Dell OpenManage Baseboard Management Controller Version 1.2 software Manuel utilisateur

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57 Des pages
Dell OpenManage Baseboard Management Controller Version 1.2 software Manuel utilisateur | Fixfr
Guide d'utilisation du contrôleur de gestion de la carte mère Dell
OpenManage™
Introduction
Configuration de votre système géré
Utilisation de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC
Problèmes connus et Foire aux questions
Codes d'erreur de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC
Commandes du mode Terminal
Glossaire
Remarques et avis
REMARQUE : Une REMARQUE indique des informations importantes qui vous aident à faire meilleur usage de votre ordinateur.
AVIS : Un AVIS indique des dommages potentiels sur le matériel ou une possible perte de données et vous dit comment éviter le problème.
Les informations contenues dans ce document sont sujettes à modification sans préavis.
© 2004 Dell Inc. Tous droits réservés.
Toute reproduction, de quelque manière que ce soit, sans l'autorisation écrite de Dell Inc. est strictement interdite.
Marques utilisées dans ce texte : Dell, le logo DELL, Dell OpenManage et PowerEdge, sont des marques de Dell Inc. ; Microsoft, MS-DOS, Windows NT et Windows sont des marques
déposées de Microsoft Corporation ; Red Hat est une marque déposée de Red Hat Corporation ; Intel, Pentium et Intel386 sont des marques déposées de Intel Corporation.
D'autres marques et noms de marque peuvent être utilisés dans ce document pour faire référence aux entités se réclamant de ces marques et de ces noms ou à leurs produits.
Dell Inc. dénie tout intérêt propriétaire vis-à -vis des marques et des noms de marque qui ne lui appartiennent pas.
Décembre 2004
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Codes d'erreur de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC
Guide d'utilisation du contrôleur de gestion de la carte mère Dell OpenManage™
Cette annexe fournit une liste des messages d'erreur pour l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC. En cas d'erreur de fonctionnement, un message d'erreur
s'imprimera sur stderr. Le texte de ce message d'erreur est répertorié dans la colonne Message du tableau A-1.
Les erreurs s'imprimeront toujours sous format analysable tel que :
Error (<hex-code>):<message>!
(Error (<code hexadécimal>) : <message> !)
Voici un exemple :
Error(0xC1):Invalid Command!
(Error(0xC1) : Commande non valide !)
Tableau A-1. Codes d'erreur de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC
Code Classification
A1h
Erreurs de connexion.
A2h
Erreurs de communication.
A3h
A5h
Erreurs d'autorisation.
Erreurs d'initialisation.
Message
Description
Expiration du délai de connexion.
Le contrôleur BMC ne répond pas.
Type d'authentification non valide.
Erreur de type d'authentification.
Erreur de communication.
Erreur IPMI
Saturation réseau ou erreur de
communication série.
Erreur de données.
Erreur de format de paquet de données.
Pas connecté.
Pas encore connecté à un serveur distant.
0xC6, 0xC7,
0xC8, 0xCA
Niveau de privilège insuffisant pour
exécuter la commande.
0xD4
Ouverture de session non autorisée.
Nom d'utilisateur/mot de passe du
contrôleur BMC non valide.
0x86
Échec d'authentification.
La requête de session du serveur proxy
local ou distant a été rejetée.
Accès refusé.
Tentative d'accéder au serveur proxy
depuis une adresse IP interdite.
Privilège insuffisant pour la
commande.
BDh
Langue inconnue.
Code de langue inconnu.
Adresse IP non valide.
Erreur de résolution d'IP.
Limite de tampon de session
dépassée.
A6h
Erreurs de syntaxe.
La longueur dépasse la limite d'entrée
telnet.
Erreur de syntaxe de commande.
Impossible d'analyser la commande.
Commande non reconnue.
Commande non reconnue.
Option en conflit.
Option en conflit (-last et -max).
Le paramètre n'est pas valide.
Le paramètre n'est pas valide.
A8h
A7h
Erreurs de valeur de paramètre.
Paramètre hors de la plage des
valeurs.
Paramètre hors de la plage des
valeurs (1-255)
Cette valeur est hors de la plage des
valeurs (1-255).
Paramètre hors de la plage des
valeurs (1-65535)
Cette valeur est hors de la plage des
valeurs (1-65535).
Champ de données non valide.
Valeur d'index non valide.
A8h
Erreurs H/W ou F/W.
Paramètre hors de la plage des valeurs.
Champ de données non valide.
0xCC
L'index ne peut pas être zéro ou une
valeur négative.
Premier index plus important que le
dernier.
Le premier index est plus important que le
dernier.
Premier index plus important que la
somme des données du journal SEL.
Le premier index est plus important que la
somme des données du journal SEL.
Commande non prise en charge.
0xC9
L'opération n'est pas prise en charge.
0xC1
Capteur absent.
Capteur, données ou enregistrements
requis absents.
0xCB
Erreur de commande de capteur.
Commande illégale pour le capteur spécifié
ou le type d'enregistrement.
0xCD
Erreur de micrologiciel.
La réponse à la commande n'a pas pu être
fournie.
0xCE
Erreur de destination.
Impossible de livrer la requête à la
destination.
0xD3
Erreur de périphérique.
A9h
Erreurs de traitement (erreurs transitoires qui
peuvent disparaître lorsque vous réessaierez la
commande).
Erreur d'expiration de délai de la
destination.
Expiration du délai du contrôleur BMC au
cours du traitement de la commande
0xC3
Contrôleur BMC à court d'espace de
stockage.
Le contrôleur BMC est à court d'espace de
stockage requis pour traiter la commande.
0xC4
Erreur inconnue
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0xC5
Impossible d'exécuter la requête
dupliquée.
0xCF
SDR occupée.
L'espace de stockage des données sur les
capteurs est en mode de mise à jour.
0xD0
Périphérique occupé.
Périphérique en mode de mise à jour de
micrologiciel.
0xD1
Initialisation du contrôleur BMC en cours.
0xD2
Requête non prise en charge dans l'état
actuel du contrôleur BMC.
0xD5
Contrôleur BMC à court de sessions.
Aucune session n'est disponible pour la
requête de connexion.
0x81,
0x82,
0x83
LUN non valide.
Numéro d'unité logique (LUN) non valide
dans la requête.
0xC2
Condition du contrôleur BMC non
valide.
AFh
ID de réservation non valide.
Commande dupliquée.
Contrôleur BMC non disponible.
Erreurs IPMI inattendues.
0x01–0x7E
0xC0
ID de réservation non valide.
AEh
Erreurs spécifiques au périphérique (OEM).
Contrôleur BMC à court de ressources de
traitement.
Contrôleur BMC occupé.
Erreur non spécifiée.
Erreur non spécifiée.
Erreur inconnue
Erreur inconnue
0xFF
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Commandes du mode Terminal
Guide d'utilisation du contrôleur de gestion de la carte mère Dell OpenManage™
Informations sur la sécurité
Syntaxe
Format de commande hex-ASCII
Format de commande texte
Cette annexe fournit des informations sur les commandes du mode Terminal. Le mode Terminal vous permet de directement vous connecter au contrôleur de
gestion de la carte mère (BMC) du système à l'aide d'une connexion port série et d'exécuter des commandes à base de texte. Deux types de commandes
texte sont prises en charge:
l
Une sélection limitée de commandes texte
l
Commandes standard binaires hex-ASCII IPMI 1.5
Utilisez la fonctionnalité mode Terminal pour effectuer les tâches suivantes :
l
Mettre le serveur sous ou hors tension.
l
Réinitialiser le serveur.
l
Extraire la condition d'intégrité du serveur.
l
Configurer et récupérer les options de démarrage des sous-systèmes de gestion du serveur.
l
Configurer et récupérer la configuration du mode Terminal du contrôleur BMC.
l
Exécuter toute commande binaire de plate-forme prise en charge spécifiée dans la spécification de l'Interface de gestion de plate-forme intelligente
(IPMI) version 1.5 à l'aide du format hex-ASCII.
REMARQUE : De nombreuses fonctionnalités du mode Terminal décrites dans cette section nécessitent une connaissance approfondie de l'interface
IPMI. Il est fortement recommandé aux utilisateurs du mode Terminal d'avoir une bonne compréhension de l'interface IPMI avant d'utiliser les
commandes illustrées dans cette section.
Informations sur la sécurité
L'accès au contrôleur BMC à l'aide du mode Terminal est régi par la bonne configuration des noms d'utilisateur et du mot de passe. Consultez la section «
Configuration de votre système géré » pour des informations supplémentaires. Une session doit être établie avec le contrôleur BMC avant d'accepter toute
commande du mode Terminal. Une sélection limitée de commandes texte et de commandes hex-ASCII binaires auxquelles est attribué le niveau de privilège
IPMI le plus bas sont disponibles avant d'établir une session avec le contrôleur BMC.
Comme le mot de passe du mode Terminal est envoyé à l'aide de texte clair, il est hautement conseillé que la session du mode Terminal prenne place dans un
endroit sécurisé par liaison sécurisée avec une connexion directe.
Syntaxe
Les messages du mode Terminal suivent la syntaxe générale ci-dessous :
[<message data>]<newline sequence>
([<données du message>]<nouvelle séquence linéaire>)
Chaque message du mode Terminal doit être précédé du crochet gauche de début et se terminer par le crochet droite de fin et la nouvelle séquence linéaire
d'entrée appropriée.
Aucun caractère entré n'est accepté tant que le caractère de début n'a pas été reçu.
REMARQUE : Les commandes Hex-ASCII peuvent utiliser des lettres majuscules ou minuscules pour les représentations ASCII des chiffres
hexadécimaux.
Longueur de la commande
Les messages du mode Terminal sont limités à une longueur maximale de 122 caractères. Ceci inclut les crochets droite et gauche, mais pas les caractères de
contrôle.
Prise en charge des caractères
Les messages du mode Terminal se composent de caractères ASCII imprimables standard. Tous les autres caractères sont traités comme des caractères
illégaux.
Traitement des caractères spéciaux : caractère <Échap>
Le caractère <Échap> supprime un message entier avant la soumission au contrôleur BMC afin d'être traité. Si la modification de ligne est activée, et que la
touche <Échap> est suivie par une nouvelle séquence linéaire d'entrée, le contrôleur BMC répond en sortant une nouvelle séquence linéaire de sortie. Sinon,
le contrôleur BMC cherche le caractère de démarrage suivant.
Traitement des caractères spéciaux : caractère <Suppr> or <Retour>
La touche <Retour> ou <Suppr> supprime le dernier caractère entré si le message n'a pas encore été soumis au contrôleur BMC.
Traitement des caractères spéciaux : caractère Continuation de ligne
Les longs messages IPMI peuvent être répartis sur plusieurs lignes en utilisant le caractère de continuation de ligne <barre oblique inverse> immédiatement
suivi d'une nouvelle séquence linéaire d'entrée. L'utilisation du caractère de continuation de ligne est pris en charge pour les commandes texte et hex-ASCII.
Traitement des caractères spéciaux : caractères illégaux
Tous les caractères illégaux reçus par le contrôleur BMC effacent le message en cours et le contrôleur BMC cherche le prochain caractère de démarrage.
Format de commande Hex-ASCII
Les commandes binaires IPMI sont envoyées et reçues sous forme de série de paires hex-ASCII sensibles à la casse, chaque paire pouvant être séparée de la
paire précédente par un seul caractère <espace>. Le tableau B-1 répertorie les requêtes de mode Terminal vers le contrôleur BMC et le tableau B-2 répertorie
les réponses du mode Terminal provenant du contrôleur BMC. Voici un exemple de message de requête IPMI binaire :
[18 00 22]<newline sequence>
([18 00 22]<nouvelle séquence linéaire>)
Tableau B-1. Requête de mode Terminal au contrôleur BMC
Octet Explication
1
[7:2] – Fonction réseau (paire)
[1:0] – LUN du répondeur
2
[7:2] – Numéro de séquence du demandeur
[1:0] – Champ de pont
3
Numéro de commande
4:N
Données
Tableau B-2. Réponse de mode Terminal provenant du contrôleur BMC
Octet Explication
1
[7:2] – Fonction réseau (impaire)
[1:0] – LUN du répondeur
2
[7:2] – Numéro de séquence du demandeur
[1:0] – Champ de pont
3
Numéro de commande
4
Code d'exécution
5:N
Données
Format de commande texte
Les commandes texte ne prennent pas en charge les champs de pont et de numéro de séquence présents dans les commandes hex-ASCII. En outre, les
commandes texte sont précédées par le préfixe SYS. Le tableau B-3 répertorie les commandes texte de mode Terminal et le tableau B-4 répertorie la
configuration du mode Terminal.
Exemples
exemple de commande Hex-ASCII (Commande de surveillance de réinitialisation IPMI) :
[18 00 22]<CR>
[1C 00 22 00]<CR-LF>
Exemple de commande texte :
[SYS TMODE]<CR>
[OK TMODE]<CR-LF>
Tableau B-3. Commandes texte du mode Terminal
Commande
SYS PWD
Commutateurs
Description
-U USERNAME
<mot de passe>
-U active une session de mode Terminal. USERNAME correspond au texte ASCII pour le nom d'utilisateur. <mot de
passe> représente un mot de passe imprimable (jusqu'à 16 caractères). Si <mot de passe> n'est pas fourni, un mot
de passe vide (uniquement des 0 binaires) est fourni. Les mots de passe sont sensibles à la casse.
La commande SYS PWD ou le message IPMI « Activer la session » doit s'exécuter avant que les commandes ou les
messages IPMI soient acceptés.
REMARQUE : Une connexion via modem peut être interrompue si plusieurs mots de passe incorrects sont entrés.
-N <mot de passe>
-N représente un nom d'utilisateur vide et <mot de passe> représente un mot de passe imprimable (jusqu'à 16
caractères). Si <mot de passe> n'est pas fourni, un mot de passe vide (uniquement des 0 binaires) est fourni. Les
mots de passe sont sensibles à la casse.
La commande SYS PWD ou le message IPMI « Activer la session » doit s'exécuter avant que les commandes ou les
messages IPMI soient acceptés.
REMARQUE : Une connexion via modem peut être interrompue si plusieurs mots de passe incorrects sont entrés.
-X
-X ferme immédiatement toute session actuellement active.
REMARQUE : Si vous entrez un mot de passe non valide avec -U ou -N, vous ne pourrez pas ouvrir de session.
SYS TMODE
SYS SET BOOT
XX YY ZZ AA BB
Sert comme confirmation ineffective pour montrer que le mode Terminal est actif. Le contrôleur renvoie une réponse
OK suivie de TMODE.
Définit les bannières de démarrage de façon à diriger un démarrage sur le périphérique spécifié après la
réinitialisation ou mise sous tension suivante par action ou commande IPMI. XX...BB représentent cinq octets encodés
hex-ASCII qui représentent le paramètre des bannières de démarrage, dans les Paramètres Option de démarrage.
Lorsqu'il reçoit cette commande, le contrôleur BMC définit automatiquement le bit valide dans les options de
démarrage et définit tous les bits de données de l'Accusé de réception de l'initiateur de démarrage sur 1b.
SYS SET
BOOTOPT XX
YY...NN
Ceci est une version texte de la commande IPMI Définir les options de démarrage du système. Elle permet la
définition de tous les paramètres de l'option démarrage, et non seulement des bannières de démarrage. XX YY...NN
représentent l'encodage hex-ASCII pour les octets de données qui sont passées dans la requête Définir les options
de démarrage du système.
XX : paramètre valide.
[7] — 1b = paramètre de marquage non valide/verrouillé.
0b = paramètre de marquage valide/non verrouillé.
[6:0] : sélecteur de paramètre de l'option Démarrage.
YY...NN : données des paramètres de l'option démarrage.
Le passage de 0 octets de données de paramètres permet au bit de paramètre valide d'être modifié sans affecter la
définition de paramètre actuelle.
SYS GET
BOOTOPT XX YY
ZZ
Ceci est une version texte de la commande IPMI Obtenir les options de démarrage du système. Elle vous permet
d'extraire tous les paramètres de l'option démarrage.
XX YY ZZ représente l'encodage hex-ASCII pour les octets de données qui sont passées dans la requête Obtenir les
options de démarrage du système.
Le contrôleur BMC renvoie les données de la commande sous format hex-ASCII.
XX : sélecteur de paramètre.
[7] : réservé.
[6:0] : sélecteur de paramètre de l'option Démarrage.
YY : Sélecteur défini.
[7:0] : sélectionne un bloc ou un jeu de paramètres spécifiques sous le sélecteur de paramètres donné.
Écrire 00h si le paramètre n'a pas de sélecteur de jeu.
ZZ : Sélecteur de bloc.
Sélectionne un bloc spécifique au sein d'une série de paramètres
Écrire 00h si le paramètre n'a pas de sélecteur de blocs.
REMARQUE : Aucun paramètre des options de démarrage spécifié par IPMI n'utilise le sélecteur de blocs.
Cependant, ce champ est fourni pour offrir une cohérence avec d'autres commandes de configuration et pour servir
d'espace réservé à une extension à venir de la spécification IPMI.
SYS SET TCFG
Renvoie les octets de la configuration du mode Terminal où XX et YY représentent l'encodage hex-ASCII pour la
version volatile des octets de données 1 et 2, comme spécifié dans le tableau B-4, et AA BB représentent l'encodage
hex-ASCII de la version non volatile.
V:XX <séquence d'arrêt de la sortie>
N:AA BB <séquence d'arrêt de la sortie>
-V XX YY
Définit la configuration du mode Terminal volatile. XX et YY représentent l'encodage hex-ASCII pour les octets de
données 1 et 2 comme spécifié dans le tableau B-4. Le contrôleur BMC renvoie la même sortie que pour SYS SET
TCFG, ci-dessus.
-N XX YY
Définit la configuration du mode Terminal non-volatile. XX et YY représentent l'encodage hex-ASCII pour les octets de
données 1 et 2 comme spécifié dans le tableau B-4. Le contrôleur BMC renvoie la même sortie que pour SYS SET
TCFG, ci-dessus.
SYS RESET
Commande au contrôleur BMC d'effectuer immédiatement une réinitialisation matérielle du système.
SYS POWER OFF
Commande au contrôleur BMC d'effectuer immédiatement une mise hors tension du système.
SYS POWER ON
Provoque la mise sous tension immédiate du système par le contrôleur BMC.
SYS HEALTH
QUERY
Le contrôleur BMC renvoie une version de haut niveau de la condition d'intégrité du système sous format « terse ».
Le contrôleur BMC renvoie une chaîne de caractères au format suivant si la commande est acceptée.
