A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
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C
ONTENU ÉDITORIAL
Configuration préliminaire
Il faut configurer quelques éléments fondamentaux, sinon vous ne pourrez pas gérer les rubriques ni les articles :
types de contenu pour les rubriques
types de contenu pour les articles
statuts de publication
Ce paramétrage se fait dans l’onglet
Administration > Contenu éditorial.
En théorie, vous pouvez partir de zéro, et tout créer (statuts et types de contenu). Toutefois, si vous avez une version compatible de la démo, vous pouvez facilement récupérer sa configuration éditoriale de base, et l’étoffer ou la modifier ensuite, afin de l’adapter à vos
besoins spécifiques. En outre, restaurer ce paramétrage vous permet d’employer directement les
que j’ai mises au point. Je vous conseille de le faire, cela simplifie vraiment le travail.
Voir
Notes sur la compatibilité entre les versions de PMB
Pourquoi faut-il créer des types de contenu et des statuts de publication ?
J’ai envie de répondre par l’absurde : s’ils n’existaient pas, il faudrait les inventer car ils sont indispensables ;-)
Non, ce n’est pas seulement une boutade, c’est tout à fait vrai. Deux exemples suffisent pour le démontrer :
Si ces types de contenu n’existaient pas, le seul genre d’article possible serait un article « simple », « basique », que vous ne pourriez pas relier à la date d’un événement, ni à une notice ni à une étagère virtuelle. L’existence de champs personnalisés permet de connecter les articles à l’agenda, au contenu bibliographique, aux étagères …
S’il n’y avait pas de statuts de publication, comment PMB pourrait-il établir une différence entre les articles prêts à être publiés en ligne et ceux qui sont encore à l’état de brouillon et doivent donc rester invisibles, ou entre les articles destinés à tous les lecteurs et ceux réservés aux abonnés ?
Parler des types de contenu pour les rubriques et articles est l’occasion d’expliquer (ou de rappeler) quelques aspects importants des champs personnalisés
: la différence entre type de saisie et type de données, les 2 sens du mot « texte », et les règles à respecter pour choisir les noms de ces champs. Je vais aussi illustrer certains types de saisie fréquents.
T
YPES DE CONTENU POUR LES RUBRIQUES
Dans la démo, un seul type de contenu pour les rubriques : une rubrique simple, qui ne contient aucun champ personnalisé.
Type de contenu : rubrique Champ personnalisé : aucun
A.-M. Cubat
Libellé
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T
YPES DE CONTENU POUR LES ARTICLES
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Dans la démo, on a défini 5 types de contenu pour les articles.
Champs personnalisés Commentaires
Coup de cœur pour un livre, un CD, un DVD …
Il faut faire un lien avec l’id d’une notice
Evénement qui se déroule à une date précise
Une seule date suffit.
Evénement qui s’étale sur une période précise
Il faut une date de début et une date de fin.
Information générale – Champ personnalisé inutile
Présentation de la bibliothèque, de l’institution, aide à la recherche, conditions d’inscription et de prêt, horaire …
Sélection - Nouveautés
Il faut faire un lien avec l’id d’une étagère.
Type de contenu : coup de cœur
Cliquer sur « Options » pour paramétrer le type de saisie.
Champ personnalisé : identifiant de la notice
Type de données
Ne pas oublier d’enregistrer ensuite !
Voir page suivante comment connaître le numéro identifiant d’une notice.
Le type de saisie « texte » signifie « caractères saisis au clavier ». Le type de données « texte » peut contenir tout type de caractère :
Plusieurs types de données sont donc possibles.
lettres, chiffres ou divers symboles
(mathématiques, de ponctuation)
N.B. Dans la démo, on a choisi « texte » comme type de données, mais vu qu’il s’agit d’un numéro d’id, un entier aurait aussi pu convenir.
Type de contenu : événement à une date précise Champ personnalisé : date
Il faut cocher la case
« ne pas
employer la date du jour par défaut ».
Ne pas oublier d’enregistrer ensuite !
Si le champ date ne contient aucune valeur (= le message « aucune date ») au
moment de cliquer sur « enregistrer », parce que vous venez de créer un nouvel article ou d’effacer la valeur précédente dans un article préexistant, voici ce que vous
Cliquer sur « Options » pour paramétrer le type de saisie.
verrez au moment où vous éditerez à nouveau cet article :
si vous n’aviez pas coché cette case, le champ date aura changé de
contenu, il contiendra automatiquement la date du jour. Si vous êtes distrait, et que vous ne le remarquez pas, la date de l’événement sera fausse !
si vous aviez coché cette case, le champ date restera dans l’état où il
était antérieurement. C’est nettement mieux !
Soyons clair. Que signifie exactement l’autre choix possible : ne pas cocher la case
« ne pas employer la date du jour par défaut » ?
N’oubliez pas que ces 2 négations s’annulent, donc cela veut dire « employer la date du jour par défaut » !
Le type de saisie « date » signifie « sélection Le type de données « date » ne peut contenir qu’une date « SQL » : grâce au calendrier ». Un seul type de données est
donc possible : une date.
année - mois – jour. Ex. 2015-04-01 = 1 er
avril 2015
Non, ce n’est pas un poisson d’avril !
Type de contenu : événement à une période précise 2 champs personnalisés : date_debut et date_fin
Même remarque que pour le champ date :
il faut cocher la case « ne pas employer la date du jour par défaut ».
Type de contenu : information Champ personnalisé : aucun
Information générale (présentation de la bibliothèque, de l’institution, aide à la recherche, conditions d’inscription et de prêt …) – Champ personnalisé inutile
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Cliquer sur « Options » pour paramétrer le type de saisie.
Type de contenu : sélection Champ personnalisé : étagère associée
Si on coche la case « liste multiple », cela permet de sélectionner plusieurs
étagères.
Mais dans ce cas-ci (sélection par exemple de nouveautés), c’est en général peu souhaitable au niveau de l’affichage.
En effet, cela risque souvent de faire beaucoup trop de notices au total (si les paniers qui alimentent ces
étagères sont bien remplis).
Cette requête affiche la liste des
étagères, triées suivant le nom donné
à l’étagère.
Le type de saisie est ici « liste de choix à partir d’une requête ». Le type de données est un « entier » car la requête renvoie le numéro identifiant de l’étagère sélectionnée, donc un nombre entier.
Attention lorsque vous créez un champ personnalisé.
Le choix du nom des variables, des champs personnalisés et des répertoires obéit à des règles précises – sinon, erreur SQL !
un nom en un mot (pas d’espace !), qui comporte uniquement des caractères alphanumériques non accentués (donc rien d’autre que des lettres ou des chiffres), et qui doit commencer par au moins une lettre - de préférence, entièrement en minuscules
aucun symbole mathématique, signe de ponctuation ou autre symbole n’est toléré
une seule exception : le trait de soulignement _ (underscore) afin de marquer la séparation en 2 mots (date_debut, date_fin …)
ne confondez pas le trait de soulignement et le tiret (identique au symbole mathématique « moins », c’est pourquoi il est interdit)
Les noms des champs personnalisés liés aux types de contenu doivent être uniques dans la base !
Vous ne pouvez pas employer deux fois le même nom, même si un de ces champs concerne les rubriques, et l’autre les articles.
Si vous vous trompez malgré tout, pas de souci, vous verrez un message d’erreur, et l’enregistrement sera impossible.
Libellé
Comparaison entre 2 types de contenu (pour les articles) et 2 types de saisie (champs personnalisés)
Champs personnalisés
Commentaires
Coup de cœur pour un livre, un CD, un DVD …
Lien avec l’identifiant d’une notice
Type de saisie : texte (valeur saisie au clavier)
Sélection (nouveautés)
Lien avec l’identifiant d’une étagère
Type de saisie : liste de choix à partir d’une requête
Pourquoi saisir l’id de la notice au clavier, alors qu’on affiche la liste des étagères et qu’on sélectionne ainsi le bon numéro d’id ?
La situation de départ est différente. La « situation de départ », c’est l’état dans lequel vous êtes au moment de rédiger un article.
Pour un article de type « coup de cœur pour une notice » ou d’autres variantes (coup de cœur pour un auteur, une série …)
Pour le numéro identifiant de la notice (ce serait la même chose pour l’id d’un auteur, d’un éditeur, d’une série, etc)
A priori, vous savez dès le départ de quel livre, de quel auteur ou de quelle série vous voulez parler.
Vous pourriez certes créer une requête qui afficherait tous les titres, tous les auteurs ou toutes les séries, mais cela vous obligerait
à parcourir une liste fort longue qui contiendrait peut-être des doublons.
Dans ce cas, être sûr de choisir le numéro identifiant de la « bonne » notice ou du « bon » éditeur est nettement plus compliqué.
Pour un article de type « sélection » (nouveautés – fiction, nouveautés - documentaires …)
Pour le numéro identifiant d’une étagère
Vous ne savez pas toujours dès le départ dans quelle étagère les notices seront, ni à quel(s) panier(s) l’étagère sera liée.
En outre, il se peut même que l’étagère ou le panier dont vous avez besoin n’existent pas encore.
Il est donc plus simple de prévoir un affichage de la liste des étagères disponibles et une sélection manuelle de la bonne étagère.
Ce système est beaucoup plus flexible.
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S
TATUTS DE PUBLICATION
Le but des statuts de publication est de préciser, pour les rubriques et les articles,
s’ils peuvent être publiés
o le cas échéant, on peut éventuellement en restreindre l’accès aux lecteurs authentifiés (les « abonnés », ceux qui ont saisi un login et un mot de passe corrects)
s’ils ne peuvent pas, ne peuvent pas encore ou ne peuvent plus être publiés
o le cas échéant, on peut préciser les raisons de cette non-diffusion, afin de faciliter la gestion
Rappel - En théorie, vous pouvez partir de zéro, et tout créer (statuts et types de contenu). Toutefois, si vous avez une version compatible de la démo, vous pouvez facilement récupérer sa configuration éditoriale de base, et l’étoffer ou la modifier ensuite, afin
que j’ai mises au point. Je vous conseille de le faire, cela simplifie vraiment le travail.
