Bull Power6 Manuel utilisateur

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172 Des pages
Bull Power6 Manuel utilisateur | Fixfr
REFERENCE
86 F1 60EW 03
ESCALA
Boîtiers et unités
d'extension
ESCALA
Boîtiers et unités d'extension
Matériel
Novembre 2008
BULL CEDOC
357 AVENUE PATTON
B.P.20845
49008 ANGERS CEDEX 01
FRANCE
REFERENCE
86 F1 60EW 03
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Table des matières
Avis aux lecteurs canadiens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . vii
Consignes de sécurité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . xi
Partie 1. Boîtiers et unités d’extension . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
Chapitre 1. Préparation de la connexion des unités d’extension
Où installer les nouvelles unités d’extension . . . . . . . . . . . . .
RIO, carte GX 12X Channel Attach double accès et identification des câbles SPCN
Options d’agencement des câbles . . . . . . . . . . . . . . . .
Exemple : topologies de boucles avec module RIO (liaison HSL) (RIO) . . .
Options de câblage des unités centrales . . . . . . . . . . . . .
Options de câblage des unités d’extension . . . . . . . . . . . .
Exigences de configuration d’unité d’extension pour les câbles RIO et carte GX
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12X Channel Attach
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double accès
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5
6
6
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
Connexion de l’unité d’extension avec le module RIO (liaison HSL) (RIO) et les câblescarte GX 12X Channel
Attach double accès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Ajout d’unités d’extension à une nouvelle boucle de module RIO (liaison HSL) (RIO et carte GX 12X Channel
Attach double accès) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Ajout d’unités d’extension à une boucle de module RIO (liaison HSL) existante (RIO et carte GX 12X Channel
Attach double accès) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Exemples : connexions de l’unité d’extension avec le module RIO (liaison HSL) (RIO/12X) . . . . . .
Connexion de l’unité d’extension avec les câbles du réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN) . . .
Exemples : connexions module RIO (liaison HSL) (RIO) et réseau de contrôle de l’alimentation (SCPN) carte
GX 12X Channel Attach double accès (12X) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Emplacements des connecteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Emplacement des connecteurs des modèles 03E/4A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Emplacement des connecteurs du modèle 04E/8A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Emplacement des connecteurs du modèle 17M/MA ou . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Emplacement des connecteurs du modèle ou 11D/11 . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Emplacement des connecteurs du modèle 05/95 or 11D/20 . . . . . . . . . . . . . . . . .
Emplacement des connecteurs du modèle 57/96 ou 14G/30 . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vérification des nouvelles fonctions de configuration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vérification de boucles avec module RIO (liaison HSL) (RIO) et carte GX 12X Channel Attach double accès
(12X) avec console HMC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Affichage des informations relatives à un système géré . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vérification du réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN) . . . . . . . . . . . . . . .
Définition de l’identificateur de configuration du boîtier d’entrée-sortie et des valeurs de type, modèle et
numéro de série de machine (MTMS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Utilisation de l’interface de gestion avancée de systèmes (ASMI) pour vérifier et définir l’ID de
configuration ainsi que la valeur de type, modèle et numéro de série de machine (MMTS) . . . . . .
Mise à jour du microprogramme du réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN) . . . . . . . .
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. 30
Partie 2. Boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24, ou 31T/24 . . . . . . . . . . 33
Chapitre 3. Connexion du boîtier 31D/24 ou 31T/24 à un système fonctionnant sous le
système d’exploitation AIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
Connexion et configuration du boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24 ou 31T/24 dans un environnement AIX en
grappe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
Chapitre 4. Connexion et configuration du boîtier d’unités de disque dans un système
fonctionnant sous le système d’exploitation Linux . . . . . . . . . . . . . . . . . 41
iii
Chapitre 5. Connexion et configuration du boîtier dans un système fonctionnant sous
le système d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
Chapitre 6. Carte répéteur SCSI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 47
Chapitre 7. Retrait et remplacement d’une carte répéteur SCSI
. . . . . . . . . . . 51
Chapitre 8. Voyants de maintenance simultanée des unités de disque du boîtier SCSI,
modèles 31D/24 ou 31T/24 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
Partie 3. Boîtier d’unités de disque SAS 58/86 . . . . . . . . . . . . . . . . . 55
Chapitre 9. Connexion de l’adaptateur SAS au boîtier d’unité de disque 58/86 . . . . . 57
Partie 4. Procédures communes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
Chapitre 10. Avant de commencer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63
Chapitre 11. Gestion de l’interface ASMI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
Accès à l’interface ASMI sans console HMC . . . . . . . . . .
Accès à l’interface ASMI à l’aide d’un PC et d’un navigateur Web . .
Définition de l’adresse IP sur votre PC ou votre ordinateur portable
Définition de l’adresse IP sous Windows XP et Windows 2000 .
Niveaux d’autorisation ASMI . . . . . . . . . . . . .
Modification des mots de passe de l’interface ASMI . . . . .
Configuration des interfaces réseau . . . . . . . . . . .
Modification de l’horodatage . . . . . . . . . . . . .
Accès à l’interface ASMI à l’aide de la console HMC . . . . . .
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Chapitre 12. Journal d’action de maintenance (SAL) . . . . . . . . . . . . . . . . 75
Identification d’un composant défaillant sur un système ou une partition logique AIX . . . . . .
Localisation d’un composant défaillant sur un système ou une partition logique AIX . . . . . .
Activation du voyant associé au composant défaillant . . . . . . . . . . . . . . . .
Identification d’un composant défaillant sur un système ou une partition logique Linux . . . . . .
Localisation d’un composant défaillant sur un système ou une partition logique exécutant le système
d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Localisation d’un composant défaillant sur un système ou une partition logique Linux . . . . .
Activation du voyant associé au composant défaillant . . . . . . . . . . . . . . . .
Désactivation du voyant d’un composant défaillant . . . . . . . . . . . . . . . . .
Localisation d’un composant défaillant sur un système ou une partition logique Virtual I/O Server . .
Identification de composants à l’aide du gestionnaire Virtual I/O Server . . . . . . . . . .
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Chapitre 13. Démarrage ou arrêt du système ou de la partition logique . . . . . . . . 79
Démarrage du système ou de la partition logique . . . . . . . . . . . . . .
Démarrage d’un système non géré par une console HMC . . . . . . . . . . .
Mise en route et arrêt du système . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Démarrage du système ou de la partition logique via la console HMC. . . . . . .
Mise sous tension d’un système géré . . . . . . . . . . . . . . . . .
Arrêt d’un système ou d’une partition logique. . . . . . . . . . . . . . . .
Arrêt d’un système non géré par une console HMC . . . . . . . . . . . . .
Arrêt du système ou de la partition logique via la console HMC (Hardware Management
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Console)
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Chapitre 14. Déconnexion du câble de processeur SMP d’une unité centrale . . . . . 87
Chapitre 15. Reconnexion du câble de processeur SMP à une unité centrale . . . . . 91
iv
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 16. Remplacement du volet ou du panneau de l’unité d’extension . . . . . . 97
Retrait du panneau avant du modèle 14G/30 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
Installation du panneau avant d’un modèle 14G/30 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97
Retrait du panneau avant de l’unité d’extension 11D/11 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98
Installation du panneau avant sur l’unité d’extension 11D/11 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98
Retrait du panneau avant de l’unité d’extension 11D/20 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99
Installation du panneau avant de l’unité d’extension 11D/20 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100
Chapitre 17. Retrait et remplacement des panneaux et des volets . . . . . . . . . . 101
Retrait du capot d’accès d’un modèle 03E/4A, 04E/8A monté en armoire . . .
Installation du capot d’accès sur le modèle 03E/4A, 04E/8A monté en armoire .
Retrait du capot d’accès du modèle autonome 03E/4A, 04E/8A . . . . . .
Installation du capot d’accès sur un modèle autonome model 03E/4A, 04E/8A .
Retrait du panneau avant d’un modèle 03E/4A, 04E/8A monté en armoire. . .
Installation du panneau avant sur le modèle 03E/4A, 04E/8A monté en armoire .
Retrait du volet d’un modèle 04E/8A . . . . . . . . . . . . . . .
Installation ou remplacement du volet sur un modèle 04E/8A . . . . . . .
Retrait du panneau avant du modèle autonome 03E/4A, 04E/8A . . . . . .
Installation du panneau avant sur un modèle autonome 03E/4A, 04E/8A . . .
Panneau avant du modèle 34E/MA, 17M/MA . . . . . . . . . . . .
Retrait du panneau avant du modèle 34E/MA, 17M/MA ou . . . . . .
Installation du panneau avant du modèle 34E/MA, 17M/MA . . . . . .
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Chapitre 18. Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en maintenance
ou en fonctionnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111
Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en maintenance . . . . . . . . . . . . . . .
Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en fonctionnement . . . . . . . . . . . . . .
Mise en position de maintenance du modèle 03E/4A, 04E/8A monté en armoire . . . . . . . . . . . .
Mise en position de fonctionnement de l’unité 03E/4A, 04E/8A montée en armoire . . . . . . . . . . .
111
115
117
120
Chapitre 19. Affichage des niveaux existants du microprogramme . . . . . . . . . 123
Utilisation de la console HMC pour afficher les niveaux du microprogramme existants . . . .
Utilisation de l’interface ASMI pour afficher le niveau existant du microprogramme de serveur .
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Chapitre 20. Installation d’un dispositif via la console HMC . . . . . . . . . . . . 125
Retrait d’un composant via la console HMC .
Echange d’un composant via la console HMC
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Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification . . . . . . . . . . . . . 127
Vérification de la présence d’un dispositif installé ou d’un composant remplacé sur un système ou une partition
logique AIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Utilisation de la console HMC pour une initialisation lente . . . . . . . . . . . . . . . . .
Utilisation du panneau de commande pour la collecte des codes de référence et des informations système
Modification des voyants d’activité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Désactivation du voyant d’avertissement système . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vérification de la présence d’un composant remplacé sur un système ou une partition logique Linux (exécution
de diagnostics AIX) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vérification de la présence d’un composant installé via les programmes de diagnostic autonomes . . . . .
Exécution de diagnostics autonomes à partir d’un serveur NIM . . . . . . . . . . . . . . .
Vérification de la présence d’un composant installé via la console HMC . . . . . . . . . . . . . .
Activation et désactivation de voyants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Désactivation d’un voyant d’avertissement système ou de partition . . . . . . . . . . . . .
Activation ou désactivation de voyants d’identification . . . . . . . . . . . . . . . . .
Visualisation d’événements réparables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Vérification de la présence d’un dispositif installé ou d’un composant remplacé sur un système ou une partition
logique Virtual I/O Server (VIOS) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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. 139
Chapitre 22. Accès au panneau de commande du modèle 04E/8A, 03E/4A . . . . . . 143
Table des matières
v
Partie 5. Annexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145
Remarques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 147
Marques . . . . . . .
Bruits radioélectriques . .
Remarques sur la classe A
Remarques sur la classe B
Dispositions . . . . . .
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Boîtiers et unités d’extension
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Avis aux lecteurs canadiens
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devez tenir compte.
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OS/2 - Paramètres canadiens
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Nomenclature
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du clavier de la France, du clavier du Canada ou du clavier des États-Unis. Reportez-vous à ce tableau
pour faire correspondre les touches françaises figurant dans le présent document aux touches de votre
clavier.
vii
Recommandations à l’utilisateur
Ce matériel utilise et peut émettre de l’énergie radiofréquence. Il risque de parasiter les communications
radio et télévision s’il n’est pas installé et utilisé conformément aux instructions du constructeur
(instructions d’utilisation, manuels de référence et manuels d’entretien).
Si cet équipement provoque des interférences dans les communications radio ou télévision, mettez-le hors
tension puis sous tension pour vous en assurer. Il est possible de corriger cet état de fait par une ou
plusieurs des mesures suivantes :
v Réorienter l’antenne réceptrice ;
v Déplacer l’équipement par rapport au récepteur ;
v Éloigner l’équipement du récepteur ;
v Brancher l’équipement sur une prise différente de celle du récepteur pour que ces unités fonctionnent
sur des circuits distincts ;
v S’assurer que les vis de fixation des cartes et des connecteurs ainsi que les fils de masse sont bien
serrés ;
v Vérifier la mise en place des obturateurs sur les connecteurs libres.
Si vous utilisez des périphériques non IBM avec cet équipement, nous vous recommandons d’utiliser des
câbles blindés mis à la terre, à travers des filtres si nécessaire.
En cas de besoin, adressez-vous à votre détaillant.
Le fabricant n’est pas responsable des interférences radio ou télévision qui pourraient se produire si des
modifications non autorisées ont été effectuées sur l’équipement.
viii
Boîtiers et unités d’extension
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Au besoin, l’utilisateur devrait consulter le détaillant ou un technicien qualifié pour obtenir de plus
amples renseignements.
Brevets
Il est possible qu’IBM détienne des brevets ou qu’elle ait déposé des demandes de brevets portant sur
certains sujets abordés dans ce document. Le fait qu’IBM vous fournisse le présent document ne signifie
pas qu’elle vous accorde un permis d’utilisation de ces brevets. Vous pouvez envoyer, par écrit, vos
demandes de renseignements relatives aux permis d’utilisation au directeur général des relations
commerciales d’IBM, 3600 Steeles Avenue East, Markham, Ontario, L3R 9Z7.
Assistance téléphonique
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publications IBM, contactez IBM direct au 1 800 465-1234.
Avis aux lecteurs canadiens
ix
x
Boîtiers et unités d’extension
Consignes de sécurité
Les consignes de sécurité peuvent être imprimées tout au long de ce guide.
v DANGER - Consignes attirant votre attention sur un risque de blessures graves, voire mortelles.
v ATTENTION - Consignes attirant votre attention sur un risque de blessures graves, en raison de
certaines circonstances réunies.
v Avertissement - Consignes attirant votre attention sur un risque de dommages sur un programme, un
appareil, un système ou des données.
Consignes de sécurité relatives au commerce international
Plusieurs pays nécessitent la présentation des consignes de sécurité indiquées dans les publications du
produit dans leur langue nationale. Si votre pays en fait partie, un livret de consignes de sécurité est
inclus dans la documentation livrée avec le produit. Ce livret contient les consignes de sécurité dans votre
langue en faisant référence à la source en anglais (américain). Avant d’utiliser une publication en version
originale américaine pour installer, faire fonctionner ou dépanner ce produit, vous devez vous familiariser
avec les consignes de sécurité figurant dans ce livret. Vous devez également consulter ce livret chaque
fois que les consignes de sécurité des publications en anglais (américain) ne sont pas assez claires pour
vous.
Informations sur les appareils à laser
Les serveurs peuvent comprendre des cartes d’E-S ou des composants à fibres optiques, utilisant des
lasers ou des diodes électroluminescentes (LED).
Conformité aux normes relatives aux appareils à laser
Aux Etats-Unis, tous les appareils à laser sont certifiés conformes aux normes indiquées dans le
sous-chapitre J du DHHS 21 CFR relatif aux produits à laser de classe 1. Dans les autres pays, ils sont
certifiés être des produits à laser de classe 1 conformes aux normes CEI 825. Consultez les étiquettes sur
chaque pièce du laser pour les numéros d’accréditation et les informations de conformité.
ATTENTION :
Ce produit peut contenir des produits à laser de classe 1 : lecteur de CD-ROM, DVD-ROM,
DVD-RAM ou module à laser. Notez les informations suivantes :
v Ne retirez pas les carters. En ouvrant le produit à laser, vous vous exposez au rayonnement
dangereux du laser. Vous ne pouvez effectuer aucune opération de maintenance à l’intérieur.
v Pour éviter tout risque d’exposition au rayon laser, respectez les consignes de réglage et d’utilisation
des commandes, ainsi que les procédures décrites dans le présent manuel.
(C026)
ATTENTION :
Les installations informatiques peuvent comprendre des modules à laser fonctionnant à des niveaux
de rayonnement excédant les limites de la classe 1. Il est donc recommandé de ne jamais examiner à
l’oeil nu la section d’un cordon optique ni une prise de fibres optiques ouverte. (C027)
ATTENTION :
Ce produit contient un laser de classe 1M. Ne l’observez pas à l’aide d’instruments optiques. (C028)
xi
ATTENTION :
Certains produits à laser contiennent une diode à laser intégrée de classe 3A ou 3B. Prenez
connaissance des informations suivantes. Rayonnement laser lorsque le carter est ouvert. Evitez toute
exposition directe au rayon laser. Evitez de regarder fixement le faisceau ou de l’observer à l’aide
d’instruments optiques. (C030)
Informations sur l’alimentation électrique et sur le câblage relatives au document
GR-1089-CORE du NEBS (Network Equipment-Building System)
Les commentaires suivants s’appliquent aux serveurs qui ont été déclarés conformes au document
GR-1089-CORE du NEBS (Network Equipment-Building System) :
Cet équipement peut être installé :
v dans des infrastructures de télécommunications réseau
v aux endroits préconisés dans les directives NEC (National Electrical Code).
Les ports de ce matériel qui se trouvent à l’intérieur du bâtiment peuvent être connectés à des câbles
internes ou non exposés uniquement. Ils ne doivent pas être connectés par leur partie métallique aux
interfaces connectées au réseau extérieur ou à son câblage. Ces interfaces sont conçues pour être
exclusivement utilisées à l’intérieur d’un bâtiment (ports de type 2 ou 4 décrits dans le document
GR-1089-CORE) ; elles doivent être isolées du câblage à découvert du réseau extérieur. L’ajout de
dispositifs de protection primaires n’est pas suffisant pour pouvoir connecter ces interfaces par leur partie
métallique au câblage du réseau extérieur.
Remarque : Tous les câbles Ethernet doivent être blindés et mis à la terre aux deux extrémités.
Dans le cas d’un système alimenté en courant alternatif, il n’est pas nécessaire d’installer un dispositif
externe de protection contre les surtensions (SPD).
Un système alimenté en courant continu fait appel à un dispositif de retour du continu (DC-I). La borne
de retour de la batterie en courant continu ne doit pas être connectée à la masse.
xii
Boîtiers et unités d’extension
Partie 1. Boîtiers et unités d’extension
Vous pouvez connecter vos unités d’extension en utilisant soit des adaptateurs de module RIO
(Entrée-Sortie), également connu sous le nom de liaison HSL (RIO), soit des carte GX 12X Channel Attach
double accès (carte 12X).
Remarque : Les termes boîtier et unité d’extension sont synonymes.
Remarque : Vous pouvez ajouter simultanément vos unités d’extension. Cela signifie que vous pouvez
ajouter ou installer les unités d’extension avec le serveur en état d’exécution du microprogramme. Il est
inutile d’arrêter les partitions actives. Lors de l’ajout d’unités d’extension, vous devez arrêter (mettre hors
tension) le serveur uniquement dans les situations suivantes :
v Les unités d’extension sont ajoutées à un serveur serveurs qui n’est pas géré Hardware Management
Console (HMC).
v Des cartes GX (cartes de concentrateur d’E-S) doivent être ajoutées pour prendre en charge les
nouvelles unités d’extension.
v Le câblage RIO/HSL existant doit être redistribué entre les cartes GX pour prendre en charge les
nouvelles unités d’extension, comme indiqué dans les étapes de planification de l’ajout des unités
d’extension.
Les modifications de configuration RIO, telles que le déplacement des unités d’extension existante vers
des adaptateurs GX différents, ne peuvent être effectuées en même temps que l’ajout de nouvelles unités
d’extension. Si ces deux tâches doivent être effectuées, modifiez d’abord la configuration des unités
d’extension existantes après avoir mis le serveur hors tension. Une fois les modifications de configuration
effectuées, mettez le serveur sous tension en plaçant le microprogramme en mode d’attente ou
d’exécution et ajoutez les nouvelles unités d’extension en utilisant cette procédure.
Les unités d’extension suivantes sont disponibles :
v 11D/11 ou 11D/20
v 14G/30
1
2
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 1. Préparation de la connexion des unités
d’extension
Lisez cette rubrique pour définir un plan de câblage et connaître les règles de configuration.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Cet ensemble de rubriques fournit des informations sur la connexion de vos unités d’extension avec
module RIO (liaison HSL) (RIO), câbles carte GX 12X Channel Attach double accès (12X) et câbles de
réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN). Cette opération incombe au client. Vous pouvez
exécuter vous-même cette tâche ou faire appel à un fournisseur de services.
Vous devez connaître le système, l’écran et les claviers. Vous devrez de plus savoir comment arrêter et
effectuer une procédure de chargement initial (sous tension), et comment arrêter les périphériques
système tels que les imprimantes, moniteurs et PC.
Pour préparer la connexion des unités d’extension, procédez comme suit :
1. «Où installer les nouvelles unités d’extension».
2. Décomprimez les unités d’extension à l’aide des instructions de décompression.
3. «RIO, carte GX 12X Channel Attach double accès et identification des câbles SPCN», à la page 4.
4. «Options d’agencement des câbles», à la page 4.
5. Passez à l’Chapitre 2, «Connexion des unités d’extension», à la page 9.
Où installer les nouvelles unités d’extension
Avant de commencer le processus d’installation, prévoyez où vous souhaitez installer les nouvelles unités
d’extension.
Envisagez plusieurs éléments dont notamment la taille, la sécurité, et l’environnement. Pour plus
d’informations, voir le Préparation du site et planification physique.
Si vous avez l’intention d’installer votre unité d’extension dans une armoire, consultez Installation de
systèmes et d’unités d’extension dans une armoire. Pour visualiser le fichier PDF de la rubrique
Installation de systèmes et d’unités d’extension dans une armoire (environ 12 Mo), voir oemiphbf.pdf
.
Remarque : Si vous installez une unité d’extension qui utilise une carte de communications 12x, la
référence de la carte carte 12X détermine l’emplacement dans lequel vous pouvez installer l’unité :
v L’adaptateur Short Run carte GX 12X Channel Attach double accès (FC 6446) ne contient pas de répéteur
et exige l’utilisation de câbles plus courts. Une unité d’extension contenant cette carte doit être placée
dans la même armoire que l’unité centrale.
v La carte Long Run carte GX 12X Channel Attach double accès (FC 6457) contient un répéteur et permet
l’utilisation de câbles plus longs. Une unité d’extension contenant cette carte peut être placée dans une
autre armoire que l’unité centrale.
3
RIO, carte GX 12X Channel Attach double accès et identification des
câbles SPCN
Il se peut que vous deviez identifier les câbles RIO, carte GX 12X Channel Attach double accès (12X), et
des câbles SPCN pour l’unité d’extension. Cette section contient les tableaux de références pour ces types
de câble.
Le système utilise des câbles RIO et 12X pour envoyer et recevoir des données clients et des données de
contrôle auxiliaire depuis et vers l’unité d’extension et pour télécharger le microprogramme de l’unité
d’extension. Le réseau SPCN est utilisé pour commander l’alimentation des unités d’extension et comme
secours pour les câbles RIO et 12X pour le contrôle auxiliaire et le contrôle du microprogramme.
Tableau 1. Câbles RIO
Câble
CCIN
Type de câble
Longueur
Référence
1307 (cuivre)
1307
-2/RIO-2
1,75 mètre
03N5867
1308 (cuivre)
1308
-2/RIO-2
2,5 mètres
03N5866
1481 (cuivre)
1481
-2/RIO-2
1 mètre
39J2562
1482 (cuivre)
1482
-2/RIO-2
3,5 mètres
39J2554
1483 (cuivre)
1483
-2/RIO-2
10 mètres
39J2561
1485 (cuivre)
1485
-2/RIO-2
15 mètres
21P5457
3170 (cuivre)
3170
-2/RIO-2
8 mètres
7924 (cuivre)
7924
-2/RIO-2
0,6 mètres
Tableau 2. Câbles 12X
Câble
Type de câble
Longueur
Référence
1828 (cuivre)
Carte de conversion 12X
à 4X
1,5 mètres
1829
carte 12X
0,6 mètres
42V2129
1830
carte 12X
1,5 mètres
42V2130
1834
carte 12X
8 mètres
42R6160
1840
carte 12X
3 mètres
42V2132
1841
Câble de conversion 12X
à 4X
3 mètres
1842
Câble de conversion 12X
à 4X
10 mètres
Tableau 3. Câbles SPCN
Câble
CCIN
Longueur
Référence
6001
6001
2 mètres
87G6235
6006
6006
3 mètres
09P1251
6007
6007
15 mètres
21F9358
6008
6008
6 mètres
21F9469
6029
6029
30 mètres
21F9359
Options d’agencement des câbles
Découvrez les topologies, options et exigences de configuration des câbles.
4
Boîtiers et unités d’extension
Pour décider de l’emplacement des câbles, respectez le plan de votre site et tenez compte des éléments
suivants :
v Veillez à écarter tout risque pour la sécurité.
v Evitez d’endommager les câbles.
v Evitez de placer les câbles parallèlement à des lignes à haute tension.
Exemple : topologies de boucles avec module RIO (liaison HSL) (RIO)
La liaison redondante est réalisée en câblant le RIO dans une boucle. Cette section contient des exemples
de boucles RIO.
Figure 1. RIO Exemple de boucle
Figure 2. RIO Exemple de boucle
Options de câblage des unités centrales
Cette section indique quels câbles de modules RIO (liaison HSL) (RIO) et carte GX 12X Channel Attach
double accès (12X) sont compatibles avec quelles unités centrales.
Utilisez le tableau suivant pour identifier les câbles RIO correspondant aux types de machine et aux
numéros de modèle identifiés.
Tableau 4. Odptions RIO et 2X d’unité centrale
Câble
17M/MA ou
1482 (cuivre)
03E/4A ou 04E/8A
ou
X
X
1481 (cuivre)
X
X
X
1483 (cuivre)
X
X
X
1307 (cuivre)
X
X
X
1308 (cuivre)
X
X
X
Chapitre 1. Préparation de la connexion des unités d’extension
5
Options de câblage des unités d’extension
Cette section permet de connaître les câbles RIO et 12X disponibles pour les unités d’extension
identifiées.
Utilisez les tableaux suivants pour identifier les câbles RIO et 12X correspondant aux unités d’extension
identifiées.
Tableau 5. Options de câblage RIO de l’unité d’extension
Câble
11D/11
11D/20
3146 (cuivre)
X
X
3147 (cuivre)
X
X
3148 (cuivre)
X
X
1307 (cuivre)
1308 (cuivre)
1460 (cuivre)
1461 (cuivre)
1462 (cuivre)
1474 (cuivre)
1475 (cuivre)
1481 (cuivre)
1482 (cuivre)
1483 (cuivre)
1485 (cuivre)
3156 (cuivre)
3168 (cuivre)
Tableau 6. Options de câblage 12X des unités d’extension
Câble
14G/30 ou
1829 0.6M carte 12X
X
1830 1.5M carte 12X
X
1834 8.0M carte 12X
X
1840 3.0M carte 12X
X
Exigences de configuration d’unité d’extension pour les câbles RIO et
carte GX 12X Channel Attach double accès
Prenez connaissance des exigences de configuration pour les câblesRIO et carte GX 12X Channel Attach
double accès (12X).
Lorsque vous configurez l’unité d’extension, respectez les exigences de configuration indiquées dans les
tableaux suivants.
6
Boîtiers et unités d’extension
Tableau 7. Règles de configuration RIO et carte 12X des unités d’extension des serveurs serveurs
Configuration
Nombre maximal de Nombre maximal de
ports
boucles
Nombre maximal
d’unités
d’extension par
boucle
Nombre maximal
d’unités
d’extension prises
en charge
17M/MA (RIO)
16
8
4
20
16
8
4
32
4
2
4
8
4
2
4
8
4
2
4
8
4
2
4
8
11D/11
11D/20
17M/MA (carte 12X)
14G/30
04E/8A (RIO)
11D/20
04E/8A (carte 12X)
14G/30
03E/4A (RIO)
11D/20
03E/4A (carte 12X)
14G/30
Chapitre 1. Préparation de la connexion des unités d’extension
7
8
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
Ces instructions contiennent d’importantes informations sur la connexion de vos unités d’extension.
Certaines installations exigent que l’unité soit mise hors tension. Vous devez vérifier que votre
configuration de module RIO (liaison HSL) et de carte GX 12X Channel Attach double accès (12X) avant
de connecter une unité d’extension.
Avant de commencer
Pour ajouter des unités d’extension, procédez comme suit :
1. Vous pouvez installer les unités d’extension alors que l’unité centrale est sous ou hors tension. Pour
plus d’informations sur les situations dans lesquelles l’unité centrale doit être hors tension avant
l’installation, consultez Partie 1, «Boîtiers et unités d’extension», à la page 1.
a. Si vous faites l’installation sur de nouvelles unité centrale et unités d’extension, passez à l’étape 5
, à la page 10.
b. Si vous devez mettre le système hors tension pour ajouter les unités d’extension, ou que vous
décidez de mettre le système hors tension pour effectuer l’opération, mettez-le hors tension
maintenant. Pour plus de détails, voir../iphaj/crustopsys.htm. Après avoir mis hors tension votre
unité centrale, passez à l’étape5, à la page 10 pour terminer cette procédure.
c. Si vous installez l’unité d’extension dans un système existant vous pouvez laisser la mise sous
tension, et passer à l’étape 2.
2. eVérifiez la configuration RIO/12X existante.
Important : Lorsque vous ajoutez plusieurs unités d’extension en même temps à une boucle
RIO/HSL/12X existante, il est indispensable de placer les unités les unes à côté des autres afin que
la boucle existante ne soit interrompue qu’à un endroit donné.
Conseil : Si vous devez ajouter plusieurs unités d’extension alors que le système est sous tension, il
est recommandé de ne traiter qu’une seule boucle RIO/HSL/12X à la fois. Par exemple, si vous
prévoyez d’ajouter trois unités d’extension à la boucle X et deux unités d’extension à la boucle Y,
suivez l’ensemble de la procédure pour ajouter simultanément les trois unités à la boucle X. Lorsque
la première procédure est terminée, suivez la procédure requise pour ajouter simultanément les deux
unités à la boucle Y. Vous n’êtes pas obligé d’effectuer cette procédure pour chaque unité prise
séparément.
Si des incidents liés aux boucles RIO/HSL/12X sont détectés à ce stade, vous devez les résoudre
avant de passer à la procédure d’ajout des unités d’extension. Suivez la procédure appropriée
ci-dessous pour déterminer s’il y a des incidents avec les boucles RIO/HSL/12X.
v Si votre système est géré par une console HMC, passez à «Vérification de boucles avec module
RIO (liaison HSL) (RIO) et carte GX 12X Channel Attach double accès (12X) avec console HMC», à
la page 24. Vous pouvez utiliser le bouton Enregistrer pour écraser la Dernière topologie
matérielle valide existante. Cette action vous permet de comparer la topologie avant et après
l’ajout d’unités d’extension.
3. Pour vérifier le réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN), voir «Vérification du réseau de
contrôle de l’alimentation système (SPCN)», à la page 26. Si des incidents liés au réseau SPCN sont
détectés à ce stade, vous devez les résoudre avant de passer à la procédure d’ajout des unités
d’extension.
Important : Lorsque vous ajoutez plusieurs unités d’extension en même temps à une boucle SPCN
existante, il est indispensable de placer les unités les unes à côté des autres afin que la boucle
existante ne soit interrompue qu’à un endroit donné.
4. Définissez les règles de mise à jour du microprogramme du SPCN.
9
Ces règles définissent de quelle manière et à quel moment le microprogramme du SPCN des unités
d’extension sera mis à jour. Le paramétrage par défaut fourni avec votre système est pour SPCN
Firmware Update Policy Enabled. Ce paramétrage permet la réalisation de mises à jour du
microprogramme sur l’interface RIO/HSL/12X chaque fois qu’une mise à jour est requise et ne
permet pas les mises à jour sur l’interface SPCN de série plus lente.
a. Accédez à l’interface ASMI en utilisant le niveau d’autorisation de l’administrateur ou du
fournisseur de services agréé. Pour plus de détails, voir le Interface ASMI et systèmes non
partitionnés.
b. Dans la zone de navigation ASMI, développez Configuration système, puis sélectionnez
Configuration des boîtiers d’E-S.
c. Assurez-vous qu’aucune mise à jour du microprogramme du SPCN n’est en cours en cochant la
colonne Statut de la mise à jour du microprogramme du SPCN. Le message Opération en cours
apparaît, accompagné d’un pourcentage si la mise à jour est en cours.
Si c’est le cas, déterminez s’il s’agit d’une mise à jour série ou HSL en recherchant dans la
colonne Statut de la mise à jour du microprogramme du SPCN l’un de ces termes, qui indiquent
le type de mise à jour.
Si la mise à jour du microprogramme du SPCN est de type HSL, attendez qu’elle soit terminée
avant de poursuivre.
5.
6.
7.
8.
9.
Conseil : Pour vérifier que la mise à jour est bien terminée, cliquez sur Configuration des
boîtiers d’E-S toutes les 15 à 30 secondes, jusqu’à ce que les mots Non requis apparaissent dans
la colonne Statut de la mise à jour du microprogramme du SPCN. Pour contrôler le statut, ne
cliquez pas sur les boutons Précédent ou Régénération du navigateur.
Si la mise à jour du microprogramme du SPCN est de type série, attendez qu’elle soit terminée
ou arrêtez-la. Si vous l’arrêtez, n’oubliez pas de la relancer depuis le début, une fois la procédure
terminée. Pour arrêter la mise à jour, procédez comme suit :
1) Terminez l’étape 4d.
2) Appuyez sur le bouton Arrêter la mise à jour du microprogramme du SPCN dans le
panneau Configurer les boîtiers E-S.
3) Sélectionnez Configuration des boîtiers d’E-S toutes les 15 à 30 secondes, jusqu’à ce que le
message En attente apparaisse dans la colonne Statut de la mise à jour du microprogramme
du SPCN. Pour contrôler le statut, ne cliquez pas sur les boutons Précédent ou Régénération
du navigateur.
d. Si vous avez choisi une règle de mise à jour du microprogramme du SPCN de type Etendu,
enregistrez la valeur en cours de ce paramètre (afin de pouvoir la restaurer le cas échéant) et
choisissez Activée. Si la règle de mise à jour du microprogramme du SPCN est activée ou
désactivée, poursuivez la procédure sans modifier la valeur du paramètre.
