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Cahier de procédures et d’enregistrements Pour répondre aux exigences de GlobalGAP V3.0-2 Sep07 et de la NF V 25-111 version 2007 Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 1 Introduction Ce document, associé à un certain nombre de trames d’enregistrements à compléter, explique comment répondre aux exigences documentaires de la norme NF V 25-111 et de GlobalGAP : - Des trames d'enregistrement soit permanentes (relevant de l'exploitation), soit à compléter régulièrement (fiches parcellaires, fiche matériel…) - Des fiches "d'instruction" pour former et informer les salariés en interne - Des fiches descriptives des activités ("procédures") afin d'expliquer aux auditeurs et clients le déroulement des opérations Les données contenues dans ces documents existent déjà souvent dans l'exploitation, sous d'autres formes (factures, carnets d'entretien, agenda…) ou bien sont informatisées. Il n'est pas question de remodeler toute son organisation mais plutôt de vérifier que toutes les informations demandées dans le protocole GlobalGAP sont bien présentes et suffisamment ordonnées pour pouvoir les présenter rapidement à l'auditeur. Ces documents sont des exemples qui pourront vous aider à visualiser et à imaginer votre propre système d'enregistrement. ILS DOIVENT NATURELLEMENT ETRE ADAPTES AUX SPECIFICITES DE VOTRE EXPLOITATION, AUX NOUVELLES REGLEMENTATIONS ET AUX NORMES LOCALES Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 2 SOMMAIRE I – Introduction et comparatif avec la norme NF V 25-111 II – Premiers pas dans la démarche III – Présentation de l’exploitation IV – Traçabilité V - Campagne pommes de terre VI – Matériel VII –Sécurité VIII – Hygiène IX – Gestion des déchets et environnement X – Relations clients Pour plus d’informations et de préconisations techniques : Rendez-vous sur les sites du CNIPT et d’ARVALIS – Institut du végétal : www.cnipt.fr ; www.arvalisinstitutduvegetal.fr Consultez le « Guide des bonnes pratiques de production et de stockage, Pomme de terre de conservation – Marché du frais, Version 2008 », réalisé conjointement par le CNIPT et ARVALIS – Institut du végétal. Procurez-vous le Kit de « matériel d’information qualité pour les centres de conditionnement de pommes de terre », disponible auprès du CNIPT. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 3 Comparatif NF V 25-111 vs GlobalGAP Exigences En vert : recommandations ENGAGEMENTS Norme NF V 25-111 GLOBALGAP Les fiches parcellaires sont correctement remplies et sont tenues à jour. X X Les lots de pommes de terre sont identifiés avec le nom de l'exploitation ou du groupe d'exploitation qui vend les produits (sur le BL et le cas échéant, sur les pallox). X X Traçabilité Les lots de pommes de terre sont identifiés avec le nom ou le n° de parcelle (sur le BL et le cas échéant, sur les pallox). X (traçabilité à la parcelle) Les enregistrements nécessaires à l'inspection sont conservés pendant au moins 2 ans, ou plus si des points de contrôles l’exigent expressément. X (1an) Les lots de pommes de terre sont séparés parcelle par parcelle. X X Une procédure de rappel documentée est disponible et définit quand lancer cette procédure et quelle conduite suivre. Cette procédure est contrôlée annuellement. X Contrôle interne Un autodiagnostic Global Gap est rempli au minimum une fois par an, et noté sur un plan de progrès. Des actions correctives sont mises en œuvre si nécessaire. La garantie de la conformité à la norme de qualité NF V 25 – 111 qui concerne la production raisonnée de pommes de terre de conservation destinées au marché du frais est disponible. X X X Les différentes parcelles et les bâtiments sont signalés sur un plan détaillé (avec repères géographiques) de l'exploitation. X X La réglementation s’appliquant aux parcelles est connue et respectée ainsi que le Code des Bonnes Pratiques Agricoles (arrêté du 22 novembre 1993) pour les exploitations hors zones vulnérables. L’ensemble des pratiques agricoles attachées aux parcelles engagées dans la Norme est visé. X Des bandes enherbées doivent être installées en bordure des cours d’eau X Les dangers potentiels sont clairement identifiés à l’aide de panneaux d’avertissement. X X Une évaluation des risques en matière de sécurité alimentaire, environnement et santé humaine ou animale est réalisée pour tout nouveau site agricole (bâtiments et parcelles engagées) et pour les sites existants lorsque les risques ont changé. X X Gestion de l'exploitation En cas de risques, des mesures correctives doivent être mises en place. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 X 4 Les pratiques doivent être adaptées en tenant compte de la situation de la parcelle vis-à-vis des risques environnementaux (ex. minimiser les risques d’érosion..). X X Choix de la parcelle Les parcelles choisies ont un risque parasitaire réduit. X Les tas de pommes de terre et de déchets doivent être détruits avant la plantation (chaux vive ou bâchage sans traitement), sur toute l'exploitation et dans un rayon de 150 m autour des parcelles. X Des analyses physiques, granulométriques doivent être disponibles. X (X) Des analyses chimiques de moins de 6,5 ans doivent être disponibles (pH, pour chaque parcelle ou groupe de parcelle de même type de sol et soumis au même itinéraire de production depuis 3 ans). X (X) connaissance des sols Le laboratoire ayant réalisé les analyses est agréé par le ministère en charge de l’agriculture. X Le risque parasitaire des parcelles est évalué par des analyses de sol et piégeage si risque avéré ou parcelle inconnue. X Une lutte appropriée contre les nématodes et taupins est mise en place en cas de symptômes et est enregistrée. X Si une désinfection chimique des sols est réalisée, une justification documentée est disponible. Le délai avant semis est enregistré et respecté. X X Il est interdit d'utiliser des boues ménagères non traitées. X Si épandage de boues issues du traitement des eaux urbaines ou industrielles ou de composts d'ordures ménagères : attendre plus de 2 ans ou analyse confirmant l'absence de parasites. X Si boues industrielles, respecter les prescriptions suivantes : intervalle > 10 ans ou analyses montrant que les dispositions réglementaires sont respectées. X Plantation Le temps de rotation entre deux cultures de pommes de terre est d'au moins 4 ans. X Le délai de retournement de la parcelle en prairie et à la plantation de pommes de terre est d'au moins 3 ans. X Les plants utilisés doivent obligatoirement être certifiés (garder factures + passeports). X Les plants doivent être sous système qualité et sous contrôle sanitaire. X Les caractéristiques des variétés utilisées doivent être connues. X X Toute culture OGM est identifiée et tracée (non applicable en France, pas de plants OGM). Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 X 5 Si des traitements des plants par poudrage ou pulvérisation ultra bas volume sont nécessaires, les enregistrer. X La conduite de la culture est adaptée à la parcelle, notamment en cas de parcelle caillouteuse ou à texture lourde (technique d’épierrage-andainage et tamisage). X X Fertilisation Le responsable fertilisation doit être en mesure de démontrer ses compétences à déterminer la quantité et le type d'engrais à utiliser (formation initiale ou continue: voir organigramme + fiche de fonction). X Les engrais minéraux achetés ont une composition garantie par une homologation ou une norme (française ou européenne). X Un plan prévisionnel de fumure est disponible. X La nature et la valeur fertilisante des engrais organiques doivent être prises en compte. X (X) Les risques liés aux engrais organiques doivent être évalués : présence d'éléments, traces métalliques ou organiques, parasites de quarantaine. X X La dose d'azote à apporter doit être calculée sur la base d'un bilan azoté prévisionnel et de la mesure du reliquat avant plantation (tenir compte des apports d'azote par l'irrigation et par les effluents organiques). X Les doses de P et K doivent être calculées au moyen d’un plan de fumure. X Les doses de P et K sont calculées en visant la satisfaction des besoins de la culture, voire de la culture suivante, sans chercher à enrichir le sol. X L'apport d'azote minéral doit être fractionné en 2 apports quand le sol est argileux. X Le premier apport d’azote doit être réalisé après le 15 février précédant la plantation (sauf obligations locales ou programmes d’actions si plus restrictifs). X Toutes les interventions sont enregistrées (date, dose, valeur fertilisante, quantité d'éléments apportés, nom commercial, code matériel). X X Le nom de l'opérateur est enregistré (peut être enregistré une fois pour toute sur un document unique type organigramme). X Les épandeurs d'engrais doivent être maintenus en bon état (avoir un dossier avec les factures et les opérations de maintenance). X X Durant les opérations de fertilisation, la protection des utilisateurs doit être assurée. X X Si épandage de boues sur la parcelle, le contrat d’épandage (ou l’accord écrit entre l’agriculteur et le producteur de boues), un rapport d’analyse (sol et boues) et notamment un rapport d’analyse sur les parasites de quarantaine sont disponibles. X Les périodes d’épandage définies dans le Code des Bonnes Pratiques Agricoles (directive Nitrates) sont respectées pour les parcelles hors zones vulnérables. X Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 6 En cas d’apports de boues, la réglementation doit être strictement appliquée. X La teneur en nitrates doit être mesurée et enregistrée sur chaque lot et être inférieure à 200 ppm. X Protection des cultures Le responsable « phyto » doit être en mesure de démontrer ses compétences à déterminer la quantité et le type d'engrais à utiliser (formation initiale ou continue: voir organigramme + fiche de fonction). X Tous les produits phytopharmaceutiques utilisés sont homologués, utilisés à la bonne dose et dans les conditions autorisées (notamment dans les mélanges..). X X Toutes les interventions sont enregistrées (date, dose, produit, quantité d'éléments apportés, code matériel). X X Les méthodes culturales de lutte et la prophylaxie doivent être privilégiées. X En cas de présence de ravageurs, les méthodes de lutte culturales et de traitements du sol doivent être combinées. X Les interventions de protection contre les insectes en végétation ne doivent pas être systématiques, mais déclenchées uniquement en présence de ravageurs. X Le nom de l'opérateur doit être enregistré. Il peut être enregistré une fois pour toute sur un document unique type organigramme. X Les indicateurs de prise de décisions et la cible sont enregistrés, les bulletins d'avertissement et preuves de conseil sont conservés. X L’origine de tous les symptômes anormaux ou suspects doit être identifiée. X Les conditions d'utilisation sont respectées (période, Délai Avant Récolte, fréquence, délai de réentrée, doses maximales). X X X X Il existe dans l'exploitation une liste complète à jour de tous les produits utilisés et autorisés pour la protection végétale des pommes de terre (Guide ACTA par exemple). Le choix des fongicides doit être raisonné en fonction du mode d'action, du stade de culture, de la pression de la maladie, des conditions de lessivage, de l'irrigation.. Les traitements fongiques à base de matières actives de la famille des phénylamides sont limités à 2 par parcelle et par an, uniquement dans un but préventif et la dernière intervention doit être effectuée au plus tard avant le 5 juillet. La lutte contre le mildiou doit être réalisée en détruisant les tas de déchets et en luttant contre les repousses. Les interventions doivent être décidées en utilisant un outil d’aide à la décision, ou un service d’avertissement ou encore un service de conseil et les caractéristiques du produit utilisé. La protection contre le mildiou doit être effectuée jusqu’à la destruction complète du feuillage après défanage. Les traitements contre les ravageurs doivent être faits sur la base d’une détection préalable (méthode de comptage) et dans le cadre d’une méthode culturale adaptée à chaque ravageur. