3 - REGLES DE CONCEPTION DES INSTALLATIONS GAZ INTERIEURES. Butagaz chauffage au gaz propane
3
- REGLES DE CONCEPTION DES
INSTALLATIONS GAZ INTERIEURES
1. Volumes intérieurs de sécurité pour gaz propane
Emplacement des appareils
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Volume, ouvrant et emplacement du CENR* 8,72 kW
L’utilisation d’une paroi fixe, pleine et non démontable peut permettre de limiter dans une certaine mesure les volumes définis. Cette figure en donne un exemple.
VOLUME
OUVRANT
AÉRATION
EMPLACEMENT
15 m³ en neuf 8 m³ en existant
(pour un remplacement au même endroit)
0,4 m² sur l’extérieur
(obligatoire)
Entrée et sortie d’air dans le local où est installé le CE mini 100 cm²
Cuisine ou buanderie uniquement
(si condition ci-dessus respectée)
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2. Ventilation intérieure avec un chauffe-eau
Conditions d’implantation des appareils
Une combustion nécessite un « combustible » (le propane), un « déclencheur de combustion » (la flamme) et un « comburant » (l’air) qui est pulsé dans la pièce où le matériel est installé.
La législation impose que le milieu ambiant soit respecté lorsqu’un appareil à combustion est installé dans un local, c’est pourquoi ce local doit respecter des spécifications précises :
- un volume brut ≥ 8 m³. Par « volume brut », on entend le volume délimité par les parois du local, sans déduction des objets mobiliers qu’il renferme.
Remarque:
les chauffe-eau non raccordés à triple sécurité de 8,72 kW nécessitent un volume brut ≥ 15 m³ sur une installation neuve et 8 m³ dans le cas d’un remplacement.
- un ouvrant permettant d’aérer rapidement le local afin de pallier une combustion défectueuse
(mauvais réglage de l’appareil).
L’ouvrant doit avoir une section minimale de 0,4 m² donnant sur l’extérieur ou sur une courette de 2 m de large minimum.
- des ventilations (amenée et sortie d’air) assurant l’apport d’air nécessaire à la combustion, et au renouvellement d’air et l’évacuation de l’air vicié.
Important: les appareils à circuit étanche (chaudière ou radiateur à ventouse) n’ont pas à respecter les conditions ci-dessus, y compris l’amenée et la sortie d’air, si l’installation
ne comporte qu’un DDS en plus de l’appareil d’utilisation à ventouse.
Pour les appareils de cuisson
L’ouvrant n’est pas obligatoire si celui-ci possède une sécurité de flamme (ex. : thermocouple).
Pour les appareils raccordés (ex. : chaudière, chauffe-bain, radiateur gaz)
L’ouvrant n’est plus obligatoire si l’appareil gaz possède une sécurité flamme (thermocouple ou sonde d’ionisation). Le volume de 8 m3 n’est pas obligatoire si l’appareil est installé dans un local spécifique, une dépendance qui possède une sécurité contre le refoulement des produits de combustion (SPOTT).
La plupart des chaudières actuelles possèdent une sonde d’ionisation et un SPOTT. Il est tout à fait possible dans ce cas d’installer une chaudière dans un local de moins de 8 m³ sans ouvrant.
La pose de chaudière en sous-sol non ventilé est interdite pour le GPl.
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Chauffe-eau non raccordé
Dans ce cas, nous réalisons le système de ventilations le plus simple qui est l’entrée et sortie d’air directe à travers une paroi qui donne sur l’extérieur avec des cotes à respecter (voir schéma).
DTU P5 art. 9
Article 15 de l’arrêté du 2 août 1977
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3. Ventilation intérieure avec une chaudière gaz
Schéma d’installation à partir d’une citerne apparente
1 – Ensemble détente.
Sous capot la première détente ainsi que le limiteur de pression 1,75 bar sont fournis par
Butagaz.
2 – Vanne « coup de poing ».
3 – Coffret comprenant : un limiteur de débit/vanne « coup de poing » sécurité.
4 – Vanne à carré avant compteur.
5 – Conduite montante.
6 – Branchement particulier.
