IS, puis cliquez sur Marquer pour l'installation. 5. Dans le menu Actions, cliquez sur Installation (analyse). Cliquez sur OK pour continuer. Au terme de l'installation, le dépôt de logiciel pour UNIX réside dans le répertoire /opt/omni/databases/vendor. IMPORTANT Si vous n'installez pas le Serveur d'installation pour UNIX sur votre réseau, vous devrez installer chaque client UNIX en local à partir du CD-ROM d'installation de HP-UX. Installation locale sous Solaris Pour installer le Serveur d'installation pour UNIX sur un système Solaris, procédez comme suit : 1. Insérez le CD-ROM d'installation de Solaris. 2. Accédez au répertoire principal <source_package>, c'est-à-dire le répertoire contenant le fichier dépôt d'installation (dans ce cas, <point_montage>/DP-DEPOT). Les packages de sous-produits suivants liés à l'installation du Serveur d'installation sont inclus dans le produit : OB2-CORE Logiciel central Data Protector. Notez que si vous installez le Serveur d'installation sur le Gestionnaire de cellule, le logiciel central est déjà installé. OB2-C-IS Logiciel central Serveur d'installation. OB2-SOLUX Paquets de chargement de l'Agent de disque, de l'Agent de support et de l'interface graphique utilisateur pour les systèmes Solaris distants. Chapitre 2 37 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector OB2-OTHUX Paquets de chargement de l'Agent de disque et de l'Agent de supports pour systèmes UNIX non-Solaris distants. De plus, si vous configurez un Serveur d'installation indépendant (c'est-à-dire ne figurant pas dans le Gestionnaire de cellule) et souhaitez utiliser l'interface utilisateur : OB2-CC Logiciel de la Console de cellule. Ce logiciel contient l'interface graphique utilisateur et l'interface de ligne de commande. OB2-INTEGP Logiciel d'intégration central Data Protector. Ce composant est nécessaire pour installer les intégrations. 3. Utilisez la fonction pkgadd pour installer les packages ci-dessus. IMPORTANT Les packages de sous-produits sous Solaris sont interdépendants. Vous devez installer ces packages en respectant l'ordre de la liste ci-dessus. Pour installer chaque package, exécutez la commande suivante : pkgadd -d DP_A0510_SUN78.pkg <nom_package> REMARQUE La fonction pkgadd ne peut être exécutée que localement, pas à distance. 38 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector 4. Une fois ces composants installés, utilisez pkgadd pour installer les paquets de chargement de tous les packages d'intégration que vous souhaiterez installer à distance. Par exemple : OB2-SAPP Composant d'intégration SAP. OB2-INFP Composant d'intégration Informix. OB2-SYBP Composant d'intégration Sybase. OB2-OR8P Composant d'intégration Oracle8/9. OB2-DB2P Composant d'intégration DB2. OB2-EMCP Composant d'intégration EMC Symmetrix. OB2-SNAPP HP StorageWorks Virtual Array. OB2-EVAAP HP StorageWorks Enterprise Virtual Array. OB2-SSEAP HP StorageWorks Disk Array XP. Au terme de l'installation, le dépôt de logiciel pour UNIX réside dans le répertoire /opt/omni/databases/vendor. IMPORTANT Si vous n'installez pas de Serveur d'installation pour UNIX sur votre réseau, vous devrez installer chaque client UNIX en local à partir du CD-ROM d'installation de HP-UX. IMPORTANT Si vous souhaitez installer Data Protector sur des répertoires liés, par exemple : /opt/omni/ -> /<préfixe>/opt/omni/ /etc/opt/omni/ -> /<préfixe>/etc/opt/omni/ /var/opt/omni/ -> /<préfixe>/var/opt/omni/ vous devez créer les liens avant l'installation et vous assurer que les répertoires cible existent. Chapitre 2 39 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector REMARQUE Si vous installez le composant Interface utilisateur (interface graphique utilisateur ou interface de ligne de commande), il faut au préalable mettre à jour les variables de votre environnement. Pour plus d'informations, reportez-vous à la section “Configuration des variables d'environnement”, page 28. Si vous avez l'intention d'utiliser l'interface utilisateur Data Protector pour effectuer des sauvegardes ou des restaurations sur plusieurs plates-formes, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les limitations en vigueur. Etape suivante A ce stade de la procédure, les Serveurs d’installation pour UNIX doivent être installés sur votre réseau. Vous devez maintenant effectuer les tâches suivantes : 1. Si vous avez configuré un Serveur d'installation indépendant (c'est-à-dire ne figurant pas dans le Gestionnaire de cellule), il faut ajouter (importer) manuellement le système dans la cellule Data Protector. Reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. REMARQUE Lorsqu'un Serveur d'installation est importé, le fichier /etc/opt/omni/ cell/installation_servers du Gestionnaire de cellule est mis à jour et répertorie les paquets de chargement installés. Ce fichier peut être utilisé à partir de l'interface de ligne de commande pour vérifier les paquets de chargement disponibles. Pour maintenir ce fichier à jour, vous devrez exporter, puis réimporter un Serveur d'installation à chaque installation ou suppression d'un paquet de chargement. Cette procédure est valable même dans le cas où un Serveur d'installation est installé sur le même système que le Gestionnaire de cellule. 2. Installez le Serveur d'installation pour Windows si vous disposez de systèmes Windows dans votre cellule Data Protector. Reportez-vous à la section “Installation d'un Serveur d'installation pour Windows”, page 41. 3. Distribuez le logiciel aux clients. Reportez-vous à la section “Installation des clients Data Protector”, page 45. 40 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Installation d'un Serveur d'installation pour Windows Conditions préalables pour les plates-formes Windows Le système Windows qui deviendra votre Serveur d'installation doit répondre aux critères suivants : ✓ Disposer de l'une des versions du système d'exploitation Windows prises en charge. Reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les versions de système d'exploitation prises en charge pour le Serveur d'installation. ✓ Disposer de Microsoft Internet Explorer 5.0 ou supérieur. ✓ Disposer d'un espace disque suffisant pour l'intégralité du dépôt de logiciel de Data Protector. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. ✓ Avoir accès au périphérique d'entrée correspondant au type de support d'installation, un lecteur de CD-ROM par exemple. ✓ Ne pas contenir de fichiers ou de dossiers intitulés “Program*” autres que ceux qui figurent dans le dossier Program Files du lecteur sur lequel vous allez installer Data Protector. ✓ Disposer de l'implémentation Microsoft du protocole TCP/IP, lequel doit être en cours d'exécution. Ce protocole doit pouvoir résoudre les noms d'hôte. Les noms de l'ordinateur et de l'hôte doivent être identiques. Reportez-vous à l'Annexe B, “Définition du protocole TCP/ IP sur les systèmes Windows”, page B-3 pour obtenir des informations sur l'installation et la configuration du protocole TCP/ IP. Limites En raison des restrictions de sécurité imposées par le système d'exploitation Windows, le Serveur d'installation peut être utilisé pour installer des clients à distance uniquement dans le même domaine. Recommandation Avant de procéder à l'installation de Data Protector A.05.10, assurez-vous que vous disposez de Microsoft Installer 2.0. Si vous disposez d'une version antérieure de Microsoft Installer, la configuration de Data Protector procédera à sa mise à jour vers la version 2.0. Toutefois, ces changements ne prennent effet qu'après le redémarrage du système. Une fois l'ordinateur redémarré, reprenez l'installation. Chapitre 2 41 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Il est recommandé de mettre Microsoft Installer à niveau vers la version 2.0 avant d'installer Data Protector A.05.10. Consultez le support technique Microsoft pour connaître les conditions préalables de Microsoft Installer 2.0 sur les différents systèmes d'exploitation Windows. IMPORTANT Si vous n'installez pas le Serveur d'installation pour Windows sur votre réseau, vous devrez installer chaque client Windows en local à partir du CD-ROM. REMARQUE Il est impossible d'installer à distance un client Data Protector sur le système Windows après qu'un Serveur d'installation a déjà été installé sur ce système. Pour installer un Serveur d'installation et un (des) composant(s) client sur le même système, vous devez procéder à une installation locale du client. Au cours de la procédure d'installation, sélectionnez tous les composants client de votre choix ainsi que le composant Serveur d'installation. Reportez-vous à la section “Installation de clients Windows”, page 59. Installation en local Procédez comme suit pour installer le Serveur d'installation pour Windows : 1. Insérez le CD-ROM d'installation Windows et exécutez i386\setup.exe. L'assistant d'installation de Data Protector s'affiche. 2. Suivez les instructions de l'assistant et lisez attentivement le contrat de licence. Si vous en acceptez les termes, cliquez sur Suivant pour continuer. 3. Indiquez votre nom et celui de votre société. Cliquez sur Suivant pour continuer. 4. Dans la page Type d'installation, sélectionnez le Serveur d'installation, puis cliquez sur Suivant pour installer le dépôt de logiciel Data Protector. Cliquez sur Suivant. 5. Sélectionnez les composants à installer. 42 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Figure 2-5 Sélection des composants logiciels Les composants Noyau Data Protector et Serveur d'installation sont sélectionnés par défaut. Pour modifier le dossier cible, cliquez sur Changer chemin d'accès. IMPORTANT Vous ne pouvez pas désélectionner le composant Noyau Data Protector car il contient les fichiers nécessaires au fonctionnement de Data Protector. 6. Cliquez sur Suivant. 7. Cliquez sur Installer pour démarrer l'installation des composants sélectionnés. L'installation peut durer plusieurs minutes. Après l'installation, cliquez sur Terminer. Dès que l'installation est terminée, le logiciel est placé par défaut dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\Depot, lequel est partagé de sorte qu'il est possible d'y accéder par le réseau. Chapitre 2 43 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector Etape suivante A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation pour Windows doit être installé sur votre réseau. Vous devez maintenant effectuer les tâches suivantes : 1. Si vous avez configuré un Serveur d'installation indépendant (c'est-à-dire ne figurant pas dans le Gestionnaire de cellule), il faut ajouter (importer) manuellement le système dans la cellule Data Protector. Reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. 2. Installez Serveur d'installation pour UNIX sur HP-UX ou Solaris, si votre environnement de sauvegarde est mixte. Reportez-vous à la section “Installation du Serveur d'installation pour UNIX”, page 36. 3. Distribuez le logiciel aux clients. Reportez-vous à la section “Installation des clients Data Protector”, page 45. 44 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation des clients Data Protector Vous pouvez installer les clients Data Protector à distance, en les distribuant à l'aide du Serveur d'installation ou localement, à partir du CD-ROM d'installation. Une fois que vous avez installé les clients Data Protector et que vous les avez éventuellement importés dans la cellule Data Protector, il est fortement recommandé de protéger les clients contre tout accès non autorisé. Pour plus d'informations sur la sécurité, reportez-vous à la section “Considérations sur la sécurité”, page 177. Pour obtenir la liste des plates-formes et des composants Data Protector pris en charge et connaître l'espace disque requis, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Le tableau 2-1 répertorie Data Protector les systèmes client et contient des références permettant d'accéder à des descriptions détaillées. Tableau 2-1 Installation du système client Data Protector Système client Type d'installation et référence Windows NT/2000/ XP Professionnel/XP 64 bits/ Server 2003 (32 et 64 bits) Installation à distance et en local ; voir la section “Installation de clients Windows”, page 59. Windows 98/Me/XP Edition familiale Installation en local ; voir la section “Installation locale des clients Windows”, page 65. HP-UX Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation de clients HP-UX”, page 66 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. AIX Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation de clients AIX”, page 78 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Chapitre 2 45 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Tableau 2-1 Installation du système client Data Protector Système client Type d'installation et référence Solaris Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation de clients Solaris”, page 71 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Tru64 Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation des clients Tru64”, page 84 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Siemens Sinix Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation de clients Siemens Sinix”, page 81 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. SCO Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation de clients SCO”, page 85 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Linux Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation de clients Linux”, page 89 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Agent DAS Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation de l'Agent de supports DAS pour l'utilisation de la bibliothèque ADIC/GRAU”, page 95 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Agent ACS Installation à distance et en local ; voir les sections “Installation de l'Agent de supports ACS pour l'utilisation de la bibliothèque StorageTek”, page 101 et “Installation locale de clients UNIX”, page 121. 46 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Tableau 2-1 Installation du système client Data Protector Système client Type d'installation et référence Novell NetWare Installation en local ; voir la section “Installation locale de clients Novell NetWare”, page 105. OpenVMS Installation en local ; voir la section “Installation locale de clients OpenVMS”, page 112. MPE/iX Installation en local ; voir la section “Installation de clients MPE/iX”, page 118. Autres clients UNIX Installation en local ; voir la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Intégrations Les intégrations Data Protector sont des composants logiciels vous permettant de sauvegarder des applications de base de données avec Data Protector. Les systèmes exécutant ces applications s'installent de la même manière que tout système client Windows ou UNIX, à condition que le composant logiciel approprié ait été sélectionné (par exemple, le composant Intégration MS Exchange 2000 pour la sauvegarde de la base de données MS Exchange 2000, le composant Intégration Oracle8 pour la sauvegarde de la base de données Oracle8, etc.). Pour connaître les références, reportez-vous au tableau 2-2. Tableau 2-2 Installation d'intégrations Application Référence MS Exchange 5.x Reportez-vous à la section “Installation de clients MS Exchange 5.x”, page 125. MS Exchange 2000 Reportez-vous à la section “Installation de clients MS Exchange 2000”, page 126. SQL 7.0/2000 Reportez-vous à la section “Installation de clients MS SQL 7.0/2000”, page 127. Chapitre 2 47 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Tableau 2-2 Installation d'intégrations Application Référence Sybase Reportez-vous à la section “Installation de clients Sybase”, page 128. Informix Reportez-vous à la section “Installation de clients Informix”, page 129. SAP R/3 Reportez-vous à la section “Installation de clients SAP R/3”, page 130. Oracle Reportez-vous à la section “Installation de clients Oracle8/9”, page 131. IBM DB2 UDB Reportez-vous à la section “Installation de clients DB2”, page 132. NNM Reportez-vous à la section “Installation de clients NNM”, page 133. NDMP Reportez-vous à la section “Installation du composant Intégration NDMP”, page 134. EMC Symmetrix Reportez-vous à la section “Installation du composant Intégration EMC Symmetrix”, page 135. HP StorageWorks XP Reportez-vous à la section “Installation du composant Intégration HP StorageWorks XP”, page 136. HP StorageWorks Virtual Array Reportez-vous à la section “Installation du composant Intégration HP StorageWorks Virtual Array”, page 138. HP StorageWorks Enterprise Virtual Array Reportez-vous à la section “Installation du composant Intégration HP StorageWorks Enterprise Virtual Array”, page 139. HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 Reportez-vous à la section “Installation de l'intégration HP StorageWorks Modular SAN Array 1000”, page 140. 48 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Tableau 2-2 Tableau 2-3 Installation d'intégrations Application Référence MS Volume Shadow Copy Reportez-vous à la section “Installation du composant Intégration MS Volume Shadow Copy”, page 142. Serveur Lotus Domino Reportez-vous à la section “Installation de clients Lotus Domino Server”, page 143. Autres installations Installation Référence Interface utilisateur localisée Reportez-vous à la section “Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector”, page 145. Rapports Web Reportez-vous à la section “Installation des Rapports Web Data Protector”, page 152. MC/ServiceGuard Reportez-vous à la section “Installation de Data Protector sur MC/ServiceGuard”, page 154. Microsoft Cluster Server Reportez-vous à la section “Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server”, page 156. Veritas Cluster Server Reportez-vous à la section “Installation de clients Data Protector sur un cluster Veritas”, page 163. Novell NetWare Cluster Reportez-vous à la section “Installation de clients Data Protector sur un cluster Novell NetWare”, page 164. Chapitre 2 49 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Distribution du logiciel Data Protector aux clients Cette section décrit la procédure de distribution du logiciel Data Protector aux systèmes clients à l'aide du Serveur d'installation (procédure d'installation ou de mise à jour à distance), laquelle s'applique à toutes les plates-formes de système client prenant en charge l'installation à distance. Conditions préalables Pour connaître les conditions préalables et les recommandations d'installation, reportez-vous à la section décrivant la procédure d'installation pour ce client particulier. Les références sont énumérées dans le tableau 2-1, page 45 et le tableau 2-2, page 47. Pour obtenir la liste des plates-formes et des composants Data Protector pris en charge et connaître l'espace disque requis, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. A ce stade de la procédure, le Gestionnaire de cellule et le(s) Serveur(s) d’installation doivent être installés sur votre réseau. REMARQUE Le Serveur d'installation pour Windows doit résider dans un répertoire partagé, de sorte qu'il soit visible sur l'ensemble du réseau. Vous devez installer le logiciel sur les clients à l'aide de l'interface utilisateur Data Protector. L'installation de client sur plusieurs plates-formes est prise en charge. REMARQUE Vous ne pouvez pas distribuer le logiciel aux clients situés dans une autre cellule Data Protector. Toutefois, si vous disposez d'un Serveur d'installation indépendant, vous pouvez l'importer dans plusieurs cellules. Vous pouvez ensuite distribuer le logiciel au sein de différentes cellules à l'aide de l'interface graphique utilisateur connectée à chaque Gestionnaire de cellule à tour de rôle. 50 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Utilisation de l'interface graphique utilisateur de Data Protector Procédure Procédez comme suit pour installer le logiciel Data Protector sur les systèmes clients : 1. Démarrez l'interface graphique utilisateur Data Protector : • Sous Windows : Sélectionnez Démarrer->Programmes->HP OpenView Storage Data Protector-> Gestionnaire Data Protector. • Sur HP-UX ou Solaris : Tapez /opt/omni/bin/xomni sur la ligne de commande. Reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide ou à l'aide en ligne pour plus de détails sur l'interface graphique utilisateur de Data Protector. 2. Dans le Gestionnaire Data Protector, basculez vers le contexte Clients. 3. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Clients, puis sélectionnez Ajouter clients pour lancer l'assistant. Reportez-vous à l'aide en ligne pour obtenir les informations sur chaque page de l'assistant. 4. Sélectionnez la plate-forme (UNIX ou Windows) du système client et le Serveur d'installation. Si vous avez configuré plusieurs Serveurs d’installation, une page d'assistant s'affiche pour vous permettre de sélectionner le Serveur d'installation et la plate-forme du système. 5. Entrez ou sélectionnez le système client à installer comme illustré à la figure 2-6. Chapitre 2 51 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Figure 2-6 Sélection de client(s) 6. Cliquez sur Suivant pour continuer. 7. Sélectionnez les composants Data Protector que vous souhaitez installer sur le(s) client(s) Data Protector. Reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. 52 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Figure 2-7 Sélection des composants 8. Si vous souhaitez changer le compte utilisateur et le répertoire cible par défaut pour les composants que vous allez installer, cliquez sur l'onglet Options. 9. Si vous souhaitez personnaliser séparément les options pour chaque système client, sélectionnez Je souhaite personnaliser cette option pour chaque système client séparément, puis cliquez sur Suivant. 10. Sélectionnez les composants à installer sur chaque système client. Cliquez sur Terminer pour ajouter le client à la cellule. Dès que le logiciel client Data Protector est installé sur un système et que ce dernier est ajouté à la cellule Data Protector, il devient un client Data Protector. Chapitre 2 53 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Afin de pouvoir utiliser l'interface utilisateur Data Protector sur le système client, ajoutez un utilisateur appartenant à ce système à un groupe d'utilisateurs Data Protector adéquat. Pour connaître la procédure à suivre et les droits d'utilisateur disponibles, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide ou à l'aide en ligne. Dépannage Dès que l'installation à distance est terminée, vous pouvez relancer les procédures d'installation qui ont échoué dans l'interface graphique utilisateur en cliquant sur Actions, Redémarrer clients ayant échoué. Si l'installation échoue, reportez-vous au Chapitre 6, “Dépannage de l'installation”, page 311. Composants Data Protector Pour obtenir les toutes dernières informations sur les plates-formes prises en charge, consultez la page d'accueil du site Web HP OpenView à l'adresse http://www.openview.hp.com/products/dataprotector/ specifications/index.asp. Voici une description de chacun des composants Data Protector que vous pouvez sélectionner : Interface utilisateur REMARQUE L'interface utilisateur comprend l'interface graphique utilisateur Data Protector et l'interface de ligne de commande. Ce logiciel est nécessaire pour accéder au Gestionnaire de cellule Data Protector et doit être installé au moins sur le système utilisé pour gérer la cellule. Si vous avez l'intention d'utiliser l'interface utilisateur Data Protector pour effectuer des sauvegardes ou des restaurations sur plusieurs plates-formes, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour connaître les limitations en vigueur. 54 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Interface utilisateur Manager-of-Managers (MoM) L'interface utilisateur Manager-of-Managers (MoM) comprend l'interface graphique utilisateur Data Protector et l'interface de ligne de commande. Ce logiciel est nécessaire pour accéder aux fonctionnalités Manager-of-Managers de Data Protector et pour contrôler l'environnement multicellule. Agent de disque Le composant Agent de disque doit être installé sur les clients disposant de disques qui doivent être sauvegardés avec Data Protector. Agent de supports Le composant Agent de supports doit être installé sur les systèmes auxquels sont reliés des périphériques de sauvegarde et qui seront gérés avec Data Protector. Agent de supports ACS Le composant Agent de supports ACS doit être installé sur les systèmes directement reliés à un lecteur de sauvegarde dans une bibliothèque ACS StorageTek, ainsi que sur les clients contrôlant un robot de bibliothèque ACS StorageTek. Agent de supports DAS Le composant Agent de supports DAS doit être installé sur les systèmes directement reliés à un lecteur de sauvegarde dans une bibliothèque ADIC/GRAU, ainsi que sur les systèmes contrôlant un robot de bibliothèque ADIC/GRAU. Chapitre 2 55 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Récupération automatique après sinistre Le composant Reprise automatique après sinistre doit être installé sur les clients pour lesquels vous souhaitez activer la reprise à l'aide d'une méthode automatique de reprise après sinistre et sur le système sur lequel l'image DR CD ISO pour la reprise avancée après sinistre sera préparée, afin de fournir une préparation automatique en vue de la reprise après sinistre. Intégration SAP R/3 Le composant Intégration SAP R/3 doit être installé sur les clients disposant d'une base de données SAP R/3 qui sera sauvegardée avec Data Protector. Intégration Oracle8 Le composant Intégration Oracle8 doit être installé sur les clients disposant d'une base de données Oracle8/9 qui sera sauvegardée avec Data Protector. Intégration DB2 Le composant Intégration DB2 doit être installé sur tous les clients disposant d'un serveur DB2 qui sera sauvegardé avec Data Protector. Intégration Sybase Le composant Intégration Sybase doit être installé sur les clients disposant d'une base de données Sybase qui doit être sauvegardée avec Data Protector. Intégration Informix Le composant Intégration Informix doit être installé sur les clients disposant d'une base de données Informix qui doit être sauvegardée avec Data Protector. 56 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent EMC Symmetrix Le composant Agent EMC Symmetrix doit être installé sur le système d'application et de sauvegarde pour intégrer EMC Symmetrix dans Data Protector. Agent HP StorageWorks XP Le composant Agent HP StorageWorks XP doit être installé sur le système d'application et de sauvegarde pour intégrer HP StorageWorks XP dans Data Protector. Agent HP StorageWorks VA Le composant Agent HP StorageWorks VA doit être installé sur le système d'application et de sauvegarde pour intégrer HP StorageWorks Virtual Array dans Data Protector. Agent HP StorageWorks EVA Le composant Agent HP StorageWorks EVA doit être installé sur le système d'application et de sauvegarde pour intégrer HP StorageWorks Enterprise Virtual Array dans Data Protector. Agent HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 Le composant Agent HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 doit être installé sur le système d'application et de sauvegarde pour intégrer HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 dans Data Protector. Intégration MS SQL 7.0/2000 Chapitre 2 Le composant Intégration SQL 7.0/ 2000 doit être installé sur les systèmes où une base de données MS SQL 7.0/2000 doit être sauvegardée avec Data Protector. 57 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Intégration MS Exchange 5.x Le composant Intégration MS Exchange 5.x doit être installé sur les clients disposant d'une base de données MS Exchange 5.x qui doit être sauvegardée avec Data Protector. Intégration MS Exchange 2000 Le composant Intégration MS Exchange 2000.x doit être installé sur les clients disposant d'une base de données MS Exchange 2000.x qui doit être sauvegardée avec Data Protector. Intégration de cluster Le composant Intégration de cluster doit être installé sur tous les clients Data Protector compatibles cluster. Intégration NNM Le composant Intégration NNM doit être installé sur tous les clients de la cellule où réside la base de données NNM devant être sauvegardée avec Data Protector. Agent de supports NDMP Le composant Agent de supports NDMP doit être installé sur tous les clients de la cellule sur lesquels l'Agent de supports NDMP sera exécuté, pour intégrer NetApp Filer ou Celerra dans Data Protector. Intégration Lotus Notes Le composant Intégration Lotus Notes doit être installé sur tous les clients de la cellule où réside une base de données Lotus Domino Server devant être sauvegardée avec Data Protector. Intégration MS Volume Shadow Copy Le composant Intégration MS Volume Shadow Copy doit être installé sur les systèmes Windows Server 2003 sur lesquels vous souhaitez exécuter des sauvegardes coordonnées par le service Volume Shadow Copy. 58 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Support de langue français Le composant Support de langue français doit être installé sur les clients sur lesquels vous souhaitez utiliser l'Interface utilisateur de Data Protector localisée en français. Support de langue japonais Le composant Support de langue japonais doit être installé sur les clients sur lesquels vous souhaitez utiliser l'Interface utilisateur de Data Protector localisée en japonais. Vous ne pouvez installer qu'un seul des composants suivants sur le même client : Agent de supports, Agent de supports ACS, Agent de supports DAS ou Agent de supports NDMP. Installation de clients Windows Pour obtenir des informations plus détaillées sur les plates-formes, les processeurs et les composants pris en charge pour un système d'exploitation Windows particulier, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Conditions préalables Pour installer un client Windows, vous devez utiliser le compte Administrateur. Le système Windows qui deviendra votre système client Data Protector doit répondre aux critères suivants : ✓ Etre doté d'une version de Windows prise en charge. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. ✓ Disposer de Microsoft Internet Explorer 5.0 ou supérieur. ✓ Disposer d'un espace disque suffisant pour le logiciel client Data Protector. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. ✓ Disposer du port numéro 5555 (par défaut). ✓ Disposer d'un lecteur de disque dur C: ✓ Ne pas contenir de fichiers ou de dossiers intitulés “Program*” autres que ceux qui figurent dans le dossier Program Files du lecteur sur lequel vous allez installer Data Protector. Chapitre 2 59 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector ✓ Disposer de l'implémentation Microsoft du protocole TCP/IP, lequel doit être installé et en cours d'exécution. Ce protocole doit pouvoir résoudre les noms d'hôte. Les noms de l'ordinateur et de l'hôte doivent être identiques. Reportez-vous à l'Annexe B, “Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows”, page B-3 pour obtenir des informations sur l'installation et la configuration du protocole TCP/IP. Limites En raison des restrictions de sécurité imposées par le système d'exploitation Windows, le Serveur d'installation peut être utilisé pour installer des clients à distance uniquement dans le même domaine. Recommandation Sur chaque client Windows, assurez-vous que vous disposez de Microsoft Installer 2.0 avant d'installer Data Protector A.05.10. Si vous disposez d'une version antérieure de Microsoft Installer, la configuration de Data Protector procédera à sa mise à jour vers la version 2.0. Toutefois, ces changements ne prennent effet qu'après le redémarrage du système. Une fois l'ordinateur redémarré, reprenez l'installation. Il est recommandé de mettre Microsoft Installer à niveau vers la version 2.0 sur chaque client avant d'installer Data Protector A.05.10. Consultez le support technique Microsoft pour connaître les conditions préalables de Microsoft Installer 2.0 sur les différents systèmes d'exploitation Windows. Clients dotés de processeurs 32 bits Installation à distance Vous pouvez installer à distance les clients Windows utilisant un processeur 32 bits dès que le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour Windows sont installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17, pour connaître la procédure d'installation. Vous pouvez distribuer le logiciel client Windows à partir du Serveur d'installation pour Windows à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Notez au préalable les composants à sélectionner lors de la distribution du logiciel Data Protector aux systèmes Windows : Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. 60 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Interface utilisateur Sélectionnez ce composant si vous souhaitez pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Récupération Sélectionnez le composant de récupération automatique après sinistre automatique après pour préparer automatiquement votre système en vue d'une reprise sinistre après sinistre. Il doit être installé sur les clients pour lesquels vous souhaitez activer la reprise à l'aide d'une méthode de reprise automatique après sinistre, ainsi que sur le système sur lequel l'image DR CD ISO de la Reprise avancée après sinistre sera préparée. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. Installation en local Les clients Windows utilisant des processeurs 32 bits peuvent également être installés localement, à partir du répertoire i386 du CD-ROM. L'installation en local s'effectue de la manière suivante : 1. Insérez le CD-ROM et exécutez \i386\setup.exe. 2. Dans la page Type d'installation, sélectionnez Client. 3. Entrez le nom complet du Gestionnaire de cellule. Reportez-vous à la figure 2-8. Chapitre 2 61 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Figure 2-8 Choix du Gestionnaire de cellule 4. Suivez les indications de l'assistant. Sélectionnez les composants Data Protector à installer. Les composants Noyau Data Protector, Agent de disque, Agent de supports, Serveur d'installation, Interface utilisateur et Langues\Anglais sont sélectionnés par défaut. Vous ne pouvez pas désélectionner le composant Noyau Client Data Protector car c'est celui-ci qui permet d'installer les services Data Protector sur votre ordinateur. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Clients dotés de processeurs Itanium Installation à distance Vous pouvez installer à distance les clients sur des systèmes Windows 64 bits installés sur des plates-formes dotées de processeurs Itanium dès que le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour Windows sont installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 pour connaître la procédure d'installation. Pour obtenir des informations plus détaillées sur les plates-formes et les composants pris en charge pour un système d'exploitation Windows particulier, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. 62 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Vous pouvez distribuer le logiciel client à partir du Serveur d'installation pour Windows à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant si vous souhaitez pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. Installation en local Les clients Windows utilisant un processeur Itanium peuvent également être installés localement, à partir du répertoire ia64 du CD-ROM. L'installation en local s'effectue de la manière suivante : 1. Insérez le CD-ROM et exécutez ia64\setup.exe. 2. Dans la page Type d'installation, sélectionnez Client. 3. Entrez le nom complet du Gestionnaire de cellule. 4. Suivez les indications de l'assistant. Le Noyau Data Protector et l'Agent de disque sont sélectionnés par défaut. Ces composants ne peuvent pas être désélectionnés. Clients dotés de processeurs Alpha Sur les ordinateurs dotés de processeurs Alpha, seule l'installation client locale de Data Protector est prise en charge. Pour procéder à cette installation, insérez le CD-ROM et exécutez Alpha\setup.exe. Outre le composant Noyau Client Data Protector obligatoire, lequel installe les services Data Protector sur votre ordinateur, vous pouvez également sélectionner le composant Agent de disque, qui vous permet de sauvegarder les données du système de fichiers avec Data Protector. Chapitre 2 63 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Connexion d'un périphérique de sauvegarde aux systèmes Windows Une fois que vous avez installé le composant Agent de supports, vous pouvez relier un périphérique de sauvegarde au système Windows en procédant comme suit: 1. Recherchez les adresses SCSI disponibles (désignées sous le nom de ID SCSI cibles sous Windows) pour les lecteurs et le périphérique de contrôle (robot) du périphérique de sauvegarde à connecter. Reportez-vous à l’Annexe B, “Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows”, page B-72. 2. Définissez les ID SCSI cibles inutilisés pour les lecteurs et le périphérique de contrôle (robot). En fonction du type de périphérique, vous pouvez généralement effectuer cette opération avec les commutateurs du périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. Pour plus d'informations sur les périphériques pris en charge, reportez-vous également à l'adresse : http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. 3. Eteignez votre ordinateur et connectez le périphérique de sauvegarde au système. 4. Allumez le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. 5. Pour vérifier que le système reconnaît correctement votre nouveau périphérique de sauvegarde, dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin, exécutez la commande devbra -dev. Un périphérique supplémentaire doit alors être répertorié dans le résultat de la commande. Par exemple, la commande devbra -dev peut produire le résultat suivant : • Si le pilote de bandes de votre périphérique est chargé : HP:C1533A tape3:0:4:0 DDS ... 64 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector La première ligne représente la spécification du périphérique, la seconde indique le nom du fichier du périphérique. Le format du chemin d'accès indique qu'un périphérique à bandes HP DDS a le numéro d'instance de lecteur 3 et est connecté au bus SCSI 0, à l'ID SCSI cible 4 et au LUN numéro 0. • Si le pilote de bandes de votre périphérique n'est pas chargé : HP:C1533A scsi1:0:4:0 DDS ... La première ligne représente la spécification du périphérique, la seconde indique le nom du fichier du périphérique. Le format du chemin d'accès indique qu'un périphérique à bandes HP DDS est relié au port SCSI 1 et au bus SCSI 0, et que le lecteur de bande possède l'ID SCSI cible 4 et le numéro de LUN 0. Pour charger ou décharger le pilote de bandes d'origine de votre périphérique, reportez-vous à l'Annexe B, “Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows”, page B-17. Pour plus d'informations sur la création d'un fichier de périphérique, reportez-vous à l'Annexe B, “Création de fichiers de périphérique (adresses SCSI) sous Windows”, page B-21. Etape suivante A ce stade de la procédure, les composants clients doivent être installés et les périphériques de sauvegarde doivent être connectés pour que vous puissiez configurer des périphériques de sauvegarde et des pools de supports. Pour obtenir des informations sur les tâches de configuration, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Installation locale des clients Windows Procédure d'installation Vous devez installer les systèmes Windows 98/Me/XP Edition familiale en local car il n'y a pas de possibilité d'installation à distance à partir du Serveur d'installation pour Windows. Procédez comme suit avec le CD-ROM : 1. Insérez le CD-ROM d'installation Windows et exécutez \i386\setup.exe. Chapitre 2 65 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector 2. Dans la page Type d'installation, cliquez sur Client. Cliquez sur Suivant pour continuer. 3. Suivez les instructions de l'assistant pour terminer l'installation. Sélectionnez les composants Agent de disque et Interface utilisateur de Data Protector. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Dès que l'assistant d'installation a terminé, le logiciel est installé et les services Data Protector sont lancés. Vous devez alors ajouter (importer) manuellement le système client dans la cellule Data Protector. Reportez-vous à la section “Importation de clients dans une cellule”, page 169. Installation de clients HP-UX Reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour obtenir des informations sur les versions de systèmes d'exploitation, plates-formes, processeurs et composants Data Protector pris en charge. Conditions préalables • Pour installer un client HP-UX, vous devez disposer soit d'un accès root, soit d'un compte doté des possibilités root. • A ce stade de la procédure, le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour UNIX doivent être installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 pour connaître la procédure de cette installation. • Pour connaître la configuration système requise, l'espace disque requis, les plates-formes et composants Data Protector pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Installation en local Si aucun Serveur d'installation pour UNIX n'est installé dans votre environnement, vous devez procéder à une installation en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX. Reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121 pour connaître la procédure de cette installation. 66 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation à distance Vous devez installer le logiciel client à partir du Serveur d'installation pour UNIX sur les systèmes clients utilisant l'interface graphique utilisateur Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée pour installer le logiciel à distance, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Vérifiez si les composants que vous avez sélectionnés lors de l'installation du logiciel Data Protector sur le système UNIX sont pris en charge sous HP-UX. Pour obtenir la liste des composants Data Protector pris en charge pour une version de HP-UX particulière, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant si vous souhaitez pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports si le système client est déjà ou doit être connecté à un périphérique de sauvegarde. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Une fois que vous avez installé l'Agent de supports sur le système client, vous devez connecter physiquement le périphérique de sauvegarde au système. Les pilotes de périphérique appropriés au type du périphérique doivent déjà être installés dans le kernel. C'est pourquoi vous devez d'abord vérifier la configuration du kernel. En cas d'installation à distance à l'aide d'un Serveur d'installation, dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. En revanche, dans le cas d'une installation locale, il faut importer manuellement le système cible dans la cellule. Reportez-vous également à la section “Importation de clients dans une cellule”, page 169. Configuration du kernel La procédure suivante explique comment vérifier et déterminer la configuration de votre kernel sur le système HP-UX 11.x à l'aide de l'utilitaire HP System Administration Manager (SAM). Pour connaître la procédure manuelle de création du kernel, reportez-vous à l'Annexe B, “Configuration de robot SCSI sous HP-UX”, page B-27. Chapitre 2 67 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Procédez comme suit pour configurer le kernel à l'aide de l'utilitaire HP System Administration Manager (SAM) : 1. Connectez-vous comme utilisateur root, puis tapez sam. 2. Dans la fenêtre Gestionnaire d'administration système, cliquez deux fois sur Configuration du kernel, puis sur Pilotes. 3. Dans la fenêtre Configuration de kernel, vérifiez les éléments suivants : ✓ Les pilotes des périphériques que vous allez utiliser doivent apparaître dans la liste des pilotes installés. Reportez-vous à la figure 2-9. Si le pilote que vous recherchez n'est pas mentionné, vous devez l'installer à l'aide de l'utilitaire /usr/sbin/swinstall. Par exemple : • Un pilote de périphérique à bandes est requis pour les périphériques à bandes et doit être mentionné si vous souhaitez connecter ce type de périphérique au système. Par exemple, le pilote stape est utilisé pour les bandes SCSI génériques de type DLT ou LTO, alors que le pilote tape2 est réservé aux périphériques DDS. Si vous comptez utiliser un système HP-UX 11.00 auquel sera connecté un périphérique Quantum DLT 4000, nous vous conseillons d'utiliser le pilote tape2 plutôt que stape. • Un pilote de passage SCSI nommé sctl ou spt, ou un pilote de robot de changeur automatique nommé schgr (selon le matériel) est requis pour contrôler le robot des périphériques de bibliothèque de bande. Pour obtenir des informations détaillées, reportez-vous à l'Annexe B, “Configuration de robot SCSI sous HP-UX”, page B-27. 68 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Figure 2-9 Fenêtre de configuration de kernel ✓ L'état d'un pilote affiché dans la colonne Etat actuel doit être réglé sur Dedans. Si la valeur d'état est Dehors, effectuez les opérations suivantes : a. Sélectionnez le pilote dans la liste. Cliquez sur Actions et sélectionnez Ajouter pilote au kernel. L'état est alors réglé sur Dedans dans la colonne Etat en attente. Répétez cette étape pour chaque pilote dont l'Etat actuel est défini sur Dedans. b. Cliquez sur Actions et sélectionnez Créer kernel pour appliquer les modifications, c'est-à-dire créer un kernel en attente dans le kernel en cours. Cette opération nécessite un redémarrage du système. Une fois que tous les pilotes requis sont créés dans le kernel, vous pouvez continuer en reliant un périphérique de sauvegarde à votre système. Chapitre 2 69 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Connexion d'un périphérique de sauvegarde aux systèmes HP-UX 1. Déterminez les adresses SCSI disponibles pour les lecteurs et le périphérique de contrôle (robot). Utilisez la commande système /usr/ sbin/ioscan -f . Pour plus d'informations, reportez-vous à l’Annexe B, “Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX”, page B-36. 2. Définissez l'adresse SCSI sur le périphérique. En fonction du type de périphérique, vous pouvez généralement effectuer cette opération avec les commutateurs du périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. Pour obtenir des informations détaillées sur les périphériques pris en charge, reportez-vous à la page http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. 3. Connectez le périphérique au système, allumez le périphérique, puis l'ordinateur et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. Les fichiers du périphérique sont généralement créés au cours de ce processus. 4. Vérifiez que le système reconnaît bien le nouveau périphérique de sauvegarde. Servez-vous de l'utilitaire ioscan : /usr/sbin/ioscan -fn de manière à pouvoir visualiser la liste des fichiers de chaque périphérique de sauvegarde connecté. Si un fichier de périphérique n'a pas été créé automatiquement durant le processus d'amorçage, vous devez le créer manuellement. Reportez-vous à l’Annexe B, “Création de fichiers de périphérique sous HP-UX”, page B-32. Lorsque vous avez terminé l'installation et connecté correctement les périphériques de sauvegarde au système, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations détaillées sur la configuration de périphériques et de pools de supports, ou sur d'autres opérations de configuration de Data Protector. 70 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation de clients Solaris Conditions préalables • Pour installer un client Solaris, vous devez disposer soit d'un accès root, soit d'un compte doté des possibilités root. • A ce stade de la procédure, le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour UNIX doivent être installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 pour connaître la procédure d'installation. • Pour connaître la configuration système requise, l'espace disque requis, les plates-formes et composants Data Protector pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Les clients Solaris peuvent être installés en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX ou à distance à l'aide du Serveur d'installation pour UNIX. Installation en local Si aucun Serveur d'installation pour UNIX n'est installé dans votre environnement, vous devez procéder à une installation en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX. Reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121 pour connaître la procédure d'installation. Installation à distance Vous pouvez installer un client Solaris en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation pour UNIX sur le système Solaris, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation pour UNIX doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Notez au préalable les composants à sélectionner lors de la distribution du logiciel Data Protector au système Solaris. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Chapitre 2 71 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Interface utilisateur Sélectionnez ce composant si vous souhaitez pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. REMARQUE Si vous installez le composant Interface utilisateur (comprenant l'interface graphique utilisateur et l'interface de ligne de commande), il faut au préalable mettre à jour les variables de votre environnement. Pour plus d'informations, reportez-vous à la section “Configuration des variables d'environnement”, page 28. Si vous installez l'interface utilisateur sur un client Solaris 2.6, seule l'interface de ligne de commande sera installée. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. IMPORTANT Si vous souhaitez installer Data Protector sur des répertoires liés, par exemple : /opt/omni/ -> /<préfixe>/opt/omni/ /etc/opt/omni/ -> /<préfixe>/etc/opt/omni/ /var/opt/omni/ -> /<préfixe>/var/opt/omni/ vous devez créer les liens avant l'installation et vous assurer que les répertoires cible existent. Configuration post-installation Fichiers de configuration Une fois que le composant Agent de supports est installé sur le système client, vous devez vérifier les fichiers de configuration (/kernel/drv/ st.conf) selon le type de périphérique que vous allez utiliser. 72 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector ✓ Pour un périphérique Exabyte (8 mm), aucune modification du fichier /kernel/drv/st.conf n'est requise. ✓ Pour un périphérique HP DAT (4 mm), ajoutez les lignes suivantes au fichier /kernel/drv/st.conf : tape-config-list = "HP HP35470A", "HP DDS 4mm DAT", "HP-data1", "HP HP35480A", "HP DDS-DC 4mm DAT", "HP-data1", "HP C1533A", "HP DDS2 4mm DAT", "HP-data2", "HP C1537A", "HP DDS3 4mm DAT", "HP-data3", "HP C1553A", "HP DDS2 4mm DATloader", "HP-data2", "HP C1557A", "HP DDS3 4mm DATloader", "HP-data3"; HP-data1 = 1,0x34,0,0x8019,3,0x00,0x13,0x03,2; HP-data2 = 1,0x34,0,0x8239,4,0x0,0x13,0x24,0x3,3; HP-data3 = 1,0x34,0,0x8239,4,0x0,0x13,0x24,0x3,3; IMPORTANT Ces entrées HP data sont différentes des entrées par défaut généralement proposées par l'assistance HP. Saisissez ces caractères avec précision ; dans le cas contraire, Data Protector ne pourra pas utiliser votre lecteur. ✓ Pour les périphériques DLT, DLT1, SuperDLT, LTO et STK9840, ajoutez les lignes suivantes au fichier /kernel/drv/st.conf : tape-config-list = "HP Ultrium 1-SCSI", "HP Ultrium 1-SCSI", "LTO-data", "DEC DLT2000", "Digital DLT2000", "DLT2k-data", "Quantum DLT4000","Quantum DLT4000", "DLT4k-data", "QUANTUM DLT7000", "Quantum DLT7000", "DLT7k-data", "QUANTUM DLT8000", "Quantum DLT8000", "DLT8k-data", "HP C9264CB-VS80","HP DLT vs80 DLTloader","HP_data1" "QUANTUM SuperDLT1", "QUANTUM SuperDLT", "SDLT-data", "TANDBERGSuperDLT1", "TANDBERG SuperDLT", "SDLT-data", "STK 9840", "STK 9840", "CLASS_9840"; DLT2k-data DLT4k-data DLT7k-data DLT8k-data HP_data1 = LTO-data SDLT-data CLASS_9840 Chapitre 2 = 1,0x38,0,0x8639,4,0x17,0x18,0x80,0x81,3; = 1,0x38,0,0x8639,4,0x17,0x18,0x80,0x81,3; = 1,0x38,0,0x8639,4,0x82,0x83,0x84,0x85,3; = 1,0x77,0,0x1D639,4,0x84,0x85,0x88,0x89,3; 1,0x3a,0,0x8639,4,0x40,0x86,0x87,0x7f,0; = 1,0x7a,0,0x1d679,4,0x00,0x00,0x00,0x40,3; = 1,0x79,0,0x8639,4,0x90,0x91,0x90,0x91,3; = 1,0x78,0,0x1d679,1,0x00,0; 73 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector ✓ Pour un système de chargement automatique (HP C1553A) HP StorageWorks 12000e (48AL), ajoutez les entrées suivantes en plus des entrées HP data dans le fichier /kernel/drv/st.conf : name="st" class="scsi" target=<ID> lun=0; name="st" class="scsi" target=<ID> lun=1; Remplacez <ID> par l'adresse SCSI du système de chargement automatique et définissez le numéro de l'option sur 5 (le commutateur se trouve au niveau du panneau arrière du périphérique) et le paramètre du commutateur DIP du lecteur sur 11111001 (les commutateurs sont accessibles par le dessous du système de chargement automatique). REMARQUE La bibliothèque HP StorageWorks 12000e ne possède pas d'ID SCSI dédié pour le périphérique sélectionneur, mais les commandes d'accès au lecteur de données et les commandes sélectionneur sont acceptées pour le même ID SCSI. Les commandes d'accès au lecteur de données doivent toutefois être dirigées vers SCSI lun=0 et les commandes sélectionneur doivent être définies sur SCSI lun=1. Pour tous les autres périphériques, consultez le modèle st.conf.templ (situé dans le répertoire /opt/omni/spt) pour connaître les entrées requises dans le fichier st.conf. Il ne s'agit que d'un fichier modèle, qui n'est pas conçu pour remplacer le fichier st.conf. ✓ Pour les périphériques échangeurs SCSI - II sous Solaris utilisant le pilote de passage SCSI, vous devez installer ce pilote en premier, puis le périphérique SCSI. Pour installer le pilote de passage SCSI, procédez comme suit : 1. Copiez le module sst dans le répertoire /usr/kernel/drv/ sparcv9 et le fichier de configuration sst.conf dans le répertoire /usr/kernel/drv : Sur Solaris 32 bits $cp /opt/omni/spt/sst /usr/kernel/drv/sst $cp /opt/omni/spt/sst.conf /usr/kernel/drv/sst.conf 74 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Sur Solaris 64 bits $cp /opt/omni/spt/sst.64bit /usr/kernel/drv/sparcv9 /sst $cp /opt/omni/spt/sst.conf /usr/kernel/drv/sst.conf 2. Ajoutez la ligne suivante au fichier /etc/devlink.tab : IMPORTANT N'insérez pas de caractère [espace] lorsque vous modifiez le fichier /etc/ devlink.tab. Utilisez uniquement des tabulations. “type=ddi_pseudo;name=sst;minor=character rsst\A1” Des devlinks (1M) créent alors un/des lien(s) vers les périphériques dont le nom est de type /dev/rsstX, où X représente le numéro de cible SCSI. 3. Installez le pilote sur le système en entrant la commande suivante : add_drv sst 4. A ce niveau de la procédure, vous êtes prêt à installer le périphérique SCSI. Mais avant l'installation, vous devez attribuer l'adresse SCSI appropriée à chaque lecteur et au robot (sélectionneur) du périphérique échangeur. Les adresses choisies ne doivent être utilisées par aucun autre périphérique du système. Pour vérifier la configuration SCSI, arrêtez le système en tapant la commande suivante : shutdown -i0 et ensuite exécuter la commande probe-scsi-all à l'invite ok pour vérifier les adresses attribuées : ok probe-scsi-all Lorsque vous avez terminé, relancez le système avec : ok boot -r Pour installer le périphérique SCSI, procédez comme suit : a. Editez le fichier /kernel/drv/st.conf pour configurer les paramètres de lecteur du périphérique afin d'utiliser les ports SCSI attribués (reportez-vous à la documentation du périphérique approprié). Chapitre 2 75 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector L'exemple suivant présente l'installation du périphérique ADIC-VLS DLT, le port SCSI 5 étant attribué au lecteur de bande SCSI et le port SCSI 4 étant attribué au périphérique de contrôle (sélectionneur) ADIC SCSI : Exemple tape-config-list =“DEC DLT2000", "ADIC DLTDlib”,"ADIC2000-data"; ADIC2000-data = 1,0x38,0,0x8639,4,0x17,0x18,0x80,0x81,3;name=”st” class= “scsi” target=5 lun=0; name=”st” class= “scsi” target=4 lun=0; Les données de l'exemple ci-dessus doivent se trouver dans le fichier /kernel/drv/st.conf. b. Editez le fichier /usr/kernel/drv/sst.conf pour configurer le périphérique de contrôle ADIC SCSI afin d'utiliser le port SCSI 4 qui lui est attribué. Ajoutez les données suivantes pour le lecteur ADIC au fichier /usr/kernel/drv/sst.conf : name=”sst” class= “scsi” target=4 lun=0; Une fois que vous avez modifié les fichiers /kernel/drv/st.conf et / usr/kernel/drv/sst.conf, vous pouvez relier physiquement le périphérique de sauvegarde au système. Connexion d'un périphérique de sauvegarde à un système Solaris Procédez comme suit pour connecter un périphérique de sauvegarde au système Solaris : 1. Créez un fichier reconfigure : touch /reconfigure 2. Arrêtez le système en entrant la commande $shutdown -i0 et éteignez l'ordinateur, puis connectez physiquement le périphérique au bus SCSI. Vérifiez qu'aucun autre périphérique n'utilise l'adresse SCSI que vous avez sélectionnée. Pour obtenir des informations détaillées sur les périphériques pris en charge, reportez-vous à la page http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. 76 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Data Protector ne reconnaît pas automatiquement les bandes nettoyantes sur un système Solaris. Si ce dernier détecte et insère la bande nettoyante utilisée dans le périphérique StorageWorks 12000e (48AL), le pilote de bandes prend un état non défini et peut vous demander de réamorcer le système. Chargez manuellement une bande nettoyante lorsque Data Protector en fait la demande. 3. Rallumez l'ordinateur et suspendez le processus d'amorçage en appuyant sur la touche Stop-A. Vérifiez que le nouveau périphérique est bien reconnu en entrant la commande probe-scsi-all à l'invite ok : ok > probe-scsi-all puis entrez : ok > go pour continuer. 4. A ce niveau de la procédure, le périphérique doit fonctionner correctement. Les fichiers de périphérique doivent se trouver dans le répertoire /dev/rmt pour les lecteurs, et dans le répertoire /dev pour le périphérique de contrôle (sélectionneur) SCSI. REMARQUE Sur les systèmes Solaris (en particulier dans le cas de Solaris 64 bits), les liens vers le périphérique de contrôle SCSI (sélectionneur) ne sont pas toujours créés automatiquement. Dans ce cas, créez des liens symboliques. Par exemple : ln -s /devices/pci@1f,4000/scsi@3,1/sst@4,1:character /dev/ rsst4 Vous pouvez vérifier le périphérique à l'aide de l'utilitaire uma de Data Protector. Pour vérifier le sélectionneur du périphérique échangeur SCSI à partir de l'exemple précédent (avec le port SCSI 4), entrez : echo “inq”|/opt/omni/lbin/uma -ioctl /dev/rsst4 Chapitre 2 77 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Ce dernier doit s'identifier comme une bibliothèque de périphérique SCSI-2. Vous pouvez vérifier la bibliothèque en la forçant à s'initialiser. La commande est la suivante : echo “init”|/opt/omni/lbin/uma -ioctl /dev/rsst4 Vérifiez que vous utilisez bien des fichiers de périphérique de style Berkeley, dans ce cas /dev/rmt/ohb (et non /dev/rmt/0h) pour le lecteur échangeur, et /dev/rsst4 pour le périphérique de contrôle (sélectionneur) SCSI. Etape suivante Lorsque vous avez terminé l'installation et connecté correctement les périphériques de sauvegarde au client Solaris, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations détaillées sur la configuration de périphériques et de pools de supports, ou sur d'autres opérations de configuration. Installation de clients AIX Data Protector prend en charge les systèmes client s'exécutant sur la plate-forme AIX. Pour plus d'informations sur les versions de la plate-forme AIX qui sont prises en charge, reportez-vous à la page http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. Conditions préalables • A ce stade de la procédure, le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour UNIX doivent être installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 pour connaître la procédure d'installation. • Pour connaître la configuration système requise, l'espace disque requis, ainsi que les plates-formes et composants Data Protector pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. 78 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector IMPORTANT Avant d'installer le composant Agent de disque sur un système AIX, vérifiez que le portmapper est en cours d'exécution. La ligne permettant de lancer le portmapper doit se trouver dans le fichier /etc/rc.tcpip : start /usr/sbin/portmap “$src_running” L'indicateur src_running est défini sur 1 si le démon srcmstr est en cours d'exécution. Ce dernier est le Contrôleur des ressources système (SRC). Il génère et contrôle les sous-systèmes, gère les demandes courtes d'état de sous-système, transfère des demandes à un sous-système et gère des notifications d'erreur. Installation en local Si aucun Serveur d'installation pour UNIX n'est installé dans votre environnement, vous devez procéder à une installation en local à partir du CD-ROM d'installation de Data Protector pour UNIX. Reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121 pour connaître la procédure de cette installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation pour UNIX doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un client AIX en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation pour UNIX sur le système AIX, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Notez au préalable les composants à sélectionner lors de la distribution du logiciel Data Protector au système AIX : Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant si vous souhaitez pouvoir accéder à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Chapitre 2 79 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. Connexion d'un périphérique de sauvegarde à un client AIX Lorsque le composant Agent de supports est installé sur un système client AIX, procédez comme suit : 1. Eteignez l'ordinateur et reliez le périphérique de sauvegarde au bus SCSI. Vérifiez qu'aucun autre périphérique n'utilise la même adresse SCSI que celle qui a été sélectionnée pour le périphérique de sauvegarde à relier. Pour obtenir des informations détaillées sur les périphériques pris en charge, reportez-vous à la page http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. 2. Allumez l'ordinateur et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. Lancez l'outil de gestion smit du système AIX et vérifiez que ce dernier reconnaît bien le nouveau périphérique de sauvegarde. IMPORTANT Utilisez l'outil smit pour donner à la taille de bloc du périphérique la valeur par défaut 0 (taille de bloc variable). 3. Sélectionnez les fichiers de périphérique appropriés dans le répertoire /dev et configurez le périphérique de sauvegarde Data Protector. IMPORTANT Utilisez uniquement des fichiers de périphérique du type sans rembobinage. Par exemple, sélectionnez /dev/rmt0.1 au lieu de /dev/ rmt0. Etape suivante Lorsque vous avez terminé l'installation et connecté correctement les périphériques de sauvegarde au système AIX, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations détaillées sur la configuration de périphériques de sauvegarde, de pools de supports, ou sur d'autres opérations de configuration de Data Protector. 80 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation de clients Siemens Sinix Les clients Siemens Sinix peuvent être installés en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX ou à distance à l'aide du Serveur d'installation pour UNIX. Pour plus d'informations sur les versions de la plate-forme Siemens Sinix qui sont prises en charge, reportez-vous à la page http:// www.openview.hp.com/products/dataprotector/specifications/index.asp. Conditions préalables • A ce stade de la procédure, le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour UNIX doivent être installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 pour connaître la procédure de cette installation. • Pour connaître la configuration système requise, l'espace disque requis, les plates-formes et composants Data Protector pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Installation en local Si aucun Serveur d'installation pour UNIX n'est installé dans votre environnement, vous devez procéder à une installation en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX. Reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121 pour connaître la procédure de cette installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation pour UNIX doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un client Sinix en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation pour UNIX sur le système Sinix, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Notez au préalable les composants à sélectionner lors de la distribution du logiciel Data Protector au système Sinix : Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Chapitre 2 81 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Interface utilisateur Sélectionnez ce composant si vous souhaitez pouvoir accéder à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. Connexion de périphériques de sauvegarde à un système Siemens Sinix Lorsque le composant Agent de supports est installé sur un système client Siemens Sinix, procédez comme suit pour connecter un périphérique de sauvegarde au système : 1. Eteignez votre ordinateur et connectez le périphérique de sauvegarde au bus SCSI. Pour plus d'informations sur les périphériques pris en charge et la documentation qui les accompagne, reportez-vous à la page Web http://www.openview.hp.com/products/dataprotector/specifications/ index.asp. Vérifiez qu'aucun autre périphérique n'utilise la même adresse SCSI que celle que vous avez sélectionnée pour le périphérique de sauvegarde à relier. 2. Rallumez l'ordinateur et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. 3. Sélectionnez le fichier de périphérique approprié dans le répertoire / dev. Vous pouvez obtenir la liste des périphériques avec la commande autoconf -l. Utilisez le périphérique à bandes (ios0/stape006 par exemple) indiqué dans le résultat de cette commande pour connaître le nom du fichier du périphérique spécial qui peut être utilisé par Data Protector (par exemple, /dev/ios0/rstape006nv). 82 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Les fichiers de périphérique spéciaux se trouvent dans le répertoire / dev. Vous devez donc ajouter le chemin d'accès /dev devant le nom du périphérique. Data Protector ne pouvant utiliser qu'un périphérique type caractère, la lettre r est ajoutée devant stape006. Data Protector peut gérer un périphérique à bandes s'il est ouvert comme un périphérique non rembobinable et avec une taille de bloc variable ; vous devez donc ajouter les lettres n et v comme suffixes. Le nom de fichier de périphérique /dev/ios0/rstape006nv est expliqué à la figure 2-10. Figure 2-10 Format de nom de fichier de périphérique : /dev/ios0/rstape pp u n v taille de bloc variable fichier périph. sans rembobinage ID SCSII (0-7) numéro de contrôleur périphérique type caractère #- numéro de bus Etape suivante Lorsque vous avez terminé l'installation et connecté correctement les périphériques de sauvegarde au système client Siemens Sinix, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations détaillées sur la configuration de périphériques de sauvegarde et de pools de supports, ou sur d'autres opérations de configuration. Chapitre 2 83 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation des clients Tru64 Data Protector prend en charge les systèmes client s'exécutant sur la plate-forme Tru64. Pour plus d'informations sur les versions de la plate-forme et des composants Tru64 pris en charge, reportez-vous à la page http:// www.openview.hp.com/products/dataprotector/specifications/index.asp. Conditions préalables • A ce stade de la procédure, le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour UNIX doivent être installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 pour connaître la procédure de cette installation. • Pour connaître la configuration système requise, l'espace disque requis, les plates-formes et composants Data Protector pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Installation en local Si aucun Serveur d'installation pour UNIX n'est installé dans votre environnement, vous devez procéder à une installation en local à partir du CD-ROM d'installation de Data Protector pour UNIX. Reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121 pour connaître la procédure de cette installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation pour UNIX doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un client Tru64 en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation pour UNIX sur le système Tru64, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Notez au préalable les composants à sélectionner lors de la distribution du logiciel Data Protector au système Tru64. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Agent de supports Le composant Agent de supports est nécessaire uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. 84 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. Connexion d'un périphérique de sauvegarde à un client Tru64 Lorsque le composant Agent de supports est installé sur un système client Tru64, procédez comme suit : 1. Eteignez votre ordinateur et connectez le périphérique de sauvegarde au bus SCSI. REMARQUE Il est déconseillé de connecter le périphérique de sauvegarde sur le même bus SCSI que le disque dur. Vérifiez qu'aucun autre périphérique n'utilise la même adresse SCSI que celle que vous avez sélectionnée pour le périphérique de sauvegarde. Pour obtenir des informations détaillées sur les périphériques pris en charge, reportez-vous à la page http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. 2. Allumez l'ordinateur et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. Vérifiez que le système reconnaît bien le nouveau périphérique de sauvegarde Etape suivante Lorsque vous avez terminé l'installation et connecté correctement les périphériques de sauvegarde au système Tru64, reportez-vous aumanuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations détaillées sur la configuration de périphériques de sauvegarde, de pools de supports, ou sur d'autres opérations de configuration de Data Protector. Installation de clients SCO Les clients SCO peuvent être installés en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX ou à distance à l'aide du Serveur d'installation pour UNIX. Chapitre 2 85 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Pour plus d'informations sur les versions de la plate-forme SCO qui sont prises en charge, reportez-vous à la page http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. Notez que l'installation à distance du système UnixWare n'est pas disponible. Conditions préalables • A ce stade de la procédure, le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour UNIX doivent être installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 pour connaître la procédure de cette installation. • Pour connaître la configuration système requise, l'espace disque requis, les plates-formes et composants Data Protector pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Installation en local Si aucun Serveur d'installation pour UNIX n'est installé dans votre environnement, vous devez procéder à une installation en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX. Reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121 pour connaître la procédure de cette installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation pour UNIX doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un client SCO en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation pour UNIX sur le système SCO, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Notez au préalable les composants à sélectionner lors de la distribution du logiciel Data Protector au système SCO. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant si vous souhaitez pouvoir accéder à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. 86 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. Connexion d'un périphérique de sauvegarde au système SCO Lorsque le composant Agent de supports est installé sur le système client SCO, procédez comme suit pour relier un périphérique de sauvegarde au système : 1. Recherchez les adresses SCSI encore disponibles en consultant le fichier /etc/conf/cf.d/mscsi. Les périphériques SCSI actuellement reliés y sont indiqués. Pour plus d'informations sur les périphériques pris en charge et la documentation qui les accompagne, reportez-vous à la page Web http://www.openview.hp.com/products/dataprotector/specifications/ index.asp. 2. Eteignez votre ordinateur et connectez le périphérique de sauvegarde au bus SCSI. 3. Redémarrez votre ordinateur. 4. Configurez le périphérique à l'aide de la commande mkdev tape. Dans la liste des types de lecteurs de bande, sélectionnez le lecteur de bande SCSI-1 / SCSI-2 générique. REMARQUE Notez l'ID d'unité, qui s'affiche lorsque vous exécutez la commande mkdev tape. Vous en aurez besoin pour reconnaître le nom de fichier du périphérique. 5. Après avoir configuré le périphérique et relancé le système, vous pouvez vérifier, dans le fichier /etc/conf/cf.d/mscsi, si le périphérique a été connecté correctement. 6. Sélectionnez le nom de fichier du périphérique approprié dans le répertoire /dev. Chapitre 2 87 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Utilisez le nom nrStp#, dans lequel # représente l'ID D'UNITE du périphérique. L'ID D'UNITE du périphérique est définie à l'étape 4. Le nom de fichier de périphérique /dev/nrStp# est expliqué à la figure 2-11. ATTENTION Utilisez uniquement des fichiers de périphérique du type sans rembobinage avec une taille de bloc variable. Vérifiez cette taille à l'aide de la commande tape -s getblk /dev/nrStp#. La valeur de la taille de bloc variable doit être 0. Si ce n'est pas le cas, utilisez la commande tape -a 0 setblk /dev/nrStp#. Figure 2-11 Format de nom de fichier de périphérique : /dev/ n r Stp # ID D'UNITE de périphérique nom de pilote type de périphérique brut type de périphérique sans rembobinage Etape suivante Lorsque vous avez terminé l'installation et connecté correctement les périphériques de sauvegarde au système SCO, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations détaillées sur la configuration de périphériques de sauvegarde et de pools de supports, ou sur d'autres opérations de configuration. 88 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation de clients Linux Reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes pour obtenir des informations sur les versions de systèmes d'exploitation, plates-formes, processeurs et composants Data Protector pris en charge. Les clients Linux peuvent être installés en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX ou à distance à l'aide du Serveur d'installation pour UNIX. Pour plus d'informations sur les versions de la plate-forme Linux et des composants Data Protector pris en charge, reportez-vous à la page http:// www.openview.hp.com/products/dataprotector/specifications/index.asp. Conditions préalables • A ce stade de la procédure, le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation pour UNIX doivent être installés sur votre réseau. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 pour connaître la procédure de cette installation. • Pour connaître la configuration système requise, l'espace disque requis, les plates-formes et composants Data Protector pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. REMARQUE Data Protector utilise le numéro de port par défaut 5555. Ce numéro de port particulier ne doit donc pas être utilisé par un autre programme. Certaines versions de Linux utilisent ce numéro à d'autres fins. Si ce numéro de port est déjà utilisé, vous devez le rendre disponible pour Data Protector ou remplacer cette valeur par défaut par le numéro d'un port non utilisé. Reportez-vous à l’Annexe B, “Modification du numéro de port par défaut”, page B-13. Installation en local Si aucun Serveur d'installation pour UNIX n'est installé dans votre environnement, vous devez procéder à une installation en local à partir du CD-ROM d'installation HP-UX. Reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121 pour connaître la procédure de cette installation. Chapitre 2 89 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation pour UNIX doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer à distance un système client Linux en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation pour UNIX sur le système Linux, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Vérifiez si les composants que vous avez sélectionnés lors de l'installation du logiciel Data Protector sur le système UNIX sont pris en charge sous HP-UX. Pour obtenir la liste des composants Data Protector pris en charge pour une version de HP-UX particulière, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant si vous souhaitez pouvoir accéder à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Dès que les composants client sont installés, le système cible devient automatiquement un élément de la cellule Data Protector. Dépannage Si un problème survient lors de l'installation à distance sur un système client Linux, vérifiez que le compte root dispose de droits d'accès au système, en utilisant soit le service exec, soit le service shell. Pour effectuer cette opération, procédez comme suit : 1. Editez le fichier /etc/xinetd.conf. Recherchez les définitions des services exec et shell et ajoutez-leur la ligne suivante : server_args = -h 90 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Par exemple : service shell { socket_type = stream protocol = tcp wait = no user = root server = /usr/sbin/in.rshd server_args = -L -h } service exec { socket_type = stream protocol = tcp wait = no user = root server = /usr/sbin/in.rexecd server_args = -h } REMARQUE Dans certaines distributions Linux, ces services sont configurés dans des fichiers distincts situés dans le répertoire /etc/xinetd.d. Dans ce cas, localisez le fichier approprié (/etc/xinetd.d/rexec et /etc/xinetd.d/ rsh) et modifiez-le comme décrit ci-dessus. 2. Arrêtez le processus inetd avec le signal HUP : kill -HUP $(ps ax|grep inet|grep -v grep|cut -c1-6) 3. Créez un fichier ~root/.rhosts avec l'entrée : <mon_serveur_d’installation> root Cette opération permettra l'accès d'administration à partir du Serveur d'installation. Après avoir installé Data Protector, vous pouvez supprimer l'entrée du fichier -root/.rhosts et l'indicateur -h du fichier /etc/xinetd.conf (/ etc/inetd.conf pour RedHat 6.1). Répétez ensuite la commande kill décrite à l'étape 2. Chapitre 2 91 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Pour obtenir plus d'informations, reportez-vous à la page man rexecd(8), rexec(3), rshd(8), rsh(1) ou pam(8). En cas d'échec, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Configuration du kernel Vous trouverez ci-après la procédure à suivre pour vérifier et construire la configuration de votre kernel : 1. Connectez-vous en tant qu'utilisateur root, puis, dans le répertoire / usr/src/linux, exécutez la commande make menuconfig. 2. Sélectionnez Prise en charge SCSI et appuyez sur Entrée. Sélectionnez ensuite les options suivantes : Prise en charge SCSI, Prise en charge de bandes SCSI, Prise en charge générique SCSI et éventuellement Explorer tous les LUNS de chaque périphérique SCSI. Si ces éléments sont déjà inclus dans le kernel, quittez le programme sans enregistrer les modifications. Vous pouvez poursuivre en connectant un périphérique de sauvegarde à votre système. Reportez-vous à la section “Connexion d'un périphérique de sauvegarde au système Linux”, page 93. 3. Si vous effectuez des modifications, enregistrez la configuration et procédez comme suit : a. Exécutez la commande make dep. Cette commande génère l'arborescence des dépendances dans les sources du kernel. Ces dépendances peuvent être affectées par les options que vous avez choisies lors de la configuration du kernel. b. Exécutez la commande make clean pour purger les fichiers restants des créations antérieures du kernel. c. Exécutez la commande make bzImage. Une fois qu'elle est terminée, exécutez make modules. 4. Pour installer le kernel dans le répertoire /boot sur un système Intel, copiez le nouveau fichier bzImage dans le répertoire /boot en procédant comme suit : a. Exécutez la commande suivante : cp /usr/src/linux/arch/i386/boot/bzImage /boot/ newkernel b. Exécutez la commande make modules_install pour installer les modules dans le répertoire /lib/modules. 92 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector c. Modifiez /etc/lilo.conf et ajoutez les informations suivantes : image = /boot/newkernel label = new read-only d. Exécutez la commande /sbin/lilo pour mettre à jour LILO. Au redémarrage suivant, sélectionnez le kernel 'new' dans LILO : cette opération chargera le nouveau kernel. Si tout fonctionne correctement, placez le kernel ‘new’ en première position dans le fichier lilo.conf afin qu'il s'amorce systématiquement par défaut. Pour plus d'informations sur le kernel et la configuration SCSI, reportez-vous au répertoire source du kernel, /usr/src/linux/ Documentation/. Connexion d'un périphérique de sauvegarde au système Linux Lorsque le composant Agent de supports est installé sur le système client Linux, procédez comme suit pour relier un périphérique de sauvegarde au système : 1. Exécutez la commande cat /proc/scsi/scsi pour déterminer les adresses SCSI disponibles pour les lecteurs et le périphérique de contrôle (robot). 2. Définissez l'adresse SCSI sur le périphérique. En fonction du type de périphérique, vous pouvez effectuer cette opération à l'aide des commutateurs du périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. Pour obtenir des informations détaillées sur les périphériques pris en charge, reportez-vous à la page http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. 3. Connectez le périphérique au système, allumez le périphérique, puis l'ordinateur et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. Les fichiers du périphérique sont créés au cours de ce processus (sur RedHat Linux, une application, Kudzu, est lancée lors du processus d'amorçage lorsqu'un nouveau périphérique est connecté au système. Appuyez sur n'importe quelle touche pour lancer l'application, puis cliquez sur le bouton Configurer). Chapitre 2 93 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector 4. Pour vous assurer que le système reconnaît votre nouveau périphérique de sauvegarde, exécutez la commande cat /proc/ scsi/scsi, puis la commande dmesg |grep scsi. Les fichiers du périphérique sont répertoriés pour chaque périphérique de sauvegarde connecté. Exemples En ce qui concerne le robot, la commande dmesg |grep scsi produit le résultat suivant : Detected scsi generic sg2 at scsi2, channel 0, id 4, lun 0, type 8 En ce qui concerne les lecteurs, cette commande produit le résultat suivant : Detected scsi tape st0 at scsi2, channel 0, id 5, lun 0 5. Les fichiers du périphérique sont créés dans le répertoire /dev. Pour vous assurer que les liens vers les fichiers du périphérique ont été créés, exécutez la commande : ll /dev | grep <fichier_périphérique> Par exemple : ll /dev | grep sg2 Le résultat de cette commande est le suivant : lrwxrwxrwx 1 root root 3 Nov 27 2001 sg2 -> sgc où /dev/sg2 est un lien vers le fichier de périphérique /dev/sgc. Cela signifie que les fichiers de périphérique à utiliser par Data Protector sont /dev/sgc pour le robot et /dev/st0 pour le lecteur. Les fichiers de périphérique destinés au robot sont sga, sgb, sgc,… sgh ; ceux qui sont destinés aux lecteurs sontst0, st1 , ... st7. Etape suivante Lorsque vous avez terminé l'installation et connecté correctement les périphériques de sauvegarde au système Linux, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations détaillées sur la configuration de périphériques de sauvegarde et de pools de supports, ou sur d'autres opérations de configuration. 94 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation de l'Agent de supports DAS pour l'utilisation de la bibliothèque ADIC/GRAU Data Protector propose une stratégie de bibliothèque ADIC/GRAU dédiée, utilisée pour configurer ce type de bibliothèque. Vous devez installer le composant Agent de supports DAS de Data Protector sur tous les systèmes qui vont être reliés physiquement à un lecteur de la bibliothèque ADIC/GRAU et, dans le cas d'une configuration multihôte, sur les systèmes contrôlant le robot de cette bibliothèque. Notez qu'une configuration multihôte est une configuration où bibliothèque et lecteur ne sont pas reliés au même ordinateur. Pour connaître les systèmes d'exploitation et les plates-formes pris en charge pour l'Agent de supports DAS, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. REMARQUE Vous devez disposer de licences spéciales, qui sont fonction du nombre de lecteurs et d'emplacements utilisés dans la bibliothèque ADIC/GRAU. Pour plus d'informations, reportez-vous au Chapitre 5, “Attribution de licences Data Protector”, page 295. L'Agent DAS contenant les fonctions standard d'Agent de supports, ce dernier ne doit pas être installé en plus d'un Agent DAS existant. Connexion de lecteurs de bibliothèque Connectez physiquement les lecteurs de bibliothèque aux systèmes sur lesquels vous allez installer le logiciel Agent de supports DAS. Pour plus d'informations sur les bibliothèques ADIC/GRAU prises en charge, reportez-vous à la page Web http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp Reportez-vous à la section “Installation de clients HP-UX”, page 66 pour savoir comment relier physiquement un périphérique de sauvegarde à un système UNIX. Reportez-vous à la section “Installation de clients Windows”, page 59 pour savoir comment connecter physiquement un périphérique de sauvegarde à un système Windows pris en charge. Préparation de l'installation La procédure suivante concerne la configuration d'une bibliothèque ADIC/GRAU. Vous devez suivre cette procédure avant d'installer le logiciel Agent de supports DAS : Chapitre 2 95 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector • Avant de configurer un périphérique de sauvegarde Data Protector ADIC/GRAU, vous devez créer/mettre à jour le fichier C:\DAS\ETC\CONFIG sur l'ordinateur serveur DAS. Une liste de tous les clients DAS doit être définie dans ce fichier. Pour Data Protector, cela signifie que tous ses clients sur lesquels est installé l'Agent de supports DAS doivent être définis. Chaque client DAS est identifié avec un nom de client unique (sans espace), par exemple DP_C1. Dans cet exemple, le contenu du fichier C:\DAS\ETC\CONFIG doit ressembler à ceci : client client_name = DP_C1, # hostname = AMU,"client1" ip_address = 19.18.17.15, requests = complete, options = (avc,dismount), volumes = ((ALL)), drives = ((ALL)), inserts = ((ALL)), ejects = ((ALL)), scratchpools = ((ALL)) Ces noms doivent être configurés sur chaque client Agent de supports DAS de Data Protector comme la variable DAS_CLIENT de omnirc. Le fichier omnirc est soit le fichier <répertoire_Data_Protector>\omnirc (sous Windows), soit le fichier /opt/omni.omnirc (sous UNIX). Par exemple, sur le système possédant une adresse IP 19.18.17.15, la ligne correspondante du fichier omnirc est DAS_CLIENT=DP_C1. • Vous devez savoir comment votre stratégie d'allocation d'emplacement de bibliothèque ADIC/GRAU a été configurée : de manière statique ou dynamique. Reportez-vous au document AMU Reference Manual pour savoir comment vérifier le type de stratégie d'allocation que vous utilisez. Dans le cadre de la stratégie statique, un emplacement est déterminé pour chaque volser, alors que dans le cadre de la stratégie dynamique, les emplacements sont attribués de manière aléatoire. Vous devez configurer Data Protector en fonction de la stratégie qui a été définie. 