Bull Linux Open Source Solutions NAS@Linux Guide d'installation

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Bull Linux Open Source Solutions NAS@Linux Guide d'installation | Fixfr

Bull Linux – Open Source Solutions

NAS@Linux

Guide d’installation

REFERENCE

86 F2 52EG 00

Bull Linux – Open Source Solutions

NAS@Linux

Guide d’installation

Logiciel

Mars 2003

BULL CEDOC

357 AVENUE PATTON

B.P.20845

49008 ANGERS CEDEX 01

FRANCE

REFERENCE

86 F2 52EG 00

The following copyright notice protects this book under the Copyright laws of the United States of America and other countries which prohibit such actions as, but not limited to, copying, distributing, modifying, and making derivative works.

Copyright Bull S.A. 1992, 2003

Imprimé en France

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Bull

Linux – Open Source Solutions

Guide d’installation

NAS@Linux

®

Version française

Mars 2003

(RH 8.0)

Bull Linux Solution - Guide d’installation

Ce guide explique l'installation spécifiquement définie pour les Tool kits Linux Open Source Software. Pour toute information à propos d'une installation standard du système Linux, on se reportera au Guide d'Installation de Red Hat 8.0 ou 7.3.

SOMMAIRE :

1 PRÉREQUIS

1.1

1.2

Matériel et références

Prérequis pour l’installation: informations de base

1.3

1.3.1

Prérequis liés la distribution « RedHat 8.0 personal »

Prérequis nécessaires pour NAS@Linux:

2 INSTALLATION D’UN TOOL KIT : PREMIÈRES ÉTAPES

3

3

3

3

3

4

3 TERMINER L'INSTALLATION DU TOOLKIT

3.1

3.2

3.3

WEBMIN : modules additionnels :

RESEAU : configuration :

NAGIOS : Installation de fonctions d’administration système.

3.4

3.4.1

3.4.2

3.4.3

Information sur le MI "NAS@Linux"

Serveur de fichiers Unix/Windows/Linux

Service de répertoire LDAP

Sauvegarde des données partagées

5

5

6

6

10

10

11

11

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Bull Linux Solution - Guide d’installation

1 Prérequis

1.1 Matériel et références

L’installation de ces bundles nécessite une machine de type Express5800 installée, comportant au minimum:

1 lecteur de CD-ROM,

1 disque de taille 9GB minimum.

Vérification préalable des références possibles :

Avec cette distribution, pour les tool kits, vous devez disposer d’au moins une de ces références ( MI logiciels, au sens Bull):

1.

Pour les tool kits Bull :

EXSH031-40S2:

EXSH031-4000:

NAS@Linux

Open Source Tool kit

NAS@Linux

Open Source Tool kit

1.2 Prérequis pour l’installation: informations de base

Avant de pouvoir installer un tool kit, il est nécessaire que vous installiez une distribution Linux sur votre serveur.

Et lors de l’installation de votre distribution, il est nécessaire que vous installiez certains modules (packages) de votre distribution, en fonction du tool kit que vous voulez ensuite installer.

Ces modules prérequis dépendent du tool kit à installer et de la distribution dont vous disposez.

Ils sont définis dans les paragraphes suivants.

1.3 Prérequis liés la distribution « RedHat 8.0 personal »

Remarque :

L'installation de Linux se fait à partir des CD-ROM de la distribution.