7 – Détente 37 mbar.
8 – Compteur BP à sécurité.
9 – Tube cuivre Ø 10-12.
Nota : ne pas oublier de raccorder les trous d’évent des détenteurs BP et sortir les évents à l’extérieur du bâtiment.
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Pression de service/pression d’utilisation
- Pression de service
Il s’agit de la pression du gaz à la sortie du stockage.
Elle est obtenue au moyen de l’ERD.
Elle est de 1,5 bar pour une installation de propane.
- Pression d’utilisation
Il s’agit de la pression à laquelle fonctionnent les appareils. Cette pression est de 37 mbar pour le propane.
Elle est obtenue au moyen du détendeur-déclencheur de sécurité (DDS).
Celui-ci est obligatoirement :
- de classe 1 (fermeture lorsque la pression amont est inférieure à 0,5 bar ou si le tuyau flexible est déconnecté) pour les appareils raccordés par le tuyau flexible ;
- de classe 2, utilisable pour les appareils raccordés en tuyauterie rigide, ne se déclenche qu’en cas de chute de pression en amont.
Remarque
Il est préférable d’installer le DDS au plus près de l’appareil.
Toute canalisation en attente de branchement doit être obturée par un bouchon vissé avec joint gaz.
Nature du gaz
distribué
Gaz distribué
en réseau
Gaz distribué
par récipient
Type de pression dans le tronçon
essayé
P supérieure à 0,4 et inférieur à 4 bar
P inférieur ou égal
à 0,4 bar
Pression d’essais de résistance
mécanique
6 bar pas d’essais avant détente finale
1,5 P avec un minimum de 3 bar après détente finale pas d’essais
Pression d’étanchéité
0,4 bar pression de service
1,5 P avec un minimum de 3 bar pression de service
Essais de résistance mécanique et d’étanchéité
Toute installation fixe intérieure, neuve ou complétée ou modifiée doit, avant sa mise en service,
être soumise par l’installateur à un essai de résistance mécanique et d’étanchéité.
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- Dispositif d’essai au propane Montage direct sur canalisation en sortie de détente
- Dispositif d’essai à l’air Utiliser les dispositifs avec système de gonflage de type Qualitest par exemple, nécessite une purge du circuit avant utilisation en gaz.
- Modes opératoires
L’existence de deux niveaux de pression dans les installations propane amène à effectuer les essais de résistance mécanique et d’étanchéité en deux temps.
1- Installation comprise entre la sortie du limiteur de pression et les entrées des détendeurs-déclencheurs de sécurité
Essai de résistance mécanique et d’étanchéité : 3 bar
• Vérifier que la multivalve du réservoir, ou les robinets de bouteilles, sont fermés.
• Désolidariser la tuyauterie à l’entrée de chaque détendeur-déclencheur de sécurité et bouchonner celle-ci.
• Déraccorder la tuyauterie à la sortie du limiteur de pression et raccorder le dispositif d’essai.
• Vérifier que les organes de coupure intermédiaires s’ils existent sont bien ouverts.
• Mettre l’installation sous une pression de 3 bar et isoler le dispositif de mise sous pression. •
Aucune modification de pression ne doit être constatée au niveau du manomètre après stabilisation de la pression pendant 10 minutes.
2- Installation en aval des détendeurs-déclencheurs de sécurité
Essai d’étanchéité à la pression d’utilisation : 37 mbar
• Vérifier que les robinets des appareils sont bien fermés.
• Maintenir sous pression l’installation en amont.
• Armer chaque détendeur-déclencheur de sécurité et vérifier au produit moussant tous les raccords.
Recherche de fuite éventuelle
La recherche de fuite doit se faire à l’aide d’un produit moussant.
L’usage d’une flamme est interdit.
Textes réglementaires
- Arrêté du 2 août 1977 modifié.
- DTU 61.1 « Installations de gaz » P3.
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4. Chaudière gaz propane en sous-sol
Installations de chaudières propane en demi-sous-sol
À défaut de pouvoir installer la chaudière dans le volume chauffé, l’installation d’une chaudière en premier sous-sol alimentée en propane doit respecter les exigences de l’arrêté du 2 août 1977 modifié et de la NF DTU 61.1.