96 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector S'il s'agit d'une stratégie d'allocation statique, vous devez ajouter la variable omnirc suivante au système contrôlant le robot de la bibliothèque : OB2_ACIEJECTTOTAL = 0 REMARQUE Cette opération s'applique aux systèmes HP-UX et Windows 2000/XP/ Server 2003. Si vous avez d'autres questions sur la configuration de votre bibliothèque ADIC/GRAU, contactez votre support ADIC/GRAU local ou consultez la documentation ADIC/GRAU. Conditions préalables Les conditions préalables à l'installation de l'Agent de supports DAS sur un système sont les suivants : ✓ La bibliothèque ADIC/GRAU doit être configurée et fonctionner. Consultez la documentation fournie avec la bibliothèque ADIC/GRAU pour en savoir plus à ce sujet. ✓ Data Protector doit être installé et configuré. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17 de ce chapitre. ✓ Le serveur DAS doit être en cours d'exécution et les clients DAS doivent être configurés correctement. Le logiciel DAS est requis pour contrôler la bibliothèque ADIC/ GRAU. Il est constitué d'un serveur DAS et de plusieurs clients DAS. Chaque action relative aux supports et aux périphériques lancée par Data Protector est d'abord transférée du client DAS au serveur DAS. Elle est ensuite transmise au module interne (AMU - Unité de gestion de l'AML) de la bibliothèque ADIC/GRAU qui contrôle le robot et déplace ou charge les supports. Lorsqu'une action est terminée, le serveur DAS répond au client DAS. Consultez la documentation fournie avec la bibliothèque ADIC/GRAU pour en savoir plus à ce sujet. ✓ Vous devez obtenir les informations suivantes avant d'installer l'Agent de supports DAS : • Le nom d'hôte du serveur DAS (application exécutée sur l'hôte OS/2). Chapitre 2 97 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector • La liste des lecteurs disponibles et de leurs noms DAS correspondants. Si vous avez défini les clients DAS pour votre système ADIC/ GRAU, vous pouvez obtenir cette liste avec les commandes dasadmin suivantes : dasadmin listd2 [client] dasadmin listd [client] où [client] représente le client DAS pour lequel les lecteurs réservés doivent être affichés. Vous pouvez appeler la commande dasadmin depuis le répertoire C:\DAS\BIN sur l'hôte OS/2 ou, dans le cas d'une installation sur d'autres systèmes, depuis le répertoire dans lequel le client DAS a été installé. Sur un système client UNIX, ce répertoire est généralement le répertoire système /usr/local/aci/bin. • La liste des zones d'insertion/éjection disponibles avec les spécifications de format correspondantes. Vous pouvez obtenir la liste de ces zones dans la configuration graphique de l'AMS (Logiciel de gestion de l'AML) d'un hôte OS/2 : 1. Lancez cette configuration à partir du menu Admin -> Configuration. 2. Ouvrez la fenêtre Configuration-EIF en cliquant deux fois sur l'icône de l'unité d'E/S, puis cliquez sur le champ Plages logiques. Les zones d'insertion/éjection disponibles sont énumérées dans la zone de texte. 98 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Un périphérique de bibliothèque Data Protector ne peut gérer qu'un seul type de support. Il est important de se rappeler quel type de support appartient à chacune des zones d'insertion et d'éjection spécifiées, car vous aurez par la suite besoin de ces données pour configurer les zones d'insertion/éjection de la bibliothèque Data Protector. • Une liste de fichiers de périphérique UNIX pour les lecteurs, si vous souhaitez installer l'Agent de supports DAS sur un système UNIX. Exécutez la commande système ioscan -fn sur votre système pour afficher les informations requises. Pour obtenir plus d'informations sur les fichiers de périphérique UNIX, reportez-vous à la section “Connexion d'un périphérique de sauvegarde aux systèmes HP-UX”, page 70. • Une liste d'adresses SCSI pour les lecteurs, si vous souhaitez installer l'Agent de supports DAS sur un système Windows. Par exemple, scsi4:0:1:0. Pour obtenir plus d'informations sur les adresses SCSI, reportez-vous à la section “Connexion d'un périphérique de sauvegarde aux systèmes Windows”, page 64. Installation à distance La procédure d'installation est la suivante : 1. Distribuez le composant Agent de supports DAS aux clients à l'aide de l'interface graphique utilisateur Data Protector et du Serveur d'installation. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50 de ce chapitre. 2. Installez la bibliothèque ADIC/GRAU : • Sous Windows, procédez comme suit : a. Copiez les bibliothèques aci.dll, winrpc32.dll et ezrpc32.dll dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin. (ces trois bibliothèques font partie du logiciel client DAS livré avec la bibliothèque ADIC/GRAU ; vous pouvez les trouver sur le support d'installation ou dans le répertoire C:\DAS\AMU\ de l'AMU-PC). Chapitre 2 99 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector b. Copiez également ces trois fichiers dans le répertoire <%SystemRoot%>\system32. c. Copiez Portinst et le service Portmapper dans le client DAS (ces éléments font partie du logiciel client DAS livré avec la bibliothèque ADIC/GRAU ; vous les trouverez sur le support d'installation). d. Dans le Panneau de configuration, allez dans Services (Windows NT) ou Outils d'administration, Services (autres versions de Windows) et lancez portinst pour installer portmapper. Vous devez relancer le client DAS pour exécuter le service portmapper. e. Après avoir redémarré le système, assurez-vous que portmapper et les deux services rpc sont en cours d'exécution (dans le Panneau de configuration, allez dans Services (Windows NT) ou Outils d'administration, Services (autres versions de Windows) et vérifiez l'état de ces services). • Sur un système HP-UX, copiez la bibliothèque partagée libaci.sl dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>/ lib. Vous devez avoir les autorisations nécessaires pour accéder à ce répertoire. Vérifiez que la bibliothèque partagée dispose bien des autorisations de lecture et d'exécution pour tout le monde (root, groupe et autre). La bibliothèque partagée libaci.sl fait partie du logiciel client DAS livré avec la bibliothèque ADIC/ GRAU ; vous la trouverez sur le support d'installation. • Sur un système AIX, copiez la bibliothèque partagée libaci.o dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>/lib. Vous devez avoir les autorisations nécessaires pour accéder à ce répertoire. Vérifiez que la bibliothèque partagée dispose bien des autorisations de lecture et d'exécution pour tout le monde (root, groupe et autre). La bibliothèque partagée libaci.o fait partie du logiciel client DAS livré avec la bibliothèque ADIC/GRAU ; vous la trouverez sur le support d'installation. A ce stade de la procédure, votre matériel doit être relié et le logiciel DAS doit être installé correctement. 100 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Exécutez la commande suivante pour savoir si les lecteurs de bibliothèque sont reliés correctement à votre ordinateur : • Sous Windows : <répertoire_Data_Protector>\bin\devbra -dev • Sous HP-UX : <répertoire_Data_Protector>/lbin/devbra -dev • Sous AIX : lsdev -C Vous devez voir dans la liste les lecteurs de bibliothèque et leurs fichiers de périphérique correspondants. Etape suivante Lorsque l'Agent de supports DAS est installé et la bibliothèque ADIC/ GRAU connectée physiquement au système, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations sur des opérations de configuration supplémentaires, telles que la configuration de périphériques de sauvegarde et de pools de supports. Installation de l'Agent de supports ACS pour l'utilisation de la bibliothèque StorageTek Data Protector propose une stratégie de bibliothèque ACS StorageTek dédiée, utilisée pour configurer une bibliothèque ACS StorageTek en tant que périphérique de sauvegarde Data Protector. Vous devez installer l'Agent de supports ACS Data Protector sur chaque système qui sera connecté physiquement à un lecteur dans la bibliothèque StorageTek. De même, dans le cas de configurations multihôtes, vous devez installer l'Agent ACS Data Protector sur les systèmes qui commandent le robot de bibliothèque StorageTek. Notez que la configuration multihôte est une configuration où bibliothèque et lecteur ne sont pas reliés au même ordinateur. Le composant Agent de supports ACS comprend les fonctions standard de l'Agent de supports Data Protector ; il ne doit donc pas être installé par-dessus un logiciel ACS existant. Chapitre 2 101 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Vous devez disposer de licences spéciales, qui sont fonction du nombre de lecteurs et d'emplacements utilisés dans la bibliothèque StorageTek. Pour plus d'informations, reportez-vous au Chapitre 5, “Attribution de licences Data Protector”, page 295. Connexion de lecteurs de bibliothèque Reliez physiquement les lecteurs de bibliothèque aux systèmes sur lesquels vous allez installer le logiciel Agent de supports ACS. Pour plus d'informations sur les bibliothèques STK prises en charge, reportez-vous à la page Web http://www.openview.hp.com/products/ dataprotector/specifications/index.asp/. Reportez-vous à la section “Installation de clients HP-UX”, page 66 pour savoir comment connecter physiquement un périphérique de sauvegarde au système. Consultez également la documentation fournie avec la bibliothèque StorageTek. Reportez-vous à la section “Installation de clients Windows”, page 59 pour savoir comment connecter physiquement un périphérique de sauvegarde à un système Windows pris en charge. Consultez également la documentation fournie avec la bibliothèque StorageTek. Conditions préalables Les conditions préalables requises pour l'installation de l'Agent de supports ACS sont les suivantes : ✓ La bibliothèque StorageTek doit être configurée et en cours d'exécution. Consultez la documentation fournie avec cette bibliothèque. ✓ Data Protector doit être installé et configuré. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. ✓ Vous devez obtenir les informations suivantes avant de commencer à installer le logiciel Agent de supports ACS : • Le <nom_hôte> sur lequel ACSLS est en cours d'exécution. • Une liste d'ID de lecteurs ACS que vous souhaitez utiliser avec Data Protector. Pour afficher cette liste, connectez-vous à l'hôte où ACSLS est en cours d'exécution, puis exécutez la commande suivante : rlogin “ACSLS hostname” -l acssa 102 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Vous devrez entrer le type du terminal et attendre l'invite de commande. A l'invite ACSSA, entrez la commande suivante : ACSSA> query drive all La spécification de format d'un lecteur ACS doit être la suivante : ACS DRIVE: ID:#,#,#,# - (ACS num, LSM num, PANEL, DRIVE) • Vérifiez que les lecteurs qui vont être utilisés pour Data Protector sont bien à l'état en ligne. Si un lecteur n'est pas en ligne, changez l'état à l'aide de la commande suivante sur l'hôte ACSLS : vary drive <id_lecteur> online • Une liste d'ID DE CAP ACS disponibles avec leur spécification de format. Pour afficher cette liste, connectez-vous à l'hôte où ACSLS est en cours d'exécution, puis exécutez la commande suivante : rlogin “ACSLS hostname” -l acssa Vous devrez entrer le type du terminal et attendre l'invite de commande. A l'invite ACSSA, entrez la commande suivante : ACSSA> query cap all La spécification de format de CAP ACS doit être la suivante : ACS CAP: ID:#,#,# - (ACS num, LSM num, CAP num) • Vérifiez que les CAP qui seront utilisés pour Data Protector sont à l'état en ligne et en mode de fonctionnement manuel. Si un CAP n'est pas en ligne, changez l'état à l'aide de la commande suivante : vary cap <id_cap> online Si un CAP n'est pas en mode de fonctionnement manuel, changez le mode à l'aide de la commande suivante : set cap manual <id_cap> • Une liste de fichiers de périphérique UNIX pour les lecteurs, si vous souhaitez installer l'Agent de supports ACS sur un système UNIX. Exécutez la commande système ioscan -fn sur votre système pour afficher les informations requises. Chapitre 2 103 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Pour obtenir plus d'informations sur les fichiers de périphérique UNIX, reportez-vous à la section “Connexion d'un périphérique de sauvegarde aux systèmes HP-UX”, page 70. • Une liste d'adresses SCSI pour les lecteurs, si vous souhaitez installer l'Agent de supports ACS sur un système Windows. Par exemple, scsi4:0:1:0. Pour obtenir plus d'informations sur les adresses SCSI, reportez-vous à la section “Connexion d'un périphérique de sauvegarde aux systèmes Windows”, page 64. Installation à distance La procédure d'installation est la suivante : 1. Distribuez le composant Agent de supports ACS aux clients à l'aide de l'interface graphique utilisateur Data Protector et du Serveur d'installation pour UNIX. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50 de ce chapitre. 2. Lancez le démon ssiACS : • Sur des clients ACS UNIX, exécutez la commande suivante : <répertoire_Data_Protector>/acs/ssi.sh start <nom_hôte_ACS_LS> • Sur des clients ACS Windows, installez le service LibAttach. Pour plus de détails à ce sujet, reportez-vous à la documentation ACS. Vérifiez que le nom d'hôte d'ACSLS approprié est entré pendant la configuration du service LibAttach. Au terme d'une configuration réussie, les services LibAttach sont lancés automatiquement. Ils seront également lancés automatiquement après chaque réamorçage. REMARQUE Après avoir installé le service LibAttach, vérifiez si le répertoire libattach\bin a été ajouté automatiquement au chemin d'accès du système. Si ce n'est pas le cas, ajoutez-le manuellement. Pour plus d'informations sur le service LibAttach, consultez la documentation fournie avec la bibliothèque StorageTek. 3. Exécutez la commande suivante pour vérifier si les lecteurs de bibliothèque sont reliés correctement à votre ordinateur : 104 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector • Sur un client ACS UNIX : /opt/omni/lbin/devbra -dev • Sur un client ACS Windows : <répertoire_Data_Protector>\bin\devbra -dev Vous devez voir apparaître dans la liste les lecteurs de bibliothèque et leurs fichiers de périphérique/adresses SCSI correspondant(e)s. Etape suivante Lorsque l'Agent de supports ACS est installé et la bibliothèque StorageTek connectée physiquement au système, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations sur des opérations de configuration supplémentaires, telles que la configuration de périphériques de sauvegarde et de pools de supports. Installation locale de clients Novell NetWare Vous devez effectuer l'installation du système client Novell NetWare à partir d'un système Windows pris en charge et connecté au réseau Novell. Vous pouvez installer l'Agent de disque et l'Agent de supports Data Protector sur les systèmes exécutant Novell NetWare version 4.x ou ultérieure. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Pour plus d'informations sur les périphériques ou les versions de la plate-forme Novell NetWare pris en charge, reportez-vous à la page Web http://www.openview.hp.com/products/dataprotector/specifications/ index.asp. Pour obtenir un descriptif des problèmes connus et de leur solution, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Conditions préalables Avant d'installer Data Protector sur la plate-forme Novell Netware, vérifiez les éléments suivants : ✓ Le protocole de transport TCP/IP doit être installé et en état de fonctionnement. ✓ Déterminez la variable TIMEZONE sur votre serveur Novell NetWare : • Sur un système NetWare 4.x, 5.x ou 6.x, la variable TIMEZONE est définie automatiquement pendant le processus d'installation de NetWare. Il n'est pas nécessaire de recharger CLIB.NLM. Chapitre 2 105 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Reportez-vous au document Supervising the Network pour en savoir plus sur la commande SET TIMEZONE. ✓ Assurez-vous que l'un des services suivants est en cours d'exécution sur le système Windows : • Service passerelle pour Novell NetWare. Ce service doit s'exécuter sur Windows lorsqu'une installation est exécutée à partir du serveur Windows. • Client Novell pour Windows ou service client Microsoft pour NetWare. Ce service doit s'exécuter sur Windows lorsqu'une installation est exécutée à partir de la station de travail Windows. ✓ Connectez-vous au serveur NetWare cible (ou à l'arborescence NDS appropriée) à partir du système Windows. ✓ Vérifiez que vous disposez bien des droits de superviseur pour le SYS : volume sur le serveur NetWare cible. ✓ Assurez-vous qu'au moins un nom de périphérique local est libre sur le système Windows. Installation La procédure d'installation peut s'effectuer à partir du CD-ROM Windows de Data Protector. Notez que l'installation de Novell NetWare ne fait pas partie des fonctionnalités du Serveur d'installation. Procédez comme suit pour installer Data Protector sur le serveur Novell NetWare : 1. Exécutez une invite de commande sur votre système Windows et modifiez le chemin d'accès en cours en choisissant le répertoire racine du CD-ROM. 2. Exécutez le script d'installation. Pour installer le client Novell NetWare Data Protector, modifiez le chemin d'accès au répertoire NetWare et tapez : NWInstall <nom_serveur_cible> <version NetWare> <ALL|DA|MA> <numéro_port> Le second paramètre est la version du serveur cible Novell NetWare. Le troisième paramètre permet de déterminer la partie du client Novell de Data Protector qui va être installée : 106 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector • Tapez ALL pour installer l'intégralité des fonctionnalités du client Novell NetWare Data Protector. • Tapez DA pour installer l'Agent de disque Data Protector pour Novell NetWare uniquement. • Tapez MA pour installer l'Agent de supports Data Protector pour Novell NetWare uniquement. REMARQUE Pour l'installation de Data Protector sur chaque version de Novell NetWare, le numéro de port est facultatif. Si vous ne le spécifiez pas, le numéro de port par défaut qui sera utilisé est 5555. Une vérification est maintenant effectuée pour déterminer si les fichiers Data Protector sont déjà sur le serveur cible. Si c'est le cas, l'installation précédente de Data Protector sera déplacée vers le répertoire SYS:\usr\Omni.old. En fonction de la version de client NetWare installée, vérifiez si OMNIINET.NLM, HPINET.NLM ou HPBRAND.NLM est en cours d'exécution sur le serveur. Si l'un de ces programmes est en cours d'exécution, déchargez-le en tapant la commande suivante au niveau de la console Novell NetWare : UNLOAD HPINET (UNLOAD OMNIINET / UNLOAD HPBRAND) L'installation crée automatiquement une structure de répertoires Data Protector et copie tous les fichiers Data Protector sur le serveur cible. 3. Une fois les fichiers copiés, vous pouvez charger HPINET.NLM. Avant de continuer, assurez-vous que les modules suivants sont chargés sur votre système: • NETDB.NLM, FPSM.NLM, TSA410.NLM, TSANDS.NLM et CLIBAUX.NLM sur Novell NetWare 4.x • NETDB.NLM, TSAxx0.NLM (TSA0.NLM, TSA510.NLM, TSA600.NLM), and TSANDS.NLM sur Novell NetWare 5.x et 6.x Vous permettez ainsi au chargeur de résoudre les symboles publics tout en essayant de charger HPINET.NLM. Chapitre 2 107 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Si vous avez configuré Novell NetWare Cluster Services sur votre système NetWare 6.0, vérifiez que vous avez chargé le module NCSSDK.NLM. 4. Pour charger HPINET.NLM, tapez la commande suivante sur la console Novell NetWare : SEARCH ADD SYS:USR\OMNI\BIN LOAD HPINET.NLM REMARQUE Si vous n'utilisez pas le port par défaut 5555, spécifiez le numéro de port en ajoutant l'option -port <numéro_port> à la commande LOAD. Par exemple : LOAD HPINET.NLM -port <numéro_port> Pour activer la reconnaissance automatique du Gestionnaire de cellule Data Protector par le serveur Novell NetWare, l'installation ajoutera automatiquement les commandes de la console au fichier AUTOEXEC.NCF, afin que le fichier HPINET.NLM soit toujours chargé et prêt à se connecter au Gestionnaire de cellule Data Protector. REMARQUE Vérifiez le fichier AUTOEXEC.NCF une fois l'installation terminée. Si les commandes console nécessaires n'ont pas été ajoutées à ce fichier durant l'installation, vous devez les ajouter manuellement. Pour permettre la sauvegarde et la restauration de la base de données NDS, suivez les étapes ci-dessous : 1. Définissez le compte d'utilisateur à utiliser lors de la sauvegarde ou de la restauration des NDS. 2. A partir de la console Novell NetWare, chargez le module HPLOGIN.NLM : LOAD HPLOGIN.NLM 3. Fournissez les informations utilisateur suivantes au fichier OB2LOGIN.NLM pour réussir la connexion à la base de données NDS : 108 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector • Contexte NDS : Ce contexte décrit le conteneur où résident les objets utilisateur. La syntaxe du nom de ce conteneur doit être une syntaxe de nom unique. Par exemple : OU=SDM.0=HSL • Nom d'objet NDS : Il s'agit du nom commun de l'objet utilisateur qui sera utilisé comme utilisateur NDS valide pour la connexion à la base de données NDS lorsque l'Agent de disque Data Protector effectue une sauvegarde ou une restauration des NDS. L'utilisateur sélectionné doit se trouver dans le contexte appliqué précédemment. Par exemple : CN=MarcJ si le nom unique de l'utilisateur sélectionné a pour syntaxe .CN=MarcJ.OU=SDM.O=HSL. • Mot de passe d'objet NDS : Il s'agit d'un mot de passe utilisateur valide utilisé avec le nom d'utilisateur pour la connexion à la base de données NDS lorsqu'une sauvegarde ou une restauration de cette dernière est lancée. Les informations utilisateur saisies dans le module HPLOGIN sont encodées et stockées dans le répertoire SYS:SYSTEM. Il est également utilisé en association avec les modules Novell NetWare SMS qui doivent être chargés et qui doivent fonctionner. REMARQUE Le compte utilisateur sélectionné dans le module HPLOGIN doit disposer des droits d'exécution de sauvegarde et de restauration de la base de données NDS. Si certaines modifications sont apportées à l'objet NDS utilisé (déplacement vers un autre conteneur, suppression, attribution d'un nouveau nom, changement de mot de passe), les informations encodées dans le répertoire SYS:SYSTEM doivent être mises à jour dans le module HPLOGIN. Chapitre 2 109 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector 4. Pour sauvegarder et restaurer les Services d'annuaire NetWare(NDS) avec les services de gestion des supports Novell NetWare(SMS), les modules SMDR.NLM et TSANDS.NLM doivent être chargés sur au moins un serveur de l'arborescence NDS. Vous pouvez télécharger les dernières versions de TSANDS.NLM et SMDR.NLM à partir du Web à l'adresse : http://support.novell.com/search/ff_index.htm La ligne LOAD TSANDS.NLM est ajoutée automatiquement au fichier AUTOEXEC.NCF, ce qui permet au serveur Novell NetWare de reconnaître immédiatement TSANDS.NLM. Le module Novell NetWare SMS SMDR.NLM est chargé dès que TSANDS.NLM est chargé. REMARQUE Si, au cours de l'installation, les commandes console n'ont pas été ajoutées au fichier AUTOEXEC.NCF, vous devez les ajouter manuellement. CONSEIL Pour réduire au minimum le trafic réseau pendant le processus de sauvegarde, chargez les modules sur le serveur contenant une réplique de la plus grande partition NDS. Vous avez maintenant terminé les opérations nécessaires à la sauvegarde et la restauration des NDS. Pour obtenir des instructions sur les opérations de configuration supplémentaires, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Configuration de l'Agent de supports A ce stade de la procédure, tous les composants Data Protector sont déjà installés. Toutefois, si vous avez sélectionné ALL ou le paramètre MA au début de la procédure d'installation, vous devez effectuer quelques opérations de configuration supplémentaires pour permettre à l'Agent de supports de Data Protector d'utiliser les périphériques de sauvegarde connectés au serveur Novell NetWare. Data Protector prend en charge le contrôleur de carte hôte Adaptec SCSI et les pilotes ASPI, également nommés Gestionnaires ASPI. L'Agent de supports de Data Protector peut accéder à la carte hôte SCSI souhaitée via l'interface ASPI. Vous devez donc installer le pilote Adaptec ASPI et le composant couche de transport ASPI correspondant. 110 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector IMPORTANT Sur Novell NetWare 5.x et 6.x, seule la nouvelle architecture de pilotes NWPA est prise en charge. Vous devez donc installer le pilote Adaptec ASPI avec le suffixe .HAM et le composant couche de transport ASPI correspondant NWASPI.CDM. En revanche, sur Novell NetWare 4.x, Data Protector prend également en charge l'ancienne architecture de pilotes. Si la nouvelle architecture NWPA n'est pas utilisée, vous devez installer le pilote Adaptec ASPI avec le suffixe .DSK et le composant couche de transport ASPI correspondant ASPITRAN.DSK. Vous pouvez télécharger les dernières versions des pilotes Adaptec ASPI à partir du site Web http://www.adaptec.com. Le pilote Adaptec ASPI peut être chargé automatiquement lorsque vous avez démarré le serveur si vous ajoutez une commande LOAD au fichier STARTUP.NCF. La commande doit préciser la situation du pilote, toutes les options disponibles et le numéro d'emplacement. Reportez-vous au document ASPI Driver User's Guide d'Adaptec pour obtenir une liste des options disponibles et l'évaluation du nombre d'emplacements. Exemple 1 L'exemple ci-dessous présente la commande LOAD dans le fichier STARTUP.NCF sur le serveur NetWare 4.x pour le pilote AHA-2940 Adaptec ASPI : SET RESERVED BUFFERS BELOW 16 MEG=200 LOAD AHA2940.DSK SLOT=4 lun_enable=03 LOAD ASPITRAN.DSK où SLOT représente l'emplacement de l'adaptateur de périphérique sur le système hôte et lun_enable est un masque permettant l'analyse de LUN (Numéros d'unité logique) spécifiques sur toutes les cibles. Pour toutes les adresses SCSI, une analyse de chaque LUN est activée ; le bit à la position correspondante est à 1. Par exemple, lun_enable=03 permet l'analyse de LUN 0 et 1 sur toutes les cibles. Exemple 2 L'exemple ci-dessous présente la commande LOAD dans le fichier STARTUP.NCF sur le serveur NetWare 5.x pour le pilote AHA-2940 Adaptec ASPI : SET RESERVED BUFFERS BELOW 16 MEG=200 LOAD AHA2940.HAM SLOT=4 lun_enable=03 Chapitre 2 111 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector LOAD NWASPI.CDM où SLOT représente l'emplacement de l'adaptateur de périphérique sur le système hôte et lun_enable est un masque permettant l'analyse de LUN (Numéros d'unité logique) spécifiques sur toutes les cibles. REMARQUE lun_enable ne doit être spécifié que si vous utilisez des périphériques ayant des LUN SCSI supérieurs à 0 ; lorsque vous configurez le périphérique de bibliothèque HP StorageWorks Tape 12000e, par exemple. La configuration de l'Agent de supports est maintenant terminée. Etape suivante Une fois que le logiciel Agent de supports Data Protector est installé correctement sur la plate-forme Novell NetWare, il est conseillé de vérifier son installation. Reportez-vous à l’Annexe B, “Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare”, page B-90. Après avoir vérifié l'installation, vous pouvez importer le client Novell NetWare dans la cellule Data Protector à l'aide de l'interface graphique utilisateur Data Protector. Pour obtenir des informations sur d'autres tâches de configuration, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Installation locale de clients OpenVMS La procédure d'installation des clients OpenVMS doit être exécutée en local sur un système OpenVMS pris en charge. L'installation à distance n'est pas prise en charge. Vous pouvez installer l'Agent de disque, l'Agent de supports et l'Interface utilisateur (interface de ligne de commande uniquement) de Data Protector sur des systèmes exécutant OpenVMS 7.3-1 ou supérieur. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Pour plus d'informations sur les périphériques ou les versions de la plate-forme OpenVMS pris en charge, reportez-vous à la page Web http:/ /www.openview.hp.com/products/dataprotector/specifications/index.asp. Pour connaître les limites et obtenir un descriptif des problèmes connus et de leur solution, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. 112 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Conditions préalables Avant d'installer un client Data Protector sur la plate-forme OpenVMS, vérifiez les éléments suivants : ✓ Le protocole de transport TCP/IP doit être installé et en état de fonctionnement. ✓ Définissez les caractéristiques TIMEZONE de votre système en exécutant la commande SYS$MANAGER:UTC$TIME_SETUP.COM. ✓ Connectez-vous au compte SYSTEM du système OpenVMS. ✓ Vérifiez que vous avez accès au CD-ROM d'installation de Data Protector contenant le package d'installation du client OpenVMS. Installation La procédure d'installation peut s'effectuer à partir du CD-ROM d'installation Windows de Data Protector. Notez que l'installation de OpenVMS ne fait pas partie des fonctionnalités du Serveur d'installation. Pour installer un client Data Protector sur un système OpenVMS, procédez comme suit : 1. Exécutez la commande suivante : $ product install DP /source = cdrom:[directory] 2. Vérifiez la version du kit en répondant YES à l'invite : The following product has been selected: HP AXPVMS DP A05.10-01 Layered Product Do you want to continue? [YES] 3. Sélectionnez les composants logiciels à installer. Si vous choisissez l'installation par défaut, l'Agent de disque, l'Agent de supports et l'Interface utilisateur seront tous les trois installés ; vous pouvez également sélectionner chaque composant séparément. Vous devrez choisir les options (le cas échéant) pour chaque produit sélectionné et pour tout produit pouvant être installé afin de satisfaire aux exigences en matière de dépendance des logiciels. Exemple HP AXPVMS DP A05.10-01: HP AXPVMS Data Protector A.05.10 Copyright 2003 Hewlett-Packard Development Company, L.P. Do you want the defaults for all options? [YES] NO Do you wish to install a disk agent for this client node? [YES] YES Chapitre 2 113 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Do you wish to install a media agent for this client node? [YES] YES Do you wish to install the command language interface (cli)? [YES] YES Do you want to review the options? [NO] YES HP AXPVMS DP A05.10-01: HP AXPVMS Data Protector A.05.10 Do you wish to install a disk agent for this client node? YES Do you wish to install a media agent for this client node? YES Do you wish to install the command language interface (cli)? YES Are you satisfied with these options? [YES] YES L'emplacement par défaut des répertoires et fichiers de Data Protector est le suivant : SYS$SYSDEVICE:[VMS$COMMON.OMNI] La structure de répertoires sera créée automatiquement et les fichiers placés dans cette arborescence. Les procédures liées aux commandes de démarrage et d'arrêt de Data Protector seront placées dans SYS$SYSDEVICE:[VMS$COMMON.SYS$STARTUP] Pour un client OpenVMS, il existe toujours quatre fichiers ; il existera un cinquième fichier uniquement si vous choisissez l'option CLI. Il s'agit des cinq fichiers suivants : • SYS$STARTUP:OMNI$STARTUP.COM Procédure de commande qui démarre Data Protector sur ce nœud. • SYS$STARTUP:OMNI$SYSTARTUP.COM Procédure de commande qui définit le nom logique OMNI$ROOT. Il est possible d'ajouter une autre procédure d'installation spécifique à un site à cette procédure de commande. • SYS$STARTUP:OMNI$SHUTDOWN.COM Procédure de commande qui arrête Data Protector sur ce nœud. • OMNI$ROOT:[BIN]OMNI$STARTUP_INET.COM Procédure de commande utilisée pour démarrer le processus INET, qui exécute ensuite les commandes envoyées par le Gestionnaire de cellule. 114 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector • OMNI$ROOT:[BIN]OMNI$CLI_SETUP.COM Procédure de commande qui définit les symboles nécessaires pour appeler l'interface de ligne de commande (CLI) de Data Protector. Elle ne sera disponible sur le système que si vous avez choisi l'option CLI pendant l'installation. Exécutez cette procédure de commande à partir des procédures login.com pour tous les utilisateurs qui utiliseront l'interface de ligne de commande. Un nom logique, decc$argv_parse_style, est défini dans cette procédure, et votre processus parse_style est défini sur extended pour autoriser l'analyse des noms de fichier en respectant la casse pour les disques ODS-5. 4. Insérez la ligne suivante dans SYS$MANAGER:SYSTARTUP_VMS.COM : @sys$startup:omni$startup.com 5. Insérez la ligne suivante dans SYS$MANAGER:SYSHUTDWN.COM: @sys$startup:omni$shutdown.com 6. Importez le client OpenVMS dans la cellule Data Protector en utilisant l'interface graphique utilisateur de Data Protector comme indiqué dans la section “Importation de clients dans une cellule”, page 169 : Un compte portant le nom OMNIADMIN sera créé au cours de l'installation. Le service OMNI s'exécute sous ce compte. Le répertoire de connexion pour ce compte est OMNI$ROOT:[LOG] et il contient le fichier journal OMNI$STARTUP_INET.LOG pour chaque démarrage d'un composant Data Protector. Ce fichier journal contient le nom du processus exécutant la requête, le nom de l'image de Data Protector utilisée et les options de la requête. Toutes les erreurs inattendues sont consignées dans le fichier DEBUG.LOG de ce répertoire. Configuration de l'Agent de disque Sous OpenVMS, il n'est pas nécessaire de configurer l'Agent de disque Data Protector. Il faut cependant avoir à l'esprit certains points lorsque vous configurez une spécification de sauvegarde qui l'utilisera. Ceux-ci sont décrits ci-dessous : Chapitre 2 115 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector • Les spécifications de fichier saisies dans l'interface graphique utilisateur ou transmis à l'interface de ligne de commande doivent être énoncées dans une syntaxe de type UNIX, comme par exemple : /disque/répertoire1/répertoire2/nomfichier.ext.n — La chaîne doit commencer par une barre de fraction, suivie du lecteur, des noms de répertoire et du nom de fichier, séparés par des barres de fraction. — Le nom du lecteur ne doit pas être suivi d'un deux-points. — Utilisez un point devant le numéro de version plutôt qu'un point virgule. — Les spécifications de fichier pour les fichiers OpenVMS ne sont pas sensibles à la casse. Exemple Une spécification de fichier OpenVMS : $1$DGA100:[USERS.DOE]LOGIN.COM;1 doit être spécifiée à Data Protector sous la forme : /$1$DGA100/Users/Doe/Login.Com.1 REMARQUE Il n'existe pas de numéro de version implicite. Vous devez toujours spécifier un numéro de version et seule la version de fichier spécifiée pour la sauvegarde sera sauvegardée. Si vous souhaitez inclure toutes les versions du fichier dans une sauvegarde, vous devez les sélectionner toutes dans l'interface graphique utilisateur ou dans l'interface de ligne de commande. Ajoutez les spécifications de fichier sous l'option -only, en utilisant des caractères génériques pour le numéro de version, comme suit : /DKA1/rep1/nomfichier.txt.* Configuration de l'Agent de supports Vous devez configurer les périphériques sur votre système OpenVMS en prenant pour guide la documentation OpenVMS et celle relative au matériel. Les pseudo-périphériques pour la bibliothèque de bandes doivent être créés en premier à l'aide de SYSMAN, comme suit : $ RUN SYS$SYSTEM:SYSMAN SYSMAN> IO CONNECT gcan/NOADAPTER/DRIVER=SYS$GcDRIVER 116 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector où : c = K pour les bibliothèques de bandes SCSI à connexion directe. a = A,B,C, …lettre de l'adaptateur pour le contrôleur SCSI. n = numéro d'unité du robot de la bibliothèque de bandes. REMARQUE Cette séquence de commandes doit être exécutée après le redémarrage du système. Pour les bibliothèques de bandes reliées à un réseau SAN, le nom de périphérique GGAn figurant dans votre configuration SAN sera utilisé. Si vous installez des jukeboxes pour les utiliser avec Data Protector, vous devez vérifier que ce matériel fonctionne correctement avant de le configurer dans Data Protector. Pour vérifier le matériel, vous pouvez utiliser l'utilitaire MRU (Media Robot Utility), fourni par Hewlett-Packard. REMARQUE Vous pouvez généralement utiliser l'interface graphique utilisateur de Data Protector pour configurer manuellement ou auto-configurer ces périphériques. Certaines bibliothèques de bandes plus anciennes ainsi que toutes les bibliothèques de bandes connectées aux contrôleurs HSJ ne peuvent toutefois pas être auto-configurées. Utilisez les méthodes de configuration manuelle pour ajouter ces périphériques à Data Protector. Interface de ligne de commande Avant de pouvoir utiliser l'interface de ligne de commande de Data Protector sous OpenVMS, vous devez exécuter la procédure d'installation de la commande CLI, comme suit : $ @OMNI$ROOT:[BIN]OMNI$CLI_SETUP.COM Pour une description des commandes CLI disponibles, reportez-vous au document Référence de l’interface de ligne de commande HP OpenView Storage Data Protector. Chapitre 2 117 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Etape suivante Pour obtenir des informations sur d'autres tâches de configuration, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Installation de clients MPE/iX Data Protector prend en charge les systèmes client s'exécutant sur la plate-forme MPE/iX. Reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector MPE/iX System User Guide pour obtenir des informations détaillées. Si la documentation est installée sur votre système (sous HP-UX, Solaris ou Windows), le guide est disponible sous le nom MPE_user.pdf in <répertoire_Data_Protector> ou sur le CD-ROM d'installation de Data Protector dans le répertoire docs. Pour savoir quels composants installer, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Pour obtenir des informations sur les périphériques et les versions de la plate-forme MPE/iX pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Conditions préalables Avant d'installer Data Protector sur la plate-forme MPE/iX, vérifiez les éléments suivants : ✓ TurboStore/iX ou TurboStore/iX 7x24 True-Online doit être installé sur votre ordinateur. ✓ Le protocole TCP/IP doit être installé et configuré. ✓ Le mécanisme de résolution de nom (DNS de fichiers d'hôtes) doit être activé. ✓ Pour connaître l'espace disque nécessaire, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Installation Procédez comme suit pour installer Data Protector sur le serveur MPE/ iX : 1. Déplacez le fichier installDP5.10_MPE.sh et le package DP5.10_MPE6.0.tar, ou le package DP5.10_MPE6.5.tar, ou encore le package DP5.10_MPE7.0.tar (selon la version de MPE/iX OS) vers le répertoire /tmp à l'aide de l'utilitaire ftp. Reportez-vous à l’Exemple 2-1, page 119. 118 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Vous devez impérativement déplacer le fichier installDP5.10_MPE.sh avec les caractéristiques suivantes : • Taille de l'enregistrement : -150 • Facteur de bloc : -empty • Longueur variable des enregistrements du fichier : V • Type des enregistrements codés : ASCII Exemple 2-1 Transfert du script installDP5.10_MPE.sh et du package DP5.10_MPE6.0.tar (DP5.0_MPE6.5.tar) 2. Connectez-vous au système cible, puis démarrez le processus de décompactage, comme indiqué dans l'exemple ci-dessous : Chapitre 2 119 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Exemple 2-2 Processus de décompactage sur le système cible Après cette opération, tous les fichiers se retrouvent dans le répertoire /usr/omni. REMARQUE Utilisez EDIT/3000 (appelé avec la commande editor) pour changer les fichiers ci-dessous. Pour obtenir plus d'informations, reportez-vous au document EDIT/3000 Reference Manual. 3. Ajoutez la ligne suivante au fichier DCNF.NET.SYS : omni stream tcp nowait MANAGER.SYS /usr/omni/bin/inet inet -log /tmp/inet.log 4. Ajoutez la ligne suivante au fichier SERVICES.NET.SYS : omni 5555/tcp #Data Protector inet 120 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector 5. Relancez inetd pour mettre à jour la configuration avec les nouveaux paramètres. Pour en savoir plus, reportez-vous au document Configuring and Managing MPE/iX Internet Services. 6. Pour savoir si Data Protector Inet est en cours d'exécution, utilisez telnet vers le port 5555 à partir d'un système différent : telnet <nom_hôte> 5555 Vous recevrez un message de Data Protector. S'il n'y a aucune réponse après 10 secondes, vérifiez les fichiers INETDCNF.NET.SYS et SERVICES.NET.SYS. 7. Importez le système dans la cellule Data Protector. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Importation de clients dans une cellule”, page 169. 8. Une fois le système client importé, ajoutez l'utilisateur MANAGER.SYS au groupe d'utilisateurs Admin de Data Protector. Pour plus d'informations sur les clients MPE/iX, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector MPE/iX System User Guide, qui figure sur le CD-ROM sous le nom \Docs\MPE_administration.pdf. Installation locale de clients UNIX Pour obtenir des informations sur les clients et les composants Data Protector, la configuration système et l'espace disque requis, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. REMARQUE Vous devez disposer d'autorisations de root sur chaque système cible. Installation en local Si vous ne disposez pas d'un Serveur d'installation pour UNIX sur votre réseau, ou que, pour une raison quelconque, vous ne parvenez pas à installer un système client à distance, il est possible d'installer les clients Data Protector en local à partir du CD-ROM d'installation de HP-UX. Pour savoir quels composants installer, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Pour obtenir des informations sur les clients Data Protector pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Chapitre 2 121 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Limites Seul le shell ksh est pris en charge. REMARQUE Vous pouvez également utiliser la procédure suivante pour mettre à niveau les clients UNIX localement. Le script détecte une version déjà installée et vous invite à effectuer la mise à niveau. 1. Insérez le CD-ROM d'installation de HP-UX. 2. A partir de <point_montage>/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL et exécutez la commande suivante : omnisetup.sh [-source <répertoire>] [-server <nom>] [-install <liste_composants>] où : • répertoire est l'emplacement où le CD d'installation est monté. S'il n'est pas spécifié, le répertoire en cours est utilisé. • nom est un nom d'hôte complet du Gestionnaire de cellule de la cellule sur laquelle vous souhaitez installer le client. S'il n'est pas spécifié, le client ne sera pas automatiquement importé dans la cellule. REMARQUE Si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install <liste_composants>. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. Toutefois, pour mettre à niveau les composants du client se trouvant dans le Gestionnaire de cellule, exécutez la commande omnisetup.sh avec le paramètre -install <liste_composants> une fois la mise à niveau de Gestionnaire de cellule terminée. • component_list est une liste séparée par des virgules de codes composants à installer. L'utilisation d'espaces n'est pas autorisée. Si le paramètre -install n'est pas spécifié, le processus d'installation vous invite à installer séparément tous les composants disponibles sur le système. 122 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Dans le cas d'une mise à niveau du client, si vous ne spécifiez pas le paramètre -install, le processus d'installation sélectionnera, sans émettre d'invite, les composants qui étaient installés sur le système avant le début de la mise à niveau. La liste des composants est présentée dans le tableau ci-dessous. La liste exacte des composants dépend de leur disponibilité sur ce système particulier. Tableau 2-4 Codes composants Data Protector Code composant Composant cc Interface utilisateur momgui Interface utilisateur MoM da Agent de disque ma Agent de supports das Agent supports DAS acs Agent supports ACS ndmp Agent supports NDMP emc Agent EMC Symmetrix informix Intégration d'Informix lotus Intégration Lotus Notes oracle8 Intégration Oracle8/9 sap Intégration de SAP R/3 ov HP OpenView Network Node Manager omnist Intégration OmniStorage sybase Intégration de Sybase sap Intégration de SAP R/3 Chapitre 2 123 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Tableau 2-4 Exemple Codes composants Data Protector Code composant Composant db2 Intégration DB2 ssea HP StorageWorks Disk Array XP snapa HP StorageWorks VA evaa HP StorageWorks EVA saa HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 fra_ls Support de langue français jpn_ls Support de langue japonais L'exemple ci-dessous présente l'installation des composants Agent de disque, Agent de supports, Interface utilisateur et Informix sur un client qui sera automatiquement importé dans la cellule avec Gestionnaire de cellule anapola : ./omnisetup.sh -server anapola.company.com -install da,ma,cc,informix 3. Le processus d'installation vous indique si l'installation est terminée et si le client a été importé dans la cellule Data Protector. Le composant CORE est installé la première fois qu'un composant logiciel est sélectionné pour l'installation. Le composant CORE-INTEG est installé la première fois qu'un composant du logiciel d'intégration est sélectionné pour l'installation ou la réinstallation. Exécution de l'installation à partir du disque dur Si vous souhaitez copier le CD-ROM d'installation sur votre ordinateur et exécuter l'installation/la mise à niveau des clients UNIX à partir du disque dur, copiez au moins le répertoire DP_DEPOT et la commande LOCAL_DP_AGENT_INSTALL/omnisetup.sh . Par exemple, si vous copiez les packages d'installation vers /var/dp51, DP_DEPOT doit être un sous-répertoire de /var/dp51 : # pwd /var/dp51 # ls DP_DEPOT omnisetup.sh 124 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Après avoir copié ceci sur le disque dur, vous pouvez exécuter : omnisetup.sh -source <répertoire> [-server <nom>] [-install <liste_composants>] Notez que l'option -source est obligatoire. Par exemple : ./omnisetup.sh -source /var/dp51 Etape suivante Si au cours de l'installation, vous n'avez pas spécifié le nom du Gestionnaire de cellule, le client ne sera pas importé dans la cellule. Dans ce cas, vous devez l'importer à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Importation de clients dans une cellule”, page 169. Pour obtenir des informations sur d'autres tâches de configuration, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Installation de clients MS Exchange 5.x Les clients MS Exchange 5.x peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client MS Exchange 5.x en distribuant les composants Data Protector sur le système MS Exchange 5.x à partir du Serveur d'installation, à l'aide de l'interface graphique utilisateur Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client MS Exchange 5.x, vous devez sélectionner les composants suivants : MS Exchange 5.x Sélectionnez le composant MS Exchange 5.x pour pouvoir sauvegarder la base de données MS Exchange 5.x avec Data Protector. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Chapitre 2 125 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients MS Exchange 2000 Les clients MS Exchange 2000 peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un client MS Exchange 2000 en distribuant les composants Data Protector sur le système MS Exchange 2000 à partir du Serveur d'installation, à l'aide de l'interface graphique utilisateur Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client MS Exchange 2000, vous devez sélectionner les composants suivants : MS Exchange 2000 Sélectionnez le composant Intégration MS Exchange 2000 pour pouvoir sauvegarder la base de données MS Exchange 2000 avec Data Protector. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. 126 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients MS SQL 7.0/2000 Les clients MS SQL 7.0/2000 peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Limites Un système client ne prend en charge qu'une seule intégration MS SQL à la fois. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client MS SQL 7.0/2000 en distribuant les composants Data Protector sur le système MS SQL 7.0/2000 à partir du Serveur d'installation, à l'aide de l'interface graphique utilisateur Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client MS SQL 7.0/2000, vous devez sélectionner les composants suivants : MS SQL 7.0/2000 Sélectionnez le composant Intégration MS SQL 7.0/2000 pour pouvoir sauvegarder la base de données MS SQL 7.0/2000 avec Data Protector. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Chapitre 2 127 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients Sybase Les clients Sybase peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Avant de commencer l'installation du logiciel d'intégration, vérifiez que le serveur de sauvegarde Sybase est en cours d'exécution. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client Sybase en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation sur le système Sybase, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client Sybase, vous devez sélectionner les composants suivants : Intégration de Sybase Sélectionnez le composant Intégration Sybase pour pouvoir sauvegarder la base de données Sybase avec Data Protector. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. 128 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients Informix Les clients Informix peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Avant de commencer l'installation du logiciel d'intégration, vérifiez que le serveur en ligne est en cours d'exécution. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un client Informix en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation sur le système Informix, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client Informix, vous devez sélectionner les composants suivants : Intégration d'Informix Sélectionnez le composant Intégration Informix pour pouvoir sauvegarder la base de données Informix avec Data Protector. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Chapitre 2 129 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients SAP R/3 Les clients SAP R/3 peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. REMARQUE The Le composant Intégration SAP R/3 Data Protector est entièrement compatible avec la version antérieure de Data Protector. Data Protector exécute toutes les spécifications de sauvegarde créées par les versions antérieures de Data Protector. En revanche, vous ne pouvez pas utiliser sur une version antérieure de Data Protector les spécifications de sauvegarde créées avec la version actuelle. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client SAP R/3 en distribuant les composants Data Protector sur le système SAP R/3 à partir du Serveur d'installation, à l'aide de l'interface graphique utilisateur Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client SAP R/3, vous devez sélectionner les composants suivants : Intégration de SAP Sélectionnez le composant Intégration SAP R/3 pour pouvoir R/3 sauvegarder la base de données SAP R/3 avec Data Protector. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Notez que ce composant est requis pour l'intégration SAP R/3 de Data Protector. 130 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients Oracle8/9 Les clients Oracle8/9 peuvent être installés localement à l'aide du support d'installation, ou à distance à partir du Serveur d'installation. REMARQUE Sur les systèmes Windows, vous devez arrêter tous les services Oracle8 avant d'installer ou de mettre à niveau le logiciel Data Protector sur le système du serveur Oracle8/9. Pour savoir si le serveur correspondant est arrêté, il suffit d'interroger la base de données. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client Oracle8 en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation sur le système Oracle8, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client Oracle8, vous devez sélectionner les composants suivants : Intégration Oracle8/9 Sélectionnez le composant Intégration Oracle8/9 pour pouvoir sauvegarder la base de données Oracle8/9 avec Data Protector. Chapitre 2 131 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients DB2 Les clients DB2 peuvent être installés localement à l'aide du support d'installation, ou à distance à partir du Serveur d'installation. Condition préalable Pour connaître la liste des plates-formes prises en charge pour intégration DB2, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client DB2 en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation sur le système DB2, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client DB2, vous devez sélectionner les composants suivants : Intégration DB2 Sélectionnez le composant Intégration DB2 pour pouvoir sauvegarder les objets de la base de données DB2 avec Data Protector. 132 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez le composant Interface utilisateur pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client (systèmes HP-UX uniquement ; sur les systèmes AIX, seule l'interface de ligne de commande Data Protector est prise en charge). Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients NNM Les clients NNM peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client NNM en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation sur le système NNM, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client NNM, vous devez sélectionner les composants suivants : Intégration NNM Sélectionnez le composant Intégration NNM pour pouvoir sauvegarder la base de données NNM avec Data Protector. Chapitre 2 133 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque qui exécute les scripts antérieurs et postérieurs à la sauvegarde utilisés pour les opérations de sauvegarde. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation du composant Intégration NDMP Le composant d'intégration NDMP peut être installé à distance à partir du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client NDMP en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation au client, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel, vous devez sélectionner les composants suivants : Agent supports NDMP Sélectionnez le composant Agent de supports NDMP pour intégrer Data Protector au système NDMP. Cet Agent met en œuvre les fonctions du client NDMP. Vous devez installer ce module sur tous les hôtes de la cellule sur lesquels l'Agent de supports NDMP sera exécuté. Ce module est responsable de la connexion au serveur NDMP. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. 134 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation du composant Intégration EMC Symmetrix L'Agent EMC Symmetrix peut être installé localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client MC Symmetrix en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation aux systèmes d'application et de sauvegarde à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel aux systèmes d'application et de sauvegarde, sélectionnez les composants suivants : Agent EMC Symmetrix Sélectionnez le composant Agent EMC Symmetrix pour intégrer Data Protector à EMC Symmetrix. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement sur le système de sauvegarde (R2). Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Chapitre 2 135 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Si vous installez le composant Agent EMC Symmetrix avec une autre intégration (Oracle8, SAP R/3), n'oubliez pas d’installer également le composant Data Protector spécifique de l'intégration concernée sur les systèmes d'application et de sauvegarde. Par exemple, si vous installez l'intégration EMC Symmetrix Oracle8, vous devez également distribuer le composant Intégration Oracle8. Pour plus d'informations, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector EMC Symmetrix Integration Guide. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector EMC Symmetrix Integration Guide pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation du composant Intégration HP StorageWorks XP Les clients Agent HP StorageWorks XP peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer le système client HP StorageWorks XP en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation aux systèmes d'application et de sauvegarde à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel aux systèmes d'application et de sauvegarde, sélectionnez les composants suivants : Agent HP StorageWorks XP Sélectionnez le composant Agent HP StorageWorks XP pour intégrer Data Protector avec HP StorageWorks XP. 136 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports L'Agent de supports est nécessaire sur le système de sauvegarde pour sauvegarder les données en bloc, tandis que sur le système d'application, il est nécessaire pour sauvegarder les journaux d'archive ou pour les restaurer vers le système d'application. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. REMARQUE Si vous installez le composant Agent HP StorageWorks XP avec une autre intégration (MS Exchange, Oracle8, SAP R/3), n'oubliez pas d’installer également le composant Data Protector spécifique de l'intégration concernée sur les systèmes d'application et de sauvegarde. Par exemple, lorsque vous installez l'intégration HP StorageWorks XP avec l'intégration Oracle8, vous devez également distribuer le composant Oracle8. Pour plus d'informations, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector HP StorageWorks Disk Array XP Integration Guide. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector HP StorageWorks Disk Array XP Integration Guide pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Chapitre 2 137 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation du composant Intégration HP StorageWorks Virtual Array Le composant Agent HP StorageWorks Virtual Array (VA) (également appelé snapa, l'abréviation de Snapshot Agent) peut être installé localement à l'aide du CD-ROM d'installation ou à distance à partir du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client HP StorageWorks Virtual Array en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation aux systèmes d'application et de sauvegarde à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel aux systèmes d'application et de sauvegarde, sélectionnez les composants suivants : HP Agent StorageWorks VA Sélectionnez le composant Agent HP StorageWorks VA pour intégrer Data Protector avec HP StorageWorks Virtual Array. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez le composant Interface utilisateur pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports. Ce composant est nécessaire sur le système de sauvegarde pour sauvegarder les données en bloc, tandis que sur le système d'application, il permet de sauvegarder les journaux d'archive ou de les restaurer vers le système d'application. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. 138 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector REMARQUE Si vous installez le composant Agent HP StorageWorks VA avec une autre intégration (par exemple, Oracle8 ou SAP R/3), n'oubliez pas d’installer également le composant Data Protector spécifique de l'intégration concernée sur les systèmes d'application et de sauvegarde. Par exemple, lorsque vous installez HP StorageWorks Virtual Array avec l'intégration Oracle8, vous devez également distribuer le composant Intégration Oracle8. Pour plus d'informations, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation du composant Intégration HP StorageWorks Enterprise Virtual Array Le composant Agent HP StorageWorks Enterprise Virtual Array (EVA) (également appelé evaa) peut être installé localement à l'aide du CD-ROM d'installation ou à distance à partir du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client HP StorageWorks Enterprise Virtual Array en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation aux systèmes d'application et de sauvegarde à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel aux systèmes d'application et de sauvegarde, sélectionnez les composants suivants : HP Agent StorageWorks EVA Sélectionnez le composant Agent HP StorageWorks EVA pour intégrer Data Protector dans HP StorageWorks Enterprise Virtual Array. Chapitre 2 139 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez le composant Interface utilisateur pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports. Ce composant est nécessaire sur le système de sauvegarde pour sauvegarder les données en bloc, tandis que sur le système d'application, il permet de sauvegarder les journaux d'archive ou de les restaurer vers le système d'application. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. REMARQUE Si vous installez le composant Agent HP StorageWorks EVA avec une autre intégration (par exemple, Oracle8 ou SAP R/3), n'oubliez pas d’installer également le composant Data Protector spécifique de l'intégration concernée sur les systèmes d'application et de sauvegarde. Par exemple, lorsque vous installez HP StorageWorks Enterprise Virtual Array avec l'intégration Oracle8, vous devez également distribuer le composant Intégration Oracle8. Pour plus d'informations, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de l'intégration HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 Le composant Agent HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 (également appelé saa) peut être installé localement à l'aide du CD-ROM d'installation ou à distance à partir du Serveur d'installation. 140 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un système client HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation aux systèmes d'application et de sauvegarde à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel aux systèmes d'application et de sauvegarde, sélectionnez les composants suivants : Agent HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 Sélectionnez le composant Agent HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 Agent pour intégrer Data Protector dans HP StorageWorks Modular SAN Array 1000. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez le composant Interface utilisateur pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports. Ce composant est nécessaire sur le système de sauvegarde pour sauvegarder les données en bloc, tandis que sur le système d'application, il permet de sauvegarder les journaux d'archive ou de les restaurer vers le système d'application. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. REMARQUE Si vous installez le composant Agent HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 avec une autre intégration (par exemple, Microsoft Exchange 2000 ou Microsoft SQL Server 2000), n'oubliez pas d’installer également le composant Data Protector spécifique de l'intégration concernée sur les systèmes d'application et de sauvegarde. Chapitre 2 141 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Par exemple, lorsque vous installez HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 Microsoft avec l'intégration Exchange 2000, vous devez également distribuer le composant Intégration MS Exchange 2000. Pour plus d'informations, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation du composant Intégration MS Volume Shadow Copy Le composant Intégration MS Volume Shadow Copy peut être installé localement à partir du CD-ROM d'installation Windows ou à distance à partir du Serveur d'installation pour Windows. Condition préalable Le composant Intégration MS Volume Shadow Copy est pris en charge par le système d'exploitation Windows Server 2003. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation pour Windows doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer le composant Intégration MS Volume Shadow Copy en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation au client, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client VSS, sélectionnez les composants suivants : Intégration VSS Sélectionnez le composant Intégration MS Volume Shadow Copy pour pouvoir coordonner la sauvegarde des modules d'écriture VSS. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le client VSS. 142 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au client. Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Data Protector pour Windows pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. Installation de clients Lotus Domino Server Les clients Lotus Domino Server peuvent être installés localement à partir du CD-ROM d'installation, ou à distance à l'aide du Serveur d'installation. Installation à distance A ce stade de la procédure, le Serveur d'installation doit déjà être installé sur votre système. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Vous pouvez installer un client Lotus Domino Server en distribuant les composants Data Protector à partir du Serveur d'installation sur le système Lotus Domino Server, à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour connaître la procédure détaillée de cette opération, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Lors de la distribution du logiciel au client Lotus Domino Server, sélectionnez les composants suivants : Lotus Notes Sélectionnez le composant Intégration Lotus Notes afin de pouvoir sauvegarder la base de données Lotus Domino Server avec Data Protector. Agent de disque Sélectionnez le composant Agent de disque pour pouvoir sauvegarder des données de système de fichiers avec Data Protector. Interface utilisateur Sélectionnez ce composant pour pouvoir accéder à l'interface graphique utilisateur et à l'interface de ligne de commande Data Protector sur le système client. Agent de supports Sélectionnez le composant Agent de supports uniquement si un périphérique de sauvegarde est relié au client. Chapitre 2 143 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des clients Data Protector Pour obtenir des informations sur les composants Data Protector, reportez-vous à la section “Composants Data Protector”, page 54. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour obtenir des informations sur la configuration de l'intégration. 144 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector Data Protector A.05.10 dispose d'une interface utilisateur graphique localisée de Data Protector sur les systèmes Windows et UNIX. Elle se compose de l'interface graphique utilisateur et de l'interface de ligne de commande de Data Protector localisées. L'aide en ligne et la documentation papier sont également disponibles en version localisée. Pour savoir quels sont les manuels Data Protector localisés, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. REMARQUE Le support de langue anglais est installé par défaut pendant l'installation de Data Protector. Lorsque vous installez un support de langue supplémentaire, l'interface utilisateur localisée de Data Protector démarre en fonction de l'environnement local paramétré sur le système. Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector sur les systèmes Windows Installation en local Pour installer l'interface utilisateur localisée de Data Protector sur des systèmes Windows, sélectionnez le support de langue approprié (français ou japonais) dans la page Installation personnalisée de l'assistant d'installation, comme indiqué à la figure 2-12. Pour connaître la procédure d'installation locale, reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Chapitre 2 145 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector Figure 2-12 Sélection du support de langue lors de l'installation Installation à distance Lors de la distribution à distance du support de langue de Data Protector à l'aide du Serveur d'installation, sélectionnez le support de langue approprié dans la page Sélection des composants de l'assistant Ajouter composants, comme indiqué à la figure 2-13. Pour connaître la procédure pour ajouter à distance des composants logiciels Data Protector à des clients, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. 146 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector Figure 2-13 Installation à distance du support de langue Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector sur les systèmes UNIX Installation en local Vous pouvez installer en local le support de langue japonais ou français uniquement sur un client Data Protector à l'aide de la commande omnisetup.sh. Spécifiez le composant logiciel jpn_ls ou fra_ls, en fonction du support de langue dont vous avez besoin. Pour connaître la procédure détaillée, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Si vous utilisez l'utilitaire swinstall ou pkgadd pour installer le Gestionnaire de cellule ou le Serveur d'installation de Data Protector, vous ne pouvez installer que le support de langue anglais. Si vous souhaitez que l'interface utilisateur localisée de Data Protector réside sur le même système que le Gestionnaire de cellule ou le Serveur d'installation, vous devez installer le support de langue supplémentaire à distance. Chapitre 2 147 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector Installation à distance Lors de la distribution à distance du support de langue de Data Protector à l'aide du Serveur d'installation, sélectionnez le support de langue approprié dans la page Sélection des composants de l'assistant Ajouter composants, comme indiqué à la figure 2-13. Pour connaître la procédure pour ajouter à distance des composants logiciels Data Protector à des clients, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Dépannage Si l'interface utilisateur de Data Protector en anglais démarre après que vous avez installé un support de langue différent, effectuez les vérifications suivantes : 1. Assurez-vous que les fichiers suivants existent : Pour le support de langue français • Sous Windows : <répertoire_Data_Protector>\bin\OmniFra.dll • Sous HP-UX : /opt/omni/lib/nls/fr.iso88591/omni.cat • Sous Solaris : /opt/omni/lib/nls/fr.ISO8859-1/omni.cat Pour le support de langue japonais • Sous Windows : <répertoire_Data_Protector>\bin\OmniJpn.dll • Sous HP-UX : /opt/omni/lib/nls/ja.eucJP/omni.cat et /opt/ omni/lib/nls/ja.SJIS/omni.cat • Sous Solaris : /opt/omni/lib/nls/ja.eucJP/omni.cat et /opt/ omni/lib/nls/ja.PCK/omni.cat 2. Vérifiez les paramètres régionaux sur votre système : • Sous Windows : Dans le Panneau de configuration de Windows, cliquez sur Options régionales et vérifiez que la langue sélectionnée dans les paramètres régionaux et de langue est appropriée. 148 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de l'interface utilisateur localisée de Data Protector • Sous UNIX, exécutez la commande suivante pour définir les paramètres régionaux : export LANG=<langue> locale où <langue> représente le paramètre régional dans le format suivant : langue[_région].page de code. Par exemple, ja_JP.eucJP, ja_JP.SJIS ou ja_JP.PCK pour le paramètre régional japonais et fr_FR.iso88591 pour le paramètre régional français. Notez que la partie page de code de la variable LANG est obligatoire et doit correspondre à la partie page de code du nom du répertoire apparenté. Chapitre 2 149 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de l'Edition serveur unique Data Protector Installation de l'Edition serveur unique Data Protector L'Edition serveur unique (SSE) de Data Protector est conçue pour les environnements restreints dans lesquels les sauvegardes s'exécutent sur un seul périphérique connecté à un Gestionnaire de cellule. Elle est disponible pour les plates-formes Windows prises en charge ainsi que pour les plates-formes HP-UX et Solaris. Pour installer le Gestionnaire de cellule et (éventuellement) le Serveur d'installation, suivez les instructions figurant dans la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Limites Lorsque vous examinez la licence de l'Edition serveur unique, tenez compte des limites suivantes : Limites de l'Edition serveur unique pour Windows • L'Edition serveur unique prend en charge les sauvegardes vers un seul périphérique à la fois, lequel est connecté à un seul Gestionnaire de cellule. • Elle ne prend en charge qu'un autochangeur DDS à 10 emplacements. • Elle ne prend en charge ni les clients, ni les serveurs UNIX (et HP-UX). Si vous essayez d'effectuer une sauvegarde sur une machine UNIX, la session est abandonnée. • Si une cellule contient un Gestionnaire de cellule Windows, vous ne pouvez sauvegarder que des clients Windows. L'Edition serveur unique ne supporte pas la sauvegarde vers les clients Novell Netware. • L'ajout de produits d'extension n'est pas pris en charge par l'Edition serveur unique. • La gestion de clusters n'est pas prise en charge. • La reprise après sinistre n'est pas prise en charge. Le nombre de clients Windows n'est pas limité. Pour connaître les périphériques pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. 150 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de l'Edition serveur unique Data Protector Limites de l'Edition serveur unique pour HP-UX et Solaris • L'Edition serveur unique prend en charge les sauvegardes vers un seul périphérique à la fois, lequel est connecté à un seul Gestionnaire de cellule. • Elle ne prend en charge qu'un autochangeur DDS à 10 emplacements. • Sur un Gestionnaire de cellule UNIX, vous ne pouvez pas sauvegarder des serveurs, mais seulement des clients UNIX, des clients Windows, des clients Solaris et des clients Novell NetWare. • L'ajout de produits d'extension n'est pas pris en charge par l'Edition serveur unique. • La gestion de clusters n'est pas prise en charge par l'Edition serveur unique. Le nombre de clients (UNIX, Windows) n'est pas limité. Pour connaître les périphériques pris en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Installation d'un mot de passe Pour obtenir des instructions détaillées sur l'installation d'un mot de passe sur le Gestionnaire de cellule, reportez-vous à la section “Installation d'un mot de passe sur le Gestionnaire de cellule”, page 304. Chapitre 2 151 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des Rapports Web Data Protector Installation des Rapports Web Data Protector Le composant Rapports Web de Data Protector est installé par défaut avec d'autres composants Data Protector et à ce titre, vous pouvez l'utiliser en local à partir de votre système. Vous pouvez également l'installer sur un serveur Web et ainsi le rendre disponible sur les autres systèmes, sur lesquels l'installation des composants logiciels Data Protector n'est pas obligatoire. Conditions préalables Pour utiliser le composant Rapports Web Data Protector sur votre système, un navigateur compatible kit de développement JAVA (JDK) 1.1, comme Microsoft Internet Explorer 5.0 ou Netscape Navigator 4.7.x, doit y être installé. Installation Procédez comme suit pour installer le composant Rapports Web Data Protector sur un serveur Web : 1. Copiez les fichiers de rapport Java Data Protector sur le serveur. Il n'est pas nécessaire que le serveur soit un client Data Protector. • Sur les systèmes Windows disposant de l'interface utilisateur Data Protector, les fichiers se trouvent dans le répertoire suivant : <répertoire_Data_Protector>\java\bin • Sur un système UNIX disposant de l'interface utilisateur Data Protector, les fichiers se trouvent dans le répertoire suivant : <répertoire_Data_Protector>/java/bin 2. Ouvrez le fichier WebReporting.html dans votre navigateur pour accéder aux Rapports Web Data Protector. Vous devez rendre le fichier disponible aux utilisateurs des Rapports Web sous forme d'URL complète. Par exemple, vous pouvez placer un lien vers ce fichier à partir de votre site Intranet. 152 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation des Rapports Web Data Protector CONSEIL Aucun mot de passe n'est requis par défaut pour utiliser les Rapports Web Data Protector. Vous pouvez cependant en indiquer un et restreindre ainsi l'accès aux Rapports Web. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Etape suivante Une fois l'installation terminée, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour plus d'informations sur les problèmes de configuration et pour créer vos propres rapports. Chapitre 2 153 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur MC/ServiceGuard Installation de Data Protector sur MC/ ServiceGuard Data Protector prend en charge MC/ServiceGuard (MC/SG) pour HP-UX. Pour obtenir des informations détaillées sur les versions de systèmes d'exploitation prises en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Si votre Gestionnaire de cellule doit être compatible clusters, notez que l'adresse IP du package de clusters doit être utilisée pour les licences. Installation d'un Gestionnaire de cellule compatible cluster Conditions préalables Avant d'installer un Gestionnaire de cellule Data Protector sur MC/ ServiceGuard, vérifiez les éléments suivants : ✓ Décidez quels systèmes seront les Gestionnaires de cellule principal et secondaires. Ils doivent tous être équipés de MC/ServiceGuard et configurés en tant que membres du cluster. ✓ Le Gestionnaire de cellule Data Protector doté des correctifs recommandés, ainsi que tous les autres composants logiciels Data Protector des intégrations que vous souhaitez intégrer au cluster doivent être installés sur le nœud principal et sur chaque nœud secondaire. La procédure d'installation est la procédure standard d'installation du système du Gestionnaire de cellule. Reportez-vous à la “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Etape suivante Une fois l'installation terminée, vous devez configurer les Gestionnaires de cellule principal et secondaires, ainsi que le package de Gestionnaire de cellule. Pour plus d'informations sur la configuration de MC/ ServiceGuard avec Data Protector, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. 154 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur MC/ServiceGuard Installation d'un client compatible cluster IMPORTANT Les clients Data Protector compatibles cluster doivent être installés sur tous les nœuds de clusters. La procédure d'installation est la procédure standard d'installation de Data Protector sur un client HP-UX. Pour connaître la procédure détaillée, reportez-vous à la section “Installation de clients HP-UX”, page 66. Etape suivante Lorsque vous avez terminé l'installation, vous devez importer le package de clusters d'applications dans la cellule Data Protector. Reportez-vous à la section “Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule”, page 172. Pour plus d'informations sur la configuration de périphériques de sauvegarde ou de pools de supports ou sur toute autre opération de configuration Data Protector, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Chapitre 2 155 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server Pour connaître les systèmes d'exploitation pris en charge pour l'intégration de Microsoft Cluster Server, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Si votre Gestionnaire de cellule doit être compatible clusters, notez que l'adresse IP du serveur virtuel doit être utilisée pour les licences. Installation d'un Gestionnaire de cellule compatible cluster Conditions préalables Avant d'installer le Gestionnaire de cellule compatible cluster, assurez-vous qu'il n'y a pas sur le cluster de ressources portant les noms suivants : OBVS_MCRS,OBVS_VELOCIS,OmniBack_Share S'il y en a, et que vous effectuez une nouvelle installation (pas une mise à niveau), vous devez supprimer ou renommer ces ressources car Data Protector utilise ces noms pour le serveur virtuel Data Protector. Pour ce faire, procédez comme suit : 1. Cliquez sur Démarrer ->Programmes -> Outils d'administration ->Administrateur de clusters. 2. Vérifiez la liste des ressources afin de les supprimer ou de les renommer, le cas échéant. Pour installer et configurer correctement Data Protector dans un environnement Microsoft Cluster Server, vous devez fournir un compte disposant des droits utilisateur correspondants : ✓ Droits d'administrateur sur le Gestionnaire de cellule ✓ Droits administrateur de clusters dans le cluster ✓ Le mot de passe n'expire jamais ✓ Connexion comme un service ✓ L'utilisateur ne peut pas changer de mot de passe ✓ Tous les horaires d'accès sont autorisés 156 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server REMARQUE Lorsque vous installez un Gestionnaire de cellule Data Protector en tant qu'élément compatible cluster dans un environnement Microsoft Cluster, le compte utilisateur Data Protector doit être un compte d'utilisateur du domaine disposant de tous les droits mentionnés ci-dessus. CONSEIL Pour installer un serveur de clusters, vous devez disposer d'un compte doté de droits d'administrateur sur tous les systèmes de clusters. Il est recommandé d'utiliser également ce compte pour installer Data Protector. Des droits utilisateur incorrects peuvent entraîner l'exécution de services Data Protector au mode standard au lieu du mode compatible cluster. Avant d'installer le logiciel du Gestionnaire de cellule sur un cluster, vérifiez les éléments suivants : ✓ Un cluster doit être installé correctement avec la totalité de ses fonctions. Par exemple, vous devez pouvoir déplacer des groupes d'un nœud à l'autre autant de fois que cela est nécessaire, et ce sans aucun problème de disque partagé. ✓ Un groupe au moins dans le cluster doit disposer d'une ressource de <partage de fichiers> définie. Data Protector installera ses composants base de données dans cette ressource de <partage de fichiers> sous le répertoire spécifié par l'utilisateur. Reportez-vous à la documentation spécifique aux clusters pour savoir comment définir une ressource de <partage de fichiers>. Notez que le nom de <partage de fichiers> de cette ressource ne peut pas être OmniBack. ✓ Soit le serveur virtuel n'existe pas dans le même groupe en tant que groupe de ressources de <partage de fichiers>, soit vous devez créer un serveur virtuel en utilisant une adresse IP libre enregistrée et en lui associant un nom de réseau. ✓ La ressource de <partage de fichiers> dans laquelle Data Protector sera installé doit disposer d'une adresse IP, d'un nom de réseau et d'un ensemble de disques physiques parmi les dépendances du <partage de fichiers>. Ceci est nécessaire pour s'assurer que le groupe de clusters Data Protector pourra s'exécuter sur n'importe quel nœud, indépendamment de tout autre groupe. Chapitre 2 157 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server ✓ Vérifiez que seul l'administrateur de clusters a accès à la ressource de <partage de fichiers> et qu'il dispose d'un accès complet. ✓ Vous devez démarrer l'installation sous le compte du service cluster sur le système (nœud) où la ressource <partage de fichiers> est active pour pouvoir accéder directement au <partage de fichiers>. Vous pouvez déterminer le propriétaire de la ressource (le système sur lequel la ressource est active) à l'aide de l'administrateur de clusters. ✓ Chaque système du cluster doit être en cours d'exécution. ✓ Si le logiciel Data Protector est installé sur un système du cluster, vous devez le désinstaller avant de procéder à l'installation. L'option de mise à niveau est prise en charge uniquement si le logiciel Data Protector déjà installé est le Gestionnaire de cellule compatible cluster. ✓ Data Protector doit être installé au même emplacement (lecteur et chemin d'accès) sur tous les nœuds cluster. Vérifiez que ces emplacements sont libres. ✓ Si Oracle8 est installé sur des nœuds cluster, arrêtez les services de base de données Oracle8 sur les nœuds cluster. Installation en local Vous devez installer en local, à partir du CD-ROM, le logiciel du Gestionnaire de cellule Data Protector compatible cluster. Pour ce faire, procédez comme suit : 1. A partir du CD-ROM d'installation, exécutez \i386\setup.exe sur le nœud actif. Acceptez les conditions d'utilisation du contrat de licence. 2. Entrez le nom d'utilisateur et le nom de l'organisation, puis sélectionnez le type d'installation Gestionnaire de cellule. Le processus d'installation détecte automatiquement qu'il fonctionne dans un environnement de clusters. Cliquez sur Oui pour lancer le processus d'installation d'un cluster. 3. Suivez les indications de l'assistant pour sélectionner le groupe de clusters et la ressource <partage de fichiers> du cluster sur laquelle résideront les fichiers partagés de Data Protector et la base de données. Entrez le Compte administrateur de clusters que vous utiliserez pour lancer les services Data Protector. 158 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server Figure 2-14 Sélection de la ressource de cluster 4. Sélectionnez le nom du serveur virtuel Data Protector. Cliquez sur Suivant. Figure 2-15 Sélection du nom du serveur virtuel Chapitre 2 159 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server 5. Dans la fenêtre Installation personnalisée, sélectionnez les composants que vous souhaitez installer sur tous les nœuds cluster et les serveurs virtuels cluster. Cliquez sur Suivant. REMARQUE Le composant Intégration de cluster est sélectionné par défaut. Les composants sélectionnés seront installés sur tous les nœuds cluster et les serveurs virtuels cluster, quels que soient les systèmes que vous sélectionnerez pour y ajouter les composants. 