Insérer le CD 1, pour démarrer l’installation de Linux, et laissez-vous guider, en prenant en compte les prérequis indiqués ci-dessous

1.3.1 Prérequis nécessaires pour NAS@Linux:

A sélectionner :

type d’installation

à

serveur

boot : lilo

pare-feu : non (de préférence)

Puis dans le choix des modules à charger, sélectionner :

Desktops :

Systeme X-Window

Environnement de bureau Gnome ou KDE (au moins 1 des deux)

Applications

Editeurs (avec vi et emacs)

Internet Graphique

Internet basé sur texte

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Bull Linux Solution - Guide d’installation

Servers

Outils de configuration du réseau

Serveur Web

Serveur de fichiers Windows

Serveur FTP

Serveur base de données (ajouter mysql)

Serveur de réseau (ajouter dhcp)

Developpement

Outils de developpement

Developpement de logiciel (ajouter libpng10-devel, invalider SDL)

System

Outils d’administration

Outils de gestion (ajouter vnc)

2 Installation d’un tool kit : premières étapes

Après l’installation de votre distribution,

Monter le CD Bull Linux Solution

Pour que l’installation du tool kit se passe bien, vous devez être l’utilisateur ‘root’.

En listant le contenu du CD, vous devez trouver un fichier ‘init.sh’.

Ce script a pour but d’aller chercher, d’installer et de commencer à configurer les modules logiciels composant votre tool kit.

Lancer ce fichier, soit en le rapatriant sur votre système soit directement à partir de votre CD :

Cas 1) vous installez un tool kit parmi les suivants : ‘Impression’, ‘Web-Infrastructure’, ‘HA-storage’,

‘NAS’

Exécuter dans ce cas:

à

sh init.sh 2>&1 | tee /root/init.log

Cas 2) vous installez un tool kit parmi les suivants : Workgroup, Cluster-admin

Exécuter dans ce cas : sh init.sh mail 2>&1 | tee /root/init.log

(pour installer le ‘workgroup messagerie’ sh init.sh grpw 2>&1 | tee /root/init.log

(pour installer le ‘workgroup groupware’ sh init.sh wdir 2>&1 | tee /root/init.log

(pour installer un serveur directeur, avec le tk web-infrastructure sh init.sh wreal 2>&1 | tee /root/init.log

(pour installer un serveur dit réel, avec le tk web-infrastructure ’

L’installation du tool kit va alors démarrer.

A la fin de l’installation, le message suivant apparaîtra :

Installation terminée - compte-rendu consultable dans le fichier ….

……

Terminer la configuration de la solution que vous avez installée

à

vous référer au guide d'installation

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Bull Linux Solution - Guide d’installation

3 Terminer l'installation du toolkit

3.1 WEBMIN : modules additionnels :

Complément d’installation à réaliser : Webmin :

Suivre les premières instructions préconisées à la fin de l’installation, c’est-à-dire :

Ouvrir une fenêtre et lancer successivement :

#

service webmin start

(#: prompt unix)

Configuration du réseau (

à

configurer le réseau à ce niveau ou le faire après sous webmin)

#

service httpd start

#

netscape &

-------------------------

Sous le navigateur, se connecter sous

: https://localhost :10000

Accepter les certificats (next….finish) username root passwd root

Installer différents modules, qui vous permettront d’accéder à différents logiciels directement sous Webmin.

Pour cela :

- sélectionner

webmin configuration

(dans l’onglet webmin qui doit être lancé par défaut)

- puis, sélectionner

webmin modules.

Ensuite, utiliser

‘ Install module……..from local file

Dans le champ ‘

select

,

sélectionner

successivement

chacun des modules wbm présents

sous :

/root/wbm/ (vous aider du radio bouton)

et pour chacun,

l’installer en cliquant

sur : ‘

Install Module From File

Ainsi, par exemple, selon les versions, vous trouverez et aurez à charger :

/root/wbm/lvs.wbm

/ldap-users-xxxxx.wbm

mrtgxxx.wbm

openldapxxx.wbm

vncxxx.wbm ……

Puis, procéder de la même manière pour installer les patchs fournis avec votre version courante de Webmin.

Ceux-ci se trouvent sous le répertoire :

/root/wbm/patch

(s’il y en a).

Remarque : chaque fois que vous effectuez des modifications ou relancez un poste, pensez à exécuter les commandes suivantes : service webmin start /restart (mais aussi stop, reload, status) service httpd start / restart (et aussi stop, …).