Retirez ou ouvrez le panneau arrière de l’unité centrale.
Localisez les connecteurs sur votre unité d’extension et votre unité centrale. Pour plus de détails sur
les emplacements des connecteurs, voir «Emplacements des connecteurs», à la page 19.
Pour connecter l’unité d’extension avec les câbles RIO/HSL, voir «Connexion de l’unité d’extension
avec le module RIO (liaison HSL) (RIO) et les câblescarte GX 12X Channel Attach double accès», à la
page 12.
Pour connecter l’unité d’extension avec les câbles SPCN, voir «Connexion de l’unité d’extension avec
les câbles du réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN)», à la page 16.
Branchez sur l’alimentation les cordons d’alimentation des unités d’extension en cours d’installation.
Ensuite, reliez-les à l’alimentation électrique, sur chaque unité. Si vous avez installé les unités
d’extension alors que l’unité centrale est hors tension, passez à l’étape 11, à la page 11. Sinon, passez
à l’étape suivante.
Remarque : Branchez le câble d’alimentation à la source d’alimentation avant de le connecter au bloc
d’alimentation de l’unité d’extension.
10
Boîtiers et unités d’extension
10. Les unités d’extension seront automatiquement mises sous tension. Après avoir mis sous tension les
unités d’extension installées et attendu dix minutes la fin de l’initialisation des composants matériels,
passez à l’étape 12.
Conseil : Pour chaque unité d’extension, attendez que le voyant vert d’alimentation s’allume sur le
panneau de commande de l’unité d’extension concernée. Cette opération peut prendre une à dix
minutes. Pendant cette phase, il est possible qu’un voyant jaune (Attention) s’allume sur le panneau
de commande de l’unité d’extension mise sous tension. Une fois que les voyants verts d’alimentation
sont allumés sur les panneaux de commande de toutes les unités d’extension mises sous tension,
patientez encore dix minutes pendant l’initialisation des composants matériels avant de passer à
l’étape 12.
11. Pour démarrer le système ou la partition logique, voir «Démarrage du système ou de la partition
logique», à la page 79.
12. Pour vérifier le SPCN, voir «Vérification du réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN)», à
la page 26. Lorsque vous suivez ces instructions, il est possible que les journaux d’erreurs ci-dessous
soient créés en fonction de la configuration système et de la procédure.
v Journal d’informations ou d’erreurs permanentes 1000 9135 en raison d’une boucle SPCN ouverte.
v Journal d’erreurs permanentes 1000 9137 en raison de l’interruption d’une boucle RIO/HSL ou
carte GX 12X Channel Attach double accès.
v Journal d’informations 1000 9139 en raison de la fermeture d’un réseau de contrôle de
l’alimentation système.
v Journal 1000 910A ou 1000 91DE si une mise à jour de microprogramme du SPCN est requise.
v Journal d’erreurs permanentes 1000 913B si la mise à jour du microprogramme du SPCN est
requise mais ne se lance pas automatiquement. Si une entrée de ce type est détectée par le
système, poursuivez la procédure ; l’erreur sera traitée au cours de l’étape 14.
13. Vérifiez les boucles RIO/HSL/12X.
Si votre système est géré par une console HMC, passez à «Vérification de boucles avec module RIO
(liaison HSL) (RIO) et carte GX 12X Channel Attach double accès (12X) avec console HMC», à la
page 24. Si vous avez sauvegardé la topologie RIO/HSL/12X d’origine avant d’ajouter les unités
d’extension, vous pouvez utiliser cette topologie pour comparer la configuration d’origine et la
configuration modifiée.
Lorsque vous suivez ces instructions, il est possible que les entrées de journal d’erreurs ci-dessous
soient créées en fonction de la configuration système et de la procédure.
v Entrées de journaux d’informations B700 6907 pour chaque nouvelle unité d’extension ajoutée qui
dispose dans sa mémoire non volatile des données provenant d’un système auquel elle a été
précédemment connectée.
v Entrées de journaux d’informations B700 6985 ajoutées avant et après celles du journal
d’informations B700 6907.
v Entrées du journal d’informations B700 6984 signalant la rupture d’une boucle HSL.
14. Lancez les mises à jour requises pour le microprogramme du SPCN.
Si une entrée du journal d’erreurs 1000913B a été détectée au cours de l’étape 12, cela signifie qu’une
mise à jour du microprogramme du SPCN est nécessaire mais qu’elle n’est pas autorisée à cause des
règles de mise à jour du microprogramme du SPCN en cours. Vous devez mettre à jour le
microprogramme du SPCN. Pour cela, voir «Mise à jour du microprogramme du réseau de contrôle
de l’alimentation système (SPCN)», à la page 30.
Attendez que la procédure soit terminée avant de passer à l’étape suivante. Elle peut prendre
plusieurs heures, selon le nombre d’unités d’extension comprises dans la boucle SPCN et le niveau
du microprogramme du SPCN au sein de l’unité d’extension.
15. Si vous avez changé les règles de mise à jour du microprogramme du SPCN dans la section 4, à la
page 9, annulez les changements pour revenir aux paramètres d’origine.
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
11
a. Accédez à l’interface ASMI en utilisant le niveau d’autorisation de l’administrateur ou du
fournisseur de services agréé. Pour plus de détails, voir Interface ASMI et systèmes non
partitionnés. Pour visualiser le fichier PDF de la rubrique Interface ASMI et systèmes non
partitionnés (environ 2 Mo), voir oemiphby.pdf
.
b. Dans la zone de navigation ASMI, développez Configuration système, puis sélectionnez
Configuration des boîtiers d’E-S.
c. Affectez au paramètre Règles de mise à jour du microprogramme du SPCN la valeur du
paramètre enregistré au cours de l’étape 4, à la page 9. La valeur recommandée est la valeur par
défaut, soit Activé.
16. Vérifiez la nouvelle configuration. Pour plus de détails, voir «Vérification des nouvelles fonctions de
configuration», à la page 24.
17. Si le système est partitionné, vous pouvez maintenant attribuer le nouveau matériel à une partition.
Connexion de l’unité d’extension avec le module RIO (liaison HSL)
(RIO) et les câblescarte GX 12X Channel Attach double accès
Ces instructions expliquent comment connecter des unités avec des câbles RIO/12X dans une nouvelle
boucle ou une boucle existante. Elles comprennent également des informations sur la connexion de
plusieurs unités.
Ajout d’unités d’extension à une nouvelle boucle de module RIO
(liaison HSL) (RIO et carte GX 12X Channel Attach double accès)
Pour ajouter des unités d’extension à une nouvelle boucle RIO, procédez comme suit.
Avant de commencer
Les connecteurs RIO/12X non utilisés peuvent être recouverts d’un clip métallique. Retirez-le avant
d’installer un câble RIO/12X.
1. Sur l’unité centrale à laquelle vous allez connecter le nouveau câble RIO/12X, identifiez les
connecteurs 0 et 1 de la paire de connecteurs RIO/12X que vous allez utiliser.
2. Repérez les câbles RIO/12X inclus avec les unités d’extension.
3. Branchez un câble RIO/12X au connecteur 0 d’une unité d’extension.
4. Branchez un autre câble RIO/12X au connecteur 1 de l’unité d’extension.
5. Si vous devez ajouter une autre unité d’extension, procédez comme suit :
a. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 1 sur l’unité d’extension que vous venez
d’ajouter au connecteur 0 de l’unité d’extension suivante.
b. Branchez un autre câble au connecteur 1 sur l’unité d’extension de l’étape 5a.
c. Répétez l’étape 5 pour chaque unité d’extension supplémentaire.
6. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 0 sur la première unité d’extension ajoutée au
connecteur 0 de l’unité centrale.
7. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 1 sur la dernière unité d’extension ajoutée au
connecteur 1 de l’unité centrale.
8. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
Ajout d’unités d’extension à une boucle de module RIO (liaison HSL)
existante (RIO et carte GX 12X Channel Attach double accès)
Pour ajouter des unités d’extension à une boucle RIO/12X existante, procédez comme suit.
12
Boîtiers et unités d’extension
Avant de commencer
Les connecteurs RIO/HSL/12X non utilisés peuvent être recouverts d’un clip métallique. Retirez-le avant
d’installer les câbles RIO/HSL/12X.
Avant d’effectuer cette procédure, consultez «Exemples : connexions de l’unité d’extension avec le
module RIO (liaison HSL) (RIO/12X)», à la page 14.
1. Identifiez la boucle RIO/HSL/12X à laquelle vous souhaitez ajouter les unités d’extension.
2. Sur l’unité centrale, repérez les connecteurs 0 et 1 de la paire de connecteurs RIO/HSL/12X associés
à la boucle identifiée à l’étape 1.
3. Repérez les câbles RIO/HSL/12X fournis avec les unités d’extension.
4. Choisissez l’une des options suivantes :
v Pour ajouter les unités d’extension au début de la boucle, passez à l’étape 5.
v Pour ajouter les unités d’extension au milieu de la boucle, passez à l’étape 6.
v Pour ajouter les unités d’extension à la fin de la boucle, passez à l’étape 7.
5. Pour ajouter les unités d’extension au début de la boucle, procédez comme suit :
a. Retirez le câble RIO/HSL/12X du connecteur 0 sur la première unité d’extension de la boucle
(celui branché au connecteur 0 de l’unité centrale) et branchez-le au connecteur 0 de la nouvelle
unité d’extension.
b. Branchez un autre câble RIO/HSL/12X au connecteur 1 de la nouvelle unité d’extension.
c. Si vous ajoutez une autre unité d’extension, procédez comme suit :
1) Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 1 sur l’unité d’extension que vous venez
d’ajouter au connecteur 0 de l’unité d’extension suivante.
2) Branchez un autre câble au connecteur 1 sur l’unité d’extension de l’étape 5c1.
3) Répétez l’étape 5c pour chaque unité d’extension supplémentaire.
d. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 1 sur la dernière unité d’extension ajoutée au
connecteur 0 de l’unité d’extension déconnectée à l’étape 5a.
6. Pour ajouter les unités d’extension au milieu de la boucle, procédez comme suit :
a. Retirez le câble RIO/HSL/12X du connecteur 0 sur l’unité d’extension existante qui suit
l’emplacement de la nouvelle unité d’extension et branchez-le au connecteur 0 de la nouvelle
unité d’extension.
b. Branchez un autre câble RIO/HSL/12X au connecteur 1 de la nouvelle unité d’extension.
c. Si vous ajoutez une autre unité d’extension, procédez comme suit :
1) Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 1 sur l’unité d’extension que vous venez
d’ajouter au connecteur 0 de l’unité d’extension suivante.
2) Branchez un autre câble au connecteur 1 sur l’unité d’extension de l’étape 6c1.
3) Répétez l’étape 6c pour chaque unité d’extension supplémentaire.
d. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 1 sur la dernière unité d’extension ajoutée au
connecteur 0 de l’unité d’extension déconnectée à l’étape 6a.
7. Pour ajouter les unités d’extension à la fin de la boucle, procédez comme suit :
a. Retirez le câble RIO/HSL/12X du connecteur 1 sur l’unité centrale et branchez-le au connecteur
0 de la nouvelle unité d’extension.
b. Branchez un autre câble RIO/HSL/12X au connecteur 1 de la nouvelle unité d’extension.
c. Si vous connectez une autre unité d’extension, procédez comme suit :
1) Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 1 sur l’unité d’extension que vous venez
d’ajouter au connecteur 0 de l’unité d’extension suivante.
2) Branchez un autre câble au connecteur 1 sur la nouvelle unité d’extension de l’étape 7a.
3) Répétez l’étape 7c pour chaque unité d’extension supplémentaire.
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
13
d. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur 1 sur la dernière unité d’extension ajoutée au
connecteur 1 de l’unité centrale.
8. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
Exemples : connexions de l’unité d’extension avec le module RIO
(liaison HSL) (RIO/12X)
Cette section contient des exemples de connexions RIO/12X.
14
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
15
Connexion de l’unité d’extension avec les câbles du réseau de
contrôle de l’alimentation système (SPCN)
Vous pouvez connecter les unités d’extension aux unités centrales au moyen de câbles de réseau de
contrôle de l’alimentation système (SPCN). Les unités centrales utilisent des câbles SPCN pour
commander l’alimentation des unités d’extension.
Avant de commencer
Passez à la section «Exemples : connexions module RIO (liaison HSL) (RIO) et réseau de contrôle de
l’alimentation (SCPN) carte GX 12X Channel Attach double accès (12X)», à la page 18, puis revenez à la
présente section pour poursuivre la procédure.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Si vous rencontrez des difficultés durant la procédure, contactez votre fournisseur de services.
Si vous installez l’unité d’extension dans une boucle SPCN existante (unité centrale sous tension), le
système consigne des erreurs lorsque vous débranchez et rebranchez les câbles. Vous pouvez ignorer ces
messages d’erreur.
1. Choisissez l’une des options suivantes :
v Pour connecter des câbles SPCN lorsqu’il n’y a pas encore de boucle SPCN, passez à l’étape 2.
v Pour connecter des câbles SPCN au début d’une boucle SPCN existante, passez à l’étape 3, à la
page 17.
v Pour connecter des câbles SPCN au milieu d’une boucle SPCN existante, passez à l’étape 4, à la
page 17.
v Pour connecter des câbles SPCN à la fin d’une boucle SPCN existante, passez à l’étape 5, à la page
17.
2. Pour connecter des câbles SPCN lorsqu’il n’y a pas encore de boucle SPCN, procédez comme suit :
a. Repérez les câbles SPCN que vous avez reçus avec les unités d’extension.
b. Branchez un câble SPCN au connecteur SPCN0 de l’unité centrale.
c. Branchez l’autre extrémité du câble SPCN au connecteur J15 de l’une des nouvelles unités
d’extension.
d. Branchez un autre câble au connecteur J16 de la nouvelle unité d’extension.
e. Si vous devez ajouter une autre unité d’extension, procédez comme suit :
16
Boîtiers et unités d’extension
1) Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur J16 sur l’unité d’extension que vous venez
d’ajouter au connecteur J15 de l’unité d’extension suivante.
2) Branchez un autre câble au connecteur J16 sur l’unité d’extension de l’étape 2e1.
3) Répétez l’étape 2e, à la page 16 pour chaque unité d’extension supplémentaire.
f. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur J16 sur la dernière unité d’extension ajoutée au
connecteur SPCN1 de l’unité centrale.
g. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
3. Pour brancher des câbles SPCN au début d’une boucle SPCN existante, procédez comme suit :
a. Repérez les câbles SPCN que vous avez reçus avec les unités d’extension.
b. Retirez le câble SPCN du connecteur J15 sur la première unité (celui branché au connecteur
SPCN0 de l’unité centrale) et branchez-le au connecteur J15 de l’une des nouvelles unités
d’extension.
c. Branchez un autre câble SPCN au connecteur J16 de la nouvelle unité d’extension.
d. Si vous devez ajouter une autre unité d’extension, procédez comme suit :
1) Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur J16 sur l’unité d’extension que vous venez
d’ajouter au connecteur J15 de l’unité d’extension suivante.
2) Branchez un autre câble au connecteur J16 sur l’unité d’extension de l’étape 3d1.
3) Répétez l’étape 3d pour chaque unité d’extension supplémentaire.
e. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur J16 sur la dernière unité d’extension ajoutée au
connecteur J15 de l’unité d’extension déconnectée à l’étape 3b.
f. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
4. Pour connecter des câbles SPCN au milieu d’une boucle SPCN existante, procédez comme suit :
a. Repérez les câbles SPCN que vous avez reçus avec les unités d’extension.
b. Retirez le câble SPCN du connecteur J15 sur l’unité d’extension qui suit les unités d’extension
ajoutées et branchez-le au connecteur J15 sur la nouvelle unité d’extension.
c. Branchez un autre câble SPCN au connecteur J16 de l’une des nouvelles unités d’extension.
d. Si vous devez ajouter une autre unité d’extension, procédez comme suit :
1) Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur J16 sur l’unité d’extension que vous venez
d’ajouter au connecteur J15 de l’unité d’extension suivante.
2) Branchez un autre câble au connecteur J16 sur l’unité d’extension de l’étape 4d1.
3) Répétez l’étape 4d pour chaque unité d’extension supplémentaire.
e. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur J16 sur la dernière unité d’extension ajoutée au
connecteur J15 de l’unité d’extension déconnectée à l’étape 4b.
f. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
5. Pour connecter des câbles SPCN à la fin d’une boucle SPCN existante, procédez comme suit :
a. Repérez les câbles SPCN que vous avez reçus avec les unités d’extension.
b. Retirez le câble SPCN du connecteur J16 sur la dernière unité (celui branché au connecteur
SPCN1 de l’unité centrale) et branchez-le au connecteur J16 de l’une des nouvelles unités
d’extension.
c. Branchez un autre câble SPCN au connecteur J15 de la nouvelle unité d’extension.
d. Si vous devez ajouter une autre unité d’extension, procédez comme suit :
1) Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur J15 de l’unité d’extension que vous venez
d’ajouter au connecteur J16 de l’unité d’extension suivante.
2) Branchez un autre câble au connecteur J15 sur l’unité d’extension de l’étape 5d1.
3) Répétez l’étape 5d pour chaque unité d’extension supplémentaire.
e. Branchez l’autre extrémité du câble du connecteur J15 sur la dernière unité d’extension ajoutée au
connecteur J16 de l’unité d’extension déconnectée à l’étape 5d.
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
17
f. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
Exemples : connexions module RIO (liaison HSL) (RIO) et réseau de
contrôle de l’alimentation (SCPN) carte GX 12X Channel Attach double
accès (12X)
Cette section contient des exemples de connexions SPCN RIO/12X.
18
Boîtiers et unités d’extension
Emplacements des connecteurs
Informations sur les emplacements des connecteurs de module RIO (liaison HSL) (RIO) et de réseau de
contrôle de l’alimentation système (SPCN)
Emplacement des connecteurs des modèles 03E/4A
Cette section décrit l’emplacement des connecteurs sur les modèles montés en armoire et sur les modèles
autonomes.
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
19
Figure 3. Emplacement des connecteurs des modèles 03E/4A sur un modèle monté en armoire
Figure 4. Emplacement des connecteurs des modèles 03E/4A sur un modèle autonome
Emplacement des connecteurs du modèle 04E/8A
Cette section décrit l’emplacement des connecteurs sur les modèles montés en armoire et sur les modèles
autonomes.
20
Boîtiers et unités d’extension
Figure 5. Emplacement des connecteurs du modèle 04E/8A sur un modèle monté en armoire
Figure 6. Emplacement des connecteurs du modèle 04E/8A sur un modèle autonome
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
21
Emplacement des connecteurs du modèle 17M/MA ou
Cette section décrit l’emplacement des connecteurs.
Figure 7. Emplacement des connecteurs du modèle 17M/MA
Emplacement des connecteurs du modèle ou 11D/11
Cette section décrit l’emplacement des connecteurs.
Figure 8. Emplacement des connecteurs du modèle ou 11D/11
22
Boîtiers et unités d’extension
Emplacement des connecteurs du modèle 05/95 or 11D/20
Cette section décrit l’emplacement des connecteurs.
Figure 9. Emplacement des connecteurs du modèle ou 11D/20
Emplacement des connecteurs du modèle 57/96 ou 14G/30
Cette section décrit l’emplacement des connecteurs.
Figure 10. Emplacement des connecteurs du modèle 57/96 ou 14G/30
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
23
Vérification des nouvelles fonctions de configuration
Les procédures de cette section permettent de vérifier que la nouvelle configuration est opérationnelle.
1. Choisissez l’une des options suivantes :
v Si votre système n’est pas géré par une console HMC, passez à ../iphaj/hsmverify.htm. Lorsque
vous avez terminé, revenez à la procédure qui vous a amené ici.
v Si votre système est géré par une console HMC, passez à 2.
2. Consultez les informations relatives au système géré. Pour plus de détails, voir «Affichage des
informations relatives à un système géré», à la page 25.
3. Pour afficher des informations sur le système géré, procédez comme suit :
a. Dans la zone de navigation de la console HMC, développez Gestion de systèmes.
b. Cliquez sur Serveurs.
c. Sélectionnez le serveur à utiliser. La section Tâches de la zone de contenu donne des informations
sur le système.
4. Pour afficher les propriétés du système géré et vérifier les nouvelles unités d’extension, procédez
comme suit :
a. Sélectionnez le serveur sur lequel vous souhaitez intervenir.
b. Cliquez sur Tâches → Propriétés.
c. Cliquez sur l’onglet E-S.
d. Vérifiez que la nouvelle unité d’extension apparaît dans la liste et que les informations concernant
l’ID de l’unité (affichées sur le panneau des unités d’entrée-sortie) correspondent à l’étiquette
apposée sur l’unité d’entrée-sortie.
Remarque : Un délai de dix minutes peut être nécessaire avant que les nouvelles unités
d’extension apparaissent dans la liste. Une fois ce délai écoulé, si elles ne s’affichent pas, passez à
l’étape suivante. Si elles s’affichent, passez à l’étape 6.
Conseil : Pour actualiser la liste des unités d’extension, quittez, puis accédez de nouveau à la
fonction.
5. Si les unités d’extension ne sont pas affichées dans le panneau d’E-S, vérifiez l’installation en
procédant comme suit :
a. Vérifiez que les unités d’extension sont sous tension et que les cordons d’alimentation sont
connectés à l’alimentation et aux unités d’extension.
b. Vérifiez que les câbles RIO/HSL et SPCN sont installés correctement. Pour plus d’informations sur
le câblage, voir Chapitre 2, «Connexion des unités d’extension», à la page 9.
c. Vérifiez le type, le modèle et le numéro de série, ainsi que l’ID configuration des nouvelles unités
d’extension. Pour en savoir plus, voir Paramétrage de l’ID configuration et de la valeur MTMS du
boîtier d’entrée-sortie.
d. Si les unités d’extension n’apparaissent toujours pas, contactez votre fournisseur de services.
6. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
Vérification de boucles avec module RIO (liaison HSL) (RIO) et carte
GX 12X Channel Attach double accès (12X) avec console HMC
Utilisez cette procédure lorsque votre système est géré par une console HMC et que vous voulez vérifier
que les boucles du câblage RIO/HSL/12X sont correctes.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour vérifier les boucles RIO/HSL/12X au moyen d’une console HMC alors que l’unité centrale est sous
tension, procédez comme suit :
24
Boîtiers et unités d’extension
1. Si vous avez suivi le lien depuis Mise hors tension d’une unité d’extension pendant une procédure de
réparation, passez à l’étape 3.
2. Utilisez la console HMC pour vérifier que le système n’a consigné aucune erreur B700 69xx :
a. Dans la zone de navigation, sélectionnez gestion des réparations.
b. Sélectionnez Gestion des événements réparables.
c. Dans la fenêtre Gestion des événements réparables, procédez comme suit :
1) Sélectionnez Ouvrir pour afficher la zone de l’état des événements réparables.
2) Sélectionnez les numéros du type de machine et du modèle (MTM) du serveur sur lequel vous
travaillez pour la zone Génération de rapports MTMS.
3) Sélectionnez TOUS pour toutes les autres zones.
d. Cliquez sur OK.
e. Recherchez la présence d’erreurs B700 69xx.
f. Choisissez l’une des options suivantes :
v Si vous ne rencontrez aucune erreur, cliquez sur Annuler pour quitter et passez à l’étape 3.
v Dans le cas contraire, vous devez corriger les erreurs avant de continuer. Si vous avez besoin
d’aide, contactez votre fournisseur de services.
3. Pour vérifier les boucles RIO/HSL/12X existantes depuis la console HMC, procédez comme suit :
a. Dans la zone de navigation, développez Gestion de systèmes.
b. Sélectionnez Serveurs.
c. Sélectionnez le serveur que vous utilisez.
d. Dans la zone des Tâches, procédez comme suit :
1) Développez Informations matérielles.
2) Sélectionnez le libellé pour afficher la topologie du matériel.
e. Vérifiez que l’état du lien de toutes les entrées de type externe est opérationnel (ignorez les liens
internes). Si le LinkStatus de toutes les entrées externes est opérationnel, passez à l’étape suivante.
Sinon, vous devez réparer les liens avant de continuer. Si vous avez besoin d’aide, contactez votre
fournisseur de services.
Remarque : Si vous avez suivi le lien depuis la page Mise hors tension d’un boîtier E-S dans le
cadre d’une procédure de réparation, les valeurs LinkStatus risquent de ne pas être adaptées aux
ports de l’unité d’extension qui est hors tension et en cours de réparation. Vous n’êtes pas obligé
de corriger les erreurs pour continuer.
4. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
Affichage des informations relatives à un système géré
Cette rubrique explique comment afficher la configuration et les capacités d’un système géré.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Vous pouvez visualiser la configuration et les fonctionnalités du système géré. La visualisation des
propriétés d’un système géré est accessible à tous les utilisateurs. Pour accéder à ces informations :
1. Dans la zone de navigation de la console HMC, développez Gestion de systèmes.
2. Cliquez sur Serveurs.
3. Sélectionnez le serveur sur lequel vous voulez intervenir.
4. Sélectionnez Propriétés sous Tâches dans la zone de contenu pour afficher les informations sur le
système.
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
25
Résultats
La console HMC affiche le nom du système, la capacité, l’état, le numéro de série, le modèle et le type de
la partition logique ainsi que des informations sur les règles d’administration. Lorsqu’un système est mis
sous tension à l’aide de l’option Attente de partitionnement, il affiche ces données et indique les
processeurs, la mémoire, les tiroirs et les emplacements d’E-S, les paramètres de mise sous tension, les
codes de référence attribués et disponibles, et les informations sur les règles. La console HMC affiche
également les paramètres de mise sous tension et les codes de référence d’un système géré hors tension.
La page Processeur affiche des informations utiles pour l’exécution des tâches de partitionnement logique
dynamique. Cliquez sur l’onglet Processeur pour voir l’état d’utilisation du processeur pour les partitions
et déterminer s’il est attribué à une partition logique. Les informations de la page Processeur sont
également utiles pour savoir si des processeurs sont désactivés, ce qui les rend inutilisables pour les
partitions logique.
La page Mémoire affiche les ressources non configurées, ainsi que les informations relatives à la mémoire
disponible et configurée. Pour afficher et modifier l’attribution de mémoire sur les systèmes prenant en
charge les tables de pages très volumineuses, cliquez sur l’onglet Mémoire et sélectionnez Afficher les
détails dans la zone des options avancées. Pour modifier la valeur requise pour la mémoire de pages très
volumineuses, vous devez mettre le système hors tension.
Les informations fournies dans l’onglet de mémoire (par exemple, les ressources non configurées) et les
données de l’onglet d’E-S sont utiles pour la planification relative aux processeurs et au partitionnement
logique dynamique.
Vérification du réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN)
Vérifiez les erreurs de réseau de contrôle de l’alimentation système (SPCN)et les boîtiers inactifs, et
corrigez les erreurs de type, modèle et numéro de série de machine (MTMS).
1. Vous avez le choix entre les options suivantes :
v Si votre système est géré par une console HMC, passez à l’étape 2.
v Si votre système n’est pas géré par une console HMC, passez à l’étape 3.
2. Utilisez la console HMC pour vérifier que le système n’a consigné aucune erreur 1000 9xxx, et
procédez comme suit :
a. Dans la zone de navigation de la console HMC, sélectionnez Gestion des services.
b. Dans la zone de contenu, sélectionnez Gestion des événements réparables.
c. Dans la fenêtre Gestion des événements réparables – Sélection des événements réparables,
sélectionnez :
1) Ouvrir pour afficher l’état des événements réparables.
2) Le numéro MTMS du serveur que vous utilisez dans la zone Indication de MTMS.
3) TOUS pour toutes les autres zones.
d. Cliquez sur OK.
e. Recherchez les erreurs 1000 9xxx éventuelles et procédez comme suit :
v Si vous ne rencontrez aucune erreur, cliquez deux fois sur Annuler pour fermer l’écran Gestion
des événements réparables.
v Dans le cas contraire, vous devez corriger les erreurs avant de continuer. Si vous avez besoin
d’aide, contactez votre fournisseur de services.
f. Passez à l’étape 3.
3. Vérifiez qu’aucune unité d’extension n’indique le code ‘C62E’ dans la zone d’affichage du panneau de
commande. Ce code indique que l’unité d’extension ne parvient pas à communiquer avec le système.
L’affichage de ce code pour l’une des unités d’extension signale un problème de câblage SPCN.
Corrigez l’erreur avant de continuer.
26
Boîtiers et unités d’extension
Pour vérifier qu’il n’y a pas d’unités d’extension inactives dans le réseau SPCN, procédez comme
suit :
a. Accédez à l’interface ASMI en utilisant le niveau d’autorisation de l’administrateur ou du
fournisseur de services agréé. Pour plus de détails sur l’utilisation de l’interface ASMI, voir
Interface ASMI et systèmes non partitionnés.
b. Dans la zone de navigation ASMI, développez Configuration système, puis sélectionnez
Configuration des boîtiers d’E-S.
c. Vérifiez que chaque ligne est associée au mot Actif dans la colonne Etat. Si l’un des boîtiers d’E-S
est à l’état Inactif, procédez comme suit :
1) Si vous avez déjà ajouté simultanément les unités d’extension au système, ne cliquez pas sur le
bouton Effacement des boîtiers inactifs. Pour obtenir de l’aide, contactez votre fournisseur de
services.
2) Si vous n’avez pas encore ajouté les unités d’extension, cliquez sur le bouton Effacement des
boîtiers inactifs dans ce panneau. Attendez la fin de l’opération, puis répétez les étapes 4b et
4c. Si l’incident persiste, prenez contact avec votre fournisseur de services.
5. Corrigez les ID configuration et numéros MTMS (machine type, model, et numéros de série)
temporaires des unités d’extension. Si vous avez déjà ajouté simultanément les unités d’extension au
système, passez à l’étape 6. Si vous ne les avez pas encore ajoutées, passez à l’étape 7.
6. Si vous avez déjà ajouté les unités d’extension au système, exécutez les tâches dans «Définition de
l’identificateur de configuration du boîtier d’entrée-sortie et des valeurs de type, modèle et numéro de
série de machine (MTMS)». Passez ensuite à l’étape 8.
7. Si vous n’avez pas encore ajouté les unités d’extension, procédez comme suit pour toutes les unités
d’extension du système.
a. Accédez à l’interface ASMI en utilisant le niveau d’autorisation de l’administrateur ou du
fournisseur de services agréé. Pour plus de détails sur l’utilisation de l’interface ASMI, voir le
Interface ASMI et systèmes non partitionnés. Pour visualiser le fichier PDF de la rubrique Interface
4.
ASMI et systèmes non partitionnés (environ 2 Mo), voir oemiphby.pdf
b. Dans la zone de navigation ASMI, développez Configuration système, puis sélectionnez
Configuration des boîtiers d’E-S.
c. Vérifiez qu’aucune des valeurs indiquées dans la colonne Code emplacement n’est au format
UTMPx.xxx.xxxxxxx, ou x représente un nombre compris entre 0 et 9 ou un caractère compris
entre A et Z. Si l’une des unités d’extension possède un code emplacement au format
UTMPx.xxx.xxxxxxx, effectuez les tâches indiquées dans «Définition de l’identificateur de
configuration du boîtier d’entrée-sortie et des valeurs de type, modèle et numéro de série de
machine (MTMS)» pour le corriger.
8. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
Concepts associés
«Accès à l’interface ASMI sans console HMC», à la page 67
La console ASMI est accessible à partir d’un navigateur Web ou d’un terminal ASCII.
Définition de l’identificateur de configuration du boîtier d’entrée-sortie
et des valeurs de type, modèle et numéro de série de machine (MTMS)
La mise à jour de l’ID de configuration et des valeurs MTMS (type, modèle et numéro de série de
machine) préserve la synchronisation des informations de configuration et d’erreurs, et est utilisé par le
système lorsque vous créez les codes d’emplacement.
Définissez l’ID configuration à l’aide de l’interface ASMI. Toutefois, si cette dernière n’est pas disponible,
vous pouvez utiliser le panneau de commande physique. Pour définir la valeur MTMS, vous devez
utiliser l’interface ASMI, et non le panneau de commande. Toutefois, si vous n’avez pas accès à l’interface
ASMI, le système fonctionne, mais il ne met pas à jour ces informations. La valeur MTMS doit
correspondre à la valeur d’origine du boîtier qui se trouve sur une étiquette apposée sur le boîtier.
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
27
Pour plus de détails, voir «Utilisation de l’interface de gestion avancée de systèmes (ASMI) pour vérifier
et définir l’ID de configuration ainsi que la valeur de type, modèle et numéro de série de machine
(MMTS)».
Utilisation de l’interface de gestion avancée de systèmes (ASMI) pour vérifier et
définir l’ID de configuration ainsi que la valeur de type, modèle et numéro de série
de machine (MMTS)
Cette rubrique fournit des instructions détaillées pour définir l’ID de configuration ainsi que le type,
modèle et numéro de série de machine (MTMS).
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour procéder à cette opération, vérifiez que les conditions suivantes sont remplies :
v Le serveur doit être activé avec le microprogramme à l’état de veille ou d’exécution.
v L’unité d’extension doit être alimentée en courant alternatif et être correctement installée sur le réseau
de contrôle de l’alimentation système.
v Vous devez posséder l’un des niveaux d’autorisation suivants :
– Administrateur
–
1.
2.
3.
4.
5.
Fournisseur de services agréé
Connectez-vous à l’interface ASMI.
Développez Configuration système.
Sélectionnez Configuration des boîtiers d’E-S.
Sélectionnez Effacement des boîtiers inactifs.