Voir
Notes sur la compatibilité entre les versions de PMB
La démo contient seulement 2 statuts de publication : brouillon et publié, et tous les articles ont le statut « publié ».
N.B. Pour la clarté, il vaut mieux modifier le libellé du 2 e
statut de la démo : « Publié » devient « Publié – Pour tous ».
Invisible à l’OPAC
Visible par tous les lecteurs
Voici un exemple un peu plus complexe de statuts, afin de nuancer davantage
Vous pouvez créer les 3 statuts supplémentaires : à valider, archives et « publié – abonnés » (et éventuellement d’autres statuts).
3 statuts : rubriques et articles invisibles à l’OPAC
A valider : article en théorie prêt pour la publication, mais qui doit encore être validé par celui qui joue le rôle de rédacteur en chef o Bien entendu, cela n’a de sens que si plusieurs personnes rédigent. Si vous êtes seul, vous êtes polyvalent !
Archives : des rubriques ou articles plus anciens, mais qu’on pourrait « recycler » et adapter (ex. activités organisées 2 fois par an) o
Cela évite de devoir tout recommencer pour certaines animations récurrentes. Pensez quand même à mettre à jour ! o
Cela peut aussi être utile pour certains articles de type bibliographique (présentation d’un auteur, d’un thème).
Brouillon : article ou rubrique encore en chantier o
Quel que soit l’état d’avancement des travaux …
2 statuts : rubriques et articles visibles à l’OPAC
Publié – Abonnés
o
Seuls les lecteurs qui se sont identifiés peuvent les voir
Publié – Pour tous o
Tout le monde y a accès
N.B. Ordre alphabétique basé sur les codes ASCII
Le statut « A valider » précède les « Archives » à cause de l’espace intermédiaire entre les 2 mots.
Le code ASCII de l’espace est 32, les chiffres démarrent à 48 (code du zéro), les lettres majuscules commencent à 65 (code du « A »), les minuscules à 97 (code du « a »).
Comme vous le constatez, ces statuts sont affichés par ordre alphabétique.
Dans l’onglet Administration > Contenu éditorial, cela ne pose pas vraiment problème.
Toutefois, c’est nettement plus gênant lorsqu’on crée un nouvel article ou une nouvelle rubrique.
Un moment de distraction ou de fatigue, et on se demande pourquoi un article n’apparaît pas ...
En fait, si on oublie de sélectionner un statut avant d’enregistrer, c’est le 1 er
de la liste qui est choisi par défaut
, donc dans ce cas-ci, c’est le statut « à valider », ce qui rend forcément l’article invisible !
Le problème se corse encore lorsque vous êtes en pleine phase d’élaboration du portail.
En général, on préfère que tous les articles soient visibles par défaut, surtout au début des tests.
Or, le statut « Publié – Visible par tous » est ici le dernier de la liste triée par ordre alphabétique !
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La solution est de numéroter les statuts de la liste, en fonction de l’ordre dans lequel vous voulez les voir.
Vous pourriez même prévoir :
un ordre d’affichage pour la phase de test, de construction : mettre en 1 er
lieu les articles à publier, pour voir tout de suite l’impact de votre travail.
un autre ordre d’affichage dès que vous passez en production : mettre en 1 er
lieu les articles à ne pas diffuser, afin d’éviter de publier par inadvertance un brouillon ou un article qui n’a pas encore été validé.
Le statut « non publié » d’une rubrique ou d’un article rend forcément invisible la rubrique ou l’article en question.
Si une rubrique a le statut « non publié », on ne la voit dans aucun des écrans où elle est censée apparaître.
Si un article a le statut « non publié », on ne le voit dans aucun des écrans où il est censé apparaître.
Le statut « non publié » d’une rubrique rend invisibles les articles ou sous-rubriques qui en dépendent.
La rubrique « Sélections » contient 2 sous-rubriques : Nouveautés et Coups de cœur
Si on modifie le statut de la rubrique « Sélections », et qu’elle devient un
« brouillon », on ne la verra plus, et les sous-rubriques (Nouveautés et Coups de cœur) et les articles qui en dépendent seront invisibles. L’onglet Sélections disparaît du menu, le carrousel d’articles (en haut à gauche) perd d’un coup plusieurs articles, et la liste de Nouveautés (en bas à gauche) devient vide.
Si on modifie le statut de la rubrique « Coups de cœur », et qu’elle devient un
« brouillon », on ne la verra plus apparaître comme sous-rubrique de « Sélections », et forcément, les articles qui en dépendent seront eux aussi invisibles.
Rubrique Sélections
Visible Invisible
Rubrique « Coups de cœur » invisible
Article « Bibliothèques » visible
Rubrique « Coups de cœur » visible
Article « Bibliothèques » invisible
Impossible via le menu principal d’accéder aux Coups de cœur donc impossible de voir la liste des articles qui sont dans cette rubrique.
Les fantômes se cachent !
On voit 3 onglets dans le menu, 4 articles dans le carrousel et les nouveautés
2 onglets dans le menu, moins d’articles dans le carrousel et plus aucune liste de nouveautés
Il y a aussi un impact sur le carrousel Les articles
« Coups de cœur » ont disparu, il ne reste que ceux des rubriques Evénements et Heure du conte.
On ne voit plus que 3 articles dans cette rubrique, plus de trace des fantômes ! Ils ont aussi disparu du carrousel.
Le carrousel d’articles est configuré afin d’afficher au maximum 4 articles, choisis dans 3 rubriques : Evénements, Heure du conte et Coups de cœur.
Le nombre total d’articles de ces 3 rubriques est plus élevé, donc augmentez éventuellement ce nombre maximum (4) pour tester l’impact des statuts.
Ce n’est pas parce qu’une rubrique ou un article ont le statut « Publié – Visible par tous » qu’on les voit automatiquement !
Il faut prévoir un lien vers un article ou une rubrique afin de les afficher, par exemple
mettre l’article dans une rubrique parente qui est visible
mettre l’article dans une liste visible d’articles ou un carrousel visible d’articles
mettre une sous-rubrique dans une rubrique parente visible et mettre le parent dans un menu ou dans une liste visible de rubriques
Le meilleur système : regrouper les articles qui doivent être accessibles dans des rubriques visibles qui font partie du menu principal
La rubrique « Coups de cœur » et l’article « Des bibliothèques pleines de fantômes »
Cet article peut être affiché pour plusieurs raisons.
On le voit dans la rubrique « Coups de cœur », qui est accessible via le menu
On peut aussi le voir dans le carrousel d’articles présentés en fondu enchaîné (dans le coin supérieur gauche de la page centrale).
En outre, il peut aussi apparaître suite à une recherche dans le contenu éditorial.
Ce n’est pas parce qu’une rubrique ou un article ont le statut « Publié – Pour les abonnés » qu’on les voit nécessairement !
Avant de sombrer dans le désespoir parce que vous ne comprenez pas pourquoi un article reste obstinément invisible malgré tous vos efforts,
posez-vous à vous-même – ou posez à vos lecteurs - une question existentielle :
« N’aurais-je pas par hasard / N’auriez-vous pas par hasard oublié de saisir le login et le mot de passe dans l’OPAC ? »
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Numéros identifiants
Si vous voulez créer un lien entre d’une part un article, et d’autre part une notice, un auteur, une étagère …, il faut
donner le numéro identifiant de l’élément bibliographique concerné
ou créer une requête qui vous permet de choisir un élément dans une liste et d’obtenir ainsi son numéro d’id
Le choix entre ces deux méthodes dépend de l’objectif visé, et du type d’élément bibliographique concerné.
Connaître dès le départ le numéro d’id d’une notice, d’un auteur, d’une série … vous fera en général gagner du temps.
D’abord un peu de « technique » : comment connaître facilement le numéro identifiant d’une notice ?
En gestion - Sans afficher la notice
Regarder en bas à gauche lorsque la souris survole la notice abrégée
En gestion - En affichant la notice
Regarder en haut dans la barre d’adresses et/ou dans le descriptif de la notice
On voit le numéro identifiant dans la barre d’adresses.
On peut aussi avoir un affichage systématique du n° d’id dans le descriptif de la notice
Administration > Outils > Paramètres généraux show_notice_id = 1
Et finalement, on peut même combiner les deux !
Même sans afficher la notice, même sans cliquer, au simple survol
de la souris sur la notice abrégée, vous verrez apparaître le lien
dans le coin inférieur gauche de votre écran.
Le dernier paramètre de l’URL indique l’id de la notice (ici 86).
Dans l’OPAC – En affichant la notice
Comme en gestion, le numéro identifiant est visible dans la barre d’adresses, lorsqu’on affiche la notice dans le catalogue.
En outre, si vous avez activé l’affichage du permalien, ce numéro d’id de la notice est visible lorsque vous dépliez la notice.
Administration > Outils > Paramètres de l’OPAC : permalink = 1
Il n’y a pas que les notices, on peut tout aussi rapidement connaître le numéro identifiant d’un auteur, d’une catégorie, etc.
Le dernier paramètre d’une l’URL composée (= avec variables) donne le numéro d’id du principal élément concerné.
Regardez en haut dans la barre d’adresses, vous verrez divers types de numéros identifiants (collection, éditeur …)
On voit parfois aussi ces numéros dans le coin inférieur gauche de l’écran (au survol de la souris).
Exemples en gestion
Exemples dans l’OPAC
Collection
http://127.0.0.1/pmbv4perso2/autorites.php?categ=collections&sub=collection_form&id=17
Editeur
http://127.0.0.1/pmbv4perso2/autorites.php?categ=editeurs&sub=editeur_form&id=13
Auteur http://127.0.0.1/pmbv4perso2/opac_css/index.php?lvl=author_see&id=36
Catégorie
http://127.0.0.1/pmbv4perso2/opac_css/index.php?lvl=categ_see&id=1433
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Connaître le numéro d’id d’une étagère est également utile, mais en général on procède autrement que pour les notices.
On vérifie rarement le n° d’id dans la barre d’adresses, on préfère avoir recours à une requête SQL. Pourquoi ?
D’abord un peu de « technique » : comment connaître facilement le numéro identifiant d’une étagère ?