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Bull Linux Solution - Guide d’installation

3.2 RESEAU : configuration :

Si vous n’avez pas encore configuré le réseau, vous pouvez le faire avec Webmin :

Sélectionner le folder ‘Networking’, puis :

‘network configuration’ puis chacun des modules proposés

network interface, routing & gateways, DNS client, Host Addresses

Pour que vos déclarations soient prises en compte, lancez la commande suivante:

# service network restart

3.3 NAGIOS : Installation de fonctions d’administration système.

Cette installation est facultative, mais possible avec chaque tool kit..

Nagios est un logiciel qui vous permet de surveiller les serveurs et les services associés sur le réseau. Il offre la possibilité de prévenir l’administrateur quand un incident survient et quand il est résolu.

Si vous décidez de la mettre en œuvre, il vous faut dans une première phase, définir :

le serveur Linux Red Hat 8.0 ou 7.3 qui hébergera Nagios, et que vous utiliserez pour surveiller l’ensemble du réseau.

Ce serveur sera appelé par commodité dans ce chapitre, ‘serveur nagios’.

les autres serveurs que vous souhaitez surveiller avec Nagios.

Il faut ensuite :

installer et configurer nagios sur le server Nagios

installer et configurer NRPE sur les autres serveurs. Dans ce document, nous expliquons comment installer et configurer NRPE sur des serveurs Linux Red Hat 8.0 ou 7.3.

Installation de Nagios, nagat, plug-ins, NRPE :

Nagios, Nagat, les plug-ins et NRPE sont descendus directement sur votre serveur Linux lors de la phase de post-installation d’un tool-kit.

Les logiciels suivants sont installés :

nagios-1.0b6

nagiosplug-1_3

nagat-1_0a2

nrpe-1_5

Ils sont également pré-installés lors de cette phase.

Lors de cette installation, l’utilisateur nagios est créé.

Naga

t, interface d’administration vous permettant de

configurer nagios

vous est déjà accessible. Pour le lancer sur votre browser, entrer l’url:

..

http://nom-server-linux/nagat/

De même

l’interface web de Nagios

(CGI scripts) est également déjà disponible. Pour pouvoir y accéder, il faut que nagios soit lancé, puis sur votre browser, entrer l’url:

..

http://nom-server-linux/nagios/

Cette interface vous permettra de visualiser le statut des serveurs et services surveillés avec Nagios.

Mais elle vous permet également d’avoir accès à la

documentation de Nagios

Remarque : si vous avez installé Nagios, avec les toolkits de Bull, vous devez pouvoir lancer Nagios, dès l’installation terminée (vous visualiserez des serveurs fictifs, avant de définir votre propre configuration).

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Bull Linux Solution - Guide d’installation

Il vous reste donc à rendre l’installation effective des autres modules et configurer les fichiers nécessaires en fonction de votre environnement :

-cad Nagios et ‘check_nrpe’ sur le serveur Nagios

- nrpe sur chaque serveur distant à surveiller.

Configurer Nagios, sur le serveur Nagios

Nagios s’appuie sur 10 fichiers de configuration (.cfg) pour fonctionner.

Ceux-ci se trouvent tous sous /usr/local/nagios/etc.

Pour chacun des fichiers, des exemples sont fournis en standard avec nagios.

Nous vous conseillons de vous inspirer de ces exemples pour créer votre propre configuration, qui dépendra notamment de :

des serveurs à surveiller (y compris le serveur nagios)

de la façon dont vous les grouperez

des services et commandes de surveillance que vous mettrez en œuvre.

Il vous faut au minimum configurer les données décrites dans les fichiers :

-

hosts.cfg

-

hostgroups.cfg

-

services.cfg

-

checkcommands.cfg.

Il est également assez vite intéressant de définir les données décrites dans les fichiers :

contacts.cfg

contactgroups.cfg

Remarque : vous pouvez surveiller un serveur distant avec ‘ping’, sans mettre-en-œuvre nrpe.