PWR:zzz H:xx T:xx V:xx PS:xx C:xx D:xx S:xx O:xx
Où :
PWR est l'état de l'alimentation du système.
H est l'intégrité générale.
T est la température.
V est la tension.
PS est le sous-système de bloc d'alimentation.
C est le sous-système de refroidissement (ventilateurs).
D est le sous-système disque dur / RAID.
S est la Sécurité physique.
O est Autre (OEM).
zzz est : ON, OFF (mise hors tension à chaud ou mécanique), SLP (veille - sert quand le niveau de veille ne peut
être distingué), S4, S3, S2, S1, ?? (inconnu).
et xx est : ok, nc, cr, nr, uf, ou ?? où :
ok = OK (paramètres surveillés fonctionnant normalement).
nc = non critique (« avertissement » : matériel hors des limites de fonctionnement normal).
cr = critique (« irrécupérable » : matériel dépasse les normes spécifiées).
nr = irrécupérable (« dommage potentiel » : matériel système en situation de risque ou endommagé).
uf = défaut non spécifié (défaut détecté, mais gravité non spécifiée).
?? = condition non disponible/inconnue (en général parce que le système est hors tension).
SYS HEALTH
QUERY
-V
Le contrôleur BMC renvoie une version de haut niveau de la condition d'intégrité du système sous format multiligne «
verbose ». Le contrôleur BMC renvoie une chaîne de caractères sous le format suivant :
SYS Health:xx <séquence d'arrêt de la sortie>
Alimentation : ON, OFF (arrêt à chaud ou mécanique), SLEEP (veille - sert lorsque le niveau de veille ne peut être
distingué), S4, S3, S2, S1, Unknown.
Temperature:xx <séquence d'arrêt de la sortie>
Voltage:xx <séquence d'arrêt de la sortie>
PowerSystem:xx <séquence d'arrêt de la sortie>
Cooling:xx <séquence d'arrêt de la sortie>
Drives:xx <séquence d'arrêt de la sortie>
Security:xx <séquence d'arrêt de la sortie>
Other:xx <séquence d'arrêt de la sortie>
Où xx est :
OK (les paramètres surveillés fonctionnent normalement).
Non-critical (« avertissement » : le matériel se trouve hors des limites de fonctionnement normal).
Critical (« irrécupérable » : le matériel dépasse les normes spécifiées).
Non-recoverable (« dommage potentiel » : le matériel système est en situation de risque ou endommagé).
Unspecified fault (un défaut est détecté, mais la gravité n'est pas spécifiée).
Unknown condition non disponible/inconnue (en général parce que le système est hors tension).
Tableau B-4. Configuration du mode Terminal
Octet Explication
1
[7:6] : Réservé.
[5] : Modification de ligne.
0b = Désactiver.
1b = Activer (paramètre par défaut).
[4] : Réservé.
[3:2] : Contrôle de la suppression (ne s'applique que lorsque la modification de ligne est activée).
00b = Le contrôleur BMC sort un caractère <Suppr> lorsque <Retour> ou < Suppr > est reçu.
01b = Le contrôleur BMC sort une séquence < Retour >< Espace >< Retour > lorsque < Retour > ou
< Suppr > est reçu (paramètre par défaut).
[1] : Echo control0b = Pas d'écho 1b = Écho (le contrôleur BMC renvoie un écho des caractères qu'il reçoit) (paramètre par défaut).
[0] : Négociation : Le contrôleur BMC renvoie un [SYS]<nouvelle ligne> après réception de chaque message IPMI de mode Terminal et est prêt à
accepter le message suivant.
0b = Désactiver.
1b = Activer (paramètre par défaut).
2
[7:4] - Nouvelle séquence linéaire de sortie (du contrôleur BMC vers la console). Sélectionne quels caractères le contrôleur BMC utilise comme
séquence <nouvelle séquence linéaire> lorsque le contrôleur BMC écrit une ligne sur la console du mode Terminal.
0h = pas de séquence d'arrêt.
1h = <CR-LF> (paramètre par défaut)
2h = <NULL>
3h = <CR>
4h = <LF-CR>
5h = <LF>
Tous les autres = Réservés
[3:0] - Nouvelle séquence linéaire d'entrée (de la console vers le contrôleur BMC). Sélectionne quels caractères la console utilise comme <nouvelle
séquence linéaire> lors de l'écriture sur le contrôleur BMC en mode Terminal.
0h = Réservé
1h = <CR> (paramètre par défaut)
2h = <NULL>
Tous les autres = Réservés
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Introduction
Guide d'utilisation du contrôleur de gestion de la carte mère Dell OpenManage™
Systèmes pris en charge
Configuration du contrôleur BMC et tâches de gestion
Configuration du contrôleur BMC et outils de gestion
Autres documents Dell qui peuvent vous être utiles
Obtention d'assistance technique
Le contrôleur de gestion de la carte mère (BMC) des systèmes Dell™ PowerEdge™ surveille le système en vue d'événements critiques en communiquant avec
divers capteurs de la carte système, envoie des alertes et journalise des événements lorsque certains paramètres dépassent les seuils définis. Le contrôleur
BMC prend en charge la spécification Interface de gestion de plate-forme intelligente (IPMI) aux normes de l'industrie, vous permettant de configurer, de
surveiller et de récupérer des systèmes à distance. Le contrôleur BMC fournit les fonctionnalités suivantes :
l
Accès par le biais du port série du système et du NIC intégré
l
Journalisation des erreurs et alertes SNMP
l
Accès au journal d'événements du système (SEL) et à la condition des capteurs
l
Commandes des fonctions du système y compris la mise sous et hors tension
l
Prise en charge indépendante de l'alimentation système ou de l'état de fonctionnement
l
Redirection de console texte pour la configuration système, les utilitaires à base de texte et les consoles du système d'exploitation
l
Accès aux interfaces de la console série Red Hat® Enterprise Linux grâce à l'utilisation de communications série sur le LAN (SOL).
Dell fournit divers utilitaires et programmes distincts pour accéder au contrôleur BMC afin d'effectuer des activités de gestion. Les interfaces du contrôleur BMC
suivantes permettent aux utilisateurs de configurer et de gérer votre système par le biais du contrôleur BMC.
l
l
L'utilitaire de gestion du contrôleur BMC permet le contrôle de l'alimentation par port série et/ou LAN hors bande distant, l'accès aux journaux
d'événements et la redirection de console.
L'utilitaire Dell OpenManage™ Deployment Toolkit Version 1.3 BMCCFG.EXE fournit un outil de configuration de ligne de commande puissant.
l
Dell OpenManage Server Administrator permet l'accès distant sur bande aux journaux d'événements, au contrôle de l'alimentation et aux informations
sur la condition des capteurs, et offre la possibilité de configurer le contrôleur BMC.
l
De plus, vous pouvez accéder au contrôleur BMC avec des utilitaires standard de terminal ou d'émulateur de terminal qui permettent d'accéder aux
informations sur la condition du capteur et au contrôle de l'alimentation.
Systèmes pris en charge
Les fonctionnalités de gestion du contrôleur BMC illustrées dans ce guide sont prises en charge sur les systèmes Dell PowerEdge suivants :
l
800
l
1425SC
l
1800
l
1850
l
1855
l
2800
l
2850
l
6800
l
6850
Configuration du contrôleur BMC et tâches de gestion
Ce Guide d'Utilisation traite des tâches de base qui permettent d'installer et configurer le contrôleur BMC sur un système géré en vue d'utiliser l'utilitaire de
gestion du contrôleur BMC. Ces tâches de base sont décrites dans les sections suivantes :
l
Configuration du contrôleur BMC
l
Gestion du contrôleur BMC
Configuration du contrôleur BMC
Pour configurer le contrôleur BMC dans un environnement de pré-amorçage, vous pouvez utiliser le module de configuration du contrôleur BMC du BIOS ou
l'utilitaire BMCCFG.EXE DTK, en fonction de l'étendue des tâches de configuration requises. Vous pouvez aussi configurer le contrôleur BMC sur un système
géré avec un système d'exploitation en cours d'exécution à l'aide de la CLI ou de la GUI de la page d'accueil de Server Administrator. Consultez la section «
Configuration du contrôleur de gestion de la carte mère » pour des informations supplémentaires.
Gestion du contrôleur BMC
Pour configurer le contrôleur BMC dans un environnement de pré-amorçage ou pour accéder au contrôleur BMC d'un système qui ne répond pas, vous devez
utiliser l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC. Consultez la section « Utilisation de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC ». Pour configurer le contrôleur
BMC sur un système avec un système d'exploitation en cours d'exécution ou pour effectuer des tâches de gestion quotidiennes du contrôleur BMC, vous
pouvez utiliser la GUI de la page d'accueil de Server Administrator. Consultez le Guide d'utilisation de Server Administrator, version 2.0 pour des informations
supplémentaires sur l'utilisation de Server Administrator pour gérer les fonctions BMC de votre système. La figure 1-1 illustre la matrice de configuration du
contrôleur BMC.
Figure 1-1. Matrice de configuration du contrôleur BMC
Action du contrôleur BMC en cas d'alerte
Si vous avez prévu d'utiliser le contrôleur BMC de votre système pour envoyer des alertes BMC, vous devez suivre les directives de configuration des actions
en cas d'alerte du contrôleur BMC répertoriées dans le tableau 1-1.
Tableau 1-1. Directives de configuration des actions en cas d'alerte du contrôleur BMC
Fonctionnalités
l
l
Réinitialisation du
système
Mise hors tension du
système
Moyen de
connexion
Accès par LAN
partagé
Outils de configuration du contrôleur
BMC
l
l
DTK (environnement pré-système
d'exploitation)
Server Administrator
Tâches de configuration de base
l
l
Activer les événements sur
plate-forme
Activer les actions d'alerte
Outils de gestion du
contrôleur BMC
-
l
Cycle d'alimentation du
système
Alertes BMC de base sur LAN partagé
Si vous avez prévu d'utiliser le contrôleur BMC de votre système uniquement pour surveiller des alertes BMC à l'aide d'IT Assistant, suivez les directives de
configuration du contrôleur BMC mentionnées dans le tableau 1-2.
Tableau 1-2. Directives de configuration des alertes LAN du contrôleur BMC
Fonctionnalités
Moyen de
connexion
Interruptions
SNMP
Accès par LAN
partagé
Outils de configuration du contrôleur BMC
l
l
l
Outils de gestion du
contrôleur BMC
Tâches de configuration de base
Module de configuration du contrôleur BMC
(environnement pré-système
d'exploitation)
DTK (environnement pré-système
d'exploitation)
Server Administrator
l
l
l
l
Activer les alertes sur le système géré
Configurer l'adresse IP, le masque de
sous-réseau et la passerelle sur le
système géré
Configurer l'adresse IP de destination
d'alerte
Activer le VLAN (en option)
IT Assistant
Environnement IPMI sur un LAN partagé
Si vous avez prévu d'utiliser l'environnement IPMI de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC pour accéder au contrôleur BMC de votre système sur un LAN
partagé, vous devez suivre les directives de configuration du contrôleur BMC répertoriées dans le tableau 1-3.
Tableau 1-3. Directives de configuration de l'accès au LAN du contrôleur BMC
Fonctionnalités
l
l
l
l
Accès au journal
SEL distant
Contrôle de
l'alimentation
Identification du
système
Informations sur
le système
Moyen de
connexion
Accès par LAN
partagé
Outils de configuration du contrôleur BMC
l
l
l
Module de configuration du contrôleur
BMC (environnement pré-système
d'exploitation)
DTK (environnement pré-système
d'exploitation)
Server Administrator
Outils de gestion du
contrôleur BMC
Tâches de configuration de base
l
l
l
l
Configurer le ou les utilisateurs du
contrôleur BMC
Activer le LAN sur le système géré
Configurer l'adresse IP, le masque
de sous-réseau et la passerelle sur
le système géré
Activer le VLAN (en option)
Environnement IPMI
Environnement IPMI par câble série
Si vous avez prévu d'utiliser l'environnement IPMI de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC ou une redirection de console texte pour accéder au contrôleur
BMC de votre système par câble série, vous devez suivre les directives de configuration du contrôleur BMC répertoriées dans le tableau 1-4.
Tableau 1-4. Directives de configuration du BMC série
Fonctionnalités
l
l
l
l
Accès au journal
SEL distant
Contrôle de
l'alimentation
Identification du
système
Informations sur
le système
Moyen de connexion
Accès par le canal série
à l'aide d'un câble null
modem
Outils de configuration du
contrôleur BMC
l
l
l
BIOS (environnement présystème d'exploitation)
DTK (environnement présystème d'exploitation)
Server Administrator (pour
activer le BMC série
uniquement)
Tâches de configuration de
base
l
l
l
l
Configurer le ou les
utilisateurs du
contrôleur BMC
Activer le BMC série
dans le BIOS
Définir le BMC série sur
le mode de base ou
terminal
Définir le débit en
bauds (9 600 ou 19
200)
Outils de gestion du contrôleur
BMC
l
l
Environnement IPMI
(mode de base
uniquement)
Émulation de terminal
(mode Terminal
uniquement)
Serveur proxy SOL sur LAN partagé
Si vous avez prévu d'utiliser le serveur proxy SOL de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC pour accéder au contrôleur BMC de votre système sur un LAN
partagé, vous devez suivre les directives de configuration du contrôleur BMC répertoriées dans le tableau 1-5.
Tableau 1-5. Directives de configuration des communications SOL du contrôleur BMC
Fonctionnalités
l
l
l
l
Moyen de
connexion
Redirection de
Accès par
console de l'utilitaire
LAN partagé
texte
Configuration du BIOS
à distance
Redirection de
console texte Microsoft
Redirection de
console texte Red Hat
Enterprise Linux
Outils de configuration du
contrôleur BMC
l
l
l
l
BIOS (environnement présystème d'exploitation)
Module de configuration du
contrôleur BMC (environnement
pré-système d'exploitation)
DTK (environnement présystème d'exploitation)
Server Administrator (pour
activer le BMC série
uniquement)
Tâches de configuration de base
l
l
l
l
l
l
Configurer le ou les utilisateurs du
contrôleur BMC
Activer le LAN sur le système géré
Configurer l'adresse IP, le masque
de sous-réseau et la passerelle sur
le système géré
Activer le VLAN (en option)
Activer le NIC du contrôleur BMC
dans le BIOS
Configurer la redirection de console
texte du BIOS
¡ Définir le débit en bauds (9
600 ou 19 200) et le type
d'émulation de terminal
(VT100 ou ANSI)
Outils de gestion du
contrôleur BMC
l
l
l
Serveur proxy SOL
Redirection de
console texte
Microsoft
Redirection de
console texte Red
Hat Enterprise Linux
Configuration du contrôleur BMC et outils de gestion
Utilisation du module de configuration du contrôleur BMC
Le module de configuration du contrôleur BMC fournit des fonctions d'installation et de configuration de base auxquelles vous pouvez accéder pendant
l'amorçage du système. Utilisez-le pour l'installation et la configuration initiales du contrôleur BMC uniquement. Pour les tâches de configuration avancées,
vous devez utiliser l'utilitaire de Deployment Toolkit 1.3 BMCCFG.EXE ou Server Administrator Version 2.0. Consultez le Guide d'utilisation de votre système pour
des informations supplémentaires sur le module de configuration du contrôleur BMC.
Utilisation de Deployment Toolkit
L'utilitaire Deployment Toolkit (DTK) Version 1.3 BMCCFG.EXE fournit une puissante interface de ligne de commande basée sur DOS pour configurer localement
le contrôleur BMC de votre système dans le cadre d'un déploiement initial. Utilisez l'utilitaire BMCCFG.EXE pour définir toutes les fonctionnalités BMC prises en
charge. De plus, vous pouvez utiliser les utilitaires DTK dans le cadre d'un déploiement indiqué par un script sur plusieurs systèmes similaires. Pour utiliser
l'utilitaire BMCCFG.EXE, vous devez effectuer les tâches suivantes :
l
Télécharger l'exécutable DTK et enregistrer les utilitaires sur votre disque dur.
l
Configurer une disquette ou un CD d'amorçage qui contient une copie de l'utilitaire BMCCFG.EXE.
l
Configurer localement le contrôleur BMC sur le système géré.
Consultez le Guide d'utilisation du Deployment Toolkit Version 1.3 et le Guide de référence de l'interface de ligne de commande pour obtenir des informations
supplémentaires sur l'utilisation de l'utilitaire BMCCFG.EXE pour configurer et gérer le contrôleur BMC de votre système.
Utilisation de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC
L'utilitaire de gestion du contrôleur BMC fournit une station de gestion pour gérer à distance par ligne de commande les fonctions du contrôleur BMC prises en
charge. Utilisez l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC pour gérer votre contrôleur BMC depuis une station de gestion distante et comme console de gestion
d'urgence de votre système géré. Cet utilitaire vous donne la possibilité d'utiliser une interface de ligne de commande (environnement IPMI) ou un serveur
proxy en communications série sur le LAN (serveur proxy SOL) pour accéder au contrôleur BMC et le gérer. Pour utiliser l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC,
vous devez effectuer les tâches suivantes :
REMARQUE : Vous devez d'abord configurer votre contrôleur BMC avec le module de configuration du contrôleur BMC, l'utilitaire Deployment Toolkit
BMCCFG.EXE ou Server Administrator avant de pouvoir utiliser l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC.
l
l
Configurer le contrôleur BMC à l'aide du module de configuration du contrôleur BMC, de l'utilitaire Deployment Toolkit BMCCFG.EXE ou de Server
Administrator.
Installer l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC sur une station de gestion.
Consultez la section « Configuration de votre système géré » pour obtenir des instructions sur la configuration du contrôleur BMC sur un système géré en vue
de l'utilisation de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC. Pour obtenir des instructions complètes sur l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC pour gérer le
contrôleur BMC de votre système, consultez la section « Utilisation de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC ».
Utilisation de Server Administrator
Server Administrator Version 2.0 fournit une interface utilisateur graphique pratique et simple d'utilisation qui permet de configurer et de gérer à distance le
contrôleur BMC de votre système sur un système équipé d'un système d'exploitation pris en charge. Vous pouvez utiliser Server Administrator Instrumentation
Service pour configurer les fonctionnalités les plus importantes du contrôleur BMC comme les paramètres de filtre d'événements sur plate-forme (PEF) et les
destinations d'alertes. De plus, Server Administrator peut servir d'interface de ligne de commande. Server Administrator nécessite un système équipé d'un
système d'exploitation qui fonctionne. Server Administrator convient donc mieux aux tâches de gestion quotidiennes du contrôleur BMC et ne peut pas être
utilisé pour une configuration de pré-amorçage ou pour accéder au contrôleur BMC comme console de gestion d'urgence. Pour utiliser Server Administrator,
vous devez effectuer les tâches suivantes :
l
Installer Server Administrator sur le système géré.
l
Accéder à la page d'accueil de Server Administrator à distance depuis un navigateur pris en charge sur une station de gestion.
l
Configurer à distance le contrôleur BMC sur le système géré.