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 X X X X X 7 Le désherbage des dicotylédones annuelles doit être fait en prélevée. X La lutte contre les adventices pérennes doit être faite à l’échelle de la rotation, dans les cultures et intercultures. X Les familles d’herbicides utilisées doivent être alternées à l’échelle de la rotation. X Irrigation Les réglementations et le code des Bonnes Pratiques Agricoles (directive Nitrates) doivent être respectés. X X X X X (X) Les quantités d'eau prélevées doivent être mesurées. X (X) Les pertes par ruissellement doivent être évitées en modulant les quantités et l’intensité de l’irrigation. X Le matériel d'irrigation doit être contrôlé et réglé avant le début de la campagne, puis son fonctionnement doit être surveillé régulièrement. X Une analyse des risques de contamination microbienne doit être mise en place. Si un risque existe (irrigation par eaux de surface..), une analyse de l’eau annuelle doit être effectuée pour vérifier l’absence de parasites de quarantaine. Les actions correctives et les décisions prises seront alors enregistrées. Le déclenchement de la première irrigation doit être fait à partir d’une évaluation de l’état hydrique du sol et du stade de développement des cultures (avertissements par un réseau de mesure et/ou de mesures de l'état hydrique du sol et/ou mesures tensiométriques). Il est interdit d'utiliser des eaux usées à des fins d'irrigation. X L'eau d'irrigation est analysée au moins une fois par an par un laboratoire agréé, substances polluantes et métaux lourds. (X) Les enregistrements des dates, quantités apportées, matériel utilisé, conseils en irrigation sont disponibles. X La pluviométrie doit être suivie. X Récolte Le défanage doit être fait sur la base de mesures de calibre et de matière sèche, en respectant les conditions d’emploi des défanants chimiques et en fonction du débouché. Les opérations de défanage doivent être enregistrées (mode, produits utilisés, doses, dates, matériels, mesures de calibre et matière séche..). Les délais avant récolte sont respectés (délai de 3 à 4 semaines entre le défanage et la récolte sauf en cas de problèmes particuliers..). X X L’arrachage est réalisé lorsque la peau est bien formée et adhérente. X Les opérations d'arrachage doivent être enregistrées (date, matériel, température, conditions d'arrachage, rendement brut, traçabilité des mélanges éventuels). X Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 X 8 Les dernières chaînes de l'arracheuse doivent être gainées. X La vitesse de rotation des chaînes de tamisage doit être ajustée à la vitesse d'avancement de l'arracheuse. X Les remorques sont équipées de tapis amortisseurs. X Les hauteurs de chute sont limitées à un maximum de 30 cm sur toute la chaîne de récolte et de mise en stockage. X Chaque lot est identifié et séparé au moment de l'arrachage (un lot = une variété, une parcelle). X Les équipements d'arrachage et de réception sont vidangés à chaque changement de parcelle. X Les contenants des pommes de terre sont uniquement utilisés à cet effet ou font l’objet d’un nettoyage avant cet usage. X X Les récipients, outils et véhicules utilisés pour la récolte sont nettoyés et entretenus au moins une fois par an afin de les protéger de toute contamination. Il existe un planning de nettoyage et de désinfection. X X X X X X Stockage Les opérations de désinfection des bâtiments doivent être faites au moins une fois par an, enregistrées et effectuées avec des produits homologués et en respectant leurs conditions d’emploi. Le matériel de manutention et de conditionnement des tubercules ainsi que les cellules de stockage doivent être désinfectées avant leur utilisation avec des produits homologués, et stockés de manière à éviter toute contamination future des produits. Après désinfection, le délai avant entreposage des produits doit être respecté et les bâtiments doivent être aérés dans les jours précédant la mise en stockage. X Avant chaque campagne, les caisses palettes sont contrôlées pour s’assurer de l’absence de détérioration. X L’étanchéité des circuits hydrauliques et mécaniques doit être vérifiée avant récolte sur les équipements de déterrage, triage et de manutention. Les lubrifiants utilisés doivent satisfaire aux normes requises pour l’alimentaire. X Le bâtiment est isolé, ventilé à l'aide d'un système performant. X Les produits sont protégés de la lumière et des corps étrangers. X X Des mesures de restriction de l’accès des animaux au lieu de stockage doivent être mises en place. X X Le lieu de stockage est à l’abri de toute contamination chimique, physique ou biologique (fioul, bois, pièces métalliques, verre, déchets, animaux…). X X Les appâts sont signalés sur un plan et renouvelés régulièrement. X X Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 9 La lutte contre les rongeurs est réalisée à l’aide de pièges spécifiques fixés (utilisation de grains proscrite). X X Si l’exploitation n’est pas en capacité de mettre en place une lutte contre les nuisibles, les coordonnées d’un organisme de contrôle parasitaire sont disponibles. Les déchets de pommes de terre et les matériaux de rebut sont stockés de façon à prévenir toute contamination avec les pommes de terre stockées. Ces zones de stockage des déchets et matériaux sont régulièrement nettoyées et désinfectées. X X Un premier tri avant stockage doit être effectué pour éliminer les tubercules coupés, trop endommagés ou partiellement pourris ainsi que les corps étrangers. X L'identification des lots est assurée jusqu'à la vente. X Une vidange complète des équipements de réception et de manutention doit être effectuée entre deux lots. X L'espace situé au dessus de la caisse supérieure est d'au moins un mètre et la hauteur de gerbage ne doit pas dépasser 7 m. X La hauteur maximum du tas stocké doit être adaptée à la durée de stockage : <2m50 pour une durée < 2 mois ; < 4m pour une durée > 2mois. X Les opérations de conservation des pommes de terre sont enregistrées (dates, températures et thermonébulisations enregistrées…). X X X X Une traçabilité des produits traités est mise en place (être capable de dire quels lots étaient dans quels frigos et les dates de traitement dans ces frigos, produits et doses utilisées). La preuve de transmission de l’information à l’acheteur de ces informations si application d’un anti-germinatif doit être disponible. Pour une conservation longue durée (> 2mois), les phases de séchage par ventilation, cicatrisation à une température >ou= à 12°C, refroidissement progressif jusqu’à une température comprise entre 4,5 et 9°C doivent être respectées. X Les sondes et autre matériel servant à contrôler la température sont vérifiés annuellement. Au minimum, il doit y avoir 2 sondes (ou autre matériel) par cellule. X La germination après récolte est maîtrisée en priorité par le contrôle de la température de stockage adaptée à la variété. X Les résidus d'antigerminatifs dans les tubercules entiers non épluchés ne doivent pas dépasser 4 ppm au moment de la vente (plan de surveillance des résidus de CIPC à l'appui). Les ampoules d’éclairage et les appareils électriques fixés au-dessus des pommes de terre ou du matériel de manutention sont incassables ou équipés de protections pour éviter toute contamination. X X X Une procédure de manipulation d’objets en verre et en plastique dur transparent est mise en place. Elle décrit également la procédure à suivre en cas de bris. X Les lots non conformes sont identifiés avant mise en marché et leur traitement doit être enregistré. X Après récolte, la teneur en nitrates des tubercules entiers lavés non pelés doit être vérifiée et être < ou = à 200 ppm. X Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 10 Gestion et application des fertilisants Les prescriptions établies par le Règlement Sanitaire local et la législation relative aux installations classées si l’exploitation y est soumise, et plus globalement la réglementation sont respectées. X Les fertilisants sont stockés séparément des plants, des semences et des produits agricoles. X Les prescriptions particulières dans les zones vulnérables, périmètres de captage ou autres situations particulières sont respectées. X Le code des Bonnes Pratiques de fertilisation (directive Nitrates) est respecté. X Aucun dépôt temporaire de fumiers (<10 mois) n’est effectué sur zone à risque (pente, nappe perchée..). L’emplacement du tas de fumier est également changé chaque année. X Les effluents d'élevage sont stockés de manière à prévenir tout risque d'écoulement vers l'environnement. X Les quantités d’effluents produites sur l’exploitation sont connues. X Les engrais minéraux sont entreposés de façon adéquate (à l'écart des matériaux explosifs, inflammables ou combustibles, dans un endroit sec, propre et couvert, à l'écart des plants et des produits destinés à l'alimentation et sans risque de pollution des points et cours d’eau). X Un extincteur adapté est disponible à proximité du lieu de stockage. X X X X Il existe un inventaire des engrais (état des stocks 1 fois par an puis enregistrement des entrées et sorties). X L'engrais liquide est stocké dans une cuve extérieure avec bac de rétention étanche ou double paroi. La cuve ne doit pas être enterrée. X X Le matériel d'épandage est vérifié une fois par an, la date du contrôle et les opérations effectuées sont enregistrées. X (X) A chaque changement de produit, de dose par hectare ou de vitesse