Si vous avez été redirigé ici dans le cadre d’une procédure de remplacement, l’unité d’extension en
cours de remplacement contient la mémoire non volatile dans laquelle la valeur MTMS (type,
modèle et numéro de série de l’unité d’extension) est stockée. Vous devez maintenant restaurer la
valeurMTMS de l’unité d’extension. Il peut également être nécessaire de paramétrer ou de modifier
l’ID de configuration de l’unité d’extension (ID réseau de contrôle de l’alimentation).
La mémoire non volatile de l’unité d’extension de remplacement dans laquelle la valeur MTMS est
stockée est désinitialisée. Le système détecte cette valeur désinitialisée et affecte une nouvelle valeur
unique et évidente de type x.xxx.xxxxxxx, où x est égal à n’importe quel caractère compris entre 0
et 9 et entre A et Z. Le code d’emplacement des unités d’extension devient par conséquent
UTMPx.xxx.xxxxxxx. Vous devez utiliser le nouveau code d’emplacement UTMPx.xxx.xxxxxxx dans
les instructions suivantes lorsque vous procédez à la mise hors tension de l’unité d’extension ou à la
modification de ses paramètres.
6. Dans l’utilitaire ASMI, développez Configuration système.
7. Sélectionnez Configuration des boîtiers d’E-S.
8. Vérifiez l’ID de configuration ainsi que les données MTMS.
a. Comparez la valeur de l’ID réseau de contrôle de l’alimentation de l’unité d’extension avec
laquelle vous travaillez aux valeurs d’ID réseau de contrôle de l’alimentation (ID de
configuration) de la liste suivante.
v 0x84 pour les unités d’extension 50/96 et 52/96
v 0x88 pour les unités d’extension 11D/11 et 57/90
v 0x89 pour les unités d’extension 50/88 et 05/88
v 0x8A pour les unités d’extension 50/94 et 52/94
v 0x8B pour les unités d’extension 50/95 et 05/95
v 0x8C pour les unités d’extension 11D/20
v 0x8D pour les unités d’extension 14G/30 et 57/96
28
Boîtiers et unités d’extension
b. Comparez les valeurs des colonnes ‘Type-Modèle’ et ‘Numéro de série’ de l’unité d’extension
dont vous effectuez la maintenance aux valeurs MTMS indiquées sur l’étiquette de l’unité
d’extension. Le format du code d’emplacement de l’unité d’extension sera UTMPx.xxx.xxxxxxx
ou UTTTT.MMM.SSSSSSS, où TTTT, MMM et SSSSSSS indiquent respectivement le type, le
modèle et le numéro de série du boîtier.
Remarque :
v Un journal d’informations 10009132 sera créé après le démarrage système d’une plateforme ou
à l’ajout d’une unité d’extension indiquant qu’une valeur MTMS temporaire a été attribuée à
l’unité d’extension. La valeur MTMS temporaire possède le format de code d’emplacement
suivant : UTMPx.xxx.xxxxxxx. Ce format indique que la valeur MTMS doit être mise à jour.
v L’utilisation des majuscules et des minuscules doit être respectée pour les numéros de série.
(Tout caractère alphabétique du numéro de série doit être saisi en majuscule.)
c. Si vous devez procéder à une modification, voir 9. Autrement, passez à l’étape 21, à la page 30.
9. Si le serveur est activé avec le microprogramme à l’état d’exécution, passez à l’étape 10. Si le serveur
est activé avec le microprogramme à l’état de veille, passez à l’étape 11.
10. Choisissez l’une des options suivantes :
v Si vous devez modifier l’ID de configuration, procédez comme suit :
a. Lisez les remarques suivantes.
b. Mettez le boîtier d’E-S hors tension.
c. Passez à l’étape 11.
v Si vous devez modifier les données MTMS et que le système possède des partitions qui exécutent
AIX ou Linux et que l’une des ressources de l’unité d’extension est détenue par des partitions
actives exécutant AIX ou Linux, procédez comme suit :
a. Lisez les remarques suivantes.
b. Mettez le boîtier d’E-S hors tension.
c. Passez à l’étape 11.
v Si aucune des remarques suivantes ne vous concerne, passez à l’étape 11.
11.
12.
13.
14.
15.
Remarque :
v Ne débranchez pas les câbles d’alimentation secteur après avoir mis l’unité d’extension hors
tension.
v Si l’unité d’extension ne s’affiche pas immédiatement sur l’utilitaire de maintenance à partir
duquel le serveur a été mis hors tension, régénérez cet utilitaire périodiquement (pendant
maximum 10 minutes) jusqu’à ce que l’unité d’extension s’affiche. Si elle ne s’affiche pas, passez à
l’étape 1, à la page 28 et effectuez à nouveau cette procédure.
v Pensez à utiliser le nouveau code d’emplacement UTMPx.xxx.xxxxxxx quand vous sélectionnez
l’unité d’extension à mettre hors tension si vous avez été redirigé à cet endroit depuis une
procédure de remplacement.
v Si la procédure qui vous a redirigé ici concernait la mise hors tension de l’unité d’extension via
l’exécution de la fonction 69 sur l’unité d’extension, exécutez la fonction 69 maintenant depuis le
panneau de commande de l’unité centrale (le panneau de commande doit être en mode manuel).
Exécutez cette fonction même si l’unité d’extension est déjà sous tension.
Dans l’utilitaire ASMI, développez Configuration système.
Sélectionnez Configuration des boîtiers d’E-S.
Sélectionnez l’unité d’extension avec laquelle vous travaillez.
Sélectionnez Modification des paramètres.
Si au cours de l’étape 8, à la page 28, vous avez déterminé que l’ID réseau de contrôle de
l’alimentation (ID de configuration) n’était pas valide, entrez la valeur correcte.
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
29
16. Si au cours de l’étape 8, à la page 28, vous avez déterminé que les valeurs Type-modèle et Numéro
de série n’étaient pas valides, entrez les valeurs correctes.
Remarque : L’utilisation des majuscules et des minuscules doit être respectée pour les numéros de
série. (Tout caractère alphabétique du numéro de série doit être saisi en majuscule.)
17. Cliquez sur Sauvegarder les paramètres pour achever l’opération.
18. Vérifiez que les valeurs entrées sont répercutées dans les colonnes ID réseau de contrôle de
l’alimentation, Type-modèle, Numéro de série et Code d’emplacement. Pour ce faire, n’utilisez pas le
bouton Précédent du navigateur. Choisissez plutôt de développer la configuration système.
Sélectionnez ensuite Configuration des boîtiers d’E-S.
19. Si le serveur est sous tension avec le microcode en veille et que vous avez entré un nouvel ID réseau
de contrôle de l’alimentation (ID configuration) lors de l’étape 15, à la page 29, l’unité d’extension va
se mettre hors tension puis se remettre sous tension automatiquement. Si tel est le cas, passez à
l’étape 21. Autrement, passez à l’étape 20.
20. Si avez mis l’unité d’extension hors tension au cours de l’étape 10, à la page 29, lisez les remarques
suivantes afin de mettre l’unité d’extension sous tension.
Remarque :
v Si le système n’est pas géré par une console HMC, coupez toute source d’alimentation de l’unité
d’extension en débranchant les câbles des alimentations. Attendez que le panneau d’affichage
s’éteigne, patientez encore 30 secondes puis rebranchez les câbles. L’unité d’extension sera
automatiquement mise sous tension.
v Si le système est géré par une console HMC, mettez l’unité d’extension sous tension à l’aide de
l’utilitaire de mise sous tension / mise hors tension de la console HMC. Si les valeurs que vous
avez entrées n’apparaissent pas immédiatement dans le code d’emplacement de l’utilitaire de mise
sous tension / mise hors tension de l’unité d’extension, redémarrez cet utilitaire à intervalles
réguliers pendant dix minutes maximum jusqu’à ce que les valeurs s’affichent.
21. Déconnectez-vous et fermez l’interface ASMI.
22. Revenez à la procédure qui vous a amené vers cette page.
Mise à jour du microprogramme du réseau de contrôle de
l’alimentation système (SPCN)
Initialement, la règle de mise à jour du microprogramme du réseau de contrôle de l’alimentation système
(SPCN) ne prévoit pas la mise à jour. C’est pourquoi une mise à jour du microprogramme du réseau de
contrôle de l’alimentation système (SPCN) est nécessaire et doit être effectuée manuellement.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Remarques :
v Ne procédez pas à la maintenance d’une unité d’extension ou à la modification du réseau SPCN alors
que la mise à jour du microprogramme du SPCN est en cours.
v Si vous éteignez le système pendant les mises à jour de microprogramme, la mise à jour SPCN sera
interrompue et devra être redémarrée.
v Suivant le nombre d’unités d’extension présentes dans la boucle SPCN et suivant le niveau actuel du
microprogramme du SPCN de l’unité d’extension, cette opération peut prendre plusieurs heures.
Pour modifier les règles de mise à jour du microprogramme du SPCN et lancer une mise à jour du
microprogramme du SPCN, procédez comme suit :
1. Accédez à l’interface ASMI.
2. Sélectionnez Configuration système → Configuration des boîtiers d’E-S.
30
Boîtiers et unités d’extension
3. Prenez note du paramètre actuel des règles de mise à jour du microprogramme du SPCN afin de
pouvoir le restaurer ultérieurement.
4. Modifiez le paramètre Règles de mise à jour du réseau de contrôle de l’alimentation système
(SPCN) sur Developpé et cliquez sur Sauvegarder le paramètre des règles pour autoriser les mises à
jour du microprogramme du SPCN sur les interfaces RIO/HSL et SPCN en série.
5. Sélectionnez Démarrer la mise à jour du microprogramme du SPCN. Le microprogramme du SPCN
est alors téléchargé sur les unités d’extension qui requièrent une mise à jour.
6. Redéfinissez le paramètre des règles de mise à jour du microprogramme du SPCN sur sa valeur
d’origine définie à l’étape 3 et cliquez sur Sauvegarder le paramètre des règles.
Remarques :
v Pour surveiller la progression de la mise à jour du microprogramme du SPCN, cliquez sur
Configuration des boîtiers d’E-S. L’écran est mis à jour. N’utilisez pas le bouton Précédent ou
Rafraîchir du navigateur pour surveiller la progression de la mise à jour. La colonne Statut de la
mise à jour du microprogramme du SPCN indique le pourcentage de progression et la mention En
cours indique que le téléchargement est en cours de progression. Non requis s’affiche une fois le
téléchargement terminé.
v Pour interrompre la mise à jour du microprogramme du SPCN (non recommandé), cliquez sur
Arrêter la mise à jour du microprogramme du SPCN.
Chapitre 2. Connexion des unités d’extension
31
32
Boîtiers et unités d’extension
Partie 2. Boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24, ou 31T/24
Cette rubrique présente le boîtier d’unités de disque SCSI et explique comment l’assembler.
Le boîtier d’unités de disque SCSI peut contenir jusqu’à 24 unités de disque. Le boîtier est divisé en 4
groupes contenant chacun 6 emplacements d’unité de disque. Le boîtier peut être utilisé en tant que tour
autonome ou tiroir monté en armoire.
Lors de la connexion au serveur, vous pouvez brancher vos câbles SCSI à la carte répéteur simple ou
double de votre boîtier d’unités de disque SCSI. La carte répéteur double offre une haute disponibilité et
des associations de groupes d’emplacements d’unité de disque.
Conseil : Avant de connecter le boîtier, vous devez disposer des informations suivantes :
v Installez la carte SCSI utilisée pour connecter le boîtier au système. Imprimez la tâche correspondante
ou effectuez-la avant de revenir à la présente section. Pour visualiser le fichier PDF de la rubrique
Cartes PCI (environ 40 Mo), voir oemiphak.pdf
.
v Pour les systèmes ou les partitions utilisant le système d’exploitation AIX ou Linux, vous aurez besoin
des informations relatives à la carte SCSI de votre système. Ces informations sont essentielles pour la
configuration des disques après la connexion du boîtier et il convient de les imprimer avant de
commencer la procédure. Ce guide est disponible sur la page Web Cartes PCI SCSI
(http://publib.boulder.ibm.com/infocenter/pseries/v5r3/index.jsp?topic=/com.ibm.pseries.doc/
hardware_docs/scsipciadapters.htm).
v Si vous configurez des grappes de disques RAID, vérifiez que vous disposez du nombre de disques
disponibles suivant requis pour chaque niveau RAID :
RAID 0 ou 1
Deux disques par grappe
RAID 5
Au moins 3 disques par grappe
RAID 6
Au moins 4 disques par grappe
33
34
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 3. Connexion du boîtier 31D/24 ou 31T/24 à un
système fonctionnant sous le système d’exploitation AIX
Les informations de cette section permettent d’appréhender le câblage, l’adressage SCSI et les opérations
requises après connexion du boîtier d’unités de disque.
1. Installez les cartes répéteurs dans le boîtier d’unités de disque. Pour plus d’informations, voir
Chapitre 6, «Carte répéteur SCSI», à la page 47.
2. Connectez le câble SCSI à votre carte répéteur. Selon la situation, utilisez l’une des méthodes
suivantes :
v Si vous utilisez exclusivement des cartes répéteurs simples ou doubles, branchez le câble SCSI A à
la carte répéteur B, comme indiqué à la figure suivante.
v Carte SCSI unique connectée à une carte répéteur unique : si dans ce cas, vous ne partagez pas
les ressources (unités de disque), connectez chaque câble SCSI à chaque carte répéteur.
Figure 11. Câble SCSI relié à la carte répéteur simple
v Deux cartes SCSI connectées à des cartes répéteurs doubles : si dans ce cas vous partagez des
ressources (unités de disque) entre des systèmes ou partitions, assurez-vous que vous comprenez
l’ordre d’adressage SCSI et de câblage. Pour plus d’informations, voir «Connexion et configuration
du boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24 ou 31T/24 dans un environnement AIX en grappe.», à la
page 39.
35
Figure 12. Câble SCSI reliant la carte répéteur double à deux cartes SCSI
v Quatre cartes SCSI connectées à des cartes répéteurs doubles : si dans ce cas vous partagez des
ressources (unités de disque) entre des systèmes ou partitions, assurez-vous que vous comprenez
l’ordre d’adressage SCSI et de câblage. Pour plus d’informations, voir «Connexion et configuration
du boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24 ou 31T/24 dans un environnement AIX en grappe.», à la
page 39.
Figure 13. Câble SCSI reliant la carte répéteur double à quatre cartes SCSI
36
Boîtiers et unités d’extension
v Une carte SCSI connectée à la fois à des cartes répéteurs simples et doubles : si dans ce cas vous
partagez des ressources (unités de disque) entre des systèmes ou partitions logiques, assurez-vous
que vous comprenez l’ordre d’adressage SCSI et de câblage. Pour plus d’informations, voir
«Connexion et configuration du boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24 ou 31T/24 dans un
environnement AIX en grappe.», à la page 39.
Figure 14. Câble SCSI reliant la carte répéteur double à la carte répéteur simple
3. Les informations que vous avez imprimées pour la carte SCSI permettent de procéder à la
configuration des unités de disque. Pour plus d’informations, reportez-vous à la page Web Cartes PCI
SCSI (http://publib.boulder.ibm.com/infocenter/pseries/v5r3/index.jsp?topic=/com.ibm.pseries.doc/
hardware_docs/scsipciadapters.htm) et localisez le fichier correspondant à la carte que vous utilisez
pour connecter le boîtier au système.
Important : Si vous envisagez d’utiliser le boîtier d’unités dans un environnement AIX, vous devez
impérativement configurer un travail CRON AIX, de façon à ce que toute erreur existante soit signalée
au système. Le travail CRON AIX doit être configuré lors de la première installation.
Remarque : Les erreurs liées aux disques du boîtier devront être recherchées sans l’aide de ce travail
CRON (script), via une analyse automatique des fichiers journaux d’erreurs. Cependant, pour détecter
les autres erreurs (en rapport avec les ventilateurs ou l’alimentation, par exemple) au sein du boîtier,
vous devrez exécuter des diagnostics manuels, via les scripts suivants.
Pour collecter les erreurs liées au boîtier, ajoutez l’élément SES Healthcheck du travail CRON dans la
table CRON du système. Utilisez la commande crontab -e pour modifier la table cron du système. En
bas de ce fichier, entrez :
Chapitre 3. Connexion du boîtier 31D/24 ou 31T/24 à un système fonctionnant sous le système d’exploitation AIX
37
* 3 * * * /usr/lpp/diagnostics/bin/run_ses_healthcheck 1>/dev/null 2>/dev/null
Le script ″run_ses_healthcheck″ sera exécuté tous les jours à 3 h du matin. Le contenu du script
dépend de la configuration du système auquel le boîtier est relié.
Exemple 1
Si le système auquel le boîtier est connecté héberge une console HMC ou exécute Electronic Service
Agent, créez un fichier ″run_ses_healthcheck″ contenant les informations suivantes dans le répertoire
/usr/lpp/diagnostics/bin :
-----------------------------------------------------------------#!/bin/ksh
#Nom :run_ses_healthcheck
#Emplacement :/usr/lpp/diagnostics/bin
#Fonction : vérification SES SCSI horaire
for i in ’lsdev -Cc container -t ses -s scsi -F name -S available’
do
diag -cd $i > /dev/null
done
#Toutes les applications avec la mention "external notification" comme la console HMC
#Electronic Service Agent seront notifiés des erreurs
------------------------------------------------------------------
Remarque : Sur un système partitionné, il suffit que le travail et le script CRON s’exécutent sur une
partition associée avec le boîtier. Cependant, le même travail et le même script CRON peuvent
s’exécuter sur toute partition associée au boîtier.
Exemple 2
Si le système auquel le boîtier est connecté n’héberge pas de console HMC et n’exécute pas Electronic
Service Agent, créez un fichier appelé ″run_ses_healthcheck″ contenant les informations suivantes
dans le répertoire /usr/lpp/diagnostics/bin :
-----------------------------------------------------------------------#!/bin/ksh
#Nom :run_ses_healthcheck
#Emplacement :/usr/lpp/diagnostics/bin
#Fonction : vérification SES SCSI horaire
for i in ’lsdev -Cc container -t ses -s scsi -F name -S available’
do
diag -cd $i > /dev/null
if [$? -ne 0]
then
/usr/lpp/diagnostics/bin/diagrpt -o >/tmp/ses.health.output
#il est peut-être préférable de traiter la sortie avant de
#la placer dans un fichier
#notifiez l’utilisateur de l’erreur, d’une manière ou d’une autre.
#Voir exemple ci-dessous.
mail -s "7031 Health Check" root</tmp/ses.health.output
rm /tmp/ses.health.output
fi
done
------------------------------------------------------------------------
Remarque : Vous pouvez personnaliser les notifications dans le script, en fonction de vos préférences.
Ces scripts envoient un message au superutilisateur lorsque certaines erreurs nécessitent son attention.
Vous pouvez modifier le script, si besoin est, pour qu’il informe certains utilisateurs lorsque des
erreurs surviennent.
Dans les deux exemples, transformez le fichier ″run_ses_healthcheck″ que vous avez créé en fichier
exécutable en tapant le code suivant à l’invite de commande AIX :
chmod 544 /usr/lpp/diagnostics/bin/run_ses_healthcheck.
38
Boîtiers et unités d’extension
Connexion et configuration du boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24
ou 31T/24 dans un environnement AIX en grappe.
Certaines considérations sont à prendre en compte lors de la connexion d’un boîtier d’unités de disque
dans un environnement en grappe. Les informations présentées dans cette section décrivent ces
considérations.
Avant de commencer
Pour faciliter le déroulement de certaines parties de ce processus, munissez-vous de la documentation
relative à la planification et au câblage du système que vous envisagez de connecter.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour vous assurer que le boîtier d’unités de disque SCSI est prêt à être connecté à la grappe, procédez
comme suit.
1. Vérifiez que chaque unité SCSI connectée au bus SCSI partagé dispose d’un identificateur unique. Le
plus souvent, l’ID SCSI attribué aux cartes situées au niveau des noeuds est plus élevé que celui des
unités partagées. (Les unités dont l’ID est le plus élevé ont priorité en cas de conflit sur le bus SCSI.)
a. Exécutez la commande lscfg | grep scsi pour déterminer et enregistrer le nom logique de
chaque carte. Dans le résultat de la commande, la première colonne indique le nom logique de la
carte SCSI (par exemple, + SCSI0).
b. Exécutez la commande lscfg -vpl suivie du nom logique de la carte pour enregistrer
l’emplacement d’entrée-sortie (emplacement physique) utilisé par chaque carte SCSI. Par exemple,
lscfg -vpl scsi0, où scsi0 est le nom logique de la carte.
c. Exécutez la commande lsattr, comme dans l’exemple qui suit, pour déterminer l’identificateur de
la carte scsi0 : lsattr -E -l scsi0 | grep id
Remarque : N’utilisez pas de caractères génériques ou de chemin d’accès complet sur la ligne de
commande pour désigner le nom de l’unité.
Dans le résultat, la première colonne répertorie les noms d’attribut. Le nombre entier figurant à
droite de l’attribut ID correspond à l’ID SCSI de la carte :
En cas de conflit entre plusieurs adresses de carte SCSI, passez à l’étape suivante. En l’absence de
conflit, revenez à la page de connexion du système d’exploitation du système que vous envisagez de
connecter.
2. Examinez le câblage afin de vous assurer que les ports adéquats du système sont connectés aux ports
appropriés sur les cartes répéteurs du boîtier d’unités de disque. Par exemple, si vous connectez le
système à l’aide de deux cartes hôte et de cartes répéteurs doubles comme illustré ci-dessous, la
connexion s’effectue comme suit.
Chapitre 3. Connexion du boîtier 31D/24 ou 31T/24 à un système fonctionnant sous le système d’exploitation AIX
39
Figure 15. Câble SCSI reliant la carte répéteur double à deux cartes SCSI
Câblez le premier bus SCSI ou le premier jeu de disques partagés en procédant comme suit :
a. Connectez le port inférieur de la carte Host A (adresse SCSI 7) au port extérieur de la carte
répéteur, dans l’emplacement C2 du boîtier.
b. Connectez le port supérieur de la carte Host B (adresse SCSI 6) au port extérieur de la carte
répéteur, dans l’emplacement C3 du boîtier.
Cela permet de créer un ensemble de disques partagés ainsi qu’un bus SCSI partagé (par exemple,
scsi0) entre les cartes Host A et Host B. Il est important de noter que les câbles doivent être connectés
par ordre décroissant selon les adresses SCSI sur la carte hôte. Cela contribue à réduire les risques de
conflits d’adresse.
Câblez le second bus SCSI ou le second jeu de disques partagés en procédant comme suit :
a. Connectez le port inférieur de la carte Host B (adresse SCSI 7) au port intérieur de la carte
répéteur, dans l’emplacement C5 du boîtier.
b. Connectez le port supérieur de la carte Host A (adresse SCSI 6) au port intérieur de la carte
répéteur, dans l’emplacement C4 du boîtier.
Cela permet de créer un jeu de disques partagés ainsi qu’un bus SCSI partagé (par exemple, scsi1)
entre les cartes Host A et Host B. Il est important de noter qu’il s’agit d’un bus SCSI ou d’un jeu de
disques partagés indépendant du premier. Afin de réduire les risques de conflit d’adresses, vérifiez
que vous n’avez pas connecté par erreur deux câbles de bus SCSI l’un à l’autre.
Important : Lorsque vous ajoutez, supprimez ou remplacez des cartes SCSI dans des systèmes hôtes,
il est recommandé de commencer par déconnecter les câbles du boîtier, puis de les reconnecter en
dernier. Cela afin d’éviter que la nouvelle carte se voie attribuer l’ID SCSI 7 par défaut. Assurez-vous
que l’ID SCSI correct est défini pour le port que vous câblez.
40
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 4. Connexion et configuration du boîtier d’unités de
disque dans un système fonctionnant sous le système
d’exploitation Linux
Les informations de cette section expliquent le câblage du boîtier de l’unité de disque, son adressage SCSI
et les exigences qui suivent la connexion.
1. Installez les cartes répéteurs dans le boîtier d’unités de disque. Pour plus d’informations, voir
Chapitre 6, «Carte répéteur SCSI», à la page 47.
2. Connectez le câble SCSI à votre carte répéteur. Selon la situation, utilisez l’une des méthodes
suivantes :
v Si vous utilisez exclusivement des cartes répéteurs simples ou doubles, branchez le câble SCSI A à
la carte répéteur B. Pour plus de détails, consultez figure 16, figure 17, à la page 42 ou figure 18, à
la page 42 selon votre situation.
Figure 16. Câble SCSI relié à la carte répéteur simple
41
Figure 17. Câble SCSI reliant la carte répéteur double à deux cartes SCSI
Figure 18. Câble SCSI reliant la carte répéteur double à quatre cartes SCSI
v Si vous utilisez à la fois des cartes répéteurs simples et doubles, branchez un câble SCSI à la carte
répéteur double A. Branchez ensuite la carte répéteur double A à la carte répéteur simple B en
utilisant un autre câble SCSI. Pour plus d’informations, voir figure 19, à la page 43.
42
Boîtiers et unités d’extension
Figure 19. Câble SCSI reliant la carte répéteur double à la carte répéteur simple
3. Branchez l’autre extrémité du câble SCSI C à la carte SCSI D du serveur. Pour plus d’informations,
voir figure 20.
Important : La carte SCSI, le système ou la partition doit être hors tension avant d’effectuer cette
connexion.
Figure 20. Câble SCSI relié à la carte d’interface SCSI
4. Configurez le travail CRON Linux lors de l’installation initiale de votre boîtier d’unités de disque
SCSI. Pour vérifier que le travail CRON Linux est configuré, procédez comme suit.
a. Téléchargez les modules RPM suivants depuis la page Service and productivity tools
(http://www14.software.ibm.com/webapp/set2/sas/f/lopdiags/home.html) puis installez-les.
Chapitre 4. Connexion et configuration du boîtier d’unités de disque dans un système fonctionnant sous Linux
43
v librtas
v lsvpd
v ppc64-utils
v diagela
b. Si vos partitions sont gérées via une console HMC, installez les modules src, rsct.core.utils,
rsct.core, csm.core, csm.client et devices.chrp.base.ServiceRM, de façon à pouvoir signaler des
erreurs au point focal de service sur la console HMC connectée. Pour plus d’informations sur
l’installation de ces modules, visitez la page Web précédemment mentionnée.
Remarque : Ce travail CRON ne permet pas de trouver les erreurs des disques durs du boîtier. Ce
diagnostic permet seulement de signaler des erreurs liées aux ventilateurs, à l’alimentation
électrique, à la carte des données techniques et au répéteur au sein du boîtier.
c. Ajoutez un travail CRON pour exécuter des diagnostics concernant le boîtier sur la table CRON
du système. En tant que superutilisateur, exécutez crontab -e pour modifier la table CRON du
système. En bas de ce fichier, entrez :
* 3 * * * /usr/sbin/diag_encl -s 1>/dev/null 2>&1
d. En ajoutant cette ligne, l’application de diagnostic /usr/sbin/diag_encl sera lancée tous les jours à
3 h du matin. Elle lira le contenu du fichier /etc/diagela/diagela.config pour identifier les
applications censées recevoir des notifications d’erreurs. Si vous souhaitez ajouter d’autres
méthodes de notification ou simplement obtenir d’autres informations, consultez ce fichier. Par
défaut, les notifications suivantes se produisent.
v Le point focal de service de la console HMC sera prévenu si le système est géré par une console
du même type. Dans le cas contraire, le groupe racine en sera notifié.
v Si le système héberge Electronic Service Agent, il en sera notifié.
v Les détails concernant les erreurs seront imprimés sur la console et apparaîtront à la fin du
fichier journal /var/log/platform ainsi que dans le fichier syslog (/var/log/messages).
Remarques :
– Sur un système partitionné, il suffit simplement que le travail CRON se trouve sur une
partition associée avec le boîtier. Cependant, un même travail CRON peut également se
trouver sur toutes les partitions.
– L’application de diagnostic /usr/sbin/diag_encl peut s’exécuter à tout moment pour
diagnostiquer les boîtiers reliés au système.
44
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 5. Connexion et configuration du boîtier dans un
système fonctionnant sous le système d’exploitation
Les informations de cette section expliquent le câblage du boîtier de l’unité de disque, son adressage SCSI
et les exigences qui suivent la connexion.
1. Installez les cartes répéteurs dans le boîtier d’unités de disque. Pour plus d’informations, voir
Chapitre 6, «Carte répéteur SCSI», à la page 47.
2. Connectez le câble SCSI à votre carte répéteur. Selon la situation, utilisez l’une des méthodes
suivantes :
Conseil : Vérifiez que la longueur du câble utilisé pour les connexions dans le boîtier est suffisante
pour permettre la maintenance simultanée des unités de disque.
v Si vous utilisez exclusivement des cartes répéteurs simples ou doubles, branchez le câble SCSI A à
la carte répéteur B.
Figure 21. Câble SCSI relié à la carte répéteur simple
v Si vous utilisez à la fois des cartes répéteurs simples et doubles, branchez un câble SCSI à la carte
répéteur double A. Branchez ensuite la carte répéteur double A à la carte répéteur simple B en
utilisant un autre câble SCSI.
45
Figure 22. Câble SCSI reliant la carte répéteur double à la carte répéteur simple
3. Branchez l’autre extrémité du câble SCSI C à la carte SCSI D du serveur.
Important : La carte SCSI, le système ou la partition doit être hors tension avant d’effectuer cette
connexion.
Figure 23. Câble SCSI relié à la carte d’interface SCSI
46
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 6. Carte répéteur SCSI
Cette rubrique explique comment installer votre carte répéteur.
Utilisez la figure et les instructions suivantes pour placer vos cartes répéteurs.
Figure 24. Emplacement de la carte répéteur des boîtiers d’unités de disque SCSI et 31D/24 (modèles tiroir)
47
Figure 25. Emplacement de la carte répéteur des boîtiers d’unités de disque SCSI et 31T/24 (modèles autonomes)
Si vous installez uniquement des cartes doubles, procédez comme suit :
Important : Sur les modèles autonomes, les emplacements C3 et C5 se situent dans la partie supérieure,
les emplacements C2 et C4 se situent dans la partie inférieure. Utilisez les codes d’emplacement suivants
lors du positionnement des cartes répéteur.
Tableau 8. Emplacement de la carte répéteur des cartes répéteurs simples ou doubles
Type et nombre de cartes répéteurs
Mise en place de la carte répéteur
simple
1 carte répéteur simple et pas de
carte répéteur double
C5
2 cartes répéteurs simples et pas de
carte répéteur double
Installez dans l’ordre dans C5 puis
dans C2
3 cartes répéteurs simples et pas de
carte répéteur double
Installez dans l’ordre dans C5, dans
C2 puis dans C4
4 cartes répéteurs simples et pas de
carte répéteur double
Installez dans l’ordre dans C5, dans
C2, dans C4 puis dans C3
1 carte répéteur simple et 1 carte
répéteur double
Installez d’abord dans C5 puis
installez la carte répéteur double
48
Boîtiers et unités d’extension
Mise en place de la carte répéteur
double
C4
Tableau 8. Emplacement de la carte répéteur des cartes répéteurs simples ou doubles (suite)
Type et nombre de cartes répéteurs
Mise en place de la carte répéteur
simple
Mise en place de la carte répéteur
double
1 carte répéteur simple et 2 cartes
répéteurs doubles
Installez d’abord dans C5 puis
installez la carte répéteur double
Installez dans l’ordre dans C4 puis
dans C3
2 cartes répéteurs simples et 1 carte
répéteur double
Installez d’abord dans C5 et dans C2, C4
puis installez la carte répéteur double
2 cartes répéteurs simples et 2 cartes Installez d’abord dans C5 et dans C2, Installez dans l’ordre dans C4 puis
répéteurs doubles
puis installez la carte répéteur double dans C3
pas de carte répéteur simple
et 1 carte répéteur double
C4
pas de carte répéteur simple
et 2 cartes répéteurs doubles
Installez dans l’ordre dans C4 puis
dans C5
pas de carte répéteur simple
et 3 cartes répéteurs doubles
Installez dans l’ordre dans C4, dans
C5 puis dans C3
pas de carte répéteur simple
et 4 cartes répéteurs doubles
Restriction : Cette configuration n’est
possible que pour les modèles
serveurs.
Installez dans l’ordre dans C4, dans
C5, dans C3, puis dans C2
Les figures suivantes présentent les emplacements des unités de disque à l’avant et à l’arrière du boîtier
d’unités de disque SCSI 31D/24 ou 31T/24.
Figure 26. Vue avant du boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24 ou 31T/24
Chapitre 6. Carte répéteur SCSI
49
Figure 27. Vue arrière du boîtier d’unités de disque SCSI 31D/24 ou 31T/24
La liste suivante décrit comment les emplacements des cartes répéteurs affectent les emplacements des
unités de disque.
v La carte répéteur supérieure gauche (C2) gère les 6 baies avant droites (D07 à D12). figure 26, à la
page 49
v La carte répéteur supérieure droite (C3) gère les 6 baies avant gauches (D01 à D06). figure 26, à la
page 49
v La carte répéteur inférieure gauche (C4) gère les 6 baies arrière gauches (D13 à D18). figure 27
v La carte répéteur inférieure droite (C5) gère les 6 baies arrière droites (D19 à D24). figure 27
Pour installer votre carte répéteur, procédez comme suit:
1. Retirez le cache du logement de la carte répéteur.
2. Installez votre nouvelle carte répéteur.
50
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 7. Retrait et remplacement d’une carte répéteur SCSI
Il se peut que vous deviez retirer et remplacer l’une des cartes répéteurs SCSI (Small Computer System
Interface) pour réparer une unité défectueuse ou dans le cadre d’une autre opération de maintenance.
Avant de commencer
Avant de procéder au retrait et au remplacement d’une carte répéteur SCSI, suivez les instructions de
sauvegarde des travaux en cours émises par le système d’exploitation.