Consultez le Guide d'utilisation de Server Administrator Version 2.0 et le Guide d'utilisation de l'interface de ligne de commande pour obtenir des informations
supplémentaires sur l'utilisation de Server Administrator pour configurer et gérer le contrôleur BMC de votre système.
Autres documents Dell qui peuvent vous être utiles
En plus de ce Guide d'utilisation, vous pourrez trouver les guides suivants sur le site Web de support de Dell à l'adresse support.dell.com ou sur le CD
Documentation :
l
Le Guide d'installation rapide de Dell OpenManage fournit des informations supplémentaires sur l'installation de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC sur
une station de gestion.
l
Le Guide d'utilisation de Dell OpenManage Server Administrator Version 2.0 fournit des informations supplémentaires sur l'utilisation de Server
Administrator pour gérer le contrôleur BMC de votre système.
l
Le Guide d'utilisation de Dell OpenManage Deployment Toolkit Version 1.3 fournit des informations supplémentaires sur l'installation et l'utilisation des
utilitaires Deployment Toolkit.
l
Le Guide de référence de l'interface de ligne de commande Dell OpenManage Deployment Toolkit Version 1.3 fournit une liste complète de toutes les options,
sous-options et arguments valides de ligne commande relatives au contrôleur BMC.
l
Le Guide d'utilisation de Dell OpenManage IT Assistant Version 7.0 fournit des informations sur la façon de surveiller et de gérer un grand nombre de
systèmes clients et serveurs sur un réseau local (LAN) ou un réseau étendu (WAN).
l
Le Guide d'utilisation de votre système Dell fournit des informations supplémentaires sur la configuration des paramètres de votre BIOS avec le
programme de configuration du système et de votre contrôleur BMC avec le module de configuration du contrôleur BMC, ainsi que des instructions sur la
configuration de votre système en vue d'utiliser la redirection de console.
De plus, le fichier lisez-moi readme.txt de Dell OpenManage fournit les dernières informations disponibles concernant l'installation et le fonctionnement des
programmes et utilitaires qui servent à gérer votre système par le biais du contrôleur BMC. Le fichier lisez-moi est disponible sur le CD Dell OpenManage
Systems Management Consoles et sur le site Web de support de Dell à l'adresse support.dell.com.
Obtention d'assistance technique
Si vous ne comprenez pas une procédure décrite dans ce guide ou si votre produit ne fonctionne pas comme prévu, des outils d'aide sont disponibles pour
vous assister. Pour des informations supplémentaires sur ces outils d'aide, consultez la section « Obtention d'aide » du Guide d'installation et de dépannage de
votre système.
De plus, le programme Dell Enterprise Training and Certification est disponible ; consultez www.dell.com/training pour des informations supplémentaires. Ce
service n'est pas disponible dans toutes les régions.
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Configuration de votre système géré
Guide d'utilisation du contrôleur de gestion de la carte mère Dell OpenManage™
Configuration du BIOS
Configuration du contrôleur de gestion de la carte mère
Configuration de votre contrôleur BMC avec l'utilitaire Deployment Toolkit Version 1.3 BMCCFG.EXE
Configuration de votre contrôleur BMC avec Server Administrator Version 2.0
Avant de pouvoir utiliser l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC, vous devez d'abord configurer les paramètres nécessaires du BIOS, du réseau et de la
connexion série du système pour activer l'accès au contrôleur BMC.
De plus, pour utiliser les fonctions série IPMI de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC, vous devez avoir une connexion active entre la station de gestion et
le bon port d'E/S série du contrôleur BMC cible, à l'aide d'un câble null modem.
Cette section décrit les procédures de base que vous devez effectuer pour préparer l'accès au contrôleur BMC et sa gestion à l'aide de l'utilitaire de gestion du
contrôleur BMC. Les procédures suivantes sont décrites :
l
Configuration du BIOS
l
Configuration du contrôleur de gestion de la carte mère
l
Configuration de votre contrôleur BMC avec l'utilitaire Deployment Toolkit BMCCFG.EXE
l
Configuration de votre contrôleur BMC avec Server Administrator
Configuration du BIOS
Dans la plupart des configurations, vous devez configurer les paramètres de port série et les paramètres de redirection de console dans le BIOS de votre
système avant de pouvoir utiliser l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC. Par exemple, pour avoir accès au contrôleur BMC via une connexion série par câble
vous devez configurer Port série 1 sur BMC série ; et pour avoir accès au contrôleur BMC via un LAN partagé si vous utilisez le proxy de communications série
sur le LAN (SOL), vous devez configurer Port série 1 sur NIC de BMC. De plus, si vous prévoyez d'utiliser la fonctionnalité de redirection de console, vous
devez configurer Redirection de Console sur Port série 1. Pour configurer les paramètres BIOS du système nécessaires, vous devez accéder au programme
de configuration du système.
REMARQUE : Pour des informations supplémentaires sur la configuration des paramètres BIOS, consultez le Guide d'utilisation de votre système.
Accéder au programme de configuration du système
1.
Allumez ou redémarrez votre ordinateur.
2.
Appuyez sur <F2> dès que vous avez vu le message suivant :
<F2> = Setup
(<F2> = Configuration)
L'écran Configuration du système apparaît.
REMARQUE : Si votre système d'exploitation commence à se charger avant que vous ayez appuyé sur <F2>, attendez que le système ait fini de
démarrer puis redémarrez l'ordinateur et réessayez.
3.
Utilisez les touches fléchées vers le haut et le bas pour naviguer vers le champ Périphériques intégrés et appuyez sur <Entrée>.
4.
Utilisez les touches fléchées vers le haut et le bas pour naviguer vers le champ Port série 1 et appuyez sur <Entrée>.
5.
Utilisez la barre d'espace pour sélectionner l'option de port série.
Les options sont COM1, COM3, BMC série,NIC de BMC, Désactivé et RAC (si un contrôleur RAC en option est installé sur le système).
Pour l'utilisation du BMC, le port série 1 utilise l'adresse COM1 et la communication peut se faire indifféremment via le port série ou le NIC partagé
intégré. Le contrôle RAC n'utilise que l'adresse COM1. Désactivé et COM3 ne sont pas des options disponibles lorsque la redirection de console est
définie de manière à utiliser le port série 1.
a.
Sélectionnez BMC série si vous prévoyez d'accéder au contrôleur BMC par une connexion avec câble série.
b.
Sélectionnez NIC de BMC si vous utilisez un proxy SOL et que vous avez l'intention d'accéder au contrôleur BMC via une un réseau local partagé.
6.
Appuyez sur <Entrée> pour revenir à l'écran Configuration du système.
7.
Utilisez les touches fléchées vers le haut et le bas pour naviguer vers le champ Redirection de console et appuyez sur <Entrée>.
8.
Utilisez les touches fléchées vers le haut et le bas pour naviguer vers l'option Redirection de console puis utilisez la barre d'espace pour définir la
fonctionnalité de redirection de console sur Port série 1.
9.
Utilisez les touches fléchées vers le haut et le bas pour naviguer vers l'option Débit en bauds fiable puis utilisez la barre d'espace pour définir le débit
en bauds fiable, le cas échéant.
10.
Utilisez les touches fléchées vers le haut et le bas pour naviguer vers l'option Type de terminal distant puis utilisez la barre d'espace pour sélectionner
VT 100/VT 200 ou ANSI, le cas échéant.
11.
Appuyez sur <Entrée> pour revenir à l'écran Configuration du système.
12.
Appuyez sur <Échap> pour quitter le programme de configuration du système. L'écran Quitter affiche les options suivantes :
l
Enregistrer les changements et quitter
l
Ignorer les changements et quitter
l
Revenir à la configuration
REMARQUE : Pour la plupart des options, les changements que vous effectuez sont enregistrés mais ne deviennent effectifs qu'une fois que vous avez
redémarré le système.
REMARQUE : Appuyez sur <F1> pour afficher le fichier d'aide pour le programme de configuration du système.
Configuration du contrôleur de gestion de la carte mère
Vous pouvez effectuer une configuration du contrôleur BMC de base à l'aide du module de configuration du contrôleur BMC pendant le démarrage du système.
Pour plus d'options de configuration avancées, consultez les instructions pour l'utilitaire Deployment Toolkit BMCCFG.EXE.
Accès au module de configuration du contrôleur BMC
1.
Allumez ou redémarrez votre ordinateur.
2.
Appuyez sur <Ctrl-E> lorsque vous y êtes invité après le POST.
Si votre système d'exploitation commence à se charger avant que vous ayez appuyé sur <Ctrl-E>, attendez que le système ait fini de démarrer puis
redémarrez l'ordinateur et réessayez.
Options du module de configuration du contrôleur BMC
Le tableau 2-1 répertorie les options du module de configuration du contrôleur BMC et montre comment configurer le contrôleur BMC sur un système géré.
Tableau 2-1. Module de configuration du contrôleur BMC
Option
IP statique ou Source DHCP
Description
Indique si une adresse IP statique ou une adresse DHCP sera attribuée au contrôleur de
réseau
REMARQUE : Cette option n'est pas disponible pour Dell™ PowerEdge™ 1855.
Adresse IP du contrôleur BMC
Entrez l'adresse IP pour une adresse IP statique. Le champ est limité à une valeur maximale
de 255.255.255.255.
REMARQUE : L'adresse IP 169.254.0.2 est renvoyée lorsque le contrôleur BMC est incapable
de contacter le serveur DHCP.
Masque de sous-réseau
Entrez le masque de sous-réseau pour l'adresse IP statique.
Passerelle
Entrez la passerelle IP pour l'adresse IP statique.
Alertes
Active ou désactive les alertes BMC.
REMARQUE : Cette option n'est pas disponible pour Dell PowerEdge 1855.
Destinations d'alertes
Active ou désactive les destinations d'alertes BMC.
Adresse IP d'alerte
Affiche l'adresse de la première destination d'alerte.
IPMI sur LAN
Active ou désactive l'accès par canal LAN hors-bande vers le contrôleur réseau partagé.
ID d'utilisateur
Active ou désactive le compte d'ID utilisateur du BMC 2.
Compte AdministrateurID2
Modifie le nom d'utilisateur et le mot de passe du compte administrateur.
Adresse MAC
Affiche l'adresse MAC du BMC du contrôleur réseau.
Réinitialiser les paramètres du contrôleur BMC sur leurs
valeurs par défaut
Efface les paramètres du contrôleur BMC et les réinitialise sur leurs valeurs par défaut.
Nom d'hôte
Spécifie le nom d'hôte du système géré qui sert à lier les événements BMC au système dont ils
proviennent.
REMARQUE : Cette option n'est pas disponible pour Dell PowerEdge 1855.
VLAN
Active et configure un LAN virtuel (VLAN) sur lequel le contrôleur BMC réside.
REMARQUE : Si le premier contrôleur d'interface réseau intégré (NIC1) est utilisé dans un groupe de canaux Ether ou d'agrégations de liens, le trafic de
gestion du contrôleur BMC ne fonctionnera pas bien. Pour des informations supplémentaires sur le regroupement réseau, consultez la documentation
du contrôleur d'interface réseau.
Configuration de votre contrôleur BMC avec l'utilitaire Deployment Toolkit
Version 1.3 BMCCFG.EXE
L'utilitaire Dell OpenManage™ Deployment Toolkit (DTK) comprend une série d'utilitaires basés sur DOS qui servent à configurer et à déployer les systèmes Dell
PowerEdge. L'utilitaire DTK BMCCFG.EXE est spécialement conçu pour répondre à toutes les tâches de configuration du contrôleur BMC nécessaires à l'aide
d'une interface de ligne de commande puissante et complète. Cet utilitaire peut s'exécuter sur Dell PowerEdge 1425SC et tous les systèmes Dell PowerEdge
x8xx pris en charge. L'utilitaire BMCCFG.EXE n'est pas pris en charge sur les systèmes PowerEdge x7xx ou antérieurs.
Pour utiliser l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC, vous devez configurer votre système géré avec l'utilitaire BMCCFG.EXE. Effectuez les tâches suivantes :
l
l
Installez le Deployment Toolkit Version 1.3.
Créez une disquette ou un CD de configuration du BMC contenant une image d'amorçage sous DOS, les pilotes de CD correspondants (pour un CD
uniquement) et l'utilitaire BMCCFG.EXE.
l
Configurez les utilisateurs du contrôleur BMC
l
Configurez l'accès SOL du contrôleur BMC
l
Configurez l'accès série IPMI du contrôleur BMC.
Installation et configuration
REMARQUE : Consultez le Guide d'utilisation du Deployment Toolkit Version 1.3 pour obtenir des informations supplémentaires sur l'installation et
l'utilisation des utilitaires DTK, et le Guide de référence de l'interface de ligne de commande de Deployment Toolkit Version 1.3 pour obtenir une liste
complète de toutes les options, sous-options et arguments valides pour utiliser le BMCCFG.EXE afin de configurer et de gérer votre contrôleur BMC.
Les composants DTK sont fournis sous forme de fichier zip à extraction automatique sur le site Web de support de Dell à l'adresse support.dell.com. Le fichier
à extraction automatique peut être ouvert sur tout système équipé d'un système d'exploitation Microsoft® Windows® où il peut être extrait sous DOS à l'aide
de l'utilitaire PKUNZIP.EXE (non fourni avec le DTK). Par défaut, les fichiers dtk-1.3-dos-AXX.exe sont extraits dans le répertoire racine de votre disque dur
local, C:\. Cet emplacement peut être modifié si vous fournissez un chemin différent lors de l'extraction du fichier. Effectuez les étapes suivantes pur extraire
les composants DTK sur une station de travail exécutant Windows :
1.
Téléchargez le fichier DTK dtk-1.3-dos-AXX.exe depuis le site Web de support de Dell à l'adresse support.dell.com et enregistrez-le sur un système
exécutant un système d'exploitation Windows pris en charge.
2.
Une fois le fichier zip téléchargé, double-cliquez sur le fichier.
3.
Cliquez sur OK.
4.
Cliquez sur Dézipper.
Par défaut, les fichiers DTK sont dézippés dans C:\Dell\Toolkit. L'utilitaire BMCCFG.EXE est situé dans le répertoire C:\Dell\Toolkit\Tools.
Création d'une disquette ou d'un CD d'amorçage
Utilisez les directives suivantes pour créer un média d'amorçage qui peut servir à configurer le contrôleur BMC sur un système géré :
L'image de la disquette d'amorçage doit contenir,au minimum, un analyseur de commandes (COMMAND.COM), un fichier de configuration (CONFIG.SYS), un
script de démarrage initial (AUTOEXEC.BAT) ainsi que les pilotes appropriés pour le lecteur de CD et le réseau (pour un CD uniquement).
REMARQUE : Les utilitaires DTK prennent en charge MS-DOS® version 6.22 et ultérieure ; cependant, MS-DOS version 7.1 ou ultérieure est
recommandée.
1.
Démarrez votre système sous DOS.
2.
Insérez une disquette vierge de 1,44 Mo dans le lecteur de disquette du système.
3.
Tapez cd\dos pour arriver au répertoire DOS.
4.
Tapez Format A:/S pour formater la disquette et transférer les fichiers qui rendent la disquette amorçable.
5.
Copiez les fichiers supplémentaires selon vos besoins.
Par exemple, tapez la commande qui suit et appuyez sur <Entrée> après chaque commande :
l
copy format*.* a:
l
copy mscdex*.* a:
l
copy xcopy*.* a:
l
copy smartdrv*.* a
l
copy sys*.* a:
l
et ainsi de suite
6.
Créez (ou modifiez) un fichier autoexec.bat qui charge les pilotes pour les périphériques requis (par exemple, les pilotes du lecteur de CD).
7.
Créez (ou modifiez) un fichier config.sys qui charge les pilotes requis pour les périphériques du système cible.
Si vous utilisez une disquette d'amorçage pour configurer le contrôleur BMC, passez à l'étape suivante. Si vous utilisez un CD d'amorçage pour configurer
le contrôleur BMC, passez à l'étape 9.
8.
Copiez l'utilitaire BMCCFG.EXE sur la disquette d'amorçage.
Vous êtes maintenant prêt à utiliser l'utilitaire BMCCFG.EXE pour configurer le contrôleur BMC. Passez à la section « Configuration du contrôleur BMC ».
9.
10.
Lancez votre logiciel de gravure de CD et générez un CD d'amorçage sous DOS à l'aide de la disquette d'amorçage que vous venez de créer comme
image d'amorçage.
Copiez l'utilitaire BMCCFG.EXE dans le répertoire racine du CD.
Vous êtes maintenant prêt à utiliser le CD d'amorçage pour configurer le contrôleur BMC sur un système géré. Passez à la section « Configuration du
contrôleur BMC ».
Configuration du contrôleur BMC
Avant d'utiliser l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC pour gérer le BMC à distance sur un système géré, vous devez effectuer des tâches de configuration de
base. L'utilitaire DTK BMCCFG.EXE fournit une interface de ligne de commande puissante qui permet d'effectuer les tâches de configuration suivantes :
l
Configurer des utilisateurs du contrôleur BMC pour le système géré
l
Configurer l'adresse IP du contrôleur BMC pour l'accès LAN IPMI et l'accès SOL, pour le système géré
l
Configurer le canal du contrôleur BMC série pour l'accès série IPMI, pour le système géré
REMARQUE : Consultez le Guide d'utilisation du Deployment Toolkit Version 1.3 pour obtenir des informations supplémentaires sur l'installation et
l'utilisation des utilitaires DTK, et le Guide de référence de l'interface de ligne de commande pour obtenir une liste complète de toutes les options, sousoptions et arguments valides pour utiliser le BMCCFG.EXE afin de configurer et de gérer votre contrôleur BMC.
Configuration de nouveaux utilisateurs du contrôleur BMC
Le contrôleur BMC est configuré par défaut avec une ID d'utilisateur 2 définie sur le nom d'utilisateur : root et le mot de passe : calvin. Il est vivement
conseillé de changer le nom d'utilisateur et le mot de passe lorsque vous déployez votre système.
1.
2.