6. Cliquez sur Installer pour terminer l'installation. Vérification de l'installation Une fois l'installation terminée, vous pouvez vous assurer que le logiciel Data Protector a été installé correctement. Pour ce faire, procédez comme suit : 1. Basculez vers le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin et exécutez la commande suivante : omnirsh <hôte> INFO_CLUS où <hôte> est le nom du serveur virtuel cluster. Le résultat doit contenir la liste des noms des systèmes se trouvant dans le cluster et le nom du serveur virtuel. Si 0 "NONE" est affiché, Data Protector n'est pas installé en mode compatible cluster. 2. Lancez l'interface graphique utilisateur de Data Protector, sélectionnez le contexte Clients, puis cliquez sur MS Clusters. Les systèmes récemment installés doivent apparaître dans la zone de résultats. Installation d'un client compatible cluster Les clients Data Protector compatibles cluster doivent être installés localement, à partir du CD-ROM, sur chaque nœud cluster. Les nœuds cluster (clients cluster Data Protector) sont importés vers la cellule spécifiée lors du processus d'installation. 160 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server Outre le fait que le compte administrateur de clusters est requis pour effectuer l'installation d'un client cluster, cette dernière est identique à l'installation en local d'un client Windows. Par ailleurs, le composant Intégration de cluster, sélectionné par défaut lors de l'installation, doit être installé en plus des composants clients Data Protector tels que les Agents de disque et les Agents de supports. Reportez-vous à la section “Installation de clients Windows”, page 59 pour savoir comment installer en local un système client Windows Data Protector. Notez que, lors de l'installation, Data Protector signale qu'un cluster a été détecté et vous invite à spécifier le Gestionnaire de cellule (cellule) vers lequel les clients cluster Data Protector doivent être importés. REMARQUE Vous pouvez importer un client compatible cluster dans la cellule Data Protector qui est gérée par le Gestionnaire de cellule standard ou par le Gestionnaire de cellule compatible cluster. Si vous souhaitez qu'une intégration d'application soit compatible cluster, de manière à être accessible via le serveur virtuel, les conditions suivantes doivent être remplies : ✓ Un cluster doit être installé correctement avec la totalité de ses fonctionnalités sur tous les nœuds cluster. Par exemple, vous devez pouvoir déplacer des groupes d'un nœud à l'autre autant de fois que cela est nécessaire, et ce sans aucun problème de disque partagé. ✓ Chaque système du cluster doit être en cours d'exécution. ✓ Si le logiciel Data Protector est installé sur un système du cluster, vous devez le désinstaller avant de procéder à l'installation. ✓ Si Oracle8 est installé sur des nœuds cluster, il est recommandé d'arrêter les services de base de données Oracle8 sur les nœuds cluster. Vérification de l'installation Une fois l'installation terminée, vous pouvez vous assurer que le logiciel Data Protector a été installé correctement. Pour ce faire, procédez comme suit : 1. Basculez vers le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin. Chapitre 2 161 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server 2. Exécutez la commande suivante : omnirsh <hôte> INFO_CLUS où <hôte> est le nom du système client cluster. Le nom du système client compatible cluster doit apparaître. Si 0 "NONE" est affiché, Data Protector n'est pas installé en mode compatible cluster. Veritas Volume Manager Si Veritas Volume Manager est installé sur le cluster, des étapes supplémentaires sont requises après l'installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server. Pour connaître les opérations supplémentaires à effectuer, reportez-vous à l'Annexe B, “Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster avec Veritas Volume Manager”, page B-96. Etape suivante Lorsque vous avez terminé l'installation, vous devez importer le nom d'hôte du serveur virtuel (application compatible cluster) dans la cellule Data Protector. Reportez-vous à la section “Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule”, page 172. Pour plus d'informations sur la configuration de périphériques de sauvegarde ou de pools de supports ou sur toute autre opération de configuration Data Protector, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. 162 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de clients Data Protector sur un cluster Veritas Installation de clients Data Protector sur un cluster Veritas Il est possible d'installer les clients Data Protector sur des nœuds cluster Veritas, à l'aide d'un Gestionnaire de cellule extérieur au cluster. Si vous utilisez cette configuration, la sauvegarde des disques locaux est prise en charge. Notez que si vous souhaitez sauvegarder des disques partagés ou des applications compatibles cluster, il faut utiliser l'adresse IP du serveur virtuel pour les licences. IMPORTANT Pour Data Protector, les sauvegardes compatibles cluster avec basculement ne sont pas prises en charge. Installation d'un client La procédure d'installation est identique à la procédure d'installation standard de Data Protector sur un système client Solaris. Pour connaître la procédure détaillée, reportez-vous à la section “Installation de clients Solaris”, page 71. Etape suivante Une fois l'installation terminée : • Si vous souhaitez sauvegarder le serveur virtuel, vous devez l'importer dans la cellule. • Si vous souhaitez sauvegarder les nœuds physiques, vous devez également les importer dans la cellule. Reportez-vous à la section “Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule”, page 172. Pour plus d'informations sur la configuration de périphériques de sauvegarde ou de pools de supports ou sur toute autre opération de configuration Data Protector, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Chapitre 2 163 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de clients Data Protector sur un cluster Novell NetWare Installation de clients Data Protector sur un cluster Novell NetWare Il est possible d'installer les clients Data Protector sur les nœuds cluster de Novell NetWare 6.0 Cluster Services, à l'aide d'un Gestionnaire de cellule extérieur au cluster. Si vous utilisez cette configuration, la sauvegarde des disques locaux, ainsi que la sauvegarde des pools de clusters partagés, sont prises en charge via le serveur virtuel. Notez que si vous souhaitez sauvegarder des disques partagés ou des applications compatibles cluster, il faut utiliser l'adresse IP du serveur virtuel pour les licences. IMPORTANT Les sauvegardes compatibles cluster avec basculement ne sont pas prises en charge. En cas de basculement, il faut redémarrer manuellement les sessions de sauvegarde ou de restauration. Dans la mesure où les nœuds cluster contrôlent les périphériques, les périphériques de sauvegarde doivent être configurés sur les nœuds cluster et non sur le serveur virtuel. Installation d'un client Avant l'installation Avant d'installer des clients Data Protector sur des nœuds cluster Novell NetWare Cluster Services, il est recommandé de modifier les scripts de déchargement pour chaque serveur virtuel présent dans le cluster, afin que l'adresse IP secondaire reste active pendant la migration du serveur virtuel vers un autre nœud. Vous pouvez modifier les scripts de déchargement à l'aide de l'utilitaire Console One de Novell ou de NetWare Remote Manager, conformément à la documentation Novell NetWare. Exemple Le script de déchargement par défaut pour chaque serveur virtuel est le suivant : del secondary ipaddress 10.81.1.173 CLUSTER CVSBIND DEL TREENW6_CLUSTER_FIRST_SERVER 10.81.1.173 NUDP DEL TREENW6_CLUSTER_FIRST_SERVER 10.81.1.173 nss /pooldeactivate=FIRST /overridetype=question 164 Chapitre 2 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de clients Data Protector sur un cluster Novell NetWare Le script de déchargement modifié pour chaque serveur virtuel est le suivant : nss /pooldeactivate=FIRST /overridetype=question del secondary ipaddress 10.81.1.173 CLUSTER CVSBIND DEL TREENW6_CLUSTER_FIRST_SERVER 10.81.1.173 NUDP DEL TREENW6_CLUSTER_FIRST_SERVER 10.81.1.173 Le script de déchargement modifié commence par démonter et désactiver tous les pools de clusters partagés sur le serveur virtuel; alors seulement, il supprime l'adresse IP secondaire. Cela signifie que l'adresse IP secondaire reste active pendant la migration. Pour activer le script de déchargement modifié, mettez le serveur virtuel hors ligne, puis de nouveau en ligne sur le nœud favori. Modification du script smsrun.bas Après avoir modifié le(s) script(s) de déchargement, vous devez modifier le script smsrun.bas afin d'y inclure le chargement du module TSA600.NLM avec le paramètre /cluster=off . Pour plus d'informations, consultez la rubrique “Known Backup/Restore Issues for NetWare 6” (problèmes de sauvegarde/restauration connus pour NetWare 6) de la base de données Novell Support Knowledge. Pour modifier le script smsrun.bas, procédez comme suit : 1. Modifiez la protection en écriture du script SYS:NSN/user/ smsrun.bas en le faisant passer de lecture seule à lecture/écriture, puis ouvrez-le dans un éditeur standard de la console. 2. Modifiez la ligne nlmArray = Array(“SMDR”, “TSA600”, “TSAPROXY”) de la section Sub Main() en la remplaçant par nlmArray = Array(“SMDR”, “TSA600 /cluster=off”, “TSAPROXY”) et enregistrez les modifications. 3. Sur la console du serveur de fichiers, tapez SMSSTOP. 4. Sur la console du serveur de fichiers, tapez SMSSTART. Les volumes partagés du cluster sont désormais visibles pour le module TSA600.NLM. Installation La procédure est identique à celle utilisée pour l'installation standard locale de Data Protector sur un client Novell NetWare. Pour connaître la procédure détaillée, reportez-vous à la section “Installation locale de clients Novell NetWare”, page 105. Chapitre 2 165 Installation de Data Protector sur votre réseau Installation de clients Data Protector sur un cluster Novell NetWare Etape suivante Une fois l'installation terminée : • Si vous souhaitez sauvegarder les nœuds physiques, vous devez également les importer dans la cellule. • Pour sauvegarder le serveur virtuel (volumes partagés du cluster), vous devez l'importer dans la cellule. Reportez-vous à la section “Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule”, page 172. Pour plus d'informations sur la configuration de périphériques de sauvegarde ou de pools de supports ou sur toute autre opération de configuration Data Protector, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. 166 Chapitre 2 3 Gestion de l'installation Chapitre 3 167 Gestion de l'installation Description du chapitre Description du chapitre Ce chapitre décrit les procédures les plus utilisées pour modifier la configuration de votre environnement de sauvegarde. Vous y trouverez les informations suivantes : • Comment importer des clients dans une cellule à l'aide de l'interface utilisateur graphique. Reportez-vous à la section “Importation de clients dans une cellule”, page 169. • Comment importer un Serveur d'installation dans une cellule à l'aide de l'interface utilisateur graphique. Reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. • Comment exporter des clients à l'aide de l'interface utilisateur graphique. Reportez-vous à la section “Exportation de clients d'une cellule”, page 175. • Comment importer des clusters/serveurs virtuels à l'aide de l'interface utilisateur graphique. Reportez-vous à la section “Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule”, page 172. • Comment assurer la sécurité à l'aide de l'interface utilisateur graphique. Reportez-vous à la section “Considérations sur la sécurité”, page 177. • Comment vérifier quels correctifs Data Protector sont installés. Reportez-vous à la section “Contrôle des correctifs Data Protector installés”, page 185. • Comment désinstaller le logiciel Data Protector. Reportez-vous à la section “Désinstallation du logiciel Data Protector”, page 188. • Comment ajouter ou supprimer des composants logiciels Data Protector. Reportez-vous à la section “Changement de composants logiciels Data Protector”, page 197. 168 Chapitre 3 Gestion de l'installation Importation de clients dans une cellule Importation de clients dans une cellule Lorsque vous distribuez le logiciel Data Protector à des clients à l'aide du Serveur d'installation, les systèmes client sont automatiquement ajoutés à la cellule. Dès que l'installation à distance est terminée, le client devient partie intégrante de la cellule. Quand effectuer l'importation ? Certains clients, tels que Novell NetWare, OpenVMS et Windows XP Edition Familiale, doivent être importés dans la cellule après l'installation. L'importation consiste à ajouter manuellement un système à la cellule lorsque le logiciel Data Protector a été installé. Une fois ajouté à la cellule Data Protector, le système devient un client Data Protector. Une fois que le système est membre de la cellule, les informations sur le nouveau client sont écrites dans la base de données IDB, située sur le Gestionnaire de cellule. Un client ne peut appartenir qu'à une seule cellule. Si vous souhaitez déplacer un client vers une autre cellule, vous devrez d'abord l'exporter à partir de sa cellule actuelle puis l'importer dans la nouvelle cellule. Pour connaître la procédure d'exportation des systèmes client, reportez-vous à la section “Exportation de clients d'une cellule”, page 175. Comment effectuer l'importation ? Pour importer un système client à l'aide de l'interface utilisateur graphique, procédez comme suit : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Clients, puis cliquez sur Importer client pour lancer l'assistant. Reportez-vous à la figure 3-1, page 170. REMARQUE Si vous voulez importer un client configuré avec de multiples cartes réseau, cochez la case Hôte virtuel dans l'assistant. Vous importez ainsi les multiples noms de ce système. Si vous importez un système client NDMP, cochez la case Serveur NDMP. Si vous importez un client OpenVMS, saisissez son nom TCP/IP dans la zone de texte Nom. Chapitre 3 169 Gestion de l'installation Importation de clients dans une cellule 3. Suivez les instructions de l'assistant pour ajouter un système à la cellule. Pour plus d'informations, reportez-vous à l'aide en ligne. Figure 3-1 Importation d'un système client dans la cellule 170 Chapitre 3 Gestion de l'installation Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule Quand effectuer l'ajout ? Vous devez ajouter un Serveur d'installation à la cellule dans les cas suivants : • S'il est installé en tant que Serveur d'installation UNIX indépendant, c'est-à-dire s'il n'est pas installé sur un Gestionnaire de cellule. Dans ce cas, il ne sera pas possible d'installer (charger) des clients dans une cellule avant que le Serveur d'installation n'ait été ajouté à cette cellule. • S'il est installé sur un Gestionnaire de cellule, mais que vous voulez aussi l'utiliser pour effectuer des installations à distance dans une autre cellule. Il doit alors être ajouté dans l'autre cellule (à l'aide de l'interface utilisateur graphique connectée au Gestionnaire de cellule de l'autre cellule). Contrairement à un client, un Serveur d'installation peut appartenir à plusieurs cellules. Par conséquent, il n'est pas nécessaire de le supprimer d'une cellule (exporter) avant de pouvoir l'ajouter dans une autre cellule (importer). Comment effectuer l'ajout ? Le processus d'importation d'un Serveur d'installation ressemble à celui d'un client. Pour exécuter cette tâche à l'aide de l'interface utilisateur graphique Data Protector (connectée au Gestionnaire de cellule de la cellule à laquelle le Serveur d'installation doit être ajouté), procédez comme suit : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Serveurs d’installation, puis cliquez sur Ajouter Serveur d'installation pour lancer l'assistant. Reportez-vous à la figure 3-1, page 170. 3. Suivez les instructions de l'assistant pour ajouter un système à la cellule. Pour plus d'informations, reportez-vous à l'aide en ligne. Chapitre 3 171 Gestion de l'installation Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule Après l'installation en local du logiciel Data Protector sur des clients compatibles cluster, vous devez importer les noms d'hôte de serveur virtuel (Microsoft Cluster Server, Veritas Cluster et Novell NetWare 6 Cluster Services) ou les packages de clusters d'applications (MC/ ServiceGuard) dans une cellule. Avant d'importer les noms d'hôtes de serveur virtuel, assurez vous que : ✓ des clients Data Protector sont installés sur tous les nœuds (clients) du cluster ; ✓ tous les packages de clusters s'exécutent au sein du cluster. Exemple d'importation de noms d'hôte de serveur virtuel : REMARQUE La procédure d'importation d'un nom d'hôte Microsoft Cluster Server diffère de celles de MC/ServiceGuard, Veritas Cluster et Novell NetWare6 Cluster Services. Microsoft Cluster Server Pour importer un cluster/serveur virtuel Microsoft à l'aide de l'interface utilisateur graphique Data Protector, procédez comme suit : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur MS Clusters, puis cliquez sur Importer cluster. 3. Dans la zone de résultats, entrez le nom du serveur virtuel ou parcourez le réseau pour sélectionner le cluster. Pour importer un nœud de cluster/serveur virtuel spécifique, cliquez deux fois sur ce dernier dans la fenêtre de navigation, puis cliquez sur le nœud/serveur virtuel voulu. 4. Cliquez sur Terminer. 172 Chapitre 3 Gestion de l'installation Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule Figure 3-2 Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster dans une cellule sous Microsoft Cluster Server MC/ServiceGuard, Après l'installation en local de Data Protector sur les clients compatibles cluster, vous devez importer le nom d'hôte du serveur virtuel si vous Veritas et Novell NetWare 6 Cluster voulez configurer des sauvegardes de données sur un disque partagé. Services Avant d'importer des noms d'hôte de serveur virtuel, assurez-vous que des clients Data Protector sont installés sur tous les nœuds du cluster et que tous les nœuds sont importés dans la cellule. Pour importer un package de clusters ou des ressources MC/ ServiceGuard, Veritas ou Novell NetWare 6 Cluster Services à l'aide de l'interface utilisateur graphique Data Protector, procédez comme suit : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Clients, puis cliquez sur Importer client pour lancer l'assistant. Reportez-vous à la figure 3-1, page 170. Pour importer un package de clusters d'applications MC/ ServiceGuard, Veritas ou Novell NetWare, saisissez son nom d'hôte. Chapitre 3 173 Gestion de l'installation Importation de noms d'hôte de serveur virtuel cluster ou de packages de clusters d'applications dans une cellule Cochez la case Hôte virtuel dans l'assistant pour indiquer qu'il s'agit d'un package de clusters d'applications. Reportez-vous à la figure 3-3, page 174. 3. Suivez les instructions de l'assistant pour importer le package de clusters d'applications dans la cellule. Figure 3-3 Importation d'un package de clusters d'applications dans une cellule sous MC/ServiceGuard Etape suivante Si vous voulez pouvoir configurer des sauvegardes de données sur les disques locaux des nœuds de cluster, vous devez aussi importer les clients Data Protector physiques. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Importation de clients dans une cellule”, page 169. 174 Chapitre 3 Gestion de l'installation Exportation de clients d'une cellule Exportation de clients d'une cellule L'exportation d'un client d'une cellule Data Protector revient à supprimer ses références de la base de données IDB sur le Gestionnaire de cellule sans pour autant désinstaller le logiciel du client. Cette procédure peut être réalisée à l'aide de l'interface utilisateur graphique Data Protector. Vous pouvez avoir besoin de la fonction d'exportation dans les cas suivants : • Vous voulez déplacer un client vers une autre cellule. • Vous voulez supprimer un client des configurations de cellule Data Protector qui ne font plus partie du réseau. • Vous voulez régler des problèmes dus à des licences insuffisantes Lorsque vous exportez un client d'une cellule, la licence devient disponible pour un autre système. Conditions préalables Avant d'exporter un client, vérifiez les éléments suivants : ✓ Toutes les occurrences du client sont supprimées des spécifications de sauvegarde. Dans le cas contraire, Data Protector essaiera de sauvegarder des clients inconnus et cette partie de la spécification de sauvegarde échouera. Reportez-vous aux instructions de l'aide en ligne pour savoir comment modifier les spécifications de sauvegarde. ✓ Aucun périphérique de sauvegarde n'est connecté au client ni configuré sur ce dernier. Une fois le système exporté, Data Protector ne peut plus utiliser ses périphériques de sauvegarde dans la cellule d'origine. Comment effectuer l'exportation ? Afin d'exporter un client à l'aide de l'interface utilisateur graphique de Data Protector, procédez comme suit : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez sur Clients, cliquez avec le bouton droit de la souris sur le système client à exporter, puis cliquez sur Supprimer. Reportez-vous à la figure 3-4, page 176. Chapitre 3 175 Gestion de l'installation Exportation de clients d'une cellule Figure 3-4 Exportation d'un système client 3. Un message vous demandera si vous voulez également désinstaller le logiciel Data Protector. Cliquez sur Non pour exporter le client, puis sur Terminer. Le client est supprimé de la liste dans la zone de résultats. REMARQUE Vous ne pouvez pas exporter un client Data Protector avec le Serveur d'installation installé sur le même système que le client à exporter. Clients cluster Si des clusters sont contenus dans votre cellule, vous pouvez les exporter en procédant comme suit : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur MS Clusters, puis cliquez sur Supprimer pour lancer l'assistant. Un message vous demandera si vous voulez également désinstaller le logiciel Data Protector. 3. Cliquez sur Non pour exporter le client cluster, puis sur Terminer. Le client cluster est supprimé de la liste dans la zone de résultats. 176 Chapitre 3 Gestion de l'installation Considérations sur la sécurité Considérations sur la sécurité Pourquoi offrir un mécanisme de sécurité ? Data Protector dispose d'un mécanisme de sécurité pouvant être configuré pour certains clients ou pour l'ensemble des clients Data Protector. Ce mécanisme vous permet de définir à partir de quel Gestionnaire de cellule il est possible d'accéder à un client. Ainsi, les autres systèmes Gestionnaire de cellule ne seront pas capables d'accéder à ce client. Après avoir installé les clients Data Protector et les avoir importés dans une cellule, il est vivement recommandé de les protéger afin d'éviter l'accès de tout Gestionnaire de cellule non autorisé. Pour les activités telles que la restauration, la sauvegarde, le lancement pré-exécution ou post-exécution, l'importation et l'exportation de clients, le client vérifie si le Gestionnaire de cellule, qui déclenche l'une de ces tâches via le port Data Protector (port par défaut 5555), est autorisé à le faire. Ce mécanisme de sécurité donne l'instruction au client de n'accepter de telles actions que de la part d'un Gestionnaire de cellule spécifié. Situations exceptionnelles Avant de commencer à limiter l'accès aux clients, prenez en compte les circonstances suivantes, qui peuvent poser des problèmes : • Le Gestionnaire de cellule possède plusieurs cartes réseau et plusieurs adresses/noms d'hôte IP. • Le Gestionnaire de cellule est compatible cluster. • Le Gestionnaire de cellule a été déplacé suite à une reprise après sinistre. • Le robot d'une bibliothèque de bandes est configuré sur un système séparé (ou dédié). Data Protector vous permet de définir toute une liste de systèmes explicitement autorisés à se connecter au client en tant que Gestionnaire de cellule. Afin d'éviter tout problème, préparez à l'avance la liste de tous les noms d'hôtes valides possibles pour d'autres Gestionnaires de cellule. La liste doit contenir : • Tous les noms d'hôte supplémentaires (pour les cartes réseau) du Gestionnaire de cellule. Chapitre 3 177 Gestion de l'installation Considérations sur la sécurité • Tous les noms d'hôte des nœuds cluster sur lesquels le Gestionnaire de cellule risque de basculer, ainsi qu'un nom d'hôte de serveur virtuel cluster. • Le nom du système cible dans lequel le Gestionnaire de cellule sera déplacé en cas de panne totale du Gestionnaire de cellule. Ce système cible doit être défini dans la stratégie de reprise après sinistre. • Pour les hôtes autorisés à accéder à un hôte commandant le robot d'une bibliothèque, tous les hôtes utilisant les lecteurs de cette dernière. IMPORTANT Si des noms de client supplémentaires ne sont pas ajoutés à la liste, seules les demandes provenant du Gestionnaire de cellule défini par son propre nom d'hôte principal sont approuvées. Vous ne pouvez pas exclure le Gestionnaire de cellule de la liste. Le concept d'autorisation et de refus d'accès peut s'appliquer à l'ensemble des systèmes sur lesquels Data Protector est installé. Vous pouvez par exemple autoriser ou refuser l'accès d'un Gestionnaire de cellule à un client, d'un Gestionnaire de cellule à un Gestionnaire de cellule ou d'un client à un client. REMARQUE Si le Serveur d'installation résidant sur un système autre que le Gestionnaire de cellule n'est pas ajouté à la liste des hôtes autorisés, il n'a pas accès à un client sécurisé. Dans ce cas, les opérations dépendant du Serveur d'installation (vérification de l'installation, ajout de composants et retrait de clients, par exemple) échoueront. Si vous souhaitez que ces opérations soient disponibles sur le client sécurisé, ajoutez le Serveur d'installation à la liste des hôtes autorisés. Comment renforcer la sécurité Pour permettre la vérification du Gestionnaire de cellule côté client, procédez comme suit dans l'interface utilisateur graphique de Data Protector : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur le(s) client(s) à sécuriser, puis cliquez sur Sécuriser. Reportez-vous à la figure 3-5, page 179. 178 Chapitre 3 Gestion de l'installation Considérations sur la sécurité Figure 3-5 Sécurisation d'un client 3. Dans la fenêtre Activer la sécurité sur le(s) client(s) sélectionné(s), saisissez le(s) systèmes Gestionnaire de cellule ou les clients auxquels vous voulez attribuer un accès, ou sélectionnez-les à l'aide des onglets Réseau et Recherche. Reportez-vous à la figure 3-6, page 180. Chapitre 3 179 Gestion de l'installation Considérations sur la sécurité Figure 3-6 Activation de la sécurité sur les clients sélectionnés 4. Cliquez sur Ajouter, puis sur Terminer. Que se passe-t-il ? Les clients vérifient la source de toutes les demandes des autres hôtes et refusent celles émises par des hôtes ne figurant pas dans le fichier allow_hosts. Si la demande est refusée, l'événement est consigné dans le fichier inet.log dans les répertoires suivants : • Sous Windows :<répertoire Data_Protector>\log • Sous HP-UX et Solaris : /var/opt/omni/log IMPORTANT Si vous ne sélectionnez pas de Gestionnaire de cellule dans la fenêtre Activer la sécurité pour le Gestionnaire de cellule et que vous cliquez sur Terminer, votre Gestionnaire de cellule sera automatiquement doté d'un accès sécurisé et ajouté à la liste des systèmes Gestionnaire de cellule. 180 Chapitre 3 Gestion de l'installation Considérations sur la sécurité Pour sécuriser tous les clients de la cellule, procédez comme suit : 1. Dans le Gestionnaire Data Protector, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, développez la Cellule Data Protector, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Clients, puis choisissez Sécurisation de la cellule. Reportez-vous à la figure 3-7. Figure 3-7 Sécurisation d'une cellule 3. Dans la fenêtre Activer la sécurité pour le Gestionnaire de cellule, saisissez le(s) système(s) Gestionnaire de cellule ou les clients auxquels vous voulez attribuer un accès, ou sélectionnez-les à l'aide des onglets Réseau et Recherche. Reportez-vous à la figure 3-8. Chapitre 3 181 Gestion de l'installation Considérations sur la sécurité Figure 3-8 Activation de la sécurité pour tous les clients de la cellule 4. Cliquez sur Ajouter, puis sur Terminer. Que se passe-t-il ? Les clients vérifient la source de toutes les demandes et refusent celles émises par des hôtes ne figurant pas dans le fichier allow_hosts. Si la demande est refusée, l'événement est consigné dans le fichier inet.log dans les répertoires suivants : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\log • Sous HP-UX et Solaris : /var/opt/omni/log Lorsque vous sécurisez une cellule entière, tous les clients qui résident dans la cellule sont sécurisés. Lorsque vous ajoutez un nouveau client à la cellule, sécurisez-le également. Suppression de la Pour supprimer la sécurité du/des système(s) client sélectionné(s), sécurité procédez comme suit : 1. Dans le Gestionnaire Data Protector, cliquez sur Clients. 182 Chapitre 3 Gestion de l'installation Considérations sur la sécurité 2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur le(s) client(s) pour lesquels vous voulez supprimer la sécurité, puis cliquez sur Supprimer les sécurités. 3. Cliquez sur Oui pour confirmer que vous autorisez l'accès au(x) client(s) sélectionné(s). Pour supprimer la sécurité de tous les clients importés dans la cellule, procédez comme suit : 1. Dans le Gestionnaire Data Protector, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, développez la Cellule Data Protector, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Clients, puis choisissez Suppression des sécurités de cellule. 3. Cliquez sur Oui pour confirmer que vous autorisez l'accès à tous les clients sélectionnés dans votre cellule. Les fichiers allow_hosts et deny_hosts Lorsque vous sécurisez un client, les noms d'hôte des systèmes Gestionnaire de cellule et des clients autorisés à accéder à un client figurent dans le fichier allow_hosts. Vous pouvez aussi refuser explicitement l'accès à un client par certains hôtes en ajoutant leurs noms au fichier deny_hosts. Ces fichiers se trouvent dans les répertoires suivants : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\Config\cell\ • Sous HP-UX et Solaris : /etc/opt/omni/cell/ • Sous les autres systèmes UNIX : /usr/omni/config/cell Indiquez chaque nom d'hôte sur une ligne distincte. Sur les systèmes Windows, les fichiers sont au format codé sur deux octets (Unicode) ; sur les systèmes HP-UX et Solaris, en revanche, ils sont au format codé sur un octet ou sur deux octets (Shift-JIS, par exemple). Chapitre 3 183 Gestion de l'installation Considérations sur la sécurité Enregistrement excessif dans un fichier inet.log Si les clients ne sont pas sécurisés et que le Gestionnaire de cellule est configuré dans l'environnement MC/ServiceGuard ou possède plusieurs noms ou numéros IP, le fichier inet.log peut contenir de nombreuses entrées du type suivant : Une requête 0 a été émise par l'hôte nom.entreprise.com qui n'est pas un Gestionnaire de cellule de ce client Ces entrées résultent du fait que le client, qui n'est pas sécurisé, ne reconnaît que le nom d'hôte principal du Gestionnaire de cellule. Les demandes provenant de tous les autres hôtes sont autorisées, mais enregistrées dans le fichier inet.log. Lorsqu'un client est sécurisé, les demandes provenant des hôtes répertoriés dans le fichier allow_hosts sont acceptées et ne sont donc pas enregistrées. Les demandes provenant d'autres hôtes sont refusées. La sécurisation des clients peut être une solution permettant d'éviter les entrées inutiles dans les fichiers inet.log. Néanmoins, il est préférable de répertorier tous les noms d'hôte possibles pour le Gestionnaire de cellule dans le fichier allow_hosts de chaque client. L'accès au client est ainsi garanti, même en cas de basculement. REMARQUE Si vous verrouillez un client par mégarde, vous pouvez modifier manuellement le fichier allow_hosts de ce client. 184 Chapitre 3 Gestion de l'installation Contrôle des correctifs Data Protector installés Contrôle des correctifs Data Protector installés Vous pouvez vérifier quels correctifs Data Protector sont installés sur chaque système de la cellule. Limites Les limites relatives au contrôle des correctifs sont les suivants : • Le contrôle des correctifs ne peut être effectué que sur les clients Data Protector sur lesquels Data Protector A.05.10 ou ultérieur est installé. Si la commande détecte un client avec une version plus ancienne de Data Protector, un message d'erreur est renvoyé. • Le contrôle des correctifs vérifie quels correctifs sont installés uniquement sur les membres de la même cellule. Condition préalable Pour utiliser cette fonctionnalité, le composant Interface utilisateur doit être installé. REMARQUE Si vous avez installé un correctif spécifique pour un site par le passé, celui-ci sera toujours répertorié dans le rapport des correctifs, même s'il a été par la suite inclus dans d'autres correctifs. Pour vérifier quels sont les correctifs Data Protector installés sur un système donné dans une cellule, utilisez l'interface graphique utilisateur ou l'interface de ligne de commande Data Protector. Contrôle des correctifs Data Protector à l'aide de l'interface graphique utilisateur Pour vérifier quels sont les correctifs installés sur un client en particulier à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector, procédez comme suit : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, développez Clients et sélectionnez un système de la cellule pour lequel vous souhaitez contrôler les correctifs installés. Chapitre 3 185 Gestion de l'installation Contrôle des correctifs Data Protector installés 3. Dans la zone de résultats, cliquez sur Patchs pour ouvrir la fenêtre Patchs sur. Figure 3-9 Vérification des correctifs installés Si des correctifs sont trouvés sur le système, la procédure de vérification retourne le niveau et la description de chaque chemin, ainsi que le nombre de correctifs installés. S'il n'existe aucun correctif Data Protector sur le système, la procédure de vérification retourne une liste vide. Si le système vérifié n'est pas un membre de la cellule, s'il n'est pas disponible ou si une erreur se produit, la procédure de vérification retourne un message d'erreur. 4. Cliquez sur OK pour fermer la fenêtre. 186 Chapitre 3 Gestion de l'installation Contrôle des correctifs Data Protector installés Contrôle des correctifs Data Protector à l'aide de l'interface de ligne de commande Pour vérifier quels sont les correctifs installés sur un client en particulier à l'aide de l'interface de ligne de commande Data Protector, exécutez la commande omnicheck -patches -host nom_hôte à partir du répertoire suivant : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\bin • Sous UNIX :/opt/omni/bin où nom_hôte est le nom du système à vérifier. Pour en savoir plus sur la commande omnicheck, reportez-vous à la page omnicheck du manuel. Chapitre 3 187 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector Désinstallation du logiciel Data Protector Si la configuration de votre système change, vous souhaiterez peut-être désinstaller Data Protector du système ou retirer certains de ses composants logiciels. La désinstallation consiste à supprimer tous les composants Data Protector du système, dont toutes les références à ce système provenant de la base de données IDB sur l'ordinateur du Gestionnaire de cellule. Si le dossier ou Data Protector est installé comporte d'autres données, vérifiez que vous les avez enregistrées à l'autre emplacement avant de désinstaller Data Protector. Dans le cas contraire, elles seront supprimées au moment de la désinstallation. La désinstallation du logiciel Data Protector d'une cellule se déroule comme suit : 1. Désinstallation du logiciel client Data Protector à l'aide de l'interface graphique utilisateur. Reportez-vous à la section “Désinstallation d'un client Data Protector”, page 189. 2. Désinstallation du Gestionnaire de cellule Data Protector et du Serveur d'installation : Reportez-vous à la section “Désinstallation du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation”, page 190. Vous pouvez également désinstaller des composants logiciels de Data Protector sans désinstaller le Gestionnaire de cellule ou le client. Reportez-vous à la section “Changement de composants logiciels Data Protector”, page 197. Vous pouvez également supprimer manuellement le logiciel Data Protector. Reportez-vous à la section “Suppression manuelle du logiciel Data Protector sous UNIX”, page 195. Conditions préalables Avant de désinstaller le logiciel Data Protector d'un ordinateur, vérifiez les points suivants : ✓ Vérifiez que toutes les références à l'ordinateur ont été retirées des spécifications de sauvegarde. Dans le cas contraire, Data Protector essaiera de sauvegarder des systèmes inconnus et cette partie de la spécification de sauvegarde échouera. Reportez-vous aux instructions de l'aide en ligne pour savoir comment modifier les spécifications de sauvegarde. ✓ Vérifiez qu'aucun périphérique de sauvegarde n'est connecté ou configuré sur le système que vous voulez désinstaller. Une fois le système désinstallé, les périphériques de sauvegarde qui y sont connectés ne sont plus accessibles par la cellule d'origine. 188 Chapitre 3 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector Désinstallation d'un client Data Protector REMARQUE La procédure de désinstallation à distance nécessite que le Serveur d'installation soit installé pour les plates-formes à partir desquelles vous désinstallez le logiciel de Data Protector. Pour désinstaller un client à distance, procédez comme suit dans l'interface graphique de Data Protector : 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, développez Clients, cliquez avec le bouton droit de la souris sur le client à désinstaller, puis cliquez sur Supprimer. Un message vous demandera si vous voulez également désinstaller le logiciel Data Protector. 3. Cliquez sur Oui pour désinstaller tous les composants logiciels du client, puis sur Terminer. Le client sera supprimé de la liste figurant dans la zone de résultats et le logiciel Data Protector sera supprimé de son disque dur. Clients cluster Si vous avez des clusters dans votre environnement Data Protector et que vous souhaitez les désinstaller, vous devez le faire localement. La procédure est la même que pour la désinstallation du Gestionnaire de cellule ou du Serveur d'installation. Reportez-vous à la section “Désinstallation du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation”, page 190. Le client cluster sera supprimé de la liste figurant dans la zone de résultats et le logiciel Data Protector sera supprimé de son disque dur. Clients OpenVMS Un client OpenVMS Data Protector ne peut être supprimé à distance avec un Serveur d'installation. Il doit être désinstallé localement. Pour désinstaller un client Data Protector d'un système OpenVMS, procédez comme suit : 1. Commencez par exporter le client concerné à partir de la cellule Data Protector dans l'interface graphique de ce dernier, comme indiqué à la section “Exportation de clients d'une cellule”, page 175. A la question demandant si vous souhaitez désinstaller également le logiciel Data Protector, répondez Non. Chapitre 3 189 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector 2. Pour supprimer réellement le logiciel client Data Protector, connectez-vous dans le compte SYSTEM du client OpenVMS et exécutez la commande suivante : $ PRODUCT REMOVE DP A l'invite, répondez OUI. IMPORTANT Cela ferme le service Data Protector et supprime tous les répertoires, fichiers et comptes associés à Data Protector sur le système OpenVMS. Désinstallation du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Cette section décrit la procédure permettant de désinstaller le logiciel du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Data Protector des systèmes Windows, HP-UX et Solaris. Désinstallation dans un système Windows Pour désinstaller le logiciel Data Protector d'un système Windows, procédez comme suit : 1. Assurez-vous que toutes les sessions de Data Protector sont terminées et que vous avez quitté l'interface utilisateur graphique. 2. Dans le Panneau de configuration de Windows, cliquez sur Ajout/ Suppression de programmes. 3. Sélectionnez HP OpenView Storage Data Protector A.05.10 et cliquez sur Ajouter/Supprimer (sous Windows NT) ou Supprimer (sur les autres systèmes Windows). 4. Lorsque la désinstallation est terminée, cliquez sur Terminer pour quitter l'assistant. Désinstallation dans un système HP-UX Avant de commencer à désinstaller le logiciel Data Protector, arrêtez tous les processus Data Protector en cours d'exécution sur le système du Gestionnaire de cellule et/ou du Serveur d'installation : 1. Connectez-vous en tant que root et exécutez la commande omnisv -stop à partir du répertoire /opt/omni/sbin. 190 Chapitre 3 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector 2. Tapez la commande ps -ef | grep omni pour vérifier si tous les processus ont bien été arrêtés. Aucun processus Data Protector ne devrait être répertorié sur exécution de la commande ps -ef | grep omni. Si vous avez des processus Data Protector en cours d'exécution, arrêtez-les à l'aide de la commande kill -9 <ID_processus> avant de procéder à la désinstallation. 3. Exécutez /usr/sbin/swremove DATA-PROTECTOR pour désinstaller le logiciel Data Protector. Pour supprimer les répertoires restants de Data Protector de votre système, reportez-vous à la section “Suppression manuelle du logiciel Data Protector sous UNIX”, page 195. Désinstallation du Gestionnaire de cellule et/ou du Serveur d'installation configuré(s) sur MC/ServiceGuard Si votre Gestionnaire de cellule et/ou votre Serveur d'installation sont configurés sur un cluster MC/ServiceGuard, procédez comme suit pour désinstaller le logiciel. Nœud principal Connectez-vous au nœud principal et procédez comme suit : 1. Arrêtez le package Data Protector : cmhaltpkg <nom_pkg> où <nom_pkg> correspond au nom du package de clusters. Par exemple : cmhaltpkg ob2cl 2. Désactivez le mode cluster pour le groupe de volumes : vgchange -c n <nom_gv> (où <nom_gv> correspond au nom du chemin du groupe de volumes placé dans le sous-répertoire du répertoire /dev). Par exemple : vgchange -c n /dev/vg_ob2cm 3. Activez le groupe de volumes : vgchange -a y -q y <nom_vg> Chapitre 3 191 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector Par exemple : vgchange -a y -q y /dev/vg_ob2cm 4. Montez le volume logique sur le disque partagé : mount <chemin_vl> <disque_partagé> (où <chemin_vl> correspond au nom de chemin du volume logique et où <disque_partagé> correspond au point de montage ou répertoire partagé). Par exemple : mount /dev/vg_ob2cm/lv_ob2cm /omni_shared 5. Supprimez Data Protector à l'aide de l'outil swremove. 6. Supprimez les liens programmables : rm /etc/opt/omni rm /var/opt/omni 7. Supprimez les répertoires de sauvegarde : rm -rf /etc/opt/omni.save rm -rf /var/opt/omni.save 8. Supprimez le répertoire Data Protector et son contenu : rm -rf /opt/omni 9. Démontez le disque partagé : umount /<disque_partagé> Par exemple : umount /omni_shared 10. Désactivez le groupe de volumes : vgchange -a n <nom_gv> Par exemple : vgchange -a n /dev/vg_ob2cm Nœud secondaire Connectez-vous au nœud secondaire et procédez comme suit : 1. Activez le groupe de volumes : vgchange -a y <nom_gv> 192 Chapitre 3 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector 2. Montez le disque partagé : mount <chemin_vl> <disque_partagé> 3. Supprimez Data Protector à l'aide de l'outil swremove. 4. Supprimez les liens programmables : rm /etc/opt/omni rm /var/opt/omni 5. Supprimez les répertoires de sauvegarde : rm -rf /etc/opt/omni.save rm -rf /var/opt/omni.save 6. Supprimez le répertoire Data Protector et son contenu : rm -rf /opt/omni 7. Supprimez les répertoires du système de fichiers partagé : rm -rf <disque_partagé>/etc_opt_omni rm -rf <disque_partagé>/var_opt_omni Par exemple : rm -rf /omni_shared/etc_opt_omni rm -rf /omni_shared/etc_opt_omni 8. Démontez le disque partagé : umount /<disque_partagé> 9. Désactivez le groupe de volumes : vgchange -a n <nom_gv> Data Protector est complètement supprimé du système. Désinstallation dans les systèmes Solaris Gestionnaire de cellule Le Gestionnaire de cellule pour Solaris est toujours installé en local à l'aide de l'utilitaire pkgadd. Par conséquent, il doit être désinstallé en local à l'aide de l'utilitaire pkgrm. Pour désinstaller le Gestionnaire de cellule Data Protector, procédez comme suit : Chapitre 3 193 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector 1. Assurez-vous que vous avez terminé toutes les sessions de Data Protector et quitté l'interface utilisateur graphique. 2. Entrez la commande pkginfo | grep OB2 pour répertorier tous les packages Data Protector installés sur le Gestionnaire de cellule. Les packages associés au Gestionnaire de cellule se répartissent comme suit : OB2-CORE Logiciel central Data Protector OB2-C-IS Logiciel du Serveur d'installation OB2-CS Logiciel du Gestionnaire de cellule OB2-CC Logiciel de la console de cellule, contenant l'interface utilisateur graphique et l'interface de ligne de commande Si des clients Data Protector ou Serveur d'installation sont aussi installés sur le système, les autres packages seront également répertoriés. REMARQUE Si vous souhaitez laisser tout autre composant Data Protector installé, vous devez conserver le package OB2-CORE car il est indispensable au fonctionnement des autres packages. 3. Retirez dans l'ordre inverse de celui où il ont été installés les packages mentionnés dans l'étape précédente par la commande pkgrm <nom du package> et suivez les instructions qui apparaissent sur la ligne de commande. Serveur d'installation Le Serveur d'installation pour UNIX sur Solaris est toujours installé en local à l'aide de l'utilitaire pkgadd. Par conséquent, il doit être désinstallé en local à l'aide de l'utilitaire pkgrm. Pour désinstaller le Serveur d'installation Data Protector, procédez comme suit : 1. Assurez-vous que toutes les sessions de Data Protector sont terminées et que vous avez quitté l'interface utilisateur graphique. 2. Entrez la commande pkginfo | grep OB2 pour répertorier tous les packages Data Protector installés sur le système du Serveur d'installation. 194 Chapitre 3 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector Les packages associés au Serveur d'installation se répartissent comme suit : OB2-CORE Logiciel central Data Protector OB2-C-IS Logiciel central Serveur d'installation OB2-SOLUX Ensembles de l'Agent de disque, de l'Agent de supports et de l'interface utilisateur graphique pour les systèmes Solaris distants OB2-OTHUX Ensembles de l'Agent de disque et de l'Agent de supports pour systèmes UNIX non-Solaris distants Si d'autres composants Data Protector sont installés sur le système, ils seront également répertoriés. REMARQUE Si vous souhaitez laisser tout autre composant Data Protector installé, vous devez conserver le package OB2-CORE car il est indispensable au fonctionnement des autres packages. 3. Retirez dans l'ordre inverse de celui où il ont été installés les packages mentionnés dans l'étape précédente par la commande pkgrm <nom du package> et suivez les instructions qui apparaissent sur la ligne de commande. Suppression manuelle du logiciel Data Protector sous UNIX Avant de désinstaller un client UNIX, vous devez l'exporter de la cellule. Pour connaître la procédure, reportez-vous à la section “Exportation de clients d'une cellule”, page 175. Systèmes HP-UX Pour supprimer manuellement les fichiers d'un système HP-UX, procédez comme suit : 1. Exécutez /usr/sbin/swremove DATA-PROTECTOR pour supprimer le logiciel Data Protector. Chapitre 3 195 Gestion de l'installation Désinstallation du logiciel Data Protector 2. Supprimez les répertoires suivants à l'aide de la commande rm : rm -fr /var/opt/omni rm -fr /etc/opt/omni rm -fr /opt/omni A ce stade, les références Data Protector ne figurent plus sur votre système. Systèmes Solaris Pour supprimer manuellement les fichiers d'un système Solaris, supprimez-les des répertoires suivants puis supprimez les répertoires à l'aide de la commande rm : rm -fr /var/opt/omni rm -fr /etc/opt/omni rm -fr /opt/omni Autres systèmes UNIX Supprimez les fichiers du répertoire suivant puis supprimez le répertoire à l'aide de la commande rm : rm -fr /usr/omni 196 Chapitre 3 Gestion de l'installation Changement de composants logiciels Data Protector Changement de composants logiciels Data Protector Cette section décrit la procédure de suppression et d'ajout de composants logiciels Data Protector sur les systèmes Windows, HP-UX et Solaris. Pour obtenir la liste des composants Data Protector pris en charge selon les systèmes d'exploitation, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Les composants logiciels Data Protector peuvent être ajoutés sur le Gestionnaire de cellule ou sur un client à l'aide de l'interface utilisateur graphique de Data Protector. L'installation à distance de composants sélectionnés s'effectue à l'aide de la fonctionnalité Serveur d'installation. Pour en connaître la procédure détaillée, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Les composants Data Protector peuvent être supprimés en local sur le Gestionnaire de cellule ou sur un client. Sur les systèmes Windows Pour ajouter ou supprimer des composants logiciels Data Protector sous Windows, procédez comme suit : 1. Dans le Panneau de configuration de Windows, cliquez sur Ajout/ Suppression de programmes. 2. Sélectionnez HP OpenView Storage Data Protector A.05.10 et cliquez sur Ajouter/Supprimer (sous Windows NT) ou Modifier (sur les autres systèmes Windows). Cliquez sur Suivant. 3. Dans la fenêtre Maintenance du programme, cliquez sur Modifier, puis sur Suivant. 4. Dans la fenêtre Installation personnalisée, sélectionnez les composants à ajouter et/ou désélectionnez les composants à supprimer. Cliquez sur Suivant. 5. Cliquez sur Installer pour démarrer l'installation ou la suppression des composants logiciels que vous avez spécifiés à l'étape précédente. 6. Lorsque la procédure est terminée, cliquez sur Terminer pour quitter l'assistant. Chapitre 3 197 Gestion de l'installation Changement de composants logiciels Data Protector Clients compatibles cluster Si vous modifiez les composants logiciels de Data Protector sur les clients compatibles cluster, vous devez le faire localement, à partir du CD-ROM, sur chaque nœud de cluster. Ensuite, vous devez importer manuellement le nom d'hôte du serveur virtuel dans la cellule Data Protector à l'aide de l'interface utilisateur. Sur les systèmes HP-UX Vous pouvez ajouter de nouveaux composants à l'aide de la fonctionnalité Serveur d'installation. Sur les systèmes HP-UX, certains composants Data Protector dépendent les uns des autres et ne pourront fonctionner correctement si vous supprimez l'un d'entre eux. Le tableau ci-dessous présente les composants et leurs interdépendances : Tableau 3-1 Dépendances de composants logiciels Data Protector sous HP-UX Les composants... dépendent de... OMNI-MOMGUI OMNI-CC OMNI-CC, OMNI-CORE-IS OMNI-CORE OMNI-CS OMNI-CORE, OMNI-CC OMNI-INTEG, OMNI-DA, OMNI-MA OMNI-CORE OMNI-DAS, OMNI-ACS, OMNI-NDMP OMNI-MA OMNI-DAS-P, OMNI-ASC-P, OMNI-NDMP-P OMNI-CORE-IS OMNI-INF-P, OMNI-SYB-P, OMNI-ORA-P, OMNI-OR8-P, OMNI-SAP-P, OMNI-EMC-P, OMNI-SNAPA-P, OMNI-SSEA-P, OMNI-INTEG OMNI-HPUX-P, OMNI-OTHUX-P, OMNI-OMNIST OMNI-CORE-IS OMNI-LOTUS-P, OMNI-OV-P OMNI-CORE-IS 198 OMNI-CORE-IS Chapitre 3 Gestion de l'installation Changement de composants logiciels Data Protector Procédure Pour supprimer des composants logiciels Data Protector, procédez comme suit : 1. Connectez-vous en tant que root, puis exécutez la commande swremove. 2. Cliquez deux fois sur B6960MA, DATA-PROTECTOR, puis sur OB2-CM pour afficher une liste des composants Data Protector. 3. Sélectionnez les composants à supprimer. 4. Dans le menu Actions, cliquez sur Marquer pour suppression pour repérer les composants devant être supprimés. 5. Après avoir marqué les composants à supprimer, cliquez sur Supprimer dans le menu Actions, puis sur OK. REMARQUE Lorsque vous marquez les composants Data Protector à supprimer et que la suppression de ceux-ci risque d'affecter le fonctionnement d'autres composants, la boîte Dépendances apparaît pour vous présenter la liste des composants dépendants. Spécificités d'Oracle Après la désinstallation de l'intégration Oracle8/9 Data Protector sur un système de serveur Oracle8/9, le logiciel Oracle8/9 Server reste lié à la bibliothèque de base de données Data Protector. Vous devez supprimer ce lien, faute de quoi vous ne pourrez pas démarrer le serveur Oracle8/9 après suppression de l'intégration. Reportez-vous à la section “Utilisation d’Oracle 8/9 après le retrait de l’intégration d’Oracle8/9 dans Data Protector” dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector. Sur les systèmes Solaris Vous pouvez ajouter de nouveaux composants à l'aide de la fonctionnalité Serveur d'installation. Sur les systèmes Solaris, certains composants logiciels Data Protector dépendent les uns des autres et ne pourront fonctionner correctement si vous supprimez l'un d'entre eux. Chapitre 3 199 Gestion de l'installation Changement de composants logiciels Data Protector Le tableau ci-dessous présente les composants et leurs interdépendances : Tableau 3-2 Procédure Dépendances des composants logiciels Data Protector sous Solaris Les composants... dépendent de... OB2-MOMGUI OB2-CC OB2-CC, OB2-C-IS OB2-CORE OB2-CS OB2-CORE, OB2-CC OB2-INTGP, OB2-DA, OB2-MA OB2-CORE OB2-DASP, OB2-ACSP, OB2-NDMPP OB2-MA OB2-SOLUX OB2-C-IS OB2-INFP, OB2-SYBP, OB2-OR8P, OB2-SAPP, OB2-EMCP, OB2-SNAPP, OB2-SSEAP OB2-INTGP OB2-OTHUX, OB2-OSTP, OB2-LOTP, OB2-OVP OB2-C-IS OB2-C-IS Pour supprimer des composants logiciels Data Protector sur des systèmes Solaris, procédez comme suit : 1. Assurez-vous que toutes les sessions de Data Protector sont terminées et que vous avez quitté l'interface utilisateur graphique. 2. Entrez la commande pkginfo | grep OB2 pour répertorier tous les packages Data Protector installés. 3. Retirez dans l'ordre inverse de celui où il ont été installés les packages mentionnés dans l'étape précédente par la commande pkgrm <nom du package> et suivez les instructions qui apparaissent sur la ligne de commande. Autres systèmes UNIX Lorsque vous supprimez manuellement des composants d'un client Data Protector sur un système UNIX autre que Solaris ou HP-UX, mettez à jour le fichier omni_info dans le répertoire /usr/omni/bin/install/ omni_info. 200 Chapitre 3 Gestion de l'installation Changement de composants logiciels Data Protector Pour chacun des composants désinstallés, supprimez la chaîne de version du composant associé dans le fichier omni_info. Si vous retirez simplement des composants d'un client Data Protector et que vous n'avez pas exporté le client à partir de la cellule, vous devrez mettre à jour la configuration de la cellule dans le fichier cell_info (sur le Gestionnaire de cellule). Pour cela, utilisez la commande suivante sur un système dans la cellule, avec la console de cellule installée : /opt/omni/bin/omnicc -update_host <nom_hôte> Chapitre 3 201 Gestion de l'installation Changement de composants logiciels Data Protector 202 Chapitre 3 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Chapitre 4 203 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Description du chapitre Description du chapitre Ce chapitre contient des instructions pour effectuer les tâches de mise à niveau suivantes : • Mise à niveau de OmniBack II version A.03.50 vers Data Protector A.05.10. Reportez-vous à la section “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50”, page 208. • Mise à niveau de OmniBack II version A.03.51 vers Data Protector A.05.10. Reportez-vous à la section “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51”, page 234. • Mise à niveau de OmniBack II version A.04.x vers Data Protector A.05.10. Reportez-vous à la section “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x”, page 253. • Mise à niveau de Data Protector version A.05.00 vers Data Protector A.05.10. Reportez-vous à la section “Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00”, page 268. • Mise à niveau de l'Edition serveur unique Data Protector. Reportez-vous à la section “Mise à niveau à partir de l'Edition serveur unique”, page 280. • Mise à niveau de HP-UX 10.20 vers HP-UX 11.x. Reportez-vous à la section “Mise à niveau du système HP-UX 10.20 à HP-UX 11.x.”, page 283. • Mise à niveau de Windows NT vers Windows 2000/XP. Reportez-vous à la section “Mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows”, page 285. • Mise à niveau de la version de produit existante vers Data Protector A.05.10 dans l'environnement MC/ServiceGuard. Reportez-vous à la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard”, page 287. • Mise à niveau de la version de produit existante vers Data Protector A.05.10 dans l'environnement Microsoft Cluster Server. Reportez-vous à la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server”, page 291. 204 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Présentation de la mise à niveau Présentation de la mise à niveau Avant de mettre à niveau une version de produit existante vers Data Protector A.05.10, tenez compte des éléments suivants : • Pour en savoir plus sur les plates-formes et versions prises en charge, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. • Réalisez une sauvegarde du système de Gestionnaire de cellule existant et de la base de données interne (IDB). • Après la mise à niveau, le Gestionnaire de cellule, le Serveur d'installation et tous les clients doivent avoir la même version de Data Protector installée. • Après la mise à niveau d'un environnement multicellule (MoM), la même version de Data Protector doit être installée sur chaque Gestionnaire de cellule. • HP-UX 10.20 n'est plus une plate-forme de Gestionnaire de cellule prise en charge. Pour connaître la procédure de mise à niveau du Gestionnaire de cellule de OmniBack II A.03.50 ou de OmniBack II A.04.x sous HP-UX 10.20, reportez-vous à la section “Mise à niveau du système HP-UX 10.20 à HP-UX 11.x.”, page 283. • Si vous avez une licence permanente pour OmniBack II A.03.50, A.03.51, A.04.x ou Data Protector A.05.00, elle peut être utilisée avec Data Protector A.05.10. Dans le cas contraire, assurez-vous que vous disposez d'une licence temporaire valable pour une durée de 60 jours à partir de la date d'installation. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous au Chapitre 5, “Attribution de licences Data Protector”, page 295. Limites • La mise à niveau de Data Protector A.05.10 est prise en charge uniquement pour OmniBack II A.03.5x, OmniBack II A.04.x et Data Protector A.05.00. Chapitre 4 205 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Présentation de la mise à niveau • Le changement de plate-forme du Gestionnaire de cellule n'est pas pris en charge dans la version A.05.10 de Data Protector. Les mises à niveau sont prises en charge uniquement sur une même plate-forme de Gestionnaire de cellule (de HP-UX à HP-UX, de Solaris à Solaris et de Windows à Windows). • La restauration à partir des sauvegardes de boîte aux lettres unique Microsoft Exchange Server 5.5 ou Microsoft Exchange 2000 Server n'est pas possible après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10. Vous pouvez cependant restaurer les sauvegardes existantes dans un fichier .pst au moyen d'une restauration de système de fichiers. • Si vous effectuez la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 sous Windows et si votre version de Microsoft Installer (MSI) est antérieure à 2.0, le programme d'installation de Data Protector met automatiquement cette dernière à niveau vers la version 2.0. Cependant, vous devez redémarrer le système pour que les modifications prennent effet, puis relancer l'installation. Consultez le support de Microsoft pour en savoir plus sur les prérequis de MSI 2.0 en fonction des différents systèmes d'exploitation Windows. Séquence de mise Pour mettre à niveau votre cellule des versions précédentes du produit à niveau vers Data Protector A.05.10, procédez comme suit : 1. Mettez à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation vers Data Protector A.05.10. La procédure est différente pour les plates-formes UNIX et Windows. 2. Mettez à niveau les clients de l'interface utilisateur graphique parallèlement au Gestionnaire de cellule. 3. Mettez à niveau les clients qui ont une intégration d'application en ligne installée, telles qu'Oracle, SAP R/3, Informix, SQL, Exchange et autres, afin de les faire fonctionner à l'intérieur de la cellule Gestionnaire de cellule. 4. Mettez à niveau les clients sur lesquels l'Agent de supports est installé avec le Gestionnaire de cellule. A cette étape, vous pouvez réaliser des sauvegardes. 5. Mettez à niveau dans un délai de quinze jours les clients sur lesquels l'Agent de disque du système de fichiers est installé. 206 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Présentation de la mise à niveau Mise à niveau dans un environnement MoM Pour mettre à niveau votre environnement MoM vers Data Protector A.05.10, vous devez dans un premier temps mettre à niveau le système du Gestionnaire MoM. Cela fait, chaque Gestionnaire de cellule des versions précédentes, qui n'aurait pas encore été mis à niveau, peut accéder à la MMDB centrale et à l'attribution centralisée des licences, effectuer des sauvegardes et des restaurations, mais les autres fonctionnalités ne sont pas disponibles. Notez que le partage de périphérique entre la cellule MoM Data Protector A.05.10 et les cellules sur lesquelles d'anciennes versions du produit sont installées n'est pas assuré. Chapitre 4 207 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 La version OmniBack II A.03.50 peut être directement mise à niveau vers Data Protector A.05.10 pour les plates-formes UNIX et Windows. Licences Les licences existantes pour OmniBack II A.03.50 restent valides après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10. Toutefois, le rachat de certains types de licence n'est pas disponible et celles-ci sont alors remplacées par de nouvelles licences. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous au Chapitre 5, “Attribution de licences Data Protector”, page 295. Séquence de mise Pour plus d'informations sur la séquence de mise à niveau, reportez-vous à niveau à la section “Présentation de la mise à niveau”, page 205. Besoins de la base L'espace disque requis pour la mise à niveau est considérable du fait que IDB en matière l'ancienne base de données est conservée sur le système. C'est pourquoi il d'espace disque est essentiel de calculer les besoins d'espace disque et de vérifier que l'espace disponible est suffisant. Pour pouvoir estimer l'espace disque requis, vous devez tenir compte des points suivants : • L'ancienne base de données interne (IDB) OmniBack II A.03.50 est conservée et inchangée tout au long du processus de mise à niveau. • La nouvelle base de données IDB sera approximativement de la même taille que la base IDB A.03.50, mais la taille de la partie des versions de fichier y sera deux fois moins importante que dans la base IDB A.03.50. • Pendant la mise à niveau, la base de données IDB OmniBack II A.03.50 et celle de Data Protector A.05.10 doivent être hébergées sur le système du Gestionnaire de cellule. Une fois que la mise à niveau est terminée (y compris celle de la partie des détails de la base IDB) et que la cellule Data Protector est opérationnelle, la base de données IDB OmniBack II A.03.50 n'est plus accessible. 208 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Pour calculer l'espace disque nécessaire pour la nouvelle base de données IDB, procédez comme suit : 1. Vérifiez la taille du répertoire /var/opt/omni/db sur les systèmes HP-UX et du répertoire <répertoire Data_Protector>\db sur les systèmes Windows. 2. A l'aide de la commande omnidbutil -extendinfo, vérifiez la taille et l'emplacement des fichiers d'extension (fvers et fnames). Si tous les fichiers d'extension se trouvent dans le répertoire db, la taille du répertoire db représente la taille totale de la base de données OmniBack II A.03.50. Si certains fichiers d'extension se trouvent à un autre emplacement, ajoutez leurs tailles respectives, puis calculez celle de la base de données OmniBack II A.03.50 comme suit : TailleAncienneBD = tailleBD + TailleExt 3. Soustrayez la taille de tous les fichiers d'extension fvers (tailleFvers) de la taille totale de la base de données pour obtenir la taille de celle-ci sans les versions de fichier : TailleBase = TailleAncienneBD – tailleFvers Lors de la mise à niveau de sa partie centrale, la base de données IDB est mise à niveau sans les noms et les versions de fichier. Pour calculer la taille de la base de données mise à niveau lors de la mise à niveau de la partie centrale (taillePartieCentBD), soustrayez la taille des fichiers fnames et fvers de la taille totale de la base de données : TaillePartieCentBD = TailleAncienneBD – tailleFvers – tailleFname 4. La taille des fichiers d'extension fvers divisée par deux donne l'espace requis pour vos répertoires dcbf : TailleDCBF = tailleFvers ---------------------------2 5. Ajoutez ce nombre à la taille de base de la base de données pour calculer la taille initiale de la base de données IDB A.05.10 après la mise à niveau : TailleNouvelleBD = TailleBas e + TailleDCBF Chapitre 4 209 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 6. Pour assurer une utilisation correcte de l'espace disque par Data Protector, configurez les répertoires dcbf à l'aide de l'interface utilisateur graphique une fois que la mise à niveau de la partie centrale est terminée : • Spécifiez l'emplacement des répertoires dcbf. • Spécifiez la taille maximum appropriée pour chaque répertoire dcbf. Exemple Pour calculer la taille initiale de la base de données IDB A.05.10 sur HP-UX, procédez comme suit : 1. Supposons que la taille du répertoire db soit de 9,8 Go. 2. A l'aide de la commande omnidbutil -extendinfo, vérifiez la taille et l'emplacement des fichiers d'extension (fvers et fnames). /var/opt/omni/db/cdb/fvers.dat 2,5 Go /var/opt/omni/db/cdb/fvers.dat1 2,5 Go /var/opt/omni/db/cdb/fvers.dat2 2 Go /var/opt/omni/db/cdb/fnames.dat2 2 Go /disk/fnames.dat1 1,4 Go 3. Le fichier fnames.dat1 ne se trouve pas dans le répertoire db ; il faut donc ajouter sa taille à celle du répertoire db pour obtenir la taille totale de la base de données OmniBack II A.03.50 (TailleAncienneBD) : 9, 8Go + 1, 4Go = 11, 2Go 4. Calculez la taille de la base de données sans les versions de fichier (TailleBase) : 11, 2Go – 7Go = 4, 2Go La taille de la base de données, mise à niveau lors de la mise à niveau de la partie centrale, est : 11, 2Go – 7Go – 3, 4Go = 0, 8Go 5. Calculez la taille nécessaire pour les répertoires dcbf (TailleDCBF) : ( 2, 5Go + 2, 5Go + 2Go ) ⁄ 2 = 3, 5Go 210 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 6. Calculez la taille initiale de la base de données IDB A.05.10 (TailleNouvelleBD) : 4, 2Go + 3, 5Go = 7, 7Go Besoins en termes La procédure de mise à niveau de la partie centrale de la base de données de temps IDB dure de 30 minutes à deux heures selon la taille de la base de données, ainsi que la vitesse et la charge du système. La mise à niveau de la partie des détails de la base de données IDB prend de 3 à 6 heures par giga-octet de données, et peut être effectuée ultérieurement, même après la mise à niveau de cellule et la réalisation de quelques sauvegardes. Dans l'exemple décrit ci-dessus, la mise à niveau de la partie des détails prendrait entre 18 et 36 heures. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation HP-UX Condition préalable Arrêtez tous les services OmniBack II avant de lancer la procédure de mise à niveau, en exécutant la commande /opt/omni/sbin/omnisv.sh -stop. REMARQUE Vous devez bénéficier des permissions root pour effectuer la mise à niveau. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule HP-UX Le Gestionnaire de cellule HP-UX est mis à niveau automatiquement lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée. Celle-ci supprime le package existant à l'aide de l'utilitaire swremove et installe les packages OMNI-CORE, OMNI-CC, OMNI-CS, OMNI-DA et OMNI-MA à l'aide de l'utilitaire swinstall. Si le Serveur d'installation est présent, il est également mis à niveau. La procédure détaillée à suivre pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule HP-UX est décrite dans la “Procédure détaillée de mise à niveau”, page 214. Chapitre 4 211 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Mise à niveau de la L'ancienne base de données reste dans le dossier /var/opt/omni/db. base de données Néanmoins, l'ancien fichier /var/opt/omni/db/catalog est déplacé vers /var/opt/omni/db/catalog.OLD. La nouvelle base de données est installée dans le dossier /var/opt/omni/db40. La mise à niveau de la base de données est constituée de : 1. la mise à niveau de la partie centrale de la base de données IDB ; 2. la mise à niveau de la partie de la base de données IDB contenant les détails. Mise à niveau de la La procédure de mise à niveau de la partie centrale de la base IDB, qui partie centrale de consiste à transférer les données vitales de l'ancienne vers la nouvelle base de données, est démarrée systématiquement en tant que partie la base IDB intégrante de la mise à niveau, lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée. La totalité de la MMDB et les informations de session sont transférées. En revanche, les messages de session, les noms et les versions de fichier ne sont pas transférés lors de la mise à niveau de la partie centrale. Après la mise à niveau de la partie centrale de la base de données, toutes les fonctionnalités de Data Protector sont disponibles, à l'exception de l'exploration de fichiers et répertoires uniques. Reportez-vous au tableau 4-1, page 213. Mise à niveau des détails de la base IDB La procédure de mise à niveau de la partie de la base IDB relative aux détails est démarrée par l'exécution de la commande /opt/omni/bin/xomnidbupg. Elle passe en revue tous les catalogues de détails et importe les données dans la base de données IDB A.05.10. Pendant la mise à niveau, les messages de session sont également importés. Dans le même temps, les sessions obsolètes (dont les supports ont été écrasés ou exportés) sont supprimées. Les catalogues appartenant à des objets non protégés (objets n'ayant pas de copies protégées) sont écartés de la mise à niveau. Le nombre d'objets ignorés (non mis à niveau) est consigné dans le fichier upgrade.log situé dans le répertoire /var/opt/omni/log. Pendant la mise à niveau de cette partie, vous pouvez effectuer des opérations de sauvegarde, de restauration et de gestion des supports, mais certaines limites doivent être prises en considération ; pour plus de détails, reportez-vous au tableau 4-1, page 213. La mise à niveau sera suspendue pendant les opérations de sauvegarde, de restauration ou de gestion des supports. 212 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 La mise à niveau de la partie relative aux détails affiche l'état de l'avancement ainsi que des estimations de durée et de taille. La procédure de mise à niveau des détails est récupérable. Si le système échoue lors du processus ou si Data Protector est arrêté, la mise à niveau reprend automatiquement au redémarrage des services. Le tableau suivant présente les fonctionnalités de Data Protector disponibles après la mise à niveau. Tableau 4-1 MC/ServiceGuard Mise à niveau de la base IDB A.03.50 - Partie centrale et détails Mise à niveau de la base IDB Eléments mis à niveau Comportement de Data Protector Mise à niveau de la partie centrale Base de données IDB sans les messages de session, les versions et noms de fichier Toutes les fonctionnalités sont disponibles à l'exception de l'exploration des fichiers et répertoires uniques Mise à niveau de la partie des détails Totalité de la base de données IDB à l'exception des sessions obsolètes et des catalogues appartenant à des objets non protégés Toutes les fonctionnalités sont disponibles à l'exception de la purge des noms de fichier. L'exploration d'objets résidant sur des bandes n'ayant pas encore été mises à niveau est totalement ou partiellement impossible. Les bandes avec des catalogues de détails n'ayant pas encore été mises à niveau ne sont pas allouées pour la sauvegarde en mode ajout. La procédure de mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/SG est différente de celle effectuée sur un Gestionnaire de cellule ne fonctionnant pas dans l'environnement MC/SG. La procédure détaillée à suivre est décrite dans la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard”, page 287. Chapitre 4 213 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Mise à niveau du Serveur d'installation HP-UX Dans les situations suivantes, le Serveur d'installation HP-UX est mis à niveau automatiquement lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée : • il est installé parallèlement au Gestionnaire de cellule ; • il est installé sans composants client. Si le Serveur d'installation est installé avec des composants client, il sera supprimé par la commande omnisetup.sh. Dans ce cas, installez un nouveau dépôt de Serveur d'installation au moyen de la commande omnisetup.sh -IS, puis réimportez le Serveur d'installation mis à niveau. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. Procédure détaillée de mise à niveau Condition préalable Le paramètre de kernel maxdsiz (taille maximale des segments de données) doit être réglé sur au moins 131072000 octets (128 mégaoctets). Après cela, recompilez le kernel et redémarrez la machine. Procédez comme suit pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation HP-UX vers Data Protector A.05.10 : 1. Insérez et montez le CD-ROM d'installation HP-UX sur un point de montage, par exemple : mkdir /cdrom mount /dev/cd0 /cdrom Si vous souhaitez avoir sur votre disque local le répertoire DP_DEPOT où sont stockés les fichiers d'installation, exécutez la commande suivante : mkdir <répertoire> cp -r /cdrom/DP_DEPOT <répertoire> Pour copier l'ensemble du CD-ROM sur votre disque local, exécutez : cp -r /cdrom <rép_image_cd> 2. Exécutez la commande ./omnisetup.sh. Pour lancer cette commande à partir du CD-ROM, exécutez : cd /cdrom/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh 214 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Si vous avez copié le répertoire DP_DEPOT sur votre disque local sous le chemin <répertoire>/DP_DEPOT, accédez au répertoire où la commande omnisetup.sh est stockée et exécutez : ./omnisetup.sh -source <répertoire> Si vous avez copié l'ensemble du CD-ROM dans <rép_image_cd>, exécutez la commande omnisetup.sh sans paramètres : cd <rép_image_cd>/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Pour une description de la commande omnisetup.sh, reportez-vous au document Référence de l’interface de ligne de commande HP OpenView Storage Data Protector. 3. Lorsque la version A.03.50 de OmniBack II est détectée, la mise à niveau de la partie centrale de la base IDB démarre automatiquement. Si vous souhaitez effectuer une installation propre (la version précédente de la base de données sera effacée), désinstallez l'ancienne version puis redémarrez l'installation. Dès que le script d'installation est terminé, la partie centrale est mise à niveau. Pour le vérifier, exécutez /opt/omni/sbin/omnidbutil -upgrade_info, qui affiche l'état en cours de la mise à niveau. Une fois la partie centrale de la base de données IDB mise à niveau, vous pouvez utiliser Data Protector. Pour continuer, réalisez la mise à niveau de la partie relative aux détails en suivant la procédure décrite ci-dessous : 1. Démarrez l'Assistant de mise à niveau de BDD Data Protector (partie contenant les détails) en exécutant la commande /opt/omni/bin/xomnidbupg. 2. Sélectionnez Exécuter maintenant mise à niveau des détails IDB, puis cliquez sur Suivant. Reportez-vous à la figure 4-1, page 216. Chapitre 4 215 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Figure 4-1 Assistant de mise à niveau de BDD L'assistant de mise à niveau contrôle la base de données A.03.50 et l'espace disque. Une fois l'opération terminée, cliquez sur Suivant. 3. Ajoutez les fichiers d'extension et les fichiers binaires du catalogue des détails (DC) si l'espace alloué ne vous suffit pas, puis cliquez sur Suivant pour continuer. 4. Data Protector vous donne une estimation du temps requis pour effectuer la mise à niveau. Vous pouvez également surveiller l'évolution de la session de mise à niveau en cochant l'option Je souhaite surveiller la session de mise à niveau. Cliquez sur Terminer pour démarrer la mise à niveau de la partie des détails. L'avancement de la mise à niveau de la partie des détails peut être contrôlé dans l'interface utilisateur graphique de Data Protector. Dans le menu contextuel du moniteur, cliquez sur la session de mise à niveau des détails pour afficher les informations correspondantes. Lorsque cette tâche est terminée, une boîte de dialogue indiquant son état s'affiche. 216 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Etape suivante Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Reportez-vous à la section “Vérification des changements de configuration”, page 221. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows L'installation Windows est basée sur le programme Microsoft Installer (MSI). Lorsque la version précédente de OmniBack II est détectée, le jeu de composants pris en compte par le système d'exploitation est le même que celui qui est installé (sans les composants obsolètes). Vous pouvez changer de jeu de composants pendant le processus de mise à niveau. En revanche, le répertoire d'installation ne peut pas être modifié. Le jeu de packages existant est supprimé et le nouveau est installé. REMARQUE Si vous souhaitez mettre à niveau votre système d'exploitation Windows NT vers une nouvelle version, vous devez commencer par mettre à niveau le système d'exploitation, puis OmniBack II A.03.50 vers Data Protector A.05.10. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows”, page 285. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule Windows Le Gestionnaire de cellule Windows est mis à niveau automatiquement lorsque la commande setup.exe est exécutée. Si le Serveur d'installation est présent, il est également mis à niveau. La procédure détaillée à suivre pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule Windows est décrite dans la “Procédure détaillée de mise à niveau”, page 219. Mise à niveau de la L'ancienne base de données reste dans le dossier <répertoire base de données Data_Protector>\db, tandis que la nouvelle est installée dans le dossier <répertoire Data_Protector>\db40. La mise à niveau de la base de données est constituée de : 1. la mise à niveau de la partie centrale de la base de données IDB ; 2. la mise à niveau de la partie de la base de données IDB contenant les détails. Chapitre 4 217 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Mise à niveau de la La procédure de mise à niveau de la partie centrale de la base IDB, qui partie centrale de consiste à transférer les données vitales de l'ancienne vers la nouvelle la base IDB base de données, est démarrée systématiquement en tant que partie intégrante de la mise à niveau. La totalité de la MMDB et les informations de session sont transférées. En revanche, les messages de session, les noms et les versions de fichier ne sont pas transférés lors de la mise à niveau de la partie centrale. Après la mise à niveau de la partie centrale de la base de données, toutes les fonctionnalités de Data Protector sont disponibles, à l'exception de l'exploration de fichiers uniques. Reportez-vous au tableau 4-1, page 213. Mise à niveau des détails de la base IDB La procédure de mise à niveau de la partie de la base IDB relative aux détails peut être démarrée en tant que partie intégrante de la procédure d'installation ou à tout moment ultérieur. Elle passe en revue tous les catalogues de détails et importe les données dans la base de données IDB A.05.10. Pendant la mise à niveau, les messages de session sont également importés. Dans le même temps, les sessions obsolètes (dont les supports ont été écrasés ou exportés) sont supprimées. Les catalogues appartenant à des objets non protégés (objets n'ayant pas de copies protégées) sont écartés de la mise à niveau. Le nombre d'objets ignorés (non mis à niveau) est consigné dans le fichier upgrade.log situé dans le répertoire <répertoire Data_Protector>\log. Pendant la mise à niveau de cette partie, vous pouvez effectuer des opérations de sauvegarde, de restauration et de gestion des supports, mais certaines limites doivent être prises en considération ; pour plus de détails, reportez-vous au tableau 4-1, page 213. La mise à niveau sera suspendue pendant les opérations de sauvegarde, de restauration ou de gestion des supports. La mise à niveau de la partie relative aux détails affiche l'état de l'avancement ainsi que des estimations de durée et de taille. La procédure de mise à niveau des détails est récupérable. Si le système échoue lors du processus ou si Data Protector est arrêté, la mise à niveau reprend automatiquement au redémarrage des services. MS Cluster Server La procédure de mise à niveau du Gestionnaire de cellule fonctionnant dans un environnement MS Cluster Server est différente de celle d'un Gestionnaire de cellule non configuré pour être utilisé avec MS Cluster Server. La procédure détaillée à suivre est décrite dans la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server”, page 291. 218 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Mise à niveau du Serveur d'installation Windows Le Serveur d'installation Windows est mis à niveau automatiquement pendant la procédure de mise à niveau s'il est installé sur le même système que le Gestionnaire de cellule. L'ancien dépôt du Serveur d'installation est supprimé et, si le composant Serveur d'installation est sélectionné pendant l'installation, le nouveau dépôt du Serveur d'installation est copié à sa place. IMPORTANT Réimportez le Serveur d'installation mis à niveau une fois que la procédure d'installation est terminée. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. Procédure détaillée de mise à niveau Procédez comme suit pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation Windows vers Data Protector A.05.10 : 1. Insérez le CD-ROM d'installation Windows et exécutez la commande i386\setup.exe. 2. Lorsque la version A.03.50 de OmniBack II est détectée, la mise à niveau de la partie centrale de la base IDB démarre automatiquement. Si vous souhaitez effectuer une installation propre (la version précédente de la base de données sera effacée), désinstallez l'ancienne version puis redémarrez l'installation. Dans la page Installation personnalisée, les composants précédemment installés sur le système sont sélectionnés. Notez que vous pouvez changer de jeu de composants. Une fois la partie centrale de la base de données IDB mise à niveau, vous pouvez utiliser Data Protector. Pour continuer, passez à la procédure de mise à niveau de la partie de détails, qui démarre automatiquement dès que celle de la partie centrale est terminée. 1. A partir de la fenêtre de l'Assistant de mise à niveau de BDD Data Protector (partie contenant les détails), sélectionnez Mettre à niveau maintenant les détails de la base de données interne et cliquez sur Suivant. Reportez-vous à la figure 4-2, page 220. Chapitre 4 219 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Figure 4-2 Assistant de mise à niveau de BDD L'assistant de mise à niveau contrôle la base de données A.03.50 et l'espace disque. Une fois l'opération terminée, cliquez sur Suivant. 2. Ajoutez les fichiers d'extension et les fichiers binaires du catalogue des détails (DC) si l'espace alloué ne vous suffit pas, puis cliquez sur Suivant pour continuer. 3. Data Protector vous donne une estimation du temps requis pour effectuer la mise à niveau. Vous pouvez surveiller l'évolution de la session de mise à niveau en cochant l'option Je souhaite surveiller la session de mise à niveau. Cliquez sur Terminer pour démarrer la mise à niveau de la partie des détails. L'avancement de la mise à niveau de la partie des détails peut être contrôlé dans l'interface utilisateur graphique de Data Protector. Dans le menu contextuel du moniteur, cliquez sur la session de mise à niveau des détails pour afficher les informations correspondantes. Lorsque cette tâche est terminée, une boîte de dialogue indiquant son état s'affiche. 220 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 REMARQUE Vous pouvez démarrer la mise à niveau de la partie des détails ultérieurement en exécutant la commande <répertoire Data_Protector>\bin\omnidbupgrade -udp. Etape suivante Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Reportez-vous à la section “Vérification des changements de configuration”, page 221. Vérification des changements de configuration Fichier d'options globales Pendant la mise à niveau, le contenu de l'ancien fichier d'options globales, qui se trouve dans le répertoire /etc/opt/omni/options pour le Gestionnaire de cellule HP-UX ou <répertoire Data_Protector>\Config\Options pour le Gestionnaire de cellule Windows, est fusionné avec le contenu du nouveau fichier d'options globales sur le Gestionnaire de cellule : • /opt/omni/newconfig/etc/opt/omni/options - Gestionnaire de cellule HP-UX • <répertoire Data_Protector>\NewConfig\Options Gestionnaire de cellule Windows Le fichier fusionné, nommé global, se trouve dans le répertoire /etc/opt/omni/options du Gestionnaire de cellule HP-UX ou dans le répertoire <répertoire Data_Protector>\Config\Options du Gestionnaire de cellule Windows, et est utilisé par la version mise à niveau du produit. L'ancien fichier d'options globales est renommé global.1, global.2, etc., selon le nombre de mises à niveau réalisées. Les faits suivants s'appliquent après la création du fichier fusionné : • Les variables du fichier d'options globales qui étaient actives (non mises en commentaires) dans l'ancien fichier restent actives dans le fichier fusionné. Le commentaire suivant, indiquant que la valeur de la variable a été copiée à partir de l'ancien fichier, est ajouté au fichier fusionné : <variable>=<valeur> # Data Protector A.05.10 # This value was automatically copied from previous version. Chapitre 4 221 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 • Les variables du fichier d'options globales qui ne sont plus utilisées sont mises en commentaires (rendues inactives) dans le fichier fusionné ; le commentaire suivant, qui indique que la variable n'est plus utilisée, est ajouté : # <variable>=<valeur> # Data Protector A.05.10 # This value is no longer in use. • Les variables dont les valeurs ne sont plus prises en charge sont mises en commentaire (rendues inactives) dans le fichier fusionné. Le commentaire suivant contenant un modèle (<modèle_variable>) et indiquant la valeur précédente de la variable est inséré : # <variable>=<modèle_variable> # Data Protector A.05.10 # This variable cannot be transferred automatically. # The previous setting was: # <variable>=<valeur> • Les commentaires ne sont pas transférés dans le nouveau fichier fusionné. Sur les systèmes Windows, le fichier d'options globales est au format UNICODE et peut être modifié avec le Bloc-notes par exemple. Après avoir modifié ce fichier, veillez à l'enregistrer au format UNICODE. La description des nouvelles options figure dans le fichier d'options globales fusionné : /etc/opt/omni/options/global sous le Gestionnaire de cellule HP-UX et <répertoire Data_Protector>\config\options\global sous le Gestionnaire de cellule Windows. La section “Global Options File (Fichier d’options globales)” du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide décrit comment utiliser ces options globales. 