Restriction : Pour continuer, vous devez remplacer la carte répéteur par le même type de carte. Si vous
modifiez la configuration des cartes de simple à double, arrêtez-vous et suivez les instructions de la
section Chapitre 3, «Connexion du boîtier 31D/24 ou 31T/24 à un système fonctionnant sous le système
d’exploitation AIX», à la page 35 ou Chapitre 4, «Connexion et configuration du boîtier d’unités de disque
dans un système fonctionnant sous le système d’exploitation Linux», à la page 41.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
La carte répéteur SCSI du boîtier d’unités de disque peut être retirée et remplacée alors que le système et
le boîtier sont sous tension. Pour éviter toute erreur, vous pouvez mettre hors tension la carte qui
connecte le boîtier d’unités de disque à votre système. Pour plus de détails, consultez Site Web Hardware
Information Center à l’adresse ajouter l’URL ici
et cherchez le guide Cartes PCI correspondant à
votre modèle.
1. Localisez la carte répéteur que vous remplacez. Pour connaître les instructions, voir Chapitre 12,
«Journal d’action de maintenance (SAL)», à la page 75.
2. Retirez le câble A de la carte répéteur B.
Figure 28. Retrait du câble SCSI de la carte répéteur
3. Levez la poignée C pour sortir la carte répéteur du boîtier.
51
4. Retirez la carte répéteur du boîtier.
5. Alignez la carte répéteur de remplacement sur l’emplacement vide du boîtier, puis insérez-la jusqu’à
ce qu’elle soit correctement placée.
6. Baissez la poignée pour fixer la carte répéteur à sa place.
7. Rebranchez le câble à la carte répéteur.
8. Redémarrez la carte. Pour plus d’instructions, consultez Gestion des cartes PCI. Pour visualiser le
fichier PDF de la rubrique Gestion des cartes PCI (environ 4 Mo), voir oemiphcd.pdf
52
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 8. Voyants de maintenance simultanée des unités de
disque du boîtier SCSI, modèles 31D/24 ou 31T/24
Cette section décrit les emplacements des voyants de maintenance simultanée des unités de disque.
Les figures suivantes illustrent l’emplacement des voyants de maintenance simultanée A du boîtier
d’unités de disque SCSI 31D/24 ou 31T/24.
Figure 29. Vue avant des voyants de maintenance simultanée du boîtier d’unités de disque SCSI, modèle 31D/24 ou
31T/24
Figure 30. Vue arrière des voyants de maintenance simultanée du boîtier d’unités de disque SCSI, modèle 31D/24 ou
31T/24
53
54
Boîtiers et unités d’extension
Partie 3. Boîtier d’unités de disque SAS 58/86
Cette rubrique présente le boîtier d’unités de disque SAS et explique comment l’assembler.
Ce boîtier d’unités de disque SAS peut contenir jusqu’à 12 unités de disque. Le boîtier est divisé en 2
groupes contenant chacun 6 emplacements d’unité de disque.
Conseil : Avant de connecter le boîtier, vous devez disposer des informations suivantes :
v Si vous configurez des grappes de disques RAID, vérifiez que vous disposez du nombre de disques
disponibles suivant requis pour chaque niveau RAID :
RAID 0 ou 1
Deux disques par grappe
RAID 5
Au moins 3 disques par grappe
RAID 6
Au moins 4 disques par grappe
55
56
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 9. Connexion de l’adaptateur SAS au boîtier d’unité
de disque 58/86
Informations sur la connexion d’un boîtier d’unité de disque 58/86
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Cette procédure permet de connecter le boîtier d’unité de disque 58/86.
1. Installez la carte SAS sur votre serveur. Pour plus de détails, consultez le centre de documentation à
l’adresse http://publib.boulder.ibm.com/infocenter/systems/scope/hw et repérez l’ensemble de
rubriques consacré aux adaptateurs PCI pour votre type de machine.
2. Branchez le câble SAS à votre unité de disque. Selon la situation, utilisez l’une des méthodes
suivantes :
v figure 31
v figure 32, à la page 58
v figure 33, à la page 59
Figure 31. Câble SAS YO pour carte de boîtier unique
57
Figure 32. Câble SAS YO pour carte de boîtier unique avec câbles EE permettant l’ajout d’un boîtier supplémentaire
ou de deux boîtiers YO connectés auxquels un boîtier supplémentaire est connecté
58
Boîtiers et unités d’extension
Figure 33. Boîtier unique connecté à l’aide d’un câble YI à un port SAS externe
3. Branchez l’autre extrémité du câble SAS de la carte SAS au serveur.
Chapitre 9. Connexion de l’adaptateur SAS au boîtier d’unité de disque 58/86
59
60
Boîtiers et unités d’extension
Partie 4. Procédures communes
La présente section contient toutes les procédures communes concernant l’installation, le retrait et le
remplacement de fonctionnalités.
61
62
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 10. Avant de commencer
Passez en revue les éléments prérequis pour installer, retirer ou replacer des dispositifs et des
composants.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
DANGER
Lorsque vous utilisez le système ou travaillez à proximité de ce dernier, observez les consignes
suivantes :
Le courant électrique provenant de l’alimentation, du téléphone et des câbles de transmission peut
présenter un danger. Pour éviter tout risque de choc électrique :
v Branchez cette unité uniquement avec le cordon d’alimentation fourni par . N’utilisez pas ce
dernier avec un autre produit.
v N’ouvrez pas et n’entretenez pas le bloc d’alimentation électrique.
v Ne manipulez aucun câble et n’effectuez aucune opération d’installation, d’entretien ou de
reconfiguration de ce produit au cours d’un orage.
v Le produit peut être équipé de plusieurs cordons d’alimentation. Pour supprimer tout risque de
danger électrique, débranchez tous les cordons d’alimentation.
v Branchez tous les cordons d’alimentation sur un socle de prise de courant correctement câblé et
mis à la terre. Vérifiez que la tension et l’ordre des phases des prises de courant correspondent
aux informations de la plaque d’alimentation électrique du système.
v Branchez sur des socles de prise de courant correctement câblés tout équipement connecté à ce
produit.
v Lorsque cela est possible, n’utilisez qu’une seule main pour connecter ou déconnecter les câbles
d’interface.
v Ne mettez jamais un équipement sous tension en cas d’incendie ou d’inondation, ou en présence
de dommages matériels.
v Avant de retirer les carters de l’unité, mettez celle-ci hors tension et déconnectez ses cordons
d’alimentation, ainsi que les câbles qui la relient aux réseaux, aux systèmes de
télécommunication et aux modems (sauf mention contraire dans les procédures d’installation et
de configuration).
v Lorsque vous installez, que vous déplacez, ou que vous manipulez le présent produit ou des
périphériques qui lui sont raccordés, reportez-vous aux instructions ci-dessous pour connecter et
déconnecter les différents cordons.
Pour déconnecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Débranchez les cordons d’alimentation des prises.
3. Débranchez les câbles d’interface des connecteurs.
4. Débranchez tous les câbles des unités.
Pour connecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Branchez tous les cordons sur les unités.
3. Branchez les câbles d’interface sur des connecteurs.
4. Branchez les cordons d’alimentation aux prises.
5. Mettez l’unité sous tension.
(D005a)
63
DANGER
Observez les consignes suivantes lors de l’utilisation du système en armoire ou lorsque vous
travaillez à proximité de ce dernier :
Un mauvais maniement de l’équipement lourd peut engendrer blessures et dommages matériels.
Abaissez toujours les vérins de mise à niveau de l’armoire.
Installez toujours des équerres de stabilisation sur l’armoire.
Pour prévenir tout danger lié à une mauvaise répartition de la charge, installez toujours les
unités les plus lourdes dans la partie inférieure de l’armoire. Installez toujours les serveurs et les
unités en option en commençant par le bas de l’armoire.
v Un serveur monté en armoire n’est pas une étagère ou un espace de travail. Ne posez pas d’objet
sur un serveur monté en armoire.
v
v
v
v
v Chaque armoire peut être équipée de plusieurs cordons d’alimentation. Avant de manipuler
l’armoire, vous devez débrancher l’ensemble des cordons d’alimentation.
v Reliez toutes les unités installées dans l’armoire aux dispositifs d’alimentation installés dans la
même armoire. Vous ne devez pas brancher le cordon d’alimentation d’une unité installée dans
une armoire au dispositif d’alimentation installé dans une autre armoire.
v Un mauvais câblage du socle de prise de courant peut provoquer une mise sous tension
dangereuse des parties métalliques du système ou des unités qui lui sont raccordées. Il
appartient au client de s’assurer que le socle de prise de courant est correctement câblé et mis à
la terre afin d’éviter tout risque de choc électrique.
ATTENTION
v N’installez pas d’unité dans une armoire dont la température ambiante interne dépasse la
température ambiante que le fabricant recommande pour toutes les unités montées en armoire.
v N’installez pas d’unité dans une armoire où la ventilation n’est pas assurée. Vérifiez que les
côtés, l’avant et l’arrière de l’unité sont correctement ventilés.
v Le matériel doit être correctement raccordé au circuit d’alimentation pour éviter qu’une surcharge
des circuits n’entrave le câblage des dispositifs d’alimentation ou de protection contre les
surintensités. Pour choisir des connexions d’alimentation à l’armoire adaptées, consultez les
étiquettes de puissance nominale situées sur le matériel dans l’armoire afin de déterminer
l’alimentation totale requise par le circuit d’alimentation.
v Armoires dotées de tiroirs coulissants : Si l’armoire n’est pas équipée d’équerres de stabilisation, ne
sortez et n’installez pas de tiroir ou de dispositif. Ne retirez pas plusieurs tiroirs à la fois. Si vous
retirez plusieurs tiroirs simultanément, l’armoire risque de devenir instable.
v Armoires dotées de tiroirs fixes : Sauf indication du fabricant, les tiroirs fixes ne doivent pas être
retirés à des fins de maintenance. Si vous tentez de retirer une partie ou l’ensemble du tiroir,
l’armoire risque de devenir instable et le tiroir risque de tomber.
(R001)
Avant de commencer toute procédure de remplacement ou d’installation, procédez comme suit :
1. Si vous installez un nouveau dispositif, vous devez disposer des logiciels requis correspondants.
2. Si vous exécutez une procédure d’installation ou de remplacement qui risque d’affecter la sécurité des
données, vous devez disposer, dans la mesure du possible, d’une copie de sauvegarde récente de
votre système ou de la partition logique (systèmes d’exploitation, logiciels sous licence et données).
3. Passez en revue la procédure d’installation ou de remplacement relative au dispositif ou au
composant.
64
Boîtiers et unités d’extension
4. Notez la correspondance des couleurs utilisée sur le système.
La couleur bleue ou ocre sur les composants matériels indique un point de contact que vous pouvez
utiliser pour retirer ou installer le composant sur le système, ouvrir ou fermer un levier, etc. La
couleur ocre peut également désigner un composant que vous pouvez retirer ou remplacer alors que
le système ou la partition logique est sous tension.
5. Vous devez vous munir d’un tournevis à lame plate moyen.
6. Si certains composants sont incorrects, manquants ou visiblement endommagés, procédez comme
suit :
v Si vous remplacez un composant, contactez votre fournisseur de services ou le support technique.
v Si vous installez un dispositif, contactez l’un des services suivants :
– Fournisseur de services ou support technique
7. Si vous rencontrez des difficultés durant l’installation, contactez votre fournisseur de services, ou le
support technique.
8. Si vous installez du nouveau matériel dans une partition logique, vous devez planifier et comprendre
les implications inhérentes au partitionnement du système. Pour plus de détails, consultez
Partitionnement logique puis retournez à ces instructions. Pour visualiser le fichier PDF de la rubrique
Partitionnement logique (environ 3 Mo), voir oemiphat.pdf
Chapitre 10. Avant de commencer
65
66
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 11. Gestion de l’interface ASMI
L’interface ASMI (Advanced System Management Interface) tient lieu d’interface vers le processeur de
service qui est requis pour effectuer des tâches de maintenance de niveau général et administratif comme
la lecture des journaux du processeur de service, la lecture des données techniques essentielles, la
configuration du processeur de service et le contrôle de l’alimentation système.
L’interface ASMI peut également être considérée comme l’ensemble des menus du processeur de service.
Accès à l’interface ASMI sans console HMC
La console ASMI est accessible à partir d’un navigateur Web ou d’un terminal ASCII.
Accès à l’interface ASMI à l’aide d’un PC et d’un navigateur Web
Connectez un PC ou un ordinateur portable au serveur pour accéder à l’interface ASMI (Advanced
System Management Interface). L’interface Web permettant d’accéder à l’interface ASMI est disponible à
toutes les phases de fonctionnement du système, y compris la procédure de chargement initial (IPL) et
l’exécution.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
L’interface Web vers l’interface ASMI est accessible via Microsoft Internet Explorer Version 6.0, Netscape
7.1 ou Opera 7.23 s’exécutant sur un PC ou un ordinateur portable connecté au processeur de service.
L’interface Web est disponible pendant toutes les phases du fonctionnement du système, y compris la
procédure de chargement initial (IPL) et l’exécution. Toutefois, certaines options de menu de l’interface
Web sont indisponibles lors de l’IPL ou de l’exécution pour éviter des conflits d’utilisation ou de
propriété si les ressources système sont en cours d’utilisation lors de cette phase.
Les instructions suivantes s’appliquent aux systèmes qui ne sont pas connectés à une console HMC.
Si vous gérez le serveur à l’aide d’une console HMC, reportez-vous à la section consacrée à l’accès à
l’interface à l’aide de la console HMC.
Procédez comme suit pour configurer le navigateur Web pour un accès direct ou distant à l’interface
ASMI :
1. Branchez le cordon d’alimentation du serveur sur une source d’alimentation et attendez que le
panneau de commande affiche 01.
2. Sélectionnez un PC ou un ordinateur portable sur lequel est installé Microsoft Internet Explorer 6.0,
Netscape 7.1 ou Opera 7.23 pour le connecter à votre serveur.
Si vous ne prévoyez pas de connecter le serveur à votre réseau, ce PC ou cet ordinateur portable
jouera le rôle de la console ASMI.
Si vous prévoyez de connecter le serveur au réseau, ce PC ou cet ordinateur portable sera
temporairement connecté directement au serveur à des fins de configuration uniquement. Une fois la
configuration effectuée, vous pourrez utiliser tout PC ou ordinateur portable situé sur votre réseau et
exécutant Microsoft Internet Explorer 6.0, Netscape 7.1 ou Opera 7.23 comme console ASMI.
3. Connectez un câble Ethernet du PC ou de l’ordinateur portable au port Ethernet intitulé HMC1 à
l’arrière du système géré. Si HMC1 est occupé, connectez un câble Ethernet du PC ou de l’ordinateur
portable au port Ethernet intitulé HMC2 à l’arrière du système géré.
67
4. Configurez l’interface Ethernet du PC ou de l’ordinateur portable avec une adresse IP et un masque
de sous-réseau situés sur le même sous-réseau que le serveur afin que votre PC ou votre ordinateur
portable puisse communiquer avec le serveur. Pour plus d’informations, voir «Définition de l’adresse
IP sur votre PC ou votre ordinateur portable», à la page 69. Utilisez le tableau suivant pour vous
aider à déterminer ces valeurs :
Tableau 9. Informations de configuration de réseau pour le PC ou l’ordinateur portable
Processeur de service
Connecteur du serveur
Masque de sous-réseau
Adresse IP
Processeur de service A HMC1
255.255.255.0
169.254.2.147
HMC2
255.255.255.0
169.254.3.147
Processeur de service B
HMC1
255.255.255.0
169.254.2.146
(s’il est installé)
HMC2
255.255.255.0
169.254.3.146
Par exemple, si vous avez connecté votre PC ou votre ordinateur portable au connecteur HMC1,
l’adresse IP de votre PC ou de votre ordinateur portable peut être 169.254.2.146 et le masque de
sous-réseau 255.255.255.0. Définissez l’adresse IP de la passerelle avec la même adresse IP que le PC
ou l’ordinateur portable.
5. Utilisez le tableau 9 pour déterminer l’adresse IP du port Ethernet auquel est connecté votre PC ou
votre ordinateur portable et entrez l’adresse IP dans la zone adresse du navigateur Web de votre PC
ou de votre ordinateur portable. Par exemple, si vous avez connecté votre PC ou votre ordinateur
portable au connecteur HMC1, entrez https://169.254.2.147 dans le navigateur Web de votre PC ou
de votre ordinateur portable.
6. Lorsque l’écran de connexion s’affiche, entrez l’un des ID utilisateur et des mots de passe par défaut
suivants :
Tableau 10. ID utilisateur et mots de passe par défaut pour l’interface Web
ID utilisateur
Mot de passe
general
general
admin
admin
7. Modifiez le mot de passe par défaut lorsque vous y êtes invité. Pour plus d’informations, voir
«Niveaux d’autorisation ASMI», à la page 71.
8. Si vous prévoyez de connecter votre PC ou votre ordinateur portable au réseau, procédez comme
suit :
a. Dans la zone de navigation, développez Services réseau.
b. Cliquez sur Configuration de réseau.
c. Si votre PC ou votre ordinateur portable est connecté au connecteur HMC1, remplissez la section
intitulée interface réseau eth0.
Si votre PC ou votre ordinateur portable est connecté au connecteur HMC2, remplissez la section
intitulée interface réseau eth1.
Vérifiez que les zones suivantes sont remplies correctement.
Tableau 11. Zones et valeurs pour la configuration réseau
Zone
Valeur
Configurer cette interface ?
Sélectionné
Type de l’adresse IP
Statique
Nom d’hôte
Saisissez une nouvelle valeur.
Nom de domaine
Saisissez une nouvelle valeur.
68
Boîtiers et unités d’extension
Tableau 11. Zones et valeurs pour la configuration réseau (suite)
Zone
Valeur
Adresse IP
Il s’agit d’une adresse IP prédéfinie obtenue auprès de
l’administrateur réseau.
Remarque : Pour vérifier que vous utilisez l’adresse IP
exacte, effectuez la fonction du panneau de commande
30, adresse et emplacement CEC FSP IP.
Masque de sous-réseau
Il s’agit d’une masque de sous-réseau prédéfini obtenu
auprès de l’administrateur réseau.
d.
e.
f.
g.
h.
Remarque : Pour plus d’informations sur les autres zones et valeurs, reportez-vous à
«Configuration des interfaces réseau», à la page 72.
Cliquez sur Continuer.
Cliquez sur Sauvegarder les paramètres.
Déconnectez votre PC ou votre ordinateur portable du serveur.
Connectez le serveur au réseau de votre entreprise.
Choisissez un PC ou un ordinateur portable connecté au réseau de votre entreprise et sur lequel
est installé Microsoft Internet Explorer 6.0, Netscape 7.1 ou Opera 7.23, puis entrez l’adresse
suivante dans la zone adresse de votre navigateur :
https://nom d’hôte.nom de domaine
où nom d’hôte et nom de domaine sont ceux que vous avez entrés lors de l’étape 8c, à la page 68.
i. Connectez-vous à l’interface ASMI.
9. Modifiez l’heure sur le serveur. Pour plus d’informations, voir «Modification de l’horodatage», à la
page 73.
Définition de l’adresse IP sur votre PC ou votre ordinateur portable
Pour pouvoir accéder à l’interface ASMI à l’aide d’un navigateur Web, vous devez d’abord définir
l’adresse IP sur votre PC ou votre ordinateur portable. Ces procédures expliquent comment définir
l’adresse IP sur des machines fonctionnant sous Microsoft Windows et Linux.
Définition de l’adresse IP sous Windows XP et Windows 2000 :
Pour définir l’adresse IP sous Windows XP et Windows 2000, procédez comme suit.
1.
2.
3.
4.
Cliquez sur Démarrer → Paramètres → Panneau de configuration.
Sur le panneau de configuration, cliquez deux fois sur Connexions réseau.
Cliquez avec le bouton droit de la souris sur Connexion au réseau local.
Cliquez sur Propriétés.
Avertissement : Notez les valeurs en cours des paramètres avant d’effectuer toute modification. Vous
pourrez ainsi les restaurer si vous déconnectez votre PC ou votre ordinateur portable après avoir
configuré l’interface Web de l’interface ASMI.
Remarque : Si Protocole Internet (TCP/IP) ne figure pas dans la liste, procédez comme suit :
a. Cliquez sur Installer.
b. Sélectionnez Protocole, puis cliquez sur Ajouter.
c. Sélectionnez Protocole Internet (TCP/IP).
d. Cliquez sur OK dans la fenêtre Propriétés de Connexion au réseau local.
5. Sélectionnez Protocole Internet (TCP/IP), puis cliquez sur Propriétés.
6. Sélectionnez Utiliser l’adresse IP suivante.
Chapitre 11. Gestion de l’interface ASMI
69
7. Complétez les zones Adresse IP, Masque de sous-réseau et Passerelle par défaut en utilisant les
valeurs indiquées à l’étape 4, à la page 68 de la section Accès à l’interface ASMI à l’aide d’un
navigateur Web.
8. Cliquez sur OK dans la fenêtre Propriétés de Connexion au réseau local. Il n’est pas nécessaire de
redémarrer votre PC.
Définition de l’adresse IP sous Linux :
Pour définir l’adresse IP sous Linux, procédez comme suit.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Vous aurez besoin des informations indiquées à l’étape 4, à la page 68 de la section Accès à l’interface
ASMI à l’aide d’un navigateur Web pour effectuer l’étape 4 de la procédure suivante.
1. Connectez-vous en tant que l’utilisateur root.
2. Ouvrez une session de terminal.
3. A l’invite de commande, entrez ifconfig.
Avertissement : Notez ou imprimez les valeurs en cours des paramètres avant d’effectuer toute
modification. Vous pourrez ainsi les restaurer si vous déconnectez votre PC ou votre ordinateur
portable après avoir configuré l’interface Web de l’interface ASMI.
4. Tapez ifconfig eth0 xxx.xxx.xxx.xxx netmask xxx.xxx.xxx.xxx, où xxx.xxx.xxx.xxx représente les
valeurs indiquées à l’étape 4, à la page 68 pour l’adresse IP et le masque de sous-réseau.
5. Appuyez sur Entrée.
Définition de l’adresse IP sous Vista :
Pour définir l’adresse IP sous Vista, procédez comme suit.
1. Cliquez sur Démarrer → Panneau de configuration.
2. Vérifiez que Vue classique est sélectionnée.
3. Sélectionnez Réseau et centre de partage.
4. Sélectionnez Afficher l’état dans la zone réseau publique.
5. Cliquez sur Propriétés.
6. Dans la boîte de dialogue de sécurité, cliquez sur Continuer.
7. Mettez en évidence Internet Protocol Version 4.
8. Cliquez sur Propriétés.
9. Sélectionnez Utiliser l’adresse IP suivante.
10. Complétez les zones Adresse IP, Masque de sous-réseau et Passerelle par défaut en utilisant les
valeurs indiquées à l’étape 4, à la page 68 de la section Accès à l’interface ASMI à l’aide d’un
navigateur Web.
11. Cliquez sur OK → Fermer → Fermer.
70
Boîtiers et unités d’extension
Niveaux d’autorisation ASMI
Plusieurs niveaux d’autorisation sont disponibles pour accéder aux menus du processeur de service par
l’intermédiaire de l’interface ASMI.
Les niveaux pris en charge sont les suivants :
Utilisateur général
Les options de menu auxquelles l’utilisateur peut accéder constituent un sous-ensemble des
options disponibles pour l’administrateur et les prestataires de maintenance agréés. Un utilisateur
disposant de droits d’accès généraux peuvent consulter les paramètres des menus de l’interface
ASMI. ID de connexion : general ; mot de passe par défaut : general.
Administrateur
Les options de menu auxquelles l’administrateur peut accéder constituent un sous-ensemble des
options disponibles pour les prestataires de maintenance agréés. Les utilisateurs disposant de
droits d’accès administrateur peuvent écrire dans la mémoire persistante. Ils peuvent également
afficher et modifier les paramètres qui régissent le comportement du serveur. Lorsqu’un
utilisateur se connecte à l’interface ASMI pour la première fois après l’installation du serveur, il
doit choisir un nouveau mot de passe. ID de connexion : admin ; mot de passe par défaut :
admin.
Fournisseur de services agréé
Les droits d’accès du fournisseur de services agréé lui permettent d’utiliser toutes les fonctions
nécessaires pour obtenir des données de débogage complémentaires relatives à un système
défaillant. Il peut notamment consulter les données enregistrées dans la mémoire persistante et
supprimer toutes les erreurs liées à la déconfiguration. Le fournisseur de services agréé peut
utiliser trois ID de connexion : celogin, celogin1 et celogin2.
v celogin est le compte principal du fournisseur de services. Il est activé par défaut, et peut
activer ou désactiver les deux autres ID de fournisseur de services (celogin1 et celogin2). L’ID
de connexion est celogin ; le mot de passe est généré dynamiquement et ne peut être obtenu
qu’auprès du service d’assistance . celogin peut être désactivé par l’utilisateur admin.
v celogin1 et celogin2 sont désactivés par défaut. S’ils sont activés, un mot de passe statique doit
leur être associé. Par défaut, ce mot de passe est celogin. Il doit être modifié lors de la
première activation de l’ID. L’utilisateur admin peut également activer et désactiver ces ID de
connexion.
v Pour réinitialiser le mot de passe de celogin1 ou de celogin2, l’utilisateur admin peut
désactiver puis réactiver l’ID. Dès que l’ID est réactivé, le mot de passe doit être modifié.
v S’ils sont activés, celogin, celogin1 ou celogin2 peuvent être utilisés pour réinitialiser le mot de
passe admin si nécessaire.
Lorsqu’un administrateur ou un utilisateur général ouvrent une session pour la première fois, la seule
option disponible est celle de Modification du mot de passe. Pour pouvoir accéder à d’autres menus de
l’interface ASMI, il est impératif de modifier le mot de passe par défaut (administrateur et général). Si
vous êtes fournisseur de services agréé, vous ne pouvez pas modifier votre mot de passe. Pour des
informations sur la façon de changer votre mot de passe, voir «Modification des mots de passe de
l’interface ASMI», à la page 72.
Chapitre 11. Gestion de l’interface ASMI
71
Modification des mots de passe de l’interface ASMI :
Modification des mots de passe de l’utilisateur général, de l’administrateur et d’accès à la console HMC.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Vous pouvez modifier les mots de passe de l’utilisateur général, de l’administrateur et d’accès à la
console HMC. Si vous êtes un utilisateur général, vous pouvez uniquement modifier votre mot de passe.
Si vous êtes un administrateur, vous pouvez modifier votre mot de passe et celui d’un compte utilisateur
général. Si vous êtes fournisseur de services agréé, vous pouvez modifier votre mot de passe, ainsi que
ceux qui sont associés aux comptes administrateur et utilisateur général et le mot de passe d’accès à la
console HMC.
Un mot de passe peut être une combinaison quelconque d’au plus 64 caractères alphanumériques. Le
mot de passe par défaut pour l’ID utilisateur général est général, et le mot de passe par défaut pour l’ID
administrateur est admin. Après votre connexion initiale à l’interface ASMI et après avoir déplacé les
cavaliers à bascule de réinitialisation, les mots de passe utilisateur général et administrateur doivent être
changés.
Le mot de passe d’accès à la console HMC est généralement défini depuis la console HMC lors de la
connexion initiale. Si vous modifiez ce mot de passe depuis l’interface ASMI, la modification prend effet
immédiatement.
Pour modifier un mot de passe, procédez comme suit :
Remarque : A des fins de sécurité, vous devez entrer le mot de passe de l’utilisateur en cours dans la
zone Mot de passe en cours de l’utilisateur en cours. Ce mot de passe n’est pas celui de l’ID utilisateur
que vous souhaitez modifier.
1. Dans la fenêtre d’accueil de l’interface ASMI, indiquez votre ID utilisateur et votre mot de passe, et
cliquez sur Connexion.
2. Dans la zone de navigation, cliquez sur Profil de connexion.
3. Sélectionnez Modification du mot de passe.
4. Saisissez les informations appropriées et cliquez sur Continuer.
Configuration des interfaces réseau
Vous pouvez configurer des interfaces réseau sur le système. Le nombre et le type d’interfaces réseau
sont fonction des besoins de votre système.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Avertissement : Cette opération peut être effectuée que le système soit sous tension ou non. Les
modifications apportées à la configuration du réseau prenant effet immédiatement, les sessions réseau
existantes (telles que les connexions avec la console HMC) sont automatiquement arrêtées. Si un
microprogramme est en cours de mise à jour, n’effectuez pas cette opération. Les nouveaux paramètres
peuvent vous permettre de rétablir les connexions réseau. D’autres erreurs sont susceptibles d’être
consignées si le système est sous tension.
Les configurations réseau peuvent être modifiées quel que soit l’état du système.
Pour réaliser cette opération, vous devez disposer de l’un des niveaux d’autorisation suivants :
v Administrateur
v Prestataire de maintenance agréé
Pour configurer les interfaces réseau, procédez comme suit :
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Boîtiers et unités d’extension
1. Dans la fenêtre d’accueil de l’interface ASMI, indiquez votre ID utilisateur et votre mot de passe, et
cliquez sur Connexion.
2. Dans la zone de navigation, cliquez sur Services réseau.
3. Sélectionnez Configuration de réseau.
Important : Si vous essayez de configurer une connexion au réseau sur un système à tiroirs multiples,
vous devez d’abord sélectionner les processeurs de service principal et secondaire puis cliquer sur
Continuer.
4. Dans la sous-fenêtre de droite, repérez l’interface que vous souhaitez modifier. Sélectionnez la case en
regard de la zone Configurer cette interface ? correspondant à l’interface sélectionnée. Lorsque cette
case n’est pas sélectionnée, les modifications effectuées dans la zone correspondante ne sont pas prises
en compte.
5. Sélectionnez le Type de l’adresse IP parmi les options suivantes :
Statique
Vous devez indiquer l’adresse IP, le masque de sous-réseau, l’adresse de broadcast, la
passerelle par défaut et la première adresse du serveur DNS. La deuxième adresse et la
troisième adresse du serveur DNS sont facultatives.
Dynamique
Il n’est pas nécessaire de saisir des informations complémentaires.
6. Cliquez sur Continuer. L’écran suivant vous permet de vérifier les valeurs des paramètres IP que
vous avez entrées.
Avertissement : Si des informations de configuration de réseau incorrectes sont entrées, vous risquez
de ne plus pouvoir utiliser l’interface ASMI une fois les modifications effectuées. Pour remédier à
cette situation, vous devez redéfinir les paramètres par défaut du processeur de support en procédant
au retirant du serveur le bloc de processeur de support et en remettant les cavaliers en position
initiale. La réinitialisation du processeur de support entraîne également celle de tous les ID utilisateur
et mots de passe sur leurs valeurs par défaut.
Remarque : Pour réinitialiser les paramètres d’usine par défaut de la configuration réseau, cliquez sur
Réinitialiser la configuration réseau.
7. Cliquez sur Sauvegarder les paramètres pour effectuer les changements.
Modification de l’horodatage
Vous pouvez afficher et modifier la date et l’heure du système. Vous ne pouvez changer la date et l’heure
que lorsque le système est hors tension. L’heure est enregistrée au format UTC (Coordinated Universal
Time), qui remplace l’ancien format GMT (Greenwich mean time).
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour effectuer cette opération, vous devez posséder l’un des niveaux d’autorisation suivants :
v Administrateur
v Fournisseur de services agréé
Remarque : Vous ne pouvez changer l’heure que lorsque le système est hors tension.
Pour changer l’heure, procédez comme suit :
1. Dans la fenêtre d’accueil de l’interface ASMI, indiquez votre ID utilisateur et votre mot de passe, et
cliquez sur Connexion.
2. Dans la zone de navigation, cliquez sur Configuration système.
3. Sélectionnez Heure du jour. Si le système est hors tension, le volet droit affiche un formulaire qui fait
apparaître la date (mois, jour et année) et l’heure (heures, minutes, secondes).
4. Modifiez la date ou l’heure (ou les deux) et cliquez sur Enregistrer les paramètres.
Chapitre 11. Gestion de l’interface ASMI
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Accès à l’interface ASMI à l’aide de la console HMC
Suivez cette procédure pour accéder à l’interface ASMI par l’intermédiaire de l’interface HMC.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour accéder à l’interface ASMI à l’aide de la console HMC, procédez comme suit :
1. Dans la liste des tâches Gestion de système, sélectionnez Opérations.
2. Dans la liste des tâches Opérations, sélect ASM (Advanced System Management).
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Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 12. Journal d’action de maintenance (SAL)
Le journal d’action de maintenance (SAL) est un sous-ensemble de l’historique d’activité produit (PAL).
Pour accéder au SAL, sélectionnez dans l’ordre les options suivantes à partir d’un menu DST ou SST :
v Démarrage d’un outil de maintenance
v Gestionnaire de maintenance du matériel
v Gestion du journal SAL
Le journal d’action de maintenance (SAL) est un utilitaire qui analyse l’historique d’activité produit (PAL)
pour afficher les enregistrements nécessitant l’intervention d’un technicien de maintenance. Il extrait les
informations adéquates de ces enregistrements et met en forme les informations de maintenance telles les
noms des composants défaillants, les numéros de référence des unités remplaçables sur site (FRU) et les
emplacements FRU. S’il n’est pas possible de déterminer les numéros de composant FRU et les
emplacements, l’écran SAL fournit les noms FRU symboliques et les noms des procédures d’isolement de
maintenance, qui correspondent alors aux procédures d’analyse du technicien de maintenance. Le journal
d’action de maintenance s’exécute avant que le système d’exploitation soit opérationnel.
LIC gère un historique fantôme sur le disque source IPL. L’historique fantôme de 128 Ko contient un
double des enregistrements PAL les plus récents stockés avant et depuis l’IPL. L’option Historique
d’activité produit utilise l’historique fantôme lorsque le système fonctionne dans un environnement de
pagination restreint.