Pour renforcer la sécurité de l’installation, il est nécessaire de prévoir :
- Une arrivée d’air frais dans le local par une gaine prélevant directement l’air frais à l’extérieur et donc la partie basse est située à 30 cm du sol. La section devra être au minimum de 200 cm².
- Afin d’assurer en cas de besoin une aération rapide, le local devra être pourvu d’un ou plusieurs châssis ou fenêtre ouvrant directement sur l’extérieur (ou fenêtre à l’anglaise ayant un dégagement d’une profondeur minimale de 0,5 m). La surface de la partie ouvrante devra être au minimum de 0,40 m².
- L’alimentation de la chaudière devra être pourvue d’un dispositif coupant automatiquement l’arrivée du gaz en cas de chute anormale de pression (détendeur-déclencheur sous abri). Le détendeur-déclencheur sera placé à l’extérieur de l’habitation ou dans un local ventilé situé audessus du sol. La distribution en sous-sol se fera en basse pression (37 mbar) par une canalisation la plus courte possible et sans raccord ni soudure.
- Dans le cas de chaudières munies d’un dispositif d’allumage automatique et d’un contrôle de flamme par ionisation ou cellule photoélectrique, l’installation doit être complétée par un détecteur de fuite commandant une électrovanne de coupure gaz et situé en sous-sol.
- Une notice remise au client devra lui préciser qu’un test de détection devra être effectué périodiquement dans le cadre du contrat d’entretien (ou insérer cette rubrique dans le contrat en rubrique observation).
Mesures préventives demandées
La spécificité Butagaz de ne pas réaliser de chaudière en demi-sous-sol est donc justifiée par la lourdeur économique de mise en place de tels dispositifs spécifiques permettant une meilleure
évacuation du gaz propane stagnant en cas de fuite en point bas d’un local et le risque réel de déclenchement d’une explosion pouvant provoquer de graves conséquences corporelles et matérielles.
Dans le cas où la chaudière est en cave, on peut réaliser une amenée d’air directe tout simplement en créant un trou dans une paroi extérieure et en réalisant un second passage entre les deux pièces.
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DTU 61.1 P5 art. 9
Article 15 de l’arrêté du 2 août 1977
Spécificité Butagaz
Les chaudières en demi-sous-sol ne sont pas recommandées par Butagaz. D’autres solutions sont envisageables, notamment la pose de chaudière à ventouse dans le volume habitable.
Dans le cas où il y a une porte qui communique entre les deux pièces, on crée une amenée d’air indirecte en faisant un trou sur l’extérieur et créant un passage suffisant dans la porte.
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5. Raccordement conduits de fumées
Conduit de raccordement et conduit de cheminée
Dans ce second module, nous allons voir les différentes manières de raccorder un appareil dans un conduit de fumée ainsi que les normes à respecter.
DTU 24.1 P1 art. 13 - P2 art.5
Arrêté du 2 août 1977 art. 18
Les chaudières au sol sont raccordées dans un conduit de fumée débouchant en toiture. Cela nécessite un raccordement en tube rigide maxi en horizontal sans oublier 3 % de pente minimum et deux coudes à 90° autorisés.
Rappel : pas de chaudière propane en sous-sol.
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Conduit de raccordement et conduit de fumée
Dans ce second module, nous allons voir les différentes manières de raccorder un appareil dans un conduit de fumée ainsi que les normes à respecter.
DTU 24.1 P1 art. 13 - P2 art.5
Arrêté du 2 août 1977 art. 18
DTU 61.1 C.C 9.446 - Alinéa 3
Si S1 < S2 alors mettre une pièce de forme à condition que le dimensionnement ait été effectué.
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L’association d’un chauffe-eau et d’une chaudière
Dans ce cas, les normes à respecter sont toujours identiques maxi : deux coudes à 90° autorisés sur chaque appareil ainsi que la pente de 3 % et les longueurs si nécessaires, plus une distance mini de 25 cm d’entraxe entre les deux conduits de raccordement.
Les deux appareils doivent être installés dans le même local ou dans 2 locaux contigus
avec une ouverture permanente de 0,4 m².