Le numéro d’id d’une étagère est aussi visible dans la barre d’adresses (à la fin de l’URL) http://127.0.0.1/pmbv4perso2/catalog.php?categ=etagere&sub=edit_etagere&action=edit_etagere&idetagere=3
La plupart du temps, on emploie une requête SQL qui affiche la liste des étagères, triées par nom, et qui permet de récupérer ainsi le n° d’id.
SELECT idetagere, name FROM etagere ORDER BY 2
N.B. Ceux qui parcourent ce tutorial de manière linéaire auront l’impression (tout à fait justifiée !) d’avoir déjà lu « quelque chose à ce sujet quelque part ». Désolée si je me répète à intervalle aussi rapproché, mais il me semble nécessaire de reprendre et de compléter ce thème.
Je tiens à donner ici une petite synthèse à propos des numéros identifiants des notices, auteurs, séries, étagères, etc.
C’est important avant d’aborder le thème de la rédaction des articles, et de leurs liens avec le contenu bibliographique.
1) Dans certains cas, le lien entre un article et un élément bibliographique est « fixe »
Si vous voulez rédiger un article sur un livre, un auteur, une série …, le lien est « fixe » car il ne changera pas.
Vous avez choisi le livre, le DVD, l’auteur, la série, la collection … que vous vouliez présenter, donc ce lien correspond à un
numéro identifiant et à un seul, qui est entièrement prévisible.
Certes, vous pourriez employer une requête qui afficherait la liste de tous les livres ou auteurs, de toutes les séries ou collections, mais ce ne serait vraiment pas pratique.
En premier lieu, cela vous obligerait à parcourir une liste fort longue qui contiendrait probablement des homonymes.
Des homonymes « normaux » (le même titre peut correspondre à 2 œuvres d’auteurs distincts, ou bien à plusieurs éditions différentes du même livre), et des homonymes « regrettables » (des doublons liés à des erreurs de saisie ou d’import des données).
En outre, si vous prenez par malheur l’édition la plus ancienne d’un livre, vous n’aurez probablement pas la possibilité d’afficher aisément la vignette de couverture.
Le mieux est donc de saisir le numéro identifiant au clavier, ainsi vous êtes sûr d’avoir choisi le numéro d’id de la
« bonne » notice, du « bon » auteur, de la « bonne » série, etc.
Mais le numéro d’id d’une notice ou d’un auteur dans la base de test n’est pas le même que dans votre vraie base!
Donc il faudra le changer plus tard, après avoir transféré le portail depuis la base de travail vers la base en ligne.
Conseils pratiques à ce propos : voir Gestion globale du contenu éditorial
2) Dans d’autres cas, le lien entre un article et un élément bibliographique est « variable »
Chaque étagère virtuelle du groupe « nouveautés » va probablement être remplacée par un article lié à une étagère de notices.
Dans cet article, vous décrirez les spécificités de l’étagère, le point commun entre ces notices. Le même type d’article (lié à une étagère) est aussi envisageable pour présenter certaines activités, comme une exposition thématique.
Le lien est variable : tout est susceptible de changer, aussi bien le lien vers l’étagère que le panier qui l’alimentera et son contenu. Fixer le numéro d’id de l’étagère dès le départ (comme pour les notices) ne serait d’ailleurs pas toujours possible, certains éléments sont parfois imprévisibles au début.
Au moment où vous rédigez un article « standard » qui présente les nouveautés du rayon jeunesse, vous ne pensez pas à une série de notices en particulier. On peut espérer que votre budget vous permettra quand même d’envisager quelques acquisitions de temps en temps, donc le contenu de l’étagère « Nouveautés – Jeunesse » va évoluer ( changement dans les paniers).
Au moment où vous rédigez un article qui présente une exposition thématique, vous pensez probablement à une série de notices en particulier, mais cette liste n’est peut-être pas encore complète (ou bien, elle est trop longue !). D’ailleurs, rien ne garantit que l’étagère et le panier dont vous avez besoin existent déjà, vous ne les avez peut-être pas encore créés.
Certes, vous pourriez saisir le numéro d’id de l’étagère au clavier, mais ce ne serait vraiment pas pratique.
Il faudrait chercher ailleurs (onglet Catalogue) pour voir la liste des étagères, ce qui est en soi une perte de temps.
Il vaut mieux employer une requête qui affiche la liste des étagères disponibles et permet une sélection manuelle.
Heureusement, cette liste ne risque pas d’être aussi longue que celle des notices, des auteurs ou des éditeurs.
Les risques d’homonymie sont en théorie (quasi) nuls … à moins que vous n’ayez mal géré les noms donnés aux étagères !
Ce système plus flexible convient mieux pour les étagères, et il rend le fonctionnement du portail plus dynamique.
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Rédiger les rubriques et articles
G
ÉNÉRALITÉS
Les articles ne sont pas « isolés », il y a toute une arborescence qui comprend :
des rubriques parentes et des sous-rubriques
des articles
Il est impossible de créer et d’enregistrer un article si vous n’avez pas prévu au moins une rubrique pour le mettre.
C’est pourquoi la création des rubriques précède forcément la rédaction des articles. La première rubrique que vous créez a d’office pour parent la « racine » de l’arbre du contenu éditorial.
Cette arborescence n’est pas fixée une fois pour toutes : vous pouvez plus tard déplacer facilement des rubriques et/ou des articles (en changeant leur rubrique parente ou par un système tout simple de glisser-déposer), ajouter des rubriques ou des articles, ou bien en supprimer. La suppression d’une (sous-)rubrique n’est bien sûr possible que si celle-ci est vide.
Soyez logique, cohérent et n’exigez pas trop de vous-même !
l’arborescence et les titres des rubriques doivent être conçus pour faciliter la navigation dans le menu du portail, afin que
l’utilisateur puisse trouver rapidement l’information recherchée
l’arborescence et les titres des rubriques doivent également être conçus pour faciliter le travail de celui ou celle qui va gérer
globalement le portail ! Pensez aussi à vous, inutile de vous compliquer l’existence …
Le menu de la version de démo du portail
L’arborescence des rubriques, sous-rubriques et articles : l’arbre du contenu éditorial
Les titres affichés dans le menu (visible en haut de la page) sont des sousrubriques qui dépendent de la rubrique
« menu principal » : animations, sélections
La répartition en rubriques est aussi une question de logique, de cohérence.
et infos pratiques.
J’ai déplié presque toutes les rubriques du menu principal, afin que vous sachiez où se trouve tel ou tel article.
Dès qu’on ajoute le premier article dans une rubrique, un dossier « Articles » se crée
Les 3 rubriques principales ont chacune
un objectif spécifique :
animations, activités organisées
par la bibliothèque sélection, mise en évidence des nouveautés, des coups de cœur
informations générales sur la bibliothèque ou infos pratiques automatiquement.
Si vous avez prévu un logo pour un article
ou une rubrique, on le voit aussi.
Ici, les logos sont des étagères. S’il n’y a pas de logo, des icônes appropriées symbolisent les rubriques et articles.
Le nombre de rubriques principales visibles en haut dans le menu sera forcément limité, vu la largeur disponible à l’écran, il faut donc bien structurer et hiérarchiser l’ensemble.
Si vous comptez réserver certaines cette rubrique a un contenu.
Par contre, la rubrique « Archives » est vide pour le moment.
Je n’ai pas déplié les « Brèves », mais le signe + (à gauche du dossier) indique que
rubriques ou certains articles aux
abonnés (les lecteurs qui se sont identifiés dans l’OPAC), il est souvent préférable de prévoir une rubrique principale spécifique.
Cela dépend aussi du nombre d’articles concernés. S’il y en a peu, autant les répartir aux endroits les plus adéquats.
Dans la démo, on a créé un menu (en haut de la page) en se basant sur une rubrique parente (le « menu principal »), et en calquant l’ordre d’affichage des rubriques et des articles sur leur place dans l’arbre du contenu éditorial. il y a d’autres manières de procéder pour créer un menu, mais cette méthode est sûrement la plus simple à mettre en œuvre. Pas de complications inutiles au début …
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A
JOUTER UNE RUBRIQUE OU UN ARTICLE
N.B. Vu qu’il y a peu de différences entre la création des rubriques et celle des articles, et que leurs champs respectifs sont à peu près identiques, je vais traiter les deux aspects ensemble, et signaler au passage quelques divergences.
Situation initiale
Rappel : vous devez avoir défini d’abord des types de contenu (pour les rubriques et articles)
et des statuts de publication, sinon la création des rubriques et articles est impossible .
Voir configuration préliminaire
Au départ, il n’y a aucune rubrique ni aucun article à la racine de l’arbre éditorial.
Etape indispensable : créer au moins une rubrique, afin de pouvoir créer ensuite un article.
Les deux exemples qui servent de support pour ces explications : une rubrique et un article
La rubrique « Sélections » comprend 2 sous-rubriques :
« Nouveautés » et « Coups de cœur »
L’article « Des bibliothèques pleines de fantômes » se trouve dans la sous-rubrique « Coups de cœur »
N.B. Ce texte d’introduction à la rubrique « Sélections » ne figure pas dans la démo, je l’ai ajouté.
N.B. Ceci n’est pas la totalité de l’article, c’est en réalité le
« chapeau » de l’article : le 1 er
paragraphe destiné à accrocher le lecteur, et à lui donner envie de cliquer pour « lire la suite ».
Type de contenu, rubrique parente, titre et résumé
Champs des rubriques Champs des articles
Rubrique parente
Une rubrique peut devenir une rubrique
parente, située à la racine de l’arbre.
Rappel : un article de type « Coups de cœur » a un champ qui contient un numéro d’id de notice, puisque son but est de présenter un livre, un DVD …
Rubrique parente et résumé
Rubrique parente
Un article ne peut pas se situer à la racine, il
doit avoir une rubrique parente.
Donc le choix « à la racine » est proposé. Donc le choix « à la racine » n’est pas proposé.
Résumé Résumé
C’est un petit texte d’introduction, qui décrit C’est aussi un petit texte d’introduction, mais le les spécificités de la rubrique. Aucune suite
n’est prévue pour ce résumé de rubrique.
chapeau de l’article incite le lecteur à cliquer
pour lire la suite : l’article lui-même.