Pour tester la cohérence de votre configuration

, lancer la commande :

# /root/nagios/nagios-1_0b6/base/nagios –v /usr/local/nagios/etc/nagios.cfg.

(Installer et ) Configurer NRPE et check_nrpe.

Pré-requis : avoir installé et configurer nagios sur le serveur.

Conseil : le faire déjà fonctionner, avant d’ajouter des services nrpe.

Opérations à réaliser sur les serveurs (hôtes) distants :

1) installer les fichiers nrpe si nécessaire sur un serveur distant cad si vous souhaitez installer nrpe sur un serveur sur lequel, il n’y aurait aucun tool kit installé.

regarder si les directories suivantes existent :

/usr/local/nagios/etc

/usr/local/nagios/libexec

-les créer si besoin et recopier sur ces répertoires tous les fichiers se trouvant sur ces mêmes répertoires sur votre serveur nagios.

Remarque : lors de ces opérations, vous devez notamment avoir recopié un fichier nrpe.cfg et un exécutable nrpe.

Copier le fichier /etc/xinetd.d/nrpe du serveur nagios sur la même arborescence sur le(s) serveur(s) distant(s).

Créer l’utilisateur nagios :

# adduser nagios

2) Editer le fichier /etc/services

enlever le caractère commentaire (cad ‘#’ en début de ligne) de la ligne :

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Bull Linux Solution - Guide d’installation nrpe 5666/tcp pour la valider,

sinon créer la ligne

#NRPE

3) Editer /etc/xinetd.d/nrpe

supprimer tous les caractères commentaire des lignes comprises entre :

‘service nrpe’

‘}’ comprises.

Remarque : ces 2 dernières actions vous ont permis de définir le demon nrpe

4) valider (activer) le demon nrpe

lancer la commande :

# /etc/rc.d/init.d/xinetd.d restart

5) visualiser le fichier /usr/local/nagios/nrpe.cfg

vérifier que plusieurs commandes sont définies, dont check-host et check-current_users

Ceci termine l’installation et la mise-en-œuvre de nrpe sur les serveurs linux distants à surveiller.

Il est cependant nécessaire de compléter ces installations par l’installation et la validation de check_nrpe sur le serveur nagios :

Opérations à réaliser sur le serveur Nagios

6) Editer le fichier /usr/local/nagios/etc/services.cfg

trouver l’exemple de service avec nrpe fourni : service c-nrpe-dist1

valider ce service, en enlevant les commentaires et en remplaçant par le nom de serveur distant

ou en créer un ou plusieurs selon le même principe

7) Editer le fichier /usr/local/nagios/etc/checkcommands.cfg

trouver l’exemple de commande check_nrpe

valider cette commande, en enlevant les commentaires et en remplaçant par l’adresse d’un serveur distant

ou en créer une ou plusieurs selon le même principe.

remarque : dans ces exemples, le service c-nrpe-dist1 fait appel à la commande check-host définie sur le(s) serveur(s) distant(s), cf fichier nrpe.cfg.

Lancer, arrêter Nagios, nagat, nrpe

1) Pensez à lancer ou relancer httpd et netscape sur le serveur nagios.

# service httpd start / restart …

# netscape &

2) lancement / arrêt de nagios

#

etc/rc.d/init.d/nagios start

/ restart / reload / status / stop

3) Interface web de configuration de nagios (Nagat)

..

http://nom-server-linux/nagat/

4) Interface web de nagios pour la documentation et visualisation des statuts machines

..

http://nom-server-linux/nagios/ remarques :

- nagios doit être lancé, pour pouvoir accéder à cette interface

- pour visualiser les statuts, sélectionner ‘status map’, ‘status detail’, …

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Bull Linux Solution - Guide d’installation

5) lancement de nrpe

à

automatique (car par fait démon), si vous avez installé et configuré comme indiqué précédemment, et avez relancé xinetd.d : #

/etc/rc.d/init.d/xinetd.d restart.