Insérez le CD ou la disquette de configuration du contrôleur BMC d'amorçage sous DOS dans le lecteur du système à déployer et redémarrez le
système.
Pour créer un nouvel utilisateur, à l'invite de commande, tapez :
bmccfg username --userid=X --name=name
X étant un chiffre compris entre 2 et 10, et nom une chaîne ASCII de 16 caractères au plus.
Appuyez sur <Entrée> pour exécuter les options de ligne de commande.
3.
Pour activer la nouvelle ID d'utilisateur, à l'invite de commande, tapez :
bmccfg useraction --userid=X --action=enable
Appuyez sur <Entrée> pour exécuter les options de ligne de commande.
4.
Pour définir le mot de passe d'un utilisateur du contrôleur BMC, à l'invite de commande, tapez :
bmccfg passwordaction --action=setpassword --userid=X --password=password
où mot de passe est une chaîne ASCII de 16 caractères au plus.
AVIS : Un mot de passe doit être défini pour chaque utilisateur du contrôleur BMC. Le micrologiciel du contrôleur BMC n'autorise pas l'accès aux
utilisateurs sans nom d'utilisateur ni mot de passe.
Appuyez sur <Entrée> pour exécuter les options de ligne de commande.
Configuration de l'adresse IP du contrôleur BMC
1.
Insérez le CD ou la disquette d'amorçage sous DOS dans le lecteur approprié du système à déployer et redémarrez le système.
2.
Pour configurer la source de l'adresse IP du contrôleur BMC pour le canal LAN sur DHCP, à l'invite de commande, tapez :
bmccfg lcp --ipaddrsrc=dhcp
Press <Enter> to execute the command line options.
(Appuyez sur <Entrée> pour exécuter les options de ligne de commande)
Pour obtenir une liste complète de toutes les options, sous-options et tous les arguments valides pour la configuration du canal LAN du contrôleur BMC,
consultez le Guide de référence de l'interface de ligne de commande de Deployment Toolkit Version 1.3.
3.
Pour configurer la source de l'adresse IP du contrôleur BMC pour le canal LAN sur une adresse IP statique, à l'invite de commande, tapez :
bmccfg lcp --ipaddrsrc=static --ipaddress=XXX.XXX.XXX.XX
--subnetmask=XXX.XXX.XXX.X --gateway=XXX.XXX.XXX.X
Press <Enter> to execute the command line options.
(Appuyez sur <Entrée> pour exécuter les options de ligne de commande.)
Pour obtenir une liste complète de toutes les options, sous-options et tous les arguments valides pour la configuration du canal LAN du
contrôleur BMC, consultez le Guide de référence de l'interface de ligne de commande de Deployment Toolkit Version 1.3.
Configuration de l'accès au canal du contrôleur BMC série
1.
Insérez le CD ou la disquette d'amorçage sous DOS dans le lecteur approprié du système à déployer et redémarrez le système.
2.
Pour configurer le port série pour le contrôleur BMC, à l'invite de commande, tapez :
bmccfg scp --connectionmode=basic --msgcommbitrate=XXXXX
où XXXXX est le débit en bauds en b/s.
Press <Enter> to execute the command line options.
(Appuyez sur <Entrée> pour exécuter les options de ligne de commande.)
Pour obtenir une liste complète de toutes les options, sous-options et tous les arguments valides pour la configuration du canal du contrôleur BMC série,
consultez le Guide de référence de l'interface de ligne de commande de Deployment Toolkit Version 1.3.
Configuration de votre contrôleur BMC avec Server Administrator Version 2.0
Vous pouvez aussi configurer les options du contrôleur BMC à l'aide de Server Administrator, un programme Systems Management Software qui gère les
systèmes un à un et doit être installé sur le système géré. Une fois installé, vous pouvez accéder à Server Administrator à distance, à partir d'une station de
gestion avec un navigateur pris en charge pour effectuer des tâches de configuration du contrôleur BMC. Consultez le Guide d'utilisation de Server Administrator
pour des informations supplémentaires sur l'installation et l'utilisation de Server Administrator.
Vous pouvez configurer les paramètres du contrôleur BMC depuis la page d'accueil de Server Administrator ou à partir de son interface de ligne de commande.
Les utilisateurs doivent avoir des privilèges d'administrateur pour accéder aux paramètres du contrôleur BMC. Les utilisateurs qui ont ouvert une session avec
des privilèges d'utilisateur ou d'utilisateur privilégié peuvent visualiser les informations du contrôleur BMC mais ne peuvent pas modifier les paramètres.
Consultez le Guide d'utilisation de l'interface de ligne de commande de Server Administrator Version 2.0 pour obtenir des informations sur la configuration du
contrôleur BMC à partir de la ligne de commande.
Lorsque vous utilisez Server Administrator, vous pouvez cliquer sur le bouton Aide de la barre de navigation globale pour obtenir des informations plus
détaillées sur la fenêtre que vous affichez. L'aide de Server Administrator est disponible pour toutes les fenêtres accessibles à l'utilisateur en fonction du
niveau de privilège de l'utilisateur et des groupes spécifiques de matériel et de logiciels que Server Administrator découvre sur le système géré.
Configuration du contrôleur BMC
Server Administrator Instrumentation Service vous permet de gérer des fonctionnalités du contrôleur de gestion de la carte mère (BMC) comme les
informations générales sur le contrôleur BMC, la configuration du LAN et du port série, les utilisateurs BMC et la configuration du BIOS. Pour utiliser Server
Administrator afin de configurer le contrôleur BMC sur un système géré, effectuez les étapes suivantes :
REMARQUE : Vous devez avoir ouvert une session avec des privilèges d'administrateur pour configurer les paramètres BMC.
1.
Ouvrez une session sur la page d'accueil de Server Administrator pour le système cible.
2.
Cliquez sur l'objet Système.
3.
Cliquez sur l'objet Châssis principal du système.
4.
Cliquez sur l'objet contrôleur BMC.
5.
La fenêtre Informations sur le contrôleur BMC apparaît.
6.
Cliquez sur l'onglet Configuration.
Sous l'onglet Configuration, vous pouvez configurer le LAN, le port série, et les communications série sur le LAN.
7.
Cliquez sur l'onglet Utilisateurs.
Sous l'onglet Utilisateurs, vous pouvez modifier la configuration utilisateur du contrôleur BMC.
AVIS : Un mot de passe doit être défini pour chaque utilisateur du contrôleur BMC. Le micrologiciel du contrôleur BMC n'autorise pas l'accès aux
utilisateurs sans nom d'utilisateur ni mot de passe.
8.
Cliquez sur l'onglet Configuration du BIOS.
Sous l'onglet Configuration du BIOS, vous pouvez modifier l'état du port série, de la redirection de console et le débit en bauds fiable de la redirection
de console.
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Installation de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC
Procédures d'installation
Environnement IPMI
Serveur proxy SOL
Configuration du serveur proxy SOL avec le fichier de configuration du serveur proxy SOL
L'utilitaire de gestion du contrôleur BMC est une collection d'applications logicielles qui permettent la gestion et la configuration à distance de systèmes
équipés d'un contrôleur BMC. L'utilitaire de gestion du contrôleur BMC comprend les composants suivants :
l
Interface de ligne de commande (Environnement IPMI)
L'environnement IPMI est un programme d'application de console scriptable pour le contrôle et la gestion de systèmes distants utilisant le protocole IPMI
1.5. L'environnement IPMI prend en charge l'accès série et l'accès LAN au contrôleur BMC. Il permet l'administration d'un ou plusieurs systèmes gérés à
partir d'un environnement de ligne de commande, plutôt qu'une interface utilisateur graphique (GUI). Utilisez l'environnement IPMI pour effectuer les
tâches suivantes :
l
¡
Gestion de l'alimentation système
¡
Identification du système
¡
Accès au journal d'événements
¡
Contrôle d'identificateur du système
Serveur proxy en communications série sur le LAN (serveur proxy SOL)
Le serveur proxy SOL est un démon telnet qui permet une administration basée sur LAN des systèmes distants à l'aide des protocoles Communications
série sur le LAN (SOL) et IPMI 1.5. Toute application cliente telnet standard, comme HyperTerminal sur Microsoft® Windows® ou telnet sur Red Hat®
Enterprise Linux, peut servir à accéder aux fonctionnalités du démon. Le protocole SOL couplé à la redirection de console du BIOS du système distant
permet aux administrateurs d'afficher et de changer à distance les paramètres BIOS d'un système géré sur un LAN. La console série Red Hat Enterprise
Linux et les interfaces de Microsoft EMS/SAC sont aussi accessibles par LAN à l'aide de communications SOL.
AVIS : Toutes les versions de système d'exploitation Microsoft Windows comprennent le logiciel d'émulation de terminal Hilgraeve's HyperTerminal.
Cependant, la version comprise ne fournit pas beaucoup de fonctions requises durant la redirection de console. À la place, vous pouvez utiliser tout
logiciel d'émulation de terminal qui prend en charge le mode d'émulation VT100 ou ANSI. Un exemple d'émulateur de terminal complet VT100 ou ANSI qui
prend en charge la redirection de console sur votre système est Hilgraeve's HyperTerminal Private Edition 6.1 ou version ultérieure.
REMARQUE : Consultez le Guide d'utilisation de votre système pour obtenir des informations supplémentaires sur la redirection de console, y compris les
spécifications logicielles et matérielles, ainsi que des instructions pour configurer les systèmes hôtes et clients afin d'utiliser la redirection de console.
REMARQUE : Les paramètres HyperTerminal et telnet doivent être cohérents avec les paramètres du système géré. Par exemple, les débits en bauds
et les modes Terminal doivent correspondre.
Installation de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC
L'utilitaire de gestion du contrôleur BMC est installé sur une station de gestion de façon à pouvoir se connecter à distance au contrôleur BMC du système géré.
Consultez la figure 3-1.
Spécifications d'installation
Avant d'utiliser l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC, vous devez au moins effectuer les tâches de configuration de base du BIOS et du contrôleur BMC
décrites dans « Configuration de votre système géré ».
De plus, pour accéder au contrôleur BMC à l'aide de la fonctionnalité IPMI, vous devez avoir une connexion active entre la station de gestion et le bon port
d'E/S série du contrôleur BMC du système géré, à l'aide d'un câble null modem.
Figure 3-1. Installation sur une station de gestion
Systèmes d'exploitation pris en charge
La station de gestion doit exécuter l'un des systèmes d'exploitation pris en charge suivants :
l
Red Hat Enterprise Linux AS (version 2.1)
l
Red Hat Enterprise Linux AS, ES, WS (version 3)
l
Microsoft Windows 2000
l
Microsoft Windows XP
l
Microsoft Windows Server 2003 Web, Standard et Enterprise Editions
Les conditions suivantes doivent également être remplies :
l
Aucune version d'IT Assistant ne doit être installée sur votre système.
l
Le serveur SQL .doit s'exécuter.
Procédures d'installation
Les procédures d'installation suivantes fournissent des instructions détaillées pour installer et désinstaller l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC pour
chaque système d'exploitation prise en charge :
l
Installation/Désinstallation sur des systèmes fonctionnant sous un système d'exploitation Windows pris en charge
l
Installation/Désinstallation sur les systèmes fonctionnant sous un système d'exploitation Red Hat Enterprise Linux pris en charge :
Installation sur des systèmes fonctionnant sous un système d'exploitation Windows pris en
charge
Pour installer l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC sur une station de gestion qui fonctionne sous le système d'exploitation Windows, effectuez les étapes
suivantes :
1.
Ouvrez une session avec des privilèges d'administrateur sur le système sur lequel vous voulez installer les composants de Systems Management
Software.
2.
Quittez tous les programmes d'application ouverts et désactivez les logiciels de détection de virus.
3.
Insérez le CD Systems Management Consoles dans le lecteur de CD de votre système.
Si le CD ne lance pas automatiquement le programme d'installation, cliquez sur le bouton Démarrer, puis sur Exécuter, puis tapez
x:\windows\setup.exe (x étant la lettre de lecteur de votre lecteur de CD)
L'écran Installation de Dell OpenManage Station Management Version 4.3 apparaît.
4.
Cliquez sur Installer, modifier, réparer ou supprimer Management Station.
L'écran Bienvenue sur l'assistant d'installation de Dell OpenManage Station Management apparaît.
5.
Cliquez sur Suivant.
Un contrat de licence de logiciel apparaît.
6.
Sélectionnez J'accepte les termes du contrat de licence si vous acceptez.
L'écran Type de configuration apparaît.
7.
Sélectionnez Installation personnalisée et cliquez sur Suivant.
L'écran Installation personnalisée apparaît.
8.
Dans le menu déroulant qui apparaît sur la partie gauche de la console BMC, sélectionner Cette application et toutes les sous-applications seront
installées sur le disque dur local.
Pour accepter le répertoire par défaut, cliquez sur Suivant. Sinon, cliquez sur Parcourir et naviguez jusqu'au répertoire dans lequel vous voulez installer
votre logiciel puis cliquez sur Suivant.
L'écran Prêt à installer le programme apparaît.
9.
Vérifiez que toutes les informations sont correctes et cliquez sur Installer.
L'écran Installation de Dell OpenManage Management Station apparaît et affiche la condition de l'installation.
10.
Une fois que l'installation est terminée, l'écran Fin de l'assistant d'installation s'affiche. Cliquez sur Terminer.
Consultez le Guide d'utilisation de Dell OpenManage™ Version 2.0 pour des informations supplémentaires sur l'installation de l'utilitaire de gestion du contrôleur
BMC sur une station de gestion.
Par défaut, le programme d'installation copie les fichiers dans le répertoire suivant :
C:\Program Files\ Dell\SysMgt\bmc.
Le service de serveur proxy SOL ne démarre pas automatiquement après son installation. Pour démarrer ce service après son installation, vous pouvez
redémarrer le système (le serveur proxy SOL démarre automatiquement après un redémarrage) ou démarrer le service manuellement en allant dans le
répertoire bmc et en entrant la commande suivante :
solproxy start
Désinstallation sur des systèmes fonctionnant sous un système d'exploitation Windows pris
en charge
Pour désinstaller l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC, utilisez l'utilitaire Ajout/Suppression de programmes du Panneau de configuration.
Installation sur des systèmes fonctionnant sous un système d'exploitation Red Hat Linux
Enterprise pris en charge :
Pour installer l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC sur une station de gestion qui fonctionne sous le système d'exploitation Red Hat Linux Enterprise,
effectuez les étapes suivantes :
1.
Connectez-vous en tant qu'utilisateur « root » au système où vous désirez installer les composants de Management Station.
2.
Si nécessaire, montez le CD Systems Management Consoles avec la commande :
mount /mnt/cdrom.
3.
Installez l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC avec la commande suivante :
rpm -ivh /linux/bmc/osabmcutil*.rpm
Par défaut, le programme d'installation copie les fichiers dans les emplacements suivants :
/etc/init.d/solproxy
/etc/solproxy.cfg
/usr/sbin/solproxyd
/usr/bin/solconfig
/usr/bin/ipmish
Le serveur proxy SOL démarre automatiquement pendant le démarrage du système. Vous pouvez aussi aller dans le répertoire /etc/init.d et utiliser les
commandes suivantes pour gérer le service de serveur proxy SOL :
solproxy status
solproxy start
solproxy stop
solproxy restart
Désinstallation sur des systèmes fonctionnant sous un système d'exploitation Red Hat
Linux Enterprise pris en charge :
Pour désinstaller l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC, vous devez effectuer les étapes suivantes :
1.
Ouvrez une session en tant que root.
2.
Entrez la commande suivante pour supprimer tous les progiciels installés.
rpm -e osabmcutil
Si vous recevez un message de réussite, cela indique que l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC a été désinstallé.
Environnement IPMI
L'environnement IPMI est une application de console CLI et n'a pas d'interface utilisateur graphique. Ses commandes et options sont spécifiées à l'aide
d'arguments de ligne de commande uniquement.
L'environnement IPMI prend en charge l'accès hors-bande (OOB) (par LAN ou par le port série) vers un seul système à la fois ; cependant, plusieurs sessions
sur l'environnement IPMI peuvent s'exécuter simultanément sur le même système géré. Consultez la figure 3-2.
L'environnement IPMI permet à un utilisateur doté de privilèges d'utilisateur du contrôleur BMC de niveau utilisateur de :
l
Afficher la condition actuelle de l'alimentation.
l
Afficher la GUID 16 octets du système géré.
l
Afficher des informations à partir de l'unité remplaçable en clientèle du système (FRU).
l
Afficher les informations sur le micrologiciel du contrôleur BMC.
l
Afficher un résumé d'informations sur le journal d'événements.
l
Afficher les événements journalisés.
En plus des opérations qui peuvent être effectuées avec des privilèges d'utilisateur du contrôleur BMC de niveau utilisateur, l'environnement IPMI permet à un
utilisateur doté de privilèges de niveau opérateur et de privilèges de niveau administrateur de :
l
Allumer, réinitialiser ou réaliser un cycle d'alimentation sur le système géré.
l
l
Simuler une mise hors tension matérielle sur un système géré (forçant le système à s'éteindre sans fermer le système d'exploitation.
Supprimer le journal d'événements du système (SEL).
l
Activer/désactiver la LED clignotante d'identification du système.
Pour faciliter les scripts de commandes, lorsque l'exécution est réussie, l'environnement IPMI termine avec un code de sortie de zéro, et sort les résultats de
l'exécution sous format analysable. Si une erreur survient, le programme quitte avec un code d'erreur différent de zéro et sort l'erreur sous format analysable.
Consultez la section « Codes d'erreur de l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC » pour obtenir une liste complète des codes d'erreur de l'utilitaire de gestion
du contrôleur BMC.
Figure 3-2. Schéma de l'environnement IPMI
Utilisation de l'environnement IPMI
Pour utiliser l'environnement IPMI, effectuez les étapes suivantes :
Sur les systèmes exécutant un système d'exploitation Microsoft Windows pris en charge :
1.
Ouvrez une fenêtre Invite de commande.
2.
Allez dans le répertoire où le fichier ipmish.exe est situé. Par défaut, ipmish.exe est situé dans le répertoire : C:\Program Files\ Dell\SysMgt\bmc.
3.
Entrez les commandes de l'environnement IPMI (consultez la section « Syntaxe de commande de l'environnement IPMI ») pour gérer le système distant.
Consultez la section « Commandes de l'environnement IPMI » pour obtenir une liste complète des options, commandes, sous-commandes et arguments
valides.
Sur les systèmes exécutant un système d'exploitation Red Hat Enterprise Linux pris en charge :
1.
2.
Démarrez un environnement de système d'exploitation.