222 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Procédure manuelle La liste ci-dessous récapitule les étapes à réaliser manuellement une fois que la procédure de mise à niveau est terminée : • Fichier Omnirc Après la mise à niveau des systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation, vous souhaitez peut-être modifier le fichier omnirc. Pour obtenir des informations sur la procédure à suivre, reportez-vous à la section sur l'utilisation du fichier Omnirc du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. • Ligne de commande Reportez-vous à l’Annexe B, “Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10”, page B-39 pour obtenir une liste des commandes qui ont été modifiées ou fournies avec des fonctionnalités étendues. Vous devez vérifier et modifier les scripts utilisant les anciennes commandes. Reportez-vous aux pages correspondantes du manuel pour un synopsis d'utilisation. Etape suivante Une fois que le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation sont installés et que toutes les modifications requises ont été implémentées, vous pouvez installer le logiciel sur les clients. Reportez-vous à la section “Mise à niveau des clients”, page 223. Mise à niveau des clients Condition préalable Si vous mettez à niveau l'intégration Oracle8 ou l'intégration SAP R/3 installée avec cette dernière, les services Oracle8 doivent être arrêtés avant la mise à niveau. Séquence de mise Pour plus d'informations sur l'ordre dans lequel la mise à niveau du à niveau client est effectuée, reportez-vous à la section “Présentation de la mise à niveau”, page 205. Mise à niveau des clients à distance Pour connaître la procédure de mise à niveau des client à l'aide du Serveur d'installation, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Mise à niveau des clients en local Si le Serveur d'installation n'est pas installé sur votre réseau ou si, pour une raison quelconque, vous ne pouvez pas distribuer le logiciel Data Protector à un système client, les clients Data Protector peuvent être mis à niveau en local. Chapitre 4 223 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Pour mettre à niveau les clients Windows en local, reportez-vous à la section “Installation locale des clients Windows”, page 65. Pour mettre à niveau les clients UNIX en local, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Novell NetWare Après la mise à niveau d'un client Novell NetWare 4.x ou 5.0, vous devez effectuer quelques étapes supplémentaires qui vous permettront de réaliser toute sauvegarde ou restauration de la base de données NDS (Novell NetWare 4.x) / NDS eDirectory (Novell 5.x et ultérieur). Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Installation locale de clients Novell NetWare”, page 105. Mise à niveau de clients avec des intégrations Si vous mettez à niveau un client Data Protector possédant des intégrations installées (telles qu'Oracle8, SAP R/3, Exchange 2000, HP StorageWorks Disk Array XP, EMC Symmetrix, etc.), suivez les procédures décrites aux paragraphes ci-dessous : • Pour obtenir des instructions sur la procédure de mise à niveau de l'intégration Oracle8, reportez-vous aux sections “Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes UNIX”, page 225 et “Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes Windows”, page 228. • Pour obtenir des instructions sur la procédure de mise à niveau de l'intégration SAP R/3, reportez-vous aux sections “Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX”, page 228 et “Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows”, page 231. • Sur les procédures de mise à niveau des intégrations MS Exchange, MS SQL, Sybase, Informix, HP StorageWorks Disk Array XP et EMC Symmetrix, reportez-vous à la section “Mise à niveau des autres intégrations”, page 232. Mise à niveau du client configuré sur MC/ServiceGuard Si vous mettez à niveau le client utilisant MC/ServiceGuard, commencez par mettre à niveau les nœuds physiques, puis procédez comme suit : 1. Exportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> 2. Réimportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual 224 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Pour mettre à niveau les clients configurés sur MC/ServiceGuard et sur lesquels les intégrations Oracle8 ou SAP R/3 sont installées, suivez la procédure décrite dans la section “Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes UNIX”, page 225 ou “Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX”, page 228. Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes UNIX Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration Oracle8 sur des systèmes UNIX : 1. Arrêtez tous les services Oracle8. Dans le cas contraire, la bibliothèque d'intégration Oracle8, qui doit être remplacée lors de la mise à niveau, est verrouillée et reste inchangée. 2. Mettez à niveau le client sur lequel l'intégration Oracle8 est installée, soit localement par la commande omnisetup.sh -install oracle8, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration Oracle8 sur le client dans l'interface graphique de Data Protector. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install oracle8. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. 3. Si vous utilisez Oracle 8.0.5 (toutes plates-formes UNIX) ou la version 32 bits d'Oracle 8.0.6 sous Solaris, rétablissez la liaison de l'exécutable Oracle 8.0.x avec la bibliothèque de base de données Data Protector libob2oracle8.sl (systèmes HP-UX), libob2oracle8.a (systèmes AIX) ou libob2oracle8.so (systèmes Solaris). Notez que sous Solaris, le chemin vers la bibliothèque de base de données libob2oracle8.so est passé de /usr/omni/lib à /opt/omni/lib. Pour plus de détails, reportez-vous à la section relative à la liaison d'Oracle 8/9 avec la bibliothèque de base de données Data Protector dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. Si vous utilisez la base de données Oracle8i sous Solaris, ne retirez que le lien programmable pointant vers /usr/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so) et faites-la pointer vers l'emplacement suivant : /opt/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so). 4. Démarrez les services Oracle8. Chapitre 4 225 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 5. Il est recommandé de déplacer dans les fichiers de configuration Oracle8 Data Protector les variables d'environnement définies dans le fichier omnirc ou dans les fichiers /etc/opt/omni/oracle8/<SID_ORACLE>/.profile (systèmes HP-UX) et /usr/omni/config/oracle8/<SID_ORACLE>/.profile (autres systèmes UNIX). Reportez-vous à la section “Fichiers de configuration Oracle8/9 Data Protector” dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus de détails. REMARQUE Après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10, copiez les nouveaux modèles du répertoire /opt/omni/newconfig/etc/opt/omni/dltemplates/lists/oracle8 vers /etc/opt/omni/dltemplates/lists/oracle8, où sont stockés les anciens répertoires. Si votre intégration Oracle8 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 227, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. MC/ServiceGuard Pour travailler dans l'environnement MC/ServiceGuard, procédez comme suit lorsque la mise à niveau des nœuds physiques est terminée : 1. Exportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> 2. Réimportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual 3. Reconfigurez l'intégration Oracle8 sur l'hôte virtuel. Notez que la reconfiguration nécessaire est réalisée automatiquement sur les nœuds physiques. La reconfiguration consiste à configurer l'intégration pour l'hôte virtuel. Reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus d'informations sur la configuration de l'intégration Oracle8. Si votre intégration Oracle8 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 246, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. 226 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) Si l'intégration Oracle8 est utilisée avec HP StorageWorks Disk Array XP, HP StorageWorks VA ou EMC Symmetrix, les spécifications de sauvegarde Oracle8i doivent être mises à niveau pour que les fonctions ZDB de Data Protector A.05.10 puissent être utilisées. Les spécifications de sauvegarde doivent être mises à jour après que la procédure de mise à jour standard de l'intégration Oracle8 a été achevée. Notez que les spécifications de sauvegarde Oracle8.0 n'ont pas besoin d'être mises à niveau. Procédez comme suit pour mettre à jour l'intégration Oracle8 dans l'environnement ZDB : 1. Reconfigurez l'intégration Oracle8i en exécutant sur le système d'application la commande util_oracle8.exe -CONFIG_SMB <SID_ORACLE> <REPERTOIRE_ORACLE> <FICHIER_INIT> <EMPLACEMENT_FICHIER_CONTROLE> <LOGIN_BD_CIBLE> <LOGIN_CATALOGUE_RECUP> située dans le répertoire /opt/omni/lbin sur les systèmes HP-UX et dans /usr/omni/bin sur les autres systèmes UNIX. Reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector HP StorageWorks Disk Array XP Integration Guide, au HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide ou au HP OpenView Storage Data Protector EMC Symmetrix Integration Guide pour une description de ces arguments de commande. 2. Après avoir mis à niveau tous les clients Oracle8, procédez à la mise à niveau de toutes les spécifications de sauvegarde d'Oracle8i stockées dans le Gestionnaire de cellule en exécutant la commande /opt/omni/sbin/mrgcfg -ora_barlists sur le Gestionnaire de cellule UNIX ou la commande <répertoire Data_Protector>\bin\mrgcfg -ora_barlists sur le Gestionnaire de cellule Windows. REMARQUE Une fois que la procédure de mise à niveau est terminée, vous pouvez en toute sécurité supprimer les fichiers binaires Oracle8i du système de sauvegarde : ils ne sont pas requis par Data Protector A.05.10. Chapitre 4 227 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes Windows Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration Oracle8 sur des systèmes Windows : 1. Arrêtez tous les services Oracle8. Dans le cas contraire, le fichier orasbt.dll du dossier <%SystemRoot%>\setup32, qui doit être remplacé lors de la mise à niveau, est verrouillé et reste inchangé jusqu'au redémarrage suivant du système. 2. Mettez à niveau le client sur lequel l'intégration Oracle8 est installée, soit localement par la commande setup.exe, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration Oracle8 sur le client dans l'interface graphique de Data Protector. 3. Démarrez les services Oracle8. 4. Il est recommandé de déplacer dans les fichiers de configuration Oracle8 Data Protector les variables d'environnement définies dans le fichier omnirc. Reportez-vous à la section “Fichiers de configuration Oracle8/9 Data Protector” dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus de détails. REMARQUE Après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10, copiez les nouveaux modèles à partir du répertoire <répertoire Data_Protector>\NewConfig\dltemplates\lists\oracle8 dans <répertoire Data_Protector>\Config\dltemplates\lists\oracle8, où les anciens modèles sont stockés. MS Cluster Server Aucune configuration supplémentaire n'est requise pour l'intégration Oracle8 s'exécutant dans un environnement MS Cluster Server. Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX : 1. Si l'intégration Oracle8 est installée conjointement à l'intégration SAP R/3 sur le même système client, arrêtez les services Oracle8 avant la mise à niveau. 228 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 2. Mettez le client à niveau, soit localement par la commande omnisetup.sh -install sap, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration SAP R/3 sur le client avec l'interface graphique de Data Protector. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install sap. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. 3. Si SAP R/3 utilise la base de données Oracle 8.0.5 (toutes plates-formes UNIX) ou la base de données Oracle 8.0.6 (version 32 bits sous Solaris), rétablissez la liaison de l'exécutable Oracle 8.0.x avec la bibliothèque de base de données Data Protector libob2oracle8.sl (systèmes HP-UX), libob2oracle8.a (systèmes AIX) ou libob2oracle8.so (systèmes Solaris). Notez que sous Solaris, le chemin vers la bibliothèque de base de données libob2oracle8.so est passé de /usr/omni/lib à /opt/omni/lib. Pour plus de détails, reportez-vous à la section relative à la liaison d'Oracle 8/9 avec la bibliothèque de base de données Data Protector dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. Si SAP R/3 utilise la base de données Oracle8i sous Solaris, ne retirez que le lien programmable pointant vers /usr/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so) et faites-la pointer vers l'emplacement suivant : /opt/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so). 4. Démarrez les services Oracle8 s'ils ont été arrêtés. 5. Démarrez le transfert des fichiers de statistiques de compression à partir du système client vers le fichier de configuration SAP R/3 Data Protector en exécutant, sur le système client et pour chacun des fichiers de statistiques de compression, la commande /opt/omni/sbin/upgrade_cfg -sid <SID_ORACLE> -ratio_file <chemin_et_nom_de_fichier> (systèmes HP-UX) ou la commande /usr/omni/bin/upgrade_cfg -sid <SID_ORACLE> -ratio_file <chemin_et_nom_de_fichier> (autres systèmes UNIX). Le paramètre <chemin_et_nom_de_fichier> correspond au chemin et au nom d'un fichier de statistiques de compression. La raison pour laquelle ces données doivent être transférées manuellement est la suivante : elles sont peut-être réparties sur plusieurs fichiers. Or, un seul fichier est transféré automatiquement lorsque cette commande Chapitre 4 229 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 est exécutée. C'est pourquoi vous devez lancer cette commande autant de fois que vous avez de fichiers de statistiques de compression. Si les informations sur un fichier sont présentes dans plusieurs fichiers de statistiques de compression, et si vous mettez à niveau ces fichiers, seules les informations du dernier fichier de statistiques de compression à avoir été mis à niveau sont enregistrées dans le fichier de configuration SAP R/3 Data Protector. REMARQUE Si l'une quelconque des variables SAPSEARCH, SAPBACKUP, SAPCHECK, SAPDATA_HOME, SAPLOCALHOST, SAPREORG, SAPSTAT, ou SAPTRACE a été exportée vers le fichier omnisap.exe ou dans /etc/opt/omni/sap/<SID_ORACLE/.profile (systèmes HP-UX) ou /usr/omni/config/sap/<SID_ORACLE>/.profile (autres systèmes UNIX), elles seront déplacées automatiquement vers le fichier de configuration de Data Protector SAP R/3. Toutes les autres variables, ainsi que les lignes de commentaires, ne sont pas déplacées. Si votre intégration SAP R/3 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 231, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. MC/ServiceGuard Pour travailler dans l'environnement MC/ServiceGuard, procédez comme suit lorsque la mise à niveau des nœuds physiques est terminée : 1. Exportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> 2. Réimportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual 3. Reconfigurez l'intégration SAP R/3 sur l'hôte virtuel. Notez que la reconfiguration nécessaire est réalisée automatiquement sur les nœuds physiques. La reconfiguration consiste à configurer l'intégration pour l'hôte virtuel. Reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus d'informations sur la configuration de l'intégration SAP R/3. 230 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Si votre intégration SAP R/3 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 231, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) Si l'intégration SAP R/3 est utilisée avec HP StorageWorks Disk Array XP, HP StorageWorks VA ou EMC Symmetrix, commencez par mettre à niveau l'intégration SAP R/3 selon la procédure de mise à niveau standard pour les systèmes UNIX, et procédez ensuite comme suit : 1. Assurez-vous que le serveur de base de données SAP R/3 est configuré sur le système de l'application. Dans le cas contraire, configurez-le en suivant la procédure décrite dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. 2. Changez la valeur du paramètre SAP R/3 primary_db de <NOM_SERVICE> en LOCAL dans le profil d'initialisation SAP R/3 (<REPERTOIRE_ORACLE>/dbs/init<SID>.sap). REMARQUE Sur le système de sauvegarde, tous les fichiers binaires des applications SAP R/3 et Oracle8i peuvent être supprimés en toute sécurité : ils ne sont plus requis par Data Protector A.05.10. Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows : 1. Si l'intégration Oracle8 est installée conjointement à l'intégration SAP R/3 sur le même système client, arrêtez les services Oracle8 avant la mise à niveau. 2. Mettez le client à niveau, soit localement par la commande setup.exe, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration SAP R/3 sur le client avec l'interface graphique de Data Protector. 3. Démarrez les services Oracle8 s'ils ont été arrêtés. Chapitre 4 231 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 4. Démarrez le transfert des fichiers de statistiques de compression à partir du système client vers le fichier de configuration SAP R/3 Data Protector en exécutant, sur le système client et pour chacun des fichiers de statistiques de compression, la commande <répertoire Data_Protector>\bin\upgrade_cfg.exe -sid <SID_ORACLE> -ratio_file <chemin_et_nom_de_fichier>. Le paramètre <chemin_et_nom_de_fichier> correspond au chemin et au nom du fichier de statistiques de compression. La raison pour laquelle ces données doivent être transférées manuellement est la suivante : elles sont peut-être réparties sur plusieurs fichiers. Or, un seul fichier est transféré automatiquement lorsque cette commande est exécutée. C'est pourquoi vous devez lancer cette commande autant de fois que vous avez de fichiers de statistiques de compression. Si les informations sur un fichier sont présentes dans plusieurs fichiers de statistiques de compression, et si vous mettez à niveau ces fichiers, seules les informations du dernier fichier de statistiques de compression à avoir été mis à niveau sont enregistrées dans le fichier de configuration SAP R/3 Data Protector. MS Cluster Server Aucune configuration supplémentaire n'est requise pour l'intégration SAP R/3 s'exécutant dans un environnement MSCluster Server. Mise à niveau des autres intégrations Si une intégration MS Exchange, MS SQL, Sybase, Informix, HP StorageWorks Disk Array XP ou EMC Symmetrix est installée sur le client Data Protector, mettez ce dernier à niveau, soit localement par la commande omnisetup.sh -install <liste_composants> sur les systèmes UNIX ou la commande setup.exe sur les systèmes Windows, soit à distance avec l'interface graphique de Data Protector. Pour une liste des codes des composants Data Protector, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install <liste_composants>. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. 232 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50 Mise à niveau dans un environnement MoM Pour mettre à niveau votre environnement MoM vers Data Protector A.05.10, procédez comme suit : 1. Mettez à niveau le MoM Manager vers Data Protector A.05.10. Aucun Gestionnaire de cellule de l'environnement MoM ne doit fonctionner pendant la mise à niveau. Après la mise à niveau, le MoM Manager peut toujours fonctionner avec les Gestionnaires de cellule A.03.50. Les Gestionnaires de cellule A.03.50 qui n'ont pas encore été mis à niveau peuvent accéder à la MMDB centrale et réaliser des sauvegardes et des restaurations, mais les autres fonctionnalités ne sont pas disponibles. 2. Mettez à niveau chaque Gestionnaire de cellule dans un environnement MoM. Pour connaître la procédure de mise à niveau, reportez-vous aux sections “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation HP-UX”, page 211 et “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows”, page 217. REMARQUE Le partage de périphérique entre le MoM Data Protector A.05.10 et les cellules avec d'anciennes versions installées n'est pas assuré. Chapitre 4 233 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 La version A.03.51 d'OmniBack II peut être directement mise à niveau vers Data Protector A.05.10 pour Solaris. Licences Les licences existantes d'OmniBack II A.03.51 sont totalement compatibles et valides pour une utilisation avec Data Protector A.05.10. Toutefois, le rachat de certains types de licence n'est pas disponible et celles-ci sont alors remplacées par de nouvelles licences. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous au Chapitre 5, “Attribution de licences Data Protector”, page 295. Séquence de mise Pour plus d'informations sur la séquence de mise à niveau, reportez-vous à niveau à la section “Présentation de la mise à niveau”, page 205. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Solaris Conditions préalables • Arrêtez tous les services OmniBack II avant de lancer la procédure de mise à niveau, en exécutant la commande /opt/omni/sbin/omnisv.sh -stop. • Si vous avez des correctifs OmniBack II installés, désinstallez-les avant la mise à niveau. REMARQUE Vous devez bénéficier des permissions root pour effectuer la mise à niveau. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule Solaris Pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule Solaris, exécutez la commande omnisetup.sh. Celle-ci supprime le package existant à l'aide de l'utilitaire pkgrm et installe les packages OB2-CORE, OB2-C-IS, OB2-CC, OB2-CS, OB2-DA et OB2-INTEGP à l'aide de l'utilitaire pkgadd. Si le Serveur d'installation est présent, il est également mis à niveau. La procédure détaillée à suivre pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule Solaris est décrite dans la section “Procédure détaillée de mise à niveau”, page 237. 234 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Mise à niveau de la L'ancienne base de données reste dans le dossier /var/opt/omni/db. base de données Néanmoins, l'ancien fichier /var/opt/omni/db/catalog est déplacé vers /var/opt/omni/db/catalog.OLD. La nouvelle base de données est installée dans le dossier /var/opt/omni/db40. Le processus se déroule en deux étapes : 1. la mise à niveau de la partie centrale de la base de données IDB ; 2. la mise à niveau de la partie de la base de données IDB contenant les détails. Mise à niveau de la La procédure de mise à niveau de la partie centrale de la base IDB partie centrale de transfère des données vitales de l'ancienne base de données vers la nouvelle. Elle est lancée inconditionnellement dans le cadre de la mise à la IDB niveau lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée. La totalité de la MMDB et les informations de session sont transférées. En revanche, les messages de session, les noms et les versions de fichier ne sont pas transférés lors de la mise à niveau de la partie centrale. Après la mise à niveau de la partie centrale de la base de données, toutes les fonctionnalités de Data Protector sont disponibles, à l'exception de l'exploration de fichiers et répertoires uniques. Reportez-vous au tableau 4-2, page 236. Mise à niveau des détails de la base IDB La procédure de mise à niveau de la partie de la base IDB relative aux détails est démarrée par l'exécution de la commande /opt/omni/bin/xomnidbupg. Elle passe en revue tous les catalogues de détails et importe les données dans la base de données IDB A.05.10. Pendant la mise à niveau, les messages de session sont également importés. Dans le même temps, les sessions obsolètes (dont les supports ont été écrasés ou exportés) sont supprimées. Les catalogues appartenant à des objets non protégés (objets n'ayant pas de copies protégées) sont écartés de la mise à niveau. Le nombre d'objets ignorés (non mis à niveau) est consigné dans le fichier upgrade.log situé dans le répertoire /var/opt/omni/log. Pendant la mise à niveau, vous pouvez effectuer des opérations de sauvegarde, de restauration et de gestion des supports, mais certaines limites doivent être prises en considération ; pour plus de détails, reportez-vous au tableau 4-2, page 236. La mise à niveau sera suspendue pendant les opérations de sauvegarde, de restauration ou de gestion des supports. Chapitre 4 235 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 La mise à niveau de la partie relative aux détails affiche l'état de l'avancement ainsi que des estimations de durée et de taille. La procédure de mise à niveau des détails est récupérable. Si le système échoue lors du processus ou si Data Protector est arrêté, la mise à niveau reprend automatiquement au redémarrage des services. Le tableau suivant présente les fonctionnalités de Data Protector disponibles après la mise à niveau. Tableau 4-2 Mise à niveau de la base IDB A.03.51 - Partie centrale et détails Mise à niveau de la base IDB Eléments mis à niveau Comportement de Data Protector Mise à niveau de la partie centrale Base de données IDB sans les messages de session, les versions et noms de fichier Toutes les fonctionnalités sont disponibles à l'exception de l'exploration des fichiers et répertoires uniques Mise à niveau de la partie des détails Totalité de la base de données IDB à l'exception des sessions obsolètes et des catalogues appartenant à des objets non protégés Toutes les fonctionnalités sont disponibles à l'exception de la purge des noms de fichier. L'exploration d'objets résidant sur des bandes n'ayant pas encore été mises à niveau est totalement ou partiellement impossible. Les bandes avec des catalogues de détails n'ayant pas encore été mises à niveau ne sont pas allouées pour la sauvegarde en mode ajout. Besoins de la base Il est important de calculer les besoins en termes d'espace disque et de IDB en matière vérifier que l'espace disponible est suffisant pour réaliser la procédure de d'espace disque mise à niveau. Les besoins en espace disque de la base de données IDB sont les mêmes pour la mise à niveau d'OmniBack II A.03.51 à Data Protector A.05.10 que pour la mise à niveau d'OmniBack II A.03.50. Pour obtenir une estimation de l'espace disque requis pour la mise à niveau, suivez la procédure décrite à la page 208. 236 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Besoins en termes La procédure de mise à niveau de la partie centrale de la base de données de temps IDB dure de 30 minutes à deux heures selon la taille de la base de données, ainsi que la vitesse et la charge du système. La mise à niveau de la partie relative aux détails prend de 3 à 6 heures par giga-octet de données. Dans l'exemple présenté à la page 210, la mise à niveau des détails prendrait entre 18 et 36 heures. Mise à niveau du Serveur d'installation Solaris Serveur d'installation Dans les situations suivantes, le Serveur d'installation Solaris est mis à niveau automatiquement lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée : • il est installé parallèlement au Gestionnaire de cellule ; • il est installé sans composants client. Si le Serveur d'installation est installé avec des composants client, il sera supprimé par la commande omnisetup.sh. Dans ce cas, installez un nouveau dépôt de Serveur d'installation au moyen de la commande omnisetup.sh -IS, puis réimportez le Serveur d'installation mis à niveau. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. REMARQUE Si le Serveur d'installation se trouve sur un système différent du Gestionnaire de cellule, il doit être mis à niveau en local à partir du CD-ROM d'installation de Solaris. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Installation du Serveur d'installation pour UNIX”, page 36. Procédure détaillée de mise à niveau Procédez comme suit pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation Solaris vers Data Protector A.05.10 : 1. Insérez et montez le CD-ROM d'installation Solaris sur un point de montage, par exemple : mkdir /cdrom mount /dev/cd0 /cdrom Chapitre 4 237 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Si vous souhaitez avoir sur votre disque local le répertoire DP_DEPOT où sont stockés les fichiers d'installation, exécutez la commande suivante : mkdir <répertoire> cp -r /cdrom/DP_DEPOT <répertoire> Pour copier l'ensemble du CD-ROM sur votre disque local, exécutez : cp -r /cdrom <rép_image_cd> 2. Exécutez la commande ./omnisetup.sh. Pour lancer cette commande à partir du CD-ROM, exécutez : cd /cdrom/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Si vous avez copié le répertoire DP_DEPOT sur votre disque local sous le chemin <répertoire>/DP_DEPOT, accédez au répertoire où la commande omnisetup.sh est stockée et exécutez : ./omnisetup.sh -source <répertoire> Si vous avez copié l'ensemble du CD-ROM dans <rép_image_cd>, exécutez la commande omnisetup.sh sans paramètres : cd <rép_image_cd>/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Pour une description de la commande omnisetup.sh, reportez-vous au document Référence de l’interface de ligne de commande HP OpenView Storage Data Protector. 3. Lorsque la version A.03.51 de OmniBack II est détectée, la mise à niveau de la partie centrale de la base IDB démarre automatiquement. Si vous souhaitez effectuer une installation propre (la version précédente de la base de données sera effacée), désinstallez l'ancienne version puis redémarrez l'installation. Dès que le script d'installation est terminé, la partie centrale est mise à niveau. Pour le vérifier, exécutez /opt/omni/sbin/omnidbutil -upgrade_info, qui affiche l'état en cours de la mise à niveau. 238 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Une fois la partie centrale de la base de données IDB mise à niveau, vous pouvez utiliser Data Protector. Pour continuer, réalisez la mise à niveau de la partie relative aux détails en suivant la procédure décrite ci-dessous : 1. Démarrez l'Assistant de mise à niveau de BDD Data Protector (partie contenant les détails) en exécutant la commande /opt/omni/bin/xomnidbupg. 2. Sélectionnez Exécuter maintenant mise à niveau des détails IDB, puis cliquez sur Suivant. Reportez-vous à la figure 4-3, page 239. Figure 4-3 Assistant de mise à niveau de BDD L'assistant de mise à niveau contrôle la base de données A.03.51 et l'espace disque. Une fois l'opération terminée, cliquez sur Suivant. 3. Ajoutez les fichiers d'extension et les fichiers binaires du catalogue des détails (DC) si l'espace alloué ne vous suffit pas, puis cliquez sur Suivant. Reportez-vous à la figure 4-4, page 240. Chapitre 4 239 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Figure 4-4 Ajout de fichiers d'extension et de fichiers binaires DC 4. Data Protector vous donne une estimation du temps requis pour effectuer la mise à niveau. Vous pouvez également surveiller l'évolution de la session de mise à niveau en cochant l'option Je souhaite surveiller la session de mise à niveau. Cliquez sur Terminer pour démarrer la mise à niveau de la partie des détails. L'avancement de la mise à niveau de la partie des détails peut être contrôlé dans l'interface utilisateur graphique de Data Protector. Dans le menu contextuel du moniteur, cliquez sur la session de mise à niveau des détails pour afficher les informations correspondantes. Lorsque cette tâche est terminée, une boîte de dialogue indiquant son état s'affiche. Etape suivante Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Reportez-vous à la section “Vérification des changements de configuration”, page 241. 240 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Vérification des changements de configuration Fichier d'options globales Pendant la mise à niveau, le contenu de l'ancien fichiers d'options globales, situé dans le répertoire /etc/opt/omni/options du Gestionnaire de cellule, est fusionné avec le contenu du nouveau fichier d'options globales, situé dans le répertoire /opt/omni/newconfig/etc/opt/omni/options. Le fichier fusionné, nommé global, qui se trouve dans le répertoire /etc/opt/omni/options est utilisé par la version mise à niveau du produit. L'ancien fichier d'options globales est renommé global.1, global.2, etc., selon le nombre de mises à niveau réalisées. Les faits suivants s'appliquent après la création du fichier fusionné : • Les variables du fichier d'options globales qui étaient actives (non mises en commentaires) dans l'ancien fichier restent actives dans le fichier fusionné. Le commentaire suivant, indiquant que la valeur de la variable a été copiée à partir de l'ancien fichier, est ajouté au fichier fusionné : <variable>=<valeur> # Data Protector A.05.10 # This value was automatically copied from previous version. • Les variables du fichier d'options globales qui ne sont plus utilisées sont mises en commentaires (rendues inactives) dans le fichier fusionné ; le commentaire suivant, qui indique que la variable n'est plus utilisée, est ajouté : # <variable>=<valeur> # Data Protector A.05.10 # This value is no longer in use. • Les variables dont les valeurs ne sont plus prises en charge sont mises en commentaire (rendues inactives) dans le fichier fusionné. Le commentaire suivant contenant un modèle (<modèle_variable>) et indiquant la valeur précédente de la variable est inséré : # <variable>=<modèle_variable> # Data Protector A.05.10 # This variable cannot be transferred automatically. # The previous setting was: # <variable>=<valeur> Chapitre 4 241 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 • Les commentaires ne sont pas transférés dans le nouveau fichier fusionné. La description des nouvelles options figure dans le fichier d'options globales fusionné : /etc/opt/omni/options/global. La section “Global Options File (Fichier d’options globales)” du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide décrit comment utiliser ces options globales. Procédure manuelle La liste ci-dessous récapitule les étapes à réaliser manuellement une fois que la procédure de mise à niveau est terminée : • Fichier Omnirc Après la mise à niveau des systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation, vous souhaitez peut-être modifier le fichier omnirc. Pour obtenir des informations sur la procédure à suivre, reportez-vous à la section sur l'utilisation du fichier Omnirc du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. • Ligne de commande Reportez-vous à l’Annexe B, “Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10”, page B-39 pour obtenir une liste des commandes qui ont été modifiées ou fournies avec des fonctionnalités étendues. Vous devez vérifier et modifier les scripts utilisant les anciennes commandes. Reportez-vous aux pages correspondantes du manuel pour un synopsis d'utilisation. Etape suivante Une fois que le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation sont installés et que toutes les modifications requises ont été implémentées, vous pouvez installer le logiciel sur les clients. Reportez-vous à la section “Mise à niveau des clients”, page 242. Mise à niveau des clients Condition préalable Si vous mettez à niveau l'intégration Oracle8 ou l'intégration SAP R/3 installée avec cette dernière, les services Oracle8 doivent être arrêtés avant la mise à niveau. Séquence de mise Pour plus d'informations sur l'ordre dans lequel la mise à niveau du à niveau client est effectuée, reportez-vous à la section “Présentation de la mise à niveau”, page 205. 242 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Mise à niveau des clients à distance Pour connaître la procédure de mise à niveau des client à l'aide du Serveur d'installation, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Mise à niveau des clients en local Si le Serveur d'installation n'est pas installé sur votre réseau ou si, pour une raison quelconque, vous ne pouvez pas distribuer le logiciel Data Protector à un système client, les clients Data Protector peuvent être mis à niveau en local. Pour mettre à niveau les clients Windows en local, reportez-vous à la section “Installation locale des clients Windows”, page 65. Pour mettre à niveau les clients UNIX en local, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Novell NetWare Après la mise à niveau d'un client Novell NetWare 4.x ou 5.0, vous devez effectuer quelques étapes supplémentaires qui vous permettront de réaliser toute sauvegarde ou restauration de la base de données NDS (Novell NetWare 4.x) / NDS eDirectory (Novell 5.x et ultérieur). Pour plus de détails, reportez-vous la section “Installation locale de clients Novell NetWare”, page 105. Mise à niveau de clients avec des intégrations Si vous mettez à niveau un client Data Protector possédant des intégrations installées (telles qu'Oracle8, SAP R/3, Exchange 2000, HP StorageWorks Disk Array XP, EMC Symmetrix, etc.), suivez les procédures décrites aux paragraphes ci-dessous : • Pour obtenir des instructions sur la procédure de mise à niveau de l'intégration Oracle8, reportez-vous aux sections “Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes UNIX”, page 244 et “Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes Windows”, page 247. • Pour obtenir des instructions sur la procédure de mise à niveau de l'intégration SAP R/3, reportez-vous aux sections “Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX”, page 248 et “Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows”, page 250. • Sur les procédures de mise à niveau des intégrations MS Exchange, MS SQL, Sybase, Informix, HP StorageWorks Disk Array XP et EMC Symmetrix, reportez-vous à la section “Mise à niveau des autres intégrations”, page 251. Chapitre 4 243 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Mise à niveau du client configuré sur MC/ServiceGuard Si vous mettez à niveau le client utilisant MC/ServiceGuard, commencez par mettre à niveau les nœuds physiques, puis procédez comme suit : 1. Exportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> 2. Réimportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual Pour mettre à niveau les clients configurés sur MC/ServiceGuard et sur lesquels les intégrations Oracle8 ou SAP R/3 sont installées, suivez la procédure décrite dans la section “Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes UNIX”, page 244 ou “Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX”, page 248. Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes UNIX Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration Oracle8 sur des systèmes UNIX : 1. Arrêtez tous les services Oracle8. Dans le cas contraire, la bibliothèque d'intégration Oracle8, qui doit être remplacée lors de la mise à niveau, est verrouillée et reste inchangée. 2. Mettez à niveau le client sur lequel l'intégration Oracle8 est installée, soit localement par la commande omnisetup.sh -install oracle8, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration Oracle8 sur le client dans l'interface graphique de Data Protector. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install oracle8. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. 3. Si vous utilisez Oracle 8.0.5 (toutes plates-formes UNIX) ou la version 32 bits d'Oracle 8.0.6 sous Solaris, rétablissez la liaison de l'exécutable Oracle 8.0.x avec la bibliothèque de base de données Data Protector libob2oracle8.sl (systèmes HP-UX), libob2oracle8.a (systèmes AIX) ou libob2oracle8.so (systèmes Solaris). Notez que sous Solaris, le chemin vers la bibliothèque de base de données libob2oracle8.so est passé de /usr/omni/lib à /opt/omni/lib. Pour plus de détails, reportez-vous à la section relative à la liaison d'Oracle 8/9 avec la bibliothèque de base de données Data Protector dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. 244 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Si vous utilisez la base de données Oracle8i sous Solaris, ne retirez que le lien programmable pointant vers /usr/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so) et faites-la pointer vers l'emplacement suivant : /opt/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so). 4. Démarrez les services Oracle8. 5. Il est recommandé de déplacer dans les fichiers de configuration Oracle8 Data Protector les variables d'environnement définies dans le fichier omnirc ou dans les fichiers /etc/opt/omni/oracle8/<SID_ORACLE>/.profile (systèmes HP-UX) et /usr/omni/config/oracle8/<SID_ORACLE>/.profile (autres systèmes UNIX). Reportez-vous à la section “Fichiers de configuration Oracle8/9 Data Protector” dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus de détails. REMARQUE Après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10, copiez les nouveaux modèles du répertoire /opt/omni/newconfig/etc/opt/omni/dltemplates/lists/oracle8 vers /etc/opt/omni/dltemplates/lists/oracle8, où sont stockés les anciens répertoires. Si votre intégration Oracle8 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 246, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. MC/ServiceGuard Pour travailler dans l'environnement MC/ServiceGuard, procédez comme suit lorsque la mise à niveau des nœuds physiques est terminée : 1. Exportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> 2. Réimportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual 3. Reconfigurez l'intégration Oracle8 sur l'hôte virtuel. Notez que la reconfiguration nécessaire est réalisée automatiquement sur les nœuds physiques. Chapitre 4 245 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 La reconfiguration consiste à configurer l'intégration pour l'hôte virtuel. Reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus d'informations sur la configuration de l'intégration Oracle8. Si votre intégration Oracle8 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 246, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) Si l'intégration Oracle8 est utilisée avec HP StorageWorks Disk Array XP, HP StorageWorks VA ou EMC Symmetrix, les spécifications de sauvegarde Oracle8i doivent être mises à niveau pour que les fonctions ZDB de Data Protector A.05.10 puissent être utilisées. Les spécifications de sauvegarde doivent être mises à jour après que la procédure de mise à jour standard de l'intégration Oracle8 a été achevée. Notez que les spécifications de sauvegarde Oracle8.0 n'ont pas besoin d'être mises à niveau. Procédez comme suit pour mettre à jour l'intégration Oracle8 dans l'environnement ZDB : 1. Reconfigurez l'intégration Oracle8i en exécutant sur le système d'application la commande util_oracle8.exe -CONFIG_SMB <SID_ORACLE> <REPERTOIRE_ORACLE> <FICHIER_INIT> <EMPLACEMENT_FICHIER_CONTROLE> <LOGIN_BD_CIBLE> <LOGIN_CATALOGUE_RECUP> située dans le répertoire /opt/omni/lbin sur les systèmes HP-UX et dans /usr/omni/bin sur les autres systèmes UNIX. Reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector HP StorageWorks Disk Array XP Integration Guide, HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide ou HP OpenView Storage Data Protector EMC Symmetrix Integration Guide pour une description de ces arguments de commande. 2. Après avoir mis à niveau tous les clients Oracle8, procédez à la mise à niveau de toutes les spécifications de sauvegarde d'Oracle8i stockées dans le Gestionnaire de cellule en exécutant la commande /opt/omni/sbin/mrgcfg -ora_barlists sur le Gestionnaire de cellule UNIX ou la commande <répertoire Data_Protector>\bin\mrgcfg -ora_barlists sur le Gestionnaire de cellule Windows. 246 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 REMARQUE Une fois que la procédure de mise à niveau est terminée, vous pouvez en toute sécurité supprimer les fichiers binaires Oracle8i du système de sauvegarde : ils ne sont pas requis par Data Protector A.05.10. Mise à niveau de l'intégration Oracle8 sur des systèmes Windows Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration Oracle8 sur des systèmes Windows : 1. Arrêtez tous les services Oracle8. Dans le cas contraire, le fichier orasbt.dll du dossier <%SystemRoot%>\setup32, qui doit être remplacé lors de la mise à niveau, est verrouillé et reste inchangé jusqu'au redémarrage suivant du système. 2. Mettez à niveau le client sur lequel l'intégration Oracle8 est installée, soit localement par la commande setup.exe, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration Oracle8 sur le client dans l'interface graphique de Data Protector. 3. Démarrez les services Oracle8. 4. Il est recommandé de déplacer dans les fichiers de configuration Oracle8 Data Protector les variables d'environnement définies dans le fichier omnirc. Reportez-vous à la section “Fichiers de configuration Oracle8/9 Data Protector” dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus de détails. REMARQUE Après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10, copiez les nouveaux modèles à partir du répertoire <répertoire Data_Protector>\NewConfig\dltemplates\lists\oracle8 dans<répertoire Data_Protector>\Config\dltemplates\lists\oracle8, où les anciens modèles sont stockés. MS Cluster Server Aucune configuration supplémentaire n'est requise pour l'intégration Oracle8 s'exécutant dans un environnement MS Cluster Server. Chapitre 4 247 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX : 1. Si l'intégration Oracle8 est installée conjointement à l'intégration SAP R/3 sur le même système client, arrêtez les services Oracle8 avant la mise à niveau. 2. Mettez le client à niveau, soit localement par la commande omnisetup.sh -install sap, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration SAP R/3 sur le client avec l'interface graphique de Data Protector. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install sap. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. 3. Si SAP R/3 utilise la base de données Oracle 8.0.5 (toutes plates-formes UNIX) ou la base de données Oracle 8.0.6 (version 32 bits sous Solaris), rétablissez la liaison de l'exécutable Oracle 8.0.x avec la bibliothèque de base de données Data Protector libob2oracle8.sl (systèmes HP-UX), libob2oracle8.a (systèmes AIX) ou libob2oracle8.so (systèmes Solaris). Notez que sous Solaris, le chemin vers la bibliothèque de base de données libob2oracle8.so est passé de /usr/omni/lib à /opt/omni/lib. Pour plus de détails, reportez-vous à la section relative à la liaison d'Oracle 8/9 avec la bibliothèque de base de données Data Protector dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. Si SAP R/3 utilise la base de données Oracle8i sous Solaris, ne retirez que le lien programmable pointant vers /usr/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so) et faites-la pointer vers l'emplacement suivant : /opt/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so). 4. Démarrez les services Oracle8 s'ils ont été arrêtés. 248 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 5. Démarrez le transfert des fichiers de statistiques de compression à partir du système client vers le fichier de configuration SAP R/3 Data Protector en exécutant, sur le système client et pour chacun des fichiers de statistiques de compression, la commande /opt/omni/sbin/upgrade_cfg -sid <SID_ORACLE> -ratio_file <chemin_et_nom_de_fichier> (systèmes HP-UX) ou la commande /usr/omni/bin/upgrade_cfg -sid <SID_ORACLE> -ratio_file <chemin_et_nom_de_fichier> (autres systèmes UNIX). Le paramètre <chemin_et_nom_de_fichier> correspond au chemin et au nom d'un fichier de statistiques de compression. La raison pour laquelle ces données doivent être transférées manuellement est la suivante : elles sont peut-être réparties sur plusieurs fichiers. Or, un seul fichier est transféré automatiquement lorsque cette commande est exécutée. C'est pourquoi vous devez lancer cette commande autant de fois que vous avez de fichiers de statistiques de compression. Si les informations sur un fichier sont présentes dans plusieurs fichiers de statistiques de compression, et si vous mettez à niveau ces fichiers, seules les informations du dernier fichier de statistiques de compression à avoir été mis à niveau sont enregistrées dans le fichier de configuration SAP R/3 Data Protector. REMARQUE Si l'une quelconque des variables SAPSEARCH, SAPBACKUP, SAPCHECK, SAPDATA_HOME, SAPLOCALHOST, SAPREORG, SAPSTAT, ou SAPTRACE a été exportée vers le fichier omnisap.exe ou dans /etc/opt/omni/sap/<SID_ORACLE/.profile (systèmes HP-UX) ou /usr/omni/config/sap/<SID_ORACLE>/.profile (autres systèmes UNIX), elles seront déplacées automatiquement vers le fichier de configuration de Data Protector SAP R/3. Toutes les autres variables de même que les lignes mises en commentaire ne seront pas déplacées. Si votre intégration SAP R/3 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 250, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. MC/ServiceGuard Pour travailler dans l'environnement MC/ServiceGuard, procédez comme suit lorsque la mise à niveau des nœuds physiques est terminée : 1. Exportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> Chapitre 4 249 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 2. Réimportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual 3. Reconfigurez l'intégration SAP R/3 sur l'hôte virtuel. Notez que la reconfiguration nécessaire est réalisée automatiquement sur les nœuds physiques. La reconfiguration consiste à configurer l'intégration pour l'hôte virtuel. Reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus d'informations sur la configuration de l'intégration SAP R/3. Si votre intégration SAP R/3 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 250, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) Si l'intégration SAP R/3 est utilisée avec HP StorageWorks Disk Array XP, HP StorageWorks VA ou EMC Symmetrix, commencez par mettre à niveau l'intégration SAP R/3 selon la procédure de mise à niveau standard pour les systèmes UNIX, et procédez ensuite comme suit : 1. Assurez-vous que le serveur de base de données SAP R/3 est configuré sur le système de l'application. Dans le cas contraire, configurez-le en suivant la procédure décrite dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. 2. Changez la valeur du paramètre SAP R/3 primary_db de <NOM_SERVICE> en LOCAL dans le profil d'initialisation SAP R/3 (<REPERTOIRE_ORACLE>/dbs/init<SID>.sap). REMARQUE Sur le système de sauvegarde, tous les fichiers binaires des applications SAP R/3 et Oracle8i peuvent être supprimés en toute sécurité : ils ne sont plus requis par Data Protector A.05.10. Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows : 1. Si l'intégration Oracle8 est installée conjointement à l'intégration SAP R/3 sur le même système client, arrêtez les services Oracle8 avant la mise à niveau. 250 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 2. Mettez le client à niveau, soit localement par la commande setup.exe, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration SAP R/3 sur le client avec l'interface graphique de Data Protector. 3. Démarrez les services Oracle8 s'ils ont été arrêtés. 4. Démarrez le transfert des fichiers de statistiques de compression à partir du système client vers le fichier de configuration SAP R/3 Data Protector en exécutant, sur le système client et pour chacun des fichiers de statistiques de compression, la commande <répertoire Data_Protector>\bin\upgrade_cfg.exe -sid <SID_ORACLE> -ratio_file <chemin_et_nom_de_fichier>. Le paramètre <chemin_et_nom_de_fichier> correspond au chemin et au nom du fichier de statistiques de compression. La raison pour laquelle ces données doivent être transférées manuellement est la suivante : elles sont peut-être réparties sur plusieurs fichiers. Or, un seul fichier est transféré automatiquement lorsque cette commande est exécutée. C'est pourquoi vous devez lancer cette commande autant de fois que vous avez de fichiers de statistiques de compression. Si les informations sur un fichier sont présentes dans plusieurs fichiers de statistiques de compression, et si vous mettez à niveau ces fichiers, seules les informations du dernier fichier de statistiques de compression à avoir été mis à niveau sont enregistrées dans le fichier de configuration SAP R/3 Data Protector. MS Cluster Server Aucune configuration supplémentaire n'est requise pour l'intégration SAP R/3 s'exécutant dans un environnement MSCluster Server. Mise à niveau des autres intégrations Si une intégration MS Exchange, MS SQL, Sybase, Informix, HP StorageWorks Disk Array XP ou EMC Symmetrix est installée sur le client Data Protector, mettez ce dernier à niveau, soit localement par la commande omnisetup.sh -install <liste_composants> sur les systèmes UNIX ou la commande setup.exe sur les systèmes Windows, soit à distance avec l'interface graphique de Data Protector. Pour une liste des codes des composants Data Protector, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install <liste_composants>. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. Chapitre 4 251 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51 Mise à niveau dans un environnement MoM Pour mettre à niveau votre environnement MoM vers Data Protector A.05.10, procédez comme suit : 1. Mettez à niveau le MoM Manager vers Data Protector A.05.10. Aucun Gestionnaire de cellule de l'environnement MoM ne doit fonctionner pendant la mise à niveau. Après la mise à niveau, le MoM Manager peut toujours fonctionner avec les Gestionnaires de cellule A.03.51. Les Gestionnaires de cellule A.03.51 qui n'ont pas encore été mis à niveau peuvent accéder à la MMDB centrale et réaliser des sauvegardes et des restaurations, mais les autres fonctionnalités ne sont pas disponibles. 2. Mettez à niveau tous les Gestionnaires de cellule dans un environnement MoM. Pour connaître la procédure, reportez-vous à la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Solaris”, page 234. REMARQUE Le partage de périphérique entre le MoM Data Protector A.05.10 et les cellules avec d'anciennes versions installées n'est pas assuré. 252 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Les versions d'OmniBack II A.04.x suivantes peuvent être directement mises à niveau vers Data Protector A.05.10 pour les plates-formes UNIX et Windows : • OmniBack II version A.04.00 • OmniBack II version A.04.10 Licences Les licences existantes d'OmniBack II A.04.x sont totalement compatibles et valides pour une utilisation avec Data Protector A.05.10. Toutefois, le rachat de certains types de licence n'est pas disponible et celles-ci sont alors remplacées par de nouvelles licences. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous au Chapitre 5, “Attribution de licences Data Protector”, page 295. Séquence de mise Pour plus d'informations sur la séquence de mise à niveau, reportez-vous à niveau à la section “Présentation de la mise à niveau”, page 205. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation HP-UX Condition préalable Arrêtez tous les services OmniBack II avant de lancer la procédure de mise à niveau, en exécutant la commande /opt/omni/sbin/omnisv -stop. REMARQUE Vous devez bénéficier des permissions root pour effectuer la mise à niveau. Chapitre 4 253 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Mise à niveau du Gestionnaire de cellule HP-UX Le Gestionnaire de cellule HP-UX est mis à niveau automatiquement lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée. Celle-ci supprime le package existant à l'aide de l'utilitaire swremove et installe les packages OMNI-CORE, OMNI-CC, OMNI-CS, OMNI-DA et OMNI-MA à l'aide de l'utilitaire swinstall. Si le Serveur d'installation est présent, il est également mis à niveau. La procédure détaillée à suivre pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule HP-UX est décrite dans la “Procédure détaillée de mise à niveau”, page 254. Mise à niveau de la La base de données reste dans le dossier /var/opt/omni/db40. Une fois base de données que la procédure de mise à niveau est terminée, la base de données ne peut plus être utilisée avec OmniBack II A.04.x. MC/ServiceGuard La procédure de mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/SG est différente de celle effectuée sur un Gestionnaire de cellule ne fonctionnant pas dans l'environnement MC/SG. La procédure détaillée à suivre est décrite dans la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard”, page 287. Mise à niveau du Serveur d'installation HP-UX Dans les situations suivantes, le Serveur d'installation HP-UX est mis à niveau automatiquement lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée : • il est installé parallèlement au Gestionnaire de cellule ; • il est installé sans composants client. Si le Serveur d'installation est installé avec des composants client, il sera supprimé par la commande omnisetup.sh. Dans ce cas, installez un nouveau dépôt de Serveur d'installation au moyen de la commande omnisetup.sh -IS, puis réimportez le Serveur d'installation mis à niveau. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. Procédure détaillée de mise à niveau Condition préalable Le paramètre de noyau maxdsiz (taille maximale des segments de données) doit être réglé sur au moins 131 072 000 octets (128 méga-octets). Après cela, recompilez le kernel et redémarrez la machine. 254 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Procédez comme suit pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation HP-UX : 1. Insérez et montez le CD-ROM d'installation HP-UX sur un point de montage, par exemple : mkdir /cdrom mount /dev/cd0 /cdrom Si vous souhaitez avoir sur votre disque local le répertoire DP_DEPOT où sont stockés les fichiers d'installation, exécutez la commande suivante : mkdir <répertoire> cp -r /cdrom/DP_DEPOT <répertoire> Pour copier l'ensemble du CD-ROM sur votre disque local, exécutez : cp -r /cdrom <rép_image_cd> 2. Exécutez la commande ./omnisetup.sh. Pour lancer cette commande à partir du CD-ROM, exécutez : cd /cdrom/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Si vous avez copié le répertoire DP_DEPOT sur votre disque local sous le chemin <répertoire>/DP_DEPOT, accédez au répertoire où la commande omnisetup.sh est stockée et exécutez : ./omnisetup.sh -source <répertoire> Si vous avez copié l'ensemble du CD-ROM dans <rép_image_cd>, exécutez la commande omnisetup.sh sans paramètres : cd <rép_image_cd>/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Pour une description de la commande omnisetup.sh, reportez-vous au document Référence de l’interface de ligne de commande HP OpenView Storage Data Protector. 3. Lorsque la version A.04.x de OmniBack II est détectée, la procédure de mise à niveau démarre automatiquement. Si vous souhaitez effectuer une installation propre (la version précédente de la base de données sera effacée), désinstallez l'ancienne version puis redémarrez l'installation. Chapitre 4 255 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous aux sections “Installation d'un Gestionnaire de cellule UNIX”, page 19 et “Installation du Serveur d'installation pour UNIX”, page 36. Dès que la procédure est terminée, vous pouvez utiliser les fonctionnalités de Data Protector. Etape suivante Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Reportez-vous à la section “Vérification des changements de configuration”, page 258. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows L'installation Windows est basée sur le programme Microsoft Installer 2.0. Lorsque la version précédente de OmniBack II est détectée, le jeu de composants pris en compte par le système d'exploitation est le même que celui qui est installé (sans les composants obsolètes). Vous pouvez changer de jeu de composants pendant le processus de mise à niveau. En revanche, le répertoire d'installation ne peut pas être modifié. Le jeu de packages existant est retiré et le nouveau est installé. REMARQUE Si vous souhaitez mettre à niveau votre système d'exploitation de Windows NT vers une nouvelle version de Windows, vous devez dans un premier temps mettre à niveau le système d'exploitation, puis la version précédente du produit vers Data Protector A.05.10. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows”, page 285. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule Windows Le Gestionnaire de cellule Windows est mis à niveau automatiquement lorsque la commande setup.exe est exécutée. Si le Serveur d'installation est présent, il est également mis à niveau. La procédure détaillée à suivre pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule Windows est décrite dans la “Procédure détaillée de mise à niveau”, page 257. 256 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Mise à niveau de la La base de données reste dans le dossier <répertoire base de données Data_Protector>\db40. Une fois que la procédure de mise à niveau est terminée, la base de données ne peut plus être utilisée avec OmniBack II A.04.x. MS Cluster Server La procédure de mise à niveau du Gestionnaire de cellule fonctionnant dans un environnement MS Cluster Server est différente de celle d'un Gestionnaire de cellule non configuré pour être utilisé avec MS Cluster Server. La procédure détaillée à suivre est décrite dans la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server”, page 291. Mise à niveau du Serveur d'installation Windows Le Serveur d'installation Windows est mis à niveau automatiquement pendant la procédure de mise à niveau s'il est installé sur le même système que le Gestionnaire de cellule. L'ancien dépôt du Serveur d'installation est supprimé et, si le composant Serveur d'installation est sélectionné pendant l'installation, le nouveau dépôt du Serveur d'installation est copié à sa place. Si le Serveur d'installation est installé parallèlement au client Data Protector, et si ce client est mis à niveau à distance (à l'aide de l'interface utilisateur graphique Data Protector), le Serveur d'installation est lui aussi mis à niveau. IMPORTANT Réimportez le Serveur d'installation mis à niveau une fois que la procédure d'installation est terminée. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. Procédure détaillée de mise à niveau Procédez comme suit pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation Windows vers Data Protector A.05.10 : 1. Insérez le CD-ROM d'installation Windows et exécutez la commande i386\setup.exe. Chapitre 4 257 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x 2. Lorsque la version A.04.x de OmniBack II est détectée, la procédure de mise à niveau démarre automatiquement. Si vous souhaitez effectuer une mise à niveau propre (la version précédente de la base de données sera effacée), désinstallez l'ancienne version puis redémarrez l'installation. Dans la page Installation personnalisée, les composants précédemment installés sur le système sont sélectionnés. Notez que vous pouvez changer de jeu de composants. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous aux sections “Installation d'un Gestionnaire de cellule Windows”, page 30 et “Installation d'un Serveur d'installation pour Windows”, page 41. Dès que la procédure est terminée, vous pouvez utiliser les fonctionnalités de Data Protector. Etape suivante Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Reportez-vous à la section “Vérification des changements de configuration”, page 258. Vérification des changements de configuration Fichier d'options globales Pendant la mise à niveau, le contenu de l'ancien fichier d'options globales, qui se trouve dans le répertoire /etc/opt/omni/options pour le Gestionnaire de cellule HP-UX ou <répertoire Data_Protector>\Config\Options pour le Gestionnaire de cellule Windows, est fusionné avec le contenu du nouveau fichier d'options globales sur le Gestionnaire de cellule : • /opt/omni/newconfig/etc/opt/omni/options - Gestionnaire de cellule HP-UX • <répertoire Data_Protector>\NewConfig\Options Gestionnaire de cellule Windows Le fichier fusionné, nommé global, se trouve dans le répertoire /etc/opt/omni/options du Gestionnaire de cellule HP-UX ou dans le répertoire <répertoire Data_Protector>\Config\Options du Gestionnaire de cellule Windows, et est utilisé par la version mise à niveau du produit. L'ancien fichier d'options globales est renommé global.1, global.2, etc., selon le nombre de mises à niveau réalisées. 258 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Les faits suivants s'appliquent après la création du fichier fusionné : • Les variables du fichier d'options globales qui étaient actives (non mises en commentaires) dans l'ancien fichier restent actives dans le fichier fusionné. Le commentaire suivant, indiquant que la valeur de la variable a été copiée à partir de l'ancien fichier, est ajouté au fichier fusionné : <variable>=<valeur> # Data Protector A.05.10 # This value was automatically copied from previous version. • Les variables du fichier d'options globales qui ne sont plus utilisées sont mises en commentaires (rendues inactives) dans le fichier fusionné ; le commentaire suivant, qui indique que la variable n'est plus utilisée, est ajouté : # <variable>=<valeur> # Data Protector A.05.10 # This value is no longer in use. • Les variables dont les valeurs ne sont plus prises en charge sont mises en commentaire (rendues inactives) dans le fichier fusionné. Le commentaire suivant contenant un modèle (<modèle_variable>) et indiquant la valeur précédente de la variable est inséré : # <variable>=<modèle_variable> # Data Protector A.05.10 # This variable cannot be transferred automatically. # The previous setting was: # <variable>=<valeur> • Les commentaires ne sont pas transférés dans le nouveau fichier fusionné. Sur les systèmes Windows, le fichier d'options globales est au format UNICODE et peut être modifié avec le Bloc-notes par exemple. Après avoir modifié ce fichier, veillez à l'enregistrer au format UNICODE. Chapitre 4 259 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x La description des nouvelles options figure dans le fichier d'options globales fusionné : /etc/opt/omni/options/global sous le Gestionnaire de cellule HP-UX et <répertoire Data_Protector>\config\options\global sous le Gestionnaire de cellule Windows. La section “Global Options File (Fichier d’options globales)” du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide décrit comment utiliser ces options globales. Procédure manuelle La liste ci-dessous récapitule les étapes à réaliser manuellement une fois que la procédure de mise à niveau est terminée : • Fichier Omnirc Après la mise à niveau des systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation, vous souhaitez peut-être modifier le fichier omnirc. Pour obtenir des informations sur la procédure à suivre, reportez-vous à la section sur l'utilisation du fichier Omnirc du HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. • Ligne de commande Reportez-vous à l’Annexe B, “Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10”, page B-39 pour obtenir une liste des commandes qui ont été modifiées ou fournies avec des fonctionnalités étendues. Vous devez vérifier et modifier les scripts utilisant les anciennes commandes. Reportez-vous aux pages correspondantes du manuel pour un synopsis d'utilisation. Etape suivante Une fois que le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation sont installés et que toutes les modifications requises ont été implémentées, vous pouvez installer le logiciel sur les clients. Reportez-vous à la section “Mise à niveau des clients”, page 260. Mise à niveau des clients Condition préalable Si vous mettez à niveau l'intégration Oracle8/9 ou l'intégration SAP R/3 installée avec cette dernière, les services Oracle8/9 doivent être arrêtés avant la mise à niveau. Séquence de mise Pour plus d'informations sur l'ordre dans lequel la mise à niveau du à niveau client est effectuée, reportez-vous à la section “Présentation de la mise à niveau”, page 205. 260 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Mise à niveau des clients à distance Pour connaître la procédure de mise à niveau des client à l'aide du Serveur d'installation, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Mise à niveau des clients en local Si le Serveur d'installation n'est pas installé sur votre réseau ou si, pour une raison quelconque, vous ne pouvez pas distribuer le logiciel Data Protector à un système client, les clients Data Protector peuvent être mis à niveau en local. Pour mettre à niveau les clients Windows en local, reportez-vous à la section “Installation locale des clients Windows”, page 65. Pour mettre à niveau les clients UNIX en local, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Mise à niveau du client configuré sur MC/ServiceGuard Si vous mettez à niveau le client utilisant MC/ServiceGuard, commencez par mettre à niveau les nœuds physiques, puis procédez comme suit : 1. Exportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> 2. Réimportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual Mise à niveau de clients avec des intégrations Si vous mettez à niveau un client Data Protector sur lequel une intégration (telle qu'Oracle8/9, SAP R/3, Exchange 2000, HP StorageWorks Disk Array XP, EMC Symmetrix, etc.) est installée, suivez les procédures décrites aux paragraphes ci-dessous : • Pour obtenir des instructions sur la procédure de mise à niveau de l'intégration Oracle8/9, reportez-vous aux sections “Mise à niveau de l'intégration Oracle8/9 sur des systèmes UNIX”, page 262 et “Mise à niveau de l'intégration Oracle8/9 sur des systèmes Windows”, page 264. • Pour obtenir des instructions sur la procédure de mise à niveau de l'intégration SAP R/3, reportez-vous aux sections “Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX”, page 265 et “Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows”, page 266. • Sur les procédures de mise à niveau des intégrations MS Exchange, MS SQL, Sybase, Informix, HP StorageWorks Disk Array XP et EMC Symmetrix, reportez-vous à la section “Mise à niveau des autres intégrations”, page 267. Chapitre 4 261 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Mise à niveau de l'intégration Oracle8/9 sur des systèmes UNIX Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration Oracle8/9 sur des systèmes UNIX : 1. Arrêtez tous les services Oracle8/9. Dans le cas contraire, la bibliothèque d'intégration Oracle8/9, qui doit être remplacée lors de la mise à niveau, est verrouillée et reste inchangée. 2. Mettez à niveau le client sur lequel l'intégration Oracle8/9 est installée, soit localement par la commande omnisetup.sh -install oracle8, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration Oracle8/9 sur le client dans l'interface graphique de Data Protector. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install oracle8. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. 3. Si vous utilisez Oracle 8.0.5 (toutes plates-formes UNIX) ou la version 32 bits d'Oracle 8.0.6 sous Solaris, rétablissez la liaison de l'exécutable Oracle 8.0.x avec la bibliothèque de base de données Data Protector libob2oracle8.sl (systèmes HP-UX), libob2oracle8.a (systèmes AIX) ou libob2oracle8.so (systèmes Solaris). Notez que sous Solaris, le chemin vers la bibliothèque de base de données libob2oracle8.so est passé de /usr/omni/lib à /opt/omni/lib. Pour plus de détails, reportez-vous à la section relative à la liaison d'Oracle 8/9 avec la bibliothèque de base de données Data Protector dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. Si vous utilisez la base de données Oracle8i/9i sous Solaris, ne retirez que le lien programmable pointant vers /usr/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so) et faites-la pointer vers l'emplacement suivant : /opt/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so). 4. Démarrez les services Oracle8/9. 262 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x 5. Il est recommandé de déplacer dans les fichiers de configuration Oracle8/9 Data Protector les variables d'environnement définies dans le fichier omnirc ou dans les fichiers /etc/opt/omni/oracle8/<SID_ORACLE>/.profile (systèmes HP-UX et Solaris) et /usr/omni/config/oracle8/<SID_ORACLE>/.profile (autres systèmes UNIX). Reportez-vous à la section “Fichiers de configuration Oracle8/9 Data Protector” dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus de détails. REMARQUE Après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10, copiez les nouveaux modèles du répertoire /opt/omni/newconfig/etc/opt/omni/dltemplates/lists/oracle8 vers /etc/opt/omni/dltemplates/lists/oracle8, où sont stockés les anciens répertoires. Si votre intégration Oracle8/9 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 263, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) Si l'intégration Oracle8/9 est utilisée avec HP StorageWorks Disk Array XP, HP StorageWorks VA ou EMC Symmetrix, les spécifications de sauvegarde Oracle8i/9i doivent être mises à niveau pour que les fonctions ZDB de Data Protector A.05.10 puissent être utilisées. Les spécifications de sauvegarde doivent être mises à jour après que la procédure de mise à jour standard de l'intégration Oracle8/9 a été achevée. Notez que les spécifications de sauvegarde Oracle8.0 n'ont pas besoin d'être mises à niveau. Procédez comme suit pour mettre à jour l'intégration Oracle8i/9i dans l'environnement ZDB : 1. Reconfigurez l'intégration Oracle8i/9i en exécutant sur le système d'application la commande util_oracle8.exe -CONFIG_SMB <SID_ORACLE> <REPERTOIRE_ORACLE> <FICHIER_INIT> <EMPLACEMENT_FICHIER_CONTROLE> <LOGIN_BD_CIBLE> <LOGIN_CATALOGUE_RECUP> située dans le répertoire /opt/omni/lbin sur les systèmes HP-UX et dans /usr/omni/bin sur les autres systèmes UNIX. Chapitre 4 263 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Reportez-vous au HP OpenView Storage Data Protector HP StorageWorks Disk Array XP Integration Guide, au HP OpenView Storage Data Protector EVA/VA/MSA Integration Guide ou au HP OpenView Storage Data Protector EMC Symmetrix Integration Guide pour une description de ces arguments de commande. 2. Après avoir mis à niveau tous les clients Oracle8, procédez à la mise à niveau de toutes les spécifications de sauvegarde d'Oracle8i/9i stockées dans le Gestionnaire de cellule en exécutant la commande /opt/omni/sbin/utilns/mrgcfg -ora_barlists sur le Gestionnaire de cellule UNIX ou la commande <répertoire Data_Protector>\bin\mrgcfg -ora_barlists sur le Gestionnaire de cellule Windows. REMARQUE Une fois que la procédure de mise à niveau est terminée, vous pouvez en toute sécurité supprimer les fichiers binaires Oracle8i/9i du système de sauvegarde : ils ne sont pas requis par Data Protector A.05.10. Mise à niveau de l'intégration Oracle8/9 sur des systèmes Windows Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration Oracle8 sur des systèmes Windows : 1. Arrêtez tous les services Oracle8/9. Dans le cas contraire, le fichier orasbt.dll du dossier <%SystemRoot%>\setup32, qui doit être remplacé lors de la mise à niveau, est verrouillé et reste inchangé jusqu'au redémarrage suivant du système. 2. Mettez à niveau le client sur lequel l'intégration Oracle8/9 est installée, soit localement par la commande setup.exe, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration Oracle8/9 sur le client dans l'interface graphique de Data Protector. 3. Démarrez les services Oracle8/9. 4. Il est recommandé de déplacer dans les fichiers de configuration Oracle8/9 Data Protector les variables d'environnement définies dans le fichier omnirc. Reportez-vous à la section “Fichiers de configuration Oracle8/9 Data Protector” dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour plus de détails. 264 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x REMARQUE Après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10, copiez les nouveaux modèles à partir du répertoire <répertoire Data_Protector>\NewConfig\dltemplates\lists\oracle8 dans<répertoire Data_Protector>\Config\dltemplates\lists\oracle8, où les anciens modèles sont stockés. MS Cluster Server Aucune configuration supplémentaire n'est requise pour l'intégration Oracle8/9 s'exécutant dans un environnement MSCluster Server. Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration SAP R/3 sur des systèmes UNIX : 1. Si l'intégration Oracle8/9 est installée conjointement à l'intégration SAPR/3 sur le même système client, arrêtez les services Oracle8/9 avant la mise à niveau. 2. Mettez le client à niveau, soit localement par la commande omnisetup.sh -install sap, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration SAP R/3 sur le client avec l'interface graphique de Data Protector. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install sap. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. 3. Si SAP R/3 utilise la base de données Oracle 8.0.5 (toutes plates-formes UNIX) ou la base de données Oracle 8.0.6 (version 32 bits sous Solaris), rétablissez la liaison de l'exécutable Oracle 8.0.x avec la bibliothèque de base de données Data Protector libob2oracle8.sl (systèmes HP-UX), libob2oracle8.a (systèmes AIX) ou libob2oracle8.so (systèmes Solaris). Notez que sous Solaris, le chemin vers la bibliothèque de base de données libob2oracle8.so est passé de /usr/omni/lib à /opt/omni/lib. Pour plus de détails, reportez-vous à la section relative à la liaison d'Oracle 8/9 avec la bibliothèque de base de données Data Protector dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. Chapitre 4 265 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x Si SAP R/3 utilise la base de données Oracle8i/9i sous Solaris, ne retirez que le lien programmable pointant vers /usr/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so) et faites-la pointer vers l'emplacement suivant : /opt/omni/lib/libob2oracle8.so (libob2oracle8_64bit.so). 4. Démarrez les services Oracle8/9 s'ils ont été arrêtés. Si votre intégration SAP R/3 fonctionne dans l'environnement ZDB, d'autres procédures, décrites page 266, sont nécessaires pour terminer avec succès la mise à niveau. Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) Si l'intégration SAP R/3 est utilisée avec HP StorageWorks Disk Array XP, HP StorageWorks VA ou EMC Symmetrix, commencez par mettre à niveau l'intégration SAP R/3 selon la procédure de mise à niveau standard pour les systèmes UNIX, et procédez ensuite comme suit : 1. Assurez-vous que le serveur de base de données SAP R/3 est configuré sur le système de l'application. Dans le cas contraire, configurez-le en suivant la procédure décrite dans le Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Unix. 2. Changez la valeur du paramètre SAP R/3 primary_db de <NOM_SERVICE> en LOCAL dans le profil d'initialisation SAP R/3 (<REPERTOIRE_ORACLE>/dbs/init<SID>.sap). REMARQUE Sur le système de sauvegarde, tous les fichiers binaires des applications SAP R/3 et Oracle8i/9i peuvent être supprimés en toute sécurité : ils ne sont plus requis par Data Protector A.05.10. Mise à niveau de l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows Procédez comme suit pour mettre à niveau l'intégration SAP R/3 sur des systèmes Windows : 1. Si l'intégration Oracle8/9 est installée conjointement à l'intégration SAPR/3 sur le même système client, arrêtez les services Oracle8/9 avant la mise à niveau. 2. Mettez le client à niveau, soit localement par la commande setup.exe, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration SAP R/3 sur le client avec l'interface graphique de Data Protector. 3. Démarrez les services Oracle8/9 s'ils ont été arrêtés. 266 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x MS Cluster Server Aucune configuration supplémentaire n'est requise pour l'intégration SAP R/3 s'exécutant dans un environnement MSCluster Server. Mise à niveau des autres intégrations Si une intégration MS Exchange, MS SQL, Sybase, Informix, HP StorageWorks Disk Array XP ou EMC Symmetrix est installée sur le client Data Protector, mettez ce dernier à niveau, soit localement par la commande omnisetup.sh -install <liste_composants> sur les systèmes UNIX ou la commande setup.exe sur les systèmes Windows, soit à distance avec l'interface graphique de Data Protector. Pour une liste des codes des composants Data Protector, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install <liste_composants>. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. Mise à niveau dans un environnement MoM Pour mettre à niveau votre environnement MoM vers Data Protector A.05.10, procédez comme suit : 1. Mettez à niveau le MoM Manager vers Data Protector A.05.10. Aucun Gestionnaire de cellule de l'environnement MoM ne doit fonctionner pendant la mise à niveau. Après la mise à niveau, le MoM Manager peut toujours fonctionner avec les Gestionnaires de cellule A.04.x. 2. Mettez à niveau chaque Gestionnaire de cellule dans un environnement MoM. Pour connaître la procédure de mise à niveau, reportez-vous aux sections “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation HP-UX”, page 253 et “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows”, page 256. REMARQUE Le partage de périphérique entre le MoM Data Protector A.05.10 et les cellules avec d'anciennes versions installées n'est pas assuré. Chapitre 4 267 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 La version Data Protector A.05.00 peut être directement mise à niveau vers Data Protector A.05.10 pour les plates-formes UNIX et Windows. Licences Les licences existantes d'Data Protector A.05.00 sont totalement compatibles et valides pour une utilisation avec Data Protector A.05.10. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous au Chapitre 5, “Attribution de licences Data Protector”, page 295. Séquence de mise Pour plus d'informations sur la séquence de mise à niveau, reportez-vous à niveau à la section “Présentation de la mise à niveau”, page 205. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation UNIX Conditions préalables • Arrêtez tous les services Data Protector en exécutant la commande /opt/omni/sbin/omnisv -stop. • Sur Solaris, si vous avez des anciens correctifs installés, désinstallez-les avant la mise à niveau. REMARQUE Vous devez bénéficier des permissions root pour effectuer la mise à niveau. Mise à niveau sur les systèmes HP-UX Le Gestionnaire de cellule HP-UX est mis à niveau automatiquement lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée. Celle-ci supprime le package existant à l'aide de l'utilitaire swremove et installe les packages OMNI-CORE, OMNI-CC, OMNI-CS, OMNI-DA et OMNI-MA à l'aide de l'utilitaire swinstall. Si le Serveur d'installation HP-UX est installé parallèlement au Gestionnaire de cellule ou s'il est installé sans composants client, il est automatiquement mis à niveau à l'exécution de la commande omnisetup.sh. 268 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Si le Serveur d'installation est installé avec des composants client, il sera supprimé par la commande omnisetup.sh. Dans ce cas, installez un nouveau dépôt de Serveur d'installation au moyen de la commande omnisetup.sh -IS, puis réimportez le Serveur d'installation mis à niveau. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. MC/ServiceGuard La procédure de mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/SG est différente de celle effectuée sur un Gestionnaire de cellule ne fonctionnant pas dans l'environnement MC/SG. La procédure détaillée à suivre est décrite dans la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard”, page 287. Procédez comme suit pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation HP-UX vers Data Protector A.05.10 : 1. Insérez et montez le CD-ROM d'installation HP-UX sur un point de montage, par exemple : mkdir /cdrom mount /dev/cd0 /cdrom Si vous souhaitez avoir sur votre disque local le répertoire DP_DEPOT où sont stockés les fichiers d'installation, exécutez la commande suivante : mkdir <répertoire> cp -r /cdrom/DP_DEPOT <répertoire> Pour copier l'ensemble du CD-ROM sur votre disque local, exécutez : cp -r /cdrom <rép_image_cd> 2. Exécutez la commande ./omnisetup.sh. Pour lancer cette commande à partir du CD-ROM, exécutez : cd /cdrom/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Si vous avez copié le répertoire DP_DEPOT sur votre disque local sous le chemin <répertoire>/DP_DEPOT, accédez au répertoire où la commande omnisetup.sh est stockée et exécutez : ./omnisetup.sh -source <répertoire> Si vous avez copié l'ensemble du CD-ROM dans <rép_image_cd>, exécutez la commande omnisetup.sh sans paramètres : cd <rép_image_cd>/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Chapitre 4 269 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Pour une description de la commande omnisetup.sh, reportez-vous au document Référence de l’interface de ligne de commande HP OpenView Storage Data Protector. 3. Lorsque la version A.05.00 de Data Protector est détectée, la procédure de mise à niveau démarre automatiquement. Si vous souhaitez effectuer une installation propre (la version précédente de la base de données sera effacée), désinstallez l'ancienne version puis redémarrez l'installation. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous aux sections “Installation d'un Gestionnaire de cellule UNIX”, page 19 et “Installation du Serveur d'installation pour UNIX”, page 36. Dès que la procédure est terminée, vous pouvez utiliser les fonctionnalités de Data Protector. Etape suivante Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Reportez-vous à la section “Vérification des changements de configuration”, page 274. Mise à niveau sur les systèmes Solaris Le Gestionnaire de cellule Solaris est mis à niveau automatiquement lorsque la commande omnisetup.sh est exécutée. Celle-ci supprime le package existant à l'aide de l'utilitaire pkgrm et installe les packages OB2-CORE, OB2-C-IS, OB2-CC, OB2-CS, OB2-DA et OB2-INTEGP à l'aide de l'utilitaire pkgadd. Si le Serveur d'installation Solaris est installé parallèlement au Gestionnaire de cellule ou s'il est installé sans composants client, il est automatiquement mis à niveau à l'exécution de la commande omnisetup.sh. Si le Serveur d'installation est installé avec des composants client, il sera supprimé par la commande omnisetup.sh. Dans ce cas, installez un nouveau dépôt de Serveur d'installation au moyen de l'utilitaire pkgadd, puis réimportez le Serveur d'installation mis à niveau. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. 270 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 REMARQUE Si le Serveur d'installation se trouve sur un système différent du Gestionnaire de cellule, il doit être mis à niveau en local à partir du CD-ROM d'installation de Solaris. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Installation du Serveur d'installation pour UNIX”, page 36. Procédez comme suit pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation Solaris vers Data Protector A.05.10 : 1. Insérez et montez le CD-ROM d'installation Solaris sur un point de montage, par exemple : mkdir /cdrom mount /dev/cd0 /cdrom Si vous souhaitez avoir sur votre disque local le répertoire DP_DEPOT où sont stockés les fichiers d'installation, exécutez la commande suivante : mkdir <répertoire> cp -r /cdrom/DP_DEPOT <répertoire> Pour copier l'ensemble du CD-ROM sur votre disque local, exécutez : cp -r /cdrom <rép_image_cd> 2. Exécutez la commande ./omnisetup.sh. Pour lancer cette commande à partir du CD-ROM, exécutez : cd /cdrom/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Si vous avez copié le répertoire DP_DEPOT sur votre disque local sous le chemin <répertoire>/DP_DEPOT, accédez au répertoire où la commande omnisetup.sh est stockée et exécutez : ./omnisetup.sh -source <répertoire> Si vous avez copié l'ensemble du CD-ROM dans <rép_image_cd>, exécutez la commande omnisetup.sh sans paramètres : cd <rép_image_cd>/LOCAL_DP_AGENT_INSTALL ./omnisetup.sh Chapitre 4 271 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Pour une description de la commande omnisetup.sh, reportez-vous au document Référence de l’interface de ligne de commande HP OpenView Storage Data Protector. 3. Lorsque la version A.05.00 de Data Protector est détectée, la procédure de mise à niveau démarre automatiquement. Si vous souhaitez effectuer une installation propre (la version précédente de la base de données sera effacée), désinstallez l'ancienne version puis redémarrez l'installation. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous aux sections “Installation d'un Gestionnaire de cellule UNIX”, page 19 et “Installation du Serveur d'installation pour UNIX”, page 36. Dès que la procédure est terminée, vous pouvez utiliser les fonctionnalités de Data Protector. Etape suivante Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Reportez-vous à la section “Vérification des changements de configuration”, page 274. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows L'installation Windows est basée sur le programme Microsoft Installer 2.0. Lorsque la version précédente de Data Protector est détectée, le jeu de composants pris en compte par le système d'exploitation est le même que celui qui est installé (sans les composants obsolètes). Le jeu de packages existant est supprimé et le nouveau jeu de packages est installé comme s'il s'agissait d'une nouvelle installation (propre). Le Gestionnaire de cellule Windows est mis à niveau automatiquement lorsque la commande setup.exe est exécutée. Le Serveur d'installation Windows est mis à niveau automatiquement pendant la procédure de mise à niveau s'il est installé sur le même système que le Gestionnaire de cellule. L'ancien dépôt du Serveur d'installation est supprimé et, si le composant Serveur d'installation est sélectionné pendant l'installation, le nouveau dépôt du Serveur d'installation est copié à sa place. 272 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Si le Serveur d'installation est installé parallèlement au client Data Protector, et si ce client est mis à niveau à distance (à l'aide de l'interface utilisateur graphique Data Protector), le Serveur d'installation est lui aussi mis à niveau. IMPORTANT Réimportez le Serveur d'installation mis à niveau une fois que la procédure d'installation est terminée. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Importation d'un Serveur d'installation dans une cellule”, page 171. REMARQUE Si vous souhaitez mettre à niveau votre système d'exploitation de Windows NT vers une nouvelle version de Windows, vous devez dans un premier temps mettre à niveau le système d'exploitation, puis la version précédente du produit vers Data Protector A.05.10. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows”, page 285. MS Cluster Server La procédure de mise à niveau du Gestionnaire de cellule fonctionnant dans un environnement MS Cluster Server est différente de celle d'un Gestionnaire de cellule non configuré pour être utilisé avec MS Cluster Server. La procédure détaillée à suivre est décrite dans la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server”, page 291. Procédure de mise Procédez comme suit pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le à niveau Serveur d'installation Windows vers Data Protector A.05.10 : 1. Insérez le CD-ROM d'installation Windows et exécutez la commande i386\setup.exe. 2. Lorsque la version A.05.00 de Data Protector est détectée, la procédure de mise à niveau démarre automatiquement. Si vous souhaitez effectuer une mise à niveau propre (la version précédente de la base de données sera effacée), désinstallez l'ancienne version puis redémarrez l'installation. Dans la page Installation personnalisée, les composants précédemment installés sur le système sont sélectionnés. Notez que vous pouvez changer de jeu de composants. Chapitre 4 273 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Sur la procédure détaillée à suivre, reportez-vous aux sections “Installation d'un Gestionnaire de cellule Windows”, page 30 et “Installation d'un Serveur d'installation pour Windows”, page 41. Dès que la procédure est terminée, vous pouvez utiliser les fonctionnalités de Data Protector. Etape suivante Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Reportez-vous à la section “Vérification des changements de configuration”, page 274. Vérification des changements de configuration Fichier d'options globales Pendant la mise à niveau, le contenu de l'ancien fichier d'options globales, qui se trouve dans le répertoire /etc/opt/omni/options pour le Gestionnaire de cellule UNIX ou <répertoire Data_Protector>\Config\Options pour le Gestionnaire de cellule Windows, est fusionné avec le contenu du nouveau fichier d'options globales sur le Gestionnaire de cellule : • /opt/omni/newconfig/etc/opt/omni/options - Gestionnaire de cellule UNIX • <répertoire Data_Protector>\NewConfig\Options Gestionnaire de cellule Windows Le fichier fusionné, nommé global, se trouve dans le répertoire /etc/opt/omni/options du Gestionnaire de cellule UNIX ou dans le répertoire <répertoire Data_Protector>\Config\Options du Gestionnaire de cellule Windows, et est utilisé par la version mise à niveau du produit. L'ancien fichier d'options globales est renommé global.1, global.2, etc., selon le nombre de mises à niveau réalisées. Les faits suivants s'appliquent après la création du fichier fusionné : • Les variables du fichier d'options globales qui étaient actives (non mises en commentaires) dans l'ancien fichier restent actives dans le fichier fusionné. Le commentaire suivant, indiquant que la valeur de la variable a été copiée à partir de l'ancien fichier, est ajouté au fichier fusionné : <variable>=<valeur> # Data Protector A.05.10 # This value was automatically copied from previous version. 274 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 • Les variables du fichier d'options globales qui ne sont plus utilisées sont mises en commentaires (rendues inactives) dans le fichier fusionné ; le commentaire suivant, qui indique que la variable n'est plus utilisée, est ajouté : # <variable>=<valeur> # Data Protector A.05.10 # This value is no longer in use. • Les variables dont les valeurs ne sont plus prises en charge sont mises en commentaire (rendues inactives) dans le fichier fusionné. Le commentaire suivant contenant un modèle (<modèle_variable>) et indiquant la valeur précédente de la variable est inséré : # <variable>=<modèle_variable> # Data Protector A.05.10 # This variable cannot be transferred automatically. # The previous setting was: # <variable>=<valeur> • Les commentaires ne sont pas transférés dans le nouveau fichier fusionné. Sur les systèmes Windows, le fichier d'options globales est au format UNICODE et peut être modifié avec le Bloc-notes par exemple. Après avoir modifié ce fichier, veillez à l'enregistrer au format UNICODE. La description des nouvelles options figure dans le fichier d'options globales fusionné : /etc/opt/omni/options/global sous le Gestionnaire de cellule UNIX et <répertoire Data_Protector>\config\options\global sous le Gestionnaire de cellule Windows. La section “Global Options File (Fichier d’options globales)” du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide décrit comment utiliser ces options globales. Chapitre 4 275 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Procédure manuelle La liste ci-dessous récapitule les étapes à réaliser manuellement une fois que la procédure de mise à niveau est terminée : • Fichier Omnirc Après la mise à niveau des systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation, vous souhaitez peut-être modifier le fichier omnirc. Pour obtenir des informations sur la procédure à suivre, reportez-vous à la section sur l'utilisation du fichier Omnirc du HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. • Ligne de commande Reportez-vous à l’Annexe B, “Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10”, page B-39 pour obtenir une liste des commandes qui ont été modifiées ou fournies avec des fonctionnalités étendues. Vous devez vérifier et modifier les scripts utilisant les anciennes commandes. Reportez-vous aux pages correspondantes du manuel pour un synopsis d'utilisation. Etape suivante Une fois que le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation sont installés et que toutes les modifications requises ont été implémentées, il est recommandé d’installer le logiciel sur les clients. Reportez-vous à la section “Mise à niveau des clients”, page 276. Mise à niveau des clients Condition préalable Si vous mettez à niveau l'intégration Oracle8/9 ou l'intégration SAP R/3 installée avec cette dernière, les services Oracle8/9 doivent être arrêtés avant la mise à niveau. Séquence de mise Pour plus d'informations sur l'ordre dans lequel la mise à niveau du à niveau client est effectuée, reportez-vous à la section “Présentation de la mise à niveau”, page 205. Mise à niveau des clients à distance Pour connaître la procédure de mise à niveau des client à l'aide du Serveur d'installation, reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Mise à niveau des clients en local Si le Serveur d'installation n'est pas installé sur votre réseau ou si, pour une raison quelconque, vous ne pouvez pas distribuer le logiciel Data Protector à un système client, les clients Data Protector peuvent être mis à niveau en local. 276 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Pour mettre à niveau les clients Windows en local, reportez-vous à la section “Installation locale des clients Windows”, page 65. Pour mettre à niveau les clients UNIX en local, reportez-vous à la section “Installation locale de clients UNIX”, page 121. Novell NetWare Après la mise à niveau d'un client Novell NetWare 4.x ou 5.0, vous devez effectuer quelques étapes supplémentaires qui vous permettront de réaliser toute sauvegarde ou restauration de la base de données NDS (Novell NetWare 4.x) / NDS eDirectory (Novell 5.x et ultérieur). pour plus de détails, reportez-vous à la section “Installation locale de clients Novell NetWare”, page 105. Mise à niveau du client configuré sur MC/ServiceGuard Si vous mettez à niveau le client utilisant MC/ServiceGuard, commencez par mettre à niveau les nœuds physiques, puis procédez comme suit : 1. Exportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> 2. Réimportez l'hôte virtuel par la commande : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual Mise à niveau de clients avec des intégrations Si des intégrations (telles que Oracle8/9, SAP R/3, MS Exchange 2000, MS SQL 7.0/2000, HP StorageWorks Disk Array XP, EMC Symmetrix, etc.) sont installées sur le client Data Protector, commencez par mettre à niveau l'intégration de Data Protector sur le client, soit localement en exécutant la commande omnisetup.sh -install <liste_composant> sur les systèmes UNIX ou setup.exe sur les systèmes Windows, soit à distance à l'aide de l'interface graphique de Data Protector. Des étapes spécifiques d'intégration supplémentaires peuvent être nécessaires. Sous UNIX, notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install <liste_composants>. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. Une attention toute particulière doit être portée sur l'intégration Oracle8/9, l'intégration SAP R/3 et l'intégration Microsoft SQL 7.0/2000 dans un environnement de sauvegarde avec un temps d'indisponibilité nul. Chapitre 4 277 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Intégration Oracle8/9 Les clients sur lesquels l'intégration Oracle8/9 est installée sont mis à niveau soit localement par la commande omnisetup.sh -install oracle8 sur les systèmes UNIX ou setup.exe sur les systèmes Windows, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration Oracle8/9 sur le client à l'aide de l'interface graphique de Data Protector. Sous UNIX, notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install oracle8. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. Tous les services Oracle8/9 doivent être arrêtés avant la mise à niveau. Dans le cas contraire, la bibliothèque d'intégration Oracle8/9, qui doit être remplacée lors de la mise à niveau, est verrouillée et reste inchangée. Une fois que la procédure de mise à niveau est terminée, démarrez les services Oracle 8/9. Intégration de SAP Les clients sur lesquels l'intégration SAP R/3 est installée sont mis à R/3 niveau soit localement par la commande omnisetup.sh -install sap sur les systèmes UNIX ou setup.exe sur les systèmes Windows, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration SAP R/3 sur le client à l'aide de l'interface graphique de Data Protector. Sous UNIX, notez que si vous mettez à niveau le client qui ne réside pas sur le Gestionnaire de cellule, il n'est pas nécessaire de spécifier -install sap. Dans ce cas, le programme d'installation sélectionnera sans émettre d'invite les mêmes composants que ceux déjà installés sur le système. Si l'intégration Oracle8/9 est installée conjointement à l'intégration SAPR/3 sur le même système client, arrêtez les services Oracle8/9 avant la mise à niveau. Après la mise à niveau, démarrez les services Oracle8/9 si ceux-ci avaient été arrêtés. Intégration MS SQL 7.0/2000 dans un environnement avec temps d'indisponibilité nul L'intégration Microsoft SQL 7.0/2000 dans un environnement de sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul doit être mise à niveau afin de pouvoir utiliser la fonctionnalité de restauration jusqu'au moment de l'échec. Cette intégration est mise à jour automatiquement pendant la mise à niveau du client, soit localement à l'aide de la commande setup.exe, soit à distance en chargeant l'agent d'intégration MS SQL 7.0/2000 sur le client à l'aide de l'interface graphique Data Protector. 278 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Pour obtenir des informations sur la fonctionnalité de restauration jusqu'au moment de l'échec, reportez-vous au Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour Windows. Mise à niveau dans un environnement MoM Pour mettre à niveau votre environnement MoM vers Data Protector A.05.10, procédez comme suit : 1. Mettez à niveau le MoM Manager vers Data Protector A.05.10. Aucun Gestionnaire de cellule de l'environnement MoM ne doit fonctionner pendant la mise à niveau. Après la mise à niveau, le MoM Manager peut toujours fonctionner avec les Gestionnaires de cellule A.05.00. 2. Mettez à niveau chaque Gestionnaire de cellule dans un environnement MoM. Pour connaître la procédure de mise à niveau, reportez-vous aux sections “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation UNIX”, page 268 et “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation Windows”, page 272. Chapitre 4 279 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de l'Edition serveur unique Mise à niveau à partir de l'Edition serveur unique La mise à nivean peut être effectuée à partir des versions suivantes : • A partir des versions antérieures de l'Edition serveur unique (SSE) vers Data Protector A.05.10 Edition serveur unique. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Mise à niveau des versions antérieures de SSE vers Data Protector A.05.10 SSE”, page 280. • De Data Protector A.05.10 Edition serveur unique vers Data Protector A.05.10. Pour plus de détails, reportez-vous à la section “Mise à niveau de Data Protector A.05.10 SSE vers Data Protector A.05.10”, page 280. Mise à niveau des versions antérieures de SSE vers Data Protector A.05.10 SSE La procédure de mise à niveau des versions antérieures de SSE vers Data Protector A.05.10 SSE est identique à celle des versions précédentes de Data Protector vers Data Protector A.05.10. Pour plus d'informations, reportez-vous aux sections “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50”, page 208, “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51”, page 234, “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x”, page 253 et “Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00”, page 268. Mise à niveau de Data Protector A.05.10 SSE vers Data Protector A.05.10 Licences Vous devez disposer d'une licence pour effectuer la mise à niveau de Data Protector A.05.10 Edition serveur unique vers Data Protector A.05.10. Pour plus de détails sur la gestion des licences, reportez-vous au Chapitre 5, “Attribution de licences Data Protector”, page 295. 280 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de l'Edition serveur unique La mise à niveau de l'Edition serveur unique de Data Protector A.05.10 vers Data Protector A.05.10 est proposée dans les deux cas de figure suivants : • Si l'Edition serveur unique Data Protector est installée sur un système (Gestionnaire de cellule) uniquement. Reportez-vous à la section “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule”, page 281. • Si l'Edition serveur unique Data Protector est installée sur plusieurs systèmes et si vous souhaitez fusionner ces cellules. Reportez-vous à la section “Mise à niveau de plusieurs installations”, page 282. REMARQUE Si vous souhaitez effectuer la mise à niveau d'une version précédente de l'Edition serveur unique vers une installation complète de Data Protector, commencez par mettre à niveau votre Edition serveur unique avec l'installation complète du même niveau de version. Ensuite, pour mettre à niveau cette installation complète vers Data Protector A.05.10, reportez-vous à la section “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50”, page 208, “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51”, page 234, “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x”, page 253 ou “Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00”, page 268. Mise à niveau du Gestionnaire de cellule Pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule Edition serveur unique, procédez comme suit : 1. Supprimez la licence Edition serveur unique : • sous Windows : del <répertoire Data_Protector>\Config\Cell\lic.dat • sous UNIX : rm /etc/opt/omni/cell/lic.dat 2. Démarrez l'interface utilisateur graphique Data Protector et ajoutez un mot de passe permanent. Chapitre 4 281 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau à partir de l'Edition serveur unique Mise à niveau de plusieurs installations Pour mettre à niveau l'Edition serveur unique Data Protector installée sur plusieurs systèmes, procédez comme suit : 1. Désignez parmi les systèmes où l'Edition serveur unique est installée celui qui doit devenir le nouveau Gestionnaire de cellule. Reportez-vous à la section “Choix du système du Gestionnaire de cellule”, page 9. 2. Mettez à niveau le Gestionnaire de cellule sélectionné comme suit : a. Supprimez la licence Edition serveur unique : del <répertoire Data_Protector>\Config\Cell\lic.dat b. Démarrez l'interface utilisateur graphique Data Protector et ajoutez un mot de passe permanent. 3. Dans l'interface graphique, importez comme clients les autres systèmes Edition serveur unique dans le système Gestionnaire de cellule nouvellement créé. 4. Désinstallez l'Edition serveur unique Data Protector des autres systèmes. Reportez-vous à la section “Désinstallation du logiciel Data Protector”, page 188. 5. Si nécessaire, importez les supports vers le nouveau Gestionnaire de cellule. Réalisez cette étape si vous envisagez de fréquentes restaurations à partir des supports créés sur les autres systèmes Edition serveur unique. Si ces restaurations sont peu probables, vous pouvez utiliser l'option Lister depuis support. Reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des informations sur l'importation de supports et la restauration à l'aide de l'option Lister depuis support. 282 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du système HP-UX 10.20 à HP-UX 11.x. Mise à niveau du système HP-UX 10.20 à HP-UX 11.x. Si le Gestionnaire de cellule est installé sur un système HP-UX 10.20, vous devez mettre à niveau le système d'exploitation avec HP-UX 11.x, HP-UX 10.20 n'étant pas pris en charge par Data Protector A.05.10 en tant que plate-forme pour le Gestionnaire de cellule. Réalisez la mise à niveau comme suit : 1. Connectez-vous en tant que root et arrêtez les services OmniBack II sur le système du Gestionnaire de cellule en exécutant la commande /opt/omni/sbin/omnisv -stop. Tapez ps -ef | grep omni pour vérifier si tous les services ont bien été arrêtés. Aucun service OmniBack II ne doit être répertorié sur exécution de la commande ps -ef | grep omni. 2. Supprimez les anciens fichiers OmniBack II au moyen de l'utilitaire /usr/sbin/swremove. Les fichiers de configuration et la base de données sont préservés durant cette procédure. 3. Exécutez la commande swlist pour vérifier qu'OmniBack II n'est pas répertorié. Dans les répertoires suivants, vérifiez que vous avez supprimé le logiciel uniquement et non la base de données ni les fichiers de configuration. • /opt/omni • /var/opt/omni • /etc/opt/omni 4. Mettez à niveau le système HP-UX 10.20 avec la version 11.x. Pour plus d'informations, reportez-vous à la documentation HP-UX 11.x. 5. Insérez le CD-ROM d'installation HP-UX et exécutez l'utilitaire /usr/swinstall pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule et le Serveur d'installation vers Data Protector A.05.10. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule (CM) et du Serveur d'installation (IS) de Data Protector”, page 17. Le Gestionnaire de cellule et le logiciel du Serveur d'installation sont installés comme pour une nouvelle installation. Chapitre 4 283 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du système HP-UX 10.20 à HP-UX 11.x. Une fois que les systèmes du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont mis à niveau, vérifiez si vous devez appliquer des modifications à vos fichiers de configuration. Pour plus de détails, reportez-vous aux sections “Vérification des changements de configuration”, page 221 et “Vérification des changements de configuration”, page 258. 284 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows Mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows Si vous souhaitez mettre à niveau votre système d'exploitation de Windows NT à une nouvelle version de Windows, vous devez prendre en compte l'impact de cette mise à niveau sur Data Protector. La procédure de mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows présente deux cas de figure distincts, qui se différencient comme suit : • vous disposez de OmniBack II A.03.50, A.04.x, ou Data Protector A.05.00 installé sous Windows NT ; • vous disposez de Data Protector A.05.10 installé sous Windows NT. OmniBack II A.03.50, A.04.x, ou Data Protector A.05.00 installé sous Windows NT Si vous avez le Gestionnaire de cellule OmniBack II A.03.50, A.04.x, ou Data Protector A.05.00 installé sous Windows NT, et si vous souhaitez le mettre à niveau vers Data Protector A.05.10, procédez comme suit : 1. Mettez à niveau le système d'exploitation Windows NT vers la nouvelle version de Windows. Pour plus d'informations, reportez-vous à la documentation Windows. IMPORTANT Si vous disposez de OmniBack II A.03.50 ou OmniBack II A.04.00 installé sous Windows NT et si vous mettez à jour votre système d'exploitation Windows NT vers Windows XP ou Windows Server 2003, sachez que ces versions de OmniBack II ne fonctionnent pas sur les plates-formes Windows XP/Server 2003. C'est pourquoi, après la mise à niveau du système d'exploitation, vous devez directement effectuer la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 sans utiliser OmniBack II A.03.50 ou OmniBack II A.04.00 sous Windows XP/Server 2003. 2. Mettez à niveau le Gestionnaire de cellule OmniBack II A.03.50, A.04.x, ou Data Protector A.05.00 avec Data Protector A.05.10. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50”, page 208, “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x”, page 253, ou “Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00”, page 268. Chapitre 4 285 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau de Windows NT vers une nouvelle version de Windows Data Protector A.05.10 installé sous Windows NT Si vous avez déjà le Gestionnaire de cellule Data Protector installé sous Windows NT et que vous souhaitez mettre à niveau votre système d'exploitation, procédez comme suit : 1. Réalisez une liste des composants installés sur votre système. 2. Arrêtez tous les services Data Protector en exécutant la commande omnisv -stop . 3. Copiez les dossiers <répertoire Data_Protector>\config et <répertoire Data_Protector>\db40 dans un emplacement temporaire. 4. Désinstallez le logiciel Data Protector. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Désinstallation du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation”, page 190. 5. Mettez à niveau le système d'exploitation Windows NT vers la nouvelle version de Windows. Pour plus d'informations, reportez-vous à la documentation Windows. 6. Installez Data Protector A.05.10. Pendant la procédure d'installation, sélectionnez le même jeu de composants que celui que vous aviez installé sur le système précédent. Pour connaître la procédure d'installation, reportez-vous à la section “Installation d'un Gestionnaire de cellule Windows”, page 30. 7. Arrêtez tous les services Data Protector en exécutant la commande omnisv -stop. 8. Supprimez les dossiers <répertoire Data_Protector>\config et <répertoire Data_Protector>\db40. 9. A partir de l'emplacement temporaire, recopiez les dossiers \config et \db40 dans <répertoire Data_Protector>. 10. Démarrez les services Data Protector en exécutant la commande omnisv -start. Si vous avez des clients Data Protector A.05.10 installés sous Windows NT, et si vous souhaitez mettre à niveau votre système d'exploitation de Windows NT vers une nouvelle version de Windows, commencez par désinstaller les clients, puis réinstallez-les et reconfigurez-les après la mise à niveau du système d'exploitation. Reportez-vous aux sections “Désinstallation d'un client Data Protector”, page 189 et “Installation de clients Windows”, page 59. 286 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard Lors d'une mise à niveau, seule la base de données est mise à niveau : l'ancienne version du produit est supprimée. Data Protector A.05.10 est installé avec la sélection d'agents par défaut et les autres agents sont supprimés. Pour obtenir une configuration dont l'état est équivalent à l'état antérieur à la mise à niveau, vous devez sélectionner manuellement les autres agents souhaités pendant la procédure de mise à niveau, ou les réinstaller ensuite sur chacun des nœuds physiques. La procédure de mise à niveau d'OmniBack II A.03.50, A.04.x et Data Protector A.05.00 consiste à mettre à niveau le nœud principal et les nœuds secondaires. Pour cela, procédez comme suit : Nœud principal Connectez-vous au nœud principal et procédez comme suit : 1. Arrêtez l'ancien package OmniBack II/Data Protector en exécutant la commande cmhaltpkg <nom_pkg> (où <nom_pkg> correspond au nom du package de clusters). Par exemple : cmhaltpkg ob2cl 2. Désactivez le mode cluster pour le groupe de volumes : vgchange -c n <nom_gv> Le paramètre <nom_gv> correspond au nom du chemin du groupe de volumes placé dans le sous-répertoire du répertoire /dev. Par exemple : vgchange -c n /dev/vg_ob2cm 3. Activez le groupe de volumes : vgchange -a y -q y <nom_vg> Par exemple : vgchange -a y -q y /dev/vg_ob2cm 4. Montez le volume logique sur le disque partagé : mount <chemin_vl> <disque_partagé> Chapitre 4 287 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard Le paramètre <chemin_vl> correspond au nom de chemin du volume logique et le paramètre <disque_partagé> correspond au point de montage ou répertoire partagé. Par exemple : mount /dev/vg_ob2cm/lv_ob2cm /omni_shared 5. Mettez à niveau le Gestionnaire de cellule en suivant la procédure décrite dans les paragraphes qui suivent. Notez que les étapes sont différentes selon la version du produit que vous mettez à niveau vers Data Protector A.05.10 : • Pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule OmniBack II A.03.50, suivez les étapes décrites au paragraphe “Procédure détaillée de mise à niveau”, page 214 dans le chapitre “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50”. • Pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule OmniBack II A.04.x, suivez les étapes décrites au paragraphe “Procédure détaillée de mise à niveau”, page 254 dans le chapitre “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x”. • Pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule Data Protector A.05.00, suivez les étapes décrites au paragraphe “Mise à niveau sur les systèmes HP-UX”, page 268 dans le chapitre “Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00”. 6. Arrêtez les services Data Protector s'ils sont en cours d'exécution : /opt/omni/sbin/omnisv -stop 7. Démontez le disque partagé : unmount <disque_partagé> Par exemple : unmount /omni_shared 8. Désactivez le groupe de volumes : vgchange -a n <nom_gv> Par exemple : vgchange -a n /dev/vg_ob2cm 288 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard Nœud secondaire Connectez-vous au nœud secondaire et procédez comme suit : 1. Désactivez le mode cluster pour le groupe de volumes : vgchange -c n <nom_gv> 2. Activez le groupe de volumes : vgchange -a y -q y <nom_vg> 3. Montez le volume logique sur le disque partagé : mount <chemin_vl> <disque_partagé> 4. Mettez à niveau le Gestionnaire de cellule. Les étapes sont différentes selon la version du produit que vous mettez à niveau vers Data Protector A.05.10. • Pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule OmniBack IIA.03.50, exécutez la commande omnisetup.sh. Pour une description de cette commande, reportez-vous au document Référence de l’interface de ligne de commande HP OpenView Storage Data Protector. • Pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule OmniBack II A.04.x, suivez les étapes décrites au paragraphe “Procédure détaillée de mise à niveau”, page 254 dans le chapitre “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.x”. • Pour mettre à niveau le Gestionnaire de cellule Data Protector A.05.00, suivez les étapes décrites au paragraphe “Mise à niveau du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation UNIX”, page 268 dans le chapitre “Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00”. 5. Copiez vers le répertoire /etc/opt/omni/sg les nouveaux scripts csfailover.sh et mafailover.ksh situés dans /opt/omni/newconfig/etc/opt/omni/sg. 6. Arrêtez les services Data Protector s'ils sont en cours d'exécution : /opt/omni/sbin/omnisv -stop 7. Démontez le disque partagé : unmount <disque_partagé> 8. Désactivez le groupe de volumes : vgchange -a n <nom_gv> Chapitre 4 289 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur MC/ServiceGuard Nœud principal Reconnectez-vous au nœud principal et procédez comme suit : 1. Activez le mode cluster pour le groupe de volumes : vgchange -c y <nom_gv> 2. Arrêtez le package Data Protector : cmrunpkg <nom_pkg> Assurez-vous que le basculement du package et les options de basculement des nœuds sont activés. 3. Configurez le Gestionnaire de cellule : /opt/omni/sbin/install/omniforsg.ksh -primary -upgrade 4. Réimportez l'hôte virtuel : omnicc -import_host <nom_hôte_virtuel> -virtual 5. Changez le nom du Gestionnaire de cellule dans la base de données IDB : omnidbutil -change_cell_name 6. Importez le Serveur d'installation sur l'hôte virtuel : omnicc -import_is <nom_hôte_virtuel> REMARQUE Toutes les demandes provenant des Gestionnaires de cellule sont enregistrées dans le fichier /var/opt/omni/log/inet.log sur les clients. Pour empêcher l'écriture d'entrées inutiles dans le journal, sécurisez les clients. Pour plus d'informations sur la procédure de sécurisation d'une cellule, reportez-vous à la section “Considérations sur la sécurité”, page 177. 290 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server La mise à niveau du Gestionnaire de cellule OmniBack II A.03.50, A.04.x, ou Data Protector A.05.00 vers Data Protector A.05.10 sur Microsoft Cluster Server (MSCS) se fait en local et à partir du CD-ROM d'installation de Windows. L'installation doit être démarrée sur le nœud de serveur virtuel actif. Le programme d'installation collecte les données, telles que le jeu de composants installé ou les paramètres de configuration, sur le nœud actif uniquement ; la configuration de chacun des nœuds séparément n'est pas possible. Les autres nœuds de cluster possèdent les fichiers binaires et entrées de registre copiés à partir du nœud actif. IMPORTANT MSI 2.0 doit être installé sur tous les nœuds du cluster. Pour effectuer la mise à niveau, suivez la procédure décrite ci-dessous : 1. Insérez le CD-ROM d'installation Windows et exécutez i386\setup.exe. Le programme d'installation détecte automatiquement l'ancienne version du produit et vous invite à la mettre à niveau avec Data Protector A.05.10. Il détecte également que le produit s'exécute sur Microsoft Cluster Server et vous demande si vous souhaitez installer l'intégration compatible cluster de Data Protector. Les informations de cluster de Data Protector s'affichent. Chapitre 4 291 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server Figure 4-5 Informations sur le cluster Data Protector Cliquez sur Suivant pour continuer. 2. Sélectionnez les composants Data Protector à installer. Figure 4-6 Configuration commune du cluster 3. Dans la fenêtre suivante, cliquez sur Installer pour procéder à la mise à niveau. 292 Chapitre 4 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server Notez qu'à l'issue de la mise à niveau, tous les nœuds disposent du même jeu de composants. REMARQUE Si vous mettez à niveau des clients compatibles cluster, commencez par mettre à niveau séparément chaque cluster, puis réimportez le serveur virtuel. La mise à jour à distance n'est pas prise en charge. Chapitre 4 293 Mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Mise à niveau du Gestionnaire de cellule configuré sur Microsoft Cluster Server 294 Chapitre 4 5 Attribution de licences Data Protector Chapitre 5 295 Attribution de licences Data Protector Description du chapitre Description du chapitre Le présent chapitre contient des indications permettant d'obtenir et d'installer les mots de passe Data Protector. 296 Chapitre 5 Attribution de licences Data Protector Introduction Introduction La structure du produit Data Protector A.05.10 est fondée sur les performances. Plus le nombre de licences de lecteur installées est important, plus vous pouvez utiliser de lecteurs de bande pour effectuer des sauvegardes en parallèle, et plus la sauvegarde est rapide. La structure du produit est modulaire et offre une grande souplesse. Il est possible de commander la licence offrant les fonctionnalités Data Protector les mieux adaptées aux besoins spécifiques de votre environnement. La structure de Data Protector A.05.10 et son système d'attribution de licences comprennent trois catégories principales : 1. Le produit Gestionnaire de cellule de base Le Gestionnaire de cellule est pris en charge sous HP-UX, Windows et Solaris. En ce qui concerne le système Gestionnaire de cellule, vous pouvez commencer une configuration de la cellule à l'aide du Pack Starter Lecteur Unique, lequel est requis une fois au premier démarrage. 2. Les licences supplémentaires pour les lecteurs de bande, appelées extensions de lecteur, pour un lecteur de sauvegarde utilisé simultanément. 3. Data Protector Extensions fonctionnelles Chaque instance (système, bibliothèque et téra-octet) doit disposer d'une licence d'extension fonctionnelle pour les sauvegardes en ligne des bases de données et des applications, pour la fonction Manager-of-Managers, pour les bibliothèques possédant plus de 60 emplacements de supports, pour la sauvegarde des fichiers ouverts, pour la sauvegarde directe, pour la restauration instantanée, pour le NDMP et pour les sauvegardes avec un temps d'indisponibilité nul. Chapitre 5 297 Attribution de licences Data Protector Introduction REMARQUE Les licences UNIX du produit fonctionnent indifféremment sur les plates-formes UNIX, Windows et Novell NetWare, tandis que les licences Windows fonctionnent uniquement sur les plates-formes Windows, Novell NetWare et Linux. Liés au Gestionnaire de cellule, les mots de passe sont valides pour l'intégralité de la cellule Data Protector. Les clients ne requièrent aucune licence pour les sauvegardes de système de fichiers ou d'image disque. 298 Chapitre 5 Attribution de licences Data Protector Quelles sont les licences disponibles ? Quelles sont les licences disponibles ? Des licences Data Protector sont disponibles pour les plates-formes UNIX et Windows. Tous les produits UNIX comportent le produit Windows et Novell NetWare équivalent. La licence Windows comprend les produits Linux et Novell NetWare correspondants. Figure 5-1 Présentation des produits HP OpenView Storage Data Protector Data Protector utilise les numéros de produits consécutifs à ceux de son prédécesseur, OmniBack II, pour faciliter la migration vers Data Protector. C'est la raison pour laquelle les licences OmniBack II A.03.x existantes restent valides après la migration. Certains types de licences ont été modifiés et ne sont plus disponibles. Pour plus d'informations sur les licences disponibles, reportez-vous à la section “Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences”, page A-3. Chapitre 5 299 Attribution de licences Data Protector Quelles sont les licences disponibles ? A propos des mots de passe Vous trouverez ci-après des éléments qui vous aideront à déterminer le nombre de mots de passe dont vous avez besoin. • Les mots de passe temporaires sont utilisables sur tout candidat à un Gestionnaire de cellule. En revanche, pour tous les autres types de mots de passe, vous devez déterminer la plate-forme correspondante. Cela s'applique également au Gestionnaire de cellule, qui deviendra le système d'administration central de Data Protector. Il est important d'utiliser des mots de passe temporaires pour appréhender parfaitement les besoins de votre configuration de cellule avant de demander un mot de passe permanent. • Les licences permanentes peuvent être déplacées vers un autre Gestionnaire de cellule. En revanche, vous devez utiliser le ou les formulaires de déplacement de licence et les envoyer au Centre de remise de mot de passe HP (PDC). Si vous souhaitez déplacer des licences correspondant à des produits qui ne sont plus en vente, veuillez utiliser les formulaires de déplacement de licence fournis avec OmniBack II A.03.x. • Les mots de passe sont installés sur le Gestionnaire de cellule et sont valides pour l'intégralité de la cellule. • La gestion centralisée des licences est assurée par la fonctionnalité Manager-of-Managers (MoM). Si vous achetez plusieurs licences pour différentes cellules, vous pouvez les installer sur le système MoM. • Vous devez disposer d'une licence de Gestionnaire de cellule pour chaque cellule. • Le logiciel vérifie que les licences sont toujours valables chaque fois que vous effectuez une tâche de configuration Data Protector ou que vous démarrez une session de sauvegarde. • Les mots de passe temporaires sont utilisables sur tout système, tandis que les mots de passe d'évaluation et permanents ne sont utilisables que sur le système du Gestionnaire de cellule pour lequel vous avez demandé les licences. • Si le système sur lequel le Gestionnaire de cellule est installé dispose de plusieurs adresses IP (systèmes multirésidents, serveurs RAS, clusters), vous pouvez lier la licence à n'importe laquelle de ces adresses IP. 300 Chapitre 5 Attribution de licences Data Protector Quelles sont les licences disponibles ? REMARQUE Si vous avez prévu de modifier l'adresse IP du Gestionnaire de cellule, de déplacer le Gestionnaire de cellule sur un autre système ou de déplacer les licences d'une cellule à une autre (et si vous n'utilisez pas la fonctionnalité MoM), vous devez contacter le Centre de remise de mot de passe HP (PDC) pour mettre vos licences à jour. Chapitre 5 301 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector Mots de passe Data Protector Data Protector est activé dès que les mots de passe sont installés sur le Gestionnaire de cellule. Une fois Data Protector installé sur votre réseau, vous pouvez l'utiliser pendant 60 jours. A l'issue de cette période, vous devez installer un mot de passe permanent sur le Gestionnaire de cellule afin de d'activer le logiciel. Vous pouvez charger le logiciel sur le Gestionnaire de cellule Data Protector, mais vous ne pouvez pas effectuer de tâches de configuration sans mot de passe permanent, car les licences requises pour cette fonctionnalité Data Protector particulière requièrent ce type de mot de passe. Les licences Data Protector requièrent l'un des mots de passe suivants : ✓ Mot de passe temporaire Un mot de passe temporaire est généré pour le produit lors de sa première installation. Vous pouvez utiliser le logiciel pendant 60 jours à compter de son installation sur tout système pris en charge par Data Protector. Au cours de cette période, vous devez demander un mot de passe permanent au Centre de remise de mot de passe HP et l'installer. ✓ Mots de passe permanents Data Protector est livré avec une licence Attestation de droit qui vous donne le droit d'obtenir un mot de passe permanent. Ce mot de passe vous permet de configurer une cellule Data Protector en fonction de votre stratégie de sauvegarde, à condition que vous ayez acheté les licences requises. Avant de demander un mot de passe permanent, vous devez déterminer quel système sera utilisé pour le Gestionnaire de cellule et définir la configuration nécessaire. ✓ Mot de passe d'urgence Les mots de passe d'urgence sont disponibles si les mots de passe installés ne correspondent pas à la configuration système en raison d'une urgence. Ils permettront à tout système de fonctionner pendant une période de 120 jours. 302 Chapitre 5 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector Les mots de passe d'urgence sont délivrés par l'organisation de support. Ils doivent être demandés par les collaborateurs HP et ne sont remis qu'à ces derniers. Reportez-vous à votre centre de support ou au centre HP d'attribution des licences à l'adresse : http://webware.hp.com. Les mots de passe d'urgence sont conçus pour permettre des opérations de sauvegarde tandis que la configuration système originale est reconstruite ou jusqu'à ce que l'installation soit déplacée vers un nouvel emplacement permanent. En cas de déplacement des licences, vous devez remplir un formulaire de déplacement de licence et l'adresser au Centre de remise de mot de passe HP ou consulter la page Web http://webware.hp.com sur laquelle les mots de passe peuvent être générés, déplacés, etc. Obtention d'un mot de passe permanent Pour obtenir un mot de passe permanent, procédez comme suit : 1. Regroupez les informations demandées dans le Formulaire de demande de mot de passe permanent. Reportez-vous à la section “Formulaires d'attribution de licences Data Protector”, page A-26 pour trouver l'emplacement des formulaires et obtenir des instructions pour les remplir. 2. Choisissez l'une des options suivantes : • Consultez le site Web du Centre de remise de mot de passe HP à l'adresse http://www.webware.hp.com. • Remplissez le Formulaire de demande de mot de passe permanent et adressez-le au Centre de remise de mot de passe HP à l'aide d'une des méthodes suivantes (reportez-vous à l'attestation de droit livrée avec le produit pour connaître les numéros de téléphone et de télécopie, les adresses e-mail et les horaires d'ouverture) : • En envoyant le formulaire par télécopie au Centre de remise de mot de passe HP • En envoyant un e-mail au Centre de remise de mot de passe HP Vous pouvez également utiliser la version électronique des formulaires de licence qui se trouve dans les fichiers suivants sur le Gestionnaire de cellule et les supports de distribution : Chapitre 5 303 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\Docs\license_forms.txt • Sur le CD-ROM Windows : <nom_disque>:\Docs\license_forms.txt • Sous UNIX : /opt/omni/doc/C/license_forms_UNIX pour “copier” et “coller” votre message au Centre de remise de mot de passe HP (HP PDC). Pour plus d'informations sur la structure des produits, reportez-vous à la section “Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences”, page A-3. Le Centre de remise de mot de passe HP vous enverra un mot de passe permanent en utilisant la méthode dont vous vous êtes servi pour envoyer votre demande. Si vous avez fait votre demande par e-mail, par exemple, vous recevrez votre mot de passe permanent par e-mail. Votre mot de passe permanent vous sera envoyé dans les 24 heures suivant l'envoi du Formulaire de demande de mot de passe permanent. 3. Installez le mot de passe permanent que le Centre de remise de mot de passe HP (HP PDC) vous a retourné. Reportez-vous à la section “Installation d'un mot de passe sur le Gestionnaire de cellule”, page 304. Installation d'un mot de passe sur le Gestionnaire de cellule Conditions préalables Le Centre de remise de mot de passe HP doit vous avoir envoyé le mot de passe permanent et l'interface utilisateur Data Protector doit être installée sur le Gestionnaire de cellule. Les mots de passe sont installés sur le Gestionnaire de cellule et sont valides pour l'intégralité de la cellule. Utilisation de l'interface graphique utilisateur Il est possible d'installer un mot de passe permanent sur le Gestionnaire de cellule à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector. Pour ce faire, procédez comme suit : 1. Lancez l'interface graphique utilisateur de Data Protector. 304 Chapitre 5 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector 2. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Cellule Data Protector, puis sélectionnez Ajouter licence. 3. Dans la fenêtre Ajouter licence, saisissez le mot de passe tel qu'il apparaît sur le Certificat de mot de passe. Un mot de passe se compose de 8 groupes de 4 caractères chacun, séparés par un espace et suivis par une chaîne. Assurez-vous que cette séquence ne contient ni saut de ligne, ni retour chariot. Vous trouverez ci-après un exemple de mot de passe : 4PXV EG9S B6WS 2VX3 5967 XEZK AAA9 MQJB "Product: B6963AA" Après avoir saisi le mot de passe, effectuez les vérifications suivantes : ✓ Assurez-vous que le mot de passe s'affiche correctement à l'écran. ✓ Vérifiez qu'il n'y a pas d'espace en tête ou à la fin du mot de passe, ni de caractères en trop. ✓ Vérifiez que vous n'avez pas confondu les caractères “1” (le chiffre) et “l” (la lettre). ✓ Vérifiez que vous n'avez pas confondu les caractères “O” (lettre majuscule) et “0” (chiffre). ✓ Vérifiez que vous avez utilisé la bonne casse. Le mot de passe est sensible à la casse. 4. Après avoir saisi le mot de passe, cliquez sur OK pour fermer la fenêtre. Le mot de passe est enregistré dans le fichier suivant : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\Config\Cell\lic.dat • Sous UNIX : /etc/opt/omni/cell/lic.dat Vérification du mot Pour vérifier que le mot de passe pour la licence que vous avez installée de passe est correct, procédez comme suit dans le Gestionnaire Data Protector : 1. Dans le menu Aide, cliquez sur A propos de. 2. Cliquez sur l'onglet Licence. Toutes les licences installées s'affichent. Si le mot de passe que vous avez saisi n'est pas correct, il est accompagné de la remarque Impossible de décoder le mot de passe. Chapitre 5 305 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector Utilisation de Suivez la procédure décrite ci-dessous pour installer le mot de passe l'interface de ligne permanent à l'aide de la ligne de commande : de commande 1. Connectez-vous au Gestionnaire de cellule. 2. Exécutez la commande suivante : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\bin\omnicc -install_license <mot de passe> • Sous UNIX : /opt/omni/bin/omnicc -install_license <mot de passe> Le <mot de passe> doit être saisi tel qu'il apparaît dans le Certificat de mot de passe. Vous pouvez également ajouter le mot de passe dans le fichier suivant : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\config\cell\lic.dat • Sous UNIX : /etc/opt/omni/cell/lic.dat Si ce fichier n'existe pas, créez-en un avec un éditeur tel que vi ou Notepad. Vous trouverez un exemple de mot de passe à l'étape 3 de la procédure relative à l'interface graphique utilisateur. Vérification du mot Pour vérifier que le mot de passe pour la licence que vous avez installée de passe est correct, utilisez la commande suivante : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\bin\omnicc -password_info • Sous UNIX : /opt/omni/bin/omnicc -password_info Cette commande affiche toutes les licences installées. Si le mot de passe que vous avez saisi n'est pas correct, il est accompagné de la remarque Impossible de décoder le mot de passe. IMPORTANT Si vous avez installé un mot de passe permanent sur un Gestionnaire de cellule OmniBack II A.04.x pour un serveur de lecteurs multiples, vous devez quitter le Gestionnaire Data Protector et redémarrer les services en émettant les commandes omnisv -stop, puis omnisv -start à partir du répertoire /opt/omni/sbin. 306 Chapitre 5 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector Recherche du nombre de licences installées Utilisation de l'interface graphique utilisateur Après avoir installé un mot de passe permanent, vous pouvez vérifier le nombre de licences actuellement installées sur le Gestionnaire de cellule : 1. Lancez l'interface graphique utilisateur de Data Protector. 2. Dans la barre de menus, cliquez sur Aide, puis sur A propos. La fenêtre A propos du Gestionnaire affiche alors les licences installées. Utilisation de Si vous utilisez la ligne de commande, procédez comme suit : l'interface de ligne 1. Connectez-vous au Gestionnaire de cellule. de commande 2. Exécutez la commande suivante : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\bin\omnicc -query • Sous UNIX : /opt/omni/bin/omnicc -query Un tableau contenant les licences installées s'affiche alors. Déplacement des licences vers un autre système Gestionnaire de cellule Vous devez contacter le Centre de remise de mot de passe HP dans les cas suivants : • Lorsque vous souhaitez déplacer le Gestionnaire de cellule vers un autre système. • Lorsque vous prévoyez de déplacer une licence installée sur un Gestionnaire de cellule qui n'est pas utilisé dans la cellule vers une autre cellule Data Protector. REMARQUE Il est possible de déplacer une licence UNIX vers un autre Gestionnaire de cellule UNIX ou vers un Gestionnaire de cellule Windows ; en revanche, il est impossible de déplacer une licence Windows vers un Gestionnaire de cellule UNIX. Chapitre 5 307 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector Procédez comme suit pour déplacer des licences d'un Gestionnaire de cellule vers un autre : 1. Remplissez un Formulaire de déplacement de licence pour chaque nouveau Gestionnaire de cellule et envoyez-le au Centre de remise de mot de passe HP. Si vous souhaitez déplacer des licences correspondant à des produits qui ne sont plus en vente, utilisez les formulaires de déplacement de licence fournis avec la version précédente du produit. Reportez-vous à la section “Formulaires d'attribution de licences Data Protector”, page A-26. Dans le formulaire, vous devez spécifier le nombre de licences à déplacer du Gestionnaire de cellule existant. 2. Supprimez le fichier suivant : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\config\cell\lic.dat • Sous UNIX : /etc/opt/omni/cell/lic.dat 3. Après avoir rempli le formulaire de déplacement de licence, envoyez-le au Centre de remise de mot de passe HP. Vous êtes dans l'obligation légale de supprimer tous les mots de passe Data Protector du Gestionnaire de cellule courant. 4. Installez les nouveaux mots de passe. Vous recevrez un mot de passe pour chaque nouveau Gestionnaire de cellule. Vous recevrez également un nouveau mot de passe pour le Gestionnaire de cellule courant si des licences sont conservées sur celui-ci. Le nouveau mot de passe remplace le mot de passe utilisé sur le Gestionnaire de cellule courant. 308 Chapitre 5 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector Gestion centralisée des licences Data Protector vous permet de configurer la gestion centralisée des licences pour l'environnement multicellules dans son intégralité, ce qui simplifie considérablement la gestion des licences. Toutes les licences sont conservées sur le système Manager-of-Managers (MoM) Manager. Elles sont ensuite allouées aux cellules spécifiques tout en restant configurées sur le MoM Manager. Pour plus d'informations sur la procédure de configuration des licences, reportez-vous à l'aide en ligne de Data Protector. REMARQUE Il est possible d'affecter une licence UNIX à un autre Gestionnaire de cellule UNIX ou à un Gestionnaire de cellule Windows ; en revanche, il est impossible d'affecter une licence Windows à un Gestionnaire de cellule UNIX. La fonction MoM vous permet de déplacer (réaffecter) les licences entre les cellules MoM. Pour plus d'informations, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Si vous installez une nouvelle licence Data Protector, n'oubliez pas de vérifier la fonctionnalité MoM avant de demander des licences. Si vous décidez d'utiliser la gestion centralisée de licences par la suite, vous devrez effectuer la procédure de déplacement des licences dans son intégralité. REMARQUE La fonction MoM permet de gérer les licences de manière centralisée. Cela signifie que vous pouvez installer toutes les licences sur le MoM Manager, puis les distribuer aux Gestionnaires de cellule qui appartiennent à la cellule du MoM. Par la suite, les licences peuvent être déplacées (redistribuées) entre les cellules du MoM. Pour plus d'informations, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Chapitre 5 309 Attribution de licences Data Protector Mots de passe Data Protector 310 Chapitre 5 6 Dépannage de l'installation Chapitre 6 311 Dépannage de l'installation Description du chapitre Description du chapitre Si vous rencontrez des difficultés pour installer Data Protector, les suggestions figurant dans ce chapitre pourront vous être utiles. Ce chapitre contient des informations sur les éléments suivants : • Opérations à effectuer avant de contacter le support HP. Reportez-vous à la section “Avant d'appeler votre représentant support”, page 313. • Problèmes de résolution de noms. Reportez-vous à la section “Facilité de déploiement”, page 315. • Comment vérifier les connexions DNS dans la cellule. Reportez-vous à la section “Vérification des connexions DNS dans la cellule Data Protector”, page 316. • Dépannage de l'installation et de la mise à niveau de Data Protector sous Windows Reportez-vous à la section “Installation et mise à niveau de Data Protector sous Windows”, page 319. • Dépannage de l'installation du Gestionnaire de cellule Solaris. Reportez-vous à la section “Installation du Gestionnaire de cellule Data Protector sous Solaris”, page 320. • Dépannage de l'installation client HP-UX. Reportez-vous à la section “Installation de clients UNIX”, page 321. • Comment vérifier votre installation Data Protector. Reportez-vous à la section “Vérification de l'installation du client Data Protector”, page 322. • Mise à niveau de la base de données IDB sur Solaris. Reportez-vous à la section “Dépannage de la mise à niveau”, page 324. • Les fichiers journaux du système (sous UNIX), d'installation (sous Windows) et Data Protector pouvant vous fournir des informations utiles pour résoudre votre problème. Reportez-vous à la section “Utilisation des fichiers journaux”, page 330. • Procédure de création de traces d'exécution de l'installation (débogage de l'installation), dont le représentant support aura besoin pour déterminer l'origine du problème. Reportez-vous à la section “Création de traces d'exécution de l'installation”, page 332. 312 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Avant d'appeler votre représentant support Avant d'appeler votre représentant support Pour accélérer la résolution de votre problème, vous devriez vous préparer avant de le signaler au service support clientèle HP. Vous trouverez ci-dessous des suggestions de mesures préliminaires à prendre. Regardez si vous avez rencontré l'un des problèmes décrits dans ce chapitre et effectuez les opérations recommandées. Reportez-vous aux sections suivantes : • “Facilité de déploiement”, page 315. • “Vérification des connexions DNS dans la cellule Data Protector”, page 316. • “Installation du Gestionnaire de cellule Data Protector sous Solaris”, page 320. • “Installation et mise à niveau de Data Protector sous Windows”, page 319. • “Installation de clients UNIX”, page 321. • “Vérification de l'installation du client Data Protector”, page 322. • “Dépannage de la mise à niveau”, page 324. Assurez-vous que : • Vous ne dépassez pas de limites insurmontables pour l'instant. Pour plus d'informations sur les limites de Data Protector et les recommandations, ainsi que sur les problèmes connus concernant ou non Data Protector, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. • Vos problèmes ne sont pas liés à du matériel et des logiciels tiers. Si c'est le cas, contactez le fournisseur du produit tiers pour obtenir de l'assistance. • Vous avez installé les tout derniers correctifs Data Protector. Vous pouvez récupérer ces correctifs sur le site web de HP OpenView à l'adresse suivante : http://support.openview.hp.com/patches/ patch_index.jsp. Vous trouverez la liste des correctifs pour système d'exploitation dans les HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Chapitre 6 313 Dépannage de l'installation Avant d'appeler votre représentant support Pour savoir quels correctifs Data Protector sont installés sur votre système, reportez-vous à la section “Contrôle des correctifs Data Protector installés”, page 185. Lorsque vous contactez le service support clientèle HP, rassemblez les données suivantes sur le problème que vous avez rencontré : • Une description de votre problème, y compris les résultats de session (ou des résultats équivalents, en fonction du type de problème rencontré). • Le résultat de la commande get_info, figurant dans les répertoires suivants : • Sous UNIX : /opt/omni/sbin/utilns • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\bin\utilns Le script rassemble les données système auprès de votre Gestionnaire de cellule Data Protector, ainsi que les données relatives à la configuration de votre installation Data Protector. • Tous les fichiers journaux du Gestionnaire de cellule et de tous les clients concernés. 314 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Facilité de déploiement Facilité de déploiement La facilité de déploiement permet de résoudre efficacement les problèmes liés à la résolution de noms. Au cours de l'installation du Gestionnaire de cellule Windows, Data Protector détecte toute configuration erronée du fichier DNS ou LMHOST et vous en avertit. De plus, Data Protector vous envoie une notification si le protocole TCP/IP n'est pas installé sur le système. Les messages d'avertissement possibles sont les suivants : Problèmes de résolution de noms • Si la résolution de noms échoue, le message “Erreur lors du développement du nom d'hôte” s'affiche et l'installation est abandonnée. • Si un problème de résolution survient lorsque vous utilisez le DNS, un message d'avertissement relatif à votre configuration DNS actuelle s'affiche. • Si un problème de résolution survient lorsque vous utilisez le fichier LMHOST, un message d'avertissement s'affiche, vous invitant à vérifier le paramétrage de ce fichier. • Si vous n'avez configuré ni l'un ni l'autre (DNS ou LMHOST), un message d'avertissement s'affiche pour activer le DNS ou la résolution LMHOSTS dans la boîte de dialogue des propriétés TCP/ IP. • Pour résoudre les problèmes de résolution, vérifiez le fichier de configuration DNS ou LMHOST. Pour obtenir des informations d'ordre général sur les problèmes de mise en réseau et de communication, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Pour plus d'informations, reportez-vous à l'aide en ligne. Protocole TCP/IP non installé • Si le protocole TCP/IP n'est pas installé et configuré sur votre système, l'installation est abandonnée. Pour cerner le problème, reportez-vous à la section “Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows”, page B-3. Chapitre 6 315 Dépannage de l'installation Vérification des connexions DNS dans la cellule Data Protector Vérification des connexions DNS dans la cellule Data Protector Le DNS (Domain Name System) est un service de noms pour les hôtes TCP/IP. Le DNS est configuré avec une liste de noms d'hôtes et d'adresses IP, ce qui permet aux utilisateurs de désigner les systèmes distants par des noms d'hôtes plutôt que par des adresses IP. Le DNS garantit le bon fonctionnement des communications entre membres de la cellule Data Protector. Si le DNS n'est pas correctement configuré, des problèmes de résolution de noms peuvent survenir dans la cellule Data Protector et les membres ne seront pas en mesure de communiquer les uns avec les autres. Data Protector fournit la commande omnicheck pour vérifier les connexions DNS entre membres de la cellule Data Protector. Même si cette commande permet de vérifier toutes les connexions possibles dans la cellule, il suffit de vérifier les connexions suivantes, essentielles à la cellule Data Protector : • de Gestionnaire de cellule vers tout autre membre de la cellule et vice versa • de l'Agent de supports vers tout autre membre de la cellule et vice versa Limites La commande omnicheck présente les limites suivantes : • Elle vérifie uniquement les connexions entre membres de la cellule, et non les connexions DNS en général. • Elle ne peut être utilisée que sur les clients Data Protector sur lesquels Data Protector A.05.10 ou ultérieur est installé. Si la commande rencontre un client disposant d'une version antérieure de Data Protector, un message d'erreur est envoyé et la commande reprend au client suivant. Utilisation de la commande omnicheck La commande omnicheck réside dans le répertoire suivant du Gestionnaire de cellule : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\bin • Sous UNIX :/opt/omni/bin 316 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Vérification des connexions DNS dans la cellule Data Protector Le synopsis de la commande omnicheck est le suivant : omnicheck -dns [-host Client | -full] [-verbose] Les différentes options vous permettent de vérifier les connexions DNS suivantes dans la cellule de Data Protector : • Pour vous assurer que le Gestionnaire de cellule et que chaque Agent de supports présent dans la cellule résolvent correctement les connexions DNS vers chaque client Data Protector de la cellule et vice versa, exécutez la commande suivante : omnicheck -dns [-verbose] • Pour vérifier qu'un client Data Protector particulier résout correctement les connexions DNS avec chaque client Data Protector de la cellule, exécutez la commande suivante : omnicheck -dns -host <client> [-verbose] où <client> est le nom du client Data Protector vérifié. • Pour vérifier toutes les connexions DNS possibles dans la cellule, exécutez la commande suivante : omnicheck -dns -full [-verbose] Lorsque l'option [-verbose] est spécifiée, la commande retourne tous les messages. Si cette option n'est pas définie (réglage par défaut), seuls les messages résultant d'échecs de vérification sont retournés. Pour plus d'informations, reportez-vous à la page omnicheck du manuel. Messages retournés Le tableau 6-1 répertorie les messages retournés pour la commande omnicheck. Si le message retourné indique un problème de résolution DNS, reportez-vous à la section “Troubleshooting Networking and Communication (Dépannage du réseau et de la communication)” du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Tableau 6-1 Messages retournés Message retourné Signification client_1 ne peut pas se connecter à client_2 Délai de connexion à client_2. Chapitre 6 317 Dépannage de l'installation Vérification des connexions DNS dans la cellule Data Protector Tableau 6-1 Messages retournés Message retourné Signification client_1 se connecte à client_2, mais le système connecté se présente comme client_3 Le fichier <%SystemRoot%>\System32\drivers \etc\hosts (systèmes Windows) ou / etc/hosts (systèmes UNIX) n'est pas correctement configuré sur client_1 ou le nom d'hôte de client_2 ne correspond pas à son nom DNS. client_1 ne s'est pas connecté à client_2 client_2 est inaccessible (c'est-à-dire déconnecté) ou le fichier <%SystemRoot%>\System32\drivers \etc\hosts (systèmes Windows) ou / etc/hosts (systèmes UNIX) n'est pas correctement configuré sur client_1. vérification de la connexion entre client_1 et client_2 toutes les vérifications se sont terminées correctement. number_of_failed_checks échecs de vérification. le client n'est pas membre de la cellule. le client a été contacté, mais il s'agit apparemment d'une version antérieure. Le nom d'hôte n'est pas vérifié. 318 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Installation et mise à niveau de Data Protector sous Windows Installation et mise à niveau de Data Protector sous Windows Après l'installation ou la mise à niveau vers Data Protector A.05.10, Windows peut signaler que certaines applications ne sont pas installées ou qu'il est nécessaire de les réinstaller. Identification du problème Windows peut envoyer les messages d'erreur suivants : • Le service Windows Installer est inaccessible. • Cette application doit être installée pour que le programme s'exécute. • Impossible d'ouvrir ce package de correctifs. • Impossible d'ouvrir le périphérique ou le fichier spécifié. Ce problème est dû à une erreur de la procédure de mise à niveau de Microsoft Installer. Les données de la version 1.x de Microsoft Installer n'ont pas migré vers la version 2.x de Microsoft Installer que Data Protector installe sur l'ordinateur. Résolution du problème Ce problème est décrit à l'article Q324906 de la base de connaissances Microsoft. Veuillez vous reporter à cet article pour résoudre le problème. Chapitre 6 319 Dépannage de l'installation Installation du Gestionnaire de cellule Data Protector sous Solaris Installation du Gestionnaire de cellule Data Protector sous Solaris L'installation du Gestionnaire de cellule Data Protector sous Solaris peut échouer. Identification du problème Lors de l'installation de Gestionnaire de cellule sous Solaris, un répertoire temporaire ne peut être créé et l'installation échoue avec le message d'erreur suivant : Processing package instance <OB2-CORE> from </tmp/ DP_A0510_158_SUN78.pkg> pkgadd: ERROR : unable to make temporary directory <//tmp/ old//installR.aOj3> Résolution du problème Créez manuellement le répertoire temporaire manquant à l'emplacement indiqué dans le message d'erreur et redémarrez la procédure d'installation. Par exemple, si vous obtenez le message d'erreur ci-dessus, créez le répertoire suivant : //tmp/old// installR.aOj3. 320 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Installation de clients UNIX Installation de clients UNIX Echec de l'installation à distance de clients UNIX Identification du problème L'installation ou la mise à niveau à distance d'un client UNIX échoue avec le message d'erreur suivant : Installation/Upgrade session finished with errors. Résolution du problème Lors de l'installation ou de la mise à niveau à distance de clients UNIX, l'espace disque disponible sur un système client dans le dossier /tmp doit atteindre au moins la taille du plus package à installer. Sur les systèmes clients Solaris, la même quantité d'espace disque doit également être disponible dans le répertoire /var/tmp. Vérifiez si vous disposez de suffisamment d'espace disque dans ces répertoires et redémarrez la procédure d'installation ou de mise à niveau. Pour connaître l'espace disque nécessaire, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. Problèmes d'installation d'un client HP-UX Identification du problème Lorsque vous ajoutez un nouveau client à une cellule Data Protector, le message d'erreur suivant peut s'afficher : /tmp/omni_tmp/packet: vous ne disposez pas des autorisations requises pour exécuter cette fonction SD... Accès refusé à root pour démarrer l'agent sur le dépôt enregistré /tmp/omni_tmp/packet. Insertion non autorisée sur l'hôte. Résolution du problème Pour résoudre ce problème, arrêtez le démon swagent et relancez-le, soit en supprimant le processus, soit en le redémarrant à l'aide de la commande /opt/omni/sbin/swagentd ou /opt/omni/sbin/swagentd -r. Vous devez également vérifier que vous disposez d'une entrée de bouclage local dans le fichier hosts (/etc/hosts). Chapitre 6 321 Dépannage de l'installation Vérification de l'installation du client Data Protector Vérification de l'installation du client Data Protector La vérification de l'installation du client Data Protector se divise en plusieurs étapes : • Vérification de la configuration DNS des systèmes Gestionnaire de cellule et client, puis vérification que les résultats de la commande omnicheck -dns du système Gestionnaire de cellule et client correspond au système spécifié. • Vérification des composants logiciels installés sur le client. • Comparaison de la liste des fichiers requis pour un composant logiciel particulier à installer avec celle des fichiers présents sur le client. • Vérification du total de contrôle pour chaque fichier en lecture seule requis pour un composant logiciel particulier. REMARQUE Un Serveur d'installation doit être disponible pour le type de système client (UNIX, Windows) sélectionné. Pour vérifier une installation de Data Protector à l'aide de l'interface graphique utilisateur de Data Protector, procédez comme suit : REMARQUE Cette procédure ne s'applique pas aux clients Novell NetWare et MPE. 1. Dans le menu contextuel, cliquez sur Clients. 2. Dans la fenêtre de navigation, développez Clients, cliquez sur le système du Gestionnaire de cellule avec le bouton droit de la souris, puis cliquez sur Vérifier installation pour lancer l'assistant. 3. Suivez les instructions de l'assistant pour vérifier l'installation des systèmes dans la cellule. La fenêtre Vérifier installation s'affiche avec les résultats de l'installation. Pour plus d'informations, reportez-vous à l'aide en ligne. 322 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Vérification de l'installation du client Data Protector Si votre installation a échoué, reportez-vous à la section “Utilisation des fichiers journaux”, page 330. Pour plus d'informations sur la vérification de l'installation sur les systèmes UNIX à l'aide de l'interface de ligne de commande Data Protector, reportez-vous à la page ob2install du manuel. Chapitre 6 323 Dépannage de l'installation Dépannage de la mise à niveau Dépannage de la mise à niveau Les fichiers de la base de données IDB et de configuration ne sont plus disponibles après la mise à niveau Après mise à niveau du Gestionnaire de cellule à partir d'une version précédente, la base IDB n'est pas disponible, ni aucune information de configuration. Ce problème survient en cas d'interruption de la procédure de mise à niveau, quelle qu'en soit la raison. Résolution du problème Restaurez OmniBack II/Data Protector à partir de la sauvegarde effectuée avant la mise à niveau, éliminez la raison de l'interruption et redémarrez la mise à niveau. Mise à niveau de la partie centrale de la base IDB Détermination de l'état Vous pouvez déterminer l'état de la mise à niveau de la partie centrale de la base IDB de plusieurs façons : • en examinant le fichier upgrade.log. Ce fichier est créé lorsque la mise à niveau de la partie centrale est lancée. Il est situé dans le répertoire /var/opt/omni/log sur les systèmes UNIX, et dans <répertoire Data_Protector>\log sur les systèmes Windows. Le fichier upgrade.log contient les messages de la mise à niveau de la partie centrale ou de la partie contenant les détails, ce qui vous permet de contrôler son état. Vous pouvez ainsi voir à quel moment une session a été démarrée, à quel moment elle s'est terminée, et retrouver tous les problèmes qui ont pu survenir lors de la mise à niveau. • en exécutant la commande omnidbutil -upgrade_info, qui affiche l'état en cours de la base IDB. Cette commande est située dans le répertoire /opt/omni/log sur les systèmes UNIX, et dans <répertoire Data_Protector>\log sur les systèmes Windows. Les états possibles sont au nombre de cinq : • Pas de mise à niveau en cours - la base de données a été initialisée, UCP n'a pas été lancé. 324 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Dépannage de la mise à niveau • Echec de mise à niveau de la partie critique - UCP a été lancé mais a échoué. • Mise à niveau de la partie critique terminée - UCP s'est terminé correctement, mais UDP n'a pas été lancé. • Mise à niveau de la partie contenant les détails en cours - UDP a été démarré et est en cours d'exécution. • Mise à niveau de la partie contenant les détails terminée - UDP terminé. Le système se bloque pendant la mise à niveau de la partie centrale Votre Gestionnaire de cellule tombe en panne pendant la mise à niveau de la partie centrale. Comment effectuer la vérification ? Consultez le fichier upgrade.log. Il contient une entrée “Session UCP démarrée”, mais pas d'entrée “Session UCP terminée” ni “Session abandonnée (mise à niveau de la partie centrale)”. Vous pouvez également vérifier l'état de la mise à niveau centrale à l'aide de la commande omnidbutil -upgrade_info, laquelle rapporte l'information suivante : “Echec de la mise à niveau centrale”. Résolution du problème Assurez-vous que les services fonctionnent. Si ce n'est pas le cas, démarrez-les. Exécutez la commande omnidbinit pour initialiser la nouvelle base de données. La base de données A.03.5x est en mode lecture seule, elle reste donc inchangée. Exécutez la commande omnidbupgrade -ucp pour redémarrer la mise à niveau de la partie centrale. Lorsque la mise à niveau de la partie centrale est terminée, passez à celle de la partie relative aux détails. Mise à niveau de la partie détaillée de la base IDB Détermination de l'état Vous pouvez déterminer l'état de la mise à niveau de la partie contenant les détails de plusieurs façons : • en utilisant la commande omnistat dans la ligne de commande avec la sous-commande -session <IDsession> -monitor pour visualiser l'évolution de la mise à niveau de la partie contenant les détails ; Chapitre 6 325 Dépannage de l'installation Dépannage de la mise à niveau • en surveillant le menu contextuel depuis l'interface utilisateur de Data Protector, où vous pouvez également afficher les détails sur l'évolution du processus ; ou • en examinant le fichier upgrade.log. Vous pouvez consulter le fichier upgrade.log pour connaître l'état de la mise à niveau, les heures de début et de fin d'une session, ainsi que les erreurs qui ont pu survenir lors de la mise à niveau de la partie contenant les détails. Mémoire insuffisante pour poursuivre la mise à niveau des détails La mémoire physique sur le système est insuffisante pour que la mise à niveau de la partie relative aux détails puisse continuer. Comment effectuer la vérification ? Le démon RDS s'est terminé. Toutefois, ASM signale l'erreur et écrit celle-ci dans le fichier upgrade.log (une entrée de type Erreur de communication réseau au niveau de la base de données apparaît). Un événement est déclenché (Session abandonnée (mise à niveau de la partie centrale).). Résolution du problème Fermez toutes les autres applications inutiles. Si le problème réapparaît, redémarrez l'ordinateur. Avant de redémarrer la mise à niveau, arrêtez et redémarrez les services Data Protector en exécutant les commandes suivantes dans /opt/omni/ sbin (systèmes UNIX) ou dans <répertoire Data_Protector>\bin (systèmes Windows) : omnisv -stop omnisv -start Redémarrez la mise à niveau de la partie relative aux détails à l'aide de la commande omnidbupgrade -udp, qui relance le processus de mise à niveau. Si le problème persiste, ajoutez de la RAM dans l'ordinateur. Vous pouvez également configurer un segment de données plus important. Pour connaître l'espace disque nécessaire, reportez-vous aux HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes. 326 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Dépannage de la mise à niveau Espace disque insuffisant pour poursuivre la mise à niveau de la partie contenant les détails Lors de la mise à niveau des détails de la base de données IDB, le disque sur lequel elle réside arrive à saturation. Comment effectuer la vérification ? Consultez le fichier upgrade.log pour savoir quelle erreur est survenue. Une entrée de journal “Insuffisance d'espace disque ou de fichiers d'extension/binaires configurés pour réaliser la mise à niveau” figure après l'entrée “Session UDP démarrée”. Vérifiez également les applications système pour connaître les ressources disponibles sur le disque où réside la base de données. Vérification de l'espace disque requis Exécutez la commande omnidbupgrade -udpcheck une fois la mise à niveau de la partie centrale terminée pour savoir quel est l'espace disque requis pour effectuer la mise à niveau de la partie détails de la base de données. Résolution du problème Libérez de l'espace sur le disque où se trouve la base de données. Exécutez la commande omnidbupgrade -udp pour redémarrer la mise à niveau des détails de la base de données. L'état de la base de données est incorrect Lors de la mise à niveau de la partie de la base IDB relative aux détails, un message indique que l'état de la base est incorrect. Comment effectuer la vérification ? Exécutez la commande omnidbutil -upgrade_info, qui donne les indications suivantes : Pas de mise à niveau en cours Echec de la mise à niveau de la partie centrale. Mise à niveau de la partie centrale terminée Mise à niveau de la partie contenant les détails en cours d'exécution Mise à niveau de la partie détaillée terminée Chapitre 6 327 Dépannage de l'installation Dépannage de la mise à niveau Résolution du problème Exécutez la commande omnidbinit pour initialiser la nouvelle base de données. La base de données A.03.5x est en mode lecture seule, elle reste donc inchangée. Exécutez la commande omnidbupgrade -ucp pour redémarrer la mise à niveau centrale. Lorsqu'elle est terminée, poursuivez la procédure avec la mise à niveau de la partie détaillée. Si le problème persiste, exécutez la mise à niveau avec l'option debug et envoyez la sortie avec le fichier upgrade.log à votre représentant support. Procédure de mise à niveau manuelle Normalement, vous mettez à niveau les Gestionnaire de cellule et Serveur d'installation OmniBack II A.03.5x, OmniBack II A.04.x et Data Protector A.05.00 UNIX en exécutant la commande omnisetup.sh, qui effectue une procédure automatique de mise à niveau. Vous pouvez néanmoins effectuer manuellement la mise à niveau en procédant comme suit : 1. Connectez-vous comme root et fermez les services OmniBack II/Data Protector sur le Gestionnaire de cellule en exécutant la commande / opt/omni/sbin/omnisv.sh -stop (OmniBack II A.03.5x) ou /opt/ omni/sbin/omnisv -stop (OmniBack II A.04.x et Data Protector A.05.00). Tapez ps -ef | grep omni pour vérifier si tous les services ont bien été arrêtés. Aucun service OmniBack II/Data Protector ne doit être répertorié sur exécution de la commande ps -ef | grep omni. 2. Supprimez les anciens fichiers OmniBack II/Data Protector à l'aide de l'utilitaire /usr/sbin/swremove sur les systèmes HP-UX ou avec /usr/sbin/pkgrm sur les systèmes Solaris. Les fichiers de configuration et la base de données sont préservés durant cette procédure. 3. Exécutez la commande swlist sur les systèmes HP-UX ou pkginfo sur les systèmes Solaris pour vérifier que OmniBack II/Data Protector n'est pas répertorié. Dans les répertoires suivants, vérifiez que vous avez supprimé le logiciel uniquement et non la base de données ni les fichiers de configuration. • /opt/omni • /var/opt/omni • /etc/opt/omni 328 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Dépannage de la mise à niveau 4. Introduisez le CD-ROM d'installation HP-UX ou Solaris et exécutez / usr/sbin/swinstall sur les systèmes HP-UX ou /usr/sbin/pkadd sur les systèmes Solaris pour effectuer la mise à niveau des Gestionnaire de cellule et Serveur d'installation vers Data Protector A.05.10. Lorsque l'exécution de la commande est terminée, les logiciels du Gestionnaire de cellule et du Serveur d'installation sont installés comme pour une nouvelle installation. Notez qu'après cela, swinstall ou pkadd démarrent les services Data Protector, et il n'est donc pas nécessaire de les démarrer manuellement. REMARQUE Si vous mettez à niveau OmniBack II A.03.5x, n'oubliez pas que la procédure décrite ci-dessus ne met à niveau que la partie centrale de la base IDB. Pour continuer la mise à niveau, vous devez passer à celle de la partie de la base relative aux détails. Sur la procédure de mise à niveau de la partie de la base IDB relative aux détails, reportez-vous à la section “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.50”, page 208 ou à “Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.51”, page 234. Chapitre 6 329 Dépannage de l'installation Utilisation des fichiers journaux Utilisation des fichiers journaux Si l'installation de Data Protector pose un problème, vous pouvez consulter l'un quelconque des fichiers journaux suivants pour le diagnostiquer : journaux système (UNIX), journaux d’installation (Windows) et fichiers journaux Data Protector. En cas de problème lors de l'installation, vous devrez vous référer aux fichiers journaux correspondant à votre type d'installation (en local ou à distance) et au système d'exploitation que vous utilisez. Installation en local Si vous rencontrez des difficultés lors d'une installation en local, reportez-vous aux fichiers journaux suivants : • Sur le Gestionnaire de cellule HP-UX : /var/adm/sw/swinstall.log et pour plus de détails : /var/adm/sw/swinstall.log • Sur le Gestionnaire de cellule Solaris : /var/opt/omni/log/debug.log • Sur les clients Windows (sur le système sur lequel tourne le programme d'installation) : <Temp>\OB2SetupLauncher.log et pour plus de détails : <Temp>\OB2_Setup*.txt L'emplacement du répertoire <Temp> est spécifié par la variable d'environnement TEMP. Pour examiner la valeur de cette variable, exécutez la commande set. Installation à distance Si vous rencontrez des difficultés lors d'une installation à distance, reportez-vous aux fichiers journaux suivants : • Sous Serveur d'installationUNIX : /var/opt/omni/log/IS_install.log 330 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Utilisation des fichiers journaux • Sur les clients Windows (uniquement sur le système client à distance) : <Temp>\INSTALL_SERVICE*.