MRTG-RDDTOOL

Cette installation est facultative.

Sélectionner le folder ‘System’, puis :

‘historic system statics’

Au message d’erreur « The /usr/local /rddtool command is not instaled ou your system. May be the

module configuration

is incorrect »

Cliquer sur

module configuration

Remplacer le champ Full path : /usr/local/rddtool par /usr/local/rddtool-1.0.33/bin/rddtool

Cliquer sur « save »

La fenêtre Webmin Syststats apparaît.

Pour lancer les jobs il est nécessaire de cliquer sur le bouton «

Start Sysstats

»

VNC

Cette installation est facultative.

Lancer

vncserver

. Un mot de passe est demandé (c’est le mot de passe qui sera demandé par vncviewer.) vncserver vous indique la référence de la session qui devra être utilisée par vncviewer :

New ‘X’ desktop is ‘nom_machine :i’

Après le lancement de vncserver , modifier le fichier :

/home_directory/.vnc/xstartup changer twm & par startkde &

Pour se connecter à partir de la machine Admin :

Lancer :

vncviewer -shared nom_de_machine:i

L'option -shared spécifie que l'on accepte plusieurs clients sur le même serveur (sinon le dernier client lancé tue

tous les autres). Le i indique le numéro de display.

Si le serveur est Windows, c'est généralement 0. Si le serveur est Unix, c'est généralement 1

(le display 0 étant pris par le serveur X tournant sur la station).

vncviewer demande ensuite le mot de passe associé à ce serveur, puis affiche la fenêtre !

Sous Windows, le serveur vnc permet d'exporter le bureau de Windows. Sous Linux, le serveur vnc se comporte comme un autre serveur X, sur lequel on peut faire tourner n'importe quel programme X11.

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Bull Linux Solution - Guide d’installation

3.4 Information sur le MI "NAS@Linux"

Le MI NAS@Linux

va installer les logiciels suivants sur votre serveur :

Samba version 2.2.7a (une compilation avec l’option ldapsam est faite sur votre système d’où la nécessité d’installer les outils de développement (gcc, make)).

• afio (un logiciel open source qui est une amélioration de cpio car il compresse chaque fichier avant sa sauvegarde plutôt que de compresser la sauvegarde des fichiers, autorisant ainsi une restauration plus efficace)

Flexbackup (un logiciel simple de sauvegarde programmable de vos données et utilisant afio)

3.4.1 Serveur de fichiers Unix/Windows/Linux

Samba

La suite

Samba

permet le partage de ressources entre le monde Windows de Microsoft et le monde Linux permettant ainsi aux utilisateurs de Windows d'utiliser les systèmes de fichiers Linux de façon transparente.

(Attention, samba ne fonctionne que dans ce sens).

L'offre NAS pour Linux fournit de plus une version de samba préconfiguré pour être connecté à un serveur

LDAP ou pour exercer la fonction de serveur LDAP (voir le chapitre LDAP ci dessous). Etant donné la forte relation de samba avec le monde Windows, il n'a pas été possible de fournir un fichier /etc/samba/smb.conf

suffisamment préconfiguré pour permettre une démonstration. Cependant, il suffit de peu d'adaptation pour permettre un fonctionnement rapide du partage de fichiers Linux dans un environnement Windows. Dans notre exemple, deux ressources partagées sont définies par défaut : une ressource

NAS

rangée sous /ARCHIVE, une ressource

public

rangée sous /nfs car non locale (voir chapitre NFS). Des droits sont définis sur ces ressources afin de ne les rendre visibles qu'à certains utilisateurs (crées pendant l'installation :

nas1

et

nas2

du groupe

nas

).

La correspondance entre ces utilisateurs samba-linux et ceux de windows est possible via le fichier

/etc/samba/user.map lorsque les noms ne sont pas identiques.