Entrez les commandes de l'environnement IPMI (consultez la section « Syntaxe de commande de l'environnement IPMI ») pour gérer le système distant.
Consultez la section « Commandes de l'environnement IPMI » pour obtenir une liste complète des options, commandes, sous-commandes et arguments
valides.
Syntaxe de commande de l'environnement IPMI
La syntaxe générale des commandes de la CLI de l'environnement IPMI est la suivante :
ipmish [global-option] ... command [; command] ...
L'utilisation générale d'une commande est la suivante :
command [subcommand] [command option and argument] ...
Les options globales et les options spécifiques à la commande sont toujours sous la forme suivante :
-option argument
Par exemple :
-help
-max 20
-u John
Les arguments accompagnés d'onglets ou d'espaces intégrés doivent être compris dans des guillemets anglais ("). Par exemple :
-user "John Durand"
Chaque commande a une action par défaut. L'action par défaut est souvent, mais pas toujours, l'équivalent de la lecture et de l'affichage du paramètre ou de
la condition actuels de la commande.
Options globales de l'environnement IPMI
L'environnement IPMI a les options globales suivantes :
Option de session IPMI -ip
Synopsis
ipmish -ip ip_address_bmc | nom_d'hôte_bmc -u nom_d'utilisateur -p mot_de_passe
Description
Cette option sert à établir une connexion vers un système géré distant à l'aide du canal LAN. Le port IP spécifié dans l'installation (la valeur par défaut est
623) est utilisé sauf si un autre port a été configuré.
Options
REMARQUE : Les options suivantes ne peuvent pas être utilisées indépendamment. Une ou plusieurs commandes IPMISH doivent suivre l'option.
-ip ip_address_bmc | nom_d'hôte_bmc
Spécifie l'adresse IP ou le nom d'hôte du système géré distant.
-u nom_d'utilisateur
Spécifie le nom d'utilisateur du contrôleur BMC.
-p mot_de_passe
Spécifie le mot de passe de l'utilisateur du contrôleur BMC.
Option de session IPMI -com
Synopsis
ipmish -com port_série -baud débits_en_bauds -flow contrôle_du_débit -u nom_d'utilisateur -p mot_de_passe
Description
Cette option établit une connexion vers un système géré distant à l'aide du canal série.
Options
REMARQUE : Les options suivantes ne peuvent pas être utilisées indépendamment. Une ou plusieurs commandes IPMISH doivent suivre l'option.
-com serial_port
Spécifie le port série utilisé lors de l'établissement d'une session IPMI sur le système géré. Pour un système exécutant Windows, le port de la station de
gestion peut être 1, 2, 3 et ainsi de suite. Pour les systèmes exécutant Red Hat Enterprise Linux, le port de la station de gestion peut être ttyS0, ttyS1, ttyS2
et ainsi de suite.
-baud débit_en_bauds
Spécifie le débit en bauds de communication sur canal série, comme par exemple 9 600 ou 19 200. Le débit en bauds pour le canal série doit correspondre au
débit en bauds défini dans le système géré.
-flow contrôle_du_débit
Spécifie la méthode de contrôle du débit de données. Il y a deux options de contrôle du débit : CTS (contrôle du flux matériel) et AUCUN (pas de contrôle du
débit).
-u nom_d'utilisateur
Spécifie le nom d'utilisateur du contrôleur BMC.
-p mot_de_passe
Spécifie le mot de passe de l'utilisateur du contrôleur BMC.
Option d'aide IPMI -help
Synopsis
ipmish -help [commande]
Description
L'option affiche les informations suivantes :
l
Une page de résumé de toutes les commandes
l
Un résumé de toutes les sous-commandes pour une simple commande
l
Une description détaillée d'une combinaison commande-sous-commande
Options
-help commande
Une liste de commandes et une brève description des options s'impriment si aucun argument n'est donné. Lorsqu'un argument spécifie une commande valide,
l'option help affiche une description détaillée de la commande. Consultez la figure 3-3 et la figure 3-4.
Figure 3-3. Exemple d'option d'aide IPMI 1
Figure 3-4. Exemple d'option d'aide IPMI 2
Commandes de l'environnement IPMI
Le tableau 3-1 répertorie les commandes de l'environnement IPMI avec une brève description.
Tableau 3-1. Commandes de l'environnement IPMI
Commande Description
identify
Contrôle la LED d'identification du panneau avant.
sysinfo
Récupère et affiche les informations du système géré.
power
Contrôle l'état de l'alimentation du système géré.
sel
Affiche ou supprime les informations du journal SEL.
identify
Synopsis
identify [on [-t secondes] | off]
Description
Cette commande contrôle la LED d'identification du panneau avant. Consultez la figure 3-5.
Sous-commandes
on
off
Allume ou éteint la LED du panneau avant du système géré. Si le contrôleur BMC prend en charge la commande Chassis Identify On de l'extension IPMI, la
commande identify on allume la LED indéfiniment jusqu'à ce que la commande identify off soit utilisée pour éteindre la LED.
Options
-t secondes
Spécifie combien de temps la LED reste allumée. Cette durée ne doit pas excéder 255 secondes.
Sous-commande par défaut
Si une sous-commande n'est pas spécifiée, cette commande joue le même rôle que la commande identify on.
Figure 3-5. Exemple d'option identify
sysinfo
Synopsis
sysinfo [fru | id]
Description
Cette commande récupère et affiche les informations sur le système, y compris l'unité remplaçable sur site (FRU) et les informations sur le contrôleur BMC pour
le système géré. Consultez la figure 3-6.
Sous-commandes
fru : renvoie des informations relatives à la FRU
id : renvoie des informations relatives au contrôleur BMC
Sous-commande par défaut
Si une sous-commande n'est pas spécifiée, cette commande joue le même rôle que la commande sysinfo id. Consultez la figure 3-6.
Figure 3-6. Exemple d'option sysinfo
power
Synopsis
power status
power off [-force] | on | cycle | reset
Description
Cette commande affiche la condition actuelle de l'alimentation sur le système géré, éteint ou allume le système ou réinitialise le système. Consultez la figure 37.
Sous-commandes
status : affiche la condition actuelle de l'alimentation du système, la valeur renvoyée est « on » ou « off ».
on : allume le système géré.
off : émet une commande IPMI d'arrêt normal.
REMARQUE : La sous-commande off ne fonctionne pas lorsque le système d'exploitation démarre sur le système géré ou si le système d'exploitation
est verrouillé. De plus, cette sous-option ne fonctionne pas si vous n'avez pas ouvert de session sur le système géré.
cycle : éteint le système, s'interrompt temporairement puis rallume le système.
reset : déclenche le signal de réinitialisation du système, quel que soit l'état de l'alimentation.
Options
-force
Cette option simule une pression sur le bouton d'alimentation, pour forcer le système à s'éteindre sans arrêter le système d'exploitation.
Sous-commande par défaut
Si une sous-commande n'est pas spécifiée, cette commande joue le même rôle que la commande power status. Consultez la figure 3-7.
Figure 3-7. Exemple d'option power
sel
Synopsis
sel status
sel get [ [-begin index1 ] [-end index2 | - nombre max] ] | [-last n]
sel clear
Description
Cette commande affiche des informations sur le journal d'événements, affiche le contenu du journal d'événements, et supprime les données du journal
d'événements. Consultez la figure 3-8.
Sous-commandes
status : affiche le nombre total d'enregistrements dans le journal d'événements du système.
get : imprime tout ou partie du journal d'événement.
clear : supprime toutes les données du journal d'événements.
Options
-begin index1
Spécifie le premier enregistrement à afficher.
-end index2
Spécifie le dernier enregistrement à afficher.
-max nombre
Spécifie le nombre maximal d'enregistrements à afficher.
Si la valeur de l'argument nombre est plus importante que le nombre maximal d'enregistrements, le dernier enregistrement affiché sera le dernier du journal
d'événements.
-last n
Spécifie le nombre d'enregistrements à afficher, en commençant par le dernier et en allant à rebours.
Sous-commande par défaut
Si une sous-commande n'est pas spécifiée, cette commande joue le même rôle que la commande sel status.
Format d'affichage
Les enregistrements du journal d'événement du système sont affichés sous format tabulaire. Les en-têtes de colonne sont : Nombre ordinal, Date, Heure,
Numéro du capteur, Type de capteur et Brève description. Consultez la figure 3-8.
Figure 3-8. Exemple d'option sel
Serveur proxy SOL
Le serveur proxy SOL est un simple serveur telnet. Il permet à un client telnet d'interagir avec le port série conçu pour matériel d'un système géré distant à
l'aide du canal de communication LAN. Consultez la figure 3-9. Avec le serveur proxy SOL, les administrateurs peuvent afficher et modifier les paramètres du
BIOS sur un LAN partagé. De plus, vous pouvez aussi accéder au contrôleur BMC de votre système géré à l'aide du serveur proxy SOL en utilisant la console
série Red Hat Enterprise Linux et les interfaces EMS/SAC de Microsoft. Le serveur proxy SOL ne prend pas en charge les connexions sur-bande ou série vers le
contrôleur BMC du système géré.
Lorsque la redirection de console du BIOS vers le port série est activée sur le système géré distant, toute application qui utilise le BIOS pour lire ou écrire sur
la console système verra ses E/S redirigées vers le port d'E/S série prévu à cet effet. Lorsque les communications SOL sont activées, le micrologiciel du
contrôleur BMC lit toutes les données écrites sur le port série et les transmet au serveur proxy SOL sous forme de paquets LAN. Le serveur proxy SOL fait
suivre les données au client telnet sous forme de paquets TCP/IP.
De la même façon, toute activité clavier sur le client telnet est envoyée au contrôleur BMC par le serveur proxy SOL. Le contrôleur BMC écrit ensuite les
paquets sur le port série d'E/S du système.
REMARQUE : Consultez le Guide d'utilisation de votre système pour obtenir des informations supplémentaires sur la redirection de console, y compris les
spécifications logicielles et matérielles, ainsi que des instructions pour configurer les systèmes hôtes et clients afin d'utiliser la redirection de console.
Figure 3-9. Schéma du serveur proxy SOL
Le schéma de configuration du serveur proxy SOL vous permet d'afficher et de configurer les paramètres BIOS d'un système géré, ainsi que de réinitialiser le
système géré à distance à l'aide du client telnet. Le serveur proxy SOL est installé comme service de démon et démarre automatiquement à chaque fois que le
système démarre. Le serveur proxy SOL ne peut prendre en charge qu'une session telnet à la fois.
Vous pouvez utiliser plusieurs clients telnet pour accéder aux fonctionnalités du serveur proxy SOL. Par exemple :
l
Dans un environnement Windows, vous pouvez utiliser une fenêtre d'invite de commande comme console. Cependant, les touches de fonction comme
<F1> et <F2> ne fonctionnent pas correctement avec ce client sauf sur les systèmes exécutant Windows Server 2003.
l
Dans un environnement Windows, vous pouvez aussi utiliser toute application telnet qui prend en charge le mode d'émulation VT100 ou ANSI (par
exemple HyperTerminal) comme console. Les adressages de touches HyperTerminal sont basés sur les modes d'émulation de terminal pris en charge et
ne prennent pas en charge certains types de terminaux utiles. Par exemple, HyperTerminal ne prend pas en charge le mode Terminal « Linux » (un
terminal VT100 modifié). Si vous utilisez HyperTerminal pour vous connecter à une console Red Hat Enterprise Linux (redirigée par communications SOL),
les touches de fonctions et les touches fléchées risquent de ne pas fonctionner, en fonction des paramètres « tty » de l'application distante.
AVIS : Toutes les versions de système d'exploitation Microsoft Windows comprennent le logiciel d'émulation de terminal Hilgraeve's HyperTerminal.
Cependant, la version comprise ne fournit pas beaucoup de fonctions requises durant la redirection de console. À la place, vous pouvez utiliser tout
logiciel d'émulation de terminal qui prend en charge le mode d'émulation VT100 ou ANSI. Un exemple d'émulateur de terminal complet VT100 ou ANSI qui
prend en charge la redirection de console sur votre système est Hilgraeve's HyperTerminal Private Edition 6.1 ou version ultérieure.
REMARQUE : Lorsque vous utilisez HyperTerminal, vous devez désélectionner la case à cocher Retour à la ligne automatique pour les lignes qui
dépassent la largeur du terminal pour éviter les données redirigées par la console qui peuvent sembler corrompues ou tronquées. Pour
désélectionner cette fonctionnalité, cliquez sur Fichier→ Propriétés→ Paramètres→ Configuration ASCII...→ Retour automatique à la ligne des
lignes qui dépassent la largeur du terminal.
REMARQUE : Consultez le Guide d'utilisation de votre système pour obtenir des informations supplémentaires sur la redirection de console, y
compris les spécifications logicielles et matérielles, ainsi que des instructions pour configurer les systèmes hôtes et clients afin d'utiliser la
redirection de console.
l
Dans un environnement Red Hat Enterprise Linux, vous pouvez utiliser un environnement tel que csh ou ksh comme console, ou vous pouvez utiliser
toute application telnet prenant en charge le mode d'émulation VT100 ou ANSI.
REMARQUE : Les paramètres HyperTerminal et telnet doivent être cohérents avec les paramètres du système géré. Par exemple, les débits en bauds
et les modes Terminal doivent correspondre.
Vous pouvez également envoyer la fonction d'interruption de terminal pendant la redirection de console. L'utilisation de cette fonction requiert que le
programme terminal spécifié ait la capacité d'envoyer une fonction d'interruption. Par exemple, les modules telnet de Red Hat Enterprise Linux ont la capacité
d'envoyer le signal d'interruption en tapant :
Ctrl+]send brk<Entrée>
La fonction Red Hat Enterprise Linux SysRq est un exemple de fonction avancée de débogage qui est activée par l'utilisation de la fonction d'interruption.
Veuillez vous référer à la documentation de Red Hat Enterprise Linux pour savoir comment utiliser cette fonctionnalité.
Utilisation du serveur proxy SOL
En fonction de la console que vous utilisez, il y a différentes étapes pour accéder au serveur proxy SOL. Tout au long de cette section, la station de gestion où
le serveur proxy SOL s'exécute est appelé serveur proxy SOL.
Utilisation de l'invite de commande Windows
Pour vous connecter et utiliser le serveur proxy SOL :
1.
2.
Ouvrez une fenêtre d'invite de commande sur votre station de gestion.
Entrez la commande telnet dans la ligne de commande et fournissez l'adresse IP du serveur proxy SOL et le numéro de port que vous avez spécifié lors
de l'installation du serveur proxy SOL (la valeur par défaut est 623). Par exemple :
telnet 192.168.1.24 623
REMARQUE : L'adresse IP et le numéro de port que vous fournissez doivent être conformes à ceux qui sont définis dans le fichier de configuration
du serveur proxy SOL. Pour de plus amples détails, consultez la section « Configuration du serveur proxy SOL avec le fichier de configuration du
serveur proxy SOL ».
3.
Si vous êtes invité à entrer un nom d'utilisateur, fournissez les références d'ouverture de session du système d'exploitation du serveur proxy SOL.
4.
Fournissez un mot de passe à l'invite. Le serveur proxy SOL utilisera cette combinaison de nom d'utilisateur et de mot de passe du système
d'exploitation pour vous authentifier sur le serveur proxy SOL. Le schéma d'authentification spécifique dépend de la configuration du système
d'exploitation pour le serveur proxy SOL. Cependant, si localhost ou une adresse IP 127.0.0.1 sont utilisés, on part du principe que l'utilisateur a des
privilèges d'ouverture de session sur l'hôte actuel et il ne lui est pas demandé de nom d'utilisateur et de mot de passe.
5.
Une fois l'authentification effectuée, vous verrez un message d'ouverture de session réussie et l'invite du menu principal du serveur proxy SOL. Vous
êtes prêt à utiliser le serveur proxy SOL. Consultez la section « Menu principal du serveur proxy SOL » pour de plus amples instructions.
Utilisation de la console HyperTerminal Windows
Pour vous connecter et utiliser le serveur proxy SOL :
1.
2.
Ouvrez une session HyperTerminal sur votre station de gestion.
Créez une nouvelle connexion TCP/IP, en fournissant l'adresse IP du serveur proxy SOL et le numéro de port que vous avez spécifié lors de l'installation
du serveur proxy SOL (la valeur par défaut est 623). Le mode d'émulation est VT100 et ANSI.
REMARQUE : L'adresse IP et le numéro de port que vous fournissez doivent être conformes à ceux qui sont définis dans le fichier de configuration
du serveur proxy SOL. Pour de plus amples détails, consultez la section « Configuration du serveur proxy SOL avec le fichier de configuration du
serveur proxy SOL ».
3.
Cliquez sur le bouton Connecter de la barre d'outils pour essayer la connexion nouvellement définie.
4.
Si vous êtes invité à entrer un nom d'utilisateur, fournissez les références d'ouverture de session du système d'exploitation du serveur proxy SOL.
5.
Fournissez un mot de passe à l'invite. Le serveur proxy SOL utilisera cette combinaison de nom d'utilisateur et de mot de passe du système
d'exploitation pour vous authentifier sur le serveur proxy SOL. Le schéma d'authentification spécifique dépend de la configuration du système
d'exploitation pour le serveur proxy SOL. Cependant, si localhost ou une adresse IP 127.0.0.1 sont utilisés, on part du principe que l'utilisateur a des
privilèges d'ouverture de session sur l'hôte actuel et il ne lui est pas demandé de nom d'utilisateur et de mot de passe.
6.
Une fois l'authentification effectuée, vous verrez un message d'ouverture de session réussie et l'invite du menu principal du serveur proxy SOL. Vous
êtes prêt à utiliser le serveur proxy SOL. Consultez la section « Menu principal du serveur proxy SOL » pour de plus amples instructions.
Utilisation d'un environnement Red Hat Enterprise Linux
Pour vous connecter et utiliser le serveur proxy SOL :
1.
2.
Ouvrez un environnement Red Hat Enterprise Linux sur votre station de gestion.
Entrez la commande telnet et fournissez l'adresse IP du serveur proxy SOL ainsi que le numéro de port que vous avez spécifié lors de l'installation du
serveur proxy SOL. Par exemple :
telnet 192.168.1.24 623
REMARQUE : L'adresse IP et le numéro de port que vous fournissez doivent être conformes à ceux qui sont définis dans le fichier de configuration
du serveur proxy SOL. Pour de plus amples détails, consultez la section « Configuration du serveur proxy SOL avec le fichier de configuration du
serveur proxy SOL ».
3.
Si vous êtes invité à entrer un nom d'utilisateur, fournissez les références d'ouverture de session du système d'exploitation du serveur proxy SOL.