- L’appareil le plus puissant doit subir les plus fortes pertes de charges.
- Les Ø de raccordement sont égaux
DTU 24.1 P1 art. 13 - P2 art.5
Arrêté du 2 août 1977 art. 18
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Le montage peut s’effectuer de deux manières, soit dans le même axe ou désaxé dans le
conduit de fumée.
Dans ce cas, le conduit de fumée est tubé et comporte un Té de purge. Ce tubage doit être aux normes NF et le Té de purge doit être accessible dans la mesure du possible. Il faut respecter dans ce cas les normes sur le tracé du conduit des raccordements, c’est-à-dire le nombre de coudes, la pente des longueurs.
DTU 24.1 P1 art. 13 et 15 - P2 art. 5 et 6
Arrêté du 2 août 1977 art. 18
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6. Evacuation des produits de combustion en collectif
L'évacuation des produits de combustion en collectif peut se faire de trois façons
différentes:
1. par tirage naturel au travers d’un conduit
2. par évacuation au travers d’une ventouse
Cette formule est particulièrement adaptée dans le cas d’absence de conduit de cheminée.
3. par évacuation sur une VMC gaz
1. Raccordement d’un appareil à tirage naturel à un conduit de cheminée existant
Les points suivants doivent être vérifiés :
- Le diamètre du conduit de cheminée doit être vérifié avec la NF EN 13384-1.
- Ne peuvent être évacués par un même conduit, deux appareils gaz à condition que le brûleur soit du même type ; les appareils indépendants à bois ne peuvent être raccordés sur un même conduit de fumée qu’une chaudière gaz (poêle, cuisinière, insert, foyer ouvert).
- L’appareil ne peut être raccordé qu’à un conduit donnant directement dans le local ou la pièce.
- Le raccordement de l’appareil doit être réalisé :
* sans moyen de réglage mobile ;
* sans étranglement ;
* sans contre-pente ;
* la somme des coudes mis en place ne doit pas dépasser 180° ;
* longueur inférieure à 2 m sur le conduit collectif et 3 m sur les conduits individuels.
2. Évacuation des produits de combustion d’un appareil à circuit étanche
Du fait de l’étanchéité de ce matériel, il n’y a aucune interaction entre l’air de la pièce et celui de la chambre de combustion : l’air comburant est prélevé directement à l’extérieur et les produits de combustion sont rejetés à l’extérieur au moyen d’une ventouse constituée de 2 tuyaux concentriques.
Les seules règles à respecter concernent le positionnement de la sortie ventouse à l’extérieur par rapport à l’environnement : ouvertures et aérations de la façade concernée.
Il faut respecter une distance de :
- 0,4 m d’un ouvrant ;
- 0,6 m d’une entrée d’air.
Par ailleurs, la ventouse ne doit pas dégager sur une façade trop proche.
3. Évacuation des produits de combustion sur une VMC gaz
Lorsque le bâtiment est équipé d’une VMC gaz, les appareils doivent être raccordés à celle-ci.
Les appareils installés doivent alors être :
- équipés d’une sécurité individuelle coupant l’alimentation en gaz du brûleur lorsque l’évacuation des produits de combustion devient insuffisante (par exemple, arrêt du groupe ventilation) ;
- alimentés en électricité par une boîte à borne reliée directement au DSC (dispositif de sécurité collectif sur VMC gaz).
Remarque
Il ne faut pas installer de chauffe-eau non raccordé dans une pièce où il y a une bouche d’extraction VMC.
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Raccordement sur une VMC gaz
Dans ce cas, il est très important de respecter les normes de montage d’une chaudière sur une
VMC gaz et surtout les sécurités de la chaudière doivent être asservies à celles de la VMC gaz pour éviter tout problème de sécurité collective.
DTU 68.2
Arrêté du 2 août 1977 art. 18 - 4° - b
Conduite montante placée sous gaine dans les communs.
(ou placée en apparent dans les communs d’un immeuble existant à condition d’être réalisée en acier).