D'une façon générale, il est conseillé de se servir de l'outil SWAT livré avec SAMBA (le module SWAT est accessible dans WEBMIN sous SAMBA) pour configurer samba. Lors de modification du fichier

/etc/samba/smb.conf, il est conseillé d'arrêter les daemons samba par la commande /etc/rc.d/init.d/smb stop puis de les redémarrer après modification par la commande /etc/rc.d/init.d/smb start

Lorsque vous pensez que votre configuration est suffisamment aboutie, vous pouvez vérifier que le service de partage de fichiers fonctionne correctement grâce à une suite de 11 tests se déroulant à la fois sur le serveur et sur un PC client. Pour cela, exécuter le script shell test.sh présent sur le cédérom (version anglaise uniquement).

En cas de non fonctionnement de l'un des 11 tests, vous trouverez un début d'explication dans le fichier

DIAGNOSIS.txt présent sur le cédérom.

NFS

NFS (Network File System) permet de rendre visible sur un point de montage local (ici /nfs) un système de fichiers existant sur un autre système Unix ou Linux. Cela permet d'accroitre la capacité de stockage du serveur de fichiers d'une part et de partager des fichiers entre serveur Linux et/ou Unix d'autre part.

Pour s'assurer du fonctionnement de NFS, faire :

Etant connecté en tant que

root

, démarrer le service NFS :

service nfs start

Pour exporter un système de fichiers local :

démarrer un navigateur

netscape

,

se connecter à l'outil d'administration

Webmin

,

-

Onglet Système

choisir

Partage NFS

,

Ajouter un nouveau partage

et remplir le formulaire

Cliquer sur

Créer

cliquer sur

Appliquer tous changements

pour faire prendre en compte la nouvelle configuration.

Pour monter un système de fichiers distant :

démarrer un navigateur

netscape

,

Bull Page 10 04/03/03

-

Bull Linux Solution - Guide d’installation se connecter à l'outil d'administration

Webmin

,

Onglet Système

choisir

Montages disques et réseaux

Ajouter un montage

de type

Linux Native Filesystem

Cliquer sur

Créer

3.4.2 Service de répertoire LDAP

Client

Le serveur NAS installé autorise la gestion des utilisateurs samba/linux/windows via un serveur LDAP qui centralise l'ensemble des informations des utilisateurs facilitant ainsi énormément la gestion des droits d'accès

(un seul nom d'utilisateur répertorié pour l'ensemble des services). Pour se rattacher à un serveur LDAP distant, il suffit de modifier au minimum les deux lignes "host" et "base" du fichier /etc/ldap.conf.

Serveur

La fonction serveur LDAP est disponible sur le serveur NAS mais n'est pas active. Cette fonction est une option activable. La description de la configuration complète de LDAP n'est pas décrite dans ce document.

L'installation de "NAS pour Linux" préconfigure un domaine appelé frec.bull.fr

3.4.3 Sauvegarde des données partagées

Le serveur NAS intègre des fonctions de sauvegarde locale des systèmes de fichiers partagés renforçant ainsi la fiabilité des données. Cette sauvegarde est contrôlable par l’administrateur du système et est pilotable par cron.

(automate logiciel programmable).

Outil

L’outil de sauvegarde programmable est flexbackup, un outil open source simple et configurable. Flexbackup se configure via un fichier flexbackup.conf.

Programmation

Par défaut, flexbackup sauvegarde toutes les données de /ARCHIVE dans le répertoire /BACKUP. Une sauvegarde totale (level 0) a lieu le lundi à 3h15, des sauvegardes partielles (level 1) ont lieu tous les autres jours

à 3h15.

La commande de sauvegarde par flexbackup est la suivante :

/usr/bin/flexbackup -fs /ARCHIVE 2>&1 >/tmp/flex_level0.log

lea sauvegarde est rangée sous /BACKUP/

Pour restaurer un fichier ou l’ensemble d’un backup, le repérer (sous /BACKUP) puis :

/usr/bin/flexbackup –extract /BACKUP/xxxxxxxxxx

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Bull Linux Solution - Guide d’installation

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