N’oubliez pas de préciser le type de contenu des rubriques ou articles que vous allez créer !
Pour l’équilibre visuel et la clarté des menus et listes, veillez à ce que les titres des rubriques soient courts et significatifs.
A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
Source : http://amcubat.be/docpmb/portail-construction-concepts-exemples
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Champ « contenu » d’un article - Ce champ n’existe pas pour les rubriques
N.B. Le genre d’article peut varier en fonction du type de contenu, dans ce cas-ci le but est de présenter une notice.
Ce n’est donc qu’un exemple de contenu parmi d’autres, d’autres articles présentent des événements, des sélections, etc.
Seuls les articles ont un champ « contenu », c’est le texte de l’article lui-même.
Lorsqu’on clique sur le lien « Lire la suite », on voit la totalité de l’article : le résumé (chapeau), le contenu et le logo éventuel.
Le lien
(« voir le document dans le catalogue »)
vous mène vers la page OPAC qui affiche une notice.
Suite de la page classique de l’OPAC, qui affiche une notice.
N.B. Je n’ai pas affiché le résumé (il est trop long !)
Logo, liens vers les catégories du thésaurus, statuts de publication
Champs des rubriques Champs des articles
Le logo est une image associée à une rubrique ou à un article. Il en symbolise le contenu mais n’est pas obligatoire.
Employez des logos de dimensions et de proportions similaires, surtout si vous voulez en afficher plusieurs côte à côte, c’est plus esthétique.
N.B. Pour les logos des étagères virtuelles, vous trouverez plusieurs modèles d’étagères dans le dossier
pmb/opac_css/images
Evitez des logos trop grands, pour l’équilibre graphique, et aussi pour réduire le « poids » et le temps de chargement des images.
Redimensionnez éventuellement les logos avant de les relier au contenu éditorial, car ils sont enregistrés dans la base elle-même, en même
temps que les articles et rubriques. De toute façon, cela ne sert à rien de stocker dans la base un logo de grandes dimensions et en haute définition, sa taille sera quand même réduite à l’affichage dans certains écrans. Inutile donc d’alourdir votre base sans raison valable.
On peut relier un article ou une rubrique à une ou plusieurs
catégories du thésaurus
.
N.B. C’est sur base des descripteurs que PMB sélectionne les notices affichées sous le titre « Sur le même sujet »
Je rappelle quelques points importants à propos des statuts de publication
- Voir Configuration préliminaire
Ce n’est pas parce qu’une rubrique ou un article ont le statut « Publié – Visible par tous » qu’on les voit nécessairement !
L’affichage d’une rubrique ou d’un article n’est pas automatique, il faut le paramétrer correctement !
En d’autres termes, il faut « quelque part » un lien URL vers cette rubrique ou cet article, sinon ils sont inaccessibles.
Le statut « non publié » d’une rubrique rend invisibles les articles et sous-rubriques qui en dépendent !
A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
Source : http://amcubat.be/docpmb/portail-construction-concepts-exemples
Dates de publication, champs personnalisés éventuels
Champs des rubriques Champs des articles
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Pas de dates de publication dans la démo (voir ci-dessous)
Pas de dates de publication dans la démo (voir ci-dessous)
Ne confondez pas les dates d’un événement et les dates de publication d’un article ou d’une rubrique .
Les dates de publication indiquent la durée pendant laquelle un élément (rubrique ou article) doit rester visible.
Exemple : on peut parler d’une part d’un événement qui a lieu le 15 octobre, ou bien du 10 au 15 octobre, et décider d’autre part que l’article qui annonce cette animation sera visible dès le 15 septembre, et qu’il disparaitra automatiquement dès le 16 octobre.
Ce système évite de garder en page d’accueil ou ailleurs des infos qui sont visiblement obsolètes !
Parler au futur d’une activité qui s’est déroulée il y a une quinzaine de jours, cela ne fait pas sérieux …
On ne précise pas toujours les dates de publication, et c’est tout à fait logique dans certains cas.
En effet, certaines rubriques ou certains articles doivent toujours être visibles, car leur contenu est permanent, par exemple la présentation de la bibliothèque ou de l’institution, l’aide à la recherche, les infos pratiques, etc.
Donc on ne saisit dans ce cas aucune valeur pour les dates de publication, pour éviter la disparition intempestive de ce type d’infos.
N.B. C’est d’ailleurs pour cette raison que les rubriques et articles de la démo n’ont pas de dates de publication : il faut que la demo puisse résister à
Rappel : la visibilité d’une rubrique ou d’un article ne dépend pas que des dates de publication, mais aussi
de son statut de publication (brouillon, à valider, publié et visible par tous, publié mais réservé aux abonnés …)
du statut de publication de sa rubrique parente éventuelle
(un article a toujours une rubrique parente ; une rubrique, pas nécessairement)
du bon paramétrage du portail : l’affichage des rubriques et articles n’est pas automatique, il faut le configurer !
Champs personnalisés
La rubrique « Sélections » n’a pas de champ personnalisé.
L’article « Des bibliothèques pleines de fantômes » a un champ
Mais ce n’est pas une règle générale.
personnalisé : l’identifiant de la notice.
C’est logique pour un article de type « Coups de cœur ».
Mais ce n’est pas une règle générale : un article de type
Dans la démo, il n’y a qu’un seul type de rubrique, une rubrique
« simple », mais on aurait pu créer un autre modèle de rubrique liée à un champ personnalisé.
« Information » n’en a pas.
En outre, on aurait pu avoir un autre genre de champ personnalisé, ex. la date d’un événement, ou l’identifiant d’une étagère virtuelle, voire même deux champs : la date de début et la date de fin d’une période.
La présence ou non de champs personnalisés et la définition de ces champs dépendent du type de contenu choisi pour la rubrique ou
l’article, et aussi du type de saisie : ex. texte (= saisie au clavier), date (= calendrier), liste de choix à partir d’une requête.
Il est très facile de connaître les numéros identifiants des rubriques et des articles, on les voit en mode édition.
Ces numéros d’id servent à construire les URL composées (donc avec paramètres) qui gèrent l’affichage dans le portail.
Deux exemples d’URL avec variables
http://127.0.0.1/pmb4perso/opac_css/index.php?lvl=cmspage&pageid=4&id_article=17 pageid=4 dans la démo, c’est la page qui affiche un article id_article = 17 dans la démo, c’est l’article « Des bibliothèques … fantômes » http://127.0.0.1/pmb4perso/opac_css/index.php?lvl=cmspage&pageid=6&id_rubrique=2 pageid=6 dans la démo, c’est la page qui affiche une rubrique id_rubrique = 2 dans la démo, c’est la rubrique « Sélections »
Il y a 2 manières d’ajouter une rubrique ou un article : l’une est parfois un peu plus rapide que l’autre.
Si on clique sur l’option « ajouter » dans Si on clique sur l’option « ajouter » juste au-dessus de la racine, une rubrique la colonne de gauche, aucune rubrique
parente n’est sélectionnée par défaut.
parente est sélectionnée par défaut.
Peu importe la position de la ligne surlignée en bleu (dans le volet central).
Il faut donc choisir absolument un parent.
C’est pourquoi l’autre manière de faire est parfois un peu plus rapide que celle-ci.
Du moins si la ligne surlignée en bleu est déjà « à un bon endroit ».
N.B. Il n’est pas indispensable que le titre d’une rubrique soit surligné en bleu. Si un des articles avait
été présélectionné (« Cultures d’Afrique noire » ou
« Projections »), la rubrique parente par défaut aurait
également été « Evénements ».
Le choix de cette rubrique parente dépend de la position de la ligne surlignée en bleu
(dans le volet central).
Ici, elle vise la rubrique « Evénements ».
Si le choix par défaut ne correspond pas à ce qu’on voulait, on peut bien sûr sélectionner une autre rubrique parente.
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Source : http://amcubat.be/docpmb/portail-construction-concepts-exemples
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E
DITEUR HTML
Dans le portail, vous disposez d’un éditeur HTML simplifié pour mettre le texte en forme : dijit/Editor.
En cas de doute sur la signification d’une icône, sachez qu’une
infobulle apparaît au survol de la souris, et vous indique sa fonction.
Risque de dégâts collatéraux ! Ne faites jamais de copier-coller direct depuis le traitement de texte !
C’est vraiment une très mauvaise idée, car Word ou OpenOffice insèrent des codes de mise en forme qui peuvent désorganiser l’affichage – ou pire encore – perturber le fonctionnement normal de PMB. Il faut d’abord « nettoyer » ce texte.
Comment nettoyer rapidement un texte Word ou OpenOffice avant de le copier-coller dans l’éditeur html du portail ou ailleurs ?
J'ouvre tout simplement le bloc-notes ou Notepad ++
(le bloc-notes suffit amplement)
un premier copier-coller du texte depuis Word ou OpenOffice vers le bloc-notes
je refais un copier-coller du même texte, mais cette fois-ci à partir du bloc-notes
le bloc-notes nettoie automatiquement ce texte, il supprime « dès l’arrivée » les codes de mise en forme je peux ensuite coller le résultat obtenu ailleurs sans souci - dans ce cas, dans l’éditeur html du portail
je suis sûre que tous les codes de mise en forme ont disparu
Il existe aussi une autre manière facile de nettoyer le code dans l’éditeur même du portail.
J’ai découvert cette astuce grâce à un support de formation que Camille Bénard nous a fourni.
Une des icônes permet de basculer d’un texte mis en forme au code-source en HTML, et vice-versa.
C’était la seule fonction de cette icône que je connaissais, j’ignorais qu’elle avait aussi des « pouvoirs nettoyants » !
Comme dans tout éditeur de ce genre, une des icônes permet de passer d’un mode d’affichage à l’autre : d’un texte mis en forme
à un aperçu du code HTML, et vice versa.
Explications complémentaires de Camille Bénard
« Si vous souhaitez coller du texte provenant d'un éditeur de traitement de texte (ex : MS Word, OpenOffice, etc.) ou d'un autre
éditeur HTML, cliquez sur cette icône avant de coller votre texte.
