E. LEYBOLD'S NACHFOLGER +» 5 HOLN-BAYENTAL » ALLEMAGNE 4/67 Mode d'Emploi No. de cat. 555 11 не — af REL RAR SE Ш NOV! 369 OA AUTE A Eo e ENEE | ni ER Al RIVE wr. * Tube de Perrin A Fig. 1 Le tube de Perrin sert a mettre en évidence la nature materielle [a de et la charge négative des électrons. Le tube exige: pour-sa mise en batterie, le support expérimental (555 05); pour son alimentation, la boîte haute tension a raccor- der au secteur (522 37); pour son chauffage, par exemple le ==. transformateur de 6 V; 30 W (562 76); pour la déviation du faisceau électronique, la paire de bobines annulaires de Helm- holtz (555 06) avec 2 accumulateurs de 6 V; 22 Ah (522 73) et un rhéostat à curseur de 11 2 (537 26). A! "4 1, Description Pour produire un faisceau électronique, le tube possede un «canon électronique», constitué par une cathode en tungstene chauffée directement et une anode cylindrique disposée devant la cathode. Les deux extrémités du fil de tungstene sont reliees à des bornes creuses de 4 mm @, disposées dans le culot en ma- man | tiére plastique du tube, tandis que 1'anode est raccordée a une fiche de 4 mm % disposée sur le cóté du col du tube. L'anode- = cylindrique est fermée par une paroi perforee, de façon que seul un faible faisceau cathodique puisse sortir de l'ouverture cir- ae 555 11 - 2°- culaire. Ce faisceau forme sur l'écran fluorescent agencé sur le fond du tube une tache lumineuse d'environ 4 mm de diametre. Dans un ajutage, dont l'axe longitudinal forme avec l'axe du faisceau électronique non dévié un angle de 45°, se trouve une douille métallique jouant le rôle de cage de Faraday. Cette cage est raccordée à une fiche de 4 mm ÿ disposée sur un téton en matiere plastique & l'extrémité de l'ajutage. Le ballon en verre ecavue et transparent a un diametre d'environ 130 mm et une longueur totale d'environ 320 mm. Les tétons ou chapes en matiere plastique disposées sur les côtés inférieur et supérieur du tube (fig. 1) servent a fixer celui-ci sur l'étrier du support expérimental (555 05). Caractéristiques techniques chauffage : Up = 6,3 V5 Ij = 132 À tension anodique : Uy, = 2 a > kV courant anodique typique sous 4 kV: La = 1,8 mA 2. Principe Les rayons cathodiques semblent constitués par des charges né- gatives pouvant être déviées par des champs magnétiques et electriques. Lorsque des rayons cathodiques viennent frapper une cible appropriée, on peut vérifier le signe de la charge ainsi reçue avec un appareil approprié. Dans l'expérience ori- ginale de Perrin, on étudia un faisceau non dévié; dans le tube décrit ici, le cylindre collecteur - la cible —- est au contraire agence de façon a former un angle avec le faisceau non déviê, Le faisceau peut être dévié par un aimant ou par une paire de bobines annulaires de Helmholtz. ] 3. Experiences On trouvera dans le mode d'emploi du support expérimental (555 05) la description detaillee de la mise en batterie du tube sur le - 3 - 555 11 dit support. Les connexions électriques se font comme illustre par la fig. 2. \ + a) Mise en évidence de la nature matérielle des rayons cathodiques La paire de bobines annulaires de Helmholtz (555 06) est alimen- tée par une batterie d'accumulateurs raccordée par l'interme- diaire d'un rhéostat a curseur. Le faisceau doit pouvoir être dévié a l'extrémité de la cage de Faraday. Il est indispensable que tout le faisceau pénetre dans la cage pour éviter la production d'électrons secondaires par l'arri- vée du faisceau sur les parois de la cage. Chaque charge captu- rée par la cage produit, en raison de la capacité de celle-ci, une élévation de potentiel pouvant être mise en évidence par un appareil approprié, par exemple l'électroscope simplifié (540 09). Cet appareil est raccordé pour cela entre la cage et l'anode. On ajuste maintenant le champ magnétique en réglant l'intensité du courant de l'aimant et en tournant le tube entre les bobines de Helmholtz jusqu'a ce que le faisceau pénetre dans la cage de