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7. Entretien annuel obligatoire des chaudières
L’arrêté du 15 septembre 2009 indique qu’il est obligatoire d’avoir un contrat d’entretien annuel pour une chaudière dont la puissance est comprise entre 4 et 400 kW.
Pourquoi réaliser un entretien ?
Un entretien annuel de la chaudière permet de vérifier l’état de celle-ci, d’effectuer son nettoyage, son réglage, le changement de pièces si nécessaire ainsi que de conseiller l’utilisateur sur le bon usage et les améliorations possibles de sa chaudière. La visite d’entretien doit être annoncée au moins quinze jours à l’avance. Lors de la vérification, la personne ayant effectué l’entretien doit évaluer le rendement de la chaudière et mesurer les émissions de polluants atmosphériques. En effet, une chaudière mal réglée induit une baisse de rendement et donc une surconsommation de combustible. Ceci pouvant entraîner une production de gaz polluant tel que le CO (monoxyde de carbone) inodore et mortel pour l’être humain.
Effet du CO sur l’organisme (0,01 % CO = 100 ppm)
L’intoxication chronique : maux de tête, nausées, confusion mentale, fatigue
L’intoxication aiguë : vertiges, pertes de connaissance, paralysie musculaire, trouble du comportement, coma voire décès.
La personne qui a réalisé l’entretien se doit d’établir une attestation qu’il doit remettre au commanditaire de l’entretien dans un délai de quinze jours après la visite
(voir ci-après « Attestation d’entretien »).
Spécifications techniques à réaliser durant l’entretien
La visite comporte les points de contrôle et de mesure suivants :
Vérification de l’état, de la nature et de la géométrie du conduit de raccordement de l’appareil.
Le conduit de raccordement ne doit pas dépasser 3 m dans le cas d’un conduit individuel, 2 m dans le cas d’un conduit collectif et 6 m pour le raccordement de deux générateurs à travers un tronçon commun à un conduit individuel ou collectif de type « shunt ». L’installation ne doit pas comporter plus de 2 coudes à 90°, un coude peut être remplacé par 2 coudes de 45°.
Nettoyage du corps de chauffe, du brûleur, de la veilleuse, de l’extracteur (si incorporé dans l’appareil).
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Vérification des débits de gaz et réglages éventuels, si cette procédure est bien prévue par le fabricant.
Vérification des dispositifs de sécurité de l’appareil (aquastat de sécurité, antithermosiphon, disconnecteur, groupe de sécurité, manomètre, purgeur, robinet thermostatique, soupape de sécurité).
Vérification du circulateur (si incorporé dans l’appareil).
Vérification et réglage des organes de régulation (si incorporés dans l’appareil).
La fourniture des joints des raccords mécaniques dont le changement est rendu nécessaire du fait des opérations d’entretien, à l’exclusion des autres pièces.
La main-d’oeuvre nécessaire au remplacement des pièces défectueuses, sauf celles prévues dans la liste ci-dessous :
- contrôle de la vacuité des conduits de fumées et pots de purge ;
- vérification et entretien des radiateurs et canalisations (fuites, appoints d’eau, etc.) ;
- entretien et dépannage des dispositifs extérieurs à la chaudière (VMC, régulation, etc.)
- réparation d’avaries ou de pannes causées par : fausses manoeuvres, interventions
étrangères, gel, utilisation d’eau ou de gaz anormalement pollués, utilisation en atmosphère anormalement polluée (poussière abondante, vapeurs grasses et/ou corrosives) ;
- intervention pour manque de gaz, d’électricité ou d’eau ;
- détartrage ;
- main-d’oeuvre pour le remplacement du corps de chauffe, des châssis et dosserets des chaudières ;
- mise en marche du chauffage en début de saison ou son extinction en fin de saison.
Ceci pouvant être l’objet d’une facturation en régie ou forfaitaire.
Cas particuliers Dans le cas d’une chaudière raccordée à une VMC gaz :
vérification fonctionnelle de la sécurité individuelle équipant la chaudière ; nettoyage du conduit de raccordement.
Pour les chaudières avec ballon à accumulation, vérification des anodes ainsi que des accessoires fournis par le constructeur et suivant les prescriptions de celui-ci.
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