Cela vous permettra de récupérer uniquement le texte brut sans mise en forme, afin d'éviter des problèmes d'affichage liés au code provenant d'un autre programme. Ensuite, cliquez à nouveau sur l'icône afin de mettre en forme votre texte si nécessaire. »
Bénard, Camille, Portail PMB. Introduction aux concepts du portail et à l'utilisation du contenu éditorial - support non finalisé, 2014, p. 8
Que faire si le texte-source provient d’un autre éditeur HTML ?
Cette question n’est pas que rhétorique, vous y serez probablement confronté concrètement le jour où vous voudrez intégrer
dans le portail vos ex-infopages ou des pages HTML créées autrement.
En général, le passage d’un éditeur HTML à l’autre pose moins de problème, car même si les codes de mise en forme sont transférés,
il s’agit de balises HTML qui risquent moins de perturber le bon déroulement des choses que le traitement de texte.
Quelle option choisir : récupérer le texte brut ou le texte déjà formaté par les balises HTML ?
La plupart du temps, il vaut mieux récupérer le texte brut. En effet, vous risquez de reproduire telle quelle la mise en page de vos ex-infopages, or rien ne garantit que leurs propriétés CSS (polices, tailles et couleurs des caractères) soient vraiment compatibles visuellement avec la feuille de style du portail. Vous risquez de rompre l’équilibre graphique de l’ensemble.
Attention toutefois !
Vous aurez du travail de reconstitution à faire ensuite, si la page présente une liste assez longue de ressources externes
(liens vers d’autres sites). En effet, les balises ne contiennent pas seulement des codes de mise en forme du texte.
Les liens URL sont aussi enregistrés dans des balises HTML ! Exemple : <a href="http://www.sigb.net">PMB Services</a>
Si vous n’avez récupéré que le texte brut, les adresses ont disparu, et vous devez recréer tous ces liens URL un par un …
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Source : http://amcubat.be/docpmb/portail-construction-concepts-exemples
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Si vous voulez copier d’un éditeur html à l’autre en gardant les balises mais sans risquer de déclencher des problèmes
Dans les deux éditeurs, cliquez sur l’icône qui permet d’afficher le texte brut (avec les balises visibles)
Copiez-collez à partir de l’autre éditeur vers celui du portail. En théorie, la copie d’un texte html brut se fait sans souci.
Dans l’éditeur du portail, cliquez à nouveau sur la même icône, vous voyez désormais le texte mis en forme et avec ses URL
Ensuite, supprimez ou modifiez les balises de mise en forme (pour les raisons esthétiques expliquées ci-dessus).
Pour éviter toute surprise désagréable : des liens URL qui auraient disparu par mégarde
Ne supprimez pas trop tôt les infopages qui contiennent des liens vers d’autres sites ! Faites-en une copie externe à PMB.
Dans TinyMCE, cliquez sur l’icône qui permet d’afficher le texte brut (avec les balises, donc avec les URL des sites), copiez-collez ce texte brut ailleurs (bloc-notes ou Notepad ++) et sauvegardez ce fichier séparément.
Insérer ou supprimer un lien URL
Sélectionner un ou plusieurs mots - Cliquer sur l’icône « Lien »
Saisir l’URL de destination et une brève description
Choisir la cible :
Fenêtre actuelle pour un lien vers une page de votre portail
Nouvelle fenêtre pour un lien vers un autre site (le lien s’ouvrira ainsi dans un autre onglet du navigateur)
Cliquer sur « Définir » pour créer et enregistrer ce lien.
Pour supprimer un lien URL : positionner le curseur quelque part dans le texte sélectionné, et cliquer sur l’icône à droite de « Lien »
Insérer une image
Positionner le curseur à l’endroit adéquat – Cliquer sur l’icône « Image »
Saisir l’URL de l’image et une brève description
(pour la balise « alt », le texte alternatif)
Cliquer sur « Définir » pour créer et enregistrer cette image.
Vous pouvez ensuite la redimensionner à la souris.
N.B. Ceci permet uniquement d’afficher des images à partir de leur URL, donc elles doivent déjà être en ligne « quelque part »
.
Vous pourriez créer un répertoire spécifique, par exemple pmb/opac_css/images/portail/ ou bien les stocker ailleurs.
Rappel : pour les logos, le système est différent, ils sont enregistrés dans la base elle-même.
Comment rendre cette image cliquable ?
Cet éditeur ne permet pas de le faire directement via une icône spécifique, mais il suffit de cliquer sur l’icône « aperçu du code HTML »
Conseil final et mise en garde
Vous disposez d’un éditeur HTML pour mettre en forme le texte, mais n’en abusez pas !
Vous pouvez employer cet éditeur sans problème pour modifier un peu les choses (indenter le texte, ajouter des puces ou des listes numérotées, insérer des images ou des liens URL …), mais n’en faites pas trop.
N’oubliez pas que le portail est un CMS : c’est la feuille de style qui doit gérer l’aspect visuel de l’ensemble.
Si vous changez trop de propriétés CSS dans plusieurs articles (des polices différentes, ou des polices de tailles ou de couleurs différentes), vous pourriez vraiment rompre l’harmonie globale de votre site.
En effet, il se peut par exemple que le chapeau d’un de ces articles « modifiés » soit affiché juste à côté du chapeau d’un article dont la mise en forme respecte la feuille de style choisie, ce qui risque de créer un contraste peu esthétique.
Dans la même optique, veillez à ne pas réutiliser telle quelle la mise en forme d’une ancienne infopage, elle n’est peut-être pas vraiment compatible avec votre feuille de style actuelle. Importez de préférence le texte brut des ex-infopages, sans les balises html.
N’importez le texte formaté avec les balises html que si vos anciennes pages contiennent beaucoup de liens URL vers d’autres sites.
Sinon, vous devriez reconstituer tous ces liens URL.
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Gérer l’arbre du contenu éditorial
N
AVIGUER DANS L
’
ARBRE DU CONTENU ÉDITORIAL
Comment afficher l’arbre du contenu éditorial et y naviguer ? C’est tout simple ;-)
Dès que vous accédez à l’onglet Portail, vous lancez automatiquement le sousmenu « Gestion ». Vous pouvez donc naviguer immédiatement dans l’arbre du contenu éditorial.
Si vous avez entretemps ajouté des pages, inséré ou déplacé des cadres, modifié des propriétés CSS …, il suffit de cliquer sur « Gestion », et vous avez à nouveau une vue d’ensemble sur l’arborescence.
C’est l’interface classique des arborescences, les + et les – permettent de déplier ou replier les rubriques et les dossiers « Articles ».
Les dossiers « Articles »
Dès qu’on ajoute le premier article dans une rubrique, un dossier « Articles » se crée automatiquement.
Les dossiers « Articles » ne sont pas des « rubriques » à proprement parler,
mais plutôt une manière astucieuse d’afficher l’arbre.
Astuce : on peut connaître le contenu d’un dossier « Articles » sans devoir le déplier !
Même si un dossier « Articles » est replié, vous pouvez voir la liste des articles dans le volet de droite, en cliquant sur le titre « Articles ». Vous avez donc à la fois une vue d’ensemble sur l’arborescence
(puisque les dossiers « Articles » sont repliés) et un aperçu du contenu de la rubrique.
M
ODIFIER
–
SUPPRIMER UNE RUBRIQUE OU UN ARTICLE
Il suffit de cliquer sur le titre de la rubrique ou de l’article concerné, et vous entrez en mode Edition.
C’est exactement la même interface qu’auparavant, lorsque vous avez ajouté une rubrique ou un article.
Si vous avez modifié le contenu de l’un ou l’autre champ, n’oubliez pas d’enregistrer ensuite la version corrigée.
La suppression d’une rubrique (ou sous-rubrique) n’est bien sûr possible que si celle-ci est vide. Si elle contenait par exemple des articles ou des sous-rubriques, il faudrait d’abord déplacer ou supprimer ces articles ou sous-rubriques.
D
ÉPLACER UNE RUBRIQUE OU UN ARTICLE
Il y a deux manières de déplacer une rubrique ou un article.
1) Editer la rubrique ou l’article en question, changer la rubrique parente, et enregistrer la modification.
2) Afficher l’arbre du contenu éditorial, et déplacer les rubriques et articles grâce au « glisser-déposer » (drag and drop).
La 2 e
méthode est bien sûr plus rapide, puisque vous ne devez pas éditer chaque élément séparément.
Le principe de base du « glisser-déposer » est simple :
N.B. On peut aussi déplacer plusieurs rubriques ou articles en même temps.
positionner le curseur sur la rubrique ou l’article à déplacer
cliquer et maintenir le bouton gauche de la souris enfoncé
déplacer l’élément concerné vers sa nouvelle position
si la nouvelle position est correcte, relâcher le bouton gauche de la souris
Attention ! Si vous pensez être parti dans une mauvaise direction, ne relâchez pas le bouton gauche de la souris, retournez d’abord à un endroit où le signal est rouge.
En effet, dès que vous relâcherez le bouton de la souris, la rubrique ou l’article changeront définitivement de place.
L’enregistrement est immédiat, du moins si vous êtes dans une zone où le signal est vert !
Dans ce cas, vous devriez déplacer à nouveau la rubrique ou l’article, il n’y a pas de CTRL-Z qui vous ramènerait en arrière.
Je sais que cela a l’air tout à fait nébuleux pour le moment, surtout mes signaux verts ou rouges, mais les exemples des pages suivantes vous aideront à comprendre …
A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
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Quelques exemples pour clarifier le « code de la route » des déplacements dans l’arbre du contenu éditorial.
Déplacer un article vers une autre rubrique (ou dans la même rubrique)
Exemple : « balader » le « pauvre poisson rouge » qui s’ennuie dans son bocal, et lui faire découvrir de nouveaux horizons …
Le « poisson rouge » peut passer de la rubrique Coups de cœur à celle des
Nouveautés.
Le signal est vert, car le point de destination est une rubrique.
Je n’ai pas pu préciser la place exacte que le « poisson rouge » devait occuper dans la liste des Nouveautés, puisque le dossier « Articles » était replié.