Faradav et on observe sur l'électroscope une élévation momentanée | P du potentiel. On coupe alors le courant alimentant le filament || et observe que la charge persiste sur la cage. Si la charge de la cage de Faraday resultait de rayons catho- diques de nature ondulatoire, elle devrait disparaître des que le filament cesserait de rayonner. Mais comme 1l'experience ré- vele que la chárge subsiste sur la cage apres le refroidisse- ment du filament, il faut en deduire que les rayons cathodi- ques sont de nature matérielle et électriquement chargés. Par suite de la structure corpusculaire de la matiere, on admet l'existence de particules, qu'on appelle «électrons». b) Détermination de la polarité de l'électron On utilise ici le même montagé que pour l'expérience a) et en- clenche les sources de tension. On accumule une charge sur la cage de Faraday et contrôle la.polarité du potentiel obtenu par comparaison avec un potentiel de signe connu. 555 11 … 4 — “Pour ce faire, on approche de l'électroscope un bâtonnet char- gé par frottement (541 01 ou 04) d'électricité de signe connu. On observe alors qu'un bâtonnet chargé négativement augmente la déviation. On peut exécuter des expériences similaires avec l'électroscope de Wulf (546 00), dont la contre-électrode sert a comparer la polarité, et l'amplificateur de mesure (532 01). L'expérience révele que la charge de l'électron est de signe négatif. с) Etude de la sensibilité a la déviation des électrons La vitesse des électrons dépend de la tension anodique: une élé- vation de cette dernière conduit a une augmentation de la vitesse. Quand des électrons de vitesse différente traversent un champ magnétique stable, on doit s'attendre à ce que les plus lents soient les plus devies et que les plus rapides le soient les moins. Au contraire, on doit s'attendre & ce que, pour dévier dans la même mesure des électrons de vitesse différente, le champ magnétique soit plus élevée pour les électrons plus rapides. On: utilise le méme montage que pour l'expérience a). En faisant passer dans les bobines un courant stable, on mesure la dévia- tion de la tache lumineuse a mesure que la tension anodique croît pour un champ de déviation stable. On constate aussi que là déviation diminue a mesure que U, augmente. La déviation du faisceau peut être exprimée par cm/A pour une tension anodique déterminée. Le dispositif peut être employé en ce sens pour mesurer le courant. * UL E ma for wae fly Fig. 2 On mesure le courant Iq devant passer dans les bobines pour de- vier le faisceau de 50 mm, c'est-a-dire dans la cage de Faraday, et cela pour differentes tensions anodiques. On constate qu'il faut augmenter I, au fur et a mesure que U, croît. A On peut donc déduire de la forme invariable de la tache-lumi- neuse apparaissant sur l'écran, lors du passage des électrons a travers un champ magnétique, que les électrons sont animês tous d'une vitesse presque identique en quittant le filament. d) Expériences d'initiation au fonctionnement d'un 'oscillo- graphe & ravons cathodiques A l'aide de la bobine additionnelle (555 18), on peut produire un second champ magnétique perpendiculaire a la paire de bobines annulaires de Helmholtz. Le faisceau electronique du tube peut ainsi être dévié simultanément dans les directions verticale et horizontale. Si l'on excite les deux champs magnétiques avec de l'alternatif de même fréquence (par exemple 50 Hz), on obtient des raies, des cercles ou des ellipses suivant la po- sition de phase et l'amplitude. 555 11 | - 6 - Si au contraire on alimente la paire de bobines de Helmholtz avec de l'alternatif de fréquence variable fourni par l'oscillateur RC (587 00), on peut montrer de nombreuses figures de Lissajous (voir & ce sujet le mode d'emploi de la bobine additionnelle (555 18)). , 1 a Fr # . Te ( | 1 1 7 E A & | i. + ot Dormagen-Dru Kóln, 0,5 - 4 - 67 AA E AL a ON e TL AR PIT A нон LLL CEA AAA a NE ">

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