d’avancement, des réglages sont effectués sur le matériel utilisé. X Pour des apports de lisiers ou d’effluents industriels en cours de végétation, des systèmes d’épandage assurant une bonne répartition sur la parcelle doivent être utilisés. X La vidange et le nettoyage des épandeurs se fait sur une zone enherbée ou la parcelle fertilisée. X Aucune intervention ne doit être faite sur des appareils en marche. X Les distances minimales d'épandage doivent être respectées : au moins 2 m d'un cours d'eau, au moins 35 m pour les effluents d'élevage (et 100 m des habitations ou zones de loisirs), sauf réglementation plus contraignante. X Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 11 Gestion et application des produits phytopharmaceutiques La réglementation sur les installations classées doit être respectée (à partir de 15t de produits phytopharmaceutiques ou 1000 kg de produits toxiques liquides). X Les ustensiles de mesure des produits phytopharmaceutiques sont rangés dans le local. X Les ustensiles de mesure des produits phytopharmaceutiques sont adaptés et étalonnés. Leurs graduations sont visibles, les peseuses sont étalonnées. X X X X Local de stockage des produits phytopharmaceutiques est fermé à clef, aéré et ventilé. Une installation y est réservée à cet effet (les produits phytopharmaceutiques sont isolés physiquement). Le local est éclairé, ininflammable, avec un dispositif pour gérer les renversements accidentels (sable et sac), avec un dispositif de rétention des débordements éventuels. Les produits y sont classés par culture, les poudres y sont stockées au dessus des liquides. X Un extincteur et un poste d’eau sont disponibles à l’extérieur et à proximité du local de stockage. X Les produits sont conservés dans leur emballage d'origine X X Il existe un inventaire des produits phytopharmaceutiques (état des stocks 1 fois par an puis enregistrement des entrées et sorties). Cet inventaire doit être tenu à jour. X Le pulvérisateur est contrôlé par un tiers spécialisé au moins tous les 3 ans. X (X) Avant démarrage de la campagne, un autocontrôle du pulvérisateur doit être effectué (enregistrement date + opérations de contrôle). X X L'aire de remplissage et de préparation des bouillies doit être à l'écart de toute source d'eau. X L'eau doit être pompée avec des dispositifs pour prévenir les retours de bouillies et ne doit jamais être pompée directement dans les eaux superficielles ou souterraines. X Le volume de bouillie à préparer doit être calculé le plus précisément possible. X A chaque changement de volume de bouillie, de vitesse d’avancement ou de type de buses, des nouveaux réglages doivent être effectués. X Le bidon doit être rincé soit manuellement (3 fois), soit à l'aide d'un rince-bidon (30 secondes) et reversé dans la cuve. X Les bidons vides sont mis à égoutter et stockés dans le local « phyto » dans les sachets de collecte. X La distance d’au moins 1 m des cours d'eau est respectée lors du traitement. X Les prescriptions particulières en zone de captage sont respectées. X Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 X X 12 Une cuve de rinçage doit être disponible sur le pulvérisateur ou une source d’eau doit être à proximité afin de pouvoir procéder au rinçage du pulvérisateur. X Le fond de cuve est dilué au moins 5 fois et pulvérisé à grande vitesse sur la parcelle ou sur une culture autorisée. X Pendant la pulvérisation, une réserve d’eau de 15 litres doit être disponible pour pouvoir laver les buses et les gants ou se rincer la peau ou les yeux. X Les filtres ou les buses ne doivent pas être débouchés en soufflant directement avec la bouche. X X Le producteur participe à un système de surveillance des résidus effectué par un laboratoire accrédité. X Un plan d'action est disponible en cas de dépassement de Limites Maximales de Résidus. X Les instructions figurant sur les étiquettes des produits phytopharmaceutiques utilisés sont toutes respectées, quelque soit le moment d’utilisation. X X Les produits phytopharmaceutiques utilisés sont tous homologués dans le pays d’utilisation et dans les pays destinés à la vente de la récolte. X Chaque traitement post-récolte est enregistré (identité des récoltes (nom de la parcelle, lot de produits), lieu, date, le type de traitement, marque et quantité des produits, motif et cible, nom de l’opérateur). X Les traitements sont effectués par temps calme. X Des équipements et des réglages sont mis en œuvre pour limiter la dérive pendant le traitement des cultures. X Personne ne doit boire, manger ou fumer pendant la manipulation des produits. X Gestion des déchets Les sources potentielles de pollution sur l'exploitation sont recensées et identifiées. Il existe un plan de gestion des déchets. Les déchets ne sont pas abandonnés dans le milieu, ni enfouis, ni brûlés. Ils ne sont pas non plus stockés dans les lieux de stockage et conditionnement des produits agricoles. Les déchets dangereux sont évacués par les filières spécifiques quand elles existent ou apportés dans des déchetteries agréées ou encore éliminés via des entreprises agréées. (déchets dangereux : huile de vidange, batteries, PPNU, déchets liés aux produits phytopharmaceutiques, emballages vides) En attendant leur collecte et avant élimination, les déchets dangereux doivent être stockés en lieu sûr (local phyto), dans leurs emballages d’origine (vides, rincés) ou dans un sac hermétique (gants, combinaisons jetables..), séparés des produits utilisables. X X X X X Gestion du personnel Toutes les preuves des formations sont conservées pour le chef d'exploitation et les salariés. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 X 13 Un membre de la direction est identifié comme le responsable de la santé, de la sécurité et de la protection sociale des ouvriers. X Un aperçu de l’ensemble du personnel et des sous-traitants intervenant sur l’exploitation doit être disponible et conservé pendant 24 mois minimum, à partir du premier contrôle. X Les salariés sont soumis à une visite médicale annuelle avec remise des fiches d’exposition aux produits chimiques. X X Des réunions régulières sont organisées entre la direction et les ouvriers et les préoccupations des ouvriers sont prises en compte et notées. (X) Les sous-traitants s’engagent sur le respect des bonnes pratiques liées à ses interventions selon le référentiel GlobalGAP X Les sous-traitants et visiteurs sont informés des procédures applicables en matière de santé, de sécurité et d’hygiène personnelles X Des formations spécifiques pour les personnes utilisant des appareils complexes ou dangereux, des produits chimiques désinfectants, et notamment pour le ou les applicateurs de produits phytopharmaceutiques ou autres substances dangereuses sont mises en place. La personne chargée de superviser la récolte a la connaissance technique suffisante en ce qui concerne l’application de produits phytopharmaceutiques, de biocides et de cires. Les applicateurs de produits phytopharmaceutiques sont équipés de vêtements de protection en bon état et adéquats. Ces vêtements sont nettoyés après utilisation et entreposés de façon à éviter toute contamination d’autres vêtements et de l’équipement. Des formations en matière de sécurité du travail, de santé et d’hygiène (personnelles et de manipulation de légumes frais) sont mises en place pour l’ensemble du personnel. Des procédures d'urgence en cas d'accident et des consignes de sécurité sont mises en place, affichées de manières visibles et tenues à jour. X X X X X X X X X Une évaluation des risques pour le personnel est mise en place, et tenue à jour lors de changements de l’organisation du travail. X Au moins un salarié est formé aux premiers secours et sa formation est tenue à jour (moins de 5 ans). Un salarié formé aux premiers secours doit toujours être présent sur l’exploitation lorsque des activités y ont lieu. X Des trousses de secours sont disponibles sur les lieux de travail. X Les salariés doivent disposer d’un lieu pour stocker des aliments et pour se restaurer. X Hygiène Une analyse des risques hygiéniques a été réalisée pour la récolte et toutes les opérations suivantes (on peut s'appuyer sur le guide des bonnes pratiques hygiéniques). Cette analyse est revue annuellement. Les procédures et instructions d'hygiènes doivent être mise en place pour les différentes étapes et être connues (panneaux signalétiques) et respectées par les salariés. Une personne doit être désignée responsable de leurs mises en place. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 X X X 14 L’exploitation et les bâtiments sont suffisamment exempts de détritus et de déchets pour éviter la prolifération des parasites et des maladies. Les bâtiments où sont manipulés les produits sont nettoyés au moins une fois par jour. Les salariés doivent disposer de toilettes et de source d’eau (pour se laver les mains et rincer les yeux) à proximité de leur lieu de travail (ce peut être un bidon d'eau + savon+serviette au champ et un véhicule à disposition pour les toilettes). X X X La source d'eau utilisée pour le dernier lavage est potable (analyse d'eau annuelle). X Si l'eau du dernier lavage est recyclée, les niveaux de pH, de concentration et d'exposition au produit de désinfection sont régulièrement observés. X Environnement Le producteur est conscient des impacts de son activité sur l'environnement et réalise une évaluation de cet impact. (X) Un plan de préservation de l'environnement, de la faune et de la flore spécifique à l’exploitation est mis en place et disponible. Il tient compte des impacts de l’exploitation agricole sur l’environnement. X Formulaire de réclamation Un formulaire de réclamation est disponible pour toutes les questions de conformité au référentiel GLOBALGAP, les réclamations y sont enregistrées et examinées. Les mesures correctives mises en œuvre sont inscrites dans ce formulaire. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 X 15 Premiers pas dans la démarche Etapes pour entrer dans la démarche GlobalGAP et NF V 25-111 Liste des organismes certificateurs Guide d’interprétation français de GlobalGAP Remplir la check-liste ou autodiagnostic Relever les non-conformités ainsi que la liste Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 16 Les étapes pour entrer dans les démarches GlobalGAP V3.0-2 Sept07 NF V 25-111 version 2007 Se procurer les référentiels, et autres documents indispensables Se procurer le référentiel, le guide d’interprétation « France » en français : http://www.globalgap.org/cms/upload/The_Sta ndard/IFA/French/Guidelines/081025GG_EG_FRANCE_INTERPRETATION_GUID ELINE-IFA-AF_CB_FV_V-3_0-2_Sep07.pdf Dans le cadre de la production de pommes de terre, les modules applicables sont All Farm et Fruit and vegetables. Se procurer la norme NF V 25-111 via le site de l’AFNOR : http://www.boutique.afnor.org/NEL5DetailNorm eEnLigne.aspx?