* où <Temp> est un répertoire spécifié dans la variable d'environnement TEMP. Si les fichiers journaux n'ont pas été créés, exécutez l'installation à distance avec l'option de débogage. Pour ce faire, reportez-vous à la section “Création de traces d'exécution de l'installation”, page 332. Fichiers journaux Data Protector Les fichiers journaux Data Protector sont enregistrés dans des répertoires différents selon le système d'exploitation que vous utilisez : • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\log • Sous HP-UX et Solaris : /var/opt/omni/log • Sous les autres systèmes UNIX : /usr/omni/log • Sous NetWare : SYS:\USR\OMNI\LOG La liste ci-dessous répertorie les fichiers journaux importants pour le dépannage de l'installation et décrit leur usage : debug.log Ce fichier présente les situations inattendues. Même si certaines de ces informations peuvent servir à l'utilisateur, elles sont surtout destinées au service de support. inet.log Ce fichier contient les requêtes faites au programme inet de Data Protector (un programme qui démarre les agents). Il peut être utile pour contrôler les dernières activités de Data Protector sur les systèmes client. IS_install.log Ce fichier contient la trace de l'installation à distance et se trouve sur le Serveur d'installation. omnisv.log Ce fichier contient les données relatives au démarrage et à l'arrêt des services Data Protector. Upgrade.log Ce fichier, créé sous UNIX lors de la mise à niveau, contient les traces de cette procédure. Chapitre 6 331 Dépannage de l'installation Création de traces d'exécution de l'installation Création de traces d'exécution de l'installation Si vous avez consulté les fichiers journaux sans avoir trouvé les informations nécessaires pour résoudre vos problèmes d'installation, vous pouvez exécuter l'installation à l'aide de l'option debug et envoyer les résultats (ainsi que d'autres informations importantes) à votre représentant support. Pour ce faire, reportez-vous aux sections “Utilisation des fichiers journaux”, page 330 et “Avant d'appeler votre représentant support”, page 313. UNIX Pour procéder au débogage de l'installation sur un système UNIX, exécutez l'interface graphique utilisateur de Data Protector en utilisant l'option de débogage : xomni -debug 1-99 <suffixe_débogage> ou xomniadmin -debug 1-99 <suffixe_débogage> Pour obtenir des explications sur la syntaxe à utiliser pour le débogage, reportez-vous à la section “Syntaxe à utiliser pour le débogage”, page 333. Une fois la session terminée/abandonnée, récupérez les résultats du débogage dans le répertoire tmp du système du Serveur d'installation. Windows Pour déboguer une installation à distance sur un système Windows, exécutez l'interface graphique utilisateur de Data Protector (Manager.exe) en mentionnant l'option de débogage : Manager -debug 1-99 <suffixe_débogage> Pour obtenir des explications sur la syntaxe à utiliser pour le débogage, reportez-vous à la section “Syntaxe à utiliser pour le débogage”, page 333. Une fois la session terminée/abandonnée, récupérez les résultats du débogage dans les fichiers suivants : • Sur le système du Serveur d'installation : <répertoire Data_Protector>\tmp\OB2DBG_<did>__BM_ <serveur_installation><num_débog><suffixe_débogage> 332 Chapitre 6 Dépannage de l'installation Création de traces d'exécution de l'installation • Sur le système à distance : <disque_système>:\<Temp>\OB2DBG_<did>__INSTALL_SERVICE <nom_hôte><num_débog><suffixe_débogage> Syntaxe à utiliser pour le débogage Presque toutes les commandes Data Protector peuvent être exécutées avec un paramètre -debug supplémentaire, dont la syntaxe est la suivante : -debug 1-99 <XYZ> [<hôte>] où : 1-99 est la plage de débogage. <XYZ> est le suffixe de débogage. <hôte> correspond à la liste de noms d'hôte sur lesquels s'effectue le débogage. Sauf instruction contraire, la plage doit toujours être définie à 1-99. La liste de noms d'hôte contient uniquement les noms des hôtes sur lesquels le débogage s'effectue lors de l'exécution de la commande Data Protector. Si la liste contient plusieurs hôtes, les noms doivent être séparés par un espace. L'ensemble de la liste doit figurer entre guillemets. Par exemple : “host1.domain host2.domain”. L'option de suffixe de débogage est utilisée pour créer le nom du fichier de trace (fichier journal). Les fichiers de trace se trouvent dans les répertoires suivants : • Sous UNIX : /tmp • Sous Windows : <répertoire Data_Protector>\tmp • Sous NetWare : SYS:\USR\OMNI\TMP et nommés comme suit : OB2DBG_<did>__<programme>_<hôte>_<pid>_<XYZ> où : <did> (ID de débogage) est l'ID de processus du premier processus acceptant les paramètres de débogage. Cet ID est également l'ID de la session de débogage. Tous les autres processus utiliseront cet ID. <programme> est le nom de code du programme Data Protector écrivant la trace. Chapitre 6 333 Dépannage de l'installation Création de traces d'exécution de l'installation <hôte> est le nom du système sur lequel le fichier de trace est créé. <pid> correspond à l'ID du processus. <XYZ> est le suffixe tel qu'il a été spécifié dans le paramètre -debug. Pour plus d'informations d'ordre général sur la création des fichiers d'exécution (débogage) et pour obtenir un exemple de débogage, reportez-vous au chapitre “Troubleshooting (Dépannage)” du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. 334 Chapitre 6 A Annexe A Annexe A A-1 Annexe A Dans cette annexe Dans cette annexe Cette annexe décrit la structure du produit Data Protector A.05.10 et les formulaires d'attribution de licence Data Protector. A-2 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Data Protector met à profit la structure de produit de son prédécesseur, OmniBack II, afin de simplifier le processus de mise à niveau. Data Protector comprend également des catégories de licence (licence d'utilisation) nouvelles ainsi que des numéros de produit pour les nouvelles fonctionnalités. L'attribution de licences Data Protector est initialement fondée sur le Gestionnaire de cellule Lecteur unique, ainsi que sur le nombre de lecteurs de sauvegarde connectés au système et les fonctionnalités utilisées dans la cellule Data Protector, par exemple les sauvegardes en ligne, les intégrations de sauvegardes avec un temps d'indisponibilité nul, le Manager-of-Managers, etc. Vous trouverez dans cette section la description des numéros de produit et les types de licence disponibles pour le produit Gestionnaire de cellule Data Protector A.05.10. REMARQUE Les licences fournies pour les produits UNIX peuvent s'appliquer à UNIX ou à Windows. Le logiciel Gestionnaire de cellule de Data Protector A.05.10 est également disponible pour les plates-formes HP-UX, Sun Solaris et Windows. Pour obtenir une présentation générale du produit, reportez-vous à la figure A-1, page A-4. Annexe A A-3 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences La figure A-1 présente un aperçu général des différents produits Data Protector A.05.10 disponibles. Figure A-1 Présentation générale des produits HP OpenView Storage Data Protector IMPORTANT Les fonctionnalités Data Protector seront disponibles pour certaines licences relatives à StorageWorks Enterprise Virtual Array et à HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 après la sortie de Data Protector A.05.10. Pour connaître les derniers périphériques pris en charge par ces licences, marqués d'un astérisque sur la figure ci-dessus, reportez-vous à http://www.openview.hp.com/products/datapro/ spec_0001.html. A-4 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Packs Starter REMARQUE Vous avez besoin des packs Starter une seule fois pour initier la configuration. HP OpenView Storage Data Protector Pack Starter pour Gestionnaire de cellule lecteur unique Licences d'utilisation, supports et manuels B6951AA B6951AJ B6951DA B6951DJ B6961AA B6961AJ B6961AF HP-UX - anglais HP-UX - japonais Solaris - anglais Solaris - japonais Windows - anglais Windows - japonais Windows - français Licences d'utilisation seulement B6951BA B6951CA B6961BA HP-UX Solaris Windows Supports uniquement B6960MA Toutes plates-formes/langues Manuels uniquement B6960LA B6960LJ B6960LF Anglais Japonais Français La licence d'utilisation (LTU) du pack Starter est conçue pour : • un système de gestion (Gestionnaire de cellule) sur la plate-forme spécifiée • une licence lecteur de sauvegarde (le produit B6951xA contient une licence B6953AA et le produit B6961xx contient une licence B6963AA) Annexe A A-5 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences • un nombre illimité d'agents de sauvegarde (clients), quelle que soit la plate-forme prise en charge • gestion de supports intégrée • les bibliothèques comportant 60 emplacements au maximum (y compris le contrôle du robot) • la capacité de partager les bibliothèques de bande entre plusieurs systèmes • options de récupération après sinistre • la génération avancée de rapports (dans l'interface graphique utilisateur de Data Protector et via le Web) • la prise en charge des clusters • la prise en charge du SAN • la gestion centrée service via les intégrations à OpenView Les supports comprennent 3 CD (un par système d'exploitation pour Windows, HP-UX et Solaris). Toutes les licences UNIX peuvent être utilisées pour Windows, Novell NetWare et Linux. Commandez des licences supplémentaires dans les cas suivants : • Pour obtenir des fonctionnalités supplémentaires, veuillez vous reporter aux extensions fonctionnelles. • Si vous souhaitez utiliser des lecteurs de sauvegarde supplémentaires, veuillez vous reporter aux extensions de lecteur unique. Le pack Starter (toutes plates-formes) contient les manuels suivants : • Guide des concepts HP OpenView Storage Data Protector • HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide • Guide d'installation et de choix des licences HP OpenView Storage Data Protector • Guide d’installation simple et rapide HP OpenView Storage Data Protector • HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes A-6 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences REMARQUE Avec les produits B6961AF et B6960LF, les documents HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide et HP OpenView Storage Data Protector Software Release Notes sont fournis en anglais. Extensions de lecteur unique HP OpenView Storage Data Protector Lecteur unique pour UNIX, OpenVMS, NAS, SAN B6953AA Ce produit comprend la licence d'utilisation (LTU) pour un lecteur de sauvegarde supplémentaire raccordé à un système UNIX, un système Open VMS, un périphérique NAS, utilisé dans un environnement SAN ou pour la sauvegarde sans serveur. Un lecteur de sauvegarde peut être un lecteur de bande, une unité logique sur disque (sauvegarde sur disque à l'aide d'un fichier de périphérique), ou un lecteur magnéto-optique. Il est possible d'accéder au lecteur et de le gérer en local ou via le réseau à partir d'un système disposant de n'importe quelle licence Gestionnaire de cellule. REMARQUE Un SAN (Storage Area Network) permet de partager les ressources entre plusieurs systèmes. Une connexion point à point Fibre Channel n'est pas considérée comme un SAN. Cette licence n'est requise qu'en cas de partage de ressources de stockage SAN. Cette LTU est également requise pour les lecteurs connectés aux systèmes suivants : • Systèmes HP MPE et serveurs de fichiers Network Attached Storage (NAS), par exemple StorageWorks NAS, les serveurs de fichiers Network Appliance et les serveurs de fichiers EMC Celerra. Elle peut également être utilisée pour des lecteurs uniques connectés à des systèmes Windows, NetWare et Linux. Mais lorsque le lecteur n'est pas utilisé dans un SAN, il revient moins cher d'utiliser la licence B6963AA. Annexe A A-7 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Il est vivement recommandé de commander une LTU lecteur unique pour chaque unité de sauvegarde existante. Cette licence peut être utilisée dans un but quelconque : sauvegarde, restauration ET copie de supports (source ET cible). Les licences de lecteurs ne peuvent être partagées entre plusieurs cellules. HP OpenView Storage Data Protector Lecteur unique pour Windows, Novell NetWare, Linux (Intel) B6963AA Ce produit comprend la licence d'utilisation (LTU) pour un lecteur de sauvegarde utilisé raccordé directement à un système Windows, NetWare ou Linux (Intel). Un lecteur de sauvegarde peut être un lecteur de bande, une unité logique sur disque (sauvegarde sur disque à l'aide d'un fichier de périphérique), ou un lecteur magnéto-optique. Il est possible d'accéder au lecteur et de le gérer en local ou via le réseau à partir d'un système disposant de n'importe quelle licence Gestionnaire de cellule. REMARQUE Cette licence d'utilisation ne suffit pas pour le partage des ressources de stockage dans un SAN (Storage Area Network). La licence B6953AA est requise lorsque plusieurs systèmes partagent des lecteurs de sauvegarde dans un SAN. Il est vivement recommandé de commander une LTU lecteur unique pour chaque unité de sauvegarde existante. Cette licence peut être utilisée dans un but quelconque : sauvegarde, restauration ET copie de supports (source ET cible). Les licences de lecteurs ne peuvent être partagées entre plusieurs cellules. Extensions fonctionnelles Sauvegarde des fichiers ouverts HP OpenView Storage Data Protector B7033AA 1 serveur B7033BA 10 serveurs A-8 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Ce produit comprend les licences d'utilisation (LTU) pour un ou 10 serveurs Windows NT/2000/2003, pour la sauvegarde de fichiers ouverts par des applications développées par l'utilisateur, les fichiers e-mail (par exemple “.pst” - fichiers Microsoft Outlook) et toutes les autres bases de données qui ne sont pas couvertes par la matrice d'intégration Data Protector. Data Protector A.05.10 prend en charge la fonction snapshot VSS (Volume Shadow copy Service) du système de fichier Windows 2003 sans coût supplémentaire. L'option de sauvegarde VSS peut être utilisée pour la sauvegarde des fichiers ouverts. Par rapport à la sauvegarde des fichiers ouverts, l'option de sauvegarde VSS n'utilise pas les temps d'inactivité du système de fichiers pour améliorer l'homogénéité globale de ce dernier. Vous devez disposer d'une licence pour chaque système serveur. Pack Sauvegarde de fichiers ouverts pour 5 stations de travail HP OpenView Storage Data Protector B7034AA Ce produit comprend un package de cinq licences d'utilisation (LTU) pour Windows NT/2000/XP, pour la sauvegarde de fichiers ouverts par des applications développées par l'utilisateur, les fichiers e-mail (par exemple “.pst” - fichiers Microsoft Outlook) et toutes les autres bases de données qui ne sont pas couvertes par la matrice d'intégration Data Protector. Serveur Sauvegarde de fichiers ouverts Enterprise HP OpenView Storage Data Protector B7035AA Ce produit comprend la licence d'utilisation (LTU) pour un Advanced Server Windows 2000/2003, un Cluster Server Windows NT 4.0 ou un serveur NetWare pour la sauvegarde de fichiers ouverts d'applications développées par l'utilisateur, les fichiers e-mail (par exemple “.pst”fichiers Microsoft Outlook) et toutes les autres bases de données Windows 2000 qui ne sont pas couvertes par la matrice d'intégration Data Protector. Data Protector A.05.10 prend en charge la fonction snapshot VSS (Volume Shadow copy Service) du système de fichier Windows 2003 sans coût supplémentaire. L'option de sauvegarde VSS peut être utilisée pour Annexe A A-9 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences la sauvegarde des fichiers ouverts. Par rapport à la sauvegarde des fichiers ouverts, l'option de sauvegarde VSS n'utilise pas les temps d'inactivité du système de fichiers pour améliorer l'homogénéité globale de ce dernier. Vous devez disposer d'une licence pour chaque système serveur. Extension en ligne HP OpenView Storage Data Protector B6955BA B6965BA pour UNIX pour Windows/Linux Ces produits comprennent les licences d'utilisation (LTU) nécessaires pour effectuer la sauvegarde en ligne des bases de données et des applications qui s'exécutent sur la plate-forme spécifiée. REMARQUE Si vous effectuez une sauvegarde à temps d'indisponibilité nul (ZDB) des bases de données et des applications, il est nécessaire de disposer d'une LTU en ligne en plus de la licence d'utilisation correspondant à l'extension ZDB concernée. Reportez-vous à “Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) HP OpenView Storage Data Protector”, page A- 12. • Les licences sont requises par serveur, quel que soit le nombre de bases de données qui s'exécutent sur le système. Même si des bases de données de types différents s'exécutent sur le même système, une seule licence est requise. • Dans un environnement de clusters, chaque système participant au cluster doit disposer d'une licence d'utilisation. La situation de basculement (actif/en attente) est la seule dans laquelle une seule licence d'utilisation est requise. En cas de partage de la charge (actif/ actif), chaque système requiert une licence d'utilisation. Les applications/bases de données fonctionnant sous Linux requièrent la licence LTU B6965BA. Extension Manager-of-Managers HP OpenView Storage Data Protector B6956AA B6966AA A-10 pour UNIX pour Windows Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Ce produit comprend la licence d'utilisation requise pour que chaque Gestionnaire de cellule Data Protector qui s'exécute sur la plate-forme spécifiée s'intègre à un environnement Manager-of-Managers. Vous devez disposer de cette licence pour le partage de bibliothèques de bandes entre plusieurs cellules Data Protector. Cette solution est idéale pour la gestion de sauvegarde centralisée de filiales. Le produit B6956AA peut être utilisé pour un Gestionnaire de cellule Windows. Il est toutefois plus économique d'opter pour le produit B6966AA. Extension HP OpenView Storage Data Protector pour bibliothèques avec 61 à 250 emplacements B6957BA Ce produit comprend la licence d'utilisation (LTU) pour la gestion de bibliothèques avec 61 à 250 emplacements. Vous devez disposer d'une licence pour chaque bibliothèque de chaque cellule. Les silos STK utilisant les systèmes de bibliothèque ACSLS et GRAU/ EMASS et utilisant le DAS requièrent la licence B6958BA. En cas de partage d'une bibliothèque de bandes entre plusieurs cellules Data Protector, une LTU pour extension Manager-of-Managers est requise. Extension bibliothèques HP OpenView Storage Data Protector sans limitation en nombre d'emplacements B6958BA Ce produit comprend la licence d'utilisation (LTU) pour la gestion de bibliothèques sans limitation en nombre d'emplacements. Vous devez disposer d'une licence pour chaque bibliothèque de chaque cellule. Les silos STK utilisant les systèmes de bibliothèque ACSLS et GRAU/ EMASS et utilisant le DAS requièrent la licence B6958BA. En cas de partage d'une bibliothèque de bandes entre plusieurs cellules Data Protector, une LTU pour extension Manager-of-Managers est requise. Annexe A A-11 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Sauvegarde directe avec NDMP HP OpenView Storage Data Protector B7022BA Ce produit contient la licence d'utilisation (LTU) nécessaire à la sauvegarde de jusqu'à un téraoctet (To) sur 1 serveur NDMP. Une licence est requise par téraoctet (To) d'espace disque utilisé pour chaque serveur de fichiers sauvegardé via NDMP (NAS HP StorageWorks, serveur de fichiers Network Appliance ou EMC Celerra). La capacité de disque utilisée est la capacité totale de tous les volumes de la baie de disque sauvegardés par NDMP. Cette quantité représente la quantité totale utilisable de ces volumes, en fonction de la taille configurée pour leurs LDEV. Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) HP OpenView Storage Data Protector B7023CA pour HP StorageWorks Disk Array XP B7025CA pour HP StorageWorks Virtual Array et StorageWorks Enterprise Virtual Array B7036AA pour HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 B6959CA pour EMC Symmetrix Ces produits comprennent la licence d'utilisation pour une capacité maximale d'un téraoctet (To) d'espace disque utilisé sur la batterie de disques spécifiée protégée par la sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) et utilisant : • Continuous Access XP • Copie Business XP/EVA/VA et/ou • EMC TimeFinder et/ou • EMC SRDF A-12 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences REMARQUE Si vous effectuez une sauvegarde à temps d'indisponibilité nul (ZDB), il est nécessaire de disposer d'une LTU en ligne en plus de la licence d'utilisation correspondant à l'extension ZDB concernée. Reportez-vous à “Extension en ligne HP OpenView Storage Data Protector”, page A- 10. IMPORTANT Pour ces licences, les fonctions liées à HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 seront disponibles après la sortie de Data Protector A.05.10. Sur les derniers périphériques pris en charge, reportez-vous à http:// www.openview.hp.com/products/datapro/spec_0001.html. La capacité de disque utilisée est la capacité totale de tous les volumes de la baie de disque sauvegardés par ZDB (volume principal/source). Cette quantité représente la quantité totale utilisable de ces volumes, en fonction de la taille configurée pour leurs LDEV. • A l'exclusion du surdébit RAID. Cela signifie qu'il n'est pas nécessaire de prendre en compte la configuration RAID. Extension de restauration instantanée HP OpenView Storage Data Protector B7026CA pour HP StorageWorks Disk Array XP B7028AA pour HP StorageWorks Virtual Array et StorageWorks Enterprise Virtual Array B7037AA pour HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 Ces produits comprennent la licence d'utilisation (LTU) pour une capacité maximale d'un téraoctet (To) d'espace disque utilisé; cette licence est requise pour la restauration instantanée de la batterie de disques spécifiée à l'aide de la sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB). La restauration instantanée Data Protector permet de restaurer en quelques minutes des téraoctets de données à partir d'un ou de plusieurs disques de restauration, au lieu d'effectuer la restauration à partir d'une bande, ce qui pourrait demander plusieurs heures. Annexe A A-13 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences IMPORTANT Pour ces licences, les fonctions liées à HP StorageWorks Enterprise Virtual Array et HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 seront disponibles après la sortie de Data Protector A.05.10. Sur les derniers périphériques pris en charge, reportez-vous à http:// www.openview.hp.com/products/datapro/spec_0001.html. La capacité d'espace disque utilisée est définie comme la capacité totale de tous les volumes de la batterie de disques utilisés pour la restauration instantanée (c'est-à-dire le volume primaire/source). Cette quantité représente la quantité totale utilisable de ces volumes, en fonction de la taille configurée pour leurs LDEV. • A l'exclusion du surdébit RAID. Cela signifie qu'il n'est pas nécessaire de prendre en compte la configuration RAID. • Requiert une quantité équivalente de licences d'utilisation ZDB Data Protector Extension de la sauvegarde directe HP OpenView Storage Data Protector B7027AA B7029AA pour HP StorageWorks Disk Array XP pour HP StorageWorks Virtual Array et StorageWorks Enterprise Virtual Array Ce produit comprend les licences d'utilisation (LTU) nécessaires pour effectuer une sauvegarde directe avec HP StorageWorks disk array XP et/ou HP StorageWorks Virtual Array/HP StorageWorks Enterprise Virtual Array. Une licence requise par téraoctet (To) d'espace disque source utilisé nécessaire à la sauvegarde directe (sans serveur). Requiert une quantité équivalente de licences d'utilisation ZDB Data Protector et de licences d’utilisation permettant les sauvegardes en ligne. IMPORTANT Pour ces licences, les fonctions liées à HP StorageWorks Enterprise Virtual Array seront disponibles après la sortie de Data Protector A.05.10. Sur les derniers périphériques pris en charge, reportez-vous à http://www.openview.hp.com/products/datapro/spec_0001.html. A-14 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Manuels HP OpenView Storage Data Protector : Extensions fonctionnelles B6960EA B6960EA Anglais Japonais Comprend les manuels des extensions fonctionnelles Data Protector : • Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour UNIX • Guide d'intégration de HP OpenView Data Protector pour Windows • Guide d’intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour HP StorageWorks Disk Array XP • Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour EVA/VA/MSA • Guide d'intégration de HP OpenView Storage Data Protector pour EMC Symmetrix Remarque : les licences d'utilisation correspondant aux extensions fonctionnelles présentent des numéros de produit distincts. Tous les manuels sont disponibles sous forme de fichier PDF Acrobat sur votre système, si vous avez installé la documentation. Editions serveur unique HP OpenView Storage Data Protector Edition serveur unique Licences d'utilisation, supports et manuels B7020AA B7020AJ B7020DA B7020DJ B7030AA B7030AJ B7030AF HP-UX - anglais HP-UX - japonais Solaris - anglais Solaris - japonais Windows - anglais Windows - japonais Windows - français Licences d'utilisation seulement B7020BA B7020CA B7030BA Annexe A HP-UX Solaris Windows A-15 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences La licence d'utilisation (LTU) de l'édition serveur unique permet de sauvegarder un serveur unique (HP-UX, Solaris ou Windows) comprenant un nombre illimité de stations de travail UNIX et/ou Windows et un lecteur de sauvegarde utilisé simultanément. En outre, cette édition peut gérer un système de changement automatique de bande/une bibliothèque comprenant 10 emplacements au maximum. Les mêmes manuels sont fournis avec les Editions serveur unique et les packs starter lecteur unique du Gestionnaire de cellule. Pour vous procurer les fonctionnalités suivantes, vous devez faire migrer l'Edition serveur unique vers le pack starter lecteur unique du Gestionnaire de cellule : • clients serveurs supplémentaires • lecteurs de sauvegarde supplémentaires • capacité de gérer les autoloaders/bibliothèques de plus de 10 emplacements • prise en charge des clusters Pour commander la licence d'utilisation de la migration, vous devez disposer d'une licence d'utilisation pour Edition serveur unique. REMARQUE L'Edition serveur unique pour Windows ne peut gérer que les stations de travail Windows. Commandez des licences supplémentaires dans les cas suivants : • Pour la prise en charge des clusters. • Pour utiliser un serveur UNIX, Windows NT/2000/2003, Novell NetWare ou Open VMS supplémentaire. • Pour utiliser le lecteur Data Protector, des extensions fonctionnelles pour des lecteurs de sauvegarde supplémentaires, la sauvegarde en ligne, Manager-of-Managers et des bibliothèques de bandes. L'Edition serveur unique Data Protector doit être mise à niveau vers le Gestionnaire de cellule Data Protector Lecteur unique. A-16 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Migration vers le Gestionnaire de cellule Lecteur unique B7021AA B7021DA B7031AA HP-UX Solaris Windows Ces produits contiennent les licences d'utilisation (LTU) permettant de migrer de l'Edition serveur unique au Gestionnaire de cellule Lecteur unique de HP OpenView Storage Data Protector. Vous ne pouvez effectuer cette mise à niveau que si vous disposez déjà de la licence serveur unique. Vous devez la commander pour obtenir les fonctionnalités suivantes : des clients Server supplémentaires, la prise en charge des clusters, des lecteurs de sauvegarde supplémentaires, la sauvegarde en ligne, Manager-of-Managers et un système de changement automatique de bande doté de plus de 10 emplacements, et dans le cas de l’Edition Serveur unique, des clients Windows uniquement, UNIX et Novell NetWare. Migration de licence vers Data Protector A.05.10 La migration de chacune des versions précédentes de Data Protector/ OmniBack II vers Data Protector A.05.10 se présente de la manière suivante : De Data Protector A.05.00 Migrez directement vers Data Protector A.05.10. Aucune migration de licence ou autre n'est nécessaire. Les clients Data Protector A.05.00 bénéficiant d'un contrat de support recevront gratuitement Data Protector A.05.10. Lorsqu'ils mettent à niveau leur environnement vers Data Protector, ils bénéficieront avec Data Protector A.05.10 de la fonction qu'ils utilisaient avec A.05.00 sans coût supplémentaire. Ils doivent seulement acheter de nouvelles licences s'ils souhaitent acquérir de nouvelles extensions fonctionnelles fournies avec Data Protector. De OmniBack II A.04.x Migrez directement vers Data Protector A.05.10. Aucune migration de licence ou autre n'est nécessaire. Annexe A A-17 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences De OmniBack II A.03.x Les clients OmniBack II A.03.5x peuvent migrer directement vers Data Protector A.05.10. Une migration de licence N'est PAS nécessaire. Data Protector A.05.x et OmniBack II A.04.x reconnaissent les licences A.03.x. Migration des contrats de support Aucune migration de licence (mot de passe) n'est requise pour la mise à jour vers Data Protector A.05.10. Les contrats de support doivent correspondre aux numéros de produits Data Protector A.05.10 qui sont mis à jour. Par exemple, si un client dispose d'une LTU B7023BA (Split Mirror XP) dans OmniBack II A.04.00 et migre vers Data Protector A.05.10, cet article du contrat de support doit être modifié en trois LTU B7023CA. Le tableau de migration suivant indique comment migrer les produits de support d'OmniBack II A.03.x vers ceux d'OmniBack II A.04.x et les produits de support d'OmniBack II A.04.x vers ceux de Data Protector A.05.x. A-18 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Tableau A-1 Migration des contrats de support - Tableau 1 Produits de support OmniBack II A.03.5x Brève description du produit associés à Produit(s) de support OmniBack II A.04.x Brève description du produit associé(s) à Migration serveur de lecteurs multiples vers lecteurs uniques B6952AA Serveur de lecteurs multiples 1*B6951AA + 5*B6953AA Gestionnaire de cellule pour unique pour HP-UX + 5 * Lecteur unique UNIX HP-UX B6962AA 1*Serveur de lecteurs multiples 1* Gestionnaire de cellule Lecteur 1*B6951AA +3*B6953AA Gestionnaire de cellule pour NT/ 1*Gestionnaire de cellule Lecteur unique pour NT/ 2000 + 3 * Lecteur unique NT/2000 2000 B6954AA Serveur de lecteurs multiples pour HP-UX 6*B6953AA 6* Lecteur unique UNIX B6964AA Serveur de lecteurs multiples pour NT/ 2000 4*B6963AA 4* Lecteur unique NT/2000 Extensions fonctionnelles B6955AA Sauvegarde en ligne UNIX B6955BA B6965AA Sauvegarde en ligne NT/2000 B6965BA B6957AA Bibliothèques UNIX de 61 à 250 emplacements B6957BA B6967AA Bibliothèques NT/ 2000 de 61 à 250 emplacements B6957BA B6958AA Bibliothèques UNIX sans limites d'emplacements B6958BA Annexe A A-19 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Tableau A-1 Migration des contrats de support - Tableau 1 Produits de support OmniBack II A.03.5x Brève description du produit associés à Tableau A-2 Produit(s) de support OmniBack II A.04.x Brève description du produit associé(s) à B6968AA Bibliothèques NT/ 2000 sans limites d'emplacements B6958BA B7023AA Split Mirror XP B7023BA B6959AA Split Mirror EMC Symmetrix B6959BA Migration des contrats de support - Tableau 2 Produits de support OmniBack II A.04.00 Brève description du produit associés à Produit(s) de support OmniBack II A.04.10 et Data Protec tor A.05.x Brève description du produit associé(s) à Extensions fonctionnelles Tableau A-3 B7023BA Split Mirror XP 3*B7023CA 3*Split Mirror XP B6959BA Split Mirror EMC Symmetrix 3*B6959CA 3*Split Mirror EMC Symmetrix B7024AA Sauvegarde sans serveur EMC 3*B7023CA 3*Sauvegarde sans serveur EMC Migration des contrats de support - Tableau 3 Produits de support OmniBack II A.04.10 Brève description du produit associés à Produit(s) de support Data Protec tor A.05.x Brève description du produit associé(s) à Extensions fonctionnelles B7022AA A-20 Sauvegarde NDMP X*B7022BA X*Sauvegarde directe avec NDMP Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Configuration de la cellule Data Protector Les figures ci-dessous présentent quelques configurations de cellule Data Protector et les licences requises correspondantes. Annexe A A-21 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Figure A-2 Sauvegarde de serveur unique Figure A-3 Gestionnaire de cellule - Lecteur unique pour HP-UX, y compris des systèmes automatiques de changement de bande à lecteur unique comportant jusqu'à 60 emplacements A-22 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Figure A-4 Environnement mixte Figure A-5 Sauvegarde en ligne Annexe A A-23 Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Figure A-6 Sauvegarde en ligne d'applications Figure A-7 Bibliothèques avec 61 à 250 emplacements A-24 Annexe A Annexe A Structure du produit Data Protector A.05.10 et licences Figure A-8 Environnement Manager-of-Managers Figure A-9 Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul Annexe A A-25 Annexe A Formulaires d'attribution de licences Data Protector Formulaires d'attribution de licences Data Protector Ce chapitre présente les formulaires d'attribution de licence Data Protector. Remplissez-les pour commander une licence. Vous pouvez imprimer la version électronique de ces formulaires de licence qui se trouve dans les fichiers suivants sur le système Gestionnaire de cellule et les supports de distribution : HP-UX ou Solaris /opt/omni/doc/C/license_forms_UNIX CD-ROM Windows <nom_disque>:Docs\license_forms.txt ou utiliser les fichiers électroniques pour “copier” et “coller” votre message avant de l'adresser au Centre de remise de mot de passe (PDC). Vous pouvez aussi commander vos licences via le site Internet du Centre de remise de mot de passe, à l'adresse http://www.webware.hp.com. IMPORTANT Assurez-vous que vous saisissez clairement les informations et que vous n'oubliez pas de renseigner les champs obligatoires. Vous trouverez ci-après une brève description des champs des formulaires d'attribution de licence que vous devez renseigner : Données personnelles : Ce champ contient les informations relatives au client, notamment la personne à laquelle le nouveau mot de passe doit être communiqué. Données d'attribution de licence : Ce champ contient les informations d'attribution de licence relatives à votre cellule Data Protector. Gestionnaire de cellule courant : Saisissez les informations requises relatives à votre Gestionnaire de cellule courant. Nouveau Gestionnaire de cellule : Saisissez les informations requises relatives à votre nouveau Gestionnaire de cellule. A-26 Annexe A Annexe A Formulaires d'attribution de licences Data Protector Numéro de commande Saisissez le numéro de commande imprimé sur l'Attestation de droit. Le numéro de commande est nécessaire pour vérifier que vous êtes autorisé à demander un mot de passe permanent. Adresse IP : Ce champ définit le système pour lequel le Centre de remise de mot de passe fournira des mots de passe. Si vous souhaitez utiliser la gestion centralisée des licences (environnements MoM uniquement), ce système doit être le système MoM Manager. Si le Gestionnaire de cellule est doté de plusieurs cartes réseau, vous pouvez saisir n'importe quelle adresse IP correspondante. Il est recommandé d'utiliser l'adresse IP principale. Si vous utilisez Data Protector dans un environnement MC/Service Guard ou MS Cluster, saisissez l'adresse IP de votre serveur virtuel. Pour plus d'informations sur les clusters, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. Le Centre de remise de mot de passe Numéros de télécopie Pour obtenir les coordonnées, reportez-vous à l'attestation de droit livrée avec votre produit. Type de licence de produit Annexe A Dans les champs situés en regard des numéros de produit, indiquez le nombre de licences que vous souhaitez installer sur ce Gestionnaire de cellule. Ce nombre doit être égal ou inférieur à la totalité des licences acquises avec le numéro de commande. A-27 Annexe A Formulaires d'attribution de licences Data Protector A-28 Annexe A B Annexe B Annexe B B-1 Annexe B Dans cette annexe Dans cette annexe Vous trouverez dans cette annexe des informations supplémentaires relatives aux tâches qui dépassent le cadre de ce document, mais qui sont d'importance pour la procédure d'installation. L'installation et la configuration des systèmes et périphériques pour les systèmes Windows, HP-UX et Solaris sont illustrées par des exemples. B-2 Annexe B Annexe B Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows IMPORTANT Seule la mise en œuvre Microsoft du protocole TCP/IP est prise en charge. Data Protector utilise le protocole TCP/IP pour les communications réseau ; il doit donc être installé et configuré sur chaque client de la cellule. La saisie d'une commande via l'interface utilisateur Data Protector établit une connexion avec le Gestionnaire de cellule par le biais du protocole TCP/IP. Le protocole TCP/IP est un groupe de protocoles et utilitaires reliés entre eux, utilisé pour les communications réseau. Il est constitué des protocoles TCP (Transmission Control Protocol) et IP (Internet Protocol). Le logiciel TCP/IP est installé sur le disque dur et chaque ordinateur utilisant ce protocole doit posséder les adresses suivantes, généralement attribuées par l'administrateur réseau : • Adresse IP correspondant à chaque carte réseau installée sur l'ordinateur. Il s'agit d'un numéro à 32 bits, généralement présenté sous la forme de quatre nombres séparés par des points. • Le masque de sous-réseau correspondant à chaque carte réseau installée sur l'ordinateur qui, associé à l'adresse IP, identifie l'ID réseau et l'ID hôte. Le masque de masque de sous-réseau se présente dans le même format que l'adresse IP. • L'adresse de la passerelle par défaut est requise pour la passerelle locale par défaut (routeur IP) afin de permettre l'accès Internet. Conditions préalables Avant d'installer le protocole TCP/IP sur un ordinateur équipé de Windows, vous devez prendre connaissance des informations suivantes : • Différentes options de configuration sont disponibles selon le type de logiciel Windows installé sur votre ordinateur. Annexe B B-3 Annexe B Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows Un système serveur Windows peut être configuré entre autres en tant que serveur DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol), WINS (Windows Internet Name Service) ou DNS (Domain Name System). Pour plus de détails, consultez l'aide en ligne de Windows. • Vous pouvez configurer le protocole TCP/IP automatiquement à l'aide du DHCP à condition qu'un serveur DHCP soit installé sur votre réseau. Vous devez configurer le protocole TCP/IP manuellement si vous ne disposez pas d'un serveur DHCP sur votre réseau ou lorsque vous configurez le protocole TCP/IP sur le système serveur DHCP. Pour plus de détails, consultez l'aide en ligne de Windows. • Lorsque vous configurez le TCP/IP manuellement, vérifiez que vous êtes bien connecté en tant que membre du groupe Administrateurs sur l'ordinateur local. Pour éviter les doubles adresses, veillez à demander toutes les valeurs à votre administrateur réseau. Outre l'adresse IP, le masque de sous-réseau et la passerelle par défaut mentionnés ci-dessus, vous devez obtenir : ✓ le nom de votre domaine DNS et les adresses IP des serveurs DNS si vous envisagez d'utiliser des services DNS ; ✓ les adresses IP pour les serveurs WINS si des serveurs WINS sont présents sur votre réseau. Installation et configuration du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows NT 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur l'icône Réseau pour ouvrir la fenêtre Réseau. 2. Cliquez sur Protocoles, Protocole TCP/IP, puis sélectionnez Ajouter. Sélectionnez Protocole TCP/IP, puis cliquez sur OK. 3. Vous devez alors indiquer si un serveur DHCP est installé sur le réseau. Si vous envisagez d'utiliser les services DHCP, cliquez sur Oui ; sinon, cliquez sur Non. Plusieurs fichiers sont alors installés sur votre ordinateur. La fenêtre Propriétés TCP/IP s'affiche à l'écran après l'installation. Vous pouvez alors commencer la configuration du protocole TCP/IP. Reportez-vous à la figure B-1. B-4 Annexe B Annexe B Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows Figure B-1 Fenêtre Propriétés TCP/IP sous Windows NT 4. Choisissez le nom de la carte réseau dans la zone de liste déroulante Carte. Si vous ne savez pas quelles sont les cartes réseau disponibles, vous pouvez obtenir la liste de celles-ci en cliquant sur la flèche située à droite de la zone de liste Carte. 5. La procédure suivante sera différente selon que vous souhaitez utiliser les services DHCP pour configurer le protocole TCP/IP automatiquement ou effectuer la configuration manuellement : • Pour obtenir une adresse par un serveur DHCP, cochez l'option Obtenir une adresse IP par un serveur DHCP et le protocole TCP/IP sera configuré automatiquement. • Pour spécifier une adresse IP, cochez l'option Spécifier une adresse IP, puis saisissez les valeurs correspondantes dans les champs Adresse IP, Masque de sous-réseau et Passerelle par défaut. 6. Cliquez sur OK lorsque vous avez terminé, puis redémarrez votre ordinateur pour appliquer les nouveaux paramètres. Annexe B B-5 Annexe B Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows Installation et configuration du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows 2000/XP/Server 2003 Le protocole TCP/IP est installé sur les systèmes Windows 2000/XP/ Server 2003 au moment de l'installation du système d'exploitation. Si vous souhaitez vérifier vos paramètres TCP/IP en vigueur, procédez comme suit : 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur Connexions réseau et accès à distance puis sur Connexion au réseau local. 2. Cliquez sur Propriétés, sélectionnez Protocole Internet (TCP/ IP), puis cliquez sur Propriétés.. Vous pouvez alors modifier les paramètres IP. Figure B-2 Fenêtre Propriétés de Protocole Internet (TCP/IP) sous Windows 2000/XP/Server 2003 Pour modifier des paramètres avancés, cliquez sur Avancé. B-6 Annexe B Annexe B Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows Figure B-3 Fenêtre Paramètres TCP/IP avancés sous Windows 2000/XP/ Server 2003 Suffixe DNS Pour configurer le suffixe DNS du système, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l'icône Poste de travail du bureau, puis sélectionnez Propriétés, Identification réseau, Propriétés, Autres. Toute modification des paramètres DNS déclenchera la réinitialisation de votre système. Figure B-4 Fenêtre Nom d'ordinateur NetBIOS et suffixe DNS sous Windows 2000/XP/Server 2003 Annexe B B-7 Annexe B Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows Vérification de la configuration TCP/IP La mise en place d'un mécanisme de résolution du nom d'hôte constitue un élément important du processus de configuration du TCP/IP. • S'ils utilisent des fichiers d'hôtes enregistrés dans leur dossier <%SystemRoot%>\system32\drivers\etc, tous les systèmes du réseau doivent pouvoir assurer la résolution de l'adresse du Gestionnaire de cellule ainsi que de toutes les machines dotées d'Agents de supports et de périphériques de sauvegarde. Le Gestionnaire de cellule doit être en mesure de résoudre les noms de tous les systèmes présents dans la cellule. • Si vous utilisez un DNS, assurez-vous que le serveur DNS local est spécifié dans les paramètres IP pour chaque système. Une fois que vous avez installé le protocole TCP/IP, vous pouvez vérifier sa configuration à l'aide des utilitaires ping et ipconfig. 1. Sur la ligne de commande, tapez ipconfig /all pour afficher les informations détaillées sur votre configuration IP windows et les adresses qui ont été définies pour votre carte réseau. Vérifiez que l'adresse IP et le masque de sous-réseau sont corrects. 2. Tapez ping <votre_adresse_IP> pour confirmer l'installation et la configuration du logiciel. Par défaut, vous devez recevoir quatre paquets d'écho. 3. Tapez ping <passerelle_par_défaut> Il s'agit des premières données sortantes qui passent sur le réseau. La passerelle doit être sur votre sous-réseau. Si vous ne parvenez pas à sonder (faire un ping vers) votre passerelle, vérifiez qu'elle est active et que la connexion de votre réseau est correcte. 4. Si vous avez suivi toutes les étapes précédentes sans problème, vous pouvez maintenant tester la résolution de nom. Saisissez le nom du système dans la commande ping pour tester le fichier hosts et/ou le DNS. Si le nom de votre machine est par exemple kesukozi et le nom de domaine campo.com, vous devez taper : ping kesukozi.campo.com B-8 Annexe B Annexe B Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows Si cela ne fonctionne pas : • Sous Windows NT : Dans le Panneau de configuration, cliquez sur Réseau, Protocoles, TCP/IP, Propriétés puis DNS pour vérifier que le nom de domaine est correct. Contrôlez également le fichier hosts et le DNS. • Sous Windows 2000/XP/Server 2003 : Reportez-vous à la section “Installation et configuration du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows 2000/XP/ Server 2003”, page B-6, pour savoir comment accéder à la fenêtre Propriétés de Protocole Internet (TCP/IP). Vérifiez dans cette fenêtre que le nom de domaine est correct. Contrôlez également le fichier hosts et le DNS. Assurez-vous que la résolution de nom pour le Gestionnaire de cellule et les clients fonctionne dans les deux sens : • Sur le Gestionnaire de cellule, vous devez être en mesure de sonder (faire un ping vers) chaque client. • Sur les clients, vous devez être en mesure de sonder (faire un ping vers) le Gestionnaire de cellule et chaque client doté d'un Agent de supports. IMPORTANT Les noms de l'ordinateur et de l'hôte doivent être identiques. Dans le cas contraire, Data Protector émet un avertissement. Pour vérifier le nom d'hôte, allez dans le Panneau de configuration, Réseau, Protocoles, Protocole TCP/IP, Propriétés, DNS (Windows NT) ; ou reportez-vous à la section “Installation et configuration du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows 2000/XP/ Server 2003”, page B-6 pour savoir comment accéder à la fenêtre Propriétés de Protocole Internet (TCP/IP) (Windows 2000/XP/ Server 2003). Lors de la connexion à un Gestionnaire de cellule, seuls les noms d'hôte résolus correctement, avec le nom de domaine entièrement défini, sont stockés dans le registre. Ils peuvent ensuite apparaître dans la liste des Gestionnaires de cellule disponibles pour la connexion. Annexe B B-9 Annexe B Définition du protocole TCP/IP sur les systèmes Windows MS Proxy Si MS Proxy est installé, le port 5555 est occupé et les services Data Protector ne fonctionnent pas. Pour résoudre le problème, procédez comme suit : 1. Ajoutez le fichier wspcfg.ini au répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin. 2. Ajoutez au fichier les lignes suivantes : [OmniInet] Disable=1 B-10 Annexe B Annexe B Modification du nom du Gestionnaire de cellule Modification du nom du Gestionnaire de cellule Lorsque Data Protector est installé, il utilise le nom d'hôte en vigueur. Si vous changez le nom d'hôte de votre Gestionnaire de cellule, vous devez mettre à jour les fichiers Data Protector manuellement. IMPORTANT Il est nécessaire de mettre à jour les informations du client relatives au nom du Gestionnaire de cellule. Avant de modifier le nom d'hôte de votre Gestionnaire de cellule, exportez les clients à partir de la cellule. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Exportation de clients d'une cellule”, page 175. Une fois que vous avez modifié le nom d'hôte, réimportez les clients dans la cellule. Pour connaître la procédure à suivre, reportez-vous à la section “Importation de clients dans une cellule”, page 169. REMARQUE Tous les périphériques et les spécifications de sauvegarde configurés avec l'ancien nom doivent être modifiés en fonction du nouveau nom. Sous UNIX Avec un Gestionnaire de cellule UNIX, procédez comme suit : 1. Modifiez les entrées de nom d'hôte dans les fichiers suivants : /etc/opt/omni/cell/cell_server /etc/opt/omni/cell/cell_info /etc/opt/omni/users/UserList 2. Vérifiez que la résolution de nom d'hôte est cohérente dans toute la cellule Data Protector. 3. Changez le nom du Gestionnaire de cellule dans la base de données IDB en exécutant la commande suivante : /opt/omni/sbin/omnidbutil -change_cell_name <ancien_hôte> Annexe B B-11 Annexe B Modification du nom du Gestionnaire de cellule Sous Windows Avec un Gestionnaire de cellule Windows, procédez comme suit : 1. Modifiez les entrées de nom d'hôte dans les fichiers suivants : <répertoire_Data_Protector>\config\cell\cell_server <répertoire_Data_Protector>\config\cell\cell_info <répertoire_Data_Protector>\config\users\UserList 2. Changez le nom du Gestionnaire de cellule dans la clé de registre suivante : \\HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Hewlett-Packard\ OpenView\OmniBack II\Site B-12 Annexe B Annexe B Modification du numéro de port par défaut Modification du numéro de port par défaut Data Protector utilise le démon inetd pour démarrer d'autres processus. Le numéro de port utilisé par Data Protector doit être identique sur tous les systèmes présents dans la cellule. Par défaut, Data Protector utilise le numéro de port 5555. Vous devez donc afficher le fichier /etc/services pour les systèmes UNIX ou exécuter la commande netstat -a pour les systèmes Windows, pour vérifier que ce numéro de port n'est pas utilisé par un autre programme. Si le numéro de port 5555 est déjà utilisé par un autre programme, vous devez modifier cette valeur et la remplacer par un numéro de port encore inutilisé. UNIX Pour modifier le numéro de port sur un système UNIX, procédez comme suit : 1. Ouvrez le fichier /etc/services. Par défaut, ce fichier doit contenir l'entrée suivante : omni 5555/tcp # DATA-PROTECTOR Remplacer l'entrée 5555 par un numéro de port inutilisé. 2. Redémarrez le service inet en tuant le processus concerné à l'aide de la commande kill -HUP <pid>. Windows Pour modifier le numéro de port sur un système Windows, procédez comme suit : 1. Dans la ligne de commande, exécutez Regedit.exe pour ouvrir l'Éditeur du registre. 2. Développez le dossier HKEY_LOCAL_MACHINE, puis cliquez sur Software, Hewlett-Packard, OpenView, OmniBack II, Common. 3. Cliquez deux fois sur InetPort pour ouvrir la fenêtre Edition de la valeur DWORD. Dans le champ Données de la valeur, saisissez un numéro de port inutilisé. Procédez de même dans le sous-dossier Parameters du dossier Common. Annexe B B-13 Annexe B Modification du numéro de port par défaut 4. Redémarrez le service inet. Dans le Panneau de configuration de Windows, allez dans Services (Windows NT) ou Outils d'administration, Services (autres versions de Windows) et sélectionnez le service Data Protector Inet, et redémarrez le service (cliquez sur Stop puis Start). B-14 Annexe B Annexe B Préparation d'un serveur NIS Préparation d'un serveur NIS Cette procédure permet à votre serveur NIS de reconnaître votre Gestionnaire de cellule Data Protector. Pour ajouter les informations sur Data Protector au serveur NIS, procédez comme suit : 1. Connectez-vous comme utilisateur root sur le serveur NIS. 2. Si vous gérez le fichier /etc/services via NIS, ajoutez la ligne suivante au fichier /etc/services : omni 5555/tcp # Data Protector for Data Protector inet server Remplacez 5555 par un autre numéro si ce port n'est pas disponible. Reportez-vous à la section “Modification du numéro de port par défaut”, page B-13. Si vous gérez le fichier /etc/inetd.conf via NIS, ajoutez la ligne suivante au fichier /etc/inetd.conf : #Data Protector omni stream tcp nowait root /opt/omni/lbin/inet -log /var/ opt/omni/log/inet.log 3. Exécutez la commande suivante pour que le serveur NIS lise le fichier et mette à jour la configuration. cd /var/yp; make REMARQUE Dans l'environnement NIS, le fichier nsswitch.conf définit l'ordre dans lequel les différents fichiers de configuration seront utilisés. Par exemple, vous pouvez déterminer si le fichier /etc/inetd.conf sera utilisé sur la machine locale ou à partir du serveur NIS. Vous pouvez également ajouter une phrase au fichier indiquant que le fichier nsswitch.conf contrôle l'emplacement où les noms sont conservés. Pour plus de détails, reportez-vous aux pages correspondantes du manuel. Si vous avez déjà installé Data Protector, vous devez préparer le serveur NIS, puis redémarrer le service inet en tuant le processus concerné ; pour cela, utilisez la commande kill -HUP <pid> sur chaque client constituant à la fois un client NIS et un client Data Protector. Annexe B B-15 Annexe B Préparation d'un serveur NIS Dépannage Si le service Data Protector Inet ne démarre pas après l'installation de Data Protector dans votre environnement NIS, vérifiez le fichier /etc/nsswitch.conf. Si vous trouvez la ligne suivante : services: nis [NOTFOUND=RETURN] files remplacez-la par : services: nis [NOTFOUND=CONTINUE] files B-16 Annexe B Annexe B Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows Data Protector prend en charge les pilotes de bandes natifs pour les lecteurs à bandes compatibles rattachés à un système Windows. Les pilotes natifs Windows 2000/XP/Server 2003 chargés pour les périphériques changeurs de support (robots) ne sont pas pris en charge par Data Protector. Dans les exemples ci-dessous, un lecteur de bandes HP 4 mm DDS est relié au système Windows. Vous pouvez utiliser ou désactiver les pilotes de bandes natifs pour le lecteur de bandes de la bibliothèque sur les systèmes Windows NT. Par ailleurs, vous devez désactiver le pilote natif chargé pour les périphériques changeurs de support si le périphérique à bandes HP 4 mm DDS est connecté à un système Windows 2000/XP/ Server 2003 et configuré pour être utilisé avec Data Protector. Vous trouverez dans la section ci-dessous la description des procédures correspondantes. Pilotes de bandes Pour charger le pilote de bandes natif pour le lecteur à bandes de la bibliothèque sous Windows NT, procédez comme suit : 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur Périphériques à bandes. 2. Dans la fenêtre Périphériques à bandes, sélectionnez le périphérique pour lequel vous souhaitez charger le pilote de bandes natif, puis cliquez sur l'onglet Pilotes. 3. Cliquez sur Ajouter pour ouvrir la fenêtre Installer le pilote, sélectionnez le fichier du pilote (4mmDAT.sys) pour le lecteur de bandes, puis cliquez sur OK. 4. Redémarrez le système pour appliquer les modifications. Pour décharger le pilote de bandes natif pour le lecteur de bandes de la bibliothèque sous Windows NT, procédez comme suit : 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur Périphériques à bandes. Annexe B B-17 Annexe B Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows 2. Dans la fenêtre Périphériques à bandes, sélectionnez le périphérique pour lequel vous souhaitez décharger le pilote de bandes natif, puis cliquez sur l'onglet Pilotes. 3. Sélectionnez le pilote (4mmDAT.sys), cliquez sur Supprimer, puis sur OK. 4. Redémarrez le système pour appliquer les modifications. Sous Windows2000/XP/Server2003, un pilote est généralement fourni avec Windows, si le périphérique figure sur la liste de compatibilité matérielle (HCL). Cette liste regroupe les périphériques pris en charge par Windows 2000/XP/Server 2003. Vous pouvez la trouver sur Internet, à l'adresse suivante : http://www.microsoft.com/hcl/. Les pilotes de périphérique sont chargés automatiquement pour tous les périphériques activés une fois que l'ordinateur a été démarré. Il est inutile de charger séparément le pilote de bandes natif, mais vous pouvez le mettre à jour. Pour mettre à jour ou remplacer le pilote de bandes natif sur un système Windows 2000/XP/Server 2003, procédez comme suit : 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur Outils d'administration. 2. Dans la fenêtre Outils d'administration, cliquez deux fois sur Gestion de l'ordinateur. Cliquez sur Gestionnaire de périphériques. 3. Développez Lecteurs de bande. Pour savoir quel pilote est actuellement chargé pour le périphérique, cliquez avec le bouton droit de la souris sur le lecteur de bandes, puis sélectionnez Propriétés. 4. Cliquez sur l'onglet Pilote, puis surMettre à jour le pilote Reportez-vous à la figure B-5. Suivez ensuite les instructions de l'assistant. Vous pouvez indiquer si vous souhaitez mettre à jour le pilote de bandes natif actuellement installé ou le remplacer par un autre. 5. Redémarrez le système pour appliquer les modifications. B-18 Annexe B Annexe B Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows Figure B-5 Propriétés du pilote IMPORTANT Si vous avez déjà configuré un périphérique pour Data Protector sans utiliser le pilote de bandes natif, vous devez renommer les fichiers de périphérique pour tous les périphériques de sauvegarde Data Protector configurés qui font référence au lecteur de bandes en question (par exemple, remplacez scsi1:0:4:0 par tape3:0:4:0). pour plus de détails, reportez-vous à la section “Création de fichiers de périphérique (adresses SCSI) sous Windows”, page B-21. Pilotes de robots Sous Windows 2000/XP/Server 2003, les pilotes de robots sont automatiquement chargés pour les bibliothèques de bandes activées. Pour pouvoir utiliser le robot de bibliothèque avec Data Protector, vous devez désactiver le pilote correspondant. L'exemple ci-dessous présente une bibliothèque de bandes HP 1557A utilisant des bandes DDS 4 mm. Pour désactiver le pilote de robots (ddsmc.sys) chargé automatiquement sur un système Windows 2000/ XP/Server 2003, procédez comme suit : Annexe B B-19 Annexe B Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur Outils d'administration. 2. Dans la fenêtre Outils d'administration, cliquez deux fois sur Gestion de l'ordinateur. Cliquez sur Gestionnaire de périphériques. 3. Dans la zone de résultats de la fenêtre Gestionnaire de périphériques, développez Changeurs de support. 4. Pour savoir quel pilote est actuellement chargé, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Changeur de support DDS 4mm, puis sur Propriétés. Cliquez sur l'onglet Pilote, puis sur Détails du pilote. La fenêtre suivante s'affiche : Figure B-6 Propriétés du changeur de média Pour désactiver le pilote de robots natif, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Changeur de support DDS 4mm, puis sélectionnez Désactiver. B-20 Annexe B Annexe B Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows Figure B-7 Désactivation des pilotes de robots 5. Redémarrez le système pour appliquer les modifications. Vous pouvez alors configurer le robot avec Data Protector. Création de fichiers de périphérique (adresses SCSI) sous Windows La syntaxe à utiliser pour le fichier du périphérique à bandes est différente si le pilote de bandes natif a été chargé (tapeN:B:T:L) ou s'il a été déchargé (scsiP:B:T:L) pour un lecteur de bandes. Windows NT sans Si vous n'envisagez pas d'utiliser le pilote de bandes natif pour les le pilote de bandes lecteurs de bande connectés au système, vous devez connaître le port natif SCSI (P), le numéro de bus (B), les ID SCSI cibles (T) et les LUN, Numéros d'unité logique (L), correspondants. Consultez les propriétés des lecteurs de bandes connectés pour récupérer ces informations. Pour ce faire, procédez comme suit : 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur Adaptateurs SCSI. Annexe B B-21 Annexe B Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows 2. Cliquez deux fois sur le nom d'un périphérique, puis cliquez sur Paramètres pour ouvrir la page de propriétés du périphérique. Reportez-vous à la figure B-8, page B-22. Figure B-8 Propriétés du périphérique Pour le lecteur de bande dont les propriétés sont présentées à la figure B-8, le nom de fichier du périphérique est scsi1:0:4:0. Windows NT avec Si vous envisagez d'utiliser le pilote de bandes natif, vous avez besoin du le pilote de bandes numéro d'instance du lecteur (N) au lieu du port SCSI (P). natif Reportez-vous à la figure B-9, page B-23, où la Table des périphériques vous donne le numéro N. A partir de la version A.03.50 d'OmniBack II, il est possible de créer le fichier du lecteur de bandes avec le numéro d'instance du lecteur (N) seulement, par exemple tape0 si N est égal à 0. Pour trouver le numéro d'instance du lecteur (N), procédez comme suit : 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez sur Périphériques à bandes. 2. Sélectionnez le pilote, puis cliquez sur Propriétés pour ouvrir la page de propriétés du lecteur. Reportez-vous à la figure B-9, page B-23. B-22 Annexe B Annexe B Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows Figure B-9 Propriétés du lecteur Pour le lecteur de bandes dont les propriétés sont présentées à la figure B-9, le nom de fichier du périphérique est tape0. Windows 2000/XP/ Pour créer un fichier de périphérique pour un lecteur de bandes connecté à un système Windows 2000/XP/Server 2003 utilisant le pilote de bandes Server 2003 avec le pilote de bandes natif, procédez comme suit : natif 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur Outils d'administration. 2. Dans la fenêtre Outils d'administration, cliquez deux fois sur Gestion de l'ordinateur. Développez Médias amovibles, puis Emplacements physiques. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le lecteur de bandes, puis sélectionnez Propriétés. 3. Si le pilote de bandes natif est chargé, le nom de fichier du périphérique s'affiche dans la page de propriétés Général. Sinon, vous pouvez trouver les informations utiles dans la page de propriétés Informations sur le périphérique. Reportez-vous à la figure B-10, page B-24. Annexe B B-23 Annexe B Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows Figure B-10 Propriétés du lecteur de bande Le nom de fichier pour le lecteur de bandes présente dans la figure B-10 est créé comme suit : Pilote de bandes natif utilisé Tape0 ou Tape0:0:5:0 Pilote de bandes natif NON utilisé scsii1:0:5:0 Périphériques Si vous connectez un périphérique magnéto-optique à un système magnéto-optiques Windows, une lettre de lecteur lui est attribuée après le réamorçage du système. Cette lettre est ensuite utilisée lorsque vous créez le fichier du périphérique. Par exemple, E: est le fichier de périphérique créé pour un lecteur magnéto-optique auquel la lettre de lecteur E a été attribuée. B-24 Annexe B Annexe B Vérification de la configuration de kernel sous HP-UX Vérification de la configuration de kernel sous HP-UX Vous trouverez dans l'exemple ci-dessous la procédure permettant de vérifier ou construire le kernel sur un système HP-UX 11.00, au cas où vous devriez ajouter un pilote de périphérique au kernel. 1. Dans la ligne de commande, tapez sam. 2. Dans la fenêtre System Administration Manager, cliquez deux fois sur Configuration de kernel, puis cliquez sur Pilotes. 3. Dans la fenêtre Configuration de kernel, vérifiez les éléments suivants : ✓ Les pilotes des périphériques que vous allez utiliser doivent apparaître dans la liste des pilotes installés Reportez-vous à la figure B-11. Si le pilote que vous recherchez n'est pas mentionné, vous devez l'installer à l'aide de l'utilitaire /usr/bin/swinstall. Par exemple : • Un pilote de périphérique à bandes (nommé stape ou tape2) est requis pour les périphériques à bandes et doit être répertorié si vous souhaitez connecter ce type de périphérique au système. • Un pilote de passage SCSI nommé sctl, spt ou un pilote de robot de changeur automatique nommé schgr (selon le matériel de l'interface du bus SCSI), est requis pour le robot de changeur automatique pour les périphériques de bibliothèque de bandes. Pour plus d'informations, reportez-vous à la section “Configuration de robot SCSI sous HP-UX”, page B-27. Les lecteurs présents dans les bibliothèques de bandes sont accessibles par un pilote de bande ou de disque ordinaire, comme stape ; par conséquent, un pilote de passage SCSI n'est pas nécessaire. La figure B-11 indique les pilotes installés sur un système HP-UX 11.00. Le pilote de passage SCSI spt est déjà intégré au kernel de ce système. En revanche, vous devez ajouter le pilote stape au kernel si vous souhaitez connecter une bibliothèque de bandes au système. Annexe B B-25 Annexe B Vérification de la configuration de kernel sous HP-UX Figure B-11 Fenêtre de configuration de kernel ✓ L'état d'un pilote affiché dans la colonne Etat actuel doit être défini à Dedans, ce qui signifie que le pilote est déjà intégré au kernel actuel et qu'il est disponible. Si la valeur de l'état est Dehors, procédez comme suit : a. Sélectionnez le pilote dans la liste, puis cliquez sur Actions->Ajouter pilote à kernel. L'état est alors réglé sur Dedans dans la colonne Etat en attente. b. Cliquez sur Actions -> Créer kernel pour appliquer les modifications, c'est-à-dire créer un kernel en attente dans le kernel en cours. Vous devez ensuite réamorcer le système. B-26 Annexe B Annexe B Configuration de robot SCSI sous HP-UX Configuration de robot SCSI sous HP-UX Sur les systèmes HP-UX, un pilote de passage SCSI est utilisé pour gérer le contrôleur SCSI et le périphérique de contrôle (appelé également robot ou sélectionneur) des périphériques de bibliothèque de bandes (tels que HP StorageWorks 12000e). Dans une bibliothèque, le périphérique de contrôle est utilisé pour charger/décharger les supports vers/depuis les lecteurs et d'importer/exporter les supports vers/depuis un périphérique de ce type. Figure B-12 Périphériques SCSI contrôlés Annexe B B-27 Annexe B Configuration de robot SCSI sous HP-UX Figure B-13 Gestion des périphériques Le type de pilote de robot SCSI utilisé dépend du matériel. Les systèmes équipés du bus GSC/HSC ou PCI sont dotés du pilote de changeur automatique SCSI nommé schgr, tandis que les systèmes équipés du bus EISA possèdent le pilote de passage SCSI nommé sctl, lequel est déjà intégré dans le kernel. En revanche, le pilote de passage SCSI utilisé sur les serveurs HP avec un bus NIO est nomméspt. Il est installé sur le système sans être intégré par défaut au kernel. Si le pilote de robot SCSI n'a pas encore été relié à votre kernel actuel, vous devez l'ajouter manuellement et l'attribuer au robot des bibliothèques de bandes connectées. Pour ajouter manuellement le pilote de robot SCSI au kernel et en recréer un autre manuellement, suivez la procédure ci-dessous. CONSEIL Sur la plate-forme HP-UX, vous pouvez également créer le kernel à l'aide de l'utilitaire HP System Administration Manager (SAM). Reportez-vous à la section “Installation de clients HP-UX”, page 66 du chapitre 2. B-28 Annexe B Annexe B Configuration de robot SCSI sous HP-UX Utilisez la commande /opt/omni/sbin/ioscan -f pour savoir si le pilote de robot SCSI est attribué à la bibliothèque que vous souhaitez configurer. Figure B-14 Etat du pilote de passage SCSI (sctl) La figure B-14 vous indique le pilote de passage SCSI sctl affecté au périphérique de contrôle du périphérique à bandes Exabyte. Le chemin de matériel correspondant (H/W Path) est 8/12.2.0. (SCSI=2, LUN=0) Un lecteur de bandes est connecté au même bus SCSI, mais le pilote qui le contrôle est stape. Le chemin de matériel correspondant (H/W Path) est 8/12.1.0. (SCSI=0, LUN=0) IMPORTANT L'adresse SCSI 7 est toujours utilisée par les contrôleurs SCSI, bien que la ligne correspondante n'apparaissent pas forcément dans les résultats de la commande ioscan -f. Dans cet exemple, le contrôleur est géré par sctl. Annexe B B-29 Annexe B Configuration de robot SCSI sous HP-UX Figure B-15 Etat du pilote de passage SCSI - spt La figure B-15 donne un exemple de périphérique à bandes connecté, avec un robot contrôlé par le pilote de passage SCSI spt. Le périphérique en question est un périphérique de bibliothèque de bandes HP StorageWorks 12000e qui utilise l'adresse SCSI 4 et est connecté au bus SCSI avec le chemin matériel 52. Le chemin matériel correspondant est 52.4.1. Le robot est correctement affecté au pilote de passage SCSI spt. Si le pilote sctl, spt ou schgr n'est pas affecté au robot, vous devez ajouter le chemin matériel du robot à l'instruction du pilote dans le fichier system, puis recréer le kernel. Pour cela, suivez la procédure ci-dessous. Pour ajouter manuellement un pilote de robot SCSI au kernel, l'affecter au robot, puis recréer manuellement un nouveau kernel, procédez comme suit : 1. Connectez-vous comme utilisateur root, puis basculez vers le répertoire build : cd /stand/build 2. Créez un fichier système à partir du kernel existant : /usr/lbin/sysadm/system_prep -s system B-30 Annexe B Annexe B Configuration de robot SCSI sous HP-UX 3. Vérifiez quel pilote de robot SCSI est déjà intégré au kernel en cours. A partir du répertoire /stand, tapez la commande suivante : grep <pilote de robot SCSI> system où <pilote de robot SCSI> peut être spt, sctl ou schgr. Le système affiche alors la ligne correspondante si le pilote est déjà intégré au kernel en cours. 4. Utilisez un éditeur pour ajouter une instruction de pilote : driver <chemin matériel> spt au fichier /stand/build/system, où <chemin matériel> correspond au chemin matériel complet du périphérique. Pour la bibliothèque de bandes HP StorageWorks 12000e de l'exemple précédent, vous auriez saisi : driver 52.4.1 spt Si plusieurs bibliothèques sont connectées au même système, vous devez ajouter une ligne de pilote pour chaque robot de bibliothèque, avec le chemin matériel approprié. Lorsque vous configurez le pilote schgr, ajoutez la ligne suivante à l'instruction de pilote : schgr 5. Tapez la commande mk_kernel -s./system pour construire un nouveau kernel. 6. Enregistrez l'ancien fichier system sous un autre nom et renommez le nouveau fichier system avec le nom initial pour qu'il deviennent le fichier en vigueur : mv /stand/system /stand/system.prev mv /stand/build/system /stand/system 7. Enregistrez l'ancien kernel sous un autre nom et renommez le nouveau kernel avec le nom initial pour qu'il deviennent le kernel en vigueur : mv /stand/vmunix /stand/vmunix.prev mv /stand/vmunix_test /stand/vmunix Annexe B B-31 Annexe B Configuration de robot SCSI sous HP-UX 8. Redémarrez le système à partir du nouveau kernel en tapant la commande suivante : shutdown -r 0 9. Après la réinitialisation du système, vérifiez vos modifications à l'aide de la commande /usr/sbin/ioscan -f. Création de fichiers de périphérique sous HP-UX Conditions préalables Avant de créer un fichier de périphérique, le périphérique de sauvegarde doit être connecté au système. Utilisez la commande /usr/sbin/ioscan -f pour vérifier que le périphérique est correctement connecté. Utilisez la commande /usr/sbin/infs -e pour créer automatiquement les fichiers de périphérique pour certains périphériques de sauvegarde. Si les fichiers de périphérique correspondant à un périphérique de sauvegarde particulier n'ont pas été créés lors de l'initialisation du système (processus d'amorçage) ou après exécution de la commande infs -e, vous devez les créer manuellement. Cela concerne notamment les fichiers de périphérique requis pour la gestion du périphérique de contrôle de bibliothèque (robot de bibliothèque). Prenons l'exemple de la création d'un fichier de périphérique pour le robot du périphérique de bibliothèque HP StorageWorks 12000e connecté à un système HP-UX 11.00. Le fichier de périphérique correspondant au lecteur de bandes a déjà été créé automatiquement après la réinitialisation du système, tandis que le fichier de périphérique correspondant au périphérique de contrôle doit être créé manuellement. La figure B-15 vous présente les résultats de la commande ioscan -f sur le système HP-UX sélectionné. B-32 Annexe B Annexe B Configuration de robot SCSI sous HP-UX Figure B-16 Liste des périphériques connectés L'interface du bus SCSI est contrôlée par le pilote système scsi1. Il s'agit d'une interface SCSI NIO. Pour accéder au robot de bibliothèque sur le bus SCSI NIO, il faut utiliser le pilote de passage SCSI spt qui est déjà installé et affecté au robot du périphérique à bandes HP StorageWorks 12000e, lequel utilise le chemin matériel 52.4.1. REMARQUE Si vous n'utilisez pas une interface de bus basée sur SCSI NIO, le pilote spt n'est pas nécessaire, mais le pilote sctl est utilisé à sa place. Pour créer un fichier de périphérique, vous devez connaître le numéro majeur du pilote de passage SCSI et le numéro mineur, qui ne dépend pas du pilote de passage SCSI que vous utilisez. Pour obtenir le numéro majeur correspondant au spt, exécutez la commande suivante : lsdev -d spt Dans notre exemple (voir figure B-16), la commande renvoie le numéro majeur 75. Pour obtenir le numéro majeur correspondant au sctl, exécutez la commande suivante : lsdev -d sctl Annexe B B-33 Annexe B Configuration de robot SCSI sous HP-UX Dans notre exemple, la commande renvoie le numéro majeur 203. Le numéro mineur, indépendamment du pilote de passage SCSI utilisé, se présente sous la forme suivante : 0xIITL00 II -> Numéro d'instance de l'interface du bus SCSI (PAS celui du périphérique) consigné dans les résultats de la commande ioscan -f et se trouvant dans la deuxième colonne libellée I. Dans cet exemple, le numéro d'instance est 0 ; il faut donc entrer deux chiffres hexadécimaux : 00. T -> L'adresse SCSI du robot de bibliothèque. Dans cet exemple, l'adresse SCSI est 4 ; il faut donc entrer 4. L -> Numéro LUN du robot de bibliothèque. Dans cet exemple, le numéro LUN est 1 ; il faut donc entrer 1. 00 -> Deux zéros hexadécimaux. Création du fichier Pour créer le fichier de périphérique, utilisez la commande suivante : de périphérique mknod /dev/spt/<nom_fichier_périphérique> c Major # Minor # Les fichiers de périphérique spt se trouvent généralement dans le répertoire /dev/spt ou /dev/scsi. Dans cet exemple, nous appelons le fichier du périphérique de contrôle /dev/spt/SS12000e. Par conséquent, la commande complète à utiliser pour la création d'un fichier de périphérique nommé SS12000e dans le répertoire /dev/spt est la suivante : mknod /dev/spt/SS12000e c 75 0x004100 Pour créer un fichier de périphérique correspondant à sctl, nommé SS12000e et situé dans le répertoire /dev/scsi, la commande complète à utiliser est la suivante : mknod /dev/scsi/SS12000e c 203 0x004100 B-34 Annexe B Annexe B Configuration des paramètres du contrôleur SCSI Configuration des paramètres du contrôleur SCSI Data Protector permet de modifier la taille de bloc du périphérique. Pour ce faire, vous devez procéder à une configuration supplémentaire de certains contrôleurs SCSI : pour permettre l'écriture de tailles de bloc supérieures à 64 Ko, la configuration des paramètres de certains contrôleurs SCSI doit être modifiée. Pour définir les paramètres de contrôleur SCSI sur un système Windows, vous devez modifier la valeur de registre des contrôleurs SCSI Adaptec et de certains contrôleurs dotés de chipsets Adaptec: 1. Définissez la valeur de registre suivante : \\HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\ Services\aic78xx\Parameters\Device0\MaximumSGList 2. Saisissez la valeur DWORD contenant le nombre de blocs de 4 Ko augmenté de un. MaximumSGList = (OBBlockSize en Ko / 4) + 1 Par exemple, pour permettre l'écriture de blocs dont la taille peut atteindre 260 Ko, MaximumSGList doit être au moins égal à (260 / 4) + 1 = 66. 3. Redémarrez le système. REMARQUE La valeur de registre définit la limite supérieure de la taille de bloc. Pour configurer la taille de bloc en cours pour un périphérique, vous devez utiliser l'interface utilisateur graphique Data Protector. Annexe B B-35 Annexe B Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX Le contrôle et l'accès à un périphérique de sauvegarde connecté à un système HP-UX se font via un fichier de périphérique qui doit se trouver sur chaque périphérique physique. Avant de créer le fichier de périphérique, vous devez rechercher quelles adresses SCSI (ports) restent inutilisées et disponibles pour un nouveau périphérique. Sous HP-UX, utilisez la commande système /usr/sbin/ioscan -f pour afficher la liste des adresses SCSI déjà occupées. Les adresses qui ne figurent pas dans la liste obtenue sont par conséquent inutilisées. La figure B-17 présente les résultats de la commande /usr/sbin/ ioscan -f sur un système HP-UX 11.00. Figure B-17 Résultats de ioscan -f sur un système HP-UX : Seules la troisième (chemin H/W) et la cinquième (état S/W) colonnes sont utiles pour déterminer les adresses SCSI disponibles. Un format de (chemin H/W) démembré se présenterait sous la forme suivante : <chemin_H/W_bus_SCSI>.<adresse_SCSI>.<numéro_LUN> B-36 Annexe B Annexe B Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX Dans ce cas particulier, il n'y a qu'un bus SCSI, qui utilise le chemin H/W 52. Pour ce bus, vous pouvez utiliser les adresses SCSI 0 et 3, puisqu'elles ne figurent pas dans la liste. La figure B-17 vous indique quelles sont les adresses du bus SCSI sélectionné qui sont déjà occupées : • L'adresse SCSI 1 est occupée par un disque SCSI. • L'adresse SCSI 2 est occupée par un CD-ROM. • L'adresse SCSI 4, LUN 0, est occupée par un lecteur de bandes. • L'adresse SCSI 4, LUN 1, est occupée par la bibliothèque de bandes. • L'adresse SCSI 5 est occupée par un disque SCSI. • L'adresse SCSI 6 est occupée par un disque SCSI. • L'adresse SCSI 7 est occupée par un contrôleur SCSI. REMARQUE Bien que l'adresse SCSI numéro 7 ne figure pas dans la liste, elle est occupée par défaut par le contrôleur SCSI. Pour tous les périphériques, la valeur Etat S/W est définie à UTILISE (CLAIMED) et la valeur Type H/W est définie à PERIPHERIQUE (H/W DEVICE) ce qui signifie que les périphériques sont actuellement connectés. Si une valeur INUTILISE (UNCLAIMED) figurait dans la colonne Etat S/W ou AUCUN PERIPHERIQUE (NO H/W) dans la colonne Type H/W, cela signifierait que le système ne peut pas accéder au périphérique. L'adresse SCSI 4 est demandée par la bibliothèque de bandes, dotée du lecteur de bandes avec le LUN 0 et du robot avec le LUN 1. Le lecteur est contrôlé par le pilote tape2 et le robot par le pilote de passage SCSI spt. Dans la description, vous pouvez constater que le périphérique est une bibliothèque HP StorageWorks 12000e ; celle-ci est facilement reconnaissable parmi les autres bibliothèques SCSI car elle utilise la même adresse SCSI pour le lecteur de bandes et le robot, mais avec des LUN différents. Tout le bus SCSI est contrôlé par le module d'interface scsi1. Annexe B B-37 Annexe B Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sous Solaris Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sous Solaris L'accès et le contrôle d'un périphérique de sauvegarde connecté à un système Solaris se fait via un fichier de périphérique. Ce fichier de périphérique est automatiquement créé par le système d'exploitation Solaris dans le répertoire /dev/rmt, au moment de la connexion du périphérique de sauvegarde et de la mise sous tension du système client et du périphérique de sauvegarde. Toutefois, avant de connecter le périphérique de sauvegarde, les adresses SCSI disponibles doivent être vérifiées et l'adresse du périphérique de sauvegarde doit être établie sur une adresse non encore allouée. Pour répertorier les adresses SCSI disponibles sur un système Solaris, procédez comme suit : 1. Arrêtez le système en appuyant sur Stop et A. 2. A l'invite ok, exécutez la commande probe-scsi-all : probe-scsi-all Le système peut vous demander de lancer la commande reset-all avant d'exécuter la commande probe-scsi-all. 3. Pour revenir au fonctionnement normal, tapez go à l'invite ok : go Après avoir répertorié les adresses disponibles et choisi celle que vous souhaitez utiliser pour votre périphérique de sauvegarde, vous devez mettre à jour les fichiers de configuration appropriés avant de connecter et de démarrer le périphérique. Reportez-vous à la section suivante pour obtenir des instructions sur la mise à jour des fichiers de configuration. B-38 Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Les commandes répertoriées dans ce chapitre ont été modifiées ou proposent des fonctionnalités étendues concernant de nouvelles options dans Data Protector A.05.10. Vérifiez et modifiez les scripts utilisant les anciennes commandes. Sur les synopsis d'utilisation, reportez-vous aux pages correspondantes du manuel. Selon la version d'origine de la mise à niveau de votre Gestionnaire de cellule, reportez-vous au tableau correspondant : • Pour la mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x, reportez-vous au tableau B-2, page 51. • Pour la mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.00, reportez-vous au tableau B-2, page 51. • Pour la mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.10, reportez-vous au tableau B-2, page 51. • Pour la mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00, reportez-vous au tableau B-2, page 51. Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option ob2install -db2 -lotus -snapa -evaa omniamo Annexe B Etat AJOUT DE NOUVEAUX COMPOSANTS LOGICIELS NOUVELLE COMMANDE B-39 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option Etat omnib -db2_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -disk_only NOUVELLE OPTION -expand_sparse NOUVELLE OPTION -log_file NOUVELLE OPTION -lotus_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -mbx_list NOUVELLE OPTION -msese_list NOUVELLE OPTION -NWuncompress NOUVELLE OPTION -ndmp NOUVELLE OPTION -ndmp_user NOUVELLE OPTION -ndmp_passwd NOUVELLE OPTION -ndmp_env NOUVELLE OPTION -var[iable] NOUVELLE OPTION -vss_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION B-40 Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option Etat omnicc -import_ndmp NOUVELLE SOUS-COMMANDE -type NOUVELLE OPTION -port NOUVELLE OPTION -user NOUVELLE OPTION -passwd NOUVELLE OPTION -cell OPTION DEPLACEE omnicellinfo omnicheck NOUVELLE COMMANDE omnicreatedl AJOUT DE MS EXCHANGE AVEC TEMPS D'INDISP. NUL -instant_recovery NOUVELLE OPTION POUR HP StorageWorks VIRTUAL ARRAY -snapshot NOUVELLES OPTIONS POUR HP StorageWorks ENTERPRISE VIRTUAL ARRAY -eva -snapshot_type -snapshot_policy -snapshot -sa -instant recovery NOUVELLES OPTIONS POUR HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 -snapshots <numéro> -leave_enabled_bs Annexe B B-41 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option RESULTAT MODIFIE omnidb B-42 Etat -db2 AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -filesearch NOUVELLE SOUS-COMMANDE -object NOUVELLE SOUS-COMMANDE -listdir NOUVELLE SOUS-COMMANDE -lotus AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -mbx NOUVELLE OPTION -vss AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option RESULTAT MODIFIE omnidbcheck Annexe B Etat -fix SUPPRIMEE -quick NOUVELLE SOUS-COMMANDE -hosts NOUVELLE OPTION -media NOUVELLE OPTION -mpos NOUVELLE OPTION -detail NOUVELLE OPTION -dumpmedia NOUVELLE OPTION -dumpmessages NOUVELLE OPTION -summary NOUVELLE OPTION -smbf NOUVELLE SOUS-COMMANDE -sibf NOUVELLE SOUS-COMMANDE -core NOUVELLE SOUS-COMMANDE -filenames NOUVELLE SOUS-COMMANDE -bf NOUVELLE SOUS-COMMANDE -dc NOUVELLE SOUS-COMMANDE B-43 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option Etat omnidbrestore NOUVELLE COMMANDE omnidbupgrade NOUVELLE COMMANDE B-44 Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option RESULTAT MODIFIE omnidbutil Annexe B Etat -list_dcdirs NOUVELLE SOUS-COMMANDE -add_dcdir NOUVELLE SOUS-COMMANDE -modify_dcdir NOUVELLE SOUS-COMMANDE -remove_dcdir NOUVELLE SOUS-COMMANDE -remap_dcdir NOUVELLE SOUS-COMMANDE -fixmpos NOUVELLE SOUS-COMMANDE -writedb NOUVELLE SOUS-COMMANDE -readdb NOUVELLE SOUS-COMMANDE -readascii OBSOLETE -writeascii OBSOLETE -purge SOUS-COMMANDE ET RESULTAT MODIFIES -info RESULTAT MODIFIE -upgrade_info NOUVELLE SOUS-COMMANDE B-45 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option Etat -show_db_files NOUVELLE SOUS-COMMANDE -free_pool_update NOUVELLE SOUS-COMMANDE -extendinfo RESULTAT MODIFIE -maxsize SOUS-COMMANDE MODIFIEE -change_objname OBSOLETE -extend OBSOLETE omnidbeva NOUVELLE COMMANDE omnidbsa NOUVELLE COMMANDE omnidbva NOUVELLE COMMANDE omnidbxp NOUVELLE COMMANDE omnidr NOUVELLE COMMANDE omnihealthcheck NOUVELLE COMMANDE omnimcopy -permanent|-until NOUVELLE OPTION omnimlist -cmlist NOUVELLE OPTION -cmformat NOUVELLE OPTION -header NOUVELLE OPTION B-46 Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option Etat omnimm -[no_]free_pool NOUVELLE OPTION -[no_]move_free_media NOUVELLE OPTION -pool SUPPRIMEE (uniquement pour la sous-commande -import_catalog) -disable_lockname NOUVELLE SOUS-COMMANDE -enable_lockname NOUVELLE SOUS-COMMANDE -disable_device NOUVELLE SOUS-COMMANDE -enable_device NOUVELLE SOUS-COMMANDE omniofflr Annexe B NOUVELLE COMMANDE B-47 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option AJOUT DE LOTUS NOTES omnir B-48 Etat -auto NOUVELLE OPTION -db2 AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -disable_all_newer_ snapshots NOUVELLE OPTION POUR HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 -last NOUVELLE OPTION -instance NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -logfile NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -logpath NOUVELLE OPTION -mbx NOUVELLE OPTION -mount NOUVELLE OPTION -msese NOUVELLE OPTION -ndmp_env NOUVELLE OPTION -ndmp_passwd NOUVELLE OPTION -ndmp_user NOUVELLE OPTION -newdbname NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -offline NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande omnirpt Annexe B Sous-commande /Option Etat -rollforward NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -server NOUVELLE OPTION -trustee NOUVELLE OPTION -tsname NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -var[iable] NOUVELLE OPTION -vss AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -header NOUVELLE OPTION db_purge_preview NOUVEAU RAPPORT db_system NOUVEAU RAPPORT -expiration SUPPRIMEE -[no_]library NOUVELLE OPTION media_list_extended NOUVEAU RAPPORT pool_list NOUVEAU RAPPORT -{no_]protection NOUVELLE OPTION used_media_extended NOUVEAU RAPPORT B-49 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option Etat NOUVELLE COMMANDE omnisetup.sh db2 AJOUT DE NOUVEAUX COMPOSANTS LOGICIELS evaa AJOUT D'UN NOUVEAU COMPOSANT LOGICIEL NOUVELLE COMMANDE omnisrdupdate -asr NOUVELLE OPTION -location NOUVELLE OPTION omnistat RESULTAT MODIFIE omnisv NOUVELLE COMMANDE omnisv.sh OBSOLETE omnitrig B-50 -run_checks NOUVELLE SOUS-COMMANDE Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-1 Tableau B-2 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.03.5x Commande Sous-commande /Option Etat uma -dftype NOUVELLE OPTION -[no_]scsiType NOUVELLE OPTION -ddt NOUVELLE OPTION -ndmpDA NOUVELLE OPTION res FONCTIONNALITE SUPPRIMEE rel FONCTIONNALITE SUPPRIMEE Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.00 Commande Sous-commande/Option ob2install -db2 -lotus -snapa Etat AJOUT DE NOUVEAUX COMPOSANTS LOGICIELS -evaa omniamo Annexe B NOUVELLE COMMANDE B-51 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-2 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.00 Commande Sous-commande/Option Etat omnib -db2_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -disk_only NOUVELLE OPTION -lotus_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -mbx_list NOUVELLE OPTION -vss_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION B-52 Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-2 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.00 Commande Sous-commande/Option Etat AJOUT DE MS EXCHANGE AVEC TEMPS D'INDISP. NUL omnicreatedl -instant_recovery NOUVELLE OPTION POUR HP StorageWorks VIRTUAL ARRAY -snapshot NOUVELLES OPTIONS POUR HP StorageWorks ENTERPRISE VIRTUAL ARRAY -eva -snapshot_type -snapshot_policy -snapshot -sa -instant recovery NOUVELLES OPTIONS POUR HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 -snapshots <numéro> -leave_enabled_bs omnicheck Annexe B NOUVELLE COMMANDE B-53 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-2 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.00 Commande Sous-commande/Option Etat omnidb -db2 AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -lotus AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -mbx NOUVELLE OPTION -vss AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION omnidbeva NOUVELLE COMMANDE omnidbsa NOUVELLE COMMANDE omnidbva NOUVELLE COMMANDE omnidbxp NOUVELLE COMMANDE omnidr NOUVELLE COMMANDE omnimcopy -permanent|-until NOUVELLE OPTION omnimlist -header NOUVELLE OPTION omniofflr B-54 NOUVELLE COMMANDE Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-2 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.00 Commande Sous-commande/Option AJOUT DE LOTUS NOTES omnir Annexe B Etat -db2 AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -disable_all_newer_ snapshots NOUVELLE OPTION POUR HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 -instance NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -logfile NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -mbx NOUVELLE OPTION -newdbname NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -offline NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -rollforward NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -trustee NOUVELLE OPTION -tsname NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB B-55 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-2 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.00 Commande Sous-commande/Option Etat omnirpt media_list_extended NOUVEAU RAPPORT NOUVELLE COMMANDE omnisetup.sh db2 evaa NOUVELLE COMMANDE omnisrdupdate uma Tableau B-3 AJOUT DE NOUVEAUX COMPOSANTS LOGICIELS -asr NOUVELLE OPTION -location NOUVELLE OPTION rel FONCTIONNALIT E SUPPRIMEE res FONCTIONNALIT E SUPPRIMEE Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.10 Commande Sous-commande/Option Etat ob2install -db2 AJOUT DE NOUVEAUX COMPOSANTS LOGICIELS -evaa omniamo B-56 NOUVELLE COMMANDE Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-3 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.10 Commande Sous-commande/Option Etat omnib -db2_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -disk_only NOUVELLE OPTION -mbx_list NOUVELLE OPTION -vss_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION NOUVELLE COMMANDE omnicheck omnicreatedl -instant_recovery NOUVELLE OPTION POUR HP StorageWorks VIRTUAL ARRAY -snapshot NOUVELLES OPTIONS POUR HP StorageWorks ENTERPRISE VIRTUAL ARRAY -eva -snapshot_type -snapshot_policy -snapshot -sa -instant recovery NOUVELLES OPTIONS POUR HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 -snapshots <numéro> -leave_enabled_bs Annexe B B-57 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-3 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.10 Commande Sous-commande/Option Etat omnidb -db2 AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -mbx NOUVELLE OPTION -vss AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION omnidbeva NOUVELLE COMMANDE omnidbsa NOUVELLE COMMANDE omnidbva B-58 -init NOUVELLE OPTION -delete NOUVELLE OPTION -ir NOUVELLE OPTION -session NOUVELLE OPTION -lun NOUVELLE OPTION -vapasswd NOUVELLE OPTION -sampasswd NOUVELLE OPTION -dbcheck NOUVELLE OPTION Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-3 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.10 Commande Sous-commande/Option Etat omnidbxp -cm AJOUT D'UNE COMMANDE DE GESTION DE PERIPHERIQUE omnidr -[no_]cleanup NOUVELLE OPTION -msclusdb NOUVELLE OPTION -drimini NOUVELLE OPTION -target NOUVELLE OPTION -report NOUVELLE OPTION omnimcopy -permanent|-until NOUVELLE OPTION omnimlist -header NOUVELLE OPTION Annexe B B-59 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-3 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.10 Commande Sous-commande/Option Etat omnir -db2 AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -disable_all_newer_ snapshots NOUVELLE OPTION POUR HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 -instance NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -logfile NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -mbx NOUVELLE OPTION -newdbname NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -offline NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -rollforward NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -trustee NOUVELLE OPTION -tsname NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB B-60 Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-3 Mise à niveau à partir de OmniBack II A.04.10 Commande omnirpt Sous-commande/Option Etat -vss AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION media_list_extended NOUVEAU RAPPORT NOUVELLE COMMANDE omnisetup.sh -db2 evaa AJOUT DE NOUVEAUX COMPOSANTS LOGICIELS omnisrdupdate uma Tableau B-4 -asr NOUVELLE OPTION -location NOUVELLE OPTION res FONCTIONNALITE SUPPRIMEE rel FONCTIONNALITE SUPPRIMEE Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Commande Sous-commande/Option Etat ob2install -db2 AJOUT DE NOUVEAUX COMPOSANTS LOGICIELS -evaa Annexe B B-61 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-4 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Commande Sous-commande/Option NOUVELLE COMMANDE omniamo omnib -db2_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -mbx_list NOUVELLE OPTION -vss_list AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION NOUVELLE COMMANDE omnicheck omnicreatedl Etat -snapshot -eva -snapshot_type NOUVELLES OPTIONS POUR HP StorageWorks ENTERPRISE VIRTUAL ARRAY -snapshot_policy -snapshot -sa -instant recovery NOUVELLES OPTIONS POUR HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 -snapshots <numéro> -leave_enabled_bs B-62 Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-4 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Commande Sous-commande/Option Etat omnidb -db2 AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -mbx NOUVELLE OPTION -vss AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION omnidbeva NOUVELLE COMMANDE omnidbsa NOUVELLE COMMANDE omnimcopy Annexe B -permanent|-until NOUVELLE OPTION B-63 Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-4 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Commande Sous-commande/Option Etat omnir -db2 AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION -disable_all_newer_ snapshots NOUVELLE OPTION POUR HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 -instance NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -logfile NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -mbx NOUVELLE OPTION -newdbname NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -offline NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -rollforward NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -tsname NOUVELLE OPTION POUR IBM DB2 UDB -vss AJOUT D'UNE NOUVELLE INTEGRATION B-64 Annexe B Annexe B Modifications de la ligne de commande après la mise à niveau vers Data Protector A.05.10 Tableau B-4 Mise à niveau à partir de Data Protector A.05.00 Commande Sous-commande/Option Etat omnirpt media_list_extended NOUVEAU RAPPORT omnisetup.sh db2 AJOUT DE NOUVEAUX COMPOSANTS LOGICIELS evaa omnisrdupdate uma Annexe B -asr NOUVELLE OPTION -location NOUVELLE OPTION -scsiType REMPLACÉE PAR L'OPTION -interface -interface REMPLACE L'OPTION –scsiType B-65 Annexe B Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris Mise à jour des fichiers de configuration Les fichiers de configuration suivants servent à la configuration du périphérique et du lecteur. Ils doivent être vérifiés, et modifiés le cas échéant, avant que les périphériques connectés ne puissent être utilisés : • st.conf • sst.conf st.conf : Tous les périphériques Ce fichier est requis sur tout client Solaris Data Protector auquel est connecté un périphérique à bandes. Il doit contenir des informations sur le périphérique et une ou plusieurs adresses SCSI pour chaque périphérique de sauvegarde connecté au client. Une seule entrée SCSI est requise pour un périphérique à lecteur unique, tandis qu'il en faut plusieurs pour un périphérique de bibliothèque multi-lecteurs. 