4.
Fournissez un mot de passe à l'invite. Le serveur proxy SOL utilisera cette combinaison de nom d'utilisateur et de mot de passe du système
d'exploitation pour vous authentifier sur le serveur proxy SOL. Le schéma d'authentification spécifique dépend de la configuration du système
d'exploitation pour le serveur proxy SOL. Cependant, si localhost ou une adresse IP 127.0.0.1 sont utilisés, on part du principe que l'utilisateur a des
privilèges d'ouverture de session sur l'hôte actuel et il ne lui est pas demandé de nom d'utilisateur et de mot de passe.
5.
Une fois l'authentification effectuée, vous verrez un message d'ouverture de session réussie et l'invite du menu principal du serveur proxy SOL. Vous
êtes prêt à utiliser le serveur proxy SOL. Consultez la section « Menu principal du serveur proxy SOL » pour de plus amples instructions.
Menu principal du serveur proxy SOL
Une fois que la connexion avec le serveur proxy SOL a été établie, il vous est présenté le menu avec les choix suivants. Consultez la figure 3-10.
Figure 3-10. Exemple de Menu principal du serveur proxy SOL
Le menu principal du serveur proxy SOL vous permet de modifier les paramètres SOL du contrôleur BMC d'un système géré distant, de redémarrer le
contrôleur BMC distant ou d'activer la redirection de console.
Lorsque vous sélectionnez l'option 1 du menu, Connecter au contrôleur BMC du serveur distant, vous êtes invité à entrer l'adresse IP et les informations
d'ouverture de session du contrôleur BMC. Une fois que vous avez entré les informations requises et effectué une connexion, l'état interne SLP est modifié
pour passer à « connecté ». Si vous sélectionnez les options de menu 2, 3 ou 4, et que l'état de l'application n'est pas « connecté », vous êtes invité à vous
connecter à un contrôleur BMC.
L'option 2 du menu vous permet d'activer, de désactiver et de configurer les paramètres SOL par défaut, y compris le niveau de privilège utilisateur minimum
requis pour activer les communications SOL et le débit de communication en bauds.
Les options 3 et 4 du menu vous permettent d'établir une session de console distante SOL par le biais du menu principal du serveur proxy SOL. L'option 3 du
menu établit une session SOL sans changer l'état du système distant. Cette option est idéale pour se connecter aux SAC/EMS Microsoft ou à la console Red
Hat Enterprise Linux. L'option 4 du menu redémarre le système géré distant et établit une session SOL. Cette option convient davantage pour effectuer des
tâches de configuration du système et de configuration du BIOS.
Pour quitter une session SOL active, utilisez la séquence de caractères <~><.> . cette séquence met fin aux communications SOL et vous renvoie au menu
supérieur.
Connexion au contrôleur BMC du système géré distant
REMARQUE : Si plusieurs sessions SOL peuvent être actives en même temps, une seule session de redirection de console peut être active à la fois pour
un système géré.
1.
2.
3.
Sélectionnez l'option 1 du menu principal.
Entrez l'adresse IP du contrôleur BMC du système géré distant.
Fournissez le nom d'utilisateur et le mot de passe BMC pour le contrôleur BMC du système géré. Le nom d'utilisateur et le mot de passe du contrôleur
BMC doivent être attribués et stockés dans le stockage rémanent du contrôleur BMC. Consultez la section « Configuration de votre système géré » pour
obtenir des informations supplémentaires sur la configuration des utilisateurs BMC. Une seule session SOL par contrôleur BMC est autorisée à la fois.
L'état de la connexion s'affiche sur le menu principal. Consultez la figure 3-11.
Figure 3-11. Connexion au contrôleur BMC du système distant
Configuration des communications SOL pour le système géré distant
Sélectionnez l'option 2 du menu principal.
REMARQUE : Vous devez être connecté au contrôleur BMC du système géré avant de pouvoir configurer les fonctionnalités SOL. Si le serveur proxy SOL
n'est pas encore connecté au contrôleur BMC du système géré, vous êtes invité à entrer une adresse IP et une combinaison nom d'utilisateur/mot de
passe. Consultez la section « Connexion au contrôleur BMC du système géré distant » pour des informations supplémentaires.
Le menu de configuration des communications SOL apparaît. En fonction de la condition SOL actuelle, le contenu du menu de configuration des communications
SOL varie :
l
Si les communications SOL sont déjà activées, les paramètres actuels s'affichent et il vous est proposé trois choix. Consultez la figure 3-12.
Figure 3-12 Configuration des communications série sur le LAN pour le système distant, Exemple 1
l
Si les communications SOL sont actuellement désactivées, les options de la figure 3-13 s'affichent. Tapez Y pour activer les communications SOL ou N
pour que les communications SOL restent désactivées. Consultez la figure 3-13.
Figure 3-13. Configuration des communications série sur le LAN pour le système distant, Exemple 2
l
Si les communications SOL sont activées, deux paramètres du contrôleur BMC s'affichent :
¡
¡
Le débit de communication en bauds entre le port série du système et le contrôleur BMC.
Le niveau de privilège de l'utilisateur du contrôleur BMC minimum requis pour l'activation de la redirection de console.
Le serveur proxy SOL affiche une liste de valeurs valides pour chaque fonctionnalité, ainsi que la valeur actuelle de la fonctionnalité comprise entre
crochets. Sélectionnez le nombre avant la valeur pour le définir comme le nouveau paramètre et appuyez sur <Entrée> pour confirmer vos modifications.
Les nouveaux paramètres BMC s'affichent alors. Consultez la figure 3-14.
Figure 3-14. Configuration des communications série sur le LAN pour le système distant, Exemple 3
Activation de la redirection de console
Sélectionnez l'option 3 du menu principal.
REMARQUE : Vous devez être connecté au contrôleur BMC du système géré avant de pouvoir configurer les fonctionnalités SOL. Si le serveur proxy SOL
n'est pas encore connecté au contrôleur BMC du système géré, vous êtes invité à entrer une adresse IP et une combinaison nom d'utilisateur/mot de
passe. Consultez la section « Connexion au contrôleur BMC du système géré distant » pour des informations supplémentaires.
La console texte du système géré distant est redirigée vers votre station de gestion. Consultez la figure 3-15.
REMARQUE : La redirection de console du BIOS doit être activée sur le système géré et correctement configurée avant que les communications SOL
puissent être activées. Consultez la section « Configuration de votre système géré » pour des informations supplémentaires.
Figure 3-15. Exemple de redirection de console
Redémarrage du système géré et activation de la redirection de console
Sélectionnez l'option 4 du menu principal.
REMARQUE : Vous devez être connecté au contrôleur BMC du système géré avant de pouvoir configurer les fonctionnalités SOL. Si le serveur proxy SOL
n'est pas encore connecté au contrôleur BMC du système géré, vous êtes invité à entrer une adresse IP et une combinaison nom d'utilisateur/mot de
passe. Consultez la section « Connexion au contrôleur BMC du système géré distant » pour des informations supplémentaires.
L'état de l'alimentation du système géré distant est confirmé. S'il est sous tension, il vous est demandé de choisir entre un arrêt normal ou forcé.
L'état de l'alimentation est ensuite contrôlé jusqu'à ce qu'il soit éteint. La redirection de console commence et la console texte du système géré distant est
redirigée vers votre station de gestion. Utilisez la séquence de caractère d'échappement <~><.> pour mettre fin à la redirection de console et retourner au
menu supérieur.
Tandis que le système géré redémarre, vous pouvez accéder au programme de configuration du système BIOS pour afficher ou configurer des paramètres
BIOS. Consultez la figure 3-16.
REMARQUE : Avant d'activer la redirection de console, vous devez d'abord activer les fonctionnalités de redirection de console. Consultez la section «
Configuration de votre système géré » pour des informations supplémentaires.
Figure 3-16. Exemple de redémarrage
Obtention d'aide
Sélectionnez l'option 5 du menu principal pour afficher une description détaillée pour chaque option. Consultez la figure 3-17.
Figure 3-17. Exemple d'écran d'aide
Quitter
Sélectionnez l'option 6 pour mettre fin à votre session telnet et vous déconnecter du serveur proxy SOL.
Configuration du serveur proxy SOL avec le fichier de configuration du serveur proxy
SOL
Le serveur proxy SOL doit être correctement configuré et en état de fonctionnement avant de pouvoir établir une connexion telnet.
Il y a certains paramètres SOL que l'utilisateur peut définir en modifiant le fichier solproxy.cfg. Les paramètres et leurs descriptions sont les suivantes :
Commentaires
Toute ligne qui commence par « # » est traitée comme un commentaire. Par exemple :
#Ce fichier est un exemple
Adresse IP
ip : spécifie l'adresse IP spécifique qui sert à se connecter à un serveur proxy SOL. Cet élément définit quel genre de connexion peut être accepté pour établir
une session telnet avec un serveur proxy SOL. Il y a trois valeurs possibles :
l
INADDR_ANY : le serveur proxy SOL accepte la requête telnet vers tous les systèmes.
l
127.0.0.1 : le serveur proxy SOL accepte la requête telnet vers l'hôte local.
l
Adresse IP : le serveur proxy SOL accepte la requête telnet vers l'adresse IP spécifiée.
Par exemple :
ip=INADDR_ANY
Liaison de port
port : spécifie le port que le serveur proxy SOL écoute pour les connexions entrantes. Par défaut, le port est défini sur 623 et peut être modifié par
l'utilisateur.
Cet élément définit le port lorsque vous communiquez par telnet avec le serveur proxy SOL. Si cet élément est absent, 623 est défini comme port par défaut.
Par exemple :
port=623
Délai d'expiration de la session
session_timeout : spécifie le temps en minutes avant que la session avec le serveur proxy SOL expire.
S'il n'y a pas d'activité clavier pendant la période spécifiée pour le délai d'expiration, la session telnet et la session SOL seront fermées. La valeur du délai est
spécifiée en minutes et peut être modifiée durant l'installation du serveur proxy SOL. Par exemple :
session_timeout=30
Délai d'expiration de la mise hors tension
power_off_timeout : spécifie le temps en secondes avant que le serveur proxy SOL arrête de questionner l'état de l'alimentation du système géré. Si le
serveur proxy SOL émet la commande de mise hors tension et que le système ne s'arrête pas dans l'intervalle spécifié, le serveur proxy SOL revient avec un
message, indiquant que le serveur proxy SOL n'a pas pu éteindre le système à cause de l'intervalle d'expiration du délai.
REMARQUE : Lorsque Redémarrer et activer la redirection de console est sélectionné et que l'alimentation du système géré distant est activée, une
commande power off IPMI est émise. La condition de l'alimentation est surveillée en permanence jusqu'à ce que la condition de l'alimentation soit «
Hors tension ». Si la condition de l'alimentation reste « Sous tension » pendant plus longtemps que cette période d'expiration du délai, Redémarrer et
activer la redirection de console rapporte une erreur et revient au menu principal. La valeur du délai d'expiration est spécifiée en secondes et peut
être modifiée durant l'installation du serveur proxy SOL.
Par exemple :
power_off_timeout=60
Intervalle de nouvel essai
retry_interval : spécifie le laps de temps en secondes durant lequel le contrôleur BMC attend avant d'essayer de renvoyer un paquet. L'unité de
retry_interval est d'une demi-seconde. Une valeur de 2 signifie donc que le logiciel attend une seconde la réponse du contrôleur BMC avant d'essayer de
renvoyer le paquet, une valeur de 4 signifie qu'il attend deux secondes, et ainsi de suite. Par exemple :
retry_interval=2
Nombre de nouveaux essais
retry_count : spécifie le nombre de fois maximum pendant lesquelles le logiciel essaie de renvoyer un paquet s'il ne reçoit pas de réponse du contrôleur BMC.
Avant chaque nouvel essai, le logiciel attend l'intervalle spécifié par le paramètre retry_interval. Par exemple :
retry_count=10
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Problèmes connus et questions les plus fréquentes
Guide d'utilisation du contrôleur de gestion de la carte mère Dell OpenManage™
Problèmes connus
Questions les plus fréquentes
Cette section traite des problèmes rencontrés en utilisant l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC et s'intéresse aussi aux questions les plus fréquentes.
Problèmes connus
Problèmes généraux
l
Vous devez attribuer un nom d'utilisateur et un mot de passe valides au contrôleur BMC de votre système avant de pouvoir vous connecter à l'aide de
l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC. Même si le micrologiciel du contrôleur BMC de votre système n'autorise pas la définition de mots de passe ou
noms d'utilisateurs vides, l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC ne limite pas cette fonctionnalité. Si vous ne fournissez pas explicitement un nom
d'utilisateur et un mot de passe BMC valides lorsque vous utilisez l'utilitaire de gestion du contrôleur BMC pour ouvrir une session sur le contrôleur BMC
de votre système, le micrologiciel du contrôleur BMC utilisera un nom d'utilisateur et un mot de passe vides, entraînant une erreur « Ouverture de
session non autorisée ».
Problèmes de serveur proxy SOL
l
l
l
Le serveur proxy SOL sur le port IP 623 autorise les connexions depuis un navigateur Web. Cependant, si vous vous connectez depuis un navigateur
Web, le serveur proxy SOL n'affiche que des données désordonnées et inutilisables. Vous devez fermer la session Web et vous connecter via une
connexion telnet pour exécuter l'application.
Seule une session telnet à la fois peut être connectée au service du serveur proxy SOL.
Microsoft® SAC n'implémente pas le contrôle du débit matériel. Donc, lorsque la redirection de console est activée avec EMS SAC, vous verrez des
données corrompues. Comme la SAC n'implémente pas de contrôle du débit matériel, vous ne pouvez pas utiliser le serveur proxy SOL de manière
effective pour activer la redirection de console sur EMS SAC.
Problèmes de l'environnement IPMI
l
Une fois que l'environnement IPMI est installé, si vous ouvrez une invite de commande et que vous tapez « ipmish » sans être dans le répertoire «
C:\Program Files\Dell\SysMgt\bmc », vous recevrez une erreur disant que la commande n'a pas pu être trouvée. Cela s'explique par le fait que par
défaut, le répertoire IPMISH n'est pas ajouté au chemin du système. Vous devez ajouter manuellement le chemin du système à la ligne de commande
ou aller dans le répertoire spécifié avant d'exécuter l'application IPMISH.
Questions les plus fréquentes
Q : Les commandes de l'environnement IPMI correspondent-elles une à une aux commandes IPMI ?
R : L'environnement IPMI ne fournit que les commandes IPMI les plus utiles. cela inclut un jeu de commandes définitif qui peut accomplir les tâches de gestion
les plus ordinaires. C'est pourquoi les commandes de l'environnement IPMI ne correspondent pas exactement aux commandes IPMI.
Q : Puis-je gérer un système en accédant à plusieurs instances IPMI en même temps ?
A : Oui, vous pouvez gérer un système en accédant à plusieurs instances IPMI à la fois tant que le contrôleur BMC de votre système prend en charge plus
d'une connexion à la fois.
Q : Puis-je gérer un système en accédant à plusieurs connexions de serveur proxy SOL en même temps ?
A : Non, un système ne peut avoir qu'une connexion de serveur proxy SOL à la fois. Cette connexion est établie lorsque vous choisissez l'option 3 ou 4 dans le
menu principal. Cependant, si vous sélectionnez l'option 1 pour vous connecter au système distant, seule une connexion IPMI est établie. Dans ce cas,
plusieurs clients peuvent utiliser simultanément l'option 1 dans le menu principal du serveur proxy SOL pour se connecter au même système. (Voir la question
précédente.)
Q : Comment déverrouiller une session SOL occupée par un autre utilisateur ?
A : Le contrôleur BMC de votre système ne prend en charge qu'une session SOL à la fois. Vous devez attendre que la session utilisateur actuelle ait expiré
avant de pouvoir accéder à une nouvelle session proxy SOL. Consultez la section « Délai d'expiration de la session » pour obtenir des informations
supplémentaires sur la configuration des paramètres d'expiration de session.
Q : Pourquoi ne puis-je pas accéder à l'interface de configuration du BIOS pendant le processus de redémarrage du système distant ?
A : Lorsque vous sélectionnez l'élément 4, Redémarrer et activer la redirection de console dans le menu principal du Serveur proxy SOL, le système géré
est redémarré en premier. Appuyez sur <F2> pour accéder à l'interface de configuration du BIOS, si le client telnet que vous utilisez prend en charge le VT100
ou ANSI.
Q : Pourquoi ne puis-je pas me connecter à une console à l'aide du logiciel d'émulation de terminal compris sur mon système d'exploitation Microsoft
Windows ?
A : La version de HyperTerminal comprise avec Windows ne fournit pas beaucoup de fonctions requises pendant la redirection de console. Passez à
HyperTerminal Private Edition 6.1 ou version ultérieure ou sélectionnez tout autre logiciel d'émulation de terminal qui prend en charge le mode d'émulation
VT100 ou ANSI.
Q : J'ai effectué une commande Redémarrer et activer la redirection de console à l'aide du serveur proxy SOL mais l'option qui permet d'appuyer sur <F2>
pour accéder à la configuration du BIOS n'est jamais apparue.
A : Lorsqu'une arborescence est activée sur le commutateur réseau, il faut environ 30 à 40 secondes à la vérification de l'arborescence pour s'assurer qu'il n'y
a pas de boucles sur le réseau. Pendant ce temps, la transmission de paquets par le commutateur est bloquée. Le logiciel ne peut donc pas communiquer
avec le contrôleur BMC tant que la vérification de l'arborescence n'est pas terminée.
Désactivez l'arborescence sur le commutateur réseau et essayez d'effectuer à nouveau une commande Redémarrer et activer la redirection de console à
l'aide du serveur proxy SOL. Vous devriez maintenant pouvoir accéder à la configuration du BIOS en appuyant sur <F2>.
Q : Pourquoi certaines touches et combinaisons de touches comme <F10> et <Ctrl><Alt><Suppr> ne fonctionnent-elles pas pendant la redirection de
console ?
A : La redirection de console utilise l'émulation de terminal ANSI ou VT 100/220, qui se limite aux caractères ASCII de base. Les touches de fonction, les
touches fléchées et les touches de commande ne sont pas disponibles dans la série de caractères ASCII et la plupart des utilitaires requièrent des touches de
fonction et de contrôle pour les opérations ordinaires. Consultez le Guide d'utilisation de votre système pour obtenir des instructions sur la façon d'émuler
certaines touches de fonctions et touches de contrôle à l'aide de séquences de touches spéciales, appelées séquences d'échappement, pour représenter les
touches spécifiques qui ne fonctionnent pas.