Si l’initialisation de l’historique PAL n’est pas complète, seul l’historique fantôme est accessible pour cette
option. De plus, le menu Historique d’activité produit ne propose que certaines options de l’historique PAL.
Le menu principal indique à l’utilisateur que l’initialisation de l’historique ne s’est pas terminée et que
tous les enregistrements PAL ne sont pas accessibles. Il demande de lancer un IPL du système
d’exploitation pour terminer l’initialisation. Si l’initialisation se termine après la sélection de l’option
Historique d’activité produit, cette dernière doit être sélectionnée à nouveau pour rendre disponibles toutes
les options PAL et générer des états affichant tous les enregistrements de journal.ce.
Identification d’un composant défaillant sur un système ou une
partition logique AIX
Les instructions permettent de savoir comment rechercher un composant défaillant, puis d’activer le
voyant de ce composant sur un système ou une partition logique exécutant le système d’exploitation AIX.
Localisation d’un composant défaillant sur un système ou une
partition logique AIX
Il se peut que vous deviez utiliser les outils AIX, avant d’activer le voyant dans le cadre de la recherche
d’un composant défaillant. La procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root ou celogin-.
2. A l’invite, tapez diag et appuyez sur Entrée.
3. Dans le menu Sélection des fonctions, choisissez Sélection d’une tâche et appuyez sur Entrée.
4. Sélectionnez Affichage des résultats de tests de diagnostic précédents, puis appuyez sur Entrée.
5. Dans les précédents diagnostics, choisissez Affichage du journal des diagnostics abrégé. L’Affichage
du journal des diagnostics apparaît à l’écran et contient une liste chronologique des événements.
6. Dans la colonne T, recherchez l’entrée S la plus récente. Sélectionnez la ligne, puis appuyez sur
Entrée.
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7. Sélectionnez Validation. Le programme affiche les détails de l’entrée du journal.
8. Notez l’emplacement et le code SRN figurant vers la fin de l’entrée.
9. Retournez à la ligne de commande.
Résultats
Utilisez les informations de localisation du composant défaillant pour activer le voyant qui identifie ce
dernier.
Activation du voyant associé au composant défaillant
Ces instructions permettent d’identifier physiquement l’emplacement d’un composant pour lequel vous
intervenez.
1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root.
2. A l’invite, tapez diag et appuyez sur Entrée.
3. Dans le menu Sélection des fonctions, choisissez Sélection d’une tâche et appuyez sur Entrée.
4. Dans le menu Sélection des tâches, sélectionnez Indicateurs d’identification et d’avertissement, puis
appuyez sur Entrée.
5. Dans la liste des voyants, sélectionnez le code d’emplacement associé au composant défaillant et
appuyez sur Entrée.
6. Sélectionnez Validation. Le programme allume le voyant d’incident associé au composant défaillant.
7. Retournez à la ligne de commande.
Identification d’un composant défaillant sur un système ou une
partition logique Linux
Les instructions de cette section permettent de savoir comment rechercher un composant défaillant sur un
système ou une partition logique exécutant le système d’exploitation Linux.
Localisation d’un composant défaillant sur un système ou une
partition logique exécutant le système d’exploitation
Si l’aide à la maintenance a été installée sur un système ou une partition logique, vous devez repérer le
composant défaillant, puis activer le voyant associé.
Localisation d’un composant défaillant sur un système ou une
partition logique Linux
Suivez ces instructions pour retrouver le code d’emplacement d’un composant défaillant si vous avez
oublié cette information.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour localiser le composant défaillant sur un système ou une partition logique, procédez comme suit :
1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root.
2. Sur la ligne de commande, tapez grep diagela /var/log/platform et appuyez sur Entrée.
3. Recherchez l’entrée la plus récente contenant un code SRC (System Reference Code).
4. Notez les informations d’emplacement.
Activation du voyant associé au composant défaillant
Si vous connaissez le code d’emplacement du composant défaillant, activez le voyant pour vous aider à
rechercher le composant à remplacer.
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Boîtiers et unités d’extension
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour l’activer, procédez comme suit :
1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root.
2. A partir de la ligne de commande, tapez /usr/sbin/usysident -s identify -l<code d’emplacement> et
appuyez sur Entrée.
3. Repérez le voyant d’incident pour identifier le boîtier qui renferme le composant défaillant.
Désactivation du voyant d’un composant défaillant
Après avoir terminé la procédure de retrait et de remplacement, utilisez la tâche ci-après pour désactiver
le voyant du composant défaillant.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour le désactiver, procédez comme suit :
1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root.
2. A partir de la ligne de commande, tapez /usr/sbin/usysident -s normal -l<code d’emplacement> et
appuyez sur Entrée.
Localisation d’un composant défaillant sur un système ou une
partition logique Virtual I/O Server
Il se peut que vous deviez utiliser les outils Virtual I/O Server (VIOS) avant d’activer le voyant dans le
cadre de la recherche d’un composant défaillant. La procédure de cette section permet d’effectuer cette
tâche.
1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root ou celogin-.
2. A l’invite, tapez diagmenu et appuyez sur Entrée.
3. Dans le menu Sélection des fonctions, choisissez Sélection d’une tâche et appuyez sur Entrée.
4. Sélectionnez Affichage des résultats de tests de diagnostic précédents, puis appuyez sur Entrée.
5. Dans l’écran Affichage des résultats de tests de diagnostic précédents, sélectionnez Affichage du
journal des diagnostics abrégé. L’écran Affichage du journal des diagnostics apparaît. Il contient la
liste des événements triée dans l’ordre chronologique.
6. Dans la colonne T, recherchez l’entrée S la plus récente. Sélectionnez la ligne, puis appuyez sur
Entrée.
7. Sélectionnez Validation. Le programme affiche les détails de l’entrée du journal.
8. Notez l’emplacement et le code SRN figurant vers la fin de l’entrée.
9. Retournez à la ligne de commande.
Résultats
Utilisez les informations de localisation du composant défaillant pour activer le voyant qui identifie ce
dernier. Pour plus d’informations, voir «Identification de composants à l’aide du gestionnaire Virtual I/O
Server».
Identification de composants à l’aide du gestionnaire Virtual I/O Server
Ces instructions permettent d’activer le voyant afin de repérer l’emplacement physique d’un composant à
l’aide du gestionnaire Virtual I/O Server (VIOS).
1. Connectez-vous en tant que superutilisateur.
2. A l’invite, tapez diagmenu et appuyez sur Entrée.
3. Dans le menu Sélection des fonctions, choisissez Sélection d’une tâche. Appuyez sur Entrée.
Chapitre 12. Journal d’action de maintenance (SAL)
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4. Dans le menu Sélection des tâches, sélectionnez Indicateurs d’identification et d’avertissement.
Appuyez sur Entrée.
5. Dans la liste des voyants, sélectionnez le code d’emplacement associé au composant défaillant et
appuyez sur Entrée.
6. Sélectionnez Validation. Le programme allume le voyant d’incident associé au composant défaillant.
7. Retournez à la ligne de commande.
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Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 13. Démarrage ou arrêt du système ou de la partition
logique
La présente section explique comment démarrer un système ou une partition logique pour effectuer une
action de maintenance ou redémarrer le système.
Démarrage du système ou de la partition logique
Il peut être nécessaire de démarrer un système ou une partition logique après avoir effectué une
procédure de maintenance ou une mise à niveau du système. Cette procédure permet de démarrer le
système ou la partition logique.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Démarrage d’un système non géré par une console HMC
Le bouton d’alimentation ou l’interface ASMI permet de démarrer un système non géré par une console
HMC (Hardware Management Console).
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour démarrer un système non géré par une console HMC (Hardware Management Console), procédez
comme suit :
1. Si l’unité centrale est montée en armoire, ouvrez le volet avant de l’armoire si nécessaire. Si l’unité
centrale est autonome, ouvrez le volet avant.
2. Avant d’appuyer sur le bouton d’alimentation du panneau de commande, vérifiez que le système est
bien relié à une source d’alimentation :
v Tous les cordons d’alimentation système doivent être reliés à une source d’alimentation.
v Le voyant d’alimentation clignote lentement (voir figure suivante).
v Comme indiqué dans la figure ci-après, la partie supérieure de l’écran doit afficher la mention
01 V=F.
Conseil : Comme indiqué dans la figure suivante, le voyant d’incident n’apparaît pas sur le panneau
de commande du modèle 17M/MA.
3. Appuyez sur le bouton d’alimentation (A) du panneau de commande (voir figure suivante).
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Figure 34. Panneau de commande du modèle 5/70
v A : Bouton de mise sous-tension
v B : Symbole de la mise sous tension/hors tension
v C : Etiquette du numéro de série
v D : Ecran Fonctions/Données
v E : Port système (S1)
v F : Voyant d’alimentation
– Un voyant clignotant indique que l’unité est sous alimentation de mode veille.
– Un voyant fixe indique que l’unité est sous alimentation système complète.
Remarque : Autorisez un délai d’une trentaine de secondes entre le moment où vous appuyez sur
le bouton de mise sous tension et le moment où le voyant cesse de clignoter. Au cours de cette
période de transition, le clignotement peut se faire plus rapide.
v G : Bouton de décrémentation
v H : Bouton Entrée
v I : Bouton d’incrémentation
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Boîtiers et unités d’extension
Figure 35. Panneau de commande des modèles 03E/4A, 04E/8A.
v A : Bouton de mise sous-tension
v B : Voyant d’alimentation
– Un voyant clignotant indique que l’unité est sous alimentation de mode veille.
– Un voyant fixe indique que l’unité est sous alimentation système complète.
Remarque : Autorisez un délai d’une trentaine de secondes entre le moment où vous appuyez sur
le bouton de mise sous tension et le moment où le voyant cesse de clignoter. Au cours de cette
période de transition, le clignotement peut se faire plus rapide.
v C : Voyant d’incident
v D : Port USB
v E : Bouton de réinitialisation
v F : Ecran Fonctions/Données
v G : Bouton de décrémentation
v H : Bouton Entrée
v I : Bouton d’incrémentation
4. Une fois que vous avez appuyé sur le bouton d’alimentation, notez les éléments suivants :
v Le voyant d’alimentation commence à clignoter plus rapidement.
v Les ventilateurs système sont activés après environ 30 secondes et commencent à tourner plus
rapidement.
v L’écran du panneau de commande affiche les jauges (ou points de contrôle) pendant le démarrage
du système. Le voyant d’alimentation arrête de clignoter et reste fixe, indiquant que le système est
sous tension.
Chapitre 13. Démarrage ou arrêt du système ou de la partition logique
81
Que faire ensuite
Conseil : Si le système ne démarre pas alors que vous avez appuyé sur le bouton d’alimentation, utilisez
la procédure suivante pour démarrer le système à l’aide de l’interface ASMI (Advanced System
Management Interface) :
1. Configurez l’accès à l’interface ASMI. Pour plus d’informations, voir Chapitre 11, «Gestion de
l’interface ASMI», à la page 67.
2. Démarrez le système à l’aide de l’interface ASMI. Pour plus d’informations, voir «Mise en route et
arrêt du système».
Mise en route et arrêt du système
Affichage et personnalisation des paramètres d’IPL (procédure de chargement initial).
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Vous pouvez non seulement utiliser des options d’IPL, mais également démarrer et arrêter le système.
Pour effectuer ces opérations, vous devez avoir l’un des niveaux d’autorisation suivants :
v Administrateur
v Fournisseur de services agréé
Plusieurs options d’IPL que vous pouvez définir relèvent du microprogramme de serveur. Un
microprogramme est une partie intégrante d’un serveur. Il réside dans la mémoire flash et son contenu est
préservé lorsque vous arrêtez le système. Il est automatiquement activé lorsque vous démarrez le serveur.
Sa fonction est de rendre un serveur opérationnel, ce qui permet l’installation ou l’amorçage d’un
système d’exploitation. Un microprogramme permet également de gérer les exceptions liées au matériel et
d’étendre les fonctions de la plate-forme matérielle. Vous pouvez afficher le niveau du microprogramme
courant du serveur dans la sous-fenêtre d’accueil de l’interface ASMI (Advanced System Management
Interface).
Sur un serveur, le microprogramme a une fonction d’amorçage permanente (côté P) et temporaire (côté
T). Lors de la mise à jour du microprogramme, installez d’abord les nouveaux niveaux sur le côté
temporaire, afin de tester leur compatibilité avec vos applications. Lorsque la mise à jour du
microprogramme est validée, copiez-la vers le niveau permanent.
Pour afficher et modifier les paramètres d’IPL, procédez comme suit :
1. Dans la fenêtre d’accueil de l’interface ASMI, indiquez votre ID utilisateur et votre mot de passe, et
cliquez sur Connexion.
2. Dans la zone de navigation, sélectionnez Contrôle d’alimentation/redémarrage et cliquez sur Mettre
le système sous/hors tension.
3. Définissez les paramètres d’amorçage suivants.
Remarque : Sur les systèmes dotés de la version EM310_xxx du microprogramme du système, Lente et
Rapide sont les deux seules vitesses d’amorçage disponibles.
Vitesse d’amorçage du système
Sélectionnez la vitesse du prochain amorçage :
Lente
Tous les tests de diagnostic IPL sont exécutés, et le test complet de la mémoire est
effectué.
Rapide
Plusieurs tests de diagnostic IPL sont ignorés, et un test de la mémoire plus court est
lancé.
82
Boîtiers et unités d’extension
Remarque : Il s’agit du paramètre par défaut des systèmes dotés du microprogramme
EX310_xxx ou ultérieur.
Hyper Cette option n’est disponible que lorsque l’hyperboot est activé. La plupart des
diagnostics de la procédure de chargement initial (IPL) sont ignorés et des données
mises en mémoire cache sont utilisées pour les données techniques essentielles, la
configuration du système et les données de la mémoire principale. Dans la mesure où
il n’y a pas de vérification minimale des données techniques essentielles afin de
s’assurer que le matériel est le même que dans l’amorçage précédent, ce paramètre de
rapidité doit être utilisé uniquement s’il n’y a eu aucun changement de matériel
depuis le dernier amorçage du système.
Côté d’amorçage du microprogramme pour l’amorçage suivant
Sélectionnez le côté d’amorçage du microprogramme : Permanent ou Temporaire. Les mises à
jour du microprogramme doivent généralement être testées sur le côté temporaire avant d’être
appliquées sur le côté permanent.
Mode du système d’exploitation
Sélectionnez le mode d’exploitation du système : Manuel ou Normal. Le mode manuel
permet d’annuler un certain nombre de fonctions de mise en route automatiques (par
exemple, le redémarrage à la mise sous tension) et d’activer le bouton d’alimentation.
Amorçage du microprogramme de serveur du système
Sélectionnez l’état du microprogramme de serveur du système : Veille ou Exécution. Lorsque
le microprogramme de serveur est en mode veille, il est possible de configurer et d’activer les
partitions logiques.
Méthode de mise hors tension du système
Sélectionnez la méthode de mise hors tension du système. Cette option est un paramètre qui
contrôle le comportement du système lorsque la dernière partition (ou la seule partition dans
le cas d’un système non géré par une console HMC) est mise hors tension.
Environnement de partition par défaut
Sélectionnez la valeur par défaut (valable uniquement si le mot clé BR n’est pas S0), AIX, , ou
Linux.
Remarques :
v Si l’environnement de partition par défaut est défini (à partir de toute autre valeur) sur , le
paramètre d’activation/désactivation de l’ est automatiquement remplacé par Activé.
v Si l’environnement de partition par défaut passe de à toute autre valeur, le paramètre
d’activation/désactivation de l’ n’est pas affecté.
État du mode hyperboot Current
Ce paramètre apparaît si la fonction hyperboot est activée pour le système. Les états du mode
hyperboot sont : Capable et Activé. Lorsque le mode passe à l’état Activé, il s’initialise dans
l’interface ASMI et affiche Capable jusqu’au redémarrage du système. Une fois que le système
a redémarré, l’état passe à Activé. Chaque fois que vous redémarrez le système à l’état activé,
il démarre en mode hyperboot.
4. Effectuez l’une des opérations suivantes :
v Cliquez sur Sauvegarder les paramètres pour enregistrer les options sélectionnées. L’état du
dispositif d’alimentation ne change pas.
v Cliquez sur Sauvegarder les paramètres et mettre sous/hors tension. Cette opération permet
d’enregistrer toutes les options sélectionnées et de mettre le système sous tension ou hors tension.
L’option de mise sous tension est disponible uniquement lorsque le système est hors tension.
L’option de mise hors tension est disponible uniquement lorsque le système est sous tension.
Chapitre 13. Démarrage ou arrêt du système ou de la partition logique
83
v Cliquez sur Sauvegarder les paramètres et poursuivre l’amorçage du microprogramme du serveur
du système pour enregistrer les options sélectionnées et mettre le microprogramme du serveur sous
tension ou hors tension. Cette option n’est disponible que lorsque le microprogramme de serveur
est en mode veille.
Démarrage du système ou de la partition logique via la console HMC
Vous pouvez utiliser l’interface utilisateur de la console HMC (Hardware Management Console) pour
démarrer le système ou la partition logique après avoir installé les câbles requis et relié les cordons
d’alimentation à une source d’alimentation.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour plus d’informations sur l’utilisation de la console HMC (Hardware Management Console), voir
Gestion de la console HMC. Pour savoir comment démarrer une partition logique, voir Partitionnement
logique. Pour savoir comment démarrer le système, voir Mise sous tension d’un système géré.
L’écran du panneau de commande affiche les jauges (ou points de contrôle) pendant le démarrage du
système. Lorsque le voyant d’alimentation s’arrête de clignoter et reste fixe, cela signifie que le système
est sous tension.
Mise sous tension d’un système géré
Cette rubrique explique comment mettre un système géré sous tension via la console HMC.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
La console HMC permet de mettre un système géré sous tension et de contrôler l’état de mise sous
tension.
Pour mettre le système géré sous tension, votre profil utilisateur doit être l’un des suivants :
v administrateur central
v technicien de maintenance
v opérateur
v responsable produit
Pour mettre le système géré sous tension, procédez comme suit :
1. Dans la zone de navigation, développez le dossier Gestion de systèmes.
2. Cliquez sur l’icône Serveurs.
3. Dans la zone de contenu, sélectionnez le système géré.
4. Sélectionnez Tâches, Opérations, puis Mise hors tension
5. Sélectionnez le mode de mise sous tension souhaité, puis cliquez sur OK.
Arrêt d’un système ou d’une partition logique
La présente section explique comment démarrer un système ou une partition logique dans le cadre d’une
mise à niveau du système ou d’une procédure de maintenance.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Avertissement : Si vous utilisez le bouton de mise sous tension ou les commandes de la console HMC
(Hardware Management Console) pour arrêter le système, les fichiers de données risquent d’être
endommagés. Par ailleurs, le système risque de mettre plus de temps à démarrer la prochaine fois si
toutes les applications n’ont pas été fermées avant l’arrêt du système.
84
Boîtiers et unités d’extension
Pour arrêter le système ou la partition logique, sélectionnez la procédure appropriée :
Arrêt d’un système non géré par une console HMC
Pour effectuer une autre tâche, vous devez arrêter le système. Ces instructions indiquent comment arrêter
le système à l’aide du bouton d’alimentation ou de l’interface ASMI.
Avant de commencer
Avant d’arrêter le système, procédez comme suit :
1. Vérifiez que tous les travaux sont terminés et fermez toutes les applications.
2. Assurez-vous que le système d’exploitation est arrêté.
Avertissement : Si vous ne le faites pas, vous risquez de perdre des données.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
La procédure ci-après explique comment arrêter un système non géré par une console HMC (Hardware
Management Console).
1. Connectez-vous au système sous un nom d’utilisateur bénéficiant des droits d’accès nécessaires pour
exécuter la commande shutdown ou Power Down System (pwrdwnsys, mettre le système hors
tension).
2. A l’invite, tapez la commande appropriée :
v Si le système exécute le système d’exploitation AIX, tapez shutdown.
v Si le système exécute le système d’exploitation Linux, tapez shutdown -h now.
v Si le système exécute le système d’exploitation , tapez PWRDWNSYS. Si le système est partitionné,
utilisez la commande PWRDWNSYS pour arrêter chaque partition secondaire. Ensuite, utilisez la
commande PWRDWNSYS pour arrêter la partition principale.
La commande arrête le système d’exploitation. Une fois le système d’exploitation arrêté, le voyant de
mise sous tension commence à clignoter lentement et le système passe en veille.
3. Mettez les interrupteurs d’alimentation des unités reliées au système sur Off.
4. Débranchez tous les cordons d’alimentation connectés à l’unité des socles de prise de courant. Vérifiez
que vous débranchez également les cordons d’alimentation des périphériques (imprimantes et unités
d’extension, par exemple).
Important : Le système est peut-être équipé d’un second bloc d’alimentation. Avant de continuer la
procédure, vérifiez que toutes les sources d’alimentation ont été débranchées du système.
(L003)
ou
Chapitre 13. Démarrage ou arrêt du système ou de la partition logique
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Arrêt du système ou de la partition logique via la console HMC
(Hardware Management Console)
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Vous pouvez utiliser l’interface utilisateur de la console HMC (Hardware Management Console) pour
arrêter le système ou la partition logique. Pour des instructions sur l’arrêt du système, voir
Par défaut, le système géré est configuré pour se mettre hors tension automatiquement lorsque vous
arrêtez sa dernière partition logique en cours d’exécution. Si vous définissez les propriétés du système
géré sur la console HMC de façon à empêcher la mise hors tension automatique du système, vous devez
utiliser cette procédure pour mettre hors tension le système géré.
Avertissement : Dans la mesure du possible, arrêtez les partitions logiques en cours d’exécution avant
de mettre le système géré hors tension. Si vous n’arrêtez pas d’abord les partitions logiques, vous risquez
de provoquer leur arrêt anormal et de perdre des données.
Pour mettre le système géré hors tension, vous devez utiliser l’un des profils utilisateur suivants :
v administrateur central
v technicien de maintenance
v opérateur
v responsable produit
1. Dans la zone de navigation, développez le dossier Gestion de systèmes.
2. Cliquez sur l’icône Serveurs.
3. Dans la zone de contenu, sélectionnez le système géré.
4. Sélectionnez Tâches, Opérations, puis Mise hors tension
5. Sélectionnez le mode de mise hors tension voulu, puis cliquez sur OK.
86
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 14. Déconnexion du câble de processeur SMP d’une
unité centrale
Il se peut que vous deviez déconnecter ce câble pour ajouter ou supprimer de la mémoire ou des
processeurs. La procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
87
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
DANGER
Lorsque vous utilisez le système ou travaillez à proximité de ce dernier, observez les consignes
suivantes :
Le courant électrique provenant de l’alimentation, du téléphone et des câbles de transmission peut
présenter un danger. Pour éviter tout risque de choc électrique :
v Branchez cette unité uniquement avec le cordon d’alimentation fourni par . N’utilisez pas ce
dernier avec un autre produit.
v N’ouvrez pas et n’entretenez pas le bloc d’alimentation électrique.
v Ne manipulez aucun câble et n’effectuez aucune opération d’installation, d’entretien ou de
reconfiguration de ce produit au cours d’un orage.
v Le produit peut être équipé de plusieurs cordons d’alimentation. Pour supprimer tout risque de
danger électrique, débranchez tous les cordons d’alimentation.
v Branchez tous les cordons d’alimentation sur un socle de prise de courant correctement câblé et
mis à la terre. Vérifiez que la tension et l’ordre des phases des prises de courant correspondent
aux informations de la plaque d’alimentation électrique du système.
v Branchez sur des socles de prise de courant correctement câblés tout équipement connecté à ce
produit.
v Lorsque cela est possible, n’utilisez qu’une seule main pour connecter ou déconnecter les câbles
d’interface.
v Ne mettez jamais un équipement sous tension en cas d’incendie ou d’inondation, ou en présence
de dommages matériels.
v Avant de retirer les carters de l’unité, mettez celle-ci hors tension et déconnectez ses cordons
d’alimentation, ainsi que les câbles qui la relient aux réseaux, aux systèmes de
télécommunication et aux modems (sauf mention contraire dans les procédures d’installation et
de configuration).
v Lorsque vous installez, que vous déplacez, ou que vous manipulez le présent produit ou des
périphériques qui lui sont raccordés, reportez-vous aux instructions ci-dessous pour connecter et
déconnecter les différents cordons.
Pour déconnecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Débranchez les cordons d’alimentation des prises.
3. Débranchez les câbles d’interface des connecteurs.
4. Débranchez tous les câbles des unités.
Pour connecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Branchez tous les cordons sur les unités.
3. Branchez les câbles d’interface sur des connecteurs.
4. Branchez les cordons d’alimentation aux prises.
5. Mettez l’unité sous tension.
(D005a)
88
Boîtiers et unités d’extension
Pour déconnecter un câble de processeur SMP d’une unité centrale, procédez comme suit :
1. Si nécessaire, ouvrez le volet avant de l’armoire.
2. Débranchez le système pour l’isoler de la source d’alimentation.
Remarque : Ce système peut être équipé d’un second bloc d’alimentation. Avant de continuer la
procédure, vérifiez que la source d’alimentation a été débranchée du système.
(L003)
ou
3. «Retrait du panneau avant du modèle 34E/MA, 17M/MA ou », à la page 108.
4. Retirez le bord gauche du cache dans l’armoire système pour pouvoir accéder au bord gauche du
câble de processeur SMP.
Avertissement :
Portez un bracelet antistatique relié à une surface métallique non peinte pour protéger le matériel
contre les risques de décharge électrostatique.
Si vous portez un bracelet antistatique, respectez toutes les consignes de sécurité relatives aux
dangers électriques. Un bracelet antistatique permet de réguler l’électricité statique. Il ne réduit et
n’augmente en aucun cas les risques d’électrocution liés à l’utilisation ou à la manipulation
d’appareils électriques.
Si vous ne disposez pas d’un bracelet antistatique, touchez une surface métallique non peinte du
système pendant au moins 5 secondes avant de déballer un produit de son emballage antistatique,
d’installer ou de remplacer du matériel.
5. Déverrouillez le dispositif de fixation plastique A (voir figure suivante).
6. Relevez la poignée de verrouillage B jusqu’à ce que le connecteur sorte de son logement.
Chapitre 14. Déconnexion du câble de processeur SMP d’une unité centrale
89
7. Retirez avec précaution le connecteur du système.
8. Une fois les tenons libérés, tirez avec précaution le câble hors de l’unité centrale.
90
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 15. Reconnexion du câble de processeur SMP à une
unité centrale
Il se peut que vous deviez reconnecter ce câble après l’ajout ou la suppression de mémoire ou de
processeurs. La procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
91
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
DANGER
Lorsque vous utilisez le système ou travaillez à proximité de ce dernier, observez les consignes
suivantes :
Le courant électrique provenant de l’alimentation, du téléphone et des câbles de transmission peut
présenter un danger. Pour éviter tout risque de choc électrique :
v Branchez cette unité uniquement avec le cordon d’alimentation fourni par . N’utilisez pas ce
dernier avec un autre produit.
v N’ouvrez pas et n’entretenez pas le bloc d’alimentation électrique.
v Ne manipulez aucun câble et n’effectuez aucune opération d’installation, d’entretien ou de
reconfiguration de ce produit au cours d’un orage.
v Le produit peut être équipé de plusieurs cordons d’alimentation. Pour supprimer tout risque de
danger électrique, débranchez tous les cordons d’alimentation.
v Branchez tous les cordons d’alimentation sur un socle de prise de courant correctement câblé et
mis à la terre. Vérifiez que la tension et l’ordre des phases des prises de courant correspondent
aux informations de la plaque d’alimentation électrique du système.
v Branchez sur des socles de prise de courant correctement câblés tout équipement connecté à ce
produit.
v Lorsque cela est possible, n’utilisez qu’une seule main pour connecter ou déconnecter les câbles
d’interface.
v Ne mettez jamais un équipement sous tension en cas d’incendie ou d’inondation, ou en présence
de dommages matériels.
v Avant de retirer les carters de l’unité, mettez celle-ci hors tension et déconnectez ses cordons
d’alimentation, ainsi que les câbles qui la relient aux réseaux, aux systèmes de
télécommunication et aux modems (sauf mention contraire dans les procédures d’installation et
de configuration).
v Lorsque vous installez, que vous déplacez, ou que vous manipulez le présent produit ou des
périphériques qui lui sont raccordés, reportez-vous aux instructions ci-dessous pour connecter et
déconnecter les différents cordons.
Pour déconnecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Débranchez les cordons d’alimentation des prises.
3. Débranchez les câbles d’interface des connecteurs.
4. Débranchez tous les câbles des unités.
Pour connecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Branchez tous les cordons sur les unités.
3. Branchez les câbles d’interface sur des connecteurs.
4. Branchez les cordons d’alimentation aux prises.
5. Mettez l’unité sous tension.
(D005a)
92
Boîtiers et unités d’extension
Pour connecter un câble de processeur SMP à une unité centrale, procédez comme suit :
1. Effectuez les tâches de configuration prérequises (voir Chapitre 10, «Avant de commencer», à la page
63).
2. Arrêtez toutes les unités centrales. Pour plus d’informations, voir «Arrêt d’un système ou d’une
partition logique», à la page 84.
3. Si nécessaire, ouvrez le volet avant de l’armoire.
4. Débranchez le système pour l’isoler de la source d’alimentation.
Remarque : Ce système peut être équipé d’un second bloc d’alimentation. Avant de continuer la
procédure, vérifiez que la source d’alimentation a été débranchée du système.
(L003)
ou
5. Si nécessaire, retirez le bord gauche du cache dans l’armoire système.
Avertissement :
v Portez un bracelet antistatique relié à une surface métallique non peinte pour protéger le matériel
contre les risques de décharge électrostatique.
v Si vous portez un bracelet antistatique, respectez toutes les consignes de sécurité relatives aux
dangers électriques. Un bracelet antistatique permet de réguler l’électricité statique. Il ne réduit et
n’augmente en aucun cas les risques d’électrocution liés à l’utilisation ou à la manipulation
d’appareils électriques.
v Si vous ne disposez pas d’un bracelet antistatique, touchez une surface métallique non peinte du
système pendant au moins 5 secondes avant de déballer un produit de son emballage
antistatique, d’installer ou de remplacer du matériel.
6. Levez la poignée de verrouillage C jusqu’à la position d’ouverture.
Chapitre 15. Reconnexion du câble de processeur SMP à une unité centrale
93
7. Alignez les tenons A avec le connecteur B de l’unité centrale.
8. Enfoncez avec précaution le connecteur de câble dans son emplacement sur l’unité centrale.
Remarque : Appuyez sur le connecteur en exerçant une pression égale sur le haut et le bas de
chaque extrémité du câble. Appuyez simultanément sur le haut et le bas de chaque extrémité du
câble. A l’aide de l’outil SMP, mettez le câble en place (voir figure suivante).
94
Boîtiers et unités d’extension
Figure 36. Utilisation de l’outil d’installation du câble SMP
9.
10.
11.
12.
Abaissez la poignée de verrouillage pour insérer complètement le connecteur dans son logement.
Replacez le bord gauche du cache.
«Installation du panneau avant du modèle 34E/MA, 17M/MA», à la page 109.
Fermez le volet avant de l’armoire.
Résultats
Chapitre 15. Reconnexion du câble de processeur SMP à une unité centrale
95
96
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 16. Remplacement du volet ou du panneau de l’unité
d’extension
Il se peut que vous deviez retirer, remplacer ou installer des panneaux ou des volets sur une unité
d’extension pour accéder à des composants ou effectuer une opération de maintenance.
Retrait du panneau avant du modèle 14G/30
Il se peut que vous deviez retirer le panneau pour effectuer des opérations de maintenance du système.
Les instructions de cette section permettent d’effectuer ces tâches.
1. Retirez les deux vis moletées (B) figurant sur la partie gauche et à l’arrière du panneau.
Figure 37. Panneau avant sur un modèle 14G/30
2. Appuyez sur les loquets (C) situés de part et d’autre du panneau pour libérer celui-ci.
3. Soulevez le panneau (A) et retirez-le du châssis.
Conseil : Si un bloc de ventilation est présent dans une partie vide du châssis, ne le retirez que si
vous installez des composants dans cette partie du châssis.
Installation du panneau avant d’un modèle 14G/30
Il se peut que vous deviez installer le panneau avant après avoir installé le système ou effectué une
procédure de maintenance.
97
Avant de commencer
Si des composants ne sont installés que d’un seul côté du châssis, assurez-vous que le bloc de ventilation
est présent du côté vide.
1. Insérez les colonnes situées à l’arrière du panneau (A) dans les crochets du châssis.
2. Appuyez sur les loquets (C) situés de part et d’autre du panneau avant.
Figure 38. Panneau avant d’un modèle 14G/30
3. Insérez le panneau dans le châssis et libérez les loquets. Le panneau doit s’enclencher dans le
logement.
4. Remettez en place les deux vis moletées (B) dans les emplacements gauche et droite du panneau
avant.
Retrait du panneau avant de l’unité d’extension 11D/11
Il se peut que vous deviez retirer le panneau pour accéder à des composants ou effectuer une opération
de maintenance. La procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour retirer le panneau avant, procédez comme suit :
1. Au besoin, ouvrez le volet avant de l’armoire.
2. Appuyez sur les languettes de dégagement et faites pivoter le panneau vers le haut et l’avant.
3. Retirez le panneau de l’unité d’extension.
Installation du panneau avant sur l’unité d’extension 11D/11
Il se peut que vous deviez installer le panneau après avoir accédé à des composants ou effectué une
opération de maintenance. Les instructions de cette section permettent d’effectuer cette tâche.
98
Boîtiers et unités d’extension
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour installer le panneau avant, procédez comme suit :
1. Placez le panneau sur la face avant de l’unité d’extension en alignant les broches avec les
emplacements correspondants sur la face avant de l’unité.
2. Insérez les taquets du bas du capot dans les logements à l’avant de l’unité d’extension.
3. Poussez le panneau vers le haut et vers l’avant jusqu’à ce qu’il soit fixé à l’aide des taquets situés en
haut.