1. Vérifiez quelles sont les adresses SCSI inutilisées sur le client, tel que le décrit la section précédente, et choisissez une adresse pour le périphérique à connecter. 2. Définissez les adresses SCSI choisies sur le périphérique de sauvegarde. 3. Eteignez le système client. 4. Connectez le périphérique de sauvegarde. 5. Remettez le périphérique sous tension, puis le système client. 6. Arrêtez le système en appuyant sur Stop et A. 7. A l'invite ok, tapez la commande probe-scsi-all : probe-scsi-all Cela permet de fournir des informations sur les périphériques SCSI connectés, notamment la chaîne correcte d'identification du périphérique de sauvegarde nouvellement connecté. B-66 Annexe B Annexe B Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris 8. Revenez en fonctionnement normal : go 9. Modifiez le fichier /kernel/drv/st.conf. Ce fichier est utilisé par le pilote (bande SCSI) st de Solaris. Il contient une liste des périphériques officiellement pris en charge par Solaris, ainsi qu'un ensemble de saisies de configuration pour des périphériques tiers. Si vous utilisez un périphérique non pris en charge, il devrait être possible de le connecter et de l'utiliser sans configuration supplémentaire. Sinon, vous pouvez ajouter les types d'entrée suivants dans le fichier st.conf : • Une entrée de liste de configuration de bande (plus une définition de variable de données de bandes). Des exemples d'entrées, accompagnés de commentaires, sont fournis dans le fichier. Si l'un d'eux vous convient, vous pouvez l'utiliser ; vous pouvez également les modifier pour les adapter à vos besoins. L'entrée doit venir avant la première entrée name= du fichier et le format requis est le suivant : tape-config-list= "<périphérique à bandes>", "<nom de référence du périphérique à bandes>", "<données de bandes>"; où : <périphérique à bandes> Chaîne d'identification du fournisseur et du produit pour le périphérique à bandes. Celui-ci doit être correctement spécifié, en conformité avec la documentation du constructeur du périphérique. <nom de référence du périphérique à bandes> Nom que vous choisissez, par lequel le système identifiera le périphérique à bandes. Ce nom ne modifie pas l'identification du produit mais, lorsque le système démarre, c'est le nom de référence qui s'affiche la liste des périphériques reconnus par le système. Annexe B B-67 Annexe B Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris <données de bandes> Variable qui fait référence à des éléments supplémentaires de configuration du périphérique à bandes. La définition de la variable doit elle aussi être indiquée correctement, conformément aux dispositions de la documentation du constructeur du périphérique. Par exemple : tape-config-list= “Quantum DLT4000”, “Quantum DLT4000”, “DLT-data”; DLT-data = 1,0x38,0,0xD639,4,0x80,0x81,0x82,0x83,2; Le deuxième paramètre, 0x38, désigne le type de bande DLT comme "autre lecteur SCSI". La valeur spécifiée ici doit être définie dans /usr/include/sys/mtio.h. REMARQUE Assurez-vous que la dernière entrée de la ligne tape-config-list se termine par un point-virgule (;). • Pour les périphériques multi-lecteurs, ciblez les saisies comme suit : name="st" class="scsi" target=X lun=Y; où : X correspond au port SCSI affecté au lecteur de données (ou mécanisme du robot). Y est la valeur de l'unité logique. Par exemple : name="st" class="scsi" target=1 lun=0; name="st" class="scsi" target=2 lun=0 B-68 Annexe B Annexe B Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris Normalement, les entrées cibles sont requises dans le fichier st.conf pour les lecteurs uniquement, et non pour le mécanisme du robot, qui est présent sur une autre cible. Elles sont généralement fournies dans le fichier sst.conf (voir ci-dessous). En revanche, il existe certains périphériques, tel que le HP StorageWorks 24x6, qui traitent le mécanisme du robot de la même manière qu'un autre lecteur. Dans ce cas, deux entrées avec la même cible sont requises (l'une pour le lecteur, l'autre pour le robot), mais avec des LUN différents. Par exemple : name="st" class="scsi" target=1 lun=0; name="st" class="scsi" target=1 lun=1 sst.conf : Périphériques de bibliothèque Ce fichier est requis sur chaque client Solaris Data Protector auquel un périphérique de bibliothèque multi-lecteurs est connecté. D'une manière générale, il requiert une entrée pour l'adresse SCSI du mécanisme de robot de chacun des périphériques de bibliothèque connectés au client. Il existe cependant quelques exceptions, à l'instar du HP StorageWorks 24x6 mentionné dans la section précédente. 1. Copiez le pilote (module) sst et le fichier de configuration sst.conf dans le répertoire requis : • Pour les systèmes d'exploitation 32bits : $cp /opt/omni/spt/sst /usr/kernel/drv/sst $cp /opt/omni/spt/sst.conf /usr/kernel/drv/sst.conf • Pour les systèmes d'exploitation 64 bits : $cp /opt/omni/spt/sst.64bit /usr/kernel/drv/sparcv9 /sst $cp /opt/omni/spt/sst.conf /usr/kernel/drv/sst.conf 2. Modifiez le fichier sst.conf et ajoutez l'entrée suivante : name="sst" class="scsi" target=X lun=Y; où : X. correspond à l'adresse SCSI du mécanisme du robot. Y. est l'unité logique. Annexe B B-69 Annexe B Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris Par exemple : name="sst" class="scsi" target=6 lun=0; 3. Ajoutez le pilote au kernel Solaris : add_drv sst Création et vérification de fichiers de périphérique Après avoir défini les fichiers de configuration et installé les pilotes, vous pouvez créer de nouveaux fichiers de périphérique comme suit : 1. Supprimez tous les fichiers de périphérique existants du répertoire / dev/rmt : cd /dev/rmt rm * 2. Tapez la commande suivante pour arrêter le système : shutdown -i0 -g0 3. Relancez le système : boot -rv Le commutateur r de la commande boot permet une compilation du kernel et inclut la création de fichiers de périphérique spéciaux utilisés pour la communication avec le périphérique à bandes. Le commutateur v active l'affichage en mode mode prolixe (verbose) du démarrage du système. Avec le mode prolixe, le système indique que le périphérique est connecté en affichant la chaîne <nom de référence du périphérique à bandes> que vous avez sélectionnée lors de la phase de l'initialisation relative à la configuration du répertoire /devices. 4. Tapez la commande suivante pour vérifier l'installation : mt -t /dev/rmt/0 status La sortie de cette commande dépend du lecteur configuré. Elle se présente de la manière suivante : Quantum DLT7000 tape drive: sense key(0x6)= Unit Attention file no= 0 block no= 0 B-70 residual= 0 retries= 0 Annexe B Annexe B Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris 5. Une fois que la réinitialisation est terminée, vous pouvez vérifier les fichiers de périphérique qui ont été créés à l'aide de la commande ls -all. Pour un périphérique de bibliothèque, le résultat de cette commande peut être le suivant : /dev/rmt/0hb pour un premier lecteur de bandes /dev/rmt/1hb pour un deuxième lecteur de bandes /dev/rsst6 pour un lecteur de robot Annexe B B-71 Annexe B Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows Pour déterminer quels sont les ID SCSI cibles (adresses SCSI) inutilisés sur un système Windows, procédez comme suit : 1. Dans le Panneau de configuration Windows, cliquez deux fois sur Adaptateurs SCSI. 2. Vérifiez les propriétés de chaque périphérique connecté à une carte SCSI de la liste. Cliquez deux fois sur le nom d'un périphérique, puis sélectionnez Paramètres pour ouvrir sa page de propriétés Reportez-vous à la figure B-18. Notez les ID SCSI cibles et les LUN (Numéros d'unité logique) affectés au périphérique. Vous pouvez ainsi savoir quels sont les ID SCSI cibles et LUN déjà occupés. Figure B-18 Paramètres du périphérique B-72 Annexe B Annexe B Configuration des ID SCSI sur une bibliothèque HP StorageWorks 330fx Configuration des ID SCSI sur une bibliothèque HP StorageWorks 330fx Une fois que vous avez choisi les ID SCSI pour le robot et les lecteurs, vous pouvez les vérifier et les configurer à l'aide du panneau de configuration de la bibliothèque. EXEMPLE : si vous disposez d'une bibliothèque HP StorageWorks 330fx, procédez comme suit pour trouver les ID SCSI configurés : 1. Depuis l'état PRET, appuyez sur SUIVANT. ADMIN* apparaît. 2. Appuyez sur ENTREE. Vous êtes invité à saisir le mot de passe. Saisissez le mot de passe. 3. TEST* apparaît ; appuyez sur SUIVANT jusqu'à ce que l'option ID SCSI* apparaisse. 4. Appuyez sur ENTREE. VIEW IDs* apparaît. 5. Appuyez sur ENTREE. JKBX ID 6 LUN 0 s'affiche. 6. Appuyez sur SUIVANT. DRV 1 ID 5 LUN 0 s'affiche. 7. Appuyez sur SUIVANT. DRV 2 ID 4 LUN 0 s'affiche, etc. Vous pouvez revenir à l'état PRET en appuyant sur ANNULER plusieurs fois. Annexe B B-73 Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Connexion de périphériques de sauvegarde Pour connecter un périphérique de sauvegarde à un système HP-UX, Solaris ou Windows, suivez la procédure générale ci-dessous. 1. Sélectionnez le client auquel vous souhaitez connecter le périphérique de sauvegarde. 2. Installez l'Agent de supports Data Protector sur le système sélectionné Reportez-vous à la section “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. 3. Déterminez l'adresse SCSI non occupée pouvant être utilisée par le périphérique. Pour les systèmes HP-UX, reportez-vous à la section “Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX”, page B-36. Pour les systèmes Solaris, reportez-vous à la section “Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sous Solaris”, page B-38. Pour les systèmes Windows, reportez-vous à la section “Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows”, page B-72. ✓ Pour la connexion à un système HP-UX, vérifiez que les pilotes requis sont installés et intégrés au kernel en cours. Pour ce faire, reportez-vous à la section “Vérification de la configuration de kernel sous HP-UX”, page B-25. Si vous devez configurer un pilote de passage SCSI, reportez-vous à la section “Configuration de robot SCSI sous HP-UX”, page B-27. ✓ Pour la connexiion à un système Solaris, vérifiez que les pilotes requis sont installés et que les fichiers de configuration sont à jour pour l'installation du périphérique. Reportez-vous à la section “Mise à jour de la configuration des périphériques et pilotes sur un système Solaris”, page B-66. Celle-ci vous indique également comment mettre à jour le fichier sst.conf si vous devez configurer un pilote de passage SCSI. ✓ Si le périphérique est connecté à un client Windows, le lecteur de bande d'origine peut être chargé ou désactivé, selon la version du système Windows. Reportez-vous à la section “Utilisation de pilotes de bandes et de pilotes de robots sous Windows”, page B-17. B-74 Annexe B Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Si vous chargez le pilote de bandes natif pour un périphérique déjà configuré dans Data Protector qui n'utilisait pas le pilote de bandes natif, n'oubliez pas de renommer les fichiers de périphérique pour tous les périphériques logiques Data Protector configurés qui se rapportent au périphérique en question (par exemple, remplacez scsi1:0:4:0 par tape3:0:4:0). Pour plus d'informations concernant l'attribution d'un nom de fichier de périphérique correct, reportez-vous à la section “Création de fichiers de périphérique (adresses SCSI) sous Windows”, page B-21. 4. Définissez les adresses SCSI (ID) sur le périphérique. En fonction du type de périphérique, vous pouvez généralement effectuer cette opération avec les commutateurs du périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. Si vous souhaitez voir un exemple, reportez-vous à la section “Configuration des ID SCSI sur une bibliothèque HP StorageWorks 330fx”, page B-73. Pour obtenir des informations détaillées sur les périphériques pris en charge, reportez-vous à la page http://www.openview.hp.com/ products/dataprotector/specifications/index.asp. REMARQUE Sur un système Windows NT doté d'une carte SCSI Adaptec et auquel est connecté un périphérique SCSI, vous devez activer l'option Carte hôte BIOS afin que le système n'ait pas de problème pour émettre les commandes SCSI. Pour définir l'option Carte hôte BIOS, appuyez sur Ctrl+A pendant l'initialisation du système pour accéder au menu Carte SCSI, puis sélectionnez Configurer/Afficher les paramètres de la carte hôte -> Options de configuration avancées, et enfin activez Carte hôte BIOS. 5. Allumez d'abord le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'initialisation soit terminé. Vérifiez que le système reconnaît bien le nouveau périphérique de sauvegarde. Annexe B B-75 Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde ✓ Sur un système HP-UX, servez-vous de l'utilitaire ioscan /usr/sbin/ioscan -fn pour afficher la liste des périphériques connectés, avec les chemins matériels et les fichiers de périphérique correspondants, dans laquelle vous devez trouver le nouveau périphérique connecté avec les adresses SCSI correctes. Si un fichier de périphérique n'a pas été créé automatiquement durant le processus d'initialisation, vous devez le créer manuellement. Reportez-vous à la section “Création de fichiers de périphérique sous HP-UX”, page B-32. ✓ Sur un système Solaris, servez-vous de l'utilitaire ls -all pour afficher la liste des périphériques connectés, avec les chemins matériels et les fichiers de périphérique correspondants, dans laquelle vous devez trouver le nouveau périphérique connecté avec les adresses SCSI correctes. ✓ Sur un système Windows, vous pouvez vérifier que le système reconnaît correctement le nouveau périphérique de sauvegarde à l'aide de l'utilitaire devbra. Dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin, exécutez : devbra -dev Dans les résultats de la commande devbra, vous trouverez pour chaque périphérique connecté et correctement reconnu les lignes suivantes : <spécification du périphérique de sauvegarde> <chemin_matériel> <type_support> ........... Par exemple, les résultats suivants : HP:C1533A tape3:0:4:0 DDS ... ... B-76 Annexe B Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde signifient qu'un périphérique à bandes HP DDS (le pilote de bandes natif étant chargé) a le numéro d'instance du lecteur 3, et est connecté au bus SCSI 0, à l'ID SCSI cible 4 et au numéro LUN 0. Tandis que les résultats suivants : HP:C1533A scsi1:0:4:0 DDS ... ... signifient qu'un périphérique à bandes HP DDS (le pilote de bandes natif étant déchargé) est connecté au port SCSI1, au bus SCSI0 et que le lecteur de bandes a l'ID SCSI cible4 et le numéro LUN0. Compression matérielle La plupart des périphériques de sauvegarde récents proposent une compression matérielle intégrée pouvant être activée lors de la création d'un fichier de périphérique ou d'une adresse SCSI pendant la procédure de configuration du périphérique. Reportez-vous à l'aide en ligne pour connaître la procédure détaillée. La compression matérielle est effectuée par un périphérique qui reçoit les données originales de l'Agent de supports et les écrit sur la bande sous forme compressée. Ce procédé permet d'augmenter la vitesse à laquelle un lecteur de bande reçoit les données car le volume de données écrit sur la bande est moins important. Lorsque la compression logicielle est utilisée et la compression matérielle désactivée, les données sont compressées par l'Agent de disque et envoyées sous forme compressée à l'Agent de supports. L'algorithme de compression peut faire appel à une quantité de ressources de l'Agent de disque considérable si la compression logicielle est utilisée, mais cela réduit la charge réseau. Pour activer la compression matérielle sous Windows, ajoutez “C” à la fin des adresses SCSI de périphérique/lecteur, par exemple : scsi:0:3:0C (ou tape2:0:1:0C si le pilote du lecteur de bandes est chargé). Si le périphérique prend en charge la compression matérielle, celle-ci sera utilisée ; sinon, l'option C sera ignorée. Annexe B B-77 Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Pour désactiver la compression matérielle sous Windows, ajoutez “N” à la fin des adresses SCSI de périphérique/lecteur, par exemple: scsi:0:3:0:N. Pour activer/désactiver la compression matérielle sous UNIX, sélectionnez un fichier de périphérique approprié. Consultez la documentation du périphérique et du système d'exploitation pour plus de détails. Etape suivante A ce stade de la procédure, les périphériques de sauvegarde doivent être connectés afin que vous puissiez les configurer ainsi que les pools de supports. Reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour plus d'informations sur les tâches de configuration supplémentaires. L'Agent de supports Data Protector doit être installé sur votre système. Pour connaître la procédure, reportez-vous au chapitre 2, “Distribution du logiciel Data Protector aux clients”, page 50. Les sections suivantes décrivent la procédure de connexion d'un périphérique à bandes autonome HP StorageWorks 24, d'une bibliothèque HP StorageWorks 12000e et d'une bibliothèque DLT 28/ 48 logements HP StorageWorks à des systèmes HP-UX et Windows. B-78 Annexe B Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Connexion d'un périphérique autonome HP StorageWorks 24 Le périphérique de sauvegarde DDS StorageWorks 24 est un lecteur de bandes autonome basé sur la technologie DDS3. Connexion à un système HP-UX Pour connecter un périphérique autonome HP StorageWorks 24 à un système HP-UX, procédez comme suit : 1. Vérifiez que les pilotes nécessaires (stape ou tape2) sont installés et intégrés au kernel en cours. Reportez-vous à la section “Vérification de la configuration de kernel sous HP-UX”, page B-25. 2. Définissez une adresse SCSI non occupée pouvant être utilisée par le lecteur de bandes. Reportez-vous à la section “Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX”, page B-36. 3. Définissez les adresses SCSI (ID) sur le périphérique. Utilisez les commutateurs situés à l'arrière du périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. 4. Allumez d'abord le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'initialisation soit terminé. 5. Vérifiez que le système reconnaît correctement le nouveau lecteur de bandes connecté. Servez-vous de l'utilitaire ioscan : /usr/sbin/ioscan -fn pour afficher la liste des périphériques connectés avec les chemins matériels et les fichiers de périphérique correspondants, dans laquelle vous devez trouver le nouveau lecteur de bandes connecté avec l'adresse SCSI correcte. Le fichier de périphérique du lecteur a été créé lors du processus d'amorçage. Etape suivante Une fois que le périphérique est correctement connecté, reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre appareil nouvellement connecté. Annexe B B-79 Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Connexion à un Pour connecter un périphérique autonome HP StorageWorks 24 à un système Windows système Windows, procédez comme suit : 1. Définissez une adresse SCSI (ID cible) non occupée pouvant être utilisée par le lecteur de bandes Reportez-vous à la section “Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows”, page B-72. 2. Définissez les adresses SCSI (ID) sur le périphérique. Utilisez les commutateurs situés à l'arrière du périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. 3. Allumez d'abord le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'initialisation soit terminé. 4. Vérifiez que le système reconnaît correctement le nouveau lecteur de bandes connecté. Exécutez la commande devbra à partir du répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin. Tapez devbra -dev Dans les résultats de la commande devbra, vous devez trouver le nouveau lecteur de bandes connecté du périphérique autonome HP StorageWorks 24. Etape suivante Une fois que le périphérique est correctement connecté, reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre appareil nouvellement connecté. Connexion d'un chargeur automatique DAT HP StorageWorks Les bibliothèques HP StorageWorks 12000e et StorageWorks DAT 24x6 sont toutes deux dotées d'un logement pour six cartouches, d'un lecteur et d'un bras robotisé utilisé pour déplacer les cartouches du/vers le lecteur. Les deux bibliothèques sont également équipées d'un système de détection de bande encrassée. B-80 Annexe B Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Connexion à un système HP-UX Pour connecter le périphérique de bibliothèque HP StorageWorks 12000e à un système HP-UX, procédez comme suit : 1. A l'arrière de du chargeur automatique, mettez le commutateur de mode sur 6. 2. Vérifiez que les pilotes nécessaires (stape ou tape2) sont installés et intégrés au kernel en cours. Reportez-vous à la section “Vérification de la configuration de kernel sous HP-UX”, page B-25. 3. Vérifiez que les pilotes de passage SCSI (sctl ou spt) sont installés et intégrés au kernel actuel. Reportez-vous à la section “Configuration de robot SCSI sous HP-UX”, page B-27. 4. Déterminez une adresse SCSI non occupée pouvant être utilisées par le lecteur de bandes et le robot. Reportez-vous à la section “Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX”, page B-36. REMARQUE La bibliothèque HP StorageWorks 12000e utilise la même adresse SCSI pour le lecteur de bandes et le robot, mais avec différents numéros LUN. 5. Définissez les adresses SCSI (ID) sur le périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. 6. Allumez d'abord le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'initialisation soit terminé. 7. Vérifiez que le système reconnaît correctement le nouveau lecteur de bandes connecté. Servez-vous de l'utilitaire ioscan /usr/sbin/ioscan -fn pour afficher la liste des périphériques connectés avec les chemins matériels et les fichiers de périphérique correspondants, dans laquelle vous devez trouver le nouveau lecteur de bandes connecté avec l'adresse SCSI correcte. 8. Le fichier de périphérique du lecteur a été créé lors du processus d'amorçage, mais vous devez créer celui du robot manuellement Reportez-vous à la section “Création de fichiers de périphérique sous HP-UX”, page 32. Annexe B B-81 Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde 9. Vérifiez que le système reconnaît correctement le nouveau fichier de périphérique du robot de bibliothèque. Servez-vous de l'utilitaire ioscan : /usr/sbin/ioscan -fn Le nouveau fichier de périphérique doit apparaître dans les résultats de la commande. Etape suivante Une fois que le périphérique de bibliothèque est correctement connecté, reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre appareil nouvellement connecté. Connexion à un Pour connecter le périphérique de bibliothèque HP StorageWorks 12000e système Windows à un système Windows, procédez comme suit : 1. A l'arrière de du chargeur automatique, mettez le commutateur de mode sur 6. 2. Déterminez une adresse SCSI non occupée pouvant être utilisées par le lecteur de bandes et le robot. Reportez-vous à la section “Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows”, page B-72. 3. Définissez les adresses SCSI (ID) sur le périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. REMARQUE La bibliothèque HP StorageWorks 12000e utilise la même adresse SCSI pour le lecteur de bandes et le robot, mais avec différents numéros LUN. 4. Allumez d'abord le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'initialisation soit terminé. 5. Vérifiez que le système reconnaît correctement le nouveau lecteur de bandes connecté et le robot. Dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin, exécutez : devbra -dev Dans les résultats de la commande devbra, vous devez trouver le nouveau lecteur de bandes connecté et le robot du périphérique de bibliothèque HP StorageWorks 12000e. B-82 Annexe B Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Etape suivante Une fois que le périphérique de bibliothèque est correctement connecté, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre appareil nouvellement connecté. Connexion d'une bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks La bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks est une bibliothèque multi-lecteurs destinée aux environnements d'entreprise ayant de 80 à 600 Go à sauvegarder. Elle est équipée de quatre lecteurs DLT 4000 ou DLT 7000 dotés de plusieurs canaux de données, d'un logement de bande et d'un lecteur de code barres. Connexion à un système HP-UX Pour connecter la bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks à un système HP-UX, procédez comme suit : 1. Vérifiez que les pilotes nécessaires (stape ou tape2) sont installés et intégrés au kernel en cours. Reportez-vous à la section “Vérification de la configuration de kernel sous HP-UX”, page B-25. 2. Vérifiez que les pilotes de passage SCSI (sctl ou spt) sont installés et intégrés au kernel actuel Reportez-vous à la section “Configuration de robot SCSI sous HP-UX”, page B-27. 3. Déterminez une adresse SCSI non occupée pouvant être utilisées par le lecteur de bandes et le robot. Reportez-vous à la section “Recherche des adresses SCSI non utilisées sous HP-UX”, page B-36. REMARQUE La bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks est dotée de quatre lecteurs de bande et d'un robot, vous devez donc disposer de cinq adresses SCSI inutilisées au cas où les cinq lecteurs de bandes devraient être utilisés. Les lecteurs de bandes et le robot doivent utiliser des adresses SCSI différentes. 4. Définissez les adresses SCSI (ID) sur le périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. Annexe B B-83 Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde 5. Allumez le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. 6. Vérifiez que le système reconnaît correctement les nouveaux lecteurs de bandes connectés. Servez-vous de l'utilitaire ioscan /usr/sbin/ioscan -fn pour afficher la liste des périphériques connectés avec les chemins matériels et les fichiers de périphérique correspondants, dans laquelle vous devez trouver les nouveaux lecteurs de bandes connectés avec les adresses SCSI correctes. 7. Les fichiers de périphérique des lecteurs ont été créés lors du processus d'initialisation, mais vous devez créer celui du robot manuellement. Reportez-vous à la section “Création de fichiers de périphérique sous HP-UX”, page B-32. 8. Vérifiez que le système reconnaît correctement le nouveau fichier de périphérique du robot de bibliothèque. Servez-vous de l'utilitaire ioscan : /usr/sbin/ioscan -fn Le nouveau fichier de périphérique doit apparaître dans les résultats de la commande. Etape suivante Une fois que le périphérique de la bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks est correctement connecté, reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre appareil nouvellement connecté. Connexion à un système Solaris Pour configurer le périphérique de bibliothèque HP C5173-7000 sur un système Solaris, exécutez la procédure décrite ci-dessous. Cet exemple suppose que deux lecteurs sont alloués à Data Protector : 1. Copiez le pilote (module) sst et le fichier de configuration sst.conf dans le répertoire requis : • Pour les systèmes d'exploitation 32 bits : $cp /opt/omni/spt/sst /usr/kernel/drv/sst $cp /opt/omni/spt/sst.conf /usr/kernel/drv/sst.conf B-84 Annexe B Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde • Pour les systèmes d'exploitation 64 bits : $cp /opt/omni/spt/sst.64 /usr/kernel/drv/sparcv9 /sst $cp /opt/omni/spt/sst.conf /usr/kernel/drv /sparcv9/sst.conf 2. Ajoutez le pilote au kernel Solaris : add_drv sst 3. Supprimez tous les fichiers de périphérique existants du répertoire / dev/rmt : cd /dev/rmt rm * 4. Arrêtez le système en appuyant sur Stop et A. 5. Exécutez la commande probe-scsi-all à l'invite "ok" pour vérifier quelles sont les adresses SCSI disponibles. ok probe-scsi-all Le système peut vous demander de lancer la commande reset-all avant d'exécuter la commande probe-scsi-all. Dans le cas présent, nous utiliserons le port 6 pour le périphérique de contrôle SCSI, le port 2 pour le premier lecteur et le port 1 pour le deuxième lecteur ; le numéro LUN est 0). 6. Revenez en fonctionnement normal : ok go 7. Copiez le fichier de configuration st.conf dans le répertoire requis : $cp /opt/omni/spt/st.conf /kernel/drv/st.conf Le fichier st.conf est présent sur chaque client Data Protector Solaris et contient les adresses SCSI de chaque périphérique de sauvegarde connecté au client. 8. Modifiez le fichier /kernel/drv/st.conf et ajoutez les lignes suivantes : tape-config-list= "QUANTUM DLT7000", "Digital DLT7000", "DLT-data3"; DLT-data3 = 1,0x77,0,0x8639,4,0x82,0x83,0x84,0x85,3; Annexe B B-85 Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde name="st" class="scsi" target=1 lun=0; name="st" class="scsi" target=2 lun=0; name="st" class="scsi" target=6 lun=0; Ces entrées fournissent les adresses SCSI pour le lecteur 1, le lecteur 2 et le lecteur du robot. 9. Modifiez le fichier sst.conf (que vous avez copié à l'étape 1) et ajoutez la ligne suivante : name="sst" class="scsi" target=6 lun=0; Notez que cette entrée doit être identique à celle du lecteur du robot dans le fichier st.conf. Reportez-vous à l'étape 8 ci-dessus. 10. Arrêtez le système client et connectez le périphérique de bibliothèque. 11. Remettez le périphérique de bibliothèque sous tension, puis le système client. Le système s'initialise alors et crée automatiquement les fichiers de périphérique pour le lecteur du robot et les lecteurs de bandes. Vous pouvez répertorier ceux-ci à l'aide de la commande ls -all. Dans le cas présent : Etape suivante /dev/rmt/0hb pour un premier lecteur de bandes /dev/rmt/1hb pour un deuxième lecteur de bandes /dev/rsst6 pour un lecteur de robot Une fois que le périphérique de la bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks est correctement connecté, reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre appareil nouvellement connecté. Connexion à un Pour connecter le périphérique de bibliothèque DLT 28/48 logements système Windows HP StorageWorks à un système Windows, procédez comme suit : 1. Déterminez les adresses SCSI (ID cibles) non occupées pouvant être utilisées par le lecteur de bandes et le robot. Reportez-vous à la section “Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows”, page 72. B-86 Annexe B Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde 2. Définissez les adresses SCSI (ID cibles) sur le périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. REMARQUE La bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks est dotée de quatre lecteurs de bande et d'un robot, vous devez donc disposer de cinq adresses SCSI inutilisées au cas où les cinq lecteurs de bandes devraient être utilisés. Les lecteurs de bande et le robot doivent utiliser des ID SCSI cibles différents. 3. Allumez d'abord le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. 4. Vérifiez que le système reconnaît correctement les nouveaux lecteurs de bandes connectés et le robot. Dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin, exécutez : devbra -dev Dans le résultat de la commande devbra, vous devez trouver les nouveaux lecteurs de bandes connectés et le robot du périphérique de bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks. Etape suivante Une fois que le périphérique de la bibliothèque DLT 28/48 logements HP StorageWorks est correctement connecté, reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre périphérique de bibliothèque nouvellement connecté. Connexion d'un lecteur de bandes Seagate Viper 200 LTO Ultrium Le lecteur de bandes Seagate Viper 200 LTO Ultrium est un périphérique autonome pour les environnements d'entreprise avec 100 à 200 Go à sauvegarder. Annexe B B-87 Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Connexion à un système Solaris Pour configurer le lecteur de bandes Seagate Viper 200 LTO Ultrium sur un système Solaris, procédez comme suit : 1. Déterminez les adresses SCSI non occupées pouvant être utilisées par le lecteur de bandes. Exécutez la commande modinfo ou dmesg pour rechercher les contrôleurs SCSI en cours d'utilisation et les périphériques SCSI cibles installés : dmesg | egrep “target” | sort | uniq Le résultat suivant doit être obtenu : sd32 sd34 st21 st22 REMARQUE at at at at ithps0: ithps0: ithps1: ithps1: target target target target 2 4 0 1 lun lun lun lun 0 0 0 0 Il est recommandé d'utiliser le contrôleur SCSI glm ou isp lorsque vous connectez un périphérique Viper 200 LTO à un système Solaris. De même, il est préférable d'utiliser les contrôleurs Ultra2 SCSI ou Ultra3 SCSI. 2. Modifiez le fichier /kernel/drv/st.conf et ajoutez les lignes suivantes : tape-config-list = “SEAGATE ULTRIUM06242-XXX” , “SEAGATE LTO” , \ “SEAGATE_LTO”; SEAGATE_LTO = 1, 0x7a, 0, 0x1d679, 4, 0x00, 0x00, 0x00, \ 0x00, 1; 3. Arrêtez le système client et connectez le périphérique. 4. Remettez le périphérique sous tension, puis le système client. Le système s'initialise alors et crée automatiquement les fichiers de périphérique pour le lecteur de bandes. Vous pouvez répertorier ceux-ci à l'aide de la commande ls -all. Etape suivante Une fois que le lecteur de bandes Seagate Viper 200 LTO Ultrium est correctement connecté, reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre appareil nouvellement connecté. B-88 Annexe B Annexe B Connexion de périphériques de sauvegarde Connexion à un Pour connecter le lecteur de bandes Seagate Viper200 LTO Ultrium à un système Windows système Windows, procédez comme suit : 1. Déterminez les adresses SCSI (ID cibles) non occupées pouvant être utilisées par le lecteur de bandes. Reportez-vous à la section “Recherche des ID SCSI cibles inutilisés sur un système Windows”, page 72. 2. Définissez les adresses SCSI (ID cibles) sur le périphérique. Pour obtenir des informations détaillées, consultez la documentation fournie avec le périphérique. 3. Allumez d'abord le périphérique, puis l'ordinateur, et attendez que le processus d'amorçage soit terminé. 4. Vérifiez que le système reconnaît correctement les nouveaux lecteurs de bandes connectés et le robot. Dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\bin, exécutez : devbra -dev Dans les résultats de la commande devbra, vous devez trouver le nouveau lecteur de bandes connecté du lecteur de bandes Seagate Viper 200 LTO Ultrium. Etape suivante Une fois que le lecteur de bandes Seagate Viper 200 LTO Ultrium est correctement connecté, reportez-vous à l'Annexe A du manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide pour obtenir des instructions sur la configuration d'un périphérique de sauvegarde Data Protector pour votre appareil nouvellement connecté. REMARQUE Lorsque vous configurez le lecteur de bandes Seagate Viper 200 LTO Ultrium avec Data Protector, assurez-vous que le mode de compression est activé. Pour cela, spécifiez le paramètre C après l'adresse SCSI du lecteur, par exemple : scsi2:0:0:0C Annexe B B-89 Annexe B Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare Après avoir effectué l'installation de l'Agent de supports Data Protector sur la plate-forme Novell NetWare, vous devez la contrôler en procédant comme suit : ✓ Identifiez le périphérique de stockage. ✓ Testez le démarrage de l'Agent de supports sur la console du serveur Novell NetWare. ✓ Testez le démarrage de HPUMA.NLM et de HPDEVBRA.NLM sur la console du serveur Novell NetWare. Identification du périphérique de stockage Utilisez la convention suivante pour identifier un périphérique de stockage dans l'environnement Novell NetWare : <numéro d'identification de la carte> : <numéro d'identification cible> : <numéro d'unité logique><compression> Par exemple, la chaîne "0:2:0N" identifie un périphérique de stockage avec comme ID de carte 0, comme ID cible 2, un numéro d'unité logique (LUN) 0, et aucune compression. Autre exemple : la chaîne "1:1:0C" identifie un périphérique de stockage avec comme ID de carte 1, comme ID cible 1, un numéro d'unité logique (LUN) 0, et la compression activée. Test de démarrage de l'Agent de supports Une fois l'Agent de supports installé sur le système Novell NetWare, vous pouvez tester le démarrage d'un Agent de supports de sauvegarde HPBMA.NLM sur la console du serveur Novell NetWare. Dans l'exemple ci-après, la carte bus hôte Adaptec, AHA-2940, est utilisée pour accéder au périphérique à bandes échangeur de la bibliothèque de bandes HP StorageWorks 12000e. B-90 Annexe B Annexe B Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare Avant de démarrer tout composant *.NLM de Data Protector, vous devez satisfaire aux conditions suivantes : ✓ HPINET doit être en cours d'exécution. ✓ Le pilote Adaptec ASPI et le composant couche de transport correspondant ASPITRAN.DSK (pour Novell NetWare 4.x) ou NWASPI.CDM (pour Novell NetWare 5.x), doivent être en cours d'exécution. ✓ Le logiciel de l'Agent de supports Data Protector doit se trouver dans le répertoire SYS:USR\OMNI\BIN. ✓ Le périphérique de stockage doit être correctement installé et connecté. ✓ La carte bus hôte Adaptec et le protocole de communication TCP/IP doivent être correctement installés et en cours d'exécution. Une fois ces conditions remplies, procédez comme suit : 1. Pour charger HPBMA.NLM, tapez : LOAD HPBMA -name testbma -type <numéro_type> -policy <numéro_mode> -ioctl <périphérique_contrôle> -dev <périphérique_données> -tty <numéro_port_TCP> L'option type <numéro_type> correspond au type de périphérique Data Protector. Les valeurs possibles pour <numéro_type> sont les suivantes : • 1=DAT/DDS • 2 = QIC (cartouche d'un quart de pouce) • 3 = Exabyte 8mm • 9 = périphérique générique à bandes magnétiques • 10 = bande linéaire numérique (DLT) L'option policy <numéro_mode> correspond au mode d'utilisation du périphérique par Data Protector. Les valeurs possibles sont les suivantes : • 1= périphérique autonome • 10= bibliothèque SCSI - II Annexe B B-91 Annexe B Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare L'option ioctl <périphérique_contrôle> définit l'adresse SCSI du contrôle du robot. Elle se présente sous la forme suivante : <numéro_identification_adaptateur>:<numéro_identification _cible>:<numéro_unité_logique> Par exemple : • 0:1:1 => Le périphérique de contrôle (robot) utilise la carte SCSI 0, possède l'adresse SCSI 1 et le LUN 1. L'option dev <périphérique_données> définit l'adresse SCSI du contrôle du robot. Elle se présente sous la forme suivante : <numéro_identification_adaptateur>:<numéro_identification _cible>:<numéro_unité_logique><compression> Par exemple : • 0:1:1C => Le périphérique de contrôle (robot) utilise la carte SCSI 0, possède l'adresse SCSI 1 et le LUN 1. La compression de données est activée. L'option -tty <numéro_port_TCP> correspond au numéro de port du protocole de communication TCP/IP. L'Agent de supports de la console, HPCONMA.NLM, démarre et l'écran suivant s'affiche : *** MA listening on port: <numéro> SLOT: [Load(2), Peek(2), Stop(0), Abort(0)] SLOT: _ Les commandes actuellement disponibles sont les suivantes : Load(2) - Cette commande permet de charger la bande dans le lecteur et requiert deux arguments : Load <numéro d'emplacement> <indicateur de permutation> L'indicateur de permutation peut être défini soit à 0 soit à 1, ce qui signifie que le support ne permute pas si la valeur est 0 ou qu'il permute si la valeur est 1. Stop(0) - Termine normalement la session en cours. Abort(0) - Abandonne la session en cours. B-92 Annexe B Annexe B Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare Dans cet exemple, vous chargez la bande à partir de l'emplacement 3 (SLOT 3) sans permutation du support. 2. Tapez la commande permettant de charger la bande à partir de l'emplacement 3 (SLOT 3) sans permutation du support. SLOT:LOAD 3 0 Une fois la bande chargée dans le lecteur, le message suivant s'affiche : CHECK: [Deny(0), Init(1), Seek(2), Abort(0)] CHECK: _ Les commandes disponibles sont les suivantes : Deny(0)- Refuse l'action en cours. Init(1)- Initialise la bande chargée et requiert un paramètre : Init(1) <ID du support> Seek(2)- Effectue une recherche à la position requise. La chaîne d'arguments est la suivante : Seek<numéro de segment> <numéro de bloc> Abort(0) - Abandonne la session en cours. 3. Pour initialiser la bande, tapez CHECK: Init test 4. Basculez de l'écran de l'Agent de supports de sauvegarde à la console Novell NetWare et démarrez la session de sauvegarde à l'aide de la commande d'action/de requête de l'Agent de supports Data Protector. REMARQUE Vous devez démarrer l'Agent de disque Data Protector sur l'hôte sélectionné en entrant load -ma <hôte> <port> pour permettre une communication correcte entre l'Agent de supports et l'Agent de disque et afficher le bon numéro de port des opérations de la session de sauvegarde lorsque HPCONMA.NLM démarre. Une fois la session de sauvegarde terminée correctement, un message s'affiche. Annexe B B-93 Annexe B Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare 5. Pour quitter correctement l'Agent de supports de sauvegarde, appuyez sur <CTRL-C> lorsque l'écran de l'Agent de supports de sauvegarde s'affiche. L'invite Requête d'intervention sur la console s'affiche au bout de quelques secondes : ATT:[Stop(0), Abort(0), Disconnect(1)] Exécutez la commande Stop pour terminer la session. Test du démarrage de HPUMA.NLM et de HPDEVBRA.NLM Le chargement de HPUMA.NLM sur la console du serveur permet de tester manuellement les commandes SCSI. Chargez HPUMA.NLM à l'aide de la commande suivante : LOAD HPUMA.NLM -ioctl <périphérique_contrôle> -dev <périphérique_données> -tty L'option ioctl <périphérique_contrôle> définit l'adresse SCSI du contrôle du robot. Elle se présente sous la forme suivante : <numéro_identification_adaptateur>:<numéro_identification_ci ble>:<numéro_unité_logique> Par exemple : • 0:1:1 => Le périphérique de contrôle (robot) utilise la carte SCSI 0, possède l'adresse SCSI 1 et le LUN 1. L'option dev <périphérique_données> définit l'adresse SCSI du contrôle du robot. Elle se présente sous la forme : <numéro_identification_adaptateur>:<numéro_identification_ci ble>:<numéro_unité_logique>:<compression> Par exemple : • 0:1:1C => Le périphérique de contrôle (robot) utilise la carte SCSI 0, possède l'adresse SCSI 1 et le LUN 1. La compression de données est activée. L'option -tty est nécessaire pour interagir avec la console du serveur Novell NetWare. HPUMA démarre et l'écran suivant s'affiche : prompt> B-94 Annexe B Annexe B Vérification de l'installation de l'Agent de supports sous Novell NetWare où "prompt" se présente sous la forme suivante : <numéro_identification_adaptateur>:<numéro_identification_ci ble>:<numéro_unité_logique> Par exemple : 0:2:1> Pour afficher les commandes disponibles, tapez la commande HELP dans l'écran HPUMA. Le chargement en local de HPDEVBRA.NLM permet d'utiliser l'interface Adaptec ASPI pour obtenir des informations sur les périphériques installés et détectés sur le serveur Novell NetWare. Pour charger HPDEVBRA.NLM sur la console du serveur, entrez la commande suivante : LOAD HPDEVBRA.NLM -tty où l'option -tty est nécessaire pour interagir avec la console du serveur NetWare. Pour afficher les commandes disponibles, chargez HPDEVBRA.NLM avec l'option HELP : LOAD HPDEVBRA -HELP Annexe B B-95 Annexe B Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster avec Veritas Volume Manager Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster avec Veritas Volume Manager Pour installer Data Protector sur Microsoft Cluster Server (MSCS) avec Veritas Volume Manager, commencez par suivre la procédure d'installation de Data Protector sur MSCS. Reportez-vous à la section “Installation de Data Protector sur Microsoft Cluster Server”, page 156. Une fois que vous avez terminé l'installation, certaines étapes supplémentaires sont requises pour activer le service Data Protector Inet permettant de distinguer, entre les ressources disque de cluster et les ressources disque locales, celles qui utilisent leurs propres ressources et non le pilote de ressources Microsoft : 1. Exécutez la commande omnisv -stop sur le Gestionnaire de cellule pour arrêter les services et processus Data Protector : <répertoire_Data_Protector>\bin\omnisv -stop 2. Définissez une nouvelle variable d'environnement système OB2CLUSTERDISKTYPES avec Volume Manager Disk Group en tant que valeur, ou définissez la variable omnirc sur les deux nœuds de cluster comme suit : OB2CLUSTERDISKTYPES=Volume Manager Disk Group Si vous souhaitez spécifier des ressources disque propriétaires supplémentaires, telles qu'un disque NetRAID4, ajoutez simplement le nom du type de la ressource à la valeur de la variable d'environnement OB2CLUSTERDISKTYPES : OB2CLUSTERDISKTYPES=Volume Manager Disk Group;NETRaid4M Diskset Pour plus d'informations sur l'utilisation des variables de fichier omnirc, reportez-vous au manuel HP OpenView Storage Data Protector Administrator’s Guide. 3. Exécutez la commande omnisv -start pour démarrer les services/ processus : <répertoire_Data_Protector>\bin\omnisv -start B-96 Annexe B Glossaire AC (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) L'accès continu XP (Continuous Access) permet à l'utilisateur de créer et de conserver des copies distantes de LDEV HP StorageWorks Disk Array XP à des fins telles que la duplication ou la sauvegarde de données, ou la reprise après sinistre. Les opérations en accès continu impliquent les batteries de disques principales et distantes (secondaires). Les premières concernent les volumes principaux AC (P-VOL), contenant les données d'origine, qui sont connectés au système d'application. Les secondes contiennent les volumes secondaires AC (S-VOL) qui sont connectés au système de sauvegarde. Voir aussi BC (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP), unité de commande principale et LDEV HP StorageWorks Disk Array XP. ACSLS (terme spécifique à StorageTek) Automated Cartridge System Library Server, serveur de bibliothèque à système de cartouche automatisé logiciel chargé de la gestion du système de cartouche automatisé (ACS). Active Directory (terme spécifique à Windows) Service d'annuaire d'un réseau Windows. Il contient des informations sur les ressources du réseau et les rend accessibles aux utilisateurs et aux applications. Les services d'annuaire permettent de nommer, de décrire, de localiser, de consulter et de gérer les ressources de manière cohérente, quel que soit le système physique sur lequel elles résident. adresse IP adresse numérique d'un système servant à identifier le système sur le réseau. L'adresse IP est constituée de quatre groupes de chiffres séparés par des points. affichage de sauvegarde Data Protector propose plusieurs affichages pour les spécifications de sauvegarde : par type - en fonction du type de données disponibles pour les sauvegardes ou les modèles. Affichage par défaut. Par groupe - en fonction du groupe auquel les spécifications/ modèles de sauvegarde appartiennent. Par nom - en fonction du nom des spécifications/modèles de sauvegarde. Par gestionnaire - si vous utilisez le MoM, vous pouvez également définir l'affichage de sauvegarde en fonction du Gestionnaire de cellule auquel appartiennent les spécifications/modèles de sauvegarde. agent d'application Composant requis sur un client pour sauvegarder ou restaurer les intégrations de bases de données en ligne. Voir aussi Agent de disque. G-1 Glossaire agent de disque Composant devant être installé sur un client pour que ce dernier puisse être sauvegardé et restauré. L'Agent de disque contrôle la lecture et l'écriture de données sur un disque. Pendant une session de sauvegarde, l'Agent de disque lit les données stockées sur un disque et les envoie à l'Agent de supports qui les déplace ensuite vers le périphérique. Pendant une session de restauration, l'Agent de disque reçoit des données de l'Agent de supports et les écrit sur le disque. agents de disque simultanés Nombre d'Agents de disque autorisés à envoyer des données simultanément à un Agent de supports. agent de supports Processus contrôlant la lecture et l'écriture de données sur un périphérique qui lui-même lit ou écrit des données sur un support (généralement une bande). Pendant une session de sauvegarde, l'Agent de supports reçoit des données de l'Agent de disque et les envoie au périphérique qui les écrit ensuite sur le support. Pendant une session de restauration, l'Agent de supports localise les données stockées sur le support de sauvegarde et les envoie à l'Agent de disque qui les écrit ensuite sur le disque. L'Agent de supports gère également le contrôle robotique d'une bibliothèque. G-2 agent EMC Symmetrix (SYMA) (terme spécifique à EMC Symmetrix) Voir agent Symmetrix (SYMA) agent EVA (terme spécifique à HP StorageWorks Enterprise Virtual Array) Module logiciel de Data Protector qui exécute toutes les tâches nécessaires aux tâches de snapshots intégrées de HP StorageWorks Enterprise Virtual Array sur le système d'application et sur le système de sauvegarde. Il communique avec HSV Element Manager pour piloter HP StorageWorks Enterprise Virtual Array. agent SA (terme spécifique à HP StorageWorks Modular SAN Array 1000) Module logiciel de Data Protector qui exécute toutes les tâches nécessaires de snapshots intégrées HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 sur le système d'application et sur le système de sauvegarde. Il communique avec HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 Business Copy Manager pour piloter le HP StorageWorks Modular SAN Array 1000. Agent SSE (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Module logiciel Data Protector exécutant toutes les tâches nécessaires à une intégration de sauvegarde Split Mirror. Il communique avec le système de stockage HP StorageWorks Disk Glossaire Array XP à l'aide de l'utilitaire du Gestionnaire RAID XP (pour les systèmes HP-UX et Windows) ou de la bibliothèque du Gestionnaire RAID (pour les systèmes Solaris). agent Symmetrix (SYMA) (terme spécifique à EMC Symmetrix) Module logiciel Data Protector qui prépare l'environnement EMC Symmetrix aux opérations de sauvegarde et de restauration. AML (terme spécifique à EMASS/ GRAU) Automated Mixed-Media library, bibliothèque de supports mixtes automatisée. analyse Fonction permettant d'identifier les supports contenus dans un périphérique. Cette fonction synchronise la MMDB avec les supports se trouvant aux emplacements sélectionnés (les logements d'une bibliothèque, par exemple). Elle est utile pour analyser et vérifier le support effectivement présent dans le périphérique lorsque quelqu'un a manipulé le support manuellement sans utiliser Data Protector pour l'éjecter ou l'insérer, par exemple. API C Lotus (terme spécifique à Lotus Domino Server) Interface destinée à l'échange de données de sauvegarde et de récupération entre Lotus Domino Server et une solution de sauvegarde comme Data Protector. API de sauvegarde Programme Oracle servant d'interface entre l'utilitaire de sauvegarde/restauration d'Oracle et la couche de gestion des supports de sauvegarde/restauration. L'interface définit un ensemble de routines afin de permettre la lecture et l'écriture des données sur les supports de sauvegarde, ainsi que la création, la recherche et la suppression des fichiers de sauvegarde. API de serveur de sauvegarde Sybase (terme spécifique à Sybase) Interface standard développée pour l'échange de données de sauvegarde et de récupération entre un serveur Sybase SQL et une solution de sauvegarde telle que Data Protector. archivage des journaux (terme spécifique à Lotus Domino Server) Mode de connexion à la base de données Lotus Domino Server qui permet de n'écraser les fichiers journaux de transaction qu'après leur sauvegarde. BACKINT (terme spécifique à SAP R/3) Par le biais d'une interface ouverte, les programmes de sauvegarde SAP R/3 peuvent appeler l'interface backint Data Protector, laquelle leur permet de communiquer avec le logiciel Data Protector. En ce qui concerne la restauration et la sauvegarde, les G-3 Glossaire programmes SAP R/3 émettent des ordres destinés à l'interface backint Data Protector. banque de boîtes aux lettres (terme spécifique à MS Exchange 2000 Server) Partie de la banque d'informations conservant les informations relatives aux boîtes aux lettres des utilisateurs. Une banque de boîtes aux lettres est constituée d'un fichier binaire RTF .edb et d'un fichier de contenu Internet natif continu .stm. banque de dossiers publics (terme spécifique à MS Exchange 2000 Server) Partie de la banque d'informations conservant les informations se trouvant dans les dossiers publics. Une banque de dossiers publics est constituée d'un fichier binaire RTF .edb et d'un fichier de contenu Internet natif continu .stm. banque de répertoires (DS, pour Directory Store) (terme spécifique à MS Exchange) Partie du répertoire Microsoft Exchange Server. Ce répertoire contient des objets permettant aux applications Microsoft Exchange de rechercher et d'accéder aux services, boîtes aux lettres, destinataires, dossiers publics et autres objets pouvant être adressés au sein du système de messagerie. Voir aussi banque d'informations (MDB). G-4 banque d'informations (MDB) (terme spécifique à MS Exchange) Fournisseur de banque de messages par défaut pour Microsoft Exchange Server. La banque d'informations est constituée des éléments suivants : • banque d'informations publiques (MS Exchange 5.5 Server) ou banque de dossiers publics (MS Exchange 2000 Server) ; • banque d'informations privées (MS Exchange 5.5 Server) ou banque de boîtes aux lettres (MS Exchange 2000 Server) ; • banque de dossiers personnels ; • banque d'informations hors ligne. La banque d'informations publiques contient des dossiers et des messages publics pouvant être partagés entre plusieurs utilisateurs et applications. Tous les utilisateurs partagent une seule banque d'informations publiques au sein d'une organisation Microsoft Exchange Server, même lorsque le système utilise plusieurs serveurs. La banque d'informations privées est constituée de boîtes aux lettres pouvant appartenir à des utilisateurs ou à des applications. Les boîtes aux lettres résident sur le serveur sur lequel s'exécute Microsoft Exchange Server. Voir aussi banque de répertoires (DS). Glossaire banque d'informations privées (terme spécifique à MS Exchange 5.5 Server) Partie de la banque d'informations conservant les informations se trouvant dans les boîtes aux lettres des utilisateurs. Une banque de boîtes aux lettres est constituée d'un fichier binaire RTF .edb. basculement Transfert des données de cluster les plus importantes, également appelées groupe (Windows) ou package (Unix), d'un nœud de cluster à un autre. Un basculement peut se produire en raison de défaillances logicielles ou matérielles, ou d'opérations de maintenance au niveau du nœud primaire. base de données centralisée de gestion des supports (CMMDB) Voir CMMDB. base de données cible (terme spécifique à Oracle) Terme utilisé dans le contexte du Gestionnaire de récupération (RMAN). La base de données cible est celle qui est sauvegardée ou restaurée. base de données de registres COM+ La base de données de registres COM+ et la base de registres Windows stockent les attributs d'applications, de classes et de matériels COM+. Elles garantissent ainsi la cohérence entre ces attributs et assurent un fonctionnement commun pour gérer ces derniers. base de données du catalogue de récupération (terme spécifique à Oracle) Base de données Oracle contenant un schéma de catalogue de récupération. Ne stockez pas le catalogue de récupération dans votre base de données cible. base de données du gestionnaire de supports amovibles (terme spécifique à Windows) Service Windows pour la gestion de supports amovibles (tels que des bandes et des disques) et de périphériques de stockage (bibliothèques). Le stockage sur périphériques amovibles permet aux applications d'accéder aux mêmes ressources et de les partager. bases de données système (terme spécifique à Sybase) Les quatre bases de données système d'un Sybase SQL Server nouvellement installé sont les suivantes : • base de données principale (master), • base de données temporaire (tempdb), • base de données de procédure système (sybsystemprocs), • base de données modèle (model). G-5 Glossaire BC (terme spécifique à EMC Symmetrix) Business Continuance - Procédé permettant aux utilisateurs d'accéder et de gérer des copies instantanées des périphériques standard EMC Symmetrix. Voir aussi BCV. BC (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) La Business Copy XP permet à l'utilisateur de conserver des copies internes des LDEV HP StorageWorks Disk Array XP, notamment à des fins de sauvegarde ou de duplication de données. Les copies (volumes secondaires ou S-VOL) peuvent être séparées des volumes principaux (P-VOL) et connectées à un système différent, à des fins aussi diverses que la sauvegarde ou le développement. En ce qui concerne la sauvegarde, les P-VOL doivent être connectés au système d'application ; l'un des jeux de miroirs S-VOL doit, quant à lui, être connecté au système de sauvegarde. Voir aussi CA (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP), unité de commande principale et LDEV StorageWorks HP Disk Array XP. BC (terme spécifique à HP StorageWorks Virtual Array) Business Copy VA vous permet de conserver des copies internes des LUN HP StorageWorks Virtual Array pour la G-6 sauvegarde ou la duplication de données. Les copies (volumes secondaires ou S-VOL) peuvent être séparées des volumes principaux (P-VOL) et connectées à un système différent, à des fins aussi diverses que la sauvegarde ou le développement. En ce qui concerne la sauvegarde, les P-VOL doivent être connectés au système d'application ; l'un des jeux S-VOL doit, quant à lui, être connecté au système de sauvegarde. Voir aussi LUN HP StorageWorks Virtual Array. BC VA (terme spécifique HP StorageWorks Virtual Array) Business Copy VA vous permet de conserver des copies internes des LUN HP StorageWorks Virtual Array pour la sauvegarde ou la duplication de données dans une même batterie de disques virtuelle. Les copies (LUN enfants ou Business Copy) peuvent être utilisées à des fins aussi diverses que la sauvegarde, l'analyse de données ou le développement. Lorsqu'ils sont utilisés à des fins de sauvegarde, les LUN d'origine (parents) sont connectés au système d'applications. Les LUN Business Copy (enfants) sont, quant à eux, connectés au système de sauvegarde. BCV (terme spécifique à EMC Symmetrix) Business Continuance Volumes ou Glossaire périphériques BCV - il s'agit de SLD dédiés, préconfigurés dans l'ICDA sur lequel l'opération Business Continuance est exécutée. Des adresses SCSI distinctes, lesquelles diffèrent des adresses utilisées par les SLD dont elles sont le miroir, sont attribuées aux périphériques BCV. Ces derniers sont utilisés comme miroirs séparables des SLD EMC Symmetrix principaux devant être protégés. Voir aussi BC et Processus BC. bibliothèque Egalement appelée “autochanger”, “bibliothèque de banques magnétiques”, “autoloader” ou “échangeur”. Une bibliothèque contient des supports stockés dans des emplacements référentiels. Chaque emplacement contient un support (par exemple, DDS/DAT). Les supports sont déplacés entre les emplacements et les lecteurs par un mécanisme robotique permettant un accès aléatoire aux supports. Une bibliothèque peut contenir plusieurs lecteurs. bibliothèque ACS StorageTek (terme spécifique à StorageTek) Système de bibliothèque (également connu sous le nom de “silo”) constitué d'une unité de gestion de bibliothèque (LMU) et d'un à vingt-quatre modules de stockage en bibliothèque (LSM) connectés à l'unité. bibliothèque de bandes magnétiques Voir bibliothèque. bibliothèque de base de données Ensemble de routines Data Protector permettant le transfert de données entre Data Protector et le serveur d'une intégration de base de données en ligne, le serveur Oracle8/9 par exemple. bibliothèque du Gestionnaire RAID (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Bibliothèque utilisée en interne par Data Protector sur les systèmes Solaris pour permettre l'accès aux données de configuration, d'état et de performances de HP StorageWorks Disk Array XP, ainsi qu'aux fonctions clé de HP StorageWorks Disk Array XP, au moyen d'appels de fonction convertis en une séquence de commandes SCSI de bas niveau. boîte aux lettres (terme spécifique à MS Exchange) Emplacement où sont livrés les messages électroniques. Cet emplacement est défini par l'administrateur pour chaque utilisateur. Si un ensemble de dossiers personnels est désigné comme emplacement de distribution du courrier électronique, les messages sont acheminés de la boîte aux lettres vers cet emplacement. G-7 Glossaire BRARCHIVE (terme spécifique à SAP R/3) Outil de sauvegarde SAP R/3 permettant à l'utilisateur d'archiver les fichiers journaux de rétablissement. BRARCHIVE permet également d'enregistrer l'ensemble des journaux et profils du processus d'archivage. Voir aussi SAPDBA, BRBACKUP et BRRESTORE. BRBACKUP (terme spécifique à SAP R/3) Outil de sauvegarde SAP R/3 permettant d'effectuer une sauvegarde en ligne ou hors ligne du fichier de contrôle, de fichiers de données distincts ou de l'ensemble des espaces de tables et, le cas échéant, des fichiers journaux de rétablissement en ligne. Voir aussi SAPDBA, BRARCHIVE et BRRESTORE. BRRESTORE (terme spécifique à SAP R/3) Outil de sauvegarde SAP R/3 permettant de restaurer les types de fichier suivants : • • fichiers de données de base de données, fichiers de contrôle et fichiers journaux de rétablissement en ligne sauvegardés avec BRBACKUP ; fichiers journaux de rétablissement archivés avec BRARCHIVE ; G-8 • fichiers non base de données sauvegardés avec BRBACKUP. Vous pouvez spécifier des fichiers, des espaces de table, des sauvegardes complètes, des numéros de séquence de fichiers journaux de rétablissement ou l'ID de session de la sauvegarde. Voir aussi SAPDBA, BRBACKUP et BRARCHIVE. BSM Le Backup Session Manager Data Protector (Gestionnaire de session de sauvegarde) contrôle la session de sauvegarde. Ce processus est toujours exécuté sur le système du Gestionnaire de cellule. canal (terme spécifique à Oracle) Affectation de ressources du Gestionnaire de récupération Oracle8/9. Chaque canal affecté lance un nouveau processus Oracle8/9, qui effectue des opérations de sauvegarde, de restauration et de récupération. Le type de canal affecté détermine le type de support utilisé : • type “disque” • type “SBT_TAPE” Si le canal spécifié est de type “SBT_TAPE” et si Oracle 8/9 est intégré à Data Protector, le processus du Glossaire serveur essaie de lire les sauvegardes ou d'écrire les fichiers de données sur Data Protector. CAP (terme spécifique à StorageTek) Cartridge Access Port - port d'accès intégré au panneau-porte d'une bibliothèque permettant d'insérer ou d'éjecter les supports. catalogue de récupération (terme spécifique à Oracle) Ensemble de tables et d'affichages Oracle8/9 permettant au Gestionnaire de récupération de stocker des informations sur les bases de données Oracle8/9. Grâce à ces informations, le Gestionnaire de récupération peut gérer la sauvegarde, la restauration et la récupération des bases de données Oracle8/9. Le catalogue de récupération contient des informations sur : • le schéma physique de la base de données cible Oracle8/9, • les jeux de sauvegarde de fichiers de données et de journaux d'archive, • les copies de fichiers de données, • les journaux de rétablissement archivés, • les scripts stockés. CDB Catalog Database, Base de données du catalogue - Il s'agit d'une partie de la base de données IDB contenant des informations sur les sessions de sauvegarde et de restauration, ainsi que sur les données sauvegardées. En fonction du niveau de journalisation sélectionné, la CDB contient également les noms et versions de fichiers. Cette partie de la base de données se trouve toujours dans la cellule locale. Voir aussi MMDB. cellule Ensemble de systèmes contrôlés par un Gestionnaire de cellule. Une cellule représente habituellement les systèmes d'un site ou d'une entité organisationnelle qui sont connectés à un même réseau local. Un contrôle centralisé permet d'administrer les tâches et les stratégies de sauvegarde et de restauration. chaîne de périphériques Série de périphériques autonomes configurés pour une utilisation séquentielle. Lorsqu'un support est plein dans un périphérique, la sauvegarde se poursuit automatiquement sur un support du périphérique suivant dans la chaîne de périphériques. chaîne de sauvegarde Désigne une situation dans laquelle des sauvegardes complètes et incrémentielles sont effectuées. En fonction du niveau de G-9 Glossaire sauvegarde incrémentielle utilisé (Incr, Incr 1, Incr 2, etc.), des dépendances simples ou relativement complexes relient les sauvegardes incrémentielles en cours aux sauvegardes incrémentielles antérieures. La chaîne de sauvegarde désigne l'ensemble des sauvegardes, depuis les sauvegardes complètes jusqu'à celles effectuées à l'instant t souhaité, en passant par toutes les sauvegardes incrémentielles. changeur automatique Voir aussi bibliothèque. chargeurs Périphériques possédant plusieurs emplacements destinés au stockage des supports et disposant généralement d'un seul lecteur. Un chargeur sélectionne les supports dans une pile de manière séquentielle. Une bibliothèque, en revanche, peut sélectionner les supports de manière aléatoire depuis son référentiel. clé de session Cette variable d'environnement pour les scripts de préexécution et de post-exécution constitue une identification unique de session dans Data Protector, y compris pour les sessions de test. Elle n'est pas enregistrée dans la base de données, et sert à spécifier les commandes d'interface de ligne de commande omnimnt, omnistat et omniabort. G-10 client ou système client Tout système configuré avec des fonctions Data Protector et dans une cellule. client dynamique Voir sauvegarde de client avec découverte de disque. CMMDB Centralized Media Management Database, base de données centralisée de gestion des supports - La CMMDB Data Protector résulte de la fusion des bases de données de gestion des supports à partir de plusieurs cellules dans l'environnement MoM. Elle permet à l'utilisateur de partager des supports et périphériques haut de gamme avec plusieurs cellules dans un environnement MoM. Une cellule peut contrôler les systèmes robotiques desservant les périphériques connectés à des systèmes se trouvant dans d'autres cellules. La CMMDB doit résider sur le MoM Manager. Une connexion réseau fiable entre la cellule MoM et les autres cellules Data Protector est fortement recommandée. Voir aussi MoM. commandes pré- et post-exécution Les commandes pré- et post-exécution servent à réaliser une action supplémentaire avant et après une session de sauvegarde ou de restauration. Elles ne sont pas fournies avec Data Protector. L'utilisateur doit les créer lui-même. Elles peuvent être Glossaire rédigées sous la forme de programmes exécutables ou de fichiers séquentiels sous Windows, ou bien de scripts shell sous UNIX. compte utilisateur Vous ne pouvez utiliser Data Protector que si vous disposez d'un compte utilisateur Data Protector, lequel limite l'accès non autorisé à Data Protector et aux données sauvegardées. Les administrateurs Data Protector créent ce compte en spécifiant un nom d'utilisateur, les systèmes à partir desquels l'utilisateur peut se connecter et le groupe d'utilisateurs Data Protector auquel il sera affecté. Ces spécifications sont vérifiées chaque fois que l'utilisateur démarre l'interface Data Protector ou effectue certaines tâches. compte utilisateur Data Protector Vous ne pouvez utiliser Data Protector que si vous disposez d'un compte utilisateur Data Protector, lequel limite l'accès non autorisé à Data Protector et aux données sauvegardées. Les administrateurs Data Protector créent ce compte en spécifiant un nom d'utilisateur, les systèmes à partir desquels l'utilisateur peut se connecter et le groupe d'utilisateurs Data Protector auquel il sera affecté. Ces spécifications sont vérifiées chaque fois que l'utilisateur démarre l'interface Data Protector ou effectue certaines tâches. connexion circulaire (terme spécifique à MS Exchange et Lotus Domino Server) Mode de connexion aux bases de données Microsoft Exchange et Lotus Domino Server ; les fichiers journaux de transactions sont réécrits automatiquement lorsque les données qu'ils contiennent sont transmises à la base de données. contrôleur de domaine Un serveur d'un réseau responsable de la sécurité de l'utilisateur et de la vérification des mots de passe dans un groupe d'autres serveurs. copie miroir (terme spécifique à MS VSS) Volume représentant une copie du volume d'origine à un instant donné. La sauvegarde de données s'effectue alors depuis la copie miroir, et non depuis le volume d'origine. Le volume d'origine change à mesure que le processus de sauvegarde se poursuit ; la copie miroir, en revanche, demeure identique. Voir aussi service Microsoft Volume Shadow Copy. CRS Le processus CRS (Cell Request Server) s'exécute sur le Gestionnaire de cellule Data Protector. Il lance et contrôle les sessions de sauvegarde et de restauration. Le processus démarre dès G-11 Glossaire que Data Protector est installé sur le Gestionnaire de cellule. Le CRS s'exécute sous le compte racine sur les systèmes UNIX et sous tout compte Windows. Par défaut, il s'exécute sous le compte de l'utilisateur spécifié lors de l'installation. Une fois les disques développés, chacun d'entre eux hérite de toutes les options de son objet client principal. Même si les commandes pré- et post-exécution ne sont spécifiées qu'une seule fois, elles sont démarrées à plusieurs reprises, à raison d'une fois par objet. dbobject (terme spécifique à Informix) Objet base de données physique Informix. Il peut s'agir d'un blobspace, d'un dbspace ou d'un fichier journal logique. demande de montage Message apparaissant à l'écran et invitant l'utilisateur à insérer un support spécifique dans un périphérique. Lorsque vous avez répondu à la demande de montage en fournissant le support requis et en confirmant, la session se poursuit. DCBF Les fichiers binaires de catalogue des détails (DCBF) font partie de la base de données IDB. Ils contiennent les informations relatives aux attributs et aux versions de fichier et occupent environ 80 % de la base de données IDB. Par défaut, ces fichiers sont contenus dans un répertoire DC dont la taille maximale est de 2 Go. Vous pouvez créer d'autres répertoires DC. découverte des disques Détection des disques au cours de la sauvegarde d'un client avec découverte des disques. Lors de cette sauvegarde, Data Protector découvre (détecte) les disques présents sur le client (même s'ils ne l'étaient pas lors de la configuration de la sauvegarde) et les sauvegarde. Ce type de sauvegarde est très utile dans les environnements dynamiques où les configurations changent rapidement. G-12 disque partagé Disque Windows situé sur un autre système qui a été mis à la disposition d'autres utilisateurs du réseau. Les systèmes dotés de disques partagés peuvent être sauvegardés, même en l'absence d'un Agent de disque Data Protector. disque système Disque contenant les fichiers du système d'exploitation. La terminologie utilisée par Microsoft définit le disque système comme un disque contenant les fichiers nécessaires pour assurer les premières étapes du processus d'amorçage. disque virtuel (terme spécifique à HP StorageWorks Enterprise Virtual Array) Unité de stockage attribuée à partir d'un pool de disques HP StorageWorks Glossaire Enterprise Virtual Array. Les disques virtuels sont les entités dupliquées à l'aide de la fonctionnalité de sauvegarde de HP StorageWorks Enterprise Virtual Array. Voir aussi système d'application et unité d'origine. DMZ La zone démilitarisée (DMZ) est un réseau inséré en tant que “zone neutre” entre le réseau privé d'une société (intranet) et le réseau public extérieur (Internet). Elle empêche les utilisateurs externes d'accéder directement aux serveurs de la société sur l'intranet de celle-ci. données sauvegardées publiques/ privées Lors de la configuration d'une sauvegarde, l'utilisateur peut indiquer si les données sauvegardées seront : • publiques, c'est-à-dire visibles (et accessibles pour la restauration) à tous les utilisateurs Data Protector • privées, c'est-à-dire visibles (et accessibles pour la restauration) uniquement au propriétaire de la sauvegarde et aux administrateurs. DR OS Un système d'exploitation pour reprise après sinistre est un système d'exploitation dans lequel la reprise après sinistre s'effectue. Il fournit à Data Protector un environnement d'exécution de base (accès au disque, réseau, bande et au système de fichiers). Le système d'exploitation doit être installé et configuré pour que la reprise après sinistre Data Protector puisse être effectuée. Le DR OS peut être temporaire ou actif. Le DR OS temporaire est utilisé uniquement en tant qu'environnement hôte pour d'autres restaurations de systèmes d'exploitation, ainsi que pour les données de configuration du système d'exploitation. Il est supprimé à l'issue de la restauration du système cible dans la configuration système d'origine. Le DR OS actif héberge non seulement le processus de reprise après sinistre Data Protector, mais fait également partie du système restauré car il remplace ses propres données de configuration par les données de configuration d'origine. droits d'accès Voir droits des utilisateurs. droits utilisateur Les droits utilisateur ou droits d'accès correspondent aux autorisations nécessaires pour exécuter certaines tâches dans Data Protector, telles que la configuration d'une sauvegarde, le démarrage d'une session de sauvegarde ou le lancement d'une session de restauration. Les utilisateurs disposent des droits d'accès du groupe d'utilisateurs auquel ils appartiennent. G-13 Glossaire échangeur Egalement appelé “échangeur SCSI II”. Voir aussi bibliothèque. fichiers de données ou des volumes bruts qui lui sont exclusivement associés. emplacement Position mécanique au sein d'une bibliothèque. Chaque emplacement peut contenir un support, comme une bande DLT. Data Protector attribue un numéro à chaque emplacement. Pour être lu, un support est déplacé par un mécanisme robotique de son emplacement dans le lecteur. établissement (rétablissement) incrémentiel (terme spécifique à EMC Symmetrix) Opération de contrôle BCV ou SRDF. Dans les opérations de contrôle BCV, un établissement incrémentiel entraîne la synchronisation incrémentielle du périphérique BCV et son fonctionnement en tant que support EMC Symmetrix miroir. Des paires doivent avoir été préalablement définies entre les périphériques EMC Symmetrix. Dans les opérations de contrôle SRDF, un établissement incrémentiel entraîne la synchronisation incrémentielle du périphérique (R2) cible et son fonctionnement en tant que support EMC Symmetrix miroir. Des paires doivent avoir été préalablement définies entre les périphériques EMC Symmetrix. emplacement d'un support Emplacement physique d'un support défini par l'utilisateur, tel que “bâtiment 4” ou “stockage hors site”. environnement de sauvegarde d'entreprise Plusieurs cellules peuvent être regroupées et gérées depuis une cellule centrale. L'environnement de sauvegarde d'entreprise comprend tous les clients répartis entre plusieurs cellules Data Protector, lesquelles sont gérées et administrées à partir d'une cellule centrale utilisant le concept Manager-of-Managers. Voir aussi MoM. espace de table Partie de la structure d'une base de données. Chaque base de données est divisée de manière logique en un ou plusieurs espaces de table. Chaque espace de table contient des G-14 état de paire (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Une paire de disques miroir peut avoir différentes valeurs d'état, selon l'action effectuée. Les trois valeurs d'état les plus importantes sont les suivantes : Glossaire • COPY - La paire mise en miroir est en cours de resynchronisation. Les données sont transférées d'un disque à l'autre. Les disques ne contiennent pas les mêmes données. • PAIR - La paire mise en miroir est complètement synchronisée et les données stockées sur les deux disques (le volume principal et le volume miroir) sont identiques. • SUSPENDED - Le lien entre les disques miroir est suspendu. Cela signifie qu'il est possible d'accéder aux disques et de les mettre à jour indépendamment. Toutefois, la relation de miroir est maintenue et la paire de disques peut être resynchronisée sans pour autant effectuer un transfert complet du contenu du disque. état des supports Qualité des supports telle qu'elle est reflétée par les facteurs de condition de média. Plus l'âge et l'utilisation faite des supports sont importants, plus les risques d'erreurs de lecture et d'écriture sont élevés sur les supports à bande. Un support doit être remplacé lorsque son état est MEDIOCRE. état système (terme spécifique à Windows) Les données d'état système comprennent le registre, la base de données d'enregistrement de classe COM+, les fichiers de démarrage système et la base de données de services de certificats (à condition que le serveur soit du type “certificate server”). Si le serveur est un contrôleur de domaine, les données d'état système contiennent également le service d'annuaire Active Directory et le répertoire Sysvol. Si le serveur exécute le service de cluster, les données d'état système comprennent également les points de contrôle du registre de ressource et le journal de récupération de ressource quorum, qui contient les informations les plus récentes concernant la base de données de clusters. étiquette de support Identificateur défini par l'utilisateur et servant à décrire un support. exportation de supports Procédé consistant à supprimer de la base de données IDB toutes les données relatives aux sessions de sauvegarde (comme les systèmes, objets et noms des fichiers qui résident sur le support). Les informations relatives aux supports et à leur relation par rapport à un pool sont également supprimées de la base de données IDB. Toutefois, les données enregistrées sur les supports restent inchangées. Voir aussi importation de supports. G-15 Glossaire facteurs d'état des supports Limites d'âge et de réécriture définies par l'utilisateur pour déterminer l'état d'un support. Fibre Channel Norme ANSI pour l'interconnexion informatique à haute vitesse. Utilisant des câbles à fibre optique ou en cuivre, cette technologie permet la transmission bidirectionnelle ultra-rapide de fichiers de données volumineux, et peut être déployée entre des sites distants de plusieurs kilomètres. La technologie Fibre Channel relie les nœuds au moyen de trois topologies physiques différentes : point à point, en boucle et par commutation. fichier d'amorçage d'urgence (terme spécifique à Informix) Fichier de configuration Informix résidant dans le répertoire <INFORMIXDIR>\etc (sur HP-UX) ou <INFORMIXDIR>/etc (sous Windows) et appelé ixbar.