Q : Peut-on utiliser le mode Terminal associé à la redirection de console du BIOS ?
A : Oui. Le mode Terminal du contrôleur BMC peut fonctionner simultanément avec la redirection de console du BIOS. Vous pouvez vous « échapper » entre le
mode Terminal du contrôleur BMC et la redirection de console du BIOS à l'aide des séquences d'échappement suivantes :
Appuyez sur <Échap><q> pour passer du port série du système au flux de texte de la redirection de console du BIOS.
Appuyez sur <Échap><(> pour passer du port série du système au flux de texte du mode Terminal du contrôleur BMC.
REMARQUE : Comme vous passez d'un flux de texte actif à l'autre en permanence, vous risquez de perdre des données.
Consultez le Guide d'utilisation de votre système pour obtenir des informations supplémentaires sur la configuration et l'utilisation de la redirection de console
du BIOS et consultez la section « Commandes du mode terminal » pour obtenir des informations supplémentaires sur l'utilisation des commandes du mode
terminal.
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Glossaire
Guide d'utilisation du contrôleur de gestion de la carte mère Dell OpenManage™
La liste suivante définit ou identifie les termes techniques, les abréviations et les sigles utilisés dans la documentation de votre système.
adresse IP
Abréviation d'adresse Internet Protocol (protocole Internet). Voir TCP/IP.
adresse mémoire
Emplacement spécifique dans la RAM du système, généralement exprimé en nombre hexadécimal.
ANSI
Abréviation de American National Standards Institute (Institut américain des normes nationales).
API
Abréviation de Application Program Interface (interface de programme d'application), une série de sous-programmes, de protocoles et d'outils pour construire
des applications logicielles qui servent d'interface entre le système d'exploitation et les programmes d'application.
Argument
Valeur fournie avec une option, comme l'instance de ligne de commande suivante :
utilname --option=argument
ARP
Sigle de Address Resolution Protocol (protocole de résolution d'adresse), une méthode pour trouver l'adresse Ethernet d'un hôte à partir de son adresse
Internet.
ASCII
Sigle de American Standard Code for Information Interchange (code américain standard pour l'échange d'informations). Un fichier texte ne contenant que des
caractères ASCII (habituellement créé avec un éditeur de texte, comme Bloc-Notes dans Microsoft® Windows®), est habituellement appelé fichier ASCII.
binaire
Un système de numérotation en base 2 qui utilise des 0 et des 1 pour représenter les informations. Le système effectue des opérations en fonction de l'ordre
et du calcul de ces nombres.
BIOS
Sigle de Basic Input/Output System (système d'entrées/sorties de base). Le BIOS de votre système contient des programmes stockés sur une puce de
mémoire flash. Le BIOS contrôle les éléments suivants :
l
Les communications entre le microprocesseur et les périphériques, comme le clavier et la carte vidéo
l
Diverses fonctions, comme les messages système
BIOS flash
Un BIOS qui est enregistré en mémoire flash plutôt qu'en mémoire ROM. Une puce de BIOS flash peut être mise à jour sur le système, alors qu'un BIOS en
mémoire ROM doit être remplacé par une nouvelle puce.
bit
La plus petite unité d'informations interprétée par votre système.
BMC
Abréviation de Baseboard Management Controller (contrôleur de gestion de la carte mère), un contrôleur qui fournit l'intelligence à la structure IPMI.
bus
Chemin d’informations entre les composants d’un système. Votre système contient un bus d'extension qui permet au microprocesseur de communiquer avec
les contrôleurs des différents périphériques connectés au système. Votre système contient aussi un bus d'adresses et un bus de données pour les
communications entre le microprocesseur et la RAM.
bus local
Sur un système avec une capacité d'extension de bus local, certains périphériques (comme les circuits de la carte vidéo) peuvent être conçus pour fonctionner
beaucoup plus rapidement qu’ils ne le feraient sur un bus d’extension standard. Certaines conceptions de bus locaux permettent aux périphériques de
fonctionner à la même vitesse et avec la même largeur de chemin d'accès des données que le microprocesseur du système.
cache
Zone de stockage rapide contenant une copie des données ou des instructions pour accélérer la récupération des données. Par exemple, le BIOS de votre
système peut mettre du code ROM en mémoire cache RAM plus rapide. Ou un utilitaire de mise en cache de disque peut réserver de la mémoire RAM pour y
stocker les informations fréquemment utilisées des disques du système ; quand un programme demande à un disque des données qui se trouvent dans le
cache, l'utilitaire de mise en cache de disque peut récupérer les données plus vite sur la RAM que sur le disque même.
carte adaptateur
Carte d'extension qui se branche dans un connecteur de carte d'extension sur la carte système du système. Une carte adaptateur ajoute une fonction
spécialisée au système en fournissant une interface entre le bus d'extension et un périphérique. Des exemples de cartes adaptateurs incluent les cartes
réseau, les cartes son et les cartes SCSI.
carte hôte
Une carte hôte réalise la communication entre le bus du système et le contrôleur d'un périphérique (les sous-systèmes d'un contrôleur de disque dur
comprennent des circuits de carte hôte intégrés). Pour ajouter un bus d'extension SCSI à votre système, vous devez installer ou connecter la carte hôte
appropriée.
CD-ROM
Abréviation de Compact Disc Read-Only Memory (mémoire morte sur disque compact). Les lecteurs de CD utilisent la technologie optique pour lire les données
des CD. Les CD sont des périphériques de stockage à lecture seule ; vous ne pouvez pas écrire de nouvelles données sur un CD avec des lecteurs de CD
standard.
CHAP
Sigle de Challenge-Handshake Authentication Protocol (protocole d'authentification Challenge Handshake), un système d'authentification utilisé par les
serveurs PPP pour valider l'identité de l'origine de la connexion, quelle qu’elle soit, n’importe quand.
CLI
Abréviation de Command Line Interface (interface de ligne de commande).
code de numéro d'inventaire
Code individuel attribué à un système, souvent par un administrateur système, pour des raisons de sécurité ou de suivi.
combinaison de touches
Commande qui exige que vous appuyiez sur plusieurs touches en même temps. Par exemple, vous pouvez réamorcer votre système en appuyant sur la
combinaison de touches <Ctrl><Alt><Suppr>.
Commande
La combinaison d'une option et d'un argument ou juste une option si aucun argument n'est requis, comme dans les instances de ligne de commande
suivantes :
utilname --option
utilname --option=argument
commandes de fonction
Commandes qui spécifient une action à effectuer.
commandes de prise en charge
Commandes qui spécifient de quelle façon une action doit être effectuée.
COMn
Les noms des périphériques pour les ports série 1 à 4 de votre système sont COM1, COM2, COM3 et COM4. L’interruption par défaut de COM1 et de COM3
est IRQ4, et l’interruption par défaut de COM2 et de COM4 est IRQ3. Par conséquent, prenez soin de ne pas créer de conflit d'interruption quand vous
configurez un logiciel qui utilise un périphérique série.
contrôleur
Puce qui contrôle le transfert des données entre le microprocesseur et la mémoire, ou entre le microprocesseur et un périphérique comme un lecteur de
disque ou le clavier.
débit en bauds
Mesure de la vitesse de transmission des données. Par exemple, les modems sont conçus pour transmettre des données à un ou plusieurs débits en bauds
par le port COM (série) d'un système.
DHCP
Abréviation de Dynamic Host Configuration Protocol (protocole de configuration dynamique de l'hôte), un protocole qui fournit un moyen d'allouer
dynamiquement des adresses IP aux ordinateurs sur un LAN.
DIMM
Sigle de Dual In-line Memory Module (module de mémoire en ligne double). Petite carte à circuits imprimés contenant des puces DRAM qui se connecte à la
carte système.
dispositif périphérique
Un dispositif interne ou externe, tel qu'une imprimante, un lecteur de disque ou un clavier, connecté à un système.
disque RAM
Programme résident en mémoire qui émule un disque dur.
disquette d'amorçage
Vous pouvez démarrer votre système à partir d'une disquette. Pour créer une disquette d'amorçage sur un système fonctionnant sous Windows, insérez une
disquette dans le lecteur de disquettes, tapez sys a: à l'invite de commande et appuyez sur <Entrée>. Utilisez cette disquette d'amorçage si votre système
ne parvient pas à démarrer à partir du disque dur.
disquette système
Disquette système est un synonyme de disquette d'amorçage.
DKS
Abréviation de Dynamic Kernel Support (prise en charge dynamique de noyau).
DMA
Abréviation de Direct Memory Access (accès direct à la mémoire). Un canal DMA permet à certains types de transferts de données entre la RAM et un
périphérique de contourner le microprocesseur.
DRAC II
Sigle de Dell OpenManage ™ Remote Assistant Card, version 2.
DRAC III
Sigle de Dell™ Remote Access Card III.
DRAC III/XT
Sigle de Dell Remote Access Card III/XT.
DRAM
Sigle de Dynamic Random-Access Memory (mémoire vive dynamique). La RAM d'un système est généralement constituée entièrement de puces DRAM. Comme
les puces DRAM ne peuvent pas conserver indéfiniment une charge électrique, votre système rafraîchit sans cesse les puces DRAM de votre système.
éditeur de texte
Programme d'application servant à modifier les fichiers texte constitués exclusivement de caractères ASCII. Bloc-Notes de Windows est un exemple d'éditeur
de texte. La plupart des programmes de traitement de texte utilisent des formats de fichiers propriétaires contenant des caractères binaires, bien que certains
soient capables de lire et d'écrire des fichiers texte.
EEPROM
Sigle de Electrically Erasable Programmable Read-Only Memory (mémoire morte programmable effaçable électriquement).
EIDE
Abréviation de Enhanced Integrated Drive Electronics (électronique de lecteur intégrée améliorée). Les périphériques EIDE ajoutent une ou plusieurs des
améliorations suivantes à l'IDE standard :
l
Un taux de transfert des données pouvant aller jusqu'à 16 Mo/s
l
La prise en charge des disques durs et d'autres lecteurs, comme les lecteurs de CD et les lecteurs de bande
l
La prise en charge de disques durs de capacités supérieures à 528 Mo
l
La prise en charge de deux contrôleurs, chacun pouvant avoir un maximum de deux périphériques connectés
EMM
Abréviation de Expanded Memory Manager (gestionnaire de mémoire paginée). Il s'agit d'un utilitaire qui utilise la mémoire étendue pour émuler la mémoire
paginée sur les systèmes dotés d'un microprocesseur Intel386™ ou supérieur.
EMS
Abréviation de Expanded Memory Specification (spécification de mémoire paginée).
environnement de pré-système d'exploitation
Un environnement de commande, comme DOS, qui sert à configurer le matériel du système avant qu'un grand système d'exploitation, comme Microsoft
Windows ou Red Hat® Enterprise Linux ne soit installé.
EPROM
Sigle de Erasable Programmable Read-Only Memory (mémoire morte reprogrammable).
ERA
Abréviation de Embedded Remote Access.
ERA/MC
Abréviation de Embedded Remote Access Modular Computer. Voir système modulaire.
ERA/O
Abréviation de Embedded Remote Access Option.
ESM
Abréviation de Embedded Systems Management (gestion de systèmes intégrée), une série d'instructions codées dans les logiciels et les micrologiciels du
système, qui informe un utilisateur des problèmes matériels potentiels d'un système.
E/S
Abréviation de entrée/sortie. Un clavier est un périphérique d'entrée et une imprimante est un périphérique de sortie. En général, l'activité d'E/S peut être
différenciée des activités de calcul. Par exemple, lorsqu'un programme envoie un document a l'imprimante, il effectue une activité de sortie ; lorsque le
programme trie une liste de termes, il effectue une activité de calcul.
FAT
Sigle de File Allocation Table (table d'allocation de fichiers). Les systèmes de fichiers FAT et FAT32 sont définis de la manière suivante :
l
FAT : un système de fichiers utilisé par MS-DOS, Windows 3.x, Windows 95 et Windows 98. Windows NT® et Windows 2000 utilisent également le
système de fichiers FAT. Le système d'exploitation se sert d'une table pour suivre l'état des divers segments d'espace disque utilisés pour le stockage
des fichiers.
l
FAT32 : un dérivé du système de fichiers FAT. FAT32 prend en charge des tailles de cluster plus petites que le système FAT, ce qui permet une
meilleure allocation de l'espace sur les lecteurs FAT32.
FEPROM
Sigle de Flash Erasable Programmable Read-Only Memory (mémoire morte flash reprogrammable et effaçable). La mémoire flash est une sorte de dispositif de
stockage rémanent semblable à EEPROM, si ce n'est que l'effacement s'effectue par blocs ou sur toute la puce.
fichier autoexec.bat
Le fichier autoexec.bat s'exécute lorsque vous démarrez le système (après avoir exécuté des commandes du fichier config.sys). Ce fichier de démarrage
contient des commandes qui définissent les caractéristiques de chaque périphérique relié à votre système ; il trouve et exécute les programmes stockés
ailleurs que dans le répertoire actif.
fichier config.sys
Quand vous démarrez votre système, le système exécute le fichier config.sys (avant d'exécuter les commandes du fichier autoexec.bat). Ce fichier de
démarrage contient les commandes qui indiquent quels périphériques installer et quels pilotes utiliser. Ce fichier contient également des commandes qui
déterminent comment le système d'exploitation utilise la mémoire et contrôle les fichiers.
fichier en lecture seule
Un fichier à lecture seule est un fichier que vous ne pouvez ni modifier ni supprimer. Un fichier peut être en lecture seule si :
l
Son attribut de lecture seule est activé.
l
Il réside physiquement sur une disquette protégée contre l'écriture ou sur une disquette insérée dans un lecteur protégé contre l'écriture.
l
Il est situé sur un réseau dans un répertoire pour lequel l'administrateur système vous a attribué des droits de lecture seule.
fichier lisez-moi
Fichier texte inclus avec un logiciel ou un produit matériel qui contient des informations complétant ou mettant à jour la documentation du logiciel ou du
matériel. En général, les fichiers lisez-moi fournissent des informations sur l'installation, décrivent les améliorations et corrections apportées aux nouveaux
produits qui n'ont pas encore été documentés et fournit une liste des problèmes connus et de ce que vous avez besoin de connaître quand vous utilisez le
logiciel ou le matériel.
fichier system.ini
Fichier de démarrage du système d'exploitation Windows. Quand vous démarrez Windows, celui-ci examine le fichier system.ini pour déterminer les diverses
options de l'environnement d'exploitation Windows. Le fichier system.ini enregistre, entre autres, quels pilotes vidéo, de souris et de clavier sont installés
pour Windows.
L'exécution du panneau de configuration ou du programme de configuration Windows peut changer des options du fichier system.ini. Vous devrez peut-être
apporter des modifications ou ajouter des options manuellement au fichier system.ini avec un éditeur de texte, tel que Bloc-Notes.
fichier win.ini
Fichier de démarrage du système d'exploitation Windows. Quand vous démarrez Windows, celui-ci examine le fichier win.ini pour déterminer diverses options
de l'environnement d'exploitation Windows. Entre autres, le fichier win.ini enregistre quelles imprimantes et polices sont installées pour Windows. Le fichier
win.ini comprend également des sections qui contiennent des paramètres en option pour les programmes d'application Windows qui sont installés sur le
disque dur. Le lancement du panneau de configuration ou du programme de configuration Windows peut changer les options du fichier win.ini. Vous devrez
peut-être apporter des modifications ou ajouter des options manuellement au fichier win.ini avec un éditeur de texte, tel que Bloc-Notes.
formater
Préparer un disque dur ou une disquette pour y stocker des fichiers. Un formatage inconditionnel efface toutes les données du disque.
FRU
Abréviation de Field Replaceable Unit (unité remplaçable sur site), qui identifie un module ou un composant qui sera en général remplacé complètement dans
le cadre d'un service de réparation sur site.
gestionnaire de mémoire
Utilitaire de contrôle de la mémoire ajoutée à la mémoire conventionnelle, comme la mémoire étendue ou la mémoire paginée.
Go
Abréviation de giga-octet. Un giga-octet est égal à 1024 méga-octets ou 1 073 741 824 octets.
GUI
Sigle de Graphical User Interface (interface graphique).
GUID
Abréviation de Globally Unique Identifier (identificateur globalement unique), un nombre aléatoire utilisé dans les applications logicielles. Chaque GUID généré
est censé être unique.
h
Abréviation de hexadécimal. Un système de numération en base 16 utilisé couramment en programmation pour identifier les adresses de la RAM du système
et les adresses de mémoire d'E/S des périphériques. Les nombres décimaux de 0 à 16 sont exprimés en notation hexadécimale de la manière suivante : 0, 1,
2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C, D, E, F, 10. Dans du texte, les nombres hexadécimaux sont souvent suivis de la lettre h.
HBA
Abréviation de Host Bus Adapter (adaptateur de bus hôte). Une carte adaptateur PCI qui réside dans le système et dont la seule fonction est de convertir les
commandes de données d'un format de bus PCI à un format d'interconnexion de stockage (par exemple : SCSI, Fibre Channel) et de communiquer directement
avec les disques durs, les lecteurs de bande, les lecteurs de CD ou d'autres périphériques de stockage.
HMA
Abréviation de High Memory Area (zone supérieure de mémoire). Les 64 premiers Ko de mémoire étendue au-dessus de 1 Mo. Un gestionnaire de mémoire
conforme XMS peut faire de la HMA une extension directe de la mémoire conventionnelle. Voir aussi XMM.
HPFS
Abréviation de l'option High Performance File System (système de fichiers ultra performant) dans le système d'exploitation Windows NT.
HTTP
Abréviation de HyperText Transfer Protocol (protocole de transfert d'hypertexte). Le protocole HTTP est le protocole TCP/IP client-serveur utilisé sur le Web
pour l'échange de documents HTML.
HTTPS
Abréviation de HyperText Transmission Protocol, Secure (protocole de transmission d'hypertexte sécurisée). Le protocole HTTPS est une variante du protocole
HTTP utilisé par les navigateurs Web pour traiter les transactions sécurisées. HTTPS est un protocole unique qui est en fait SSL sous HTTP. Vous devez utiliser
« https:// » pour les URL HTTP avec SSL, mais vous pouvez continuer d'utiliser « http:// » pour les URL HTTP sans SSL.
ID
Abréviation d'identificateur, communément utilisé pour qualifier un identificateur utilisateur (ID d'utilisateur), un identificateur d'objet (ID de l'objet) ou un
identificateur de matériel (ID de contrôleur).