Retrait du panneau avant de l’unité d’extension 11D/20
Il se peut que vous deviez retirer le panneau pour accéder à des composants ou effectuer une opération
de maintenance.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour retirer le panneau avant de l’unité d’extension, procédez comme suit :
1. Si nécessaire, ouvrez le volet avant de l’armoire.
2. Retirez les vis moletées par lesquelles les capots sont fixés sur l’armoire.
3. Poussez les taquets de déverrouillage du capot dans le sens des flèches pour dégager le panneau (voir
figure suivante).
Figure 39. Retrait du panneau avant
4. Faites pivoter le panneau à partir du bas et dégagez le haut du panneau.
5. Tirez la partie inférieure du panneau vers le haut, puis retirez-la de l’unité d’extension. Cette
opération permet de dégager les deux taquets situés au bas du panneau.
Chapitre 16. Remplacement du volet ou du panneau de l’unité d’extension
99
6. Placez le panneau en lieu sûr.
Installation du panneau avant de l’unité d’extension 11D/20
Il se peut que vous deviez installer le panneau après avoir accédé à des composants ou effectué une
opération de maintenance.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour installer le panneau avant de l’unité d’extension, procédez comme suit :
1. Si nécessaire, ouvrez le volet avant de l’armoire.
2. Insérez les deux taquets situés sur le bord inférieur du panneau dans leur logement respectif, sur le
cadre de l’unité d’extension.
3. Faites pivoter le panneau avant vers le haut du cadre de l’unité d’extension.
4. Alignez les taquets avec les logements correspondants, situés sur l’avant du cadre de l’unité
d’extension.
5. Poussez doucement les taquets pour les insérer dans leur logement jusqu’à ce que le panneau bute
contre l’avant de l’unité d’extension.
6. Placez les vis moletées qui fixent les capots à l’armoire.
7. Fermez le volet avant de l’armoire.
Résultats
100
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 17. Retrait et remplacement des panneaux et des
volets
Il se peut que vous deviez retirer, remplacer ou installer des panneaux pour accéder à des composants ou
effectuer une opération de maintenance.
Retrait du capot d’accès d’un modèle 03E/4A, 04E/8A monté en
armoire
Il se peut que vous deviez retirer le capot d’accès pour effectuer des opérations de maintenance ou
accéder à des composants internes.
1. Placez le système en position de maintenance (pour consulter les instructions voir «Mise en position
de maintenance du modèle 03E/4A, 04E/8A monté en armoire», à la page 117).
2. Desserrez les deux vis moletées (A) situées à l’arrière du capot.
3. Placez le capot (B) à l’arrière de l’unité centrale. Une fois l’avant du capot d’accès dégagé du bord
supérieur, soulevez et retirez le capot.
Résultats
Avertissement : Pour garantir un niveau de refroidissement et de ventilation approprié, installez le
capot avant de démarrer le système. Vous risquez d’endommager les composants système si vous utilisez
le système sans son capot pendant plus de 30 minutes.
Figure 40. Retrait du capot d’accès d’un modèle monté en armoire
101
Installation du capot d’accès sur le modèle 03E/4A, 04E/8A monté en
armoire
Il se peut que vous deviez installer le capot d’accès après avoir effectué la maintenance ou accédé aux
composants internes. La procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
1. Placez le capot d’accès (A) sur le haut de l’unité centrale, à environ 25 mm du panneau avant.
2. Tout en maintenant le capot d’accès contre l’unité centrale, faites glisser le capot vers l’avant de l’unité
centrale.
Normalement, les taquets du capot d’accès doivent se trouver en dessous du bord supérieur et les
deux vis moletées doivent être alignées avec les trous figurant à l’arrière de l’unité centrale.
Important : Veillez à ne pas bloquer les câbles des voyants des ventilateurs dans le bord avant du
capot d’accès en faisant glisser le capot.
3. Vissez les deux vis moletées (B) figurant à l’arrière du capot.
Figure 41. Installation du capot d’accès du modèle monté en armoire
Retrait du capot d’accès du modèle autonome 03E/4A, 04E/8A
Il se peut que vous deviez retirer le capot d’accès pour effectuer des opérations de maintenance ou
accéder à des composants internes.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour retirer le capot d’accès d’un modèle autonome, procédez comme suit :
1. Desserrez les deux vis moletées (A) figurant à l’arrière du capot d’accès (voir figure suivante).
2. Placez le capot d’accès (B) à l’arrière de l’unité centrale. Une fois l’avant du capot dégagé du bord
supérieur, soulevez et retirez le capot.
102
Boîtiers et unités d’extension
Avertissement : Pour garantir un niveau de refroidissement et de ventilation approprié, installez le
capot avant de démarrer le système. Vous risquez d’endommager les composants système si vous
utilisez le système sans son capot pendant plus de 30 minutes.
Figure 42. Retrait du capot d’accès d’un modèle autonome
Installation du capot d’accès sur un modèle autonome model 03E/4A,
04E/8A
Il se peut que vous deviez installer le capot d’accès après avoir effectué la maintenance ou accédé aux
composants internes.
1. Alignez les broches du capot d’accès avec les emplacements de l’unité centrale. Les brides avant et
arrière du capot s’enroulent autour du cadre système.
2. Tout en maintenant le capot d’accès contre l’unité centrale (A), faites glisser le capot vers l’avant de
l’unité centrale.
3. Vissez les deux vis moletées (B) figurant à l’arrière du capot.
Chapitre 17. Panneaux et volets
103
Figure 43. Installation du capot d’accès sur un modèle autonome
Retrait du panneau avant d’un modèle 03E/4A, 04E/8A monté en
armoire
Il se peut que vous deviez retirer le panneau pour accéder à des composants ou effectuer une opération
de maintenance.
1. Retirez les deux vis moletées (A) qui maintiennent l’unité centrale à l’armoire (B) (voir figure
suivante).
2. Enfoncez les taquets de déverrouillage (C) et retirez le panneau du système.
104
Boîtiers et unités d’extension
Figure 44. Retrait du panneau avant d’un modèle monté en armoire
Installation du panneau avant sur le modèle 03E/4A, 04E/8A monté en
armoire
Il se peut que vous deviez installer le panneau après avoir accédé à des composants ou effectué une
opération de maintenance.
1. Enfoncez les taquets de déverrouillage (B) et placez le panneau dans le système.
2. Poussez doucement le panneau jusqu’à ce que les deux leviers de dégagement (B) soient insérés dans
les trous correspondants.
3. Remplacez les deux vis moletées (C) qui maintiennent l’unité centrale à l’armoire (A) (voir figure
suivante).
Chapitre 17. Panneaux et volets
105
Figure 45. Installation du panneau avant d’un modèle monté en armoire
Retrait du volet d’un modèle 04E/8A
Il se peut que vous deviez retirer le volet pour accéder à des composants ou effectuer une opération de
maintenance. La procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
1. Ouvrez le volet avant en saisissant sa poignée et retirez-le de l’unité centrale.
2. Pour retirer le volet, appuyez sur la tranche supérieure.
3. Ramenez doucement la tranche supérieure du volet vers l’avant, puis sortez le coin supérieur de
l’unité centrale.
4. Soulevez le volet pour le dégager de la butée inférieure.
Installation ou remplacement du volet sur un modèle 04E/8A
Il se peut que vous deviez installer le volet après avoir accédé à des composants ou effectué une
opération de maintenance.
1. Placez le volet sur la butée inférieure.
2. Ramenez le volet pour l’aligner avec le haut de l’unité centrale.
3. Appuyez sur la tranche inférieure du volet, puis placez la butée supérieure dans l’emplacement
correspondant.
4. Fermez et fixez le volet.
106
Boîtiers et unités d’extension
Retrait du panneau avant du modèle autonome 03E/4A, 04E/8A
Il se peut que vous deviez retirer le panneau pour accéder à des composants ou effectuer une opération
de maintenance.
1. Ouvrez le volet recouvrant les unités de disque en déverrouillant le volet et en l’ouvrant.
2. Abaissez la languette de dégagement (A) (voir figure suivante).
3. Tirez le haut du panneau (B) de l’unité vers vous.
Figure 46. Rpetrait du volet
4. Détachez doucement le panneau de la base.
Installation du panneau avant sur un modèle autonome 03E/4A, 04E/8A
Il se peut que vous deviez installer le panneau après avoir accédé à des composants ou effectué une
opération de maintenance. La procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
1. Insérez les deux taquets de verrouillage inférieurs dans les trous figurant sur la base de l’unité
centrale (voir figure suivante).
Chapitre 17. Panneaux et volets
107
Figure 47. Remplacement du panneau du modèle
2. Soulevez le haut du panneau vers le haut de l’unité centrale (A) en alignant les broches avec les trous
(B) situés sur l’unité centrale .
3. Insérez doucement le panneau jusqu’à ce que le levier de dégagement s’emboîte dans son logement.
4. Fermez et fixez le volet.
Résultats
Panneau avant du modèle 34E/MA, 17M/MA
Il se peut que vous deviez retirer et remplacer le panneau pour accéder à des composants ou effectuer
une opération de maintenance.
Retrait du panneau avant du modèle 34E/MA, 17M/MA ou
Il se peut que vous deviez retirer le panneau pour accéder à des composants ou effectuer une opération
de maintenance.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour retirer le panneau avant, procédez comme suit :
1. Si nécessaire, ouvrez le volet avant de l’armoire.
2. Dévissez la vis moletée figurant sur le côté droit du panneau (voir figure suivante).
108
Boîtiers et unités d’extension
Figure 48. Retrait du panneau avant
3. Faites glisser le panneau sur la droite, puis retirez-le de l’unité centrale.
Installation du panneau avant du modèle 34E/MA, 17M/MA
Il se peut que vous deviez installer le panneau après avoir accédé à des composants ou effectué une
opération de maintenance.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour installer le panneau avant, procédez comme suit :
1. Placez le panneau sur la face avant de l’unité centrale en insérant le taquet figurant sur le côté gauche
du panneau à l’emplacement situé sur le côté gauche de l’unité centrale (voir figure suivante).
Chapitre 17. Panneaux et volets
109
Figure 49. Installation du panneau avant
2. Vissez la vis moletée figurant sur le côté droit du panneau.
3. Fermez le volet avant de l’armoire.
110
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 18. Placement de l’unité centrale ou de l’unité
d’extension en maintenance ou en fonctionnement
Il se peut que vous deviez mettre un système ou une unité d’extension en position de maintenance ou de
fonctionnement pour effectuer une opération de maintenance ou accéder à des composants internes.
Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en maintenance
Il se peut que vous deviez effectuer des opérations de maintenance ou accéder à des composants internes
en plaçant l’unité centrale ou l’unité d’extension montée en armoire en position de maintenance.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Remarque : Certaines figures accompagnant ces procédures peuvent ne pas correspondre exactement à
votre unité centrale ou votre unité d’extension. Néanmoins, les procédures demeurent identiques pour
l’exécution de chaque tâche.
111
DANGER
Lorsque vous utilisez le système ou travaillez à proximité de ce dernier, observez les consignes
suivantes :
Le courant électrique provenant de l’alimentation, du téléphone et des câbles de transmission peut
présenter un danger. Pour éviter tout risque de choc électrique :
v Branchez cette unité uniquement avec le cordon d’alimentation fourni par . N’utilisez pas ce
dernier avec un autre produit.
v N’ouvrez pas et n’entretenez pas le bloc d’alimentation électrique.
v Ne manipulez aucun câble et n’effectuez aucune opération d’installation, d’entretien ou de
reconfiguration de ce produit au cours d’un orage.
v Le produit peut être équipé de plusieurs cordons d’alimentation. Pour supprimer tout risque de
danger électrique, débranchez tous les cordons d’alimentation.
v Branchez tous les cordons d’alimentation sur un socle de prise de courant correctement câblé et
mis à la terre. Vérifiez que la tension et l’ordre des phases des prises de courant correspondent
aux informations de la plaque d’alimentation électrique du système.
v Branchez sur des socles de prise de courant correctement câblés tout équipement connecté à ce
produit.
v Lorsque cela est possible, n’utilisez qu’une seule main pour connecter ou déconnecter les câbles
d’interface.
v Ne mettez jamais un équipement sous tension en cas d’incendie ou d’inondation, ou en présence
de dommages matériels.
v Avant de retirer les carters de l’unité, mettez celle-ci hors tension et déconnectez ses cordons
d’alimentation, ainsi que les câbles qui la relient aux réseaux, aux systèmes de
télécommunication et aux modems (sauf mention contraire dans les procédures d’installation et
de configuration).
v Lorsque vous installez, que vous déplacez, ou que vous manipulez le présent produit ou des
périphériques qui lui sont raccordés, reportez-vous aux instructions ci-dessous pour connecter et
déconnecter les différents cordons.
Pour déconnecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Débranchez les cordons d’alimentation des prises.
3. Débranchez les câbles d’interface des connecteurs.
4. Débranchez tous les câbles des unités.
Pour connecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Branchez tous les cordons sur les unités.
3. Branchez les câbles d’interface sur des connecteurs.
4. Branchez les cordons d’alimentation aux prises.
5. Mettez l’unité sous tension.
(D005a)
112
Boîtiers et unités d’extension
DANGER
Observez les consignes suivantes lors de l’utilisation du système en armoire ou lorsque vous
travaillez à proximité de ce dernier :
Un mauvais maniement de l’équipement lourd peut engendrer blessures et dommages matériels.
Abaissez toujours les vérins de mise à niveau de l’armoire.
Installez toujours des équerres de stabilisation sur l’armoire.
Pour prévenir tout danger lié à une mauvaise répartition de la charge, installez toujours les
unités les plus lourdes dans la partie inférieure de l’armoire. Installez toujours les serveurs et les
unités en option en commençant par le bas de l’armoire.
v Un serveur monté en armoire n’est pas une étagère ou un espace de travail. Ne posez pas d’objet
sur un serveur monté en armoire.
v
v
v
v
v Chaque armoire peut être équipée de plusieurs cordons d’alimentation. Avant de manipuler
l’armoire, vous devez débrancher l’ensemble des cordons d’alimentation.
v Reliez toutes les unités installées dans l’armoire aux dispositifs d’alimentation installés dans la
même armoire. Vous ne devez pas brancher le cordon d’alimentation d’une unité installée dans
une armoire au dispositif d’alimentation installé dans une autre armoire.
v Un mauvais câblage du socle de prise de courant peut provoquer une mise sous tension
dangereuse des parties métalliques du système ou des unités qui lui sont raccordées. Il
appartient au client de s’assurer que le socle de prise de courant est correctement câblé et mis à
la terre afin d’éviter tout risque de choc électrique.
ATTENTION
v N’installez pas d’unité dans une armoire dont la température ambiante interne dépasse la
température ambiante que le fabricant recommande pour toutes les unités montées en armoire.
v N’installez pas d’unité dans une armoire où la ventilation n’est pas assurée. Vérifiez que les
côtés, l’avant et l’arrière de l’unité sont correctement ventilés.
v Le matériel doit être correctement raccordé au circuit d’alimentation pour éviter qu’une surcharge
des circuits n’entrave le câblage des dispositifs d’alimentation ou de protection contre les
surintensités. Pour choisir des connexions d’alimentation à l’armoire adaptées, consultez les
étiquettes de puissance nominale situées sur le matériel dans l’armoire afin de déterminer
l’alimentation totale requise par le circuit d’alimentation.
v Armoires dotées de tiroirs coulissants : Si l’armoire n’est pas équipée d’équerres de stabilisation, ne
sortez et n’installez pas de tiroir ou de dispositif. Ne retirez pas plusieurs tiroirs à la fois. Si vous
retirez plusieurs tiroirs simultanément, l’armoire risque de devenir instable.
v Armoires dotées de tiroirs fixes : Sauf indication du fabricant, les tiroirs fixes ne doivent pas être
retirés à des fins de maintenance. Si vous tentez de retirer une partie ou l’ensemble du tiroir,
l’armoire risque de devenir instable et le tiroir risque de tomber.
(R001)
Pour mettre une unité centrale ou une unité d’extension montée en armoire en position de maintenance,
procédez comme suit :
1. Si nécessaire, ouvrez le volet avant de l’armoire.
2. Retirez les deux vis moletées (A) qui maintiennent l’unité centrale ou l’unité d’extension (B) à
l’armoire (voir figure suivante).
Chapitre 18. Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en maintenance ou en fonctionnement
113
Figure 50. Retrait des vis moletées du système et de l’armoire
3. Débloquez les taquets de déverrouillage (A) situés sur les deux côtés de l’unité (voir figure suivante).
Figure 51. Libération des loquets de sécurité
114
Boîtiers et unités d’extension
4. Lisez la remarque suivante, puis tirez doucement l’unité centrale ou l’unité d’extension hors de
l’armoire jusqu’à ce que les glissières soient complètement étendues et bloquées.
Remarque :
v Si vous devez débrancher des câbles figurant à l’arrière de l’unité centrale ou de l’unité d’extension
pour exécuter la procédure, faites-le avant de sortir l’unité de l’armoire.
v Veillez à ne pas bloquer ou plier les câbles situés à l’arrière de l’unité centrale ou de l’unité
d’extension en tirant l’unité hors de l’armoire.
v Vérifiez que les glissières sont complètement étendues. Une fois les glissières complètement
étendues, les taquets de sécurité s’enclenchent. Ils évitent de sortir l’unité centrale ou l’unité
d’extension de manière excessive.
Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en
fonctionnement
Il se peut que vous deviez mettre l’unité centrale ou l’unité d’extension montée en armoire en position de
fonctionnement pour pouvoir utiliser l’unité.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Conseil : Certaines figures accompagnant ces procédures peuvent ne pas correspondre exactement à
votre unité centrale ou votre unité d’extension. Néanmoins, les procédures demeurent identiques pour
l’exécution de chaque tâche.
Pour mettre l’unité centrale ou l’unité d’extension montée en armoire en position de fonctionnement,
procédez comme suit :
1. Relâchez simultanément les taquets de sécurité bleus (A) situés à proximité de l’avant de chaque
glissière, puis poussez l’unité centrale ou l’unité d’extension dans l’armoire, comme indiqué dans la
figure suivante.
Remarque : Veillez à ne pas bloquer ou plier les câbles situés à l’arrière de l’unité centrale ou de
l’unité d’extension lorsque vous poussez l’unité dans l’armoire.
Chapitre 18. Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en maintenance ou en fonctionnement
115
Figure 52. Libération des taquets de sécurité
2. Réinstallez et serrez les deux vis moletées (C) qui maintiennent l’unité centrale ou l’unité d’extension
(A) à l’armoire (voir figure suivante).
Figure 53. Mise en place du système dans l’armoire et fixation des vis moletées
116
Boîtiers et unités d’extension
3. Fermez le volet avant de l’armoire.
Mise en position de maintenance du modèle 03E/4A, 04E/8A monté en
armoire
Il se peut que vous deviez effectuer des opérations de maintenance ou accéder à des composants internes
en plaçant l’unité centrale ou l’unité d’extension montée en armoire en position de maintenance. La
procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Remarque : Certaines figures accompagnant ces procédures peuvent ne pas correspondre exactement à
votre unité centrale ou votre unité d’extension. Néanmoins, les procédures demeurent identiques pour
l’exécution de chaque tâche.
Chapitre 18. Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en maintenance ou en fonctionnement
117
DANGER
Lorsque vous utilisez le système ou travaillez à proximité de ce dernier, observez les consignes
suivantes :
Le courant électrique provenant de l’alimentation, du téléphone et des câbles de transmission peut
présenter un danger. Pour éviter tout risque de choc électrique :
v Branchez cette unité uniquement avec le cordon d’alimentation fourni par . N’utilisez pas ce
dernier avec un autre produit.
v N’ouvrez pas et n’entretenez pas le bloc d’alimentation électrique.
v Ne manipulez aucun câble et n’effectuez aucune opération d’installation, d’entretien ou de
reconfiguration de ce produit au cours d’un orage.
v Le produit peut être équipé de plusieurs cordons d’alimentation. Pour supprimer tout risque de
danger électrique, débranchez tous les cordons d’alimentation.
v Branchez tous les cordons d’alimentation sur un socle de prise de courant correctement câblé et
mis à la terre. Vérifiez que la tension et l’ordre des phases des prises de courant correspondent
aux informations de la plaque d’alimentation électrique du système.
v Branchez sur des socles de prise de courant correctement câblés tout équipement connecté à ce
produit.
v Lorsque cela est possible, n’utilisez qu’une seule main pour connecter ou déconnecter les câbles
d’interface.
v Ne mettez jamais un équipement sous tension en cas d’incendie ou d’inondation, ou en présence
de dommages matériels.
v Avant de retirer les carters de l’unité, mettez celle-ci hors tension et déconnectez ses cordons
d’alimentation, ainsi que les câbles qui la relient aux réseaux, aux systèmes de
télécommunication et aux modems (sauf mention contraire dans les procédures d’installation et
de configuration).
v Lorsque vous installez, que vous déplacez, ou que vous manipulez le présent produit ou des
périphériques qui lui sont raccordés, reportez-vous aux instructions ci-dessous pour connecter et
déconnecter les différents cordons.
Pour déconnecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Débranchez les cordons d’alimentation des prises.
3. Débranchez les câbles d’interface des connecteurs.
4. Débranchez tous les câbles des unités.
Pour connecter les cordons :
1. Mettez toutes les unités hors tension (sauf mention contraire).
2. Branchez tous les cordons sur les unités.
3. Branchez les câbles d’interface sur des connecteurs.
4. Branchez les cordons d’alimentation aux prises.
5. Mettez l’unité sous tension.
(D005a)
118
Boîtiers et unités d’extension
DANGER
Observez les consignes suivantes lors de l’utilisation du système en armoire ou lorsque vous
travaillez à proximité de ce dernier :
Un mauvais maniement de l’équipement lourd peut engendrer blessures et dommages matériels.
Abaissez toujours les vérins de mise à niveau de l’armoire.
Installez toujours des équerres de stabilisation sur l’armoire.
Pour prévenir tout danger lié à une mauvaise répartition de la charge, installez toujours les
unités les plus lourdes dans la partie inférieure de l’armoire. Installez toujours les serveurs et les
unités en option en commençant par le bas de l’armoire.
v Un serveur monté en armoire n’est pas une étagère ou un espace de travail. Ne posez pas d’objet
sur un serveur monté en armoire.
v
v
v
v
v Chaque armoire peut être équipée de plusieurs cordons d’alimentation. Avant de manipuler
l’armoire, vous devez débrancher l’ensemble des cordons d’alimentation.
v Reliez toutes les unités installées dans l’armoire aux dispositifs d’alimentation installés dans la
même armoire. Vous ne devez pas brancher le cordon d’alimentation d’une unité installée dans
une armoire au dispositif d’alimentation installé dans une autre armoire.
v Un mauvais câblage du socle de prise de courant peut provoquer une mise sous tension
dangereuse des parties métalliques du système ou des unités qui lui sont raccordées. Il
appartient au client de s’assurer que le socle de prise de courant est correctement câblé et mis à
la terre afin d’éviter tout risque de choc électrique.
ATTENTION
v N’installez pas d’unité dans une armoire dont la température ambiante interne dépasse la
température ambiante que le fabricant recommande pour toutes les unités montées en armoire.
v N’installez pas d’unité dans une armoire où la ventilation n’est pas assurée. Vérifiez que les
côtés, l’avant et l’arrière de l’unité sont correctement ventilés.
v Le matériel doit être correctement raccordé au circuit d’alimentation pour éviter qu’une surcharge
des circuits n’entrave le câblage des dispositifs d’alimentation ou de protection contre les
surintensités. Pour choisir des connexions d’alimentation à l’armoire adaptées, consultez les
étiquettes de puissance nominale situées sur le matériel dans l’armoire afin de déterminer
l’alimentation totale requise par le circuit d’alimentation.
v Armoires dotées de tiroirs coulissants : Si l’armoire n’est pas équipée d’équerres de stabilisation, ne
sortez et n’installez pas de tiroir ou de dispositif. Ne retirez pas plusieurs tiroirs à la fois. Si vous
retirez plusieurs tiroirs simultanément, l’armoire risque de devenir instable.
v Armoires dotées de tiroirs fixes : Sauf indication du fabricant, les tiroirs fixes ne doivent pas être
retirés à des fins de maintenance. Si vous tentez de retirer une partie ou l’ensemble du tiroir,
l’armoire risque de devenir instable et le tiroir risque de tomber.
(R001)
Pour mettre l’unité centrale ou l’unité d’extension montée en armoire en position de maintenance,
procédez comme suit :
1. Si nécessaire, ouvrez le volet avant de l’armoire.
2. Retirez les deux vis moletées (A) qui maintiennent l’unité centrale à l’armoire (voir figure suivante).
3. Débloquez les taquets de sécurité (B) situés sur les deux côtés de l’unité (voir figure suivante).
Chapitre 18. Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en maintenance ou en fonctionnement
119
Figure 54. Libération des loquets de sécurité
4. Lisez la remarque suivante, puis tirez doucement l’unité centrale ou l’unité d’extension hors de
l’armoire jusqu’à ce que les glissières soient complètement étendues et bloquées.
Remarque :
v Si vous devez débrancher des câbles figurant à l’arrière de l’unité centrale ou de l’unité d’extension
pour exécuter la procédure, faites-le avant de sortir l’unité de l’armoire.
v Veillez à ne pas bloquer ou plier les câbles situés à l’arrière de l’unité centrale ou de l’unité
d’extension en tirant l’unité hors de l’armoire.
v Vérifiez que les glissières sont complètement étendues. Une fois les glissières complètement
étendues, les taquets de sécurité s’enclenchent. Ils évitent de sortir l’unité centrale ou l’unité
d’extension de manière excessive.
Mise en position de fonctionnement de l’unité 03E/4A, 04E/8A montée
en armoire
Il se peut que vous deviez mettre l’unité centrale ou l’unité d’extension montée en armoire en position de
fonctionnement pour pouvoir l’utiliser.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Conseil : Certaines figures accompagnant ces procédures peuvent ne pas correspondre exactement à
votre unité centrale ou votre unité d’extension. Néanmoins, les procédures demeurent identiques pour
l’exécution de chaque tâche.
1. Relâchez simultanément les taquets de sécurité bleus (B) situés à proximité de l’avant de chaque
glissière, puis poussez l’unité centrale ou l’unité d’extension dans l’armoire, comme indiqué dans la
figure suivante.
120
Boîtiers et unités d’extension
Remarque : Veillez à ne pas bloquer ou plier les câbles situés à l’arrière de l’unité centrale ou de
l’unité d’extension en poussant l’unité dans l’armoire.
Figure 55. Libération des taquets de sécurité
2. Réinstallez et serrez les deux vis moletées (C) qui maintiennent l’unité centrale ou l’unité d’extension
(A) à l’armoire (voir figure suivante).
Chapitre 18. Placement de l’unité centrale ou de l’unité d’extension en maintenance ou en fonctionnement
121
Figure 56. Remplacement des vis moletées
3. Fermez le volet avant de l’armoire.
122
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 19. Affichage des niveaux existants du
microprogramme
Description de la méthode d’affichage du niveau du microprogramme actuellement exécuté sur le
serveur.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Vous pouvez afficher le niveau en cours et le niveau de sauvegarde du microprogramme de serveur sur
le système géré.
Utilisation de la console HMC pour afficher les niveaux du
microprogramme existants
Apprenez à afficher le niveau du microprogramme actuellement exécuté sur le serveur à l’aide de la
console HMC.
1. Dans la zone de navigation, cliquez sur Mises à jour.
2. Vérifiez que l’état du système géré est Hors tension, Veille ou En fonctionnement.
3. Notez le niveau indiqué dans la zone du numéro CEE. (exemple : 01EM310).
Utilisation de l’interface ASMI pour afficher le niveau existant du
microprogramme de serveur
Apprenez à utilisez l’interface ASMI pour afficher le niveau du microprogramme actuellement exécuté
sur le serveur.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Sur l’écran d’accueil de l’interface ASMI, le niveau actuel du microprogramme de serveur est indiqué
dans l’angle supérieur droit, sous la mention de copyright. Par exemple : 01EM310.
123
124
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 20. Installation d’un dispositif via la console HMC
L’interface utilisateur de la console HMC (Hardware Management Console) permet d’effectuer un grand
nombre de procédures de maintenance, telles que l’installation d’un nouveau dispositif ou composant.
Avant de commencer
Pour employer l’interface utilisateur de la console HMC (Hardware Management Console) pour installer
un dispositif ou un composant dans une unité centrale ou une unité d’extension gérée par une console
HMC, procédez comme suit :
1. Dans la zone de navigation, cliquez sur Gestion de systèmes.
2. Cliquez sur Serveurs.
3. Sélectionnez le système géré sur lequel vous allez installer le composant.
4. Dans la zone de tâches, cliquez sur Maintenabilité.
5. Cliquez sur Matériel.
6. Sélectionnez Ajout d’une FRU.
7. Dans la fenêtre Ajout/Installation/Suppression de matériel, sélectionnez le système ou le boîtier
dans lequel vous installez le dispositif.
8. Sélectionnez dans la liste le type de dispositif que vous souhaitez installer et cliquez sur Suivant.
9. Sélectionnez le code d’emplacement pour l’installation du dispositif et cliquez sur Ajouter.
10. Une fois que l’unité FRU figure dans les actions en attente, cliquez sur Lancer la procédure et suivez
les instructions d’installation du dispositif.
Remarque : La console HMC peut afficher des instructions expliquant comment installer le
dispositif. Dans ce cas, suivez ces instructions.
Retrait d’un composant via la console HMC
La console HMC (Hardware Management Console) facilite le retrait d’un composant de votre système
géré.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour employer l’interface utilisateur de la console HMC (Hardware Management Console) afin de retirer
un composant dans une unité centrale ou une unité d’extension gérée par une console HMC, procédez
comme suit :
1. Dans la zone de navigation, cliquez sur Gestion de systèmes.
2. Cliquez sur Serveurs.
3. Sélectionnez le système géré sont vous souhaitez retirer un composant.
Dans la zone de tâches, cliquez sur Maintenabilité.
Cliquez sur Matériel.
Sélectionnez Retrait d’une FRU.
Dans la fenêtre Ajout/Installation/Suppression de matériel - Suppression de FRU, Sélection du type
de FRU, sélectionnez le système ou le boîtier duquel vous retirez le composant.
8. Sélectionnez dans la liste le type de composant que vous souhaitez retirer et cliquez sur Suivant.
9. Sélectionnez l’emplacement du composant que vous retirez et cliquez sur Ajouter.
10. Une fois que le composant figure dans la liste Actions en attente, cliquez sur Lancer la procédure et
suivez les instructions de retrait du composant.
4.
5.
6.
7.
125
Remarque : La console HMC peut afficher des instructions de l’Information Center expliquant
comment retirer le composant. Dans ce cas, suivez les instructions pour retirer le composant.
Echange d’un composant via la console HMC
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Si vous procédez à un échange de composant dans le but de solutionner un événement réparable, suivez
ces instructions. Si vous échangez un composant dans le cadre d’une autre procédure à l’aide de la
version 7 ou d’une version ultérieure de la console HMC, procédez comme suit : «Echange du
composant à l’aide de la version 7 de la console HMC».
Echange du composant à l’aide de la version 7 de la console HMC
Dans la zone de navigation, cliquez sur Gestion de systèmes.
Cliquez sur Serveurs.
Sélectionnez le système géré dont vous souhaitez remplacer un composant.
Dans la zone de tâches, cliquez sur Maintenabilité.
Cliquez sur Matériel.
Sélectionnez Echange de FRU.
Dans la fenêtre Remplacement de matériel - Remplacement de FRU, Sélectionnez le type de FRU,
sélectionnez le système ou le boîtier dans lequel vous souhaitez échanger un composant listé.
8. Sélectionnez dans la liste le type de composant que vous souhaitez échanger et cliquez sur Suivant.
9. Sélectionnez dans la liste le code d’emplacement du composant que vous souhaitez échanger et
cliquez sur Ajouter.
10. Une fois que le composant figure dans la liste des actions en attente, cliquez sur Lancer la
procédure et suivez les instructions d’échange du composant.
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Remarque : La console HMC peut afficher des instructions concernant le replacement du composant.
Dans ce cas, suivez les instructions pour remplacer le composant.
126
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification
L’outil Hardware Service Manager permet de vérifier les communications ou les périphériques.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour vérifier des communications ou des périphériques sur n’importe quel modèle à l’aide de l’outil
Hardware Service Manager Verify (Vérification), procédez comme suit :
Remarque : Avant d’effectuer un test de vérification, assurez-vous que le client n’utilise pas la ressource
à tester et que les travaux de communication de la ressource à tester sont terminés.
1. Dans l’écran Start a Service Tool, sélectionnez l’option Hardware Service Manager.
2. Dans l’écran Hardware Service Manager, sélectionnez Logical hardware resources.
3. Dans l’écran Logical Hardware Resources, sélectionnez l’option System bus resources.
Cet écran contient la liste des processeurs d’E-S.
4. Sélectionnez l’option Resources associated with IOP pour le processeur d’E-S connecté dans la liste.
5. Sélectionnez l’option Verify pour les communications, la bande, l’unité d’archivage optique ou
l’adaptateur File Server à tester.
6. Selon que le test réussit ou échoue, le système affiche le message Test is successful ou Test failed.
La procédure est terminée.
Résultats
Remarques :
1. Les unités matérielles peuvent effectuer des tests automatiques à la mise sous tension.
2. Vous pouvez tester un certain nombre de postes de travail à l’aide de la touche de fonction Test
Request lors de l’affichage de l’écran de connexion Sign On du système d’exploitation.
3. Pour connaître les tests hors connexion que vous pouvez lancer, reportez-vous au manuel spécifique à
l’appareil.