<id_serveur>, où <INFORMIXDIR> correspond au répertoire de base du serveur en ligne et <id_serveur> à la valeur du paramètre de configuration SERVERNUM. Chaque ligne du fichier d'amorçage d'urgence correspond à un objet de sauvegarde. fichier CDF (terme spécifique à UNIX) Context Dependent File, fichier contextuel - Il s'agit d'un fichier G-16 constitué de plusieurs fichiers regroupés sous le même chemin d'accès. Le système sélectionne habituellement l'un des fichiers à l'aide du contexte du processus. Ce mécanisme permet à des exécutables dépendant des machines, à des fichiers de données système et à des fichiers de périphériques de fonctionner correctement depuis l'ensemble des hôtes d'un cluster, tout en utilisant le même chemin d'accès. fichier de base de données de ligne de commande EMC Symmetrix (terme spécifique à EMC Symmetrix) Voir fichier de base de données de ligne de commande Symmetrix fichier de base de données de ligne de commande Symmetrix (terme spécifique à EMC Symmetrix) Fichier de base de données EMC Symmetrix stockant les données de configuration EMC Symmetrix sur chaque système disposant d'une batterie de disques intégrée (ICDA) et d'une interface de ligne de commande (SYMCLI) EMC Symmetrix. fichier de contrôle (terme spécifique à Oracle et SAP R/3) Fichier de données Oracle contenant des entrées spécifiant la structure physique de la base de données. Il fournit des informations sur la cohérence de la base de données utilisées pour la récupération. Glossaire fichier de données (terme spécifique à Oracle et SAP R/3) Fichier physique créé par Oracle et contenant des structures de données telles que les tables et index. Un fichier de données ne peut appartenir qu'à une seule base de données Oracle. fichier d'options globales Fichier permettant à l'utilisateur de personnaliser Data Protector. Ce fichier fournit des informations sur les options globales, lesquelles concernent différents aspects de Data Protector, généralement les délais d'attente et les limites, et affectent la cellule Data Protector entière. Le fichier est situé dans le répertoire /etc/opt/omni/ options sur les systèmes HP-UX et Solaris et dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\config\ options sur les systèmes Windows. fichier de paramètres d'initialisation (terme spécifique à Oracle) Fichier Oracle8/9 contenant des informations expliquant comment initialiser une base de données et une instance. fichier DRS Le fichier de données de récupération système (DRS) Data Protector contient les informations système requises pour l'installation et la configuration du système d'exploitation en cas de sinistre. Il s'agit d'un fichier ASCII généré lorsque la sauvegarde de la CONFIGURATION est effectuée sur un client Windows, puis stockée sur le Gestionnaire de cellule. fichier épars Fichier contenant des données avec des parties de bloc vides. Exemples : matrice dont une partie ou la plupart des données contient des zéros ; fichiers provenant d'applications de visualisation d'images ; bases de données rapides. Si l'option de traitement des fichiers épars n'est pas activée pendant la restauration, il se peut que la restauration soit impossible. fichier jours chômés Fichier contenant des informations sur les jours chômés. Vous pouvez définir des jours chômés différents en modifiant le fichier Jours chômés : /etc/opt/omni/Holidays sur les systèmes Gestionnaires de cellule UNIX et <répertoire_Data_Protector>\ Config\Holidays sur les systèmes Gestionnaires de cellule Windows. fichier sqlhosts (terme spécifique à Informix) Fichier d'informations de connectivité Informix contenant les noms de tous les serveurs de base de données, ainsi que tous les alias auxquels les clients d'un ordinateur hôte peuvent se connecter. fichier sst.conf Le fichier /usr/kernel/ drv/sst.conf doit être présent sur chaque client Sun Solaris Data Protector auquel un périphérique de bibliothèque multi- G-17 Glossaire lecteurs est connecté. Il doit contenir une entrée pour l'adresse SCSI du mécanisme robotique de chaque périphérique de bibliothèque connecté au client. fichier st.conf Le fichier /kernel/drv/ st.conf doit être présent sur chaque client Solaris Data Protector auquel un périphérique de sauvegarde est connecté. Il doit contenir des informations sur le périphérique et une adresse SCSI pour chaque lecteur de sauvegarde connecté au client. Une seule entrée SCSI est requise pour un périphérique à lecteur unique, tandis qu'il en faut plusieurs pour un périphérique de bibliothèque multilecteurs. fichier TSANDS.CFG (terme spécifique à Novell NetWare) Fichier permettant à l'utilisateur de spécifier les noms des conteneurs à partir desquels les sauvegardes doivent commencer. Il s'agit d'un fichier texte situé dans le répertoire SYS:SYSTEM\ TSA du serveur où est chargé TSANDS.NLM. fichiers journaux de transactions (terme spécifique à MS Exchange et Lotus Domino Server) Fichiers contenant les modifications apportées à une base de données. G-18 fichiers journaux logiques Concerne la sauvegarde de base de données en ligne. Les fichiers journaux logiques sont des fichiers dans lesquels les données modifiées sont stockées avant d'être transférées au disque. En cas de panne, les fichiers journaux logiques permettent de repositionner toutes les transactions qui ont été transférées et d'annuler toutes celles qui ne l'ont pas encore été. flux de données Séquence de données transférées via le canal de communication. fnames.dat Les fichiers fnames.dat de la base de données IDB contiennent des informations sur les noms des fichiers sauvegardés. Ces fichiers occupent généralement 20 % environ de la base de données IDB si des noms de fichiers sont stockés. formatage Processus consistant à effacer toutes les données contenues sur un support et à préparer ce dernier pour l'utiliser avec Data Protector. Les informations relatives au support (ID du support, description et emplacement) sont enregistrées dans la base IDB ainsi que sur les supports concernés (en entête de ces derniers). Les supports Data Protector comportant des données protégées ne sont pas formatés tant que Glossaire la protection n'a pas expiré ou que la protection du support n'est pas retirée ou le support recyclé. fournisseur de copie miroir (terme spécifique à MS VSS) Entité réalisant la création et la représentation des copies miroir des volumes. Les fournisseurs possèdent les données des copies miroir et exposent les copies miroir. Ils peuvent être de type logiciel (fournisseurs système, par exemple) ou matériel (disques locaux, batteries de disques). Voir aussi copie miroir. fusion La fusion correspond à un mode de résolution de conflit de fichiers au cours d'une restauration. Si le fichier à restaurer se trouve déjà à l'emplacement de destination, c'est celui dont la date de modification est la plus récente qui est conservé. Les fichiers qui ne sont pas présents sur le disque sont toujours restaurés. Voir aussi ré-écriture. génération de sauvegarde Une génération de sauvegarde est constituée d'une sauvegarde complète et de toutes les sauvegardes incrémentielles effectuées jusqu'à la sauvegarde complète suivante. gestion centralisée des licences Data Protector permet de configurer une gestion centralisée des licences pour l'ensemble de l'environnement de l'entreprise, constitué de plusieurs cellules. Toutes les licences Data Protector sont installées et conservées dans le système du Gestionnaire de cellule d'entreprise. En fonction de vos besoins, vous pouvez ensuite affecter des licences à des cellules spécifiques. Voir aussi MoM. gestion de stockage hiérarchique (HSM, pour Hierarchical Storage Management) Méthode visant à optimiser l'utilisation de l'espace disque pour le stockage des données et consistant à faire migrer les données les moins souvent utilisées vers des disques optiques moins coûteux. Lorsque cela est nécessaire, les données migrent de nouveau sur le disque dur. Cette méthode permet de trouver un équilibre entre le besoin d'extraire rapidement les données du disque dur et l'utilisation de disques optiques moins coûteux. gestionnaire de cellule Système principal de la cellule dans lequel est installé le logiciel Data Protector central et d'où sont gérées toutes les activités de sauvegarde et de restauration. L'interface graphique utilisée pour les opérations de gestion peut se trouver sur G-19 Glossaire un système différent. Chaque cellule dispose d'un système de Gestionnaire de cellule. gestionnaire de récupération (RMAN) (terme spécifique à Oracle) Interface de ligne de commande Oracle8/9 contrôlant un processus du serveur Oracle8/9 pour la sauvegarde, la restauration ou la récupération de la base de données à laquelle il est connecté. RMAN stocke les informations sur les sauvegardes dans le catalogue de récupération ou dans le fichier de contrôle. Ces informations peuvent être utilisées lors de sessions de restauration ultérieures. gestionnaire RAID XP (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) L'application du Gestionnaire RAID XP met à disposition de l'utilisateur une liste complète de commandes permettant d'établir des rapports et de contrôler l'état des applications CA et BC. Ces commandes communiquent avec l'unité de commande de disque HP StorageWorks Disk Array XP par le biais d'une instance du Gestionnaire RAID. Cette instance convertit les commandes en une séquence de commandes SCSI de bas niveau. groupe (terme spécifique à Microsoft Cluster Server) Ensemble de ressources (par exemple, des volumes de disque, G-20 des services d'applications, des noms et adresses IP) nécessaires à l'exécution d'applications compatibles cluster spécifiques. groupe de disques (terme spécifique à Veritas Volume Manager) Unité de base de stockage des données dans un système VxVM. Un groupe de disques peut être constitué d'un ou plusieurs volumes physiques. Le système peut contenir plusieurs groupes de disques. groupe de périphériques (terme spécifique à EMC Symmetrix) Unité logique représentant plusieurs périphériques EMC Symmetrix. Un même périphérique ne peut appartenir à plus d'un groupe de périphériques. Tous les périphériques d'un groupe doivent se trouver sur la même unité EMCSymmetrix. Les groupes de périphériques vous permettent d'identifier et d'utiliser un sousensemble de périphériques EMC Symmetrix disponibles. groupe de stockage (terme spécifique à MS Exchange 2000) Ensemble de bases de données (banques) se partageant un jeu de fichiers journaux de transactions. Exchange gère chaque groupe de stockage au moyen d'un processus de serveur distinct. Glossaire groupe de volumes Unité de stockage des données dans un système LVM. Un groupe de volumes peut être constitué d'un ou plusieurs volumes physiques. Le système peut contenir plusieurs groupes de volumes. groupe d'utilisateurs Chaque utilisateur de Data Protector est membre d'un groupe d'utilisateurs, et chaque utilisateur faisant partie d'un groupe d'utilisateurs reçoit les mêmes droits. Le nombre de groupes d'utilisateurs et leurs droits utilisateur peuvent être définis librement. Dans Data Protector, on distingue trois groupes d'utilisateurs par défaut :Administrateur, Opérateur et Utilisateur. ITO HP Voir OVO. OpC HP Voir OVO. HP OpenView SMART Plug-In (SPI) Solution entièrement intégrée et prête à l'emploi qui vient compléter HP OpenView Operations, élargissant ainsi le domaine géré. Grâce à l'intégration Data Protector, laquelle est mise en œuvre sous la forme d'un module HP OpenView SMART Plug-In, un utilisateur peut disposer d'un nombre arbitraire de Gestionnaires de cellule Data Protector considérés comme une extension de HP OpenView Operations (OVO). HP OVO Voir OVO. HP VPO Voir OVO HSV Element Manager (terme spécifique à HP StorageWorks Enterprise Virtual Array) HSV Element Manager est utilisé par l'intégration de Data Protector HPStorageWorks Enterprise Virtual Array pour fournir les fonctions nécessaires à la technologie de virtualisation et à l'interface d'administration de l'environnement HP StorageWorks Enterprise Virtual Array. ICDA (terme spécifique à EMC Symmetrix) ICDA (Integrated Cached Disk Arrays) d'EMC est un périphérique à batterie de disques combinant un ensemble de disques physiques, un certain nombre de canaux FWD SCSI, une mémoire cache interne et un logiciel de contrôle et de diagnostic communément appelé “microcode”. ID de connexion (terme spécifique à MS SQL Server) Nom sous lequel un utilisateur se connecte à Microsoft SQL Server. Pour qu'un ID de connexion soit reconnu, une entrée doit avoir été créée pour l'utilisateur associé dans la table système syslogin de Microsoft SQL Server. G-21 Glossaire ID de session Cette variable d'environnement est définie par Data Protector lors des sessions de sauvegarde (et non lors des tests). Elle identifie une session et est enregistrée dans la base de données. relatives aux sessions de sauvegarde qui se trouvent sur le support. Ceci permet ensuite à l'utilisateur d'accéder rapidement et facilement aux données stockées sur les supports. Voir aussi exportation de supports. ID de support Identificateur unique attribué à un support par Data Protector. index de lecteur Numéro permettant d'identifier la position mécanique d'un lecteur au sein d'une bibliothèque. Le contrôle robotique utilise ce numéro pour accéder à un lecteur. ID d'objet (terme spécifique à Windows) Les ID d'objet (OID) permettent d'accéder aux fichiers NTFS 5, quel que soit l'emplacement de ces derniers au sein du système. Data Protector considère les OID comme des flux de fichiers. IDB Base de données interne de Data Protector, située sur le Gestionnaire de cellule, qui permet d'identifier les données sauvegardées, le type de support, la façon dont les sessions de sauvegarde et de restauration doivent se dérouler, ainsi que les périphériques et bibliothèques configurés. image DR Données requises pour l'installation et la configuration temporaires du système d'exploitation pour reprise après sinistre (DR OS). importation de supports Procédé consistant à relire dans la base de données IDB l'ensemble des données G-22 inet Processus s'exécutant sur chaque système UNIX ou service s'exécutant sur chaque système Windows dans la cellule Data Protector. Il est responsable de la communication entre les systèmes de la cellule et du lancement des processus requis pour la sauvegarde et la restauration. Le service Inet est lancé dès que Data Protector est installé sur un système. Le processus Inet est démarré par le démon inetd. informations de connexion à la base de données cible Oracle Le format des informations de connexion est le suivant : <nom_utilisateur>/<mot de passe>@<service>, où : • <nom_utilisateur> est le nom sous lequel un utilisateur est reconnu par le serveur Oracle et par les autres utilisateurs. Chaque nom d'utilisateur est associé à un mot de Glossaire passe ; l'utilisateur doit les entrer tous les deux pour pouvoir se connecter à une base de données cible Oracle. Il doit également disposer de droits SYSDBA ou SYSOPER Oracle. • • <mot de passe> est une chaîne de caractères utilisée à des fins de protection des données et connue de l'utilisateur seul. Les utilisateurs doivent entrer un mot de passe pour pouvoir se connecter à un système d'exploitation ou à une application logicielle. Ce mot de passe doit correspondre à celui figurant dans le fichier de mots de passe Oracle (fichier orapwd) ; ce fichier permet d'authentifier les utilisateurs chargés de l'administration de la base de données. <service> est le nom servant à identifier un processus de serveur SQL*Net pour la base de données cible. informations de connexion à la base de données du catalogue de récupération (terme spécifique à Oracle) Le format des informations de connexion à la base de données du catalogue de récupération (Oracle8) est le suivant : <nom_utilisateur>/<mot de passe>@<service>, où la description du nom d'utilisateur, du mot de passe et du nom du service est la même que celle qui figure dans les informations de connexion SQL*Net V2 à la base de données cible Oracle. Dans ce cas, le <service> correspond au nom du service de la base de données catalogue de récupération et non à la base de données cible Oracle. Remarque : l'utilisateur Oracle spécifié doit être le propriétaire du catalogue de récupération (Oracle8/9). initialisation Voir formatage. instance Oracle (terme spécifique à Oracle) Chaque installation de base de données Oracle sur un ou plusieurs systèmes. Plusieurs instances de base de données peuvent s'exécuter sur un même système informatique. interface de lignes de commande Ensemble de commandes de type DOS et UNIX qui peuvent être utilisées dans les scripts shell pour effectuer des tâches de configuration, de sauvegarde, de restauration et de gestion dans Data Protector. interface de ligne de commande EMC Symmetrix (SYMCLI) (terme spécifique à EMC Symmetrix) Voir interface de ligne de commande Symmetrix (SYMCLI) G-23 Glossaire interface de ligne de commande Symmetrix (SYMCLI) (terme spécifique à EMC Symmetrix) Application développée à l'aide de l'interface de programmation d'applications Symmetrix (SYMAPI) qui récupère des données depuis une unité EMC Symmetrix utilisant certaines commandes SCSI de bas niveau. L'interface SYMCLI permet d'exécuter des commandes sur le système client afin d'obtenir des informations sur la configuration, l'état et les performances des unités EMC Symmetrix reliées à des clients évoluant dans un environnement ouvert. interface de périphérique virtuel (terme spécifique à MS SQL Server 7.0/ 2000) Interface de programmation de SQL Server 7.0/2000 permettant de sauvegarder et de restaurer rapidement des bases de données volumineuses. interface de programmation d'applications EMC Symmetrix (SYMAPI) (terme spécifique à EMC Symmetrix) Voir interface de programmation d'applications Symmetrix (SYMAPI, Symmetrix Application Programming Interface) G-24 interface utilisateur graphique Interface utilisateur graphique interplate-forme (X11/Motif et Windows) fournie par Data Protector pour offrir un accès aisé à l'ensemble des tâches de configuration et d'administration. interface XBSA (terme spécifique à Informix) L'utilitaire onbar et Data Protector communiquent par le biais de l'interface XBSA (X/Open Backup Specification Services Programmer's Interface). Internet Information Server (IIS) (terme spécifique à Windows) Microsoft Internet Information Server est un fichier réseau et un serveur d'applications qui prend en charge de nombreux protocoles. La fonction principale d'IIS consiste à transmettre les informations des pages HTML (Hypertext Markup Language) à l'aide du protocole HTTP (Hypertext Transport Protocol). ISQL (terme spécifique à Sybase) Utilitaire Sybase servant à effectuer des tâches d'administration système sur Sybase SQL Server. ITO Voir OVO. Glossaire jeu de copies miroir (terme spécifique à MS VSS) Ensemble de copies miroir créées au même instant. Voir aussi copie miroir. jeu de disquettes ASR Ensemble de fichiers stockés sur plusieurs disquettes et nécessaires pour la reconfiguration appropriée du disque de remplacement (partitionnement du disque et configuration des volumes logiques), ainsi que pour la restauration automatique du système d'origine et des données utilisateur sauvegardées lors de la sauvegarde complète du client. Ces disquettes sont nécessaires pour effectuer l'ASR. jeu de sauvegarde Voir jeu de supports. jeu de sauvegarde (terme spécifique à Oracle) Sauvegarde d'un ou de plusieurs fichiers Oracle8/9 au cours de laquelle les fichiers sont multiplexés en vue d'obtenir de meilleures performances. Les fichiers des jeux de sauvegarde doivent être extraits à l'aide d'une commande de restauration. Il existe deux types de jeu de sauvegarde : les fichiers de données et les journaux d'archive. jeu de supports Une session de sauvegarde a pour résultat le stockage de données sur un groupe de supports appelé “jeu de supports”. Selon la stratégie d'utilisation des supports, plusieurs sessions peuvent se partager les mêmes supports. jonction de répertoires (terme spécifique à Windows) Les jonctions de répertoires utilisent le concept de point d'analyse de Windows. Une jonction de répertoire NTFS 5 permet à l'utilisateur de rediriger une requête de répertoire/fichier vers un autre emplacement. journal de rétablissement (terme spécifique à Oracle) Chaque base de données Oracle dispose d'un ensemble de plusieurs fichiers journaux de rétablissement. Cet ensemble est appelé “journal de rétablissement de la base de données”. Oracle y consigne toutes les modifications apportées aux données. journal d'événements Data Protector Référentiel central de l'ensemble des notifications ayant trait à Data Protector. Par défaut, toutes les notifications sont envoyées au journal d'événements. Ce dernier n'est accessible qu'aux utilisateurs Data Protector appartenant au groupe Admin et à ceux qui disposent des droits utilisateur Rapports et G-25 Glossaire notifications. Vous pouvez afficher ou supprimer l'ensemble des événements du journal. journal de rétablissement en ligne Voir journal de rétablissement archivé. journal de rétablissement archivé (terme spécifique à Oracle) Egalement appelé journal de rétablissement hors ligne. Si la base de données Oracle8/9 fonctionne en mode ARCHIVELOG, chaque journal de rétablissement en ligne, lorsqu'il est plein, est copié dans un (ou plusieurs) emplacement(s) de destination des journaux archivés. Cette copie est appelée Journal de rétablissement archivé. La présence ou l'absence de ce journal dépend du mode de fonctionnement de la base de données : journal de rétablissement en ligne • • ARCHIVELOG - Les fichiers journaux de rétablissement en ligne, une fois pleins, sont archivés avant d'être réutilisés. La base de données peut être récupérée à partir d'une défaillance de disque ou d'instance. Vous ne pouvez effectuer de sauvegarde “à chaud” que si la base de données fonctionne dans ce mode. NOARCHIVELOG - Les fichiers journaux de rétablissement en ligne ne sont pas archivés. Voir aussi journal de rétablissement en ligne. G-26 (terme spécifique à Oracle) Journaux de rétablissement qui n'ont pas été archivés, mais qui sont à la disposition de l'instance à des fins d'enregistrement de la base de données ou qui sont pleins et attendent d'être archivés ou réutilisés. Voir aussi journal de rétablissement archivé. journaux de transactions (terme spécifique à Data Protector) Assure le suivi des modifications de la base de données IDB. Il est recommandé d'activer l'archivage des journaux de transactions pour éviter de perdre les fichiers journaux créés après la dernière sauvegarde de la base de données IDB et nécessaires à sa récupération. journaux d'événements Fichiers dans lesquels Windows enregistre tous les événements, tels que le démarrage et l'interruption des services, et les connexions et déconnexions des utilisateurs. Data Protector peut sauvegarder les journaux d'événements Windows dans le cadre de la sauvegarde de la configuration Windows. Glossaire LBO (terme spécifique à EMC Symmetrix) Logical Backup Object, objet sauvegarde logique - Un LBO est un objet de stockage/récupération de données dans l'environnement EMC Symmetrix. Il est stocké/récupéré par EMC Symmetrix comme une entité unique et ne peut être restauré que dans son intégralité. LDEV HP StorageWorks Disk Array XP (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Partition logique d'un disque physique dans une batterie de disques HP StorageWorks Disk Array XP. Les LDEV sont des entités mises en miroir avec les configurations Continuous Access XP (CA) et Business Copy XP (BC). Voir aussi BC (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) et CA (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP). lecteur Unité physique recevant des données provenant d'un système informatique et capable de les écrire sur un support magnétique (généralement un lecteur de bande). Un lecteur peut également lire les données du support et les envoyer au système informatique. liste de préallocation Dans un pool de supports, sous-ensemble de supports définissant l'ordre dans lequel les supports sont utilisés pour la sauvegarde. LISTENER.ORA (terme spécifique à Oracle) Fichier de configuration Oracle décrivant un ou plusieurs listeners TNS (Transparent Network Substrate) sur un serveur. LUN HP StorageWorks Virtual Array (terme spécifique à HP StorageWorks Virtual Array) Partition logique d'un disque physique dans une batterie de disques HP StorageWorks Virtual Array. Les LUN sont des entités répliquées à l'aide de la configuration Business Copy VA HP StorageWorks. Voir aussi BC (terme spécifique à HP StorageWorks Virtual Array). LVM Un LVM (Logical Volume Manager), ou gestionnaire de volume logique, est un sous-système permettant de structurer l'espace disque physique et de le mettre en correspondance avec les volumes logiques sur les systèmes UNIX. Un système LVM est constitué de plusieurs groupes de volumes, comportant chacun plusieurs volumes. G-27 Glossaire Manager-of-Managers (MoM) Voir Gestionnaire de cellule Enterprise. condition toutefois que les applications soient compatibles avec le modèle MMC. MAPI (terme spécifique à MS Exchange) L'interface MAPI (Messaging Application Programming Interface) est l'interface de programmation qui permet aux applications et aux clients de messagerie de communiquer avec les systèmes de messagerie et d'information. Microsoft SQL Server 7.0/2000 Système de gestion de base de données conçu pour répondre aux besoins du traitement distribué “client-serveur”. MFS Le MFS (Migrating File System), ou système de fichiers migrant, met des fonctions de migration à la disposition d'un système de fichiers JFS standard (sur HP-UX 11.00). Il est accessible via une interface de système de fichiers standard (DMAPI), et se monte sur un répertoire comme n'importe quel système de fichiers HP-UX. Dans un MFS, seules les informations de superbloc, d'inode et d'attribut étendu demeurent en permanence sur le disque dur et ne migrent jamais. Voir aussi VBFS. Microsoft Management Console (MMC) (terme spécifique à Windows) Modèle d'administration pour environnements Windows. Cette console met à votre disposition une interface utilisateur d'administration simple, cohérente et intégrée permettant de gérer de nombreuses applications à partir d'une seule et même interface, à G-28 miroir (terme spécifique à ZBD) Voir unité de réplique. miroir de premier niveau (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) HP StorageWorks Disk Array XP peut comporter jusqu'à trois copies miroir d'un volume principal, chacune d'entre elles pouvant également posséder deux copies supplémentaires. Les trois copies miroir sont appelées miroirs de premier niveau. Voir aussi Volume principal et numéros de MU. mise au coffre de média Procédé consistant à stocker des supports dans un emplacement sécurisé et distant. Les supports sont retournés au “centre de données” lorsqu'une restauration de données est nécessaire ou lorsqu'ils sont prêts à être réutilisés pour d'autres sauvegardes. La façon dont la mise au coffre est réalisée dépend de la stratégie de sauvegarde adoptée par votre entreprise et de sa politique de protection et de fiabilité de données. Glossaire MMD Le processus (service) MMD (Media Management Daemon), ou démon de gestion des supports, s'exécute sur le Gestionnaire de cellule Data Protector et contrôle les opérations relatives aux périphériques et à la gestion des supports. Le processus démarre dès que Data Protector est installé sur le Gestionnaire de cellule. MMDB La base de données de gestion des supports (MMDB) fait partie de la base de données IDB, laquelle contient les informations concernant les supports, les pools de supports, les périphériques, les bibliothèques, les lecteurs de bibliothèques et les emplacements configurés dans la cellule, ainsi que les supports Data Protector utilisés pour la sauvegarde. Dans un environnement de sauvegarde d'entreprise, cette partie de la base de données peut être commune à toutes les cellules. Voir aussi CMMDB, CDB. module d'écriture (terme spécifique à MS VSS) Processus initiant la modification des données sur le volume d'origine. Les modules d'écriture sont généralement des applications ou des services système rédigeant des informations permanentes sur un volume. Ils participent également au processus de synchronisation des copies miroir en assurant la cohérence des données. MoM Plusieurs cellules peuvent être regroupées et gérées depuis une cellule centrale. Le système de gestion de la cellule centrale est le Manager-ofManagers (MoM). Celui-ci permet à l'utilisateur de configurer et de gérer plusieurs cellules à partir d'un point central. moteur de stockage extensible (ESE, pour Extensible Storage Engine) (terme spécifique à MS Exchange) Technologie de base de données servant de système de stockage pour les échanges d'informations avec le serveur Microsoft Exchange 2000. moteur XCopy (terme spécifique à la sauvegarde directe) Commande SCSI-3 permettant de copier des données d'un périphérique de stockage doté d'une adresse SCSI source vers un périphérique de stockage doté d'une adresse SCSI cible, autorisant ainsi une sauvegarde directe. Les données transitent du périphérique source (en bloc ou en continu, c'est-à„“dire sur disque ou sur bande) vers le périphérique cible (en bloc ou en continu) via XCopy. Ainsi, le serveur de contrôle n'a plus besoin de transférer les données du périphérique de stockage vers la mémoire ni de les écrire sur le périphérique cible. Voir aussi sauvegarde directe. G-29 Glossaire MSM Le Gestionnaire de session de supports (Media Session Manager) de Data Protector s'exécute sur le Gestionnaire de cellule et régit les sessions de supports, telles que la copie de supports. niveau de journalisation Le niveau de journalisation indique le nombre de détails concernant les fichiers et répertoires qui sont écrits dans la base de données IDB pendant la sauvegarde. Vous pouvez toujours restaurer vos données, sans tenir compte du niveau de journalisation utilisé pendant la sauvegarde. Data Protector propose quatre niveaux de journalisation : Journaliser tout, Journaliser répertoires, Journaliser fichiers, Pas de journalisation. Les différents paramètres de niveau de journalisation influent sur la croissance de la base de données IDB, la vitesse de sauvegarde et la facilité d'exploration des données à restaurer. nom de verrou Vous pouvez configurer plusieurs fois le même périphérique physique avec des caractéristiques différentes en utilisant des noms de périphérique distincts. Le nom de verrou est une chaîne spécifiée par l'utilisateur servant à verrouiller toute configuration de périphérique de ce type afin d'empêcher G-30 un conflit si plusieurs de ces périphériques (noms de périphériques) sont utilisés simultanément. numéro de MU (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Chiffre entier (0, 1 ou 2) servant à indiquer qu'il s'agit d'un miroir de premier niveau. Voir aussi miroir de premier niveau. obdrindex.dat Base de données IDB stockant des informations sur les sauvegardes IDB, les périphériques et les supports utilisés pour la sauvegarde. Ces données peuvent simplifier considérablement la restauration de la base de données IDB. Il est recommandé de déplacer le fichier, ainsi que les journaux de transactions de la base de données IDB, sur un disque physique séparé des autres répertoires de la base IDB, mais aussi de faire une copie du fichier et de la mettre à l'emplacement de votre choix. objet Le terme “objet” se définit de plusieurs façons différentes : • pour les clients Windows, il s'agit d'un disque logique (comme d:) ; • pour les clients UNIX, il s'agit d'un système de fichiers monté ou d'un point de montage ; • pour les clients Novell Netware, il s'agit d'un volume. Glossaire L'étendue des données constituant l'objet peut être réduite grâce à la sélection de fichiers ou de répertoires. En outre, un objet peut être une entité de base de données. objet sauvegardé Les données sélectionnées pour la sauvegarde, telles qu'un disque, un fichier, un répertoire ou une base de données complète ou partielle. Au cours de la session de sauvegarde, Data Protector lit le contenu des objets, transfère les données (sur le réseau) et les écrit sur les supports situés dans les périphériques. OmniStorage Logiciel permettant d'effectuer une migration transparente des données les moins utilisées vers la bibliothèque optique et de conserver les plus utilisées sur le disque dur. HP OmniStorage fonctionne sur les systèmes HP-UX. ON-Bar (terme spécifique à Informix) Système de sauvegarde et de restauration du serveur en ligne. ON-Bar permet à l'utilisateur de créer une copie des données stockées sur son serveur en ligne et de les restaurer ultérieurement. Le système de sauvegarde et de restauration ON-Bar nécessite l'intervention des composants suivants : • utilitaire onbar • Data Protector (en tant que solution de sauvegarde) • interface XBSA • tables de catalogue ON-Bar servant à sauvegarder les dbobjects et à effectuer un suivi des instances de dbobjects dans plusieurs sauvegardes. ONCONFIG (terme spécifique à Informix) Variable d'environnement spécifiant le nom du fichier de configuration ONCONFIG actif. En cas d'absence de la variable d'environnement ONCONFIG, les valeurs de configuration du fichier <INFORMIXDIR>\etc\onconfig (sur les systèmes HP-UX) ou <INFORMIXDIR>/etc/onconfig (sur les systèmes Windows) sont utilisées. OpC Voir OVO. opérateurs booléens Les opérateurs booléens pour la fonction de recherche sur le texte entier du système d'aide en ligne sont AND, OR, NOT et NEAR (ET, OU, NON et PROCHE). Utilisés lors d'une recherche, ils vous permettent de définir précisément votre requête en établissant une relation entre les termes de la recherche. AND est utilisé par défaut lorsque vous ne spécifiez aucun opérateur dans une recherche avec G-31 Glossaire plusieurs termes. Par exemple, la requête reprise manuelle après sinistre est identique à reprise AND (ET) sinistre AND (ET) manuelle. opération hors contrôle ou opération sans surveillance Sauvegarde ou restauration ayant lieu en dehors des heures normales de bureau, ce qui signifie qu'aucun opérateur n'est présent pour utiliser l'application de sauvegarde ou les demandes de montage de service, par exemple. opération sans surveillance Voir opération hors contrôle. OVO HP OpenView Operations pour Unix offre des fonctions puissantes pour gérer les opérations d'un grand nombre de systèmes et d'applications à l'intérieur d'un réseau. Data Protector fournit une intégration de ce produit de gestion. Cette intégration est mise en œuvre sous la forme d'un module SMART Plug-In pour les serveurs de gestion OVO sous HP-UX et Solaris. Les versions antérieures d'OVO se nommaient IT/ Operation, Operations Center et Vantage Point Operations. Voir aussi fusion. package (terme spécifique à MC/ ServiceGuard et à Veritas Cluster) Ensemble de ressources (groupes de volumes, services d'applications, noms G-32 et adresses IP, par exemple) nécessaires à l'exécution d'une application compatible cluster spécifique. paquet magique Voir Wake ONLAN. parallélisme Concept consistant à lire plusieurs flux de données depuis une base de données en ligne. parallélisme de bases de données Plusieurs bases de données sont sauvegardées simultanément si le nombre de périphériques disponibles permet d'effectuer des sauvegardes en parallèle. partage de charge Par défaut, Data Protector équilibre automatiquement la charge (l'utilisation) des périphériques sélectionnés pour la sauvegarde, afin que ces derniers soient utilisés de manière uniforme. Ce procédé permet d'optimiser l'utilisation des périphériques en équilibrant le nombre et la taille des objets sauvegardés sur chacun. Cette opération s'effectuant automatiquement pendant la sauvegarde, l'utilisateur n'a pas besoin de gérer la sauvegarde des données ; il lui suffit de spécifier les périphériques à utiliser. Si cette option est désactivée, sélectionnez le périphérique à utiliser pour chacun des objets de votre Glossaire spécification de sauvegarde, et Data Protector accédera à ces périphériques dans l'ordre spécifié. partie ZDB de la base IDB (terme spécifique à ZBD) Partie de la base de données IDB stockant des informations relatives à ZDB telles que les versions de stockage d'origine et de réplique et des informations relatives notamment à la sécurité. La partie ZDB de la base IDB est utilisée pour ZDB, pour les restaurations instantanées et Split Mirror. Voir aussi sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB). partition système Partition contenant les fichiers du système d'exploitation. La terminologie utilisée par Microsoft définit la partition système comme une partition contenant les fichiers nécessaires pour assurer les premières étapes du processus d'amorçage. passage Voir basculement périphérique Unité physique contenant soit un lecteur, soit une unité plus complexe (une bibliothèque par exemple). périphérique cible (R2) (terme spécifique à EMC Symmetrix) Périphérique EMC Symmetrix prenant part aux opérations SRDF avec un périphérique source (R1). Il réside sur l'unité EMC Symmetrix distante. Il est apparié à un périphérique source (R1) dans l'unité EMC Symmetrix locale et reçoit toutes les données écrites sur le périphérique dont il est le miroir. Pendant les opérations d'E/S courantes, les applications utilisateur ne peuvent accéder à ce périphérique cible. Tout périphérique R2 doit être affecté à un type de groupe RDF2. Voir aussi périphérique source (R1) périphérique compatible OBDR Périphérique capable d'émuler un lecteur de CD-ROM contenant un disque amorçable et pouvant donc servir de périphérique de sauvegarde ou d'amorçage à des fins de reprise après sinistre. périphérique de sauvegarde Périphérique configuré pour une utilisation avec Data Protector, capable d'écrire et de lire des données sur un support de stockage. Il peut s'agir, par exemple, d'un lecteur DDS/DAT autonome ou d'une bibliothèque. périphérique en mode continu On dit d'un périphérique qu'il fonctionne en mode continu s'il peut fournir un volume de données suffisant au support pour que ce dernier fonctionne en continu. Dans le cas contraire, G-33 Glossaire l'avancement de la bande doit être interrompu, le périphérique attend d'avoir reçu d'autres données, fait légèrement reculer la bande, puis reprend l'écriture des données, et ainsi de suite. En d'autres termes, si le taux auquel les données sont écrites sur la bande est inférieur ou égal à celui auquel elles sont fournies au périphérique par le système informatique, le périphérique fonctionne en mode continu. Ce procédé améliore considérablement les performances du périphérique et la gestion de l'espace de stockage. périphérique physique Unité physique contenant soit un lecteur, soit une unité plus complexe (une bibliothèque, par exemple). périphérique source (R1) (terme spécifique à EMC Symmetrix) Périphérique EMC Symmetrix prenant part aux opérations SRDF avec un périphérique cible (R2). Toutes les données écrites sur ce périphérique sont mises en miroir sur un périphérique cible (R2) situé sur une unité EMC Symmetrix distante. Tout périphérique R1 doit être attribué à un type de groupe RDF1. Voir aussi périphérique cible (R2). planificateur Fonction permettant de contrôler le moment et la fréquence des sauvegardes automatiques. En G-34 définissant un calendrier, l'utilisateur peut automatiser le lancement des sauvegardes. point d'analyse (terme spécifique à Windows) Attribut contrôlé par le système et pouvant être associé à tout répertoire ou fichier. La valeur d'un attribut d'analyse peut avoir des données définies par l'utilisateur. Le format des données est reconnu par l'application sur laquelle elles étaient stockées et par un filtre de système de fichiers installé dans le but de permettre l'interprétation des données et le traitement des fichiers. Chaque fois que le système de fichiers rencontre un fichier comportant un point d'analyse, il essaie de trouver le filtre de système de fichiers associé au format de données. point de montage Point d'accès à un disque ou à un volume logique dans une structure de répertoires, par exemple / opt ou d:. Sous UNIX, les points de montage sont accessibles au moyen de la commande bdf ou df. point de montage de volume (terme spécifique à Windows) Répertoire vide sur un volume pouvant être utilisé pour le montage d'un autre volume. Le point de montage de volume sert de passerelle vers le volume cible. Une fois le volume monté, les utilisateurs et les applications peuvent consulter les données stockées sur Glossaire celui„-“ci par le chemin d'accès au système de fichiers complet (fusionné), comme si les deux volumes ne faisaient qu'un. pont FC Voir pont Fibre Channel pont Fibre Channel Un pont ou multiplexeur Fibre Channel permet de réaliser une migration des périphériques SCSI parallèles existants, tels que les batteries de disques RAID, les disques SSD et les bibliothèques de bandes vers un environnement Fibre Channel. Une interface Fibre Channel se trouve à une extrémité du pont ou multiplexeur. Des ports SCSI parallèles se trouvent à l'autre extrémité. Le pont ou multiplexeur permet de déplacer les paquets SCSI entre les périphériques Fibre Channel et SCSI parallèles. pool de supports Ensemble de supports du même type (DDS par exemple), utilisé et suivi comme un groupe. Les supports sont formatés et attribués à un pool. pool libre Source auxiliaire de supports utilisée par les pools n'ayant plus aucun support disponible. Les pools de supports doivent être configurés pour l'utilisation de pools libres. post-exécution Option de sauvegarde qui exécute une commande ou un script après la sauvegarde d'un objet ou une fois que la session de sauvegarde est terminée. Les commandes de postexécution ne sont pas fournies avec Data Protector. L'utilisateur doit les créer lui-même. Elles peuvent être rédigées sous la forme de programmes exécutables ou de fichiers séquentiels sous Windows, ou bien de scripts shell sous UNIX. Voir aussi pré-exécution. pré-exécution Option de sauvegarde qui exécute une commande ou un script avant la sauvegarde d'un objet ou avant que la session de sauvegarde ne démarre. Les commandes de préexécution ne sont pas fournies avec Data Protector. L'utilisateur doit les créer lui-même. Elles peuvent être rédigées sous la forme de programmes exécutables ou de fichiers séquentiels sous Windows, ou bien de scripts shell sous UNIX. Voir aussi post-exécution. processus BC (terme spécifique à EMC Symmetrix) Solution d'environnement de stockage protégé dans le cadre de laquelle des périphériques EMC Symmetrix ont été spécialement configurés en tant que miroirs ou volumes de continuité d'activité pour protéger les données G-35 Glossaire stockées sur des périphériques EMC Symmetrix standard. Voir aussi BCV. profil utilisateur (terme spécifique à Windows) Informations de configuration définies pour chaque utilisateur. Ces informations comprennent la configuration du bureau, les couleurs d'écran sélectionnées, les connexions réseau, etc. Lorsqu'un utilisateur se connecte, le système charge son profil et l'environnement Windows le prend en compte. propriétaire de la sauvegarde Tout objet sauvegardé de la base de données IDB a un propriétaire. Par défaut, il s'agit de l'utilisateur qui a lancé la session de sauvegarde. propriété La propriété d'une sauvegarde détermine qui est autorisé à restaurer des fichiers à partir de la sauvegarde. Le propriétaire de la session est la personne qui démarre la sauvegarde interactive. Si un utilisateur démarre une spécification de sauvegarde existante sans la modifier, la session n'est pas considérée comme interactive. Dans ce cas, si le propriétaire de la sauvegarde a été défini dans la spécification de la sauvegarde, celui-ci reste le propriétaire de la session. Dans le cas contraire, le propriétaire de la session est l'utilisateur qui a démarré la G-36 sauvegarde concernée. Pour les sauvegardes planifiées, le propriétaire par défaut de la session pour le Gestionnaire de cellule Unix est root.sys@<Gestionnaire de cellule>. Pour le Gestionnaire de cellule Windows, il s'agira de l'utilisateur indiqué pendant l'installation du Gestionnaire de cellule. Il est possible de modifier la propriété de manière à ce qu'un utilisateur spécifique devienne le propriétaire de la session. protection Voir protection de données et protection de catalogue. protection de catalogue Permet de définir le temps de conservation des informations concernant les données sauvegardées (sauvegarde, noms et versions de fichiers) dans la base de données IDB. Voir aussi protection de données. protection de données Permet de définir le délai de protection des données sauvegardées sur un support, c'est-à-dire la durée pendant laquelle Data Protector ne peut les écraser. Une fois ce délai expiré, Data Protector peut réutiliser le support lors d'une prochaine session de sauvegarde. Voir aussi protection de catalogue. Glossaire pulsation Ensemble de données de cluster qui comporte un horodatage contenant des informations sur l'état de fonctionnement d'un nœud de cluster spécifique. Cet ensemble de données est distribué à tous les nœuds de cluster. quota de disque Concept permettant de gérer l'utilisation de l'espace disque pour l'ensemble des utilisateurs ou pour certains d'entre eux sur un système informatique. Plusieurs plates-formes de système d'exploitation utilisent ce concept. quotas de disque utilisateur Le support de gestion des quotas NTFS permet le contrôle et le suivi élaboré de l'utilisation de l'espace disque sur les volumes de stockage partagés. Data Protector sauvegarde des quotas de disque utilisateur sur l'ensemble du système et pour tous les utilisateurs configurés à un instant donné. RAID Redundant Array of Inexpensive Disks, batterie de disques durs redondants bon marché. RCU (terme spécifique à HP StorageWorks) Unité agissant comme esclave d'une MCU dans une configuration CA. Dans les configurations bidirectionnelles, la RCU peut également agir comme une MCU. RDF1/RDF2 (terme spécifique à EMC Symmetrix) Type de groupe de périphériques SRDF. Seuls les périphériques RDF peuvent être attribués à un groupe RDF. Le type de groupe RDF1 contient des périphériques sources (R1) et le type de groupe RDF2 des périphériques cibles (R2). RDS Le processus RDS (Raima Database Server) s'exécute sur le Gestionnaire de cellule Data Protector et gère la base de données IDB. Le processus démarre dès que Data Protector est installé sur le Gestionnaire de cellule. RecoveryInfo Lors de la sauvegarde de fichiers de configuration Windows, Data Protector collecte les informations sur la configuration système actuelle (volume, configuration disque et réseau) Ces informations sont nécessaires pour la reprise après sinistre. récupération matérielle (terme spécifique à MS Exchange) Récupération de données au niveau du moteur de base de données (Extensible Storage Engine 98). recyclage Processus consistant à supprimer la protection de toutes les données sauvegardées se trouvant sur le support, autorisant ainsi Data Protector à les écraser au cours de l'une des G-37 Glossaire sauvegardes ultérieures. Les données provenant de la même session, mais se trouvant sur d'autres supports, ne sont plus protégées non plus. Le recyclage ne modifie pas les données qui se trouvent sur le support. ré-écriture Option définissant un mode de résolution de conflits pendant la restauration. Tous les fichiers sauvegardés sont restaurés, même s'ils sont plus anciens que les fichiers existants. Voir aussi fusion. registre Windows Référentiel de base de données concernant la configuration de l'ordinateur. répertoire DC Le répertoire de catalogue des détails (DC) est constitué des fichiers binaires DC où sont stockées les informations relatives aux versions de fichier. Il constitue la partie DCBF de la base de données IDB dont il occupe environ 80 %. Le répertoire DC par défaut est appelé répertoire dcbf et se trouve dans le répertoire <répertoire_Data_Protector>\db40. Vous pouvez créer d'autres répertoires DC et les enregistrer à l'emplacement de votre choix. Chaque cellule peut gérer jusqu'à 10 répertoires DC. La taille maximale par défaut d'un répertoire DC est de 2 Go. G-38 répliques de volumes de stockage, pool (terme spécifique à ZBD) Ensemble ou groupe de versions de stockage de réplique produit lors des sessions ZDB à des fins de rotation des répliques de volumes de stockage, de restauration instantanée et de restauration Split Mirror. Les versions de stockage de réplique du pool sont toutes créées avec la même spécification de sauvegarde. Pour chaque spécification de sauvegarde, la taille d'un pool de stockage de réplique est définie comme le nombre maximal de versions de stockage de réplique à conserver sur une baie de disque avant que la version de stockage de réplique la plus ancienne soit réutilisée. Voir aussi rotation de répliques de volumes de stockage. reprise après sinistre Procédé permettant de restaurer le disque du système principal d'un client dans un état proche de celui dans lequel il se trouvait après une sauvegarde complète. restauration hors ligne Une restauration hors ligne s'effectue lorsque le Gestionnaire de cellule n'est pas accessible (en raison de problèmes sur le réseau, par exemple). Seuls les périphériques autonomes et les périphériques de bibliothèque SCSI-II peuvent être utilisés pour une Glossaire restauration hors ligne. La restauration du Gestionnaire de cellule s'effectue toujours hors ligne. restauration incrémentielle (terme spécifique à EMC Symmetrix) Opération de contrôle BCV ou SRDF. Dans les opérations de contrôle BCV, une restauration incrémentielle réaffecte un périphérique BCV comme miroir disponible suivant du périphérique standard de la paire. Cependant, les périphériques standard sont mis à jour uniquement avec les données écrites sur le périphérique BCV au cours de la séparation des paires d'origine ; les données écrites sur le périphérique standard au cours de la séparation sont écrasées par les données du miroir BCV. Dans les opérations de contrôle SRDF, une restauration incrémentielle réaffecte un périphérique (R2) cible comme miroir disponible suivant du périphérique (R1) source de la paire. Cependant, les périphériques (R1) source sont mis à jour uniquement avec les données écrites sur le périphérique (R2) cible au cours de la séparation des paires d'origine ; les données écrites sur le périphérique (R1) source au cours de la séparation sont écrasées par les données du miroir (R2) cible. restauration instantanée (terme spécifique à ZBD) Processus par lequel les données dupliquées lors de la sauvegarde sur disque ou sur disque/bande ZDB sont restaurées rapidement à l'aide de la technologie Split Mirror ou snapshot. La restauration est effectuée sur la baie de disques et ne fait pas intervenir les supports standards de sauvegarde. Une restauration complète d'une application de base de données peut nécessiter l'exécution postérieure d'opérations supplémentaires, par exemple l'application des modifications contenues dans les fichiers journaux. La restauration instantanée restaure la version de stockage des répliques sur le stockage original. Voir aussi sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB), sauvegarde sur disque ZDB, sauvegarde sur bande ZDB, sauvegarde sur disque/bande ZDB et pool de stockage de réplique. restauration locale et distante La restauration distante s'effectue lorsque tous les hôtes de l'Agent de supports spécifiés dans le fichier SRD sont accessibles. Si l'un d'entre eux échoue, le processus de restauration bascule du mode distant au mode local. Dans ce cas, le système cible est parcouru pour la recherche de périphériques connectés en local. Si la recherche ne renvoie qu'un seul périphérique, celui-ci sera automatiquement utilisé. Dans le cas contraire, Data Protector vous invitera à sélectionner le périphérique à utiliser pour la restauration. G-39 Glossaire restauration parallèle Procédé consistant à restaurer simultanément (c'est-à-dire en parallèle) des données sauvegardées vers plusieurs disques, en exécutant pour cela plusieurs Agents de disque qui reçoivent des données d'un Agent de supports. Pour que la restauration parallèle fonctionne, les données sélectionnées doivent se trouver sur des disques ou volumes logiques différents, et lors de la sauvegarde, les données provenant des différents objets doivent avoir été envoyées au même périphérique avec deux Agents de disque ou plus. Pendant une restauration parallèle, les données concernant les différents objets à restaurer sont lues simultanément sur les supports, améliorant ainsi les performances du système. restauration Split Mirror (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Processus par lequel les données sauvegardées par sauvegarde sur bande ou disque/bande ZDB sont restaurées à partir du support sur bande vers la version de stockage de réplique par le processus de rotation des répliques ou par l'utilisateur. La version de stockage des répliques est ensuite synchronisée avec le stockage d'origine. La restauration Split Mirror est limitée aux systèmes de fichiers. Voir aussi sauvegarde sur bande ZDB, G-40 sauvegarde sur disque/bande ZDB et rotation des répliques de volumes de stockage. RMAN (terme spécifique à Oracle) Voir gestionnaire de récupération. rotation de répliques de volumes de stockage (terme spécifique à ZBD) Processus ZDB désignant soit une réutilisation de la version de stockage de réplique la plus ancienne du pool chaque fois que la taille maximale de ce dernier est atteinte, soit, si cette taille n'est pas atteinte, la création d'une nouvelle version de stockage de réplique dans le pool. Voir aussi pool de stockage de réplique. rotation des miroirs (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Voir rotation de répliques de volumes de stockage. RSM Le Restore Session Manager Data Protector (Gestionnaire de session de restauration) contrôle la session de restauration. Ce processus est toujours exécuté sur le système du Gestionnaire de cellule. RSM (terme spécifique à Windows) Le RSM (Removable Storage Manager), ou Gestionnaire de supports amovibles, comprend un service de gestion des supports facilitant la communication Glossaire entre les applications, les changeurs robotiques et les bibliothèques de supports. Il permet à plusieurs applications de partager des bibliothèques de supports robotiques locales et des lecteurs de disques ou de bandes, et de gérer les supports amovibles. SAPDBA (terme spécifique à SAP R/3) Interface utilisateur SAP R/3 intégrant les outils BRBACKUP, BRARCHIVE et BRRESTORE. sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB) Processus de sauvegarde faisant appel à des technologies de duplication de données (Split Mirror et snapshot) pour réduire au minimum – généralement quelques minutes – le temps d'immobilisation du système d'application. Avec cette technique, le temps d'immobilisation de la base de données de l'application (sauvegarde hors-ligne) ou le mode de sauvegarde (sauvegarde en ligne) est limité à la durée très courte nécessaire à la création des disques miroirs ou à la création ou l'utilisation de snapshots. L'application retrouve ensuite son fonctionnement normal, pendant que les données présentes dans la version de stockage de réplique sont soit sauvegardées par copie en continu sur bande (sauvegarde sur bande ZDB), soit maintenues dans le pool de stockage de réplique (sauvegarde sur disque ZDB) pour une restauration instantanée ou à d'autres fins, soit à la fois sauvegardées sur bande est maintenues dans le pool de stockage (sauvegarde sur disque/bande ZDB). Voir aussi sauvegarde sur disque ZDB, sauvegarde sur bande ZDB, sauvegarde sur disque/bande ZDB et récupération instantanée. sauvegarde complète Sauvegarde au cours de laquelle tous les objets sélectionnés sont sauvegardés, qu'ils aient été ou non modifiés récemment. Voir aussi types de sauvegarde. sauvegarde de base de données complète Sauvegarde de l'ensemble des données d'une base de données, qu'elles aient été ou non modifiées après la dernière sauvegarde de la base. Cela signifie que la sauvegarde complète d'une base de données ne dépend d'aucun autre support de sauvegarde. sauvegarde de base de données différentielle Sauvegarde de base de données au cours de laquelle seules les modifications intervenues après la dernière sauvegarde complète de la base sont sauvegardées. sauvegarde de boîte au lettres complète Sauvegarde de tout le contenu d'une boîte aux lettres. G-41 Glossaire sauvegarde de client Sauvegarde de tous les systèmes de fichiers montés sur un client. Les systèmes de fichiers montés sur le client une fois la spécification de sauvegarde créée ne sont pas détectés automatiquement. sauvegarde de client avec découverte de disque Sauvegarde de tous les systèmes de fichiers montés sur un client. Lorsque la sauvegarde commence, Data Protector découvre les disques se trouvant sur les clients. La sauvegarde du client avec découverte du disque permet de simplifier la configuration de la sauvegarde et d'améliorer la couverture de sauvegarde des systèmes sur lesquels des disques sont fréquemment montés/démontés. sauvegarde de CONFIGURATION Windows Data Protector permet de sauvegarder la CONFIGURATION Windows, y compris le registre Windows, les profils utilisateur, les journaux d'événements et les données des serveurs WINS et DHCP (s'ils sont configurés) en une seule étape. sauvegarde de snapshot (terme spécifique à ZBD) Terme ZDB englobant la sauvegarde sur disque ZDB, la sauvegarde sur bande ZDB et la sauvegarde sur disque/bande ZDB utilisant la technologie snapshot. Voir aussi sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB). G-42 sauvegarde de transaction Les sauvegardes de transaction consomment généralement moins de ressources que les sauvegardes de base de données ; elles peuvent donc être effectuées plus souvent que les sauvegardes de base de données. En effectuant des sauvegardes de transaction, l'utilisateur peut récupérer la base de données telle qu'elle était à un moment précis précédant la survenue d'un problème. sauvegarde de transaction (terme spécifique à Sybase et SQL) Sauvegarde du journal de transactions contenant un enregistrement des modifications effectuées depuis la dernière sauvegarde complète ou la dernière sauvegarde de transaction. sauvegarde delta Sauvegarde contenant toutes les modifications apportées à la base de données par rapport à la dernière sauvegarde effectuée, quel que soit le type de celleci. Voir aussi types de sauvegarde sauvegarde d'hôte Voir sauvegarde de client avec découverte de disque. sauvegarde différentielle Sauvegarde incrémentielle (incr) basée sur une sauvegarde Data Protector antérieure Glossaire (complète ou incrémentielle) et devant être protégée. Voir sauvegarde incrémentielle. sauvegarde différentielle (terme spécifique à MS SQL) Sauvegarde de base de données au cours de laquelle seules les modifications intervenues après la dernière sauvegarde complète de la base sont sauvegardées. Voir aussi types de sauvegarde. sauvegarde d'image disque (rawdisk) Sauvegarde ultra-rapide au cours de laquelle Data Protector sauvegarde les fichiers en tant qu'images bitmap. Ce type de sauvegarde (rawdisk) ne suit pas la structure des fichiers et des répertoires stockés sur le disque ; elle stocke néanmoins la structure de l'image disque au niveau des octets. Vous pouvez effectuer une sauvegarde d'image disque de certaines sections du disque ou de sa totalité. sauvegarde directe Solution de sauvegarde SAN au sein de laquelle la transmission directe des données entre le disque et la bande (ou un autre périphérique de stockage secondaire) est facilitée par la commande Extended Copy (Xcopy) SCSI. La sauvegarde directe permet de réduire le nombre d'E/S sur les systèmes dans un environnement SAN. La commande Extended Copy (XCopy) SCSI facilite la transmission directe des données entre le disque et la bande (ou un autre périphérique de stockage secondaire). Cette commande est fournie par un élément de l'infrastructure comprenant les ponts, les commutateurs, les bibliothèques de bandes et les soussystèmes de disques. Voir aussi moteur XCopy. sauvegarde du journal des transactions Les sauvegardes du journal des transactions consomment généralement moins de ressources que les sauvegardes de base de données ; elles peuvent donc être effectuées plus souvent que les sauvegardes de base de données. En effectuant des sauvegardes des journaux de transactions, l'utilisateur peut récupérer la base de données telle qu'elle était à un moment précis. sauvegarde en ligne Sauvegarde effectuée pendant que l'application ou la base de données est disponible. Des interfaces spécifiques aux applications permettent à des produits de sauvegarde, comme Data Protector, de sauvegarder des unités logiques de la base de données tout en maintenant l'accès à celles-ci par l'application. Dans les configurations simples (non ZDB), l'application reste en mode de sauvegarde pendant toute la durée de la sauvegarde. En revanche, dans les configurations ZDB, le mode sauvegarde ne dure que le temps de G-43 Glossaire l'opération de sauvegarde Mirror Split/ snapshot. L'application peut ensuite revenir en mode standard. Selon la configuration, les besoins en ressources peuvent varier considérablement. sauvegarde incrémentielle de boîte aux lettres “incremental1” Sauvegarde toutes les modifications apportées à la boîte aux lettres depuis la dernière sauvegarde complète. sauvegarde incrémentielle Procédé consistant à ne sauvegarder que les fichiers auxquels des modifications ont été apportées depuis la dernière sauvegarde. L'utilisateur peut choisir parmi différents niveaux de sauvegarde incrémentielle, ce qui lui permet de sélectionner uniquement les fichiers qui ont été modifiés depuis la dernière sauvegarde incrémentielle. Voir aussi types de sauvegarde. sauvegarde rawdisk Voir sauvegarde d'image disque. sauvegarde incrémentielle (terme spécifique à MS Exchange) Procédé consistant à sauvegarder les modifications effectuées depuis la dernière sauvegarde complète ou incrémentielle. Seuls les journaux de transactions sont sauvegardés. Voir aussi types de sauvegarde. sauvegarde incrémentielle de boîte aux lettres Sauvegarde toutes les modifications apportées à la boîte aux lettres depuis la dernière sauvegarde, quel que soit son type. G-44 sauvegarde sans bande (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Voir sauvegarde sur disque ZDB. sauvegarde Split Mirror (terme spécifique à EMC Symmetrix) Voir sauvegarde sur bande à temps d'indisponibilité nul (ZDB). sauvegarde Split Mirror (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Voir sauvegarde sur bande ZDB, sauvegarde sur disque/bande ZDB et sauvegarde sur disque ZDB. sauvegarde sur disque à temps d'indisponibilité nul (terme spécifique à ZBD) Le concept de base de la sauvegarde sur disque ZDB est la création d'une copie de données à partir du stockage d'origine à un point spécifique dans le temps, et de conserver cette copie des données sur la baie de disques dans la version de stockage de réplique sélectionnée ou créée dans le pool de stockage de Glossaire réplique. Les données de la version de stockage des répliques ne sont pas copiées sur des supports standard de sauvegarde. Les données sauvegardées à l'aide de la fonctionnalité de sauvegarde sur disque ZDB peuvent être restaurées au moyen du processus de restauration instantanée ou utilisée pour le data mining ou à des fins similaires. Voir aussi sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB), sauvegarde sur bande ZDB, sauvegarde sur disque/bande ZDB, restauration instantanée et pool de stockage de réplique. sauvegarde sur disque/bande à temps d'indisponibilité nul (terme spécifique à ZBD) Le concept de base de la sauvegarde sur disque/bande ZDB consiste à créer une copie des données à partir du stockage d'origine à un point donné dans le temps, et de conserver cette copie dans la version de stockage de réplique. Cette copie est également utilisée pour une sauvegarde vers un support de sauvegarde standard, généralement une bande. Les données sauvegardées sur disque/bande ZDB peuvent être récupérées par restauration instantanée ou par la procédure de restauration standard de Data Protector. Elles peuvent également être utilisées pour le data mining ou à des fins similaires. Voir aussi sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB), sauvegarde sur disque ZDB, sauvegarde sur bande ZDB, restauration instantanée et pool de stockage de réplique. sauvegarde système sur bande (terme spécifique à Oracle) Interface Oracle chargée d'exécuter les actions nécessaires au chargement, à l'étiquetage et au déchargement des bons périphériques de sauvegarde lorsqu'Oracle émet des demandes de sauvegarde ou de restauration. script CMD pour serveur en ligne (terme spécifique à Informix) Script CMD Windows créé dans INFORMIXDIR lorsque le serveur en ligne Informix est configuré. Le script CMD est un ensemble de commandes système chargé d'exporter les variables d'environnement pour le serveur en ligne. script shell log_full (terme spécifique à Informix UNIX) Script fourni par ON-Bar et que l'utilisateur peut utiliser pour lancer la sauvegarde des fichiers journaux logiques lorsque le serveur en ligne émet une alarme de saturation de journal. Le paramètre de configuration ALARMPROGRAM Informix sélectionné par défaut est <INFORMIXDIR>/etc/log_full.sh, où <INFORMIXDIR> est le répertoire de base du serveur en ligne. Si vous ne G-45 Glossaire souhaitez pas que les journaux logiques soient sauvegardés en continu, attribuez la valeur <INFORMIXDIR>/etc/ no_log.sh au paramètre de configuration ALARMPROGRAM. sécurité intégrée (terme spécifique à MS SQL) La sécurité intégrée permet à Microsoft SQL Server d'utiliser les mécanismes d'authentification Windows pour valider les noms de connexion de Microsoft SQL Server pour toutes les connexions. Pour l'utiliser, les utilisateurs doivent posséder un mot de passe pour Windows et pour Microsoft SQL Server. La sécurité intégrée doit être utilisée dans des environnements où tous les clients peuvent prendre en charge des “connexions approuvées”. On appelle “connexions approuvées” des connexions validées par Windows Server et acceptées par Microsoft SQL Server. Seules les connexions approuvées sont autorisées. sécurité standard (terme spécifique à MS SQL) La sécurité standard utilise le processus de validation des connexions de Microsoft SQL Server pour toutes les connexions. Elle est utile dans les environnements réseau comportant une large variété de clients, dont certains peuvent ne pas prendre en charge les connexions approuvées. Elle assure également la compatibilité avec les G-46 versions antérieures de Microsoft SQL Server. Voir aussi sécurité intégrée. serveur de base de données Ordinateur sur lequel est stockée une base de données volumineuse, telle qu'une base de données SAP R/3 ou Microsoft SQL. Une base de données stockée sur un serveur est accessible aux clients. serveur de lecteurs multiples Licence permettant à l'utilisateur d'exécuter un nombre illimité d'Agents de supports sur un même système. Cette licence, liée à l'adresse IP du Gestionnaire de cellule, n'est plus disponible. serveur DHCP Système qui exécute le protocole DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) fournissant une configuration dynamique des adresses IP et des informations associées. Data Protector peut sauvegarder les données du serveur DHCP dans le cadre de la configuration Windows. serveur d'installation Systèmeinformatique contenant un référentiel des packages logiciels Data Protector pour une architecture spécifique. Le Serveur d'installation permet l'installation à distance des clients Data Protector. Dans les environnements mixtes, deux Serveurs Glossaire d'installation au moins sont nécessaires : l'un pour les systèmes UNIX et l'autre pour les systèmes Windows. serveur DNS Dans le modèle clientserveur DNS, il s'agit du serveur contenant les informations relatives à une partie de la base de données DNS et rendant les noms des ordinateurs accessibles aux programmes de résolution client en faisant une demande de résolution de noms via Internet. serveur en ligne (terme spécifique à Informix) Ce terme fait référence au serveur dynamique en ligne INFORMIX. serveur Microsoft Exchange Système de messagerie “client-serveur” et de groupes de travail fournissant une connexion transparente à de nombreux systèmes de communication différents. Il offre aux utilisateurs un système de messagerie électronique, une solution de planification de groupe et individuelle, des formulaires en ligne et des outils d'automatisation du flux de travail. Il fournit également au développeur une plate-forme sur laquelle il peut élaborer des applications personnalisées de partage d'informations et de service de messagerie. serveur Sybase SQL (terme spécifique à Sybase) Serveur de l'architecture client-serveur Sybase. Le serveur Sybase SQL gère plusieurs bases de données et utilisateurs, assure le suivi des positions physiques des données sur les disques, établit la correspondance entre la description logique des données et leur stockage physique et maintient les caches de données et de procédures en mémoire. serveur virtuel Machine virtuelle dans un environnement de clusters définie sur un domaine par un nom et une adresse IP réseau. Son adresse est mise en cache par le service de cluster et mappée au nœud cluster qui exécute les ressources du serveur virtuel. De cette façon, toutes les demandes concernant un serveur virtuel donné sont mises en cache par un nœud de cluster spécifique. serveur WINS Système sur lequel s'exécute le logiciel Windows Internet Name Service chargé de la résolution des noms des ordinateurs du réseau Windows en adresses IP. Data Protector peut sauvegarder les données du serveur WINS dans le cadre de la configuration Windows. service de réplication de fichiers (FRS) Service Windows dupliquant les stratégies de groupe et les scripts d'ouverture de session de la banque du contrôleur de domaine. Ce service duplique également les partages de système de fichiers distribués (DFS) G-47 Glossaire entre des systèmes et permet à tout serveur d'effectuer une opération de réplication. service Microsoft Volume Shadow Copy (VSS) Service logiciel offrant une interface de communication unifiée destinée à coordonner la sauvegarde et la restauration d'une application VSS, quelles que soient les fonctions de cette dernière. Ce service collabore avec l'application de sauvegarde, les modules d'écriture, fournisseurs de copies miroir et le kernel du système d'exploitation pour mettre en oeuvre la gestion des copies miroir des volumes et des jeux de copies miroir. Voir aussi copie miroir, fournisseur de copie miroir, module d'écriture. service Volume Shadow Copy Voir service Microsoft Volume Shadow Copy. services Terminal Server (terme spécifique à Windows) Les services Terminal Server de Windows fournissent un environnement multi-sessions permettant aux clients d'accéder à des sessions Windows virtuelles ainsi qu'à des applications Windows exécutées sur le serveur. session Voir Session de sauvegarde, Session de gestion de supports et Session de restauration. G-48 session de gestion de supports Session servant à exécuter une action sur un support, comme l'initialisation, l'analyse de contenu, la vérification des données stockées sur le support ou la copie du support. session de restauration Procédé consistant à copier les données d'un support de sauvegarde sur un système client. session de sauvegarde Processus consistant à créer une copie des données sur un support de stockage. Les activités sont définies dans une spécification de sauvegarde ou dans une session interactive. L'ensemble des clients configurés dans une spécification de sauvegarde est sauvegardé lors d'une session de sauvegarde unique, par le biais du même type de sauvegarde (complète ou incrémentielle). Le résultat d'une session de sauvegarde est un ensemble de supports sur lesquels des données ont été écrites ; celui-ci est également appelé jeu de sauvegarde ou de supports. Voir aussi sauvegarde incrémentielle et sauvegarde complète. SGBDR Système de gestion de base de données relationnelle. SIBF Les fichiers SIBF (Serverless Integrations Binary Files), ou fichiers binaires d'intégrations sans serveur, Glossaire représentent la partie de la base de données IDB stockant les métadonnées brutes NDMP. Ces données sont nécessaires à la restauration des objets NDMP. SID_ORACLE (terme spécifique à Oracle) Nom unique pour une instance de serveur Oracle. Pour passer d'un serveur Oracle à un autre, spécifiez le <SID_ORACLE> voulu. Le <SID_ORACLE> est inséré dans les parties CONNECT DATA du descripteur de connexion d'un fichier TNSNAMES.ORA et dans la définition du listener TNS du fichier LISTENER.ORA. simultanéité Voir agents de disque simultanés. SMB Voir sauvegarde Split Mirror. SMBF Les fichiers SMBF (Session Messages Binary Files), ou fichiers binaires de messages de session, représentent la partie de la base de données IDB stockant les messages générés lors des sessions de sauvegarde et de restauration. Chaque session génère un fichier binaire. Les fichiers sont regroupés par année et par mois. snapshot (terme spécifique à ZBD) Voir unité de réplique. spécification de sauvegarde Liste d'objets à sauvegarder, accompagnée d'un ensemble de périphériques ou de lecteurs à utiliser, d'options de sauvegarde pour tous les objets spécifiés, ainsi que du jour et de l'heure où les sauvegardes doivent être effectuées. Les objets peuvent être des disques/volumes entiers ou une partie de ceux-ci ; il peut s'agir par exemple de fichiers, de répertoires ou du registre Windows. L'utilisateur peut définir des listes de sélection de fichiers, telles que les listes d'inclusion ou d'exclusion. SRDF (terme spécifique à EMC Symmetrix) L'utilitaire SRDF (Symmetrix Remote Data Facility), ou utilitaire de gestion des données distantes Symmetrix, est un processus de continuité des activités permettant de dupliquer efficacement et en temps réel les données des SLD entre plusieurs environnements de traitement séparés. Ces environnements peuvent se trouver au sein d'un même ordinateur ou être séparés par de grandes distances. stockage d'origine (terme spécifique à ZBD) Jeu d'unités d'origine contenant les objets de sauvegarde sélectionnés dans une spécification de sauvegarde Data Protector. Les données d'un stockage d'origine sont dupliquées sur une version de stockage de réplique par copie du jeu des unités d'origine. Un stockage d'origine est généralement G-49 Glossaire utilisé par le système d'application. Voir aussi unité d'origine, unité de réplique et version de stockage de réplique. stratégie d'allocation de supports Procédé permettant de déterminer l'ordre d'utilisation des supports pour la sauvegarde. Dans le cas d'une stratégie d'allocation stricte, Data Protector demande un support spécifique. Dans le cas d'une stratégie souple, Data Protector demande tout support approprié. Dans le cas d'une stratégie de priorité aux supports formatés, Data Protector préfère utiliser les supports inconnus, même si des supports non protégés sont disponibles dans la bibliothèque. stratégie d'utilisation des supports La stratégie d'utilisation des supports permet de contrôler la manière dont les nouvelles sauvegardes sont ajoutées aux supports déjà utilisés. Ses options sont les suivantes : Ajout possible, Sans possibilité d'ajout et Ajout possible aux incrémentielles uniquement. support cible Lors de la copie d'un support, le support cible est celui sur lequel les données sont copiées. support source Lors de la copie de support, le support source est celui qui contient les données sauvegardées et qui est copié. G-50 Symmetrix Application Programming Interface (SYMAPI) (terme spécifique à EMC Symmetrix) Bibliothèque de fonctions raccordable pouvant faire interface avec les systèmes EMC Symmetrix connectés aux clients Data Protector. Fourni par EMC. système cible (terme spécifique à la reprise après sinistre) Système après la survenue d'un sinistre. Le système cible est généralement non amorçable et l'objet de la reprise après sinistre consiste justement à redonner à ce système sa configuration initiale. La différence entre un système endommagé et un système cible réside dans le fait que, pour le système cible, le matériel défaillant a été remplacé. système d'application (terme spécifique à ZBD) Système sur lequel s'exécute l'application ou la base de données. Les données de l'application ou de la base de données sont situées sur les unités d'origine. Voir aussi système de sauvegarde et unité d'origine. système de fichiers Organisation des fichiers sur un disque dur. Un système de fichiers est enregistré pour que les attributs et le contenu des fichiers soient stockés sur le support de sauvegarde. Glossaire système de fichiers distribués (DFS) Service reliant les partages de fichiers dans un seul espace de noms. Ces partages peuvent résider sur le même ordinateur ou sur des ordinateurs différents. Le DFS permet à un client d'accéder aux ressources de manière transparente. système de sauvegarde (terme spécifique à ZBD) Système connecté aux unités de réplique d'un ou plusieurs systèmes d'application. Le système de sauvegarde est généralement connecté à un périphérique de sauvegarde pour la copie des données sur une version de stockage de réplique. Voir aussi système d'application et unité d'origine. système d'origine Configuration système sauvegardée par Data Protector avant qu'un sinistre ne frappe le système. SysVol (terme spécifique à Windows) Répertoire partagé contenant la copie des fichiers publics du domaine sur le serveur. Ces fichiers sont reproduits sur tous les contrôleurs du domaine. table des journaux de transactions (terme spécifique à Sybase) Table système où sont enregistrées automatiquement toutes les modifications apportées à la base de données. temps d'indisponibilité nul, sauvegarde sur bande à (terme spécifique à ZBD) Le concept de base de la sauvegarde sur disque/bande ZDB consiste à créer une copie des données à partir du stockage d'origine à un point donné dans le temps, et de conserver cette copie dans la version de stockage de réplique. Lorsque la sauvegarde est terminée, les données de la version de stockage de réplique peuvent être écrasées. Une restauration instantanée n'est pas possible à partir d'une telle sauvegarde, et la procédure de restauration standard de Data Protector doit être utilisée. Voir aussi sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB), sauvegarde sur disque ZDB, sauvegarde sur disque/bande ZDB, restauration instantanée et pool de stockage de réplique. thread (terme spécifique à MS SQL Server 7.0/2000) Entité exécutable appartenant à un seul processus. Elle comprend un compteur de programme, une pile en mode utilisateur, une pile en mode kernel et un G-51 Glossaire ensemble de valeurs de registre. Plusieurs threads peuvent être exécutés en même temps dans un même processus. TimeFinder (terme spécifique à EMC Symmetrix) Processus Business Continuance permettant de créer une copie instantanée d'un ou plusieurs périphériques logiques Symmetrix (SLD). Cette copie est créée sur des SLD préconfigurés spécialement et appelés BCV ; elle est accessible via une adresse de périphérique distincte. TLU Tape Library Unit ou unité de bibliothèque de bandes. TNSNAMES.ORA (terme spécifique à Oracle et SAP R/3) Fichier de configuration réseau contenant des descripteurs de connexion mappés à des noms de services. La maintenance du fichier peut s'effectuer au niveau central ou au niveau local, afin d'être accessible à tous les clients ou à chacun d'entre eux individuellement. transaction Mécanisme destiné à s'assurer qu'un ensemble d'actions est considéré comme une seule unité de travail. Les bases de données utilisent les transactions pour effectuer un suivi des modifications. type de support Type physique d'un support, comme DDS ou DLT. G-52 types de sauvegarde Voir sauvegarde incrémentielle, sauvegarde différentielle, sauvegarde de transaction, sauvegarde complète et sauvegarde delta. système d'hébergement Client Data Protector en fonctionnement utilisé pour la reprise après sinistre avec restitution de disque à l'aide d'un Agent de disque Data Protector installé. unité de commande principale (MCU, pour Main Control Unit) (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Batterie de disques HP StorageWorks Disk Array XP contenant les volumes principaux pour la configuration en accès continu et agissant comme périphérique maître. Voir aussi BC (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP), CA (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) et LDEV HP StorageWorks Disk Array XP. unité de réplique (terme spécifique à ZBD) Unité logique utilisée comme source de duplication de données pour les technologies snapshot ou Split Mirror. Selon la marque et la technologie utilisées, une unité d'origine indique le S-VOL sur HP StorageWorks Disk Array XP, le LUN enfant (BC) sur HP StorageWorks Virtual Array, l'unité logique sur HP StorageWorks Modular Glossaire SAN Array 1000 ou le disque virtuel sur HP StorageWorks Enterprise Virtual Array. Les données présente sur une unité d'origine sont dupliquées sur l'unité de réplique. Sur les systèmes, les unités de réplique sont interprétées comme des lecteurs physiques (Windows) ou des volumes physiques (UNIX). Une unité de réplique est également appelée snapshot ou miroir. Voir aussi unité d'origine, stockage d'origine et version de stockage de réplique. unité de télécommande (RCU) (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Unité agissant comme esclave d'une MCU dans une configuration AC. Dans les configurations bidirectionnelles, la RCU peut également agir comme une MCU. unité d'origine (terme spécifique à ZBD) Unité logique utilisée comme source de duplication de données à l'aide des technologies snapshot ou Split Mirror. Selon la marque et la technologie utilisées, une unité d'origine indique le P-VOL sur HP StorageWorks Disk Array XP, le LUN parent sur HP StorageWorks Virtual Array, l'unité logique sur HP StorageWorks Modular SAN Array 1000 ou le disque virtuel sur HP StorageWorks Enterprise Virtual Array. Les données présente sur une unité d'origine sont dupliquées sur l'unité de réplique. Sur les systèmes, les unités d'origine sont interprétées comme des lecteurs physiques (Windows) ou des volumes physiques (UNIX). Voir aussi unité de réplique, stockage d'origine et version de stockage de réplique. utilitaire onbar (terme spécifique à Informix) Utilitaire Informix chargé de communiquer les demandes de sauvegarde et de restauration au serveur en ligne. Cet utilitaire fait appel à XBSA pour échanger des données de contrôle, de sauvegarde et de restauration avec Data Protector. VBFS (terme spécifique à OmniStorage) Un VBFS (Very Big File System), ou très gros système de fichiers, est une extension du système de fichiers HP-UX standard sur HP-UX 9.x. Il est monté sur un répertoire comme n'importe quel système de fichiers HP-UX. Dans un VBFS, seules les informations de superblock, d'inode et d'attribut étendu demeurent en permanence sur le disque dur et ne migrent jamais. Voir aussi MFS. vérification Fonction permettant à l'utilisateur de contrôler si les données Data Protector stockées sur un support spécifique sont lisibles. En outre, si l'option CRC (cyclic redundancy check) G-53 Glossaire était activée lors de la sauvegarde, l'utilisateur peut contrôler la cohérence des blocs. très grandes bibliothèques. Il s'agit d'une appellation spécifique aux périphériques ADIC/GRAU et StorageTek. version de fichier Un même fichier peut être sauvegardé plusieurs fois lors de sauvegardes complètes et incrémentielles (si des modifications ont été apportées au fichier). Si le niveau de journalisation sélectionné pour la sauvegarde est TOUT, Data Protector conserve dans la base de données IDB une entrée pour le nom de fichier luimême et une pour chaque version (date/ heure) du fichier. volume d'amorçage/disque/ partitionnement Un volume/disque/ partitionnement contient les fichiers nécessaires à la première étape du processus d'amorçage. La terminologie utilisée par Microsoft définit le volume d'amorçage/disque/partitionnement comme le volume/disque/ partitionnement contenant les fichiers du système d'exploitation. version de stockage de réplique (terme spécifique à ZBD) Jeu d'unités de répliques, créées ou réutilisées lors d'une session de sauvegarde ZDB, qui contient des copies des objets de sauvegarde sélectionnés dans une spécification de sauvegarde Data Protector. Les données présentes sur une unité d'origine sont dupliquées sur l'unité de réplique. Une version de stockage de réplique est généralement utilisée par le système de sauvegarde. Voir aussi unité d'origine, unité de réplique et stockage d'origine. volser (terme spécifique à ADIC et STK) Un volser (VOLume SERial number numéro de série de volume) est une étiquette située sur le support et servant à identifier la bande physique dans les G-54 volume/disque/partition système Volume/disque/partition contenant les fichiers du système d'exploitation. La terminologie utilisée par Microsoft définit ces éléments comme ceux contenant les fichiers nécessaires pour assurer les premières étapes du processus d'amorçage. volume principal (P-VOL) (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) Il s'agit de LDEV HP StorageWorks Disk Array XP standard agissant comme volume principal pour les configurations CA et BC. Le P-VOL est situé dans le MCU. Voir aussi volume secondaire (S-VOL). Glossaire volume secondaire (S-VOL) (terme spécifique à HP StorageWorks Disk Array XP) LDEV XP agissant comme miroir CA ou BC secondaire d'un autre LDEV (P-VOL). Dans le cas d'un CA, les S-VOL peuvent être utilisés comme périphériques de secours dans une configuration MetroCluster. Des adresses SCSI distinctes, différentes des adresses utilisées par les P-VOL, sont attribuées aux S-VOL. Voir aussi volume principal (P-VOL). Web Reporting Fonction Data Protector permettant à l'utilisateur d'afficher des rapports sur le statut de sauvegarde et sur la configuration Data Protector à l'aide de l'interface Web. ZDB Voir sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul (ZDB). VPO Voir OVO. VSS Voir service Microsoft Volume Shadow Copy. VxFS Veritas Journal Filesystem, système de fichiers journaux Veritas. VxVM (Veritas Volume Manager) Le VVM (Veritas Volume Manager), ou Gestionnaire de volume Veritas, est un système permettant de gérer l'espace disque sur les plates-formes Solaris. Un système VxVM est constitué de groupes arbitraires d'un ou plusieurs volumes physiques organisés en groupes de disques logiques. Wake ONLAN Fonction de mise en marche à distance pour les systèmes s'exécutant en mode d'économie d'énergie à partir d'un autre système se trouvant sur le même réseau local. G-55 Glossaire G-56