&nivCtx=NELZNELZ1A10A10 1A107&aff=1&ts=4249066&CLE_ART=FA151 697 ou auprès du CNIPT à un tarif préférentiel. Se procurer tous les documents relatifs à la norme et nécessaires pour sa mise en œuvre sur le site http//www.cnipt.fr : o Pour un producteur • Déclaration de plantation • Autodiagnostic producteur • Guide de production et de stockage • Guide d’audit producteur o Pour un collecteur • Déclaration de plantation • Guide d’audit collecteur Dès la plantation, s’inscrire auprès d’un des organismes certificateurs français approuvés pour les référentiels des démarches concernées Liste disponible sur : http://www2.globalgap.org/apprcbs.html?countr yid=75&continentid=4&ScopeID=29&SchemeI D=65 Liste disponible sur: http://www.cnipt.fr/ Réaliser un autodiagnostic, noter les non-conformités et faire les corrections nécessaires Cette étape est très importante : bien préparer son autodiagnostic permet d’aborder plus sereinement et plus efficacement l’audit de certification. Check-list disponible page suivante. Une attention particulière doit être portée sur les "MUST" qui sont les points majeurs. Utiliser le document intitulé « Autodiagnostic » pour les producteurs. Se faire auditer. Tous les points doivent pouvoir être vérifiés Se faire auditer, après la récolte, quand le produit est stocké. Les audits peuvent être réalisés tout au long du cycle de végétation, après récolte et s’échelonner jusqu’à la fin de la commercialisation des lots issus de la récolte de l’année. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 17 Modalités de contrôle Un producteur peut s’engager dans une démarche soit à titre individuel (option 1) soit à travers un engagement collectif d’un groupement de producteurs (option 2). GlobalGAP V3.0-2 Sept07 NF V 25-111 version 2007 Modalités décrites dans « General Regulations» (ou modalités générales) Modalités décrites dans « plan d’audit 2007, basé sur la norme NF V 25-111 » • OPTION 1 : Producteur individuel Contrôle interne (autoévaluation) Minimum 1 fois par an, qui devra Recommandé avant chaque contrôle restée disponible sur l’exploitation externe par un organisme agricole. certificateur. Contrôle externe par un organisme certificateur (OC) Au minimum 1 audit par an sur la base Au minimum 1 fois tous les 3 ans avec de la Cheklist complète. un audit obligatoire la première année de l’engagement. Contrôles non programmés Chaque année, sur un minimum de Possibilité de contrôles réalisés de 10% de tous les producteurs certifiés manière aléatoire, par le CNIPT et par par le même OC, inscrits dans le cadre les Pouvoirs Publics. de l’option 1. Les producteurs sont alors prévenus 48 h à l’avance. Audit en exploitation • Une partie documentaire : enregistrements, fiches parcellaires, factures, plans… • Une partie terrain : local phytosanitaire, machines, stockages, bâtiments… Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 18 GlobalGAP V3.0-2 Sept07 NF V 25-111 version 2007 • OPTION 2 : Cas d’un groupement de producteurs Pré requis Liste de l'ensemble des adhérents, ainsi que l'état d'inscription pour s'inscrire auprès d'un organisme certificateur agréé. Désigner un délégué du management. Accord écrit de chaque producteur d'engager toutes ses parcelles dans la démarche (toute la production sous contrat devant être conforme à GLOBAL GAP) Tenir un manuel des procédures et de vérification GLOBAL GAP FRUITS ET LEGUMES Avoir un mode de gestion centralisée, audité et soumis à une revue de gestion. Des manuels de procédures et cahier des charges décrivent ce système de gestion. Regrouper les déclarations parcellaires des producteurs engagés avec lui, en faire une liste récapitulative et adresser un accusé de réception à chacun des producteurs. Diffuser aux producteurs les exigences de la norme et/ou les informations techniques nécessaires pour son respect. Dans le cas d’une coopérative ou d’un négoce avec service technique : mettre en place un dispositif de suivi interne pour garantir la mise en œuvre des engagements de la norme par les producteurs engagés dans la démarche. Pour être considéré par la norme, le service technique d’une coopérative ou d’un négoce doit répondre aux exigences suivantes : 1 – Ce service technique (propre au groupement ou en contrat avec lui), doit assurer le suivi technique des producteurs par une assistance sur le terrain (aide au raisonnement des pratiques pour être conforme à la norme). Ce suivi doit être d’au moins deux visites annuelles. 2 – Les conseils donnés par ce service technique doivent être remis par écrit ou par informatique au producteur, en vue de l’audit. Exigences relatives au système qualité à mettre en place dans GlobalGAP 1 – Documentation - l’intégralité doit être vérifiée et validée par le personnel autorisé avant diffusion. Les documents doivent être paginés et indiquer la date de la dernière validation. - toute modification de ces documents doit être validée par le personnel autorisé. - une copie de toute la documentation applicable doit être disponible sur les lieux de contrôle du système qualité Un système permet d’assurer la mise à jour de la documentation et le retrait des anciennes versions dans un délai le plus court possible. 2 – Liste des personnes remplissant des fonctions et responsabilités dans le système qualité disponible. 3 – Système garantissant la ségrégation des produits provenant d'une ou plusieurs exploitations validées GlobalGAP mis en place (exigence présente dans la norme) 4 – Procédure de traitement des réclamations clients mise en place en précisant les modalités de réception, d'enregistrement, d'analyse, de suivi et d'évaluation 5 – Documents du système qualité conservés et archivés pour une période d'au moins 2 ans et mis à disposition des auditeurs à leur demande. 6 – Evaluation de la collaboration entre le groupe de producteurs et les producteurs pour assurer l'efficacité de la centralisation de la gestion et garantir que tous les sites opèrent en conformité avec les systèmes de gestion et de contrôle. (Inscription des exploitations, documentation des contrats) 7 – Les audits internes du système du groupement exigent des compétences de l'auditeur interne, la preuve de l'indépendance du système d'audit, l'évaluation des systèmes de rapport d'audit. L’auditeur interne peut être l'habituel conseiller technique du groupement. GlobalGAP V3.0-2 Sept07 Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 19 NF V 25-111 version 2007 • OPTION 2 : Cas d’un groupement de producteurs Contrôles internes Audit interne du groupement de producteur Au moins 1 fois par an, effectué sur le système de gestion de la qualité (QMS) du groupement. Contrôles internes des producteurs Au moins 1 contrôle interne par an de chaque producteur inscrit dans le groupement, effectué par un contrôleur interne qualifié du groupement ou par un organisme tiers indépendant autre que celui réalisant le contrôle externe. Contrôle sur la base de la Check-list. Si la coopérative ou le négoce dispose d’un service technique : tous les producteurs sont contrôlés en interne chaque année (au moins deux visites annuelles de suivi). Contrôles externes Audit externe du groupement par un organisme de certification (OC) Au moins 1 fois par an, effectué par un organisme de certification sur le QMS mis en place par le groupement. Au moins 1 fois par an Contrôle externe du producteur par un OC Effectué chaque année sur un échantillon de √n producteurs (n= nombre total de producteurs du groupement inscrit à GlobalGAP. Un contrôle non programmé a lieu pendant la durée de validité du certificat (12 mois) sur 50% de l’échantillon concerné par le précédent contrôle. Si aucune non-conformité n’est relevée, un allègement des contrôles externes est prévu. Au moins une fois par an, le % de producteurs contrôlés par l’OC dépend de la présence d’un service technique au sein de la coopérative ou du négoce : 30% min. de producteurs contrôlés /an en l’absence de service technique 10% min. de producteurs contrôlés /an si présence d’un service technique Contrôles non programmés Chaque année, sur un minimum de 10% de tous les groupements de producteurs certifiés par un même OC, et inscrits dans le cadre de l’option 2. Si un OC certifie mois de 10 groupements au titre de l’option 2 pour GlobalGAP, il devra contrôler un groupement par an. Les groupements ne sont audités que sur leur QMS et sont prévenus 48h à l’avance. Possibilité de contrôles réalisés de manière aléatoire, par le CNIPT et par les Pouvoirs Publics. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 20 Obtention du certificat de l’attestation d’audit GlobalGAP V3.0-2 Sept07 NF V 25-111 version 2007 Pour avoir le certificat immédiatement, il faut obtenir 100 % des points majeurs 95 % des points mineurs applicables Les recommandations sont auditées mais ne comptent pas dans la note globale Si vous avez des non-conformités mineures non résolues et qui sont « corrigibles », l’organisme certificateur conviendra avec vous d’un délai pour effectuer des actions correctives. Pour avoir l’attestation immédiatement, il faut obtenir 100% de conformité aux points de niveau A lors du contrôle externe réalisé par l’OC. En cas de non – conformité non rédhibitoires, plusieurs solutions pour corriger ces écarts : soit traitement immédiat lors du contrôle externe réalisé par l’OC soit mise en place d’une action corrective dans un délai fixé en accord avec l’OC : la preuve des corrections devra être apportée à l’OC pour qu’il puisse émettre l’attestation d’audit. Soit les deux. Communication sur les démarche GlobalGAP V3.0-2 Sept07 NF V 25-111 version 2007 Utilisation du logo : Ne peut en aucun cas apparaître sur une unité de vente consommateur ou bien dans un point de vente. L’étiquetage des produits pré emballés respectant les préconisations de la norme NF V 25-111 peut comprendre la mention : Une licence peut être accordée aux fournisseurs membres adhérents de GLOBAL GAP pour leur correspondance commerciale : s'adresser à l'organisation GLOBAL GAP ou passer par l'intermédiaire de l'organisme certificateur. « Mode de production conforme à la norme NF V 25-111 » Cette mention peut être reprise sur le suremballage. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 21 LISTE DES ORGANISMES CERTIFICATEURS NFV25-111 et GLOBALGAP 2009 Cette liste a été actualisée en mars 2009. Seule la liste des organismes certificateurs accrédités sur le programme GLOBAL GAP par le COFRAC fait foi. Cette liste est disponible sur le site du COFRAC. • SGS ICS 191, avenue Aristide Briand - 94237 – CACHAN Cedex Tel. : 01 41 24 89 39- Fax. : 01 41 24 89 96 – Site : www.fr.sgs.com • ECOCERT France SAS Valérie Martignolles 32600 L'ISLE JOURDAIN Tel. : 05 62 07 35 91– Fax : 05 62 07 74 97– E-mail : [email protected] • QUALITE France SA Immeuble Le Guillaumet – 60, Avenue du Général de Gaulle 92046 – PARIS LA DEFENSE Tel. : 01 41 97 00 74 – Fax. : 01 41 97 08 32 – Site : www.qualite-france.com • CERTIPAQ 44, rue de Quintinie 75 015 PARIS Tel : 01 45 30 92 92 – Site : www.certipaq.com • CERTIS FRANCE Immeuble le Millepertuis – Les Landes d’Apigné 35650 – LE RHEU Tel : 02 99 60 82 82 – Fax. : 02 99 60 83 83 – E-mail : [email protected] • CONTROL UNION CERTIFICATION France Hervé Malandain 120 Rue Jules SIEGFRIED 76600 LE HAVRE Tel: 02 35 42 77 25 - Fax: 02 35 43 42 71 – Site : www.controlunion.com Email : [email protected] • OCACIA Fabien ZEDDE 118, rue de la Croix Nivert 75 015 PARIS Tel : 01 56 56 60 50 – Fax : 01 56 56 60 51 – E-mail : [email protected] • INTERTEK EMEA Barbare Memain 91, rue du Général de Gaulle 27 100 LE VAUDREUIL Tel : 02 32 63 79 36 - Site : www.intertek.com – Email : [email protected] Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 22 • CMi France AQS Hervé Madery 12, maisonneraie de Pinsoles 33 160 SAINT AUBIN DE MEDOC Tel : 05 56 05 80 95 – Fax : 06 15 46 65 52 – E-mail :[email protected] • QUALISUD TOULOUSE Bruno Ferriere BP 82 256 Maison de la Coopération Agricole Avenue de l’Agrobiopole 31 320 AUZEVILLE TOLOSANE Tel : 05 62 88 13 90 – Fax : 05 62 88 13 91 - Email : [email protected] • SAI Global / EFSIS France Emmanuelle Reuter BP 6910 Esther bat. Ressource 87 000 LIMOGES Tel : 05 55 35 35 87 – Fax : 05 55 35 42 40 – Site : www.saiglobal.com - E-mail : [email protected] Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 23 PLAN DE PROGRES (Après avoir rempli l'autodiagnostic, noter ici les non-conformités et amélioration à apporter) Point non conforme Action corrective prévue Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Année 2…….. Date prévue Fait 24 Présentation de l’exploitation Décrire son exploitation dans l’organigramme Remplir les fiches de poste pour les salariés Tenir à disposition un plan des bâtiments et un parcellaire Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 25 Présentation générale de l'exploitation Nom de la structure : Personnel permanent Nom/Prénom Fonction Nom du chef d'exploitation : ________________________ N° de portable : Année 2…….. N° de portable Nom du responsable des questions de santé, de sécurité et de protection sociale du personnel : N° de portable : Nom du responsable épandage : ________________________ Intervenants extérieurs : (Entreprises de travaux agricoles, sous traitants...) Nom/Prénom Rôle N° de portable N° de portable : Nom du responsable traitements: ________________________ N° de portable : Techniciens de référence : Nom/ structure Culture N° de portable Nom du responsable traitements post récolte : ________________________ N° de portable : Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 26 FICHE DE FONCTION SALARIE AGRICOLE PERMANENT OU AIDE FAMILIALE Année 2…….. Nom et Prénom du salarié : MISSIONS Participer au bon fonctionnement de l’exploitation agricole TÂCHES (Cocher en fonction des tâches confiées au salarié ou à l’aide familiale) Entretien de l'exploitation (haies, chemin, fossé) Entretien du matériel et des bâtiments Préparation de la culture Semis et plantation Entretien de la culture avec les opérations culturales Fertilisation Protection phytosanitaire Récolte Livraison COMPETENCES REQUISES Avoir une formation initiale en production agricole ou une expérience significative permettant d’accomplir les tâches citées ci-dessus sous la responsabilité du chef d’exploitation agricole. Connaître les cahiers des charges produits. Connaître la réglementation applicable pour la pratique de la fertilisation et de la protection phytosanitaire (le cas échéant). Connaître les consignes en matière de sécurité du travail. Connaître les règles en matière d’hygiène et de sécurité alimentaire. AUTORISATION TECHNIQUE PERMANENTE Je soussigné,……………., chef d'exploitation, autorise M………….. autorisé à réaliser les opérations de Fertilisation Protection végétale Signature du chef d'exploitation : Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 27 PARCOURS PROFESSIONNEL FORMATION(S) INITIALE(S) CAPA BEPA BTA BTSA Autres (précisez) : Dates Dates EXPERIENCE(S) PROFESSIONNELLE(S) Missions / lieu FORMATION(S) CONTINUE(S) – dont réunions Thème de la réunion Organisme (Pensez à garder les preuves des formations initiales et continues) Je soussigné, ……………….déclare sur l'honneur l’exactitude des informations ci dessus Le cas échéant Je soussigné, …………………, déclare avoir lu le dossier bonnes pratiques de fertilisation/ protection végétale et m'engage à en appliquer les principes Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Date : Signature : 28 FICHE D’ENREGISTREMENT DE REUNIONS OU DE FORMATIONS (Remplir une fiche par formation) Année 2…….. Exemple de fiche pouvant servir à attester des formations ou réunions suivies par les salariés de l’exploitation et le chef d’exploitation lui-même. Cette fiche doit alors être conservée au même titre que tous les documents demandés dans le cadre de la Norme NF V 25-111. Date : Lieu : Nom et contenu de la formation : Nom du formateur et nom de l’organisme qu’il représente : TABLEAU D’EMARGEMENT Nom et prénom Fonction Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Signature 29 DOCUMENT D’ENGAGEMENT ANNUEL DES INTERVENANTS EXTERIEURS (Remplir une fiche par intervenant) Année 2…….. Je soussigné(e),………………………………………………., travaillant dans la société ……………………………………………………, déclare sur l’honneur m’engager sur le respect des bonnes pratiques agricoles liées à mes interventions sur l’exploitation ……………………………………………… . Je m’engage à respecter toutes les exigences de la norme NF V 25-111 « bonnes pratiques de production et de stockage des pommes de terre de conservation destinées au marché du frais, compatibles avec les objectifs de l’agriculture raisonnée» et de son annexe. Le cas échéant : je déclare avoir lu le dossier bonnes pratiques de fertilisation/ protection végétale et m'engage à en appliquer les principes lors de mes interventions. Signature et date : Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 30 DOCUMENT D’ENGAGEMENT ANNUEL DES INTERVENANTS EXTERIEURS (Remplir une fiche par intervenant) Année 2…….. Je soussigné(e),………………………………………………., travaillant dans la société ……………………………………………………, déclare sur l’honneur m’engager sur le respect des bonnes pratiques agricoles liées à mes interventions sur l’exploitation ……………………………………………… . Je m’engage à respecter toutes les exigences du référentiel GlobalGAP – Module All Farm et Fruit and Vegetables . Signature et date : Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 31 Plan des parcelles et de l’exploitation Si vous n’avez pas de plan parcellaire, carte topographique ou plan cadastral Année 2…….. Situer l’exploitation, les bâtiments, les routes et les parcelles avec leur n° ou leur nom, les zones non épandables ou sensibles et éventuellement des caractéristiques topographiques. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 32 PLAN DES BÂTIMENTS DE STOCKAGE Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Année 2…….. 33 Traçabilité Conserver tous les documents demandés et preuves, factures pendant 2 ans Identifier les lots à la récolte Tenir un cahier de sortie (produit) Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 34 LA TRACABILITE SUR L’EXPLOITATION Selon la norme NF V 25-111 (Obligatoire en gras, recommandé en maigre) Année 2…….. • Arrivée des plants : Conservation des passeports phytosanitaires ou certificats de plants & factures 1 an au minimum après plantation Enregistrement des plants est enregistré (soit sur la fiche parcellaire, soit à part) Description des plants utilisés • Avant la plantation : Enregistrement de chaque opération culturale précédant l’implantation sur une fiche parcellaire (voir fiche parcellaire type NF V 25-111) • A la plantation : Identification des parcelles Repérage des lots de plants par parcelles • Pendant la culture Enregistrement de chaque intervention sur une fiche parcellaire (voir fiche parcellaire type NF V 25-111) • A la récolte Identification des pommes de terre de même variété et issues d’une même parcelle (étiquettes sur les pallox ou vrac séparé) Individualisation des lots conduits en production raisonnée pendant le stockage (pas de mélange) Enregistrement des opérations de récolte et de conservation des pommes de terre • A la vente Les pommes de terre vendues en vrac ou pallox sont accompagnées d'un bon de livraison indiquant les coordonnées de l’exploitation, la variété, la date et les traitements antigerminatifs, s’il y en a eu L’exploitation garde un enregistrement de tous les lots vendus soit par un classement des factures, soit par un cahier de sortie Date Client Variété Qté Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 (Frigos) (Parcelle ou n° de lots) 35 Campagne Pommes de terre Conserver les factures et passeports phytosanitaires des plants Enregistrer la description des plants utilisés (variété, origine, classe, calibre, traitements avant implantation (produit/date/dose/matériel)) (voir fiche parcellaire) Liste des parcelles pommes de terre Conserver les analyses physique et chimique des sols Plan des parcelles ou repérage sur le parcellaire Noter régulièrement toutes les interventions sur une fiche parcellaire Enregistrer les traitements post-récolte Se tenir au courant des évolutions réglementaires en matière de produits phytopharmaceutiques (Autorisations, LMR, DAR…) au moyen du guide ACTA de l’année, ou du site www.e-phy.agriculture.gouv.fr Conserver les documents relatifs aux zones vulnérables, programme de résorption ZES, installations classées si l’exploitation est concernée. Faire un plan d’analyse de résidus Evaluation des risques en cas de nouvelles parcelles Evaluation des risques en cas d’utilisation d’eau d’irrigation En cas de risques d’érosion sur la parcelle, adopter des techniques préventives Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 36 Liste des parcelles Code parcelle Localisation (Commune Parcelle ou lieu dit) Références Cadastrales ou Ilots PAC Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Année 2…….. Espèce/Variété 37 FICHE PARCELLAIRE POMME DE TERRE (remplir une fiche par parcelle) Identification exploitant (nom, opérateur, code contrat, ……. ) coordonnées, code Variété : 1. Identification de la parcelle : ................................................. Année de récolte Nom de la parcelle ………………….…………............. Commune : …..……………....................... Surface de la parcelle (ha) : ………Situation particulière (zone vulnérable, périmètre protection captage,…) : ………… Parcelle de l’exploitation : ❏ OUI - ❏ NON Type de sol : ................................................................................ 