Vérification de la présence d’un dispositif installé ou d’un composant
remplacé sur un système ou une partition logique AIX
Si vous avez installé un dispositif ou remplacé un composant, il est recommandé d’utiliser les outils AIX
pour vérifier que ce dispositif ou composant est reconnu par le système ou la partition logique. La
procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour vérifier le fonctionnement d’un dispositif ou d’un composant de rechange récemment installé,
sélectionnez la procédure appropriée :
v Vérification du dispositif installé via AIX
v Vérification du composant de rechange via AIX
Vérifiez le dispositif installé via AIX :
1. Connectez-vous en tant qu’utilisateur root.
2. A l’invite, tapez diag et appuyez sur Entrée.
3. Sélectionnez Programmes de diagnostic, mode étendu. Appuyez sur Entrée.
127
4. Dans le menu Sélection du mode de diagnostic, sélectionnez Vérification du système. Appuyez sur
Entrée.
5. Dans le menu Sélection des tests de diagnostic, mode étendu, exécutez l’une des procédures
suivantes :
v Pour tester une seule ressource, sélectionnez la ressource que vous venez d’installer dans la liste
des ressources et appuyez sur Entrée.
v Pour tester toutes les ressources disponibles du système d’exploitation, sélectionnez Toutes les
ressources et appuyez sur Entrée.
6. Sélectionnez Validation, puis attendez la fin de l’exécution des programmes de diagnostic en
répondant aux invites éventuelles.
7. Les programmes de diagnostic ont-ils été exécutés complètement avant d’afficher le message Aucun
incident n’a été détecté ?
v Non : Si un code SRN (Service Request Number - numéro de demande d’intervention) ou un autre
code de référence s’affiche, il est possible qu’un adaptateur ou qu’un câble ne soit pas bien fixé.
Passez en revue les procédures d’installation pour vérifier que le nouveau dispositif est installé
correctement. Si vous ne parvenez pas à corriger l’incident, rassemblez tous les codes SRN et autres
codes de référence éventuels. Si le système fonctionne en mode de partitionnement logique, notez la
partition logique sur laquelle le dispositif est installé. Pour obtenir de l’aide, contactez votre
fournisseur de services.
v Oui : Le nouveau dispositif est installé correctement. Quittez les programmes de diagnostic et
revenez en mode de fonctionnement normal.
Vérification du composant de rechange via AIX
Pour vérifier le fonctionnement d’un dispositif ou d’un composant de rechange récemment installé,
procédez comme suit :
1. Avez-vous remplacé le composant à l’aide d’AIX ou des opérations de remplacement à chaud du
service de diagnostic en ligne ?
Non : Passez à l’étape 2.
Oui : Passez à l’étape 5, à la page 129.
2. Le système est-il hors tension ?
Oui : Si le système prend en charge l’initialisation lente, configurez la fonction. Pour plus
d’informations, voir «Utilisation de la console HMC pour une initialisation lente», à la page 130.
Non : Passez à l’étape 4.
3. Démarrez le système et attendez que l’invite de connexion du système d’exploitation AIX s’affiche
ou que l’activité apparente du système sur le panneau de commande ou l’écran s’arrête.
Avez-vous vu l’invite de connexion AIX ?
v Oui : Passez à l’étape 4.
v Non : Si un code SRN ou un autre code de référence s’affiche, il est possible qu’un adaptateur ou
qu’un câble ne soit pas bien fixé. Passez en revue les procédures de remplacement pour vérifier
que le nouveau composant est installé correctement. Si vous ne parvenez pas à corriger l’incident,
rassemblez tous les codes SRN et autres codes de référence éventuels. Si le système ne démarre
pas ou que l’invite de connexion ne s’affiche pas, voir la rubrique relative aux .
Si le système est partitionné, notez la partition logique sur laquelle vous avez remplacé le
composant. Pour obtenir de l’aide, contactez votre fournisseur de services.
4. A l’invite, tapez diag —a et appuyez sur Entrée pour vérifier s’il manque des ressources. Si une invite
s’affiche, passez à l’étape 5, à la page 129.
Si le menu de sélection des tests de diagnostic s’affiche avec un M en regard d’une ressource,
procédez comme suit :
a. Sélectionnez la ressource, puis appuyez sur Entrée.
128
Boîtiers et unités d’extension
b. Sélectionnez Validation.
c. Suivez les instructions affichées.
d. Si un message vous demande si vous souhaitez revoir l’erreur affichée précédemment, cliquez
sur Oui et appuyez sur Entrée.
e. Si le système génère un code SRN, une carte ou un câble est probablement mal connecté. Si
aucun incident évident n’apparaît, notez le code SRN et contactez votre fournisseur de services
pour obtenir de l’aide..
f. Si aucun code SRN ne s’affiche, passez à l’étape 5.
5. Testez le composant en effectuant les opérations suivantes :
a. A l’invite, tapez diag et appuyez sur Entrée.
b. Dans le menu Sélection des fonctions, sélectionnez Programmes de diagnostic, mode étendu.
Appuyez sur Entrée.
c. Dans le menu Sélection du mode de diagnostic, sélectionnez Vérification du système. Appuyez
sur Entrée.
d. Sélectionnez Toutes les ressources ou les programmes de diagnostic du composant pour tester
uniquement le composant remplacé ou les unités qui y raccordées. Appuyez sur Entrée.
Le menu Action corrective sur ressource s’est-il affiché ?
Non : Passez à l’étape 6.
Oui : Passez à l’étape 7.
6. Le message Test terminé, Aucun incident n’a été détecté s’est-il affiché ?
v Non : Il existe encore un incident. Contactez votre fournisseur de services. La procédure est
terminée.
v Oui : Si l’incident ne figure pas dans le journal des erreurs, sélectionnez Consignation d’action
corrective dans le menu Sélection des tâches pour mettre à jour le journal des erreurs AIX. Si la
réparation consistait à remettre en place un câble ou une carte, sélectionnez la ressource
correspondante. Si la ressource n’apparaît pas dans la liste des ressources, sélectionnez sysplanar0.
Appuyez sur Entrée.
Conseil : Le voyant du composant passe de l’état Incident à l’état normal.
Passez à l’étape 9, à la page 130.
7. En cas de test réussi sur une ressource en mode de vérification du système, dont une entrée figure
dans le journal des erreurs AIX, le menu Action corrective sur ressource apparaît. Après avoir remplacé
un composant, vous devez sélectionner sa ressource dans le menu Action corrective sur ressource. Le
journal des erreurs AIX est mis à jour, indiquant qu’un composant détectable par le système a été
remplacé.
Remarque : Sur les systèmes équipés d’un voyant correspondant au composant défaillant, le voyant
passe à l’état normal.
Procédez comme suit :
a. Dans le menu Action corrective sur ressource, sélectionnez la ressource remplacée. Si la réparation
consistait à remettre en place un câble ou une carte, sélectionnez la ressource correspondante. Si
la ressource associée à votre action n’apparaît pas dans la liste des ressources, sélectionnez
sysplanar0. Appuyez sur Entrée.
b. Sélectionnez Validation une fois les sélections effectuées. L’écran Action corrective sur ressource
s’est-il affiché de nouveau ?
Non : Si l’écran Aucun incident détecté apparaît, passez à l’étape 9, à la page 130.
Oui : Passez à l’étape 8, à la page 130.
Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification
129
8. Vous devrez sans doute effectuer une réparation également sur le composant parent ou enfant de la
ressource que vous venez de remplacer. En cas de test réussi sur une ressource en mode de
vérification du système, dont une entrée figure dans le journal des erreurs AIX, le menu Action
corrective sur ressource apparaît. Après avoir remplacé le composant concerné, vous devez sélectionner
sa ressource dans le menu Action corrective sur ressource. Le journal des erreurs AIX est mis à jour,
indiquant qu’un composant détectable par le système a été remplacé.
Remarque : Le voyant du composant passe de l’état Incident à l’état normal.
Procédez comme suit :
a. Dans le menu Action corrective sur ressource, sélectionnez le composant parent ou enfant de la
ressource remplacée. Si la réparation consistait à remettre en place un câble ou une carte,
sélectionnez la ressource correspondante. Si la ressource associée à votre action n’apparaît pas
dans la liste des ressources, sélectionnez sysplanar0. Appuyez sur Entrée.
b. Sélectionnez Validation une fois les sélections effectuées.
c. Si l’écran Aucun incident détecté apparaît, passez à l’étape 9.
9. Si vous avez modifié les paramètres du processeur de service ou du réseau (voir procédures
précédentes), restaurez la valeur initiale des paramètres.
10. Avez-vous exécuté des procédures de remplacement à chaud avant cette procédure ?
Non : Passez à l’étape 11.
Oui : Passez à l’étape 12.
11. Démarrez le système d’exploitation (système ou partition logique en mode normal). Avez-vous pu
démarrer le système d’exploitation ?
Non : Contactez votre fournisseur de services. La procédure est terminée.
Oui : Passez à l’étape 12.
12. Les voyants sont-ils encore allumés ?
v Non. Cela marque la fin de la procédure.
v Oui : Désactivez les voyants. Pour plus d’informations, choisissez la rubrique appropriée :
– «Modification des voyants d’activité», à la page 131
Utilisation de la console HMC pour une initialisation lente
Description de la réalisation d’une initialisation lente à l’aide de la console HMC.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Dans certains cas, vous devrez procéder à une initialisation lente pour pouvoir effectuer des diagnostics
étendus.
Remarque : L’initialisation lente peut provoquer l’apparition sur le panneau de commande d’un nouveau
code de référence ou de nouvelles erreurs dans le journal des erreurs du processeur de service. Notez
pour pouvoir les réutiliser ultérieurement tous les nouveaux codes d’erreur signalés par le serveur.
1. Notez tous les codes de référence apparaissant sur le panneau de commande ou sur la console HMC.
Pour obtenir plus de détails, voir Collecte de codes de référence et d’informations système.
2. Arrêtez toutes les partitions logiques et le serveur.
3. Dans la zone de navigation, sélectionnez Gestion de systèmes → Serveurs.
4. Sélectionnez le serveur sur lequel vous effectuez une initialisation lente.
5. Dans la partie Tâches de la zone de contenu, sélectionnez Propriétés.
6. Cliquez sur l’onglet Paramètres de mise sous tension.
7. Notez le paramètre d’amorçage actuel dans la liste des vitesses d’allumage.
8. Sélectionnez lent dans la liste des vitesses d’allumage.
130
Boîtiers et unités d’extension
Remarque : Ces paramètres s’appliqueront à toutes les initialisations ultérieures. Une fois l’action de
service terminée, revenez aux paramètres que vous aviez notés à l’étape 7, à la page 130.
9. Cliquez sur OK.
10. Revenez ensuite à l’étape de la procédure qui vous a amené à effectuer une initialisation lente. La
procédure est terminée.
Utilisation du panneau de commande pour la collecte des codes de référence et
des informations système
Lorsqu’elles sont sélectionnées, les fonctions 11 à 20 du panneau de commande affichent les codes de
référence ainsi que les informations système.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Remarque : Assurez-vous que vous disposez d’une copie imprimée du formulaire de rapport d’incident
afin de documenter les informations que vous collectez à ce stade.
Pour recueillir les codes de référence et les informations système à l’aide du panneau de commande,
procédez comme suit
1. Sur le panneau de commande, appuyez sur le bouton d’incrémentation jusqu’à ce que la fonction 11
s’affiche sur l’écran Fonctions/Données.
2. Appuyez sur le bouton du milieu.
3. Enregistrez ces données.
4. Répétez les étapes 1 à 3 pour les fonctions 12 à 20, jusqu’à ce que vous ayez enregistré le type
d’ordinateur, le modèle, le numéro de série affichés par la fonction 20.
Résultats
Remarques :
1. Si le numéro 11 apparaît dans l’écran Fonctions/Données du panneau de commande, les numéros
suivants sont les codes de référence.
2. Si le numéro affiché dans l’écran Fonctions/Données n’est pas 11, il se peut qu’il ne corresponde pas
à un incident système. Ces codes de référence peuvent correspondre à des fonctions que vous
sélectionnez à partir de l’écran du panneau de commande.
3. Si vous disposez d’une console affichant une colonne Type et une colonne Code de référence,
enregistrez les données figurant dans la colonne Type comme étant les quatre premiers caractères de
la fonction 11 dans le formulaire de rapport d’incident. Si la lettre A, B, C ou D figure comme
caractère initial de la colonne Type, utilisez les données de la colonne de code de référence comme les
quatre derniers caractères de la fonction 11.
Modification des voyants d’activité
Désactivation du voyant qui signale les incidents, activation des voyants du boîtier, modification des
codes d’emplacement des voyants et test des voyants sur le panneau de commande.
Les voyants d’activité vous avertissent lorsqu’un système requiert une intervention ou une opération de
maintenance. Ils permettent également d’identifier une unité remplaçable sur site (FRU) ou un boîtier
déterminé au sein du système.
Il existe une hiérarchie entre les voyants FRU et les voyants des boîtiers. Lorsqu’un voyant FRU est à
l’état d’identification, le voyant correspondant sur un boîtier affiche automatiquement l’état identification.
Vous ne pouvez pas désactiver le voyant du boîtier tant que les voyants FRU de ce boîtier ne sont pas
eux-mêmes désactivés.
Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification
131
Désactivation du voyant d’avertissement système
Le voyant d’avertissement système délivre un signal visuel indiquant que le système dans son ensemble
requiert l’attention ou une intervention de l’utilisateur.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Chaque système est équipé d’un voyant d’avertissement système unique. Lors de la survenue d’un
événement nécessitant une intervention de votre part ou du service d’assistance, le voyant
d’avertissement système s’allume fixement. Le voyant d’avertissement système s’allume lorsqu’une entrée
est consignée dans le journal des erreurs du processeur de support. L’erreur est transmise au niveau des
journaux d’erreurs du système et du système d’exploitation.
Pour effectuer cette opération, vous devez posséder l’un des niveaux d’autorisation suivants :
v Administrateur
v Prestataire de maintenance agréé
Pour éteindre un voyant d’avertissement système, procédez comme suit :
1. Dans la fenêtre d’accueil de l’interface ASMI, indiquez votre ID utilisateur et votre mot de passe, et
cliquez sur Connexion.
2. Dans la zone de navigation, développez Configuration système, puis sélectionnez Voyants d’activité.
3. Sélectionnez l’option Voyant d’avertissement système.
4. Dans la sous-fenêtre de droite, cliquez sur Eteindre le voyant d’avertissement système. Si vous ne
parvenez pas à éteindre le voyant d’avertissement système, un message d’erreur s’affiche.
Vérification de la présence d’un composant remplacé sur un système
ou une partition logique Linux (exécution de diagnostics AIX)
Si vous avez installé un nouveau composant, utilisez les instructions de cette section pour savoir
comment vérifier que le système reconnaît ce composant.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour vérifier un composant que vous venez d’installer ou de remplacer, poursuivez avec «Vérification de
la présence d’un composant installé via les programmes de diagnostic autonomes».
Vérification de la présence d’un composant installé via les
programmes de diagnostic autonomes
Si vous avez installé ou remplacé un composant, vérifiez que le système le reconnaît. La procédure de
cette section permet d’effectuer cette tâche.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Vous pouvez utiliser les programmes de diagnostic autonomes pour vérifier un composant installé sur un
système Linux, une unité d’extension ou une partition logique. Pour accéder aux programmes de
diagnostic, utilisez le CD-ROM approprié ou le serveur NIM (Network Installation Management). La
procédure suivante explique comment utiliser les programmes de diagnostic depuis le CD-ROM. Pour
savoir comment exécuter les programmes de diagnostic à partir du serveur NIM, voir «Exécution de
diagnostics autonomes à partir d’un serveur NIM», à la page 134.
Conditions préalables
v Si le serveur est directement connecté à un autre serveur ou à un réseau, vérifiez que la
communication avec les autres serveurs est interrompue.
132
Boîtiers et unités d’extension
v Les programmes de diagnostic autonomes doivent utiliser l’ensemble des ressources de la partition
logique. Aucune autre activité ne peut être exécutée sur la partition.
v Les programmes de diagnostic autonomes doivent accéder à la console système.
Pour utiliser les programmes de diagnostic autonomes, procédez comme suit :
1. Arrêtez les travaux et les applications, puis arrêtez le système d’exploitation sur le système ou la
partition logique.
2. Retirez les bandes, les disquettes et les CD-ROM.
3. Mettez l’unité centrale hors tension. L’étape suivante permet d’initialiser le serveur ou la partition
logique depuis le CD-ROM des programmes de diagnostic autonomes . Si l’unité de disque optique
n’est pas configurée comme unité d’amorçage sur le serveur ou la partition logique que vous
utilisez, procédez comme suit :
a. Lancez l’interface ASMI. Pour savoir comment utiliser l’interface ASMI, voir «Accès à l’interface
ASMI sans console HMC», à la page 67.
b. Dans le menu principal de l’interface ASMI, cliquez sur Contrôle d’alimentation/redémarrage.
c. Cliquez sur Mettre le système sous/hors tension.
d. Dans le menu déroulant des modes d’initialisation de la partition logique AIX/Linux,
sélectionnez l’option Amorçage du mode service à partir de la liste par défaut.
e. Cliquez sur Sauvegarder les paramètres et mettre sous tension. Dès que l’unité de disque
optique est sous tension, insérez le CD-ROM des programmes de diagnostic autonomes .
f. Passez à l’étape 5.
4. Mettez l’unité centrale sous tension, puis insérez immédiatement le CD-ROM des programmes de
diagnostic dans l’unité de disque optique.
5. Après l’affichage du voyant POST clavier sur la console système et avant l’affichage du dernier
voyant POST (haut-parleur), appuyez sur la touche numérique 5 de la console système pour
indiquer qu’une initialisation en mode service doit être effectuée au moyen de la liste des unités
d’amorçage en mode service par défaut.
6. Tapez le mot de passe requis.
7. Dans l’écran des instructions d’exécution des tests de diagnostic, appuyez sur Entrée.
Remarque : Si un code SRN ou un autre code de référence s’affiche, il est possible qu’un adaptateur
ou un câble ne soit pas bien fixé.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
Remarque : Si le système a généré un code SRN ou un autre code de référence alors que vous
tentiez de le démarrer, contactez votre fournisseur de service pour obtenir de l’aide.
Si le type de terminal est requis, vous devez choisir l’option Initialisation du terminal du menu
Sélection des fonctions pour initialiser le système d’exploitation avant de continuer le diagnostic.
Dans le menu Sélection des fonctions, sélectionnez Programmes de diagnostic, mode étendu.
Appuyez sur Entrée.
Dans le menu Sélection du mode de diagnostic, sélectionnez Vérification du système. Appuyez sur
Entrée.
Dans le menu Sélection des tests de diagnostic, mode étendu, sélectionnez Toutes les ressources ou
testez uniquement le composant remplacé ou les unités qui lui sont raccordées en sélectionnant les
programmes de diagnostic appropriés. Appuyez sur Entrée.
Le message Test terminé, Aucun incident n’a été détecté s’est-il affiché ?
v Non : Il existe encore un incident. Contactez votre fournisseur de services.
v Oui : Passez à l’étape 13.
Si vous avez modifié les paramètres du processeur de service ou du réseau (voir procédures
précédentes), restaurez la valeur initiale des paramètres.
Si les voyants sont toujours allumés, procédez comme suit :
Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification
133
a. Dans le menu Sélection des tâches, choisissez Indicateurs d’identification et d’avertissement pour
désactiver les voyants d’identification et d’avertissement. Appuyez sur Entrée.
b. Sélectionnez Mettre l’indicateur d’avertissement système à NORMAL, puis appuyez sur Entrée.
c. Sélectionnez Mettre tous les indicateurs d’identification à NORMAL, puis appuyez sur Entrée.
d. Sélectionnez Validation.
Remarque : Les voyants d’identification et d’incident passent de l’état Incident à l’état Normal.
e. Retournez à la ligne de commande.
Exécution de diagnostics autonomes à partir d’un serveur NIM
Si AIX est installé mais qu’il ne peut pas être démarré, ou si Linux est installé, vous pouvez exécuter les
diagnostics à partir d’un serveur NIM (Network Installation Management).
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Remarque : N’effectuez cette procédure que si vous y êtes invité par une autre procédure ou par votre
assistance technique.
Les diagnostics, qui sont disponibles pour les systèmes et les partitions logiques AIX et Linux, vous
permettent d’effectuer l’analyse du matériel. En cas d’incident, vous recevez un numéro de demande
d’intervention (SRN) permettant d’identifier l’incident et d’opter pour une action corrective.
Un système client connecté à un réseau avec un serveur NIM peut initialiser des diagnostics autonomes à
partir de ce serveur NIM si les paramètres propres à ce client sont correctement configurés tant sur le
serveur que sur le client.
Remarques :
v Dans le cas de clients NIM qui disposent d’adaptateurs nécessitant normalement l’installation d’un
support supplémentaire lors de l’exécution de diagnostics autonomes à partir d’un CD, le code de prise
en charge de ces adaptateurs doit être installé sur le répertoire sur lequel pointe le NIM SPOT à partir
duquel vous voulez initialiser ce client. Avant d’exécuter des diagnostics autonomes sur ces clients à
partir du serveur NIM, l’administrateur système de ce dernier doit s’assurer que le serveur comporte
bien tout le code permettant la prise en charge de ces unités.
v Toutes les opérations de configuration du serveur NIM exigent de disposer des permissions
superutilisateur.
v En cas de remplacement de l’adaptateur réseau sur le client, les paramètres d’adressage matériel de cet
adaptateur doivent être mis à jour sur le serveur NIM.
v Vérifiez que le Cstate sur le serveur NIM de chacun des clients de diagnostics autonomes est conservé
à l’état initialisation des diagnostics activée.
v Sur le système client, l’adaptateur réseau du serveur NIM doit figurer dans la liste des unités
d’amorçage après l’unité d’initialisation. Cela permet au système de s’initialiser en mode diagnostics
autonomes à partir du serveur NIM dans l’éventualité d’un incident avec l’initialisation à partir de
l’unité de disque.
Configuration du serveur NIM
Pour plus d’informations sur l’exécution des tâches suivantes, reportez-vous au chapitre sur l’exécution
des tâches de configuration NIM avancées du guide d’installation et de migration AIX. Prenez contact
avec votre support pour vous procurer le guide.
v Enregistrement d’un client sur le serveur NIM
v Habilitation d’un client pour l’exécution de diagnostics à partir du serveur NIM
134
Boîtiers et unités d’extension
Pour vérifier si le système client est bien enregistré sur le serveur NIM et que l’initialisation des
diagnostics est bien activée pour ce client, exécutez la commande à partir de la ligne de commande du
serveur NIM : lsnim -a Cstate -z ClientName. Consultez les réponses du système dans le tableau suivant.
Remarque : ClientName est le nom du système sur lequel vous voulez effectuer les diagnostics en mode
autonome.
Tableau 12. Vérification de l’enregistrement du système client sur le serveur NIM et de l’activation de l’initialisation
des diagnostics
Réponse du système
Statut du client
#name:Cstate:ClientName:diagnostic boot has been
enabled (l’initialisation de diagnostics a été activée) :
Le système client est bien enregistré sur le serveur NIM
et l’initialisation des diagnostics à partir du serveur NIM
est bien activée pour ce client.
#name:Cstate:ClientName:ready for a NIM operation
(prêt pour une opération NIM) : ou
#name:Cstate:ClientName:B0S installation has been
enabled (l’installation B0S a été activée) :
Le système client est bien enregistré sur le serveur NIM
mais l’exécution de diagnostics à partir du serveur NIM
n’a pas été activée pour ce client.
Remarque : Si le système client est bien enregistré sur le
serveur NIM mais que CState n’a pas été défini, il ne
sera retourné aucune donnée.
0042–053 lsnim: there is no NIM object named
″ClientName″
Le client n’est pas enregistré sur le serveur NIM.
Configuration du client et exécution des diagnostics en mode autonome à partir d’un serveur NIM
Pour exécuter les diagnostics autonomes sur un client à partir du serveur NIM, procédez comme suit :
1. Avisez l’administrateur et les utilisateurs du système que celui-ci risque d’être arrêté.
2. Arrêtez tous les programmes, y compris le système d’exploitation AIX or Linux. Pour obtenir de
l’aide, prenez contact avec l’administrateur système.
3. Retirez l’ensemble des bandes, disquettes et CD.
4. Choisissez l’une des options suivantes :
v Si vous exécutez les diagnostics autonomes dans un profil de partition du système complet,
vérifiez auprès de l’administrateur système et des utilisateurs système que ce dernier peut être
arrêté avec la commande shutdown. Puis, mettez le système hors tension.
v Si vous tournez sur un système comportant des partitions logiques, vérifiez que l’unité de CD est
bien utilisable pour la partition servant à exécuter les diagnostics autonomes. Vérifiez avec
l’administrateur système et les utilisateurs de cette partition que toutes les applications de cette
partition doivent être arrêtées et que la partition sera redémarrée. Arrêtez tous les programmes de
cette partition, système d’exploitation compris.
5. Choisissez l’une des options suivantes :
v Si vous utilisez une partition du système complet, mettez le système sous tension pour exécuter
les diagnostics autonomes.
v Si vous utilisez un système à partitions logiques, redémarrez la partition pour exécuter les
diagnostics autonomes.
6. Lorsque l’indicateur de clavier s’affiche (le mot keyboard dans une fenêtre de terminal virtuel HMCou
une icône de clavier dans un écran graphique), appuyez sur la touche 1 du clavier pour afficher les
menus SMS.
7. Entrez les mots de passe demandés.
8. Sélectionnez Configuration d’IPL à distance (Initial Program Load).
9. Entrez les adresses du client, du serveur, de la passerelle (si elle existe) et le masque de sous-réseau.
S’il n’existe aucune passerelle reliant le serveur NIM et le client, entrez 0.0.0.0 comme adresse de
passerelle.
Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification
135
10.
11.
12.
13.
Pour déterminer s’il existe une passerelle, interrogez l’administrateur réseau ou comparez les trois
premiers octets de l’adresse du serveur NIM avec celle du client. Si ces octets sont identiques, (si,
par exemple, l’adresse du serveur NIM est 9.3.126.16 et celle du client 9.3.126.42, les trois premiers
octets [9.3.126] sont identiques), l’adresse de la passerelle dans la zone IPL à distance devra être
0.0.0.0.
Si le serveur NIM est configuré de manière à autoriser les commandes PING à partir du système
client, l’option de test Ping présente dans l’option IPL à distance vous permettra de vérifier que le
système client peut envoyer des commandes ping à destination du serveur NIM.
Sous l’option de test Ping, choisissez la carte réseau qui fournit la connexion au serveur NIM. Si la
commande PING renvoie une invite OK, c’est que le client est prêt à s’initialiser à partir du serveur
NIM. Si, au contraire, il retourne un FAILED, c’est que le client ne pourra pas s’initialiser avec le
serveur NIM.
Revenez à l’écran du menu principal SMS.
Choisissez Select Boot Options → Install or Boot a Device → Network.
14. Enregistrez les paramètres de la liste des unités d’amorçage en cours. Vous devrez restaurer les
paramètres originaux de cette liste après avoir exécuté les diagnostics à partir du serveur NIM.
15. Modifiez la liste de manière à ce que l’adaptateur de réseau connecté au NIM figure en première
place de la liste.
16. Définissez les paramètres réseau de l’adaptateur à partir duquel vous voulez initialiser.
17. Sortez totalement de l’interface SMS. Le système va commencer à charger les paquets tout en
effectuant un bootp à partir du réseau.
18. Suivez les instructions à l’écran.
v Si Diagnostic Operating Instructions Version x.x.x s’affiche, l’installation des diagnostics
autonomes a réussi.
v Si l’invite d’ouverture de session AIX s’affiche, ce chargement a échoué. Passez à l’étape 19.
19. Si les diagnostics n’ont pas été chargés, vérifiez les éléments suivants :
v La liste des unités d’amorçage qui se trouve sur le client est peut-être erronée.
v Le paramètre Cstate du serveur NIM est peut-être erroné.
v Des incidents réseau ont peut-être empêché la connexion au serveur NIM.
v Vérifiez les paramètres et l’état du réseau. Prenez contact avec votre assistance technique pour
obtenir ce guide.
20. Après avoir exécuté les diagnostics, redémarrez le système et, avec SMS, revenez aux paramètres IP
initiaux et à la liste d’origine des unités d’amorçage.
Vérification de la présence d’un composant installé via la console
HMC
Si vous avez installé ou remplacé un composant, utilisez la console HMC (Hardware Management
Console) pour mettre à jour les enregistrements de la console HMC une fois que vous avez effectué une
opération de maintenance sur le serveur. La procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche. Si
vous vous êtes servi de codes de référence, de symptômes ou de codes d’emplacement lors de
l’opération, repérez les enregistrements à utiliser pendant la procédure.
1. Sur la console HMC, recherchez d’éventuels événements d’action de maintenance ouverts dans le
journal des événements de maintenance. Pour plus d’informations, voir «Visualisation d’événements
réparables», à la page 138.
2. Des événements d’action de maintenance sont-ils ouverts ?
Non : Si le voyant d’avertissement système est encore allumé, utilisez la console HMC pour le
désactiver. Pour plus d’informations, voir «Activation et désactivation de voyants», à la page 137.
La procédure est terminée.
Oui : Passez à l’étape suivante.
136
Boîtiers et unités d’extension
3. Notez la liste des événements d’action de maintenance ouverts.
4. Examinez les détails de chacun de ces événements. Les codes d’erreur associés à ces derniers sont-ils
les mêmes que ceux que vous avez collectés auparavant ?
v Oui : Passez à l’étape suivante.
v Non : Sélectionnez l’une des options suivantes :
– Examinez les autres événements réparables pour en trouver un dont le code d’erreur correspond
et passez à l’étape suivante.
– Si le contenu du journal ne correspond pas à ce que vous avez collecté précédemment, contactez
votre fournisseur de services.
5. Dans la fenêtre Error Associated With This Serviceable Event, sélectionnez et mettez en évidence
l’événement d’action de maintenance.
6. Cliquez sur Close Event.
7. Ajoutez des commentaires sur l’événement réparable. Incluez toute autre information propre à cet
événement. Cliquez sur OK.
8. Avez-vous remplacé, ajouté ou modifié une unité remplaçable sur site (FRU) de l’événement d’action
de maintenance ouvert ?
v Non : Sélectionnez l’option No FRU Replaced for this Serviceable Event et cliquez sur OK pour
refermer l’événement d’action de maintenance.
v Oui : Procédez comme suit :
a. Dans la liste des unités remplaçables sur site, sélectionnez une unité à mettre à jour.
b. Cliquez deux fois sur l’unité, puis mettez à jour les informations correspondantes.
c. Cliquez sur OK pour refermer l’événement d’action de maintenance.
9. Si les incidents persistent, contactez votre fournisseur de services.
Activation et désactivation de voyants
Cette procédure permet d’activer ou de désactiver les voyants à l’aide du Point focal de service de la
console HMC.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Choisissez l’une des options suivantes :
v «Désactivation d’un voyant d’avertissement système ou de partition»
v «Activation ou désactivation de voyants d’identification», à la page 138
Désactivation d’un voyant d’avertissement système ou de partition
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Vous pouvez désactiver un voyant d’avertissement système ou un voyant de partition logique. Par
exemple, vous pouvez constater qu’un incident n’est pas prioritaire et peut être résolu ultérieurement.
Cependant, si vous souhaitez être averti en cas d’incident, vous devez désactiver le voyant
d’avertissement système pour qu’il puisse être activé quand un nouvel incident survient.
1. Dans la zone de navigation, ouvrez le dossier Gestion de systèmes.
2. Ouvrez Serveurs et sélectionnez le système approprié.
3.
4.
5.
6.
Dans la zone de contenu, cochez la case correspondant à la partition concernée.
Sélectionnez Tâches, Opérations, puis Gestion des voyants d’avertissement système.
Sélectionnez la partition appropriée.
Sélectionnez Désactivation du voyant d’avertissement système dans le menu Action. La fenêtre de
confirmation qui s’affiche fournit les informations suivantes :
v Un message de vérification indique que le voyant voyant d’avertissement système a été désactivé.
Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification
137
v Un message indique que le système présente encore des incidents non résolus.
v Un message indique que le voyant d’avertissement système ne peut pas être activé.
7. Sélectionnez l’une des partitions logiques dans le tableau du bas, puis sélectionnez Désactivation du
voyant de partition dans le menu Opérations sur la partition. La fenêtre de confirmation qui s’affiche
fournit les informations suivantes :
v Une vérification indique que le voyant de la partition logique a été désactivé.
v Un message indique que la partition logique présente encore des incidents non résolus.
v Un message indique que le voyant de la partition logique ne peut pas être activé.
Activation ou désactivation de voyants d’identification
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Le système comporte plusieurs voyants d’identification de composants, tels que les boîtiers ou les unités
remplaçables sur site (FRU). On les appelle donc voyants d’identification.
Vous pouvez activer ou désactiver les types de voyants d’identification suivants :
v Voyant d’identification d’un boîtier Si vous souhaitez ajouter une carte dans un tiroir précis (boîtier),
vous devez connaître le type et le modèle de l’ordinateur ainsi que le numéro de série (MTMS) du
tiroir. Pour déterminer si vous disposez du MTMS approprié du tiroir nécessitant la nouvelle carte,
vous pouvez activer le voyant d’un tiroir et vérifier que le MTMS correspond au tiroir qui doit
accueillir le nouveau matériel.
v Voyant d’identification d’une unité FRU associée à un boîtier Pour connecter un câble à une carte
d’E-S, vous pouvez activer le voyant de la carte s’il s’agit d’une unité FRU, puis vérifier sur le matériel
où le câble doit être fixé. Cette opération est particulièrement utile en présence de ports ouverts sur
plusieurs cartes.
Pour activer ou désactiver le voyant d’identification d’un boîtier ou d’une unité FRU, procédez comme
suit :
Dans la zone de navigation, ouvrez le dossier Gestion de systèmes.
Sélectionnez Serveurs.
Dans la zone de contenu, cochez la case correspondant au système concerné.