J’ai seulement pu indiquer une rubrique de destination : Nouveautés.
Conséquence : le « poisson rouge » a changé de rubrique.
Hélas, il occupe la place par défaut, il est le dernier de la liste !
Si je veux amener le « poisson rouge » dans la rubrique des Nouveautés, et spécifier où il doit aller, je dois d’abord déplier le dossier « Articles » avant de déplacer mon poisson.
Le signal est vert, car le point de destination est situé à l’intérieur d’un dossier « Articles », et le trait bleu indique l’endroit précis où l’article
sera inséré (il sera le premier de la liste).
Tout va bien désormais : le « poisson rouge » occupe la place d’honneur dans la rubrique Nouveautés !
Autre exemple de déplacement : le « poisson rouge » reste dans la même rubrique, mais il change de place, il devient le 2 e
article de la liste.
Le signal est vert, et le trait bleu indique l’endroit précis où l’article sera
inséré (entre Georges et les Bibliothèques).
Déplacer une rubrique
Je peux déplacer une rubrique complète, il suffit de positionner le curseur sur le titre de la rubrique concernée.
Une rubrique qu’on veut déplacer entraîne dans son sillage les articles et les sous-rubriques qui en dépendent.
Les dossiers « Articles » ne sont pas des « rubriques » ni des « articles ».
La différence est importante, car elle explique pourquoi certains déplacements sont autorisés, et d’autres pas.
Déplacer un article ? Oui, mais pas toujours !
Le « poisson rouge » ne peut pas passer des Coups de cœur aux Nouveautés.
Le signal est rouge, car le point de destination n’est pas une rubrique ni l’intérieur d’un dossier « Articles », mais le titre « Articles ».
Déplacer un dossier « Articles » ? Non !
Il est impossible de déplacer un dossier « Articles ».
Dès que vous avez sélectionné un dossier « Articles » comme élément à déplacer, le signal reste rouge tout le temps, peu importe la destination.
Par contre, la rubrique « Coups de cœur » peut changer de place
(voir dernier exemple de l’encadré précédent)
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Source : http://amcubat.be/docpmb/portail-construction-concepts-exemples
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Déplacer plusieurs articles en même temps
Sélectionner plusieurs articles consécutifs
Positionner le curseur sur le 1 er
article à déplacer et cliquer
Appuyer sur MAJ et maintenir la touche enfoncée
Positionner le curseur sur le dernier article et cliquer
Tous les articles intermédiaires sont aussi sélectionnés
N.B. Pour varier, vous pouvez sélectionner d’abord le dernier article, et ensuite le premier, le résultat final sera le même
Sélectionner plusieurs articles non consécutifs
Appuyer sur CTRL et maintenir la touche enfoncée
Positionner le curseur sur un article et cliquer pour le sélectionner - répéter l’opération
En cas d’erreur, positionner le curseur sur l’article concerné et cliquer à nouveau pour le désélectionner
Certains articles sont ainsi sélectionnés
Attention ! Dans l’exemple de gauche, j’ai déplacé tous les articles de la rubrique Coups de cœur, mais je n’ai pas sélectionné la rubrique
Coups de cœur elle-même. Cette rubrique ne changera donc pas de place pour le moment, mais elle deviendra forcément vide.
On peut aussi déplacer plusieurs rubriques en même temps, mais la manœuvre est plus délicate.
Une erreur est vite arrivée, et les conséquences éventuelles sont d’une autre ampleur ...
Rappel : dès que vous relâchez le bouton gauche de la souris, l’enregistrement est instantané, donc la rubrique ou l’article changent définitivement de place, du moins si le signal est vert ! Il n’y a pas de CTRL-Z qui puisse vous ramener en arrière.
En cas d’erreur ou de doute sur le positionnement, déplacez d’abord le curseur dans une zone où le signal est rouge avant de relâcher le bouton gauche de la souris.
Ceci évite l’enregistrement de la nouvelle position de la rubrique ou de l’article.
Et si vous avez bien suivi mes explications, vous devez savoir désormais où positionner le curseur pour que le signal devienne rouge ;-)
Avez-vous réussi ce petit test sur le code de la route des déplacements ?
Vous pourriez vous demander pourquoi j’ai passé autant de temps à expliquer les subtilités des déplacements dans l’arbre du contenu éditorial, et pourquoi il y a autant de captures d’écran.
Un menu doit être clair et structuré pour le lecteur, il faut qu’il trouve rapidement l’info recherchée.
Un menu – même complexe - doit aussi être relativement facile à gérer pour le responsable du site.
Voici la méthode la plus simple pour créer un menu dans le portail :
calquer la structure du menu sur une partie de l’arborescence du contenu éditorial
calquer l’ordre d’affichage des articles sur l’ordre dans lequel ils sont classés dans les rubriques
Toutefois, élaborer un portail est un processus évolutif.
Même si vous avez un projet de départ assez précis, il est fort probable que la structure évolue au fil du temps, et que vous décidiez de modifier un peu la hiérarchie et l’ordre de présentation, car vous avez découvert entretemps de nouvelles fonctionnalités du portail, ou créé de nouvelles rubriques.
A ce moment-là, vous devrez réorganiser votre menu, et par conséquent, déplacer des rubriques, sous-rubriques et articles dans l’arbre du contenu éditorial.
C’est pourquoi j’ai voulu expliquer en détail comment modifier l’arborescence …
A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
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Gérer globalement le contenu éditorial
Au départ, un portail ne comprend que peu de rubriques et d’articles, et sa gestion ne pose pas trop de problème. Mais au fil du temps, le nombre d’articles augmentera, et il deviendra probablement plus difficile de s’y retrouver.
C’est particulièrement vrai s’il s’agit d’un portail multi-sites où chaque département ajoute des articles, parfois sans savoir exactement ce que les autres font. Cela peut aussi être vrai dans une base mono-site, s’il y a plusieurs rédacteurs.
Il faut donc qu’une personne joue le rôle de responsable général, afin de coordonner le tout, d’éviter les redites (ou pire, les contradictions), et de veiller aussi à ce que les articles obsolètes soient mis à jour ou supprimés régulièrement.
Voici deux types d’outils pour vous aider dans cette tâche :
des requêtes SQL
qui vous aideront à garder une vue d’ensemble sur le contenu éditorial
la création de champs personnalisés supplémentaires
, qui seront visibles uniquement en gestion o ajouter dans les articles un commentaire de gestion, la date de la dernière mise à jour ou le nom du rédacteur o il ne me semble guère utile d’ajouter ce type d’info pour les rubriques, mais rien ne vous en empêche …
R
EQUÊTES
SQL
–
LISTES DIVERSES
:
ARTICLES
,
RUBRIQUES
,
PAGES
,
TYPES DE CONTENU
,
ETC
Voici 2 exemples.
Tableau de bord : vue d’ensemble des articles, classés par rubrique – N.B. Liste abrégée, je ne montre que 9 articles sur 21 !
Rappel : l’actualité est éternelle dans une démo, les articles n’ont donc pas de dates de parution et tous ont le statut « publié ».
J’ai donc dû inventer des dates de publication, pour montrer quelques exemples dans les colonne F et G du tableur.
J’ai aussi dû changer certains statuts de publication, pour avoir un peu de diversité dans les exemples de la colonne E.
Au départ, les données sont triées sur base de l’arbre du contenu éditorial, donc regroupées par rubrique.
Transférez le résultat vers le tableur, et supprimez d’abord la 1 e
ligne (celle qui contient le nom de la procédure) avant de trier.
Dans un tableur, il est très facile de trier les données dans l’ordre qui vous convient, par exemple par statut de publication.
On peut aussi trier les données par type de contenu.
Le tri par type de contenu permet de vérifier si les dates de parution sont cohérentes. On voit ici des anomalies pour les Coups de cœur.
En théorie, ce type de contenu a une durée de vie limitée, or les dates de début et/ou de fin de publication manquent pour 2 articles.
La situation est normale pour les Evénements (dates mentionnées) et les Informations (il n’y a aucune date car la publication est permanente)
On peut aussi trier les données par numéro identifiant (du plus grand au plus petit), afin de voir d’abord les articles les plus récents.
A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
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Page 59
Tableau de bord : vue d’ensemble des rubriques
A
JOUTER DES COMMENTAIRES DE GESTION
Un commentaire de gestion des articles peut être un aide-mémoire pour les bibliothécaires et/ou un outil de communication entre eux.
Quelques exemples de commentaires possibles :
article à retravailler – trop long, des redites
article presque prêt – il manque l’adresse exacte de la salle et un plan d’accès
article à garder dans les archives – on peut le réutiliser l’an prochain après une légère adaptation
En outre, ces commentaires de gestion peuvent aussi s’avérer fort utiles pendant la phase de construction du portail
, comme aide-mémoire des modifications à faire plus tard lors du transfert vers la vraie base .
Si un article a le type de contenu « Coups de cœur », il a un champ personnalisé pour l’identifiant de la notice.
Toutefois, la base de travail ne contient qu’un nombre réduit de notices, donc les numéros d’id des notices n’y sont pas les mêmes que dans la base en ligne, et il faudra par conséquent modifier ces numéros plus tard, après le transfert du portail.
Le plus simple est de noter, dans le champ « commentaires de gestion », le numéro d’id de notice qui sera nécessaire plus tard.
Vous pouvez le trouver sans problème, vous avez accès à votre vraie base, donc il apparaît quelque part dans une barre d’adresses.
Pour savoir comment repérer un numéro d’id, voir Numéros identifiants
Pour éviter le travail fastidieux de créer ce champ un nombre x de fois (par exemple pour chaque type d’article), je vous
conseille de recourir à un système prévu dans PMB : les champs génériques .
Les champs génériques sont des champs communs soit à toutes les rubriques, soit à tous les articles.
Attention ! Il ne peut pas y avoir d’homonymes parmi les champs personnalisés, donc les noms doivent être tous différents.
Rappel - Le choix du nom des variables, des champs personnalisés et des répertoires obéit à des règles précises - sinon, erreur SQL !