2. Caractérisation de la parcelle : Analyse de sol : (ou copies analyses) Date dernière analyse de sol : …………………………Nom du laboratoire :………………………………………… % d’argile : …………… Valeurs analyse M.O (‰) : ……………… Calcaire (‰) : …………………..pH (eau) : ……… Appréciations laboratoire sur le niveau des résultats Unité (cocher une seule case) ppm ou ‰ % Autres mg/kg (préciser) Méthode (cocher une seule case) Joret- Olsen Dyer Autres Hebert P 2O 5 K 2O MgO Historique : Année de récolte Nom de la Culture Fertilisation organique (dont apport de boues) (°) n-1 (culture précédente) n-2 n-3 n-4 ......................................... ......................................... ......................................... ......................................... Date (mm/aa): ................. Date (mm/aa): ................. Date (mm/aa): ................. Date (mm/aa): ................. Nature:............................. Nature:............................. Nature:............................. Nature:............................. Quantité (t ou m3/ha):...... Quantité (t ou m3/ha):...... Quantité (t ou m3/ha):...... Quantité (t ou m3/ha):...... Fréquence moy.apport : ....... Fréquence moy.apport : ...... Fréquence moy.apport : ....... Fréquence moy.apport : ....... Fertilisation minérale phosphatée et potassique Devenir des résidus de culture Qté P2O5 (kg/ha) : ............. Qté P2O5 (kg/ha) : ............. Qté K2O (kg/ha) : .............. Qté K2O (kg/ha) : .............. Enfouis ❏ Enfouis ❏ Enlevés ❏ Enlevés ❏ Brûlés ❏ Brûlés ❏ Année de la dernière culture de pomme de terre : ……………Si ancienne pâture, date de retournement…… Année du dernier apport de boues : ................... Année dernier apport de terre : ………….. Origine dernier apport de terre :……………. (°) remarque : conservez toutes les analyses (teneurs en minéraux, en métaux lourds,…) ARVALIS – Institut du végétal - CNIPT /, avril 2009 38 Date : Signature : Rappel : Nom de l’agriculteur : …………………….. Nom de la parcelle ……………… Variété : …………. 3. Interculture avant la plantation Culture intermédiaire : ❏ OUI - ❏ NON si oui, espèce implantée (ou repousses éventuelles): ................................................................... Désherbants appliqués pendant l’interculture précédente : Date d’application Dose de produit(s) commercial (aux) (kg ou l/ha) Produit(s) commercial (aux) Travail du sol : Volume de bouillie utilisé (l/ha) Mauvaises herbes visées Initiale de l’applicateur Date de labour : …………………………. Observations (autres interventions de préparation du sol : outils et dates) : .....………………………….………………………….………………………….………………………….………… ……………….………………………….………………………….………………………….……… Billon : ❏ OUI - ❏ NON Tamisage : ❏ OUI - ❏ NON Epierrage : ❏ OUI - ❏ NON 4. Plantation Date de plantation : ………………….. Buttage : Lots Ecartement entre rangs : ………………cm Date 1 :….……........... Matériel utilisé : ❏ disques – ❏ socs – ❏ fraise – ❏ disques + socs Date 2 : ....................... Matériel utilisé : ❏ disques – ❏ socs – ❏ fraise – ❏ disques + socs Certifié 1 OUI - NON 2 OUI – NON 3 OUI – NON 4 OUI - NON Pays Prov. N° certificat Classe Calibre (°) N= Q = 100 Q/N = Nombre tubercules / 100 kg quantité plants Densité plants /ha (°) remarque : conservez au moins une étiquette par lot de plant (*) Codes modalités de traitement 1 - Poudrage manuel dans la planteuse 2 - Poudreuse sur planteuse Traitement à la plantation : Produit commercial et dose Code modalité de traitement (*) (kg/ha) 3 - Pulvérisation Ultra Bas Volume à la ferme 4 - Pulvérisation Ultra Bas Volume sur planteuse 5. Fertilisation et amendements (hors oligo-éléments) Engrais minéraux Reliquat azoté sur la parcelle (kg/ha) : mesuré : ❏ OUI - ❏ NON si oui, valeur : ………...........kg / ha et profondeur considérée :..............cm Date Forme et formule de l’engrais Quantité d’engrais (kg/ha ou l/ha) N (kg/ha) P2O5 (kg/ha) K2O (kg/ha) MgO (kg/ha) Code matériel épandage Dose conseillée (kg/ha) et source du conseil ARVALIS – Institut du végétal - CNIPT /, avril 2009 39 Date : Signature : Initiale de l’applicateur Rappel : Nom de l’agriculteur : …………………….. Nom de la parcelle :………………………… Variété : …………. Produits organiques (fumiers, lisiers, boues, vinasses, marcs,...) sur la culture (depuis la récolte du précédent) : Date Quantité / ha (t/ha ou m3/ha) Nature et origine Observations (valeurs analyse, conditions épandage, évaluation des risques de contamination...) Code matériel épandage Initiale de l’applicateur Amendements calcaires ou boues chaulées sur la culture (depuis la récolte du précédent) : Date de l’apport Quantité / ha (t/ha) Nature et origine Code matériel d’épandage Teneur en CaO (%) Initiale de l’applicateur 6. Protection phytosanitaire et oligo-éléments Abonnement à des avertissements agricoles : ❏OUI ❏NON, si oui , source (PV, Chambre d’Agriculture, OS,...) :.......… Dose / ha Type d’intervention Date Produit commercial DAR (l ou kg/ha) Cible(s) Indicateur de prise de décision (observations, avertissements, analyses…) Observations (réussite, conditions d’application, stades…) Code mat. Initiale applicateur Oligoéléments Herbicides Insecticides sol et végétation ou Antilimaces Antigerminatif en végét.(Fazor) Suivi matière sèche Défanants ❏ OUI ❏ NON Défanage thermique : ❏ OUI - ❏ NON ; Défanage mécanique : ❏ OUI - ❏ NON ; si oui, date : ...................................... si oui, date : ...................................... Fongicides : Date Produit commercial DAR Dose / ha Initiale de l’applicateur ARVALIS – Institut du végétal - CNIPT /, avril 2009 Date Produit commercial 40 DAR Date : Signature : Dose /ha Initiale de l’applicateur Rappel : Nom de l’agriculteur : ……………………. Nom de la parcelle :…………………… Variété : …………. 7. Irrigation Irrigation de la parcelle : ❏ OUI Date Quantité d’eau apportée (mm) Pluviométrie depuis le précédent apport (mm) ❏ NON Observat. si oui, renseigner l’analyse de risques et donner l’apport total (mm) :……..... Initiale de l’applicateur Date Quantité (mm) Pluviométrie depuis le précédent apport (mm) Observat. Initiale de l’applicateur Pour déclenchement, outil d’aide à la décision : ❏ tensiomètre ❏ bilan hydrique ❏ autres (préciser) :……….. Pour passages suivants, outil d’aide à la décision : ❏ tensiomètre ❏ bilan hydrique ❏ autres (préciser) : ……… 8. Récolte Caractéristiques de la récolte : date de récolte : …………Rendement brut (t/ ha) : ……….. Matière sèche (%) : ……….. Taux de nitrates (mg) : ………………….. Conditions d’arrachage : ❏ sèches ❏ très humides ❏ correctes ❏ variables entre début et fin Température d’arrachage < 10°C : ❏ OUI ❏ NON Interventions avant stockage : Prétriage: ❏ OUI ❏ NON Calibrage : ❏ OUI ❏ NON Destination : ❏ livraison à la récolte sans stockage ❏ stockage à la ferme ❏ stockage chez un tiers 9. Stockage Bâtiment : n° du bâtiment:.......... Date de la dernière désinfection : ................ Produit et dose :.......…………… (voir fiche exploitation) Durée de stockage : Date début stockage :.................................Date fin stockage :......................................... Application d’antigerminatifs : Date Produit commercial Dose /t Mode d’application ( thermonébulisation) Initiale de l’applicateur Suivi des températures et de la ventilation Date Température moyenne (°C) Durée ventilation (heures) Durée réfrigération (heures) ARVALIS – Institut du végétal - CNIPT /, avril 2009 Date Température moyenne (°C) 41 Durée ventilation (heures) Date : Signature : Durée réfrigération (heures) Rappel : Nom de l’agriculteur : …………………….. Nom de la parcelle :………………………… Variété : …………. 10. Interculture après la plantation Présence d’une culture intermédiaire suivante : ❏ OUI si oui, espèce implantée: ............................................. ❏ NON, DEMANDES COMPLEMENTAIRES ---------------------------------Préparation des plants : ❏ non préparé ❏ point blanc ❏ prégermé Observations culturales : Date de la levée (50 % pieds levés) : /__/__/ /__/__/ /__/__/ Date du stade initiation de la tubérisation (stade crochet) : /__/__/ /__/__/ /__/__/ Date de début de sénescence : /__/__/ /__/__/ /__/__/ Date de destruction totale du feuillage /__/__/ /__/__/ /__/__/ Nombre de tubercules moyen / pied : /__/__/ ARVALIS – Institut du végétal - CNIPT /, avril 2009 42 Date : Signature : FICHE EXPLOITATION PLURIANNUELLE Nom de l’exploitant : ........................................................ Parc matériel présent sur l’exploitation (dont irrigation): Nom matériel Code pulvérisateur Code (permet de renseigner les tableaux de la fiche parcellaire) Caractéristiques année d’acquisition Date contrôle pulvérisateur Organisme habilité Réparations effectuées Lieux de stockage des tubercules (entourer la réponse) : N° ou code du bâtiment ou site de stockage ….. ….. ….. ….. ….. Isolation OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON Ventilation OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON Régulation automatique OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON Mélange air OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON Groupe froid OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON OUI-NON Capacité de stockage (t) Modalité de stockage (voir code ci-dessous) Codes modalités de stockage : 1 - vrac non cloisonné (pas de séparation des lots) 2 - vrac avec cloisons amovibles 3 - cellules séparées par des cloisons ARVALIS – Institut du végétal - CNIPT /, avril 2009 43 4 - caisses – palettes 5 - autre mode de séparation des lots (à préciser) 6 - stockage précaire Date : Signature : Fiche d'enregistrement des traitements antigerminatifs Nom de l’utilisateur Frigo traité Spécialité utilisée Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Dose utilisée Année 2…….. Date de l'application 44 GESTION DES DELAIS DE REENTREES Conformément à la réglementation, il convient de respecter les délais de réentrée dans la parcelle après traitement. A titre indicatif, voici les règles générales à suivre : 6 heures après application dans le cas général. 24 heures si le produit comporte une des phrases de risques : - R36 (irritant pour les yeux) - R38 (irritant pour la peau) - R41 (risque de lésions oculaires graves). 