IDE
Abréviation de Integrated Drive Electronics (électronique de lecteur intégrée). IDE est une interface de système informatique utilisée principalement pour les
disques durs et les CD.
informations sur la configuration du système
Données stockées en mémoire qui indiquent au système quel matériel est installé et la manière dont le système doit être configuré pour fonctionner.
instance de ligne de commande
Série de commandes, d'options et d'arguments valides tapés dans la ligne de commande. Par exemple, le nom de l'utilitaire DTK et toutes les options et
arguments nécessaires entrés dans l'environnement du système d'exploitation :
A:>utilname --option --option=argument
interruption SNMP
Notification (événement) générée par le RAC ou l'ESM qui contient des informations sur les changements d'état du système géré ou les problèmes matériels
potentiels.
IPMI
Abréviation de Intelligent Platform Management Interface (interface de gestion de plate-forme intelligente), une norme de l'industrie pour la gestion de
périphériques utilisée sur les ordinateurs d'entreprise basés sur l'architecture Intel®. La caractéristique principale de l'interface IPMI, c'est que les fonctions de
contrôle de l'inventaire, de la surveillance, de la journalisation et de la récupération sont disponibles indépendamment des processeurs principaux, du BIOS et
du système d'exploitation.
IRQ
Abréviation de Interrupt Request (requête d'interruption). Tout signal indiquant que des données vont être envoyées par un périphérique ou reçues passe
par une ligne d’IRQ au microprocesseur. Il faut attribuer un numéro d'IRQ à chaque connexion de périphérique. Par exemple, le premier port série de votre
système (COM1) est assigné l'IRQ4 par défaut. Deux périphériques peuvent partager la même IRQ, mais vous ne pouvez pas les utiliser en même temps.
jeu de disquettes de programme
Le jeu de disquette à partir duquel vous pouvez effectuer l'installation complète d'un système d'exploitation ou d'un programme d'application. Lorsque vous
reconfigurez un programme, vous avez souvent besoin d'un jeu de disquettes de programme.
Ko
Abréviation de kilo-octet, 1024 octets.
LAN
Sigle de Local Area Network (réseau local). Un système LAN se limite normalement à un même bâtiment ou à un groupe de bâtiments, dont tout l'équipement
est relié par un circuit réservé au LAN.
LPTn
Les noms de périphérique des trois premiers ports parallèles d’imprimante de votre système sont LPT1, LPT2 et LPT3.
LRA
Abréviation de Local Response Agent (agent de réponse local).
mémoire
Un système peut avoir plusieurs formes de mémoire, comme les mémoires RAM, ROM et vidéo. Le mot mémoire est souvent utilisé comme synonyme de RAM ;
par exemple, une phrase contenant la déclaration « un système avec 16 Mo de mémoire » fait référence à un système avec 16 Mo de RAM.
mémoire cache externe
Cache de RAM utilisant des puces SRAM. Comme les puces SRAM fonctionnent à des vitesses plusieurs fois supérieures à celles des puces DRAM, le
microprocesseur peut récupérer les données et les instructions plus rapidement de la mémoire cache externe que de la RAM.
mémoire cache de microprocesseur interne
Cache d'instructions et de données intégré au microprocesseur. Le microprocesseur Intel® Pentium® contient un cache interne de 16 Ko qui est configuré
comme un cache d'instructions en lecture seule de 8 Ko et un cache de données en lecture/écriture de 8 Ko.
mémoire conventionnelle
Les 640 premiers Ko de RAM. Il y a de la mémoire conventionnelle dans tous les systèmes. À quelques exceptions près, les programmes MS-DOS® sont
conçus pour s’exécuter en mémoire conventionnelle.
mémoire étendue
RAM au-dessus de 1 Mo. Pour la plupart des logiciels qui peuvent l'utiliser, comme le système d'exploitation Windows, la mémoire étendue doit être sous le
contrôle d'un XMM.
mémoire flash
Type de puce EEPROM qui peut être reprogrammée avec un utilitaire sur disquette tout en restant installée dans le système ; la plupart des puces EEPROM ne
peuvent être réécrites qu'avec un équipement de programmation spécial.
mémoire paginée
Technique d’accès à la RAM au-dessus de 1 Mo. Pour activer la mémoire paginée sur votre système, vous devez utiliser un EMM. Vous ne devriez configurer
votre système pour une prise en charge de la mémoire paginée que si vous exécutez des programmes d'application qui peuvent (ou doivent) utiliser de la
mémoire paginée.
mémoire système
Mémoire système est un synonyme de RAM.
mémoire virtuelle
Méthode qui a pour but d'augmenter la quantité de RAM adressable par l'intermédiaire du disque dur. Par exemple, dans un système avec 16 Mo de RAM et
16 Mo de mémoire virtuelle sur le disque dur, le système d'exploitation gère le système comme s'il avait 32 Mo de RAM physique.
MHz
Abréviation de mégahertz.
micrologiciel
Logiciels (programmes ou données) qui ont été écrits sur une mémoire morte (ROM). Le micrologiciel peut démarrer et faire fonctionner un périphérique.
Chaque contrôleur contient un micrologiciel qui fournit la fonctionnalité du contrôleur.
microprocesseur
La puce de calcul principale du système qui contrôle l'interprétation et l'exécution des fonctions arithmétiques et logiques. En général, un logiciel écrit pour un
microprocesseur doit être révisé pour pouvoir s'exécuter sur un autre. UC est un synonyme de microprocesseur.
mode graphique
Mode vidéo défini comme x pixels horizontaux par y pixels verticaux en z couleurs.
mode texte
Mode vidéo pouvant se définir comme x colonnes par y rangées de caractères.
modem
Périphérique permettant à votre système de communiquer avec d'autres systèmes par des lignes téléphoniques.
module de mémoire
Petite carte à circuits imprimés contenant des puces DRAM qui se connecte à la carte système.
module de serveur
Composant de système modulaire qui fonctionne comme un système individuel. Pour fonctionner comme un système, un module de serveur est inséré dans
un châssis qui inclut des blocs d'alimentation, des ventilateurs, un module de gestion de système et au moins un module de commutateur de réseau. Les blocs
d'alimentation, les ventilateurs, le module de gestion de système et le module du commutateur de réseau sont des ressources partagées par les modules de
serveur dans le châssis. Voir système modulaire.
Mo
Abréviation de méga-octet. Le terme méga-octet correspond à 1 048 576 octets ; cependant, quand on parle de stockage sur disque dur, la mesure est
souvent arrondie à 1 000 000 d'octets.
MS-DOS
Sigle de Microsoft Disk Operating System (système d'exploitation de disques Microsoft).
NIC
Sigle de Network Interface Controller (contrôleur d'interface réseau).
NTFS
Abréviation de l'option Windows NT File System (système de fichiers Windows NT) du système d'exploitation Windows NT. NTFS est un système de fichiers
avancé conçu pour être utilisé spécifiquement à l'intérieur du système d'exploitation Windows NT. Il prend en charge la récupération de fichiers, les médias de
stockage de très grande taille et les longs noms de fichiers. Il prend aussi en charge des applications centrées sur objet en traitant tous les fichiers comme
des objets avec des attributs définis par l'utilisateur et par le système. Voir aussi FAT et FAT32.
numéro de service
Étiquette code-barres qui identifie chaque système lorsque vous avez besoin d'un support clientèle ou technique.
NVRAM
Sigle de Nonvolatile Random-Access Memory (mémoire vive rémanente). Mémoire qui ne perd pas son contenu lorsque vous éteignez votre système. La
NVRAM est utilisée pour conserver la date, l'heure et les informations de configuration du système.
octet
Huit bits d’information contigus, l’unité de données de base utilisée par votre système.
option
Un argument d'une commande qui modifie sa fonction plutôt que de fournir des données, et qui est habituellement séparé par un délimiteur tel que - ou /.
Certaines options peuvent ou doivent être suivies d'une valeur ; par exemple :
utilname -option=argument
panneau de configuration
La partie du système qui contient les voyants et boutons, tels que l'interrupteur, le voyant d'activité du disque dur et le voyant d'alimentation.
paramètre
Valeur ou option spécifiée à un programme. Un paramètre est parfois dénommé commutateur ou argument.
partition
Vous pouvez diviser un disque dur en plusieurs secteurs physiques, appelés partitions, avec la commande fdisk. Chaque partition peut contenir plusieurs
lecteurs logiques. Après avoir partitionné le disque dur, vous devez formater chaque lecteur logique avec la commande de formatage.
partition d'utilitaires
Partition d'amorçage sur le disque dur qui fournit des utilitaire et des diagnostics pour votre matériel et vos logiciels. Une fois activée, la partition s'amorce et
fournit un environnement exécutable aux utilitaires de la partition.
PCI
Abréviation de Peripheral Component Interconnect (interconnexion de composants périphériques). La norme principale de bus local à 32 ou 64 bits
développée par Intel Corporation.
PCMCIA
Personal Computer Memory Card International Association (association internationale des fabricants de cartes mémoire pour ordinateur personnel). Une
association commerciale internationale qui a développé des normes pour les périphériques, comme les modems et les disques durs externes, qui peuvent être
branchés à des ordinateurs portables.
PERC
Sigle de Expandable RAID Controller (contrôleur RAID évolutif).
pilote de périphérique
Programme qui permet au système d'exploitation ou à un autre programme de communiquer correctement avec un périphérique, comme une imprimante.
Certains pilotes de périphériques, comme les pilotes réseau, doivent être chargés à partir du fichier config.sys (avec une instruction device=) ou en tant que
programmes résidant en mémoire (d'habitude, depuis le fichier autoexec.bat). D'autres, comme les pilotes vidéo, doivent se charger lorsque vous démarrez le
programme pour lequel ils ont été conçus.
Plug and Play
Norme industrielle permettant de faciliter l'ajout de matériel aux ordinateurs personnels. Plug and Play fournit une installation et une configuration
automatiques, la compatibilité avec le matériel existant et la prise en charge dynamique des environnements informatiques mobiles.
POST
Sigle de Power-On Self-Test (auto-test de démarrage). Quand vous allumez votre système, le POST teste différents composants du système, tels que la RAM,
les lecteurs de disque et le clavier, avant que votre système d'exploitation ne se charge.
procédure d'amorçage
Quand vous démarrez le système, il efface toute la mémoire, initialise les périphériques et charge le système d’exploitation. À moins que le système
d’exploitation ne réponde pas, vous pouvez réinitialiser le système en appuyant sur <Ctrl><Alt><Suppr> (ceci est aussi appelé démarrage à chaud) ; sinon,
vous devez effectuer un redémarrage à froid en appuyant sur le bouton de réinitialisation ou en éteignant et en rallumant le système.
protégé contre l'écriture
Les fichiers en lecture seule sont dits protégés contre l'écriture. Vous pouvez protéger une disquette de 3,5 pouces contre l'écriture en faisant glisser sa
languette de protection contre l'écriture en position ouverte ou en définissant la fonction de protection contre l'écriture dans le programme de configuration du
système.
PXE
Abréviation de Pre-boot eXecution Environment (environnement d'exécution avant démarrage).
RAC
Sigle de Remote Access Controller.
RAID
Sigle de Redundant Array of Independent Drives (matrice redondantes de disques indépendants).
RAM
Sigle de Random-Access Memory (mémoire vive). La zone principale de stockage temporaire du système pour les instructions d'un programme et les données.
Chaque emplacement de la RAM est identifié par un numéro appelé adresse mémoire. Les informations stockées en RAM sont perdues si vous éteignez votre
système.
redirection de console
La redirection de console est une fonction qui dirige l'écran d'affichage d'un système géré, les fonctions de la souris et celles du clavier vers les périphériques
correspondants sur une station de gestion. Vous pouvez ensuite utiliser la console système de la station de gestion pour contrôler le système géré.
répertoire
Les répertoires permettent d'organiser les fichiers apparentés sur un disque selon une structure hiérarchique « d'arbre inversé ». Chaque disque possède un
répertoire « racine » ; par exemple, une invite C:\ indique en général que vous vous trouvez dans le répertoire racine du disque dur C. Les répertoires
supplémentaires qui partent du répertoire racine sont appelés sous-répertoires. Les sous-répertoires peuvent contenir des répertoires supplémentaires en
arborescence.
ROM
Sigle de Read-Only Memory (mémoire morte). Votre système contient certains programmes indispensables à son fonctionnement en code ROM. Contrairement
à la mémoire RAM, la puce ROM garde son contenu même si le système est éteint. Le programme qui lance le sous-programme d'amorçage de votre système
et le POST sont des exemples de code en ROM.
RPM
Abréviation de Red Hat Package Manager (gestionnaire de progiciel Red Hat).
sauvegarde
Copie d'un programme ou d'un fichier de données. Par mesure de précaution, sauvegardez le disque dur de votre disque dur de façon régulière. Avant de
modifier la configuration de votre système, sauvegardez les fichiers de démarrage importants de votre système d'exploitation.
schéma
Compilation de définitions de classe qui décrivent les objets gérés dans un environnement particulier. Un schéma CIM est une compilation de définitions de
classes utilisées pour représenter les objets gérés communs à tous les environnements de gestion, ce qui explique pourquoi CIM est appelé modèle commun
d'informations.
SCSI
Sigle de Small Computer System Interface (interface système pour micro-ordinateur). Interface de bus d'E/S ayant des taux de transmission de données plus
rapides que les ports standard. Vous pouvez connecter jusqu'à sept périphériques (15 pour certains types SCSI plus récents) à une interface SCSI.
SMART
Sigle de Self-Monitoring Analysis Reporting Technology (technologie de contrôle et de prévision des défaillances). Technologie qui permet aux disques durs de
rapporter les erreurs et les pannes du BIOS système, et qui ensuite affiche un message d'erreur à l'écran. Pour bénéficier de cette technologie, vous devez
avoir un disque dur conforme SMART et la prise en charge appropriée dans le BIOS du système.
SMBIOS
Sigle de System Management BIOS (BIOS de gestion du système).
SNMP
Abréviation de Simple Network Management Protocol (protocole simplifié de gestion de réseau). SNMP, un protocole courant de contrôle et de surveillance de
réseau, fait partie de la première série de protocole TCP/IP. SNMP fournit le format sous lequel les informations vitales sur différents périphériques réseau, tels
les serveurs ou routeurs de réseau, sont envoyées à une application de gestion.
SOL
Abréviation de Serial Over LAN (communications série sur le LAN). SOL permet aux serveurs conçus à cet effet de rediriger le flux de caractères série d'un
UART de carte mère vers ou depuis un client distant par un LAN partagé. L'architecture requiert un logiciel qui s'exécute sur le contrôleur BMC du système géré
et un logiciel client qui s'exécute sur une station de gestion et/ou proxy réseau central.
syntaxe
Les règles selon lesquelles une commande ou une instruction doit être tapée pour être comprise par le système. La syntaxe d'une variable indique quel est
son type de données.
système modulaire
Système qui peut comprendre plusieurs modules de serveurs. Chaque module de serveur fonctionne comme un système individuel. Pour fonctionner comme
un système, un module de serveur est inséré dans un châssis qui inclut des blocs d'alimentation, des ventilateurs, un module de gestion de système et au
moins un module de commutateur de réseau. Les blocs d'alimentation, les ventilateurs, le module de gestion de système et le module du commutateur de
réseau sont des ressources partagées par les modules de serveur dans le châssis. Voir module de serveur.
système X Windows
L'interface graphique utilisée dans l'environnement Red Hat Enterprise Linux.
TCP/IP
Abréviation de Transmission Control Protocol/Internet Protocol (protocole de contrôle des transmissions/protocole Internet). Un système qui permet de
transférer des informations sur un réseau informatique composés de systèmes différents, comme des systèmes fonctionnant sous Windows et UNIX.
UART
Sigle de Universal Asynchronous Receiver Transmitter (émetteur-récepteur universel asynchrone). UART est un composant système qui se charge de la
communication série asynchrone en convertissant les octets parallèles provenant du processeur en bits série pour la transmission (et vice-versa).
UC
Abréviation de unité centrale de traitement. Voir aussi microprocesseur.
unicode
Codage de caractères universel à 16 bits, à largeur fixe, développé et mis à jour par le Consortium Unicode.
utilitaire de configuration du système
Utilitaire du BIOS qui vous permet de configurer le matériel de votre système et d'en personnaliser son fonctionnement en paramétrant des fonctions telles
que la protection par mot de passe et la gestion de l'alimentation. Certaines options de l'utilitaire de configuration du système exigent que vous redémarriez
le système (ou le système redémarrera automatiquement) pour effectuer une modification de la configuration matérielle.
URL
Abréviation de Uniform Resource Locator (localisateur de site uniforme [précédemment Universal Resource Locator]).
USB
Abréviation de Universal Serial Bus (bus série universel). Un connecteur USB fournit un point de connexion unique à de multiples périphériques conformes
USB, comme les souris, les claviers, les imprimantes et les haut-parleurs du système. Les périphériques USB peuvent aussi être connectés et déconnectés
pendant que le système fonctionne.
utilitaire
Programme utilisé pour gérer les ressources d'un système : par exemple, la mémoire, les lecteurs de disque ou les imprimantes.
UUID
Abréviation de Universal Unique Identification (identification unique universelle).
variable
Composant d'un objet géré. Un capteur de température, par exemple, possède une variable pour décrire ses capacités, son intégrité ou sa condition, et
certains index que vous pouvez utiliser pour vous aider à repérer le bon capteur de température.
VESA
Sigle de Video Electronics Standards Association (association des normes électroniques vidéo).
VT-100
Abréviation de Video Terminal 100 (terminal vidéo 100), utilisé par les programmes d'émulation de terminal les plus populaires.
WAN
Abréviation de Wide Area Network (réseau étendu).
Web Server
Serveur de port sécurisé qui rend les pages Web disponibles à l'affichage par le biais de navigateur Web avec le protocole HTTP.
Wh
Abréviation de wattheure.
XMM
Abréviation de Extended Memory Manager (gestionnaire de mémoire étendue), un utilitaire qui permet aux programmes d'application et aux systèmes
d'exploitation d'utiliser la mémoire étendue conformément à XMS.
XMS
Abréviation de eXtended Memory Specification (spécification de mémoire étendue).
zone supérieure de mémoire
Les 384 Ko de mémoire RAM situés entre 640 Ko et 1 Mo. Si le système est doté d'un microprocesseur Intel386 ou supérieur, un utilitaire appelé gestionnaire
de mémoire peut créer des UMB dans la zone supérieure de mémoire, dans laquelle vous pouvez charger des pilotes de périphérique et des programmes
résidant en mémoire.
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Décembre 2004
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