Si vous voulez utiliser les commentaires de gestion partout, il faut donc créer 2 champs génériques : un pour les rubriques, et un autre pour les articles.
La méthode est la même : cliquer sur « Editer la liste des champs génériques »
Rappel : ce champ me semble fort utile pour les articles mais tout à fait superflu pour les rubriques.
En outre, ce n’est parce que ce champ existe qu’il doit absolument contenir un commentaire pour chaque article, il peut être vide !
Champ personnalisé générique : commentaires de gestion des articles - Choix du type de saisie : 2 possibilités
Le type « texte » convient parfois moins bien, car on doit préciser une largeur du champ à l’écran, qui ne dépasse en général pas 120 caractères. Or, un commentaire de gestion risque parfois d’être plus long
(255 caractères), ce qui oblige à scroller, sinon on ne voit pas la fin du message.
Le type de saisie « zone de commentaire » me
Exemples :
semble ici plus pratique, car le commentaire s’affiche sur 3 lignes de 85 caractères (= 255 au total) et on peut tout lire d’emblée, il ne faut pas scroller.
Le choix vous revient, de toute façon. Une petite aide visuelle pour vous guider : comparaison entre 2 types de saisie
Zone de commentaire Texte
2 types de saisie
2 genres de contenu
Commentaire général pour un article de type « événement »
Aide-mémoire pour faciliter le transfert ultérieur vers la vraie base
A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
Source : http://amcubat.be/docpmb/portail-construction-concepts-exemples
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A
JOUTER LA DATE DE LA DERNIÈRE MISE À JOUR
Un autre exemple de champ personnalisé : la table des articles contient un champ qui enregistre leur date de création, mais au stade actuel, rien n’est prévu pour la date de la dernière mise à jour. Il faut donc ajouter un champ générique.
N.B. Un champ générique est commun à tous les articles ou à toutes les rubriques (voir commentaires de gestion)
Type de saisie : date Champ personnalisé générique des articles : date de la dernière mise à jour
???
Cocher ou ne pas cocher la case
« ne pas employer la date du jour par défaut », telle est la question, dirait Shakespeare ….
Cliquer sur « Options » pour paramétrer le type de saisie.
Le type de saisie « date » signifie « sélection
Le type de données « date » ne peut contenir qu’une date « SQL » : année - mois – jour. grâce au calendrier ». Un seul type de
données est donc possible : une date.
Clarifions d’abord le débat ! Que signifie le choix : ne pas cocher la case
Ex. 2015-04-01 = 1 er
avril 2015
« ne pas employer la date du jour par défaut » ?
N’oubliez pas que ces 2 négations s’annulent, donc cela veut dire « employer la date du jour par défaut » !
Cas n° 1 : le champ « date de dernière mise à jour » est vide au moment de cliquer sur « enregistrer »
Si le champ « mise à jour » ne contient aucune valeur (= le message « aucune date ») au moment de cliquer sur « enregistrer », parce que vous venez de créer un nouvel article ou d’effacer la valeur précédente dans un article préexistant, voici ce qui se passera au moment
où vous éditerez à nouveau cet article :
Si vous n’aviez pas coché cette case, ce champ changera de contenu au moment de l’enregistrement dans la base, il
contiendra automatiquement la date du jour où vous avez enregistré l’article pour la dernière fois.
Donc la date de mise à jour correspondra au départ à la date de création de l’article, et plus tard à la date de la dernière édition.
Si vous aviez coché cette case, ce champ date restera dans l’état où il était antérieurement, sans contenu.
Donc il risque peut-être de rester vide un certain temps ...
Cas n° 2 : le champ « date de dernière mise à jour » a un contenu réel au moment de cliquer sur « enregistrer »
Dès que le champ « dernière mise à jour » a un contenu réel (autre que « aucune date ») au moment de cliquer sur « enregistrer », il
ne va plus se mettre à jour automatiquement dès qu’on éditera l’article, même si la case n’avait pas été cochée au départ (lorsqu’on avait configuré le contenu éditorial).
Si l’utilisateur a bénéficié d’une facilité lors de la rédaction d’un nouvel article (= le champ « mise à jour » contient d’office une valeur correcte, la date de création de l’article), il risque de croire que cela se répétera plus tard, lorsqu’il devra éditer cet article.
Or, ce n’est pas vrai. Si on édite un article dont le champ « dernière mise à jour » contient déjà une valeur, la date qui s’y trouve ne changera pas, sauf intervention manuelle de l’utilisateur – peu importe que la case ait été cochée ou non.
Puisque le bibliothécaire devra quand même changer la date lui-même dès qu’il éditera un article, autant ne pas lui donner « de mauvaises habitudes » au départ, en lui laissant croire que « la mise à jour du champ date de mise à jour » est automatique !
En outre, on édite beaucoup plus souvent qu’on ne crée, donc les chances statistiques d’avoir déjà un contenu (même erroné) dans ce champ sont plus élevées.
Dernier argument : si vous employez les requêtes SQL que je propose pour avoir une vision d’ensemble du contenu éditorial, un champ « dernière mise à jour » qui est vide va davantage attirer votre attention qu’un champ qui contient une valeur identique à la date de création de l’article. Ce sera pour vous l’occasion de rappeler à tout le monde l’importance de ce champ.
Pour toutes ces raisons, je vous suggère donc de cocher la case « ne pas employer la date du jour par défaut ».
Le champ « dernière mise à jour » restera vide au départ, et même peut-être pendant un certain temps, malgré les rééditions
éventuelles de l’article par des bibliothécaires distraits.
Mais au moins, le champ « dernière mise à jour » ne contiendra pas une valeur qui risquerait vite de devenir erronée et de passer inaperçue : la date de création de l’article.
Cela simplifie aussi les consignes à donner aux autres rédacteurs :
Lorsque vous créez un article, inutile de compléter le champ « date de mise à jour », la date de création suffit.
Dès que vous éditez un article, il faut saisir une valeur dans ce champ, en ouvrant le petit calendrier intégré : o y mettre pour la première fois une date, ou remplacer la date qui s’y trouvait par une autre
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A
JOUTER LE NOM DU RÉDACTEUR
Si plusieurs personnes collaborent au contenu éditorial, il est également souhaitable de prévoir un champ personnalisé, afin d’enregistrer le nom des rédacteurs des divers articles
(ce champ me semble lui aussi superflu pour les rubriques)
.
Le type de saisie « texte » ne convient pas, même si c’est celui auquel certains pourraient penser au départ.
En effet, si on laisse les rédacteurs libres d’introduire leur nom au clavier, rien ne garantit que d’une fois à l’autre, ils saisissent leur nom sous la même forme : le prénom, le prénom abrégé, parfois le surnom, parfois le prénom et le nom de famille, etc.
Toutes ces variantes empêcheraient de sélectionner les articles sur base du rédacteur, il faut normaliser les choses.
Deux types de saisie sont dès lors envisageables pour ce champ générique. A vous de choisir une des deux solutions !
N.B. Un champ générique est commun à tous les articles ou à toutes les rubriques (voir commentaires de gestion)
Première hypothèse : une liste de choix préétablie
Type de saisie : liste de choix
Cliquer sur « Options » pour paramétrer le type de saisie.
Champ personnalisé générique : nom du rédacteur Importance du champ « choix vide »
Champ complété Champ vide
Le type de saisie « liste de choix » se base sur une liste préétablie.
Chaque choix possible (ici, le nom du rédacteur) correspond à une valeur numérique (1, 2 …), ce qui va déterminer le type de données.
Complétez le champ « choix vide » !
Si vous avez complété ce champ, vous voyez les 2 noms et une possibilité de choix vide :
« sélectionner un nom ».
Si vous n’avez pas complété ce champ, il faut choisir un des 2 noms. Si vous ne faites rien, PMB prendra par défaut le 1 er
nom de la liste, et XX travaillera plus que XY !
L’ordre d’affichage est imposé :
Ladies first !
Le type de données est un « entier » car le type correspond à la valeur choisie : des nombres (1, 2). Mais on aurait aussi pu choisir le type « texte » pour enregistrer ces nombres.
Si on avait choisi des lettres pour symboliser les valeurs (ex. les initiales des rédacteurs), le type de données aurait été « texte ».
Deuxième hypothèse : une liste de choix à partir d’une requête (liste des utilisateurs)
Type de saisie : liste de choix à partir d’une requête
Champ personnalisé générique : nom du rédacteur Importance du champ « choix vide »
Champ complété Champ vide
Le type de saisie « liste de choix à partir d’une requête » se base sur le contenu de la table users, donc la liste de tous les utilisateurs.
Complétez le champ « choix vide » : voir remarque dans l’encadré précédent
Si vous ne complétez pas ce champ, admin devra travailler davantage que les autres !
Ordre d’affichage : d’abord admin
La requête spécifie que les logins seront affichés dans l’ordre alphabétique.
Order by 2 = tri sur le 2 e
champ cité
(tri sur username, le login de l’utilisateur)
Le type de données est un « entier » car la requête renvoie le numéro identifiant de chaque utilisateur, donc un entier.
Dans des circonstances « normales », on choisit un de ces 2 types de saisie pour les champs personnalisés : liste de choix basée sur une liste préétablie ou liste de choix à partir d’une requête.
Pour faire « cohabiter » ces 2 types de rédacteur dans la même base j’ai forcément dû donner un nom SQL différent au 2 e
champ que j’ai créé : redacteur_user
Pour clarifier mes explications, et éviter tout risque de confusion entre ces 2 types de saisie j’ai adapté le titre à l’affichage : Rédacteur (user) et j’ai engagé d’autres rédacteurs choisis dans l’équipe de PMB Services !
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Pourquoi faut-il dans ce cas-ci compléter la case « choix vide » au moment de créer un champ personnalisé ?
Si le champ « choix vide » est vide, un choix vide est impossible !
Ce type de problème se pose ici quelle que soit la méthode employée : liste préétablie ou liste à partir d’une requête.
Si vous n’avez rien saisi dans le champ « choix vide » (dans la définition du champ personnalisé), un choix vide (dans l’article) est impossible. Vous devrez malgré tout choisir un nom avant de sauvegarder l’article, même si aucun nom de la liste ne correspond au vôtre.