48 heures si le produit comporte une des phrases de risque : - R42 (risque de sensibilisation par inhalation) - R43 (risque de sensibilisation par contact avec la peau). Pour plus d’information sur les délais de réentrée à respecter, renseignez-vous sur le site e-phy du ministère de l’agriculture : www.e-phy.agriculture.gouv.fr Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 45 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 GESTION DES LMR Le règlement (CE) n°396/2005 est entré en pleine application le 1er septembre 2008. Le premier établissement de ses annexes II, III et IV a été publié dans le règlement (CE) n°149/2008 de la Commission du 29 janvier 2008. Ces annexes sont amendées par le règlement (CE) n° 839/2008 de la Commission du 31 juillet 2008 publié au JOCE du 30 août 2008 et entré en vigueur le 1er septembre 2008. La Commission a développé une base de données relative aux LMR applicables aux produits listés en annexe I du règlement (CE) n°396/2005. Cette base de données sera régulièrement mise à jour par la Commission au fur et à mesure des règlements qui seront adoptés modifiant, établissant ou supprimant des LMR. Cette base est consultable sur le site internet de la Commission – Direction Générale Santé et protection du Consommateur à l’adresse suivante : http://ec.europa.eu/food/plant/protection/pesticides/database_pesticide_en.htm Concernant les LMR relevant du champ d’application du règlement (CE) n°396/2005 et pour toutes les denrées produites après le 1er septembre 2008, les valeurs des LMR figurant sur la base E-Phy sont à remplacer par celles figurant dans cette base de données. En revanche, pour toutes les denrées produites avant le 1er septembre 2008, les valeurs de LMR figurant dans la base de données E-Phy continuent de s’appliquer. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 46 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 GESTION DES LMR Pomme de terre Résidus de pesticides et teneurs maximales en résidus (mg/kg) (*) Indique le seuil de détection. (a) Pommes de terre 1,1-dichloro-2,2-bis(4-éthylphényl)éthane (L) 0,01* 1,2-dibrométhane (dibromure d´éthylène) (L) 0,01* 1,2-dichloroéthane (dichlorure d´éthlène) (L) 0,01* 1-méthylcyclopropène 0,01* 1,3-Dichloropropène 0,05* 1-Naphthylacétamide 0,05* 1-Acide naphthylacétique 0,05* 2,4-DB 0,05* 2,4,5-T (L) 0,05* 2,4-D (somme de 2,4-D et de ses esters, exprimée en 2,4-D) 0,05* Abamectine (somme de l´avermectine B1a, de l´avermectine B1b et du delta-8,9 isomère de l´avermectine B1a) (L) 0,01* Acéphate 0,02* Acétamipride (R) 0,01* Acibenzolar-S-méthyl (somme d´acybenzolar-S-méthyl et de son métabolite acide (CGA 210007), exprimée en acybenzolar-S-méthyl) 0,02* Aldicarbe (somme de l´aldicarbe, de son sulfoxyde et de son sulfone, exprimée en aldicarbe) Aldrine et dieldrine (aldrine et dieldrine combinées exprimées en dieldrine) (L) Amitraze (y compris les métabolites contenant la fraction de 2,4diméthylaniline exprimée en amitraze) Amitrole 0,02* Aramite (L) 0,01* Atrazine (L) 0,05* Azimsulfuron 0,02* Azinphos-éthyl (L) 0,02* Azinphos-méthyl (L) 0,05* Azocyclotin et cyhexatin (somme de l´azocyclotin et du cyhexatin, exprimée en cyhexatin) Azoxystrobine 0,05* Acéquinocyl 0,01* Acétochlore 0,1 Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 0,01* 0,05* 0,01 0,05* 47 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Aclonifen 0,1 Acrinathrine (L) 0,05* Alachlore 0,05* Amidosulfuron 0,01* Anilazine 0,05* Asulam 0,05* Azadirachtine 1 Acide gibbérellique 5 Aminopyralide 0,01* Barbane (L) 0,05* Bénalaxil, y compris d´autres mélanges d´isomères constituants dont le bénalaxyl-M (somme des isomères) Benfuracarbe 0,05* Bentazone (somme de la bentazone et des éléments combinés de la 6OH- et 8-OH bentazone, exprimée en bentazone) (R) Bifénazate 0,1* 0,01* Bifenthrine (L) 0,05* Binapacryl (L) 0,05* Bitertanol (L) 0,05* Bromophos-éthyl 0,05* 0,05* Bromopropylate 0,05* Bromoxynil (y compris ses esters exprimés en bromoxynil) (L) 0,05* Beflubutamid 0,05* Benfluraline (L) 0,05* Benthiavalicarb (Benthiavalicarb-isopropyl (KIF-230 R-L) ainsi que son énantiomère (KIF-230 S-D) et ses diastéréomères (KIF-230 R-L et KIF230 S-D) Bifenox (L) 0,05 Boscalid (L) (R) 0,05* 0,5 Bromuconazole (somme des diastéroisomères) (L) 0,05* Bupirimate 0,05* Buprofézine (L) 0,05* Butraline 0,02* Butylate 0,05* Camphechlore (Toxaphène) (L) (R) 0,1* Captafol (L) 0,02* Captane 0,05 Carbaryl (L) 0,05* Carbendazime et bénomyl (somme de bénomyl et de carbendazime, exprimée en carbendazime) (R) Carbofuran (somme du carbofuran et du 3-hydroxy-carbofuran, exprimée en carbofuran) Carbosulfan 0,1* 0,02* 0,05* Carfentrazone-éthyle (déterminé comme carfentrazone et exprimé en carfentrazone-éthyle) Chlorbenside (L) 0,01* Chlorbufam 0,05* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 0,01* 48 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Chlordane (somme de cis- et trans-chlordane (L) (R) 0,01* Chlorfénapyr 0,05* Chlorfenson (L) 0,01* Chlorfenvinphos (L) 0,02* Chlormequat 0,05* Chlorobenzilate (L) 0,02* Chlorothalonil 0,01* Chloroxuron (L) 0,05* Chlorprophame (chlorprophame et 3-chloroaniline, exprimé en chlorprophame) (L) (R) Chlorpyriphos (L) 10 0,05* Chlorpyriphos-méthyl (L) 0,05* Chlozolinate 0,05* Cinidon-éthyl (somme de cinidon-éthyl et de son isomère E) Clofentézine (R) 0,05* 0,02* Cyazofamide 0,01* Cyclanilide (L) 0,05* CYFLUTHRINE, y compris d´autres mélanges de constituants isomères (somme des isomères) (L) Cyhalofop-butyl (somme de cyhalofop-butyl et de ses acides libres) 0,02* 0,02* Cyperméthrine (y compris d´autres mélanges d´isomères constituants (somme des isomères)) (L) Cyromazine 0,05* Composés du mercure (somme des composés du mercure exprimée en mercure (L) Cation triméthylsulfonium résultant de l’utilisation de glyphosate (L) 0,01* 0,05* Carbétamide 0,05* Carboxine 0,05* 1 Chloridazon 0,5 Chlordécone (L) 0,02 Chlorsulfuron 0,05* Chlorthal-diméthyl 0,5 Chlorthiamide 0,05* Chlorotoluron 0,05* Cléthodim (somme de Sethoxydim et Cléthodim, y compris les produits de dégradation calculés en Sethoxydim) Clodinafop et ses isomères S, exprimés en clodinafop (L) Clopyralid Composés du cuivre (cuivre) Cyanamide, y compris les sels exprimés en cyanamide Cycloxydime, y compris les produits de dégradation et de réaction qui peuvent être déterminés en S-dioxyde d´acide 3-(3-thianyl)glutarique (BH 517-TGSO2) et/ou S-dioxyde d´acide 3-hydroxy-3-(3thianyl)glutarique (BH 517-5-OH-TGSO2) ou en ses esters méthyliques, calculés au total en cycloxydime 0,5 0,02* 0,5 5 0,05* 2 Cymoxanil 0,05* Cyproconazole (L) 0,05* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 49 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Cyprodinil (L) (R) 0,05* Chlorantraniliprole (DPX E-2Y45) 0,01* Chloropicrine 0,01* Chromafénozide 0,01* Clomazone 0,01* Clothianidine 0,05 Cyflufénamid 0,02* Daminozide (somme de daminozide et de 1,1-diméthylhydrazine, exprimée en daminozide) DDT (somme de p,p′-DDT, o,p′-DDT, p,p′-DDE et p,p′-TDE (DDD), exprimée en DDT) (L) Deltaméthrine (cis-deltaméthrine) (L) 0,02* Desmédiphame 0,05* Diallate 0,05* Diazinon (L) 0,01* Dichlorvos 0,01* Dicofol (somme des isomères p, p´ et o,p´) (L) 0,02* Diméthénamide-p (y compris autres mélanges d’isomères constituants (somme des isomères)) Diméthoate (somme du diméthoate et de l´ométhoate exprimée en diméthoate) Dinosèbe 0,01* Dinoterb 0,05* Dioxathion 0,05* Diphenylamine 0,05* Diquat 0,05* Disulfoton (somme de disulfoton, disulfoton sulfoxide et disulfoton sulfone, exprimée en disulfoton) (L) Dithiocarbamates (dithiocarbamates exprimés en CS2, y compris manèbe, mancozèbe, métirame, propinèbe, thirame et zirame) 0,02* DNOC 0,05* Dalapon 0,05* Dazomet (isothiocyanate de méthyle résultant de l´utilisation de dazomet et de métam) Dicamba 0,02* Dichlobénil Dichlorprop, y compris p-dichlorprop Diclofop (somme de diclofop-méthyle et de diclofop acide exprimée en diclofop-méthyle) Dicloran 0,05* 0,05* 0,02* 0,05* 0,3 0,05* 1 0,05* 0,1 0,1 Diéthofencarbe 0,05* Difenoconazole 0,1 Diflubenzuron (L) (R) 0,05* Diflufenican 0,05* Diméthachlore 0,02* Dimethipin 0,1* Diméthomorphe 0,5 Dimoxystrobine 0,01* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 50 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Diniconazole 0,05* Dinocap (somme des isomères du dinocap et de leurs phénols correspondants, exprimée en dinocap) (F) Dithianon 0,05* 0,1 Diuron (Diuron, y compris tous les éléments contenant une fraction de 3,4-dichloroaniline exprimée en 3,4-dichloroaniline) 0,1 Dodine 0,2* Endosulfan (somme des isomères alpha et bêta et du sulfate d´endosulfan, exprimée en endosulfan) (L) Endrine (L) 0,05* Ethéphon 0,05* Ethion 0,01* Éthofumesate (somme de l´éthofumesate et du métabolite 2,3dihydro-3,3-diméthyl-2-oxo-benzofuran-5-yl méthane sulphonate, exprimée en éthofumesate) Éthoxysulfuron 0,05* Étoxazole 0,02* Époxiconazole (L) 0,05* EPTC (Dipropylthiocarbamate de S-éthyle (EPTC) 0,01* 0,05* 0,1 Éthalfluraline 0,02* Éthyrimol 0,05* Éthoprophos 0,05 Éthoxyquine (L) 0,05* Étofenprox (L) 0,5 Étridiazole 0,05* Famoxadone 0,02* Fénamidone 0,02* Fénamiphos (somme de fénamiphos et de ses sulfoxide et sulfone exprimée en fénamiphos) Fénarimol 0,02* Fenbutatin oxyde (L) 0,05* Fenchlorphos (somme du fenchlorphos et du fenchlorphos-oxon exprimée en fenchlorphos) Fenhexamide 0,01* Fenitrothion 0,01* Fenpropimorphe (R) 0,05* Fenthion (et son analogue oxygéné, leurs sulfoxydes et leurs sulfones exprimés en fenthion) (L) Fentine acétate (L) (R) 0,01* Fentine hydroxyde (L) (R) 0,05* Fenvalérate et esfenvalérate (somme des isomères RR et SS) (L) 0,02* Fenvalérate et esfenvalérate (somme des isomères RS et SR) (L) Flazasulfuron 0,02* 0,01* Florasulam 0,01* Flucythrinate (L) (R) 0,05* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 0,02* 0,05* 0,05* 51 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Flufénacet (somme de tous les composés contenant la fraction Nfluorophényl-N-isopropyl exprimée en équivalent flufénacet) 0,1 Flumioxazine 0,05* Flupyrsulfuron-méthyl 0,02* Fluroxypyr (y compris ses esters exprimés en fluroxypyr) (R) 0,05* Flurtamone 0,02* Folpet 0,1 Foramsulfuron 0,01* Formothion 0,02* Fosthiazate 0,02* Furathiocarbe 0,05* Fénazaquine 0,01* Fenbuconazole 0,05* Fenoxaprop-P 0,1 Fenoxycarb 0,05* Fenpropidine (R) 0,05* Fenpyroximate (L) 0,05* Fipronil (somme de fipronil et de son métabolite sulfone (MB46136), exprimés en fipronil) (L) Florchlorfénuron 0,01 Fluazifop-P-butyl (fluazifop acide (libre et combiné)) 0,05* 0,1 Fluazinam (L) 0,05* Flucycloxuron 0,05* Fludioxonil 1 Flufénoxuron (L) 0,05* Flufenzine 0,05* Fluoxastrobine 0,05* Fluquinconazole (L) 0,05* Flurochloridone 0,1* Flusilazole (L) (R) 0,02* Flutolanil 0,5 Flutriafol 0,2 Formétanate: somme du formétanate et de ses sels, exprimée en (hydrochlorure de) formétanate Fosétyl-Al (somme du fosétyl + acide phosphoreux et de leurs sels, exprimée en fosétyl) Fuberidazole 0,05* Fenpropathrine 0,01* Flonicamide (somme de la flonicamide, de TNFG et TNFA) (R) 30 0,05* 0,1 Flubendiamide 0,01* Fluometuron 0,01* Fluopicolide 0,02 Fluoroglycofène 0,1 Flurprimidole 0,01* Fomesafène 0,01* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 52 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Furfural Fluorure de sulfuryle 1 0,01* Glyphosate 0,5 Glufosinate-ammonium (somme du glufosinate, de ses sels, MPP et NAG, exprimée en équivalents du glufosinate) 0,3 Guazatine 0,1* Heptachlore (somme de l´heptachlore et de l´heptachlore-époxyde, exprimée