Sélectionnez Tâches, Opérations, Statut du voyant, puis Voyant d’identification.
Pour activer ou désactiver le voyant d’identification d’un boîtier, sélectionnez le boîtier dans le
tableau, puis cliquez sur Activation du voyant ou Désactivation du voyant. Le voyant associé
s’allume ou s’éteint.
6. Pour activer ou désactiver le voyant d’identification d’une unité FRU, choisissez un boîtier dans le
tableau, puis sélectionnez Sélectionné → Liste des FRU.
7. Sélectionnez une ou plusieurs unités FRU dans le tableau, et cliquez sur Activation du voyant ou
Désactivation du voyant. Le voyant associé s’allume ou s’éteint.
1.
2.
3.
4.
5.
Visualisation d’événements réparables
Utilisez cette procédure pour afficher un événement réparable, y compris les détails, commentaires et
historique de maintenance.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour pouvoir consulter des événements réparables et les informations qui leur sont associées, vous devez
avoir l’un des rôles suivants :
v Super administrateur
v Technicien de maintenance
v Opérateur
138
Boîtiers et unités d’extension
v Responsable produit
v Visionneur
Pour afficher des événements réparables, procédez comme suit :
1. Dans la zone de navigation, sélectionnez Gestion de systèmes.
2. Sélectionnez Gestion des événements réparables.
3. Sélectionnez les critères des événements réparables à visualiser, puis cliquez sur OK. La fenêtre
Présentation d’un événement réparable s’affiche. La liste comporte les événements réparables
correspondant à vos critères de sélection. La barre de menus vous propose des actions réalisables sur
les événements réparables.
4. Sélectionnez une ligne dans la fenêtre Présentation d’un événement réparable, puis choisissez
Sélectionné → Affichage des détails La fenêtre Détails de l’événement réparable affiche des
informations détaillées sur l’événement réparable. Le tableau du haut comporte des informations
telles que le numéro d’incident et le code de référence. Le tableau du bas indique les unités
remplaçables sur site (FRU) associées à cet événement.
5. Sélectionnez l’erreur pour laquelle vous souhaitez consulter les commentaires et l’historique, puis
procédez comme suit :
a. Sélectionnez Actions → Visualisation des commentaires.
b. Pour quitter les commentaires, cliquez sur Fermeture.
c. Sélectionnez Actions → Affichage de l’historique de maintenance. La fenêtre Historique de
maintenance comporte l’historique de maintenance associé à l’erreur sélectionnée.
d. Pour quitter l’historique de maintenance, cliquez sur Fermeture.
6. Quand vous avez terminé, cliquez sur Annulation dans les fenêtres Détails de l’événement réparable
et Présentation de l’événement réparable pour les refermer.
Vérification de la présence d’un dispositif installé ou d’un composant
remplacé sur un système ou une partition logique Virtual I/O Server
(VIOS)
Si vous avez installé un dispositif ou remplacé un composant, il est recommandé d’utiliser les outils VIOS
pour vérifier que ce dispositif ou composant est reconnu par le système ou la partition logique. La
procédure de cette section permet d’effectuer cette tâche.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Pour vérifier le fonctionnement d’un dispositif ou d’un composant de rechange récemment installé,
sélectionnez la procédure appropriée :
v Vérification du dispositif installé via VIOS
v Vérification du composant de rechange via VIOS
Vérifiez le dispositif installé via VIOS :
1. Connectez-vous en tant que superutilisateur.
2. A l’invite, tapez diagmenu et appuyez sur Entrée.
3. Sélectionnez Programmes de diagnostic, mode étendu. Appuyez sur Entrée.
4. Dans le menu Sélection du mode de diagnostic, sélectionnez Vérification du système. Appuyez sur
Entrée.
5. Dans le menu Sélection des tests de diagnostic, mode étendu, exécutez l’une des procédures
suivantes :
v Pour tester une seule ressource, sélectionnez la ressource que vous venez d’installer dans la liste
des ressources et appuyez sur Entrée.
Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification
139
v Pour tester toutes les ressources disponibles du système d’exploitation, sélectionnez Toutes les
ressources et appuyez sur Entrée.
6. Sélectionnez Validation, puis attendez la fin de l’exécution des programmes de diagnostic en
répondant aux invites éventuelles.
7. Les programmes de diagnostic ont-ils été exécutés complètement avant d’afficher le message Aucun
incident n’a été détecté ?
v Non : Si un code SRN (Service Request Number - numéro de demande d’intervention) ou un autre
code de référence s’affiche, il est possible qu’un adaptateur ou qu’un câble ne soit pas bien fixé.
Passez en revue les procédures d’installation pour vérifier que le nouveau dispositif est installé
correctement. Si vous ne parvenez pas à corriger l’incident, rassemblez tous les codes SRN et autres
codes de référence éventuels. Si le système fonctionne en mode de partitionnement logique, notez la
partition logique sur laquelle le dispositif est installé. Pour obtenir de l’aide, contactez votre
fournisseur de services.
v Oui : Le nouveau dispositif est installé correctement. Quittez les programmes de diagnostic et
revenez en mode de fonctionnement normal.
Vérification du composant de rechange via VIOS
Pour vérifier le fonctionnement d’un dispositif ou d’un composant de rechange récemment installé,
procédez comme suit :
1. Avez-vous remplacé le composant à l’aide d’VIOS ou des opérations de remplacement à chaud du
service de diagnostic en ligne ?
Non : Passez à l’étape 2.
Oui : Passez à l’étape 5, à la page 141.
2. Le système est-il hors tension ?
Oui : Si le système prend en charge l’initialisation lente, configurez la fonction. Pour plus
d’informations, voir «Utilisation de la console HMC pour une initialisation lente», à la page 130.
Non : Passez à l’étape 4.
3. Démarrez le système et attendez que l’invite de connexion du système d’exploitation VIOS s’affiche
ou que l’activité apparente du système sur le panneau de commande ou l’écran s’arrête.
Avez-vous vu l’invite de connexion VIOS ?
v Oui : Passez à l’étape 4.
v Non : Si un code SRN ou un autre code de référence s’affiche, il est possible qu’un adaptateur ou
qu’un câble ne soit pas bien fixé. Passez en revue les procédures de remplacement pour vérifier
que le nouveau composant est installé correctement. Si vous ne parvenez pas à corriger l’incident,
rassemblez tous les codes SRN et autres codes de référence éventuels. Si le système ne démarre
pas ou que l’invite de connexion ne s’affiche pas, voir la rubrique relative aux .
Si le système est partitionné, notez la partition logique sur laquelle vous avez remplacé le
composant. Pour obtenir de l’aide, contactez votre fournisseur de services.
4. A l’invite, tapez diag —a et appuyez sur Entrée pour vérifier s’il manque des ressources. Si une invite
s’affiche, passez à l’étape 5, à la page 141.
Si le menu de sélection des tests de diagnostic s’affiche avec un M en regard d’une ressource,
procédez comme suit :
a. Sélectionnez la ressource, puis appuyez sur Entrée.
b. Sélectionnez Validation.
c. Suivez les instructions affichées.
d. Si un message vous demande si vous souhaitez revoir l’erreur affichée précédemment, cliquez
sur Oui et appuyez sur Entrée.
140
Boîtiers et unités d’extension
e. Si le système génère un code SRN, une carte ou un câble est probablement mal connecté. Si
aucun incident évident n’apparaît, notez le code SRN et contactez votre fournisseur de services
pour obtenir de l’aide..
f. Si aucun code SRN ne s’affiche, passez à l’étape 5.
5. Testez le composant en effectuant les opérations suivantes :
a. A l’invite, tapez diagmenu et appuyez sur Entrée.
b. Dans le menu Sélection des fonctions, sélectionnez Programmes de diagnostic, mode étendu.
Appuyez sur Entrée.
c. Dans le menu Sélection du mode de diagnostic, sélectionnez Vérification du système. Appuyez
sur Entrée.
d. Sélectionnez Toutes les ressources ou les programmes de diagnostic du composant pour tester
uniquement le composant remplacé ou les unités qui y raccordées. Appuyez sur Entrée.
Le menu Action corrective sur ressource s’est-il affiché ?
Non : Passez à l’étape 6.
Oui : Passez à l’étape 7.
6. Le message Test terminé, Aucun incident n’a été détecté s’est-il affiché ?
v Non : Il existe encore un incident. Contactez votre fournisseur de services. La procédure est
terminée.
v Oui : Si l’incident ne figure pas dans le journal des erreurs, sélectionnez Consignation d’action
corrective dans le menu Sélection des tâches pour mettre à jour le journal des erreurs AIX. Si la
réparation consistait à remettre en place un câble ou une carte, sélectionnez la ressource
correspondante. Si la ressource n’apparaît pas dans la liste des ressources, sélectionnez sysplanar0.
Appuyez sur Entrée.
Conseil : Le voyant du composant passe de l’état Incident à l’état normal.
Passez à l’étape 9, à la page 142
7. En cas de test réussi sur une ressource en mode de vérification du système, dont une entrée figure
dans le journal des erreurs VIOS, le menu Action corrective sur ressource apparaît. Après avoir
remplacé un composant, vous devez sélectionner sa ressource dans le menu Action corrective sur
ressource. Le journal des erreurs VIOS est mis à jour, indiquant qu’un composant détectable par le
système a été remplacé.
Remarque : Sur les systèmes équipés d’un voyant correspondant au composant défaillant, le voyant
passe à l’état normal.
Procédez comme suit :
a. Dans le menu Action corrective sur ressource, sélectionnez la ressource remplacée. Si la réparation
consistait à remettre en place un câble ou une carte, sélectionnez la ressource correspondante. Si
la ressource associée à votre action n’apparaît pas dans la liste des ressources, sélectionnez
sysplanar0. Appuyez sur Entrée.
b. Sélectionnez Validation une fois les sélections effectuées. L’écran Action corrective sur ressource
s’est-il affiché de nouveau ?
Non : Si l’écran Aucun incident détecté apparaît, passez à l’étape 9, à la page 142.
Oui : Passez à l’étape 8.
8. Vous devrez sans doute effectuer une réparation également sur le composant parent ou enfant de la
ressource que vous venez de remplacer. En cas de test réussi sur une ressource en mode de
vérification du système, dont une entrée figure dans le journal des erreurs VIOS, le menu Action
corrective sur ressource apparaît. Après avoir remplacé le composant concerné, vous devez sélectionner
sa ressource dans le menu Action corrective sur ressource. Le journal des erreurs VIOS est mis à jour,
indiquant qu’un composant détectable par le système a été remplacé.
Remarque : Le voyant du composant passe de l’état Incident à l’état normal.
Chapitre 21. Outil Hardware Service Manager - Vérification
141
Procédez comme suit :
a. Dans le menu Action corrective sur ressource, sélectionnez le composant parent ou enfant de la
ressource remplacée. Si la réparation consistait à remettre en place un câble ou une carte,
sélectionnez la ressource correspondante. Si la ressource associée à votre action n’apparaît pas
dans la liste des ressources, sélectionnez sysplanar0. Appuyez sur Entrée.
b. Sélectionnez Validation une fois les sélections effectuées.
c. Si l’écran Aucun incident détecté apparaît, passez à l’étape 9.
9. Si vous avez modifié les paramètres du processeur de service ou du réseau (voir procédures
précédentes), restaurez la valeur initiale des paramètres.
10. Avez-vous exécuté des procédures de remplacement à chaud avant cette procédure ?
Non : Passez à l’étape 11.
Oui : Passez à l’étape 12.
11. Démarrez le système d’exploitation (système ou partition logique en mode normal). Avez-vous pu
démarrer le système d’exploitation ?
Non : Contactez votre fournisseur de services. La procédure est terminée.
Oui : Passez à l’étape 12.
12. Les voyants sont-ils encore allumés ?
v Non. Cela marque la fin de la procédure.
v Oui : Désactivez les voyants. Pour plus d’informations, choisissez la rubrique appropriée :
– «Modification des voyants d’activité», à la page 131
142
Boîtiers et unités d’extension
Chapitre 22. Accès au panneau de commande du modèle
04E/8A, 03E/4A
Le panneau de commande n’étant que partiellement visible à l’avant du serveur, vous pouvez utiliser la
présente procédure pour accéder à toutes les fonctions du panneau de commande, notamment à
l’affichage.
Pourquoi et quand exécuter cette tâche
Le panneau de commande n’étant que partiellement visible à l’avant du serveur, la présente procédure
décrit comment accéder à toutes les fonctions du panneau de commande, notamment à l’affichage.
Pour accéder à toutes les fonctions du panneau de commande, procédez comme suit :
1. Enfoncez le taquet à ressort A situé sur le côté droit du panneau de commande pour le faire ressortir
légèrement (voir figure suivante).
IPHAJ870-0
A
2. Tirez le panneau de commande vers l’extérieur, vers l’avant du système afin qu’il puisse pivoter vers
le bas sur sa charnière.
3. Pour réinstaller le panneau de commande dans le boîtier, soulevez le panneau de commande pour
l’aligner avec l’ouverture et poussez-le jusqu’à ce que le taquet s’enclenche (voir figure suivante).
143
IPHAJ871-0
144
Boîtiers et unités d’extension
Partie 5. Annexes
145
146
Boîtiers et unités d’extension
Remarques
Le présent document peut contenir des informations ou des références concernant certains produits,
logiciels ou services du fabricant non annoncés dans ce pays.
Pour plus de détails, référez-vous aux documents d’annonce disponibles dans votre pays ou
adressez-vous au partenaire commercial du fabricant. Toute référence à un produit, logiciel ou service du
fabricant n’implique pas que seul ce produit, logiciel ou service puisse être utilisé. Tout autre élément
fonctionnellement équivalent peut être utilisé, s’il n’enfreint aucun droit du fabricant. Il est de la
responsabilité de l’utilisateur d’évaluer et de vérifier lui-même les installations et applications réalisées
avec des produits, logiciels ou services non expressément référencés par IBM.
Le fabricant peut détenir des brevets ou des demandes de brevet couvrant les produits mentionnés dans
le présent document. La remise de ce document ne vous donne aucun droit de licence sur ces brevets ou
demandes de brevet. Si vous désirez recevoir des informations concernant l’acquisition de licences,
veuillez en faire la demande par écrit à l’adresse suivante :
Le paragraphe suivant ne s’applique ni au Royaume-Uni, ni dans aucun pays dans lequel il serait
contraire aux lois locales. LE PRESENT DOCUMENT EST LIVRE «EN L’ETAT» SANS AUCUNE
GARANTIE EXPLICITE OU IMPLICITE. LE FABRICANT DECLINE NOTAMMENT TOUTE
RESPONSABILITE RELATIVE A CES INFORMATIONS EN CAS DE CONTREFAÇON AINSI QU’EN
CAS DE DEFAUT D’APTITUDE A L’EXECUTION D’UN TRAVAIL DONNE. Certaines juridictions
n’autorisent pas l’exclusion des garanties implicites, auquel cas l’exclusion ci-dessus ne vous sera pas
applicable.
Le présent document peut contenir des inexactitudes ou des coquilles. Ce document est mis à jour
périodiquement. Chaque nouvelle édition inclut les mises à jour. Le fabricant peut modifier sans préavis
les produits et logiciels décrits dans ce document.
Les références à des sites Web non référencés par le fabricant sont fournies à titre d’information
uniquement et n’impliquent en aucun cas une adhésion aux données qu’ils contiennent. Les éléments
figurant sur ces sites Web ne font pas partie des éléments du présent produit et l’utilisation de ces sites
relève de votre seule responsabilité.
Le fabricant pourra utiliser ou diffuser, de toute manière qu’il jugera appropriée et sans aucune obligation
de sa part, tout ou partie des informations qui lui seront fournies.
Les données de performance indiquées dans ce document ont été déterminées dans un environnement
contrôlé. Par conséquent, les résultats peuvent varier de manière significative selon l’environnement
d’exploitation utilisé. Certaines mesures évaluées sur des systèmes en cours de développement ne sont
pas garanties sur tous les systèmes disponibles. En outre, elles peuvent résulter d’extrapolations. Les
résultats peuvent donc varier. Il incombe aux utilisateurs de ce document de vérifier si ces données sont
applicables à leur environnement d’exploitation.
Les informations concernant des produits non IBM ont été obtenues auprès des fournisseurs de ces
produits, par l’intermédiaire d’annonces publiques ou via d’autres sources disponibles. Ce fabricant n’a
pas testé ces produits et ne peut confirmer l’exactitude de leurs performances ni leur compatibilité. Il ne
peut recevoir aucune réclamation concernant des produits de fabricants tiers. Toute question concernant
les performances de produits de fabricants tiers doit être adressée aux fournisseurs de ces produits.
Toute instruction relative aux intentions du fabricant pour ses opérations à venir est susceptible d’être
modifiée ou annulée sans préavis, et doit être considérée uniquement comme un objectif.
147
Tous les tarifs indiqués sont les prix de vente actuels suggérés par IBM et sont susceptibles d’être
modifiés sans préavis. Les tarifs appliqués peuvent varier selon les revendeurs.
Ces informations sont fournies à des fins de planification uniquement. Elles sont susceptibles d’être
modifiées avant la mise à disposition des produits décrits.
Le présent document peut contenir des exemples de données et de rapports utilisés couramment dans
l’environnement professionnel. Ces exemples mentionnent des noms fictifs de personnes, de sociétés, de
marques ou de produits à des fins illustratives ou explicatives uniquement. Toute ressemblance avec des
noms de personnes, de sociétés ou des données réelles serait purement fortuite.
Si vous visualisez ces informations en ligne, il se peut que les photographies et illustrations en couleur
n’apparaissent pas à l’écran.
Les figures et les caractéristiques contenues dans le présent document ne doivent pas être reproduites,
même partiellement, sans l’autorisation écrite du fabricant.
Le fabricant a conçu le présent document pour expliquer comment utiliser les machines indiquées. Ce
document n’est exploitable dans aucun autre but.
Les ordinateurs IBM contiennent des mécanismes conçus pour réduire les risques d’altération ou de perte
de données. Ces risques, cependant, ne peuvent pas être éliminés. n cas de rupture de tension, de
défaillances système, de fluctuations ou de rupture de l’alimentation ou d’incidents au niveau des
composants, l’utilisateur doit s’assurer de l’exécution rigoureuse des opérations, et que les données ont
été sauvegardées ou transmises par le système au moment de la rupture de tension ou de l’incident (ou
peu de temps avant ou après). De plus, ces utilisateurs doivent établir des procédures qui assurent une
vérification indépendante des données pour permettre une utilisation fiable de ces dernières dans le cadre
d’opérations vitales. Ces utilisateurs doivent enfin consulter régulièrement sur les sites Web de support
IBM les mises à jour et les correctifs applicables au système et aux logiciels associés.
Marques
IBM, le logo IBM et ibm.com sont des marques d’International Business Machines Corporation aux
Etats-Unis et/ou dans certains autres pays. La liste actualisée de toutes les marques IBM est disponible
sur la page Web ″Copyright and trademark information″, à l’adresse www.ibm.com/legal/
copytrade.shtml.
Linux est une marque de Linus Torvalds aux Etats-Unis et/ou dans certains autres pays.
Microsoft, Windows et Windows NT sont des marques de Microsoft Corporation aux Etats-Unis et/ou
dans certains autres pays.
Les autres noms de sociétés, de produits et de services peuvent appartenir à des tiers.
148
Boîtiers et unités d’extension
Bruits radioélectriques
Remarques sur la classe A
Les avis de conformité de classe A suivants s’appliquent aux serveurs.
Recommandation de la Federal Communications Commission (FCC) [Etats-Unis]
Remarque : Cet appareil respecte les limites des caractéristiques d’immunité des appareils numériques
définies pour la classe A, conformément au chapitre 15 de la réglementation de la FCC. La conformité
aux spécifications de cette classe offre une garantie acceptable contre les perturbations électromagnétiques
dans les zones commerciales. Ce matériel génère, utilise et peut émettre de l’énergie radiofréquence. Il
risque de parasiter les communications radio s’il n’est pas installé conformément aux instructions du
constructeur. L’exploitation faite en zone résidentielle peut entraîner le brouillage des réceptions radio et
télé, ce qui obligerait le propriétaire à prendre les dispositions nécessaires pour en éliminer les causes.
Utilisez des câbles et connecteurs correctement blindés et mis à la terre afin de respecter les limites de
rayonnement définies par la réglementation de la FCC. IBM ne peut pas être tenue pour responsable du
brouillage des réceptions radio ou télévision résultant de l’utilisation de câbles et connecteurs inadaptés
ou de modifications non autorisées apportées à cet appareil. Toute modification non autorisée pourra
annuler le droit d’utilisation de cet appareil.
Cet appareil est conforme aux restrictions définies dans le chapitre 15 de la réglementation de la FCC.
Son utilisation est soumise aux deux conditions suivantes : (1) il ne peut pas causer de perturbations
électromagnétiques gênantes et (2) il doit accepter toutes les perturbations reçues, y compris celles
susceptibles d’occasionner un fonctionnement indésirable.
Avis de conformité à la réglementation d’Industrie Canada
Cet appareil numérique de la classe A est conforme à la norme NMB-003 du Canada.
Avis de conformité aux exigences de l’Union européenne
Le présent produit satisfait aux exigences de protection énoncées dans la directive 2004/108/CEE du
Conseil concernant le rapprochement des législations des Etats membres relatives à la compatibilité
électromagnétique. IBM décline toute responsabilité en cas de non-respect de cette directive résultat d’une
modification non recommandée du produit, y compris l’ajout de cartes en option non IBM.
Ce produit respecte les limites des caractéristiques d’immunité des appareils de traitement de
l’information définies par la classe A de la norme européenne EN 55022 (CISPR 22). La conformité aux
spécifications de la classe A offre une garantie acceptable contre les perturbations avec les appareils de
communication agréés, dans les zones commerciales et industrielles.
Dans l’Union européenne, contactez :
IBM Technical Regulations
Pascalstr. 100, Stuttgart, Germany 70569
Tél : 0049 (0)711 785 1176
Fax : 0049 (0)711 785 1283
E-mail: [email protected]
Avertissement : Ce matériel appartient à la classe A. Il est susceptible d’émettre des ondes
radioélectriques risquant de perturber les réceptions radio. Son emploi dans une zone résidentielle peut
créer des perturbations électromagnétiques. L’utilisateur devra alors prendre les mesures nécessaires pour
en éliminer les causes.
Remarques
149
Avis de conformité aux exigences du Voluntary Control Council for Interference
(VCCI) - Japon
Voici un résumé de la recommandation du VCCI japonais figurant dans l’encadré ci-dessus.
Ce produit de la classe A respecte les limites des caractéristiques d’immunité définies par le Voluntary
Control Council for Interference (VCCI) japonais. Il est susceptible d’émettre des ondes radioélectriques
risquant de perturber les réceptions radio. Son emploi dans une zone résidentielle peut créer des
perturbations électromagnétiques. L’utilisateur devra alors prendre les mesures nécessaires pour en
éliminer les causes.
Avis d’interférences électromagnétiques (EMI) - République populaire de Chine
Ce matériel appartient à la classe A. Il est susceptible d’émettre des ondes radioélectriques risquant de
perturber les réceptions radio. L’utilisateur devra alors prendre les mesures nécessaires pour en éliminer
les causes.
Avis d’interférences électromagnétiques (EMI) - Taïwan
Voici un résumé de l’avis EMI de Taïwan figurant ci-dessus.
Avertissement : Ce matériel appartient à la classe A. Il est susceptible d’émettre des ondes
radioélectriques risquant de perturber les réceptions radio. Son emploi dans une zone résidentielle peut
créer des interférences. L’utilisateur devra alors prendre les mesures nécessaires pour les supprimer.
150
Boîtiers et unités d’extension
Avis d’interférences électromagnétiques (EMI) - Corée
Cet équipement a obtenu l’agrément EMC en vue de son utilisation commerciale. S’il a été vendu ou
acheté par erreur, veuillez l’échanger avec du matériel conforme à un usage domestique.
Avis de conformité pour l’Allemagne
Deutschsprachiger EU Hinweis: Hinweis für Geräte der Klasse A EU-Richtlinie zur
Elektromagnetischen Verträglichkeit
Dieses Produkt entspricht den Schutzanforderungen der EU-Richtlinie 2004/108/EG zur Angleichung der
Rechtsvorschriften über die elektromagnetische Verträglichkeit in den EU-Mitgliedsstaaten und hält die
Grenzwerte der EN 55022 Klasse A ein.
Um dieses sicherzustellen, sind die Geräte wie in den Handbüchern beschrieben zu installieren und zu
betreiben. Des Weiteren dürfen auch nur von der IBM empfohlene Kabel angeschlossen werden. IBM
übernimmt keine Verantwortung für die Einhaltung der Schutzanforderungen, wenn das Produkt ohne
Zustimmung der IBM verändert bzw. wenn Erweiterungskomponenten von Fremdherstellern ohne
Empfehlung der IBM gesteckt/eingebaut werden.
EN 55022 Klasse A Geräte müssen mit folgendem Warnhinweis versehen werden:
″Warnung: Dieses ist eine Einrichtung der Klasse A. Diese Einrichtung kann im Wohnbereich
Funk-Störungen verursachen; in diesem Fall kann vom Betreiber verlangt werden, angemessene
Maßnahmen zu ergreifen und dafür aufzukommen.″
Deutschland: Einhaltung des Gesetzes über die elektromagnetische Verträglichkeit von Geräten
Dieses Produkt entspricht dem “Gesetz über die elektromagnetische Verträglichkeit von Geräten
(EMVG)“. Dies ist die Umsetzung der EU-Richtlinie 2004/108/EG in der Bundesrepublik Deutschland.
Zulassungsbescheinigung laut dem Deutschen Gesetz über die elektromagnetische Verträglichkeit von
Geräten (EMVG) (bzw. der EMC EG Richtlinie 2004/108/EG) für Geräte der Klasse A.
Dieses Gerät ist berechtigt, in Übereinstimmung mit dem Deutschen EMVG das EG-Konformitätszeichen
- CE - zu führen.
Verantwortlich für die Konformitätserklärung nach des EMVG ist die IBM Deutschland GmbH, 70548
Stuttgart.
Generelle Informationen:
Das Gerät erfüllt die Schutzanforderungen nach EN 55024 und EN 55022 Klasse A.
Remarques
151
Avis d’interférences électromagnétiques (EMI) - Russie
Remarques sur la classe B
Les avis de conformité de classe B suivants concernent les modèles 115/20 (version autonome), 315/2A
(version autonome), 471/85 et 112/85.
Recommandation de la Federal Communications Commission (FCC) [Etats-Unis]
Remarque : Cet appareil respecte les limites des caractéristiques d’immunité des appareils numériques
définies par la classe B, conformément au chapitre 15 de la réglementation de la FCC. La conformité aux
spécifications de la classe B offre une garantie acceptable contre les perturbations électromagnétiques
dans les zones résidentielles. Ce matériel génère, utilise et peut émettre de l’énergie radiofréquence. Il
risque de parasiter les communications radio s’il n’est pas installé conformément aux instructions du
constructeur. Toutefois, il n’est pas garanti que des perturbations n’interviendront pas pour une
installation particulière. Si cet appareil provoque des perturbations gênantes dans les communications
radio ou télévision, mettez-le hors tension puis sous tension pour vous en assurer. L’utilisateur peut
tenter de remédier à cet incident en appliquant une ou plusieurs des mesures suivantes :
v Réorienter ou déplacer l’antenne réceptrice.
v Eloigner l’appareil du récepteur.
v Brancher l’appareil sur une prise différente de celle du récepteur, sur un circuit distinct.
v Prendre contact avec un distributeur agréé IBM ou un représentant commercial IBM pour obtenir de
l’aide.
Utilisez des câbles et connecteurs correctement blindés et mis à la terre afin de respecter les limites de
rayonnement définies par la réglementation de la FCC. Ces câbles et connecteurs sont disponibles chez
votre distributeur agréé IBM. IBM ne peut pas être tenue pour responsable du brouillage des réceptions
radio ou télévision résultant de l’utilisation de câbles ou connecteurs inadaptés ou de modifications non
autorisées apportées à cet appareil. Toute modification non autorisée pourra annuler le droit d’utilisation
de cet appareil.
Cet appareil est conforme aux restrictions définies dans le chapitre 15 de la réglementation de la FCC.
Son utilisation est soumise aux deux conditions suivantes : (1) il ne peut pas causer de perturbations
électromagnétiques gênantes et (2) il doit accepter toutes les perturbations reçues, y compris celles
susceptibles d’occasionner un fonctionnement indésirable.
Avis de conformité à la réglementation d’Industrie Canada
Cet appareil numérique de la classe B est conforme à la norme NMB-003 du Canada.
Avis de conformité aux exigences de l’Union européenne
Le présent produit satisfait aux exigences de protection énoncées dans la directive 2004/108/CE du
Conseil concernant le rapprochement des législations des Etats membres relatives à la compatibilité
électromagnétique. IBM décline toute responsabilité en cas de non-respect de cette directive résultant
d’une modification non recommandée du produit, y compris l’ajout de cartes en option non IBM.
152
Boîtiers et unités d’extension
Ce produit respecte les limites des caractéristiques d’immunité des appareils de traitement de
l’information définies par la classe B de la norme européenne EN 55022 (CISPR 22). La conformité aux
spécifications de la classe B offre une garantie acceptable contre les perturbations avec les appareils de
communication agréés, dans les zones résidentielles.
Utilisez des câbles et connecteurs correctement blindés et mis à la terre afin de réduire les risques de
brouillage des réceptions radio et télé et d’autres appareils électriques ou électroniques. Ces câbles et
connecteurs sont disponibles chez votre distributeur agréé IBM. IBM ne peut pas être tenue responsable
du brouillage résultant de l’utilisation de câbles et de connecteurs inadaptés.
Dans l’Union européenne, contactez :
IBM Technical Regulations
Pascalstr. 100, Stuttgart, Germany 70569
Tél : 0049 (0)711 785 1176
Fax : 0049 (0)711 785 1283
E-mail: [email protected]
Avis de conformité aux exigences du Voluntary Control Council for Interference
(VCCI) - Japon
Voici un résumé de la recommandation du VCCI japonais figurant dans l’encadré ci-dessus.
Ce produit de la classe B respecte les limites des caractéristiques d’immunité définies par le Voluntary
Control Council for Interference (VCCI) japonais. Son emploi dans une zone résidentielle peut créer des
ondes radioélectriques risquant de perturber les réceptions radio. L’utilisateur devra alors prendre les
mesures nécessaires pour en éliminer les causes.
Avis d’interférences électromagnétiques (EMI) - Corée
Remarques
153
Protection contre les ondes radioélectriques - Allemagne
Deutschsprachiger EU Hinweis: Hinweis für Geräte der Klasse B EU-Richtlinie zur
Elektromagnetischen Verträglichkeit
Dieses Produkt entspricht den Schutzanforderungen der EU-Richtlinie 2004/108/EG zur Angleichung der
Rechtsvorschriften über die elektromagnetische Verträglichkeit in den EU-Mitgliedsstaaten und hält die
Grenzwerte der EN 55022 Klasse B ein.
Um dieses sicherzustellen, sind die Geräte wie in den Handbüchern beschrieben zu installieren und zu
betreiben. Des Weiteren dürfen auch nur von der IBM empfohlene Kabel angeschlossen werden. IBM
übernimmt keine Verantwortung für die Einhaltung der Schutzanforderungen, wenn das Produkt ohne
Zustimmung der IBM verändert bzw. wenn Erweiterungskomponenten von Fremdherstellern ohne
Empfehlung der IBM gesteckt/eingebaut werden.
Deutschland: Einhaltung des Gesetzes über die elektromagnetische Verträglichkeit von Geräten
Dieses Produkt entspricht dem “Gesetz über die elektromagnetische Verträglichkeit von Geräten
(EMVG)“. Dies ist die Umsetzung der EU-Richtlinie 2004/108/EG in der Bundesrepublik Deutschland.
Zulassungsbescheinigung laut dem Deutschen Gesetz über die elektromagnetische Verträglichkeit von
Geräten (EMVG) (bzw. der EMC EG Richtlinie 2004/108/EG) für Geräte der Klasse B.
Dieses Gerät ist berechtigt, in Übereinstimmung mit dem Deutschen EMVG das EG-Konformitätszeichen
- CE - zu führen.
Verantwortlich für die Konformitätserklärung nach des EMVG ist die IBM Deutschland GmbH, 70548
Stuttgart.
Generelle Informationen:
Das Gerät erfüllt die Schutzanforderungen nach EN 55024 und EN 55022 Klasse B.
154
Boîtiers et unités d’extension
Dispositions
Les droits d’utilisation relatifs à ces publications sont soumis aux dispositions suivantes.
Usage personnel : Vous pouvez reproduire ces publications pour votre usage personnel, non commercial,
sous réserve que toutes les mentions de propriété soient conservées. Vous ne pouvez distribuer ou
publier tout ou partie de ces publications ou en faire des oeuvres dérivées, sans le consentement exprès
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Vous ne pouvez télécharger, exporter ou réexporter ces informations qu’en total accord avec toutes les
lois et règlements applicables dans votre pays, y compris les lois et règlements américains relatifs à
l’exportation.
LE FABRICANT NE DONNE AUCUNE GARANTIE SUR LE CONTENU DE CES PUBLICATIONS. CES
PUBLICATIONS SONT LIVREES EN L’ETAT SANS AUCUNE GARANTIE EXPLICITE OU IMPLICITE.
LE FABRICANT DECLINE NOTAMMENT TOUTE RESPONSABILITE RELATIVE A CES
INFORMATIONS EN CAS DE CONTREFAÇON AINSI QU’EN CAS DE DEFAUT D’APTITUDE A
L’EXECUTION D’UN TRAVAIL DONNE.
Remarques
155
156
Boîtiers et unités d’extension
BULL CEDOC
357 AVENUE PATTON
B.P.20845
49008 ANGERS CEDEX 01
FRANCE
REFERENCE
86 F1 60EW 03

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