Si vous tentez d’esquiver ce choix, un nom par défaut est de toute façon imposé au moment d’enregistrer l’article : le 1 er
nom de la liste !
La même chose se passe si un rédacteur est distrait, et oublie de sélectionner son nom : c’est le 1 er
nom de la liste qui est enregistré.
Cela crée l’impression erronée que XX ou admin ont beaucoup plus travaillé que les autres ! (voir exemples de la page précédente).
L’existence d’un choix vide est nécessaire, non seulement pour éviter de fausser les données, mais aussi pour avoir la possibilité d’effacer le contenu d’un champ personnalisé via l’interface de PMB. Si le choix vide n’existe pas, vous ne pouvez supprimer la valeur d’un champ personnalisé que par l’interface de PhpMyAdmin ou par une requête SQL .
Quelques pistes de réflexion : liste de choix préétablie ou liste de choix à partir d’une requête ?
Mise à jour manuelle ou automatique ?
Liste de choix préétablie
Il faut penser à mettre cette liste à jour manuellement, si des rédacteurs s’ajoutent.
Vérifiez bien sûr si les noms saisis dans la liste correspondent réellement à des utilisateurs qui ont accès à l’onglet Portail !
Liste de choix à partir d’une requête
Cette liste se met à jour automatiquement, il ne faut pas intervenir, vu qu’elle se base sur le contenu actuel de la table users.
La liste risque d’être fort longue car elle comporte les noms de tous les bibliothécaires, qu’ils aient ou non accès à l’onglet Portail.
Que se passe-t-il si un bibliothécaire change de département ou quitte l’institution ?
Liste de choix préétablie
Vous pouvez postposer le moment de mettre la liste à jour, et conserver donc le nom de l’ex-utilisateur pendant quelque temps.
Cela vous permet de garder temporairement une trace des activités des rédacteurs qui sont partis ou ont changé de fonction.
Liste de choix à partir d’une requête
En général, on supprime rapidement un ex-utilisateur de la table users, afin qu’il n’ait plus accès à la base.
Il est dès lors impossible de retrouver le nom du rédacteur initial de certains articles, puisque son numéro d’id n’existe plus.
PMB est une base de données relationnelle, donc tout se résume toujours à des questions de numéros identifiants !
O
RDRE D
’
AFFICHAGE DES CHAMPS GÉNÉRIQUES
Comment changer l’ordre d’affichage des champs génériques ?
L’ordre dans lequel on crée les champs personnalisés génériques est parfois une question de hasard, et ce n’est pas toujours l’ordre le plus fonctionnel, dès qu’on doit saisir des données dans les articles. Il est possible de le modifier, et le processus est fort simple.
Au départ, les champs sont affichés dans l’ordre de leur création
(aussi bien dans cet écran que dans l’article lui-même).
Pour modifier l’ordre d’affichage, cliquer sur les + et les – afin de déplacer les champs un par un vers le haut (-) ou vers le bas (+).
R
EQUÊTES
SQL
–
SÉLECTION D
’
ARTICLES SELON LES TYPES DE CONTENU STANDARDS
Si vous avez restauré le jeu de sauvegarde cms_min (configuration du contenu éditorial), vous avez des types de contenu standards : leurs numéros d’id sont identiques à ceux de la démo, et il en va de même pour les 5 premiers champs personnalisés qui sont associés
à ces types de contenu (voir liste page suivante). Dans ce cas, ces requêtes sont immédiatement prêtes à l’emploi !
Sinon, il faudra bien sûr adapter les numéros identifiants, sur base des infos fournies par la 1 e
requête de la page suivante.
Ces requêtes sélectionnent les articles selon le type de contenu, et permettent des vérifications. Quelques exemples.
Coups de cœur
Id de la notice ?
Annales ? Ou
La 8 e
couleur ?
Après vérification, on voit que le n° d’id de la notice est correct : « La 8e couleur » est un des titres de la série « Les Annales ».
Sélection
Etagère associée
à l’article
Vérification
Article sans type de contenu
Ces requêtes servent aussi à la fin du processus, quand on prépare la mise en ligne du portail, par exemple pour vérifier les n° d’id des notices ou des étagères (ces numéros ne sont probablement pas tous les mêmes dans la base de test et dans la base en production).
A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
Source : http://amcubat.be/docpmb/portail-construction-concepts-exemples
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R
EQUÊTES
SQL -
SÉLECTION D
’
ARTICLES SELON UN CHAMP PERSONNALISÉ SUPPLÉMENTAIRE
Les procédures de cette série-ci sont « spécifiques », elles sont liées à des champs personnalisés supplémentaires dont les numéros
d’id peuvent différer d’une base à l’autre
(commentaire de gestion, date de la dernière mise à jour, nom du rédacteur).
Toutefois, si vous avez défini les champs personnalisés comme je l’ai fait (même type de saisie et même type de contenu), et si vous leur avez donné le même nom SQL (ex. nouvel_onglet), il n’y a aucun changement à faire ;-)
Outils - Liste des champs personnalisés – enregistrés dans la table cms_editorial_custom – triés par numéro d’id
N.B. Ce sont les valeurs dans ma base de travail ; selon toute probabilité, certaines seront différentes dans votre base.
Toutefois, si vous avez restauré le jeu de sauvegarde cms_min, les 5 premiers champs sont identiques (ce sont les valeurs de la démo).
Pour les types de contenu, la signification de 2 libellés (« CP pour … ») pourrait intriguer de prime abord.
CP = champ personnalisé
CP pour Article = champ générique pour article
L’explication se trouve dans la table qui définit ces types de
commun à tous les articles
CP pour Rubrique = champ générique pour rubrique
commun à toutes les rubriques
contenu : cms_editorial_types
Lorsqu’on base un type de contenu sur une liste de choix (c’est le cas ici pour le rédacteur), la liste des valeurs et contenus possibles est enregistrée dans une autre table : cms_editorial_custom_lists
Cela correspond à la liste des rédacteurs possibles.
Voir lignes 9 et 10 du tableur.
Sélection : liste partielle des articles – seulement s’il y a une date de mise à jour
Sélection : liste partielle des articles – seulement si le rédacteur est connu (liste préétablie de choix)
Sélection : liste partielle des articles – seulement si le rédacteur est connu (liste à partir d’une requête – contenu de la tables users)
Sélection : liste partielle des articles – seulement s’il y a des commentaires de gestion
Ceci n’est qu’un aperçu de quelques procédures.
télécharger le zip à partir de mon site.
A.-M. Cubat PMB – Construction du portail – Concepts et exemples
Source : http://amcubat.be/docpmb/portail-construction-concepts-exemples
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Sauvegarder
– restaurer le contenu éditorial
Comme le nom l’indique clairement, c’est tout le contenu éditorial qui est sauvegardé dans le jeu « cms_edit » :
- la configuration éditoriale minimum (types de contenu pour les rubriques et articles, et statuts de publication)
- le contenu des rubriques et articles
- les liens entre d’une part les articles ou rubriques et d’autre part les catégories
- les tables d’indexation, indispensables pour la recherche dans le contenu éditorial
- on peut y ajouter les collections de documents numériques (présentées grâce au module Portfolio)
C’est un ensemble dont tous les éléments sont interconnectés, et qui correspond à une base précise - vu les liens entre le contenu éditorial et le contenu bibliographique (notices, catégories du thésaurus …). Il comprend 11 ou 14 tables.
Jeu cms_edit - Liste des 11 tables de base du contenu éditorial (PMB 4.0.13 – PMB 4.1)
Nom des tables Commentaire
Cms_articles
Cms_articles_descriptors
Contenu des articles
Liens entre articles et catégories
Cms_editorial_custom
Cms_editorial_custom_lists
Définition des champs personnalisés liés aux types de contenu
(rubriques ou articles)
Cms_editorial_custom_values Valeurs de ces champs personnalisés dans la base
Cms_editorial_fields_global_index Indexation pour la recherche dans les rubriques et articles
Cms_editorial_publication_states
Cms_editorial_types
Statuts de publication
Types de contenu (rubriques et articles)
Cms_editorial_words_global_index Indexation pour la recherche dans les rubriques et articles
Cms_sections Contenu des rubriques
Cms_section_descriptors Liens entre rubriques et catégories
PMB 4.1 contient des modules qui n’existaient pas dans la version 4.0, entre autres le Portfolio, qui permet de créer et de présenter des collections de documents numériques. 3 tables se sont ajoutées au jeu cms_edit, c’est pourquoi le nombre total de tables liées au portail a augmenté lors du passage à la version 4.1 de PMB (c’est désormais 26 au lieu de 23).
Jeu cms_edit - Liste des 3 tables supplémentaires (PMB 4.1)
Nom des tables Commentaire
Cms_collections Collections de documents numériques
Cms_documents
Cms_documents_links
Documents numériques
Liens entre les documents numériques et les articles ou rubriques
Si vous faites des sauvegardes régulières de tout le contenu du portail, il n’est pas indispensable de créer ce jeu de sauvegarde spécifique. Mais il peut s’avérer vital dans certains cas de connaître la liste des tables qui en font partie !
En effet, si vous avez déjà bien avancé au niveau du contenu éditorial, mais que vous constatez que vous êtes parti sur une mauvaise piste au niveau graphique (feuille de style, agencement des modules et cadres), il est vraiment utile et agréable de pouvoir repartir à zéro pour l’aspect visuel, mais sans perdre le contenu des rubriques et des articles déjà rédigés, ni leurs liens avec votre catalogue, ni les liens avec les documents numériques intégrés dans le Portfolio.
Le portail de PMB est un « vrai » CMS qui permet de gérer séparément l’aspect visuel et le contenu, c’est pourquoi je voulais absolument vous donner la liste complète des tables liées au contenu éditorial et aux documents numériques.
Vous voudrez ou devrez peut-être les restaurer un jour, on ne sait jamais ;-)
Vous progressez !
Votre imprimante 3D vient de vous fournir une belle série de briques éditoriales.
Il ne reste qu’un seul modèle de briques à fabriquer : les cadres issus des modules !

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