en heptachlore) (L) Hexachlorobenzène (L) 0,01* Hexachlorocyclohexane (HCH), somme des isomères excepté l´isomère gamma Hexaconazole 0,01* 0,01* 0,02* Hydrazide maléique (R) 50 Haloxyfop, y compris haloxyfop-R (ester méthylique de Haloxyfop-R, haloxyfop-R et éléments combinés de haloxyfop-R, exprimés en haloxyfop-R) (L) (R) Hexythiazox 0,1 0,05* Hymexazol 0,05* Halosulfuron-méthyle 0,01* Imazalil 3 Imazamox 0,05* Imazosulfuron 0,01* Indoxacarbe (somme des isomères S et R) (L) 0,02* Iodosulfuron-méthyl (y compris sels, exprimé en iodosulfuron-méthyl) 0,02* Ioxynil, y compris ses esters exprimés en ioxynil (L) 0,05* Iprodione (R) 0,02* Iprovalicarbe 0,05* Isoproturon 0,05* Isoxaflutole (somme d´isoxaflutole, RPA 202248 et RPA 203328, exprimée en isoxaflutole) Ion bromure 0,05* Imazaquine 0,05* Imidaclopride Isoxabène 50 0,5 0,02* Ion fluorure 2* Ipconazole 0,01* Krésoxim-méthyl (L) (R) 0,05* Lambda-cyhalothrine (L) (R) 0,02* Lindane (isomère gamma de l´hexachlorocyclohexane (HCH)) (L) 0,01* Linuron 0,05* Lénacile 0,1* Lufénurone (L) 0,05 Lactofen 0,01* Malathion (somme du malathion et du malaoxon, exprimée en malathion) 0,02* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 53 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 MCPA et MCPB (y compris leurs sels, esters et éléments combinés, exprimés en MCPA) (L) (R) Mécarbam 0,05* Mécoprop (somme de mécoprop-p et de mécoprop, exprimée en mécoprop) Mépanipyrim (et son métabolite (2-anilino-4-(2-hydroxy-propyl)-6méthyl-pyrimidine) exprimé en mépanipyrim 0,05* Mésosulfuron-méthyl exprimé en mésosulfuron 0,01* Mésotrione (somme de mésotrione et de MNBA (acide 4méthylsulfonyl-2-nitrobenzoïque) exprimée en mésotrione) 0,05* Métalaxyl et métalaxyl-M (métalaxyl incluant d´autres mélanges d´isomères constituants, y compris le métalaxyl-M (somme des isomères)) Méthacrifos (L) 0,05* Méthamidophos 0,01* Méthidathion (L) 0,02* Métholachlore et S-métholachlore (métholachlore incluant d´autres mélanges d´isomères constituants, y compris le S-métolachlore (somme des isomères)) Méthomyl et thiodicarbe (somme du méthomyl et du thiodicarbe, exprimée en méthomyl) Méthoxychlore (L) 0,05* Méthoxyfénozide (L) 0,02* Metsulfuron-méthyl 0,05* Mévinphos (somme des isomères E et Z) 0,01* Milbémectine (somme de MA4 + 8,9Z-MA4, exprimée en milbémectine) (R) Molinate 0,05* Monolinuron 0,05* Myclobutanyl (R) 0,02* Mépiquat 0,05* Métaldéhyde 0,05* Métamitron 0,1* Métazachlore 0,05* 0,01* 0,05* 0,05* 0,01* 0,05* 0,3 Metconazole (L) 0,02* Méthabenzthiazuron 0,1* Méthiocarbe (somme du méthiocarbe, de son sulfoxide et de sa sulfone, exprimée en méthiocarbe) Méthoprène 0,1* 0,05* Metosulam 0,01* Metrafenone 0,05* Métribuzine 0,1* Monuron 0,1 Mandipropamid 0,01* Mépronil 0,05* Meptyldinocap (somme de 2,4 DNOPC et 2,4 DNOP, exprimée en meptyldinocap) 0,05* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 54 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Metaflumizone (somme des isomères E et Z) 0,05* Nitrofène (L) 0,01* Napropamide 0,1 Nicosulfuron 0,05* Novaluron (L) 0,2 Oxyde d´éthylène (somme d´oxyde d´éthylène et de 2-chloro-éthanol exprimée en oxyde d´éthylène) (L) Oxadiargyl 0,1* 0,01* Oxamyl 0,01* Oxasulfuron 0,05* Oxydéméton-méthyl (somme des résidus de l´oxydéméton-méthyl et du déméton-S-méthylsulfone, exprimée en oxydéméton-méthyl) 0,02* Oxadiazon 0,05* Oxycarboxine 0,05* Oxyfluorfène 0,05* Orthosulfamuron 0,01* Oryzalin 0,01* Oxadixyl 0,05 Paraquat 0,02* Parathion (L) 0,05* Parathion-méthyle (somme des résidus de parathion-méthyle et de paraoxon, exprimée en parathion-méthyle) 0,02* Penconazole (L) 0,05* Pendiméthaline (L) 0,05* Pethoxamide 0,01* Phenmédiphame (R) 0,05* Phorate (somme du phorate, de son analogue oxygéné et de leurs sulfones, exprimée en phorate) Phosphamidon 0,05* Picolinafène 0,05* Picoxystrobine (L) 0,05* Pirimiphos-méthyl (L) 0,05* Prochloraze (somme du prochloraze et de ses métabolites contenant la fraction de 2,4,6-trichlorophénol, exprimée en prochloraze) 0,05* Procymidone (R) 0,02* Profenofos (L) 0,05* Prohexadione (somme de prohexadione et de ses sels, exprimée en prohexadione) Propiconazole 0,05* Propinèbe (exprimé en propylènediamine) 0,01* 0,05* 0,2 Propoxur 0,05* Propoxycarbazone (propoxycarbazone, ses sels et 2-hydroxypropoxycarbazone, calculés en propoxycarbazone) 0,02* Propyzamide (L) (R) 0,02* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 55 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Prosulfuron 0,02* Pymétrozine 0,02* Pyraclostrobine (L) 0,02* Pyraflufen-éthyl 0,02* Pyrazophos (L) 0,05* Pyridate (somme du pyridate, de son produit d´hydrolyse CL 9673 (6chloro-4-hydroxy-3-phenylpyridazin) et des éléments combinés hydrolysables du CL 9673, exprimée en pyridate) 0,05* Pyriméthanil 0,05* Paclobutrazol 0,02* Pencycuron (L) 0,1 Phénothrine 0,05* Phosalone 0,05* Phosmet (phosmet et oxone de phosmet, exprimés en phosmet) (R) 0,05* Phosphines et phosphures: somme du phosphure d´aluminium, de la phosphine d´aluminium, du phosphure de magnésium, de la phosphine de magnésium, du phosphure de zinc et de la phosphine de zinc 0,01* Phoxim (L) 0,01* Picloram 0,01* Pirimicarbe: somme du pirimicarbe et du desméthyl pirimicarbe, exprimée en pirimicarbe Propachlore: dérivé oxalique du propachlore, exprimé en propachlore 0,2 0,1 Propamocarbe (somme du propamocarbe et de son sel, exprimée en propamocarbe) Propanil 0,5 0,1* Propaquizafop 0,1 Propargite (L) 0,01* Propisochlore 0,1 Prosulfocarbe 0,05* Prothioconazole (Prothioconazole-desthio) (R) 0,02* Pyréthrines 1 Pyridaben (L) 0,05* Pyriproxyfène (L) 0,05* Perméthrine (somme des isomères) 0,05* Prophame 0,05* Penoxsulame 0,01* Pinoxaden 0,02* Profoxydim 0,05* Proquinazid 0,02* Pyrasulfutole 0,01* Pyroxsulam 0,01* Quinalphos 0,05* Quinoxyfen (L) 0,02* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 56 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Quintozène (somme du quintozène et de la pentachloroaniline, exprimée en quintozène) (L) Quinmerac Quizalofop, y compris le quizalofop-P 0,02* 0,1* 0,2 Quinclorac 0,05* Resméthrine (y compris d´autres mélanges d´isomères constitutants (somme des isomères)) (L) Rimsulfuron 0,1* 0,05* Roténone 0,01* Silthiofam 0,05* Spiroxamine (R) 0,05* Sulfosulfuron 0,05* Simazine 0,05* Spinosad: somme de la spinosyne A et de la spinosyne D, exprimée en spinosad (L) Spirodiclofen (L) 0,02* Spiromesifen 0,02* Sulcotrione 0,05* Soufre 0,02* 50 Spinetoram (XDE-175) 0,05* Spirotetramat et ses 4 métabolites BYI08330-enol, BYI08330ketohydroxy, BYI08330-monohydroxy et BYI08330 enol-glucoside, exprimés en spirotetramat Tecnazène (L) 0,1* 0,05* TEPP 0,01* Thiabendazole (R) 15 Thiaclopride (L) 0,02* Thifensulfuron méthyle 0,05* Thiophanate méthyle (R) 0,1* Thirame (exprimé en thirame) 0,1* Tolylfluanide (somme du tolylfluanide et du diméthylaminosulfotoluidide, exprimée en tolylfluanide) (R) 0,05* Triadiméfone et triadiménol (somme du triadiméfone et du triadiménol) (L) Triasulfuron 0,1* 0,05* Triazophos (L) 0,01* Tribénuron-méthyle 0,01* Tridemorphe (L) 0,05* Trifloxystrobine 0,02* Triforine 0,05* Triticonazole 0,01* Tau-fluvalinate (L) 0,01* Tebuconazole 0,2 Tebufenozide (L) 0,05* Tebufenpyrad (L) 0,05* Teflubenzuron 0,1 Tefluthrine (L) 0,01* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 57 Source http://ec.europa.eu/sanco_pesticides/public/index.cfm Liste des LMR pour les pommes de terre de conservation – actualisée en Juin 2009 Terbufos Terbuthylazine 0,01* 0,1 Tétraconazole (L) 0,02* Tétradifon 0,02* Thiamethoxam (somme du thiametoxam et de la clothianidine, exprimée en thiametoxam) Thiobencarb 0,1 0,1* Tolclofos-méthyl 0,2 Triallate 0,1* Trichlorfon 0,1* Triclopyr (R) 0,1* Tricyclazole 0,05* Triflumizole: triflumizole et métabolite FM-6-1(N-(4-chloro-2trifluorométhylphényl)-n-propoxyacétamidine), exprimés en triflumizole (L) Triflumuron (L) 0,1* 0,05* Trifluraline 0,1* Trinexapac 0,05* Tembotrione 0,02* Tépraloxydim 0,5 Topramezone (BAS 670H) 0,01* Tralkoxydim 0,02* Triflusulfuron 0,02* Tritosulfuron 0,01* Vinchlozoline (somme de la vinchlozoline et de tous les métabolites contenant la fraction 3,5-dichloroaniline, exprimée en vinchlozoline) (R) Valiphénal 0,05* Zirame 0,1* Zoxamide 0,02* Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 0,01* 58 Evaluation des risques pour les nouveaux sites agricoles Année 2…….. On entend par « nouveau site », un terrain qui n’a pas eu d’usage agricole. Néanmoins, il peut être utile de faire la même analyse pour une parcelle agricole non connue (échangée, louée ou nouvellement achetée) RENSEIGNEMENTS GENERAUX SUR LA PARCELLE Commune : Nouvelle acquisition Dénomination : Location / nom du propriétaire : Référence cadastrale : Echange / nom du propriétaire : EVALUATION DE LA NOUVELLE PARCELLE Evaluation agronomique Utilisation antérieure du terrain : n-1 : n-2 : n-3 : n-4 : Matière organique épandue : Utilisations particulières à signaler : Prairie Epandage de boues Terrain industriel, militaire ou ancienne déchetterie Renseignement sur le type de sol : Texture du sol : Taux de matière organique : Analyse chimique : N: P: K: Mg : Traitement de sol effectué : (date/produit/dose) Evaluation environnementale Erosion : Autres facteurs à prendre en compte : Degré d’inclinaison de la parcelle : Accessibilité de la parcelle : Présence de haies, fossés, bande enherbée ou Gélivité : autres mesures préventives : Inondabilité du sol : Risque de ravageurs Evaluation des nuisances (taupins, limaces, nématodes) : potentielles : Parcelle exposée à des vents dominants ? : Proximité des habitations : Actions correctives : présence de haies brise- vents, Risque nuisances : autres… sonores olfactives physiques Evaluation sanitaire : taupins nématodes limaces autres : Facteurs environnants de pollution : Présence d’une route Présence d’habitations Présence d’industries Autres sources potentielles de pollution : Risque détecté Action préventive ou corrective Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 59 Evaluation des risques de l’eau d’irrigation Année 2…….. ORIGINE DE L’EAU (case à cocher) Nappe Plan d’eau Cours d’eau Eaux industrielles Autres (préciser) ………………………………………………………………. EVALUATION DE RISQUES Dangers identifiés (d’origine physique, chimique, microbiologique) Métaux lourds Résidus de produits phyto-pharmaceutiques Microorganismes pathogènes (Coliformes fécaux, E.Coli,..) Parasites de quarantaine Mesures préventives en place (produit/service certifié, contrat, systèmes de protection,…) Evaluation de la probabilité/fréquence d’apparition (forte, moyenne, faible, nulle) Évaluati on de la gravité sur…. (forte, moyenne, faible, nulle) l’environnmnt le produit l’homme l’économie l’organisation Risques potentiels Action de surveillance à éventuellement mener (analyse physico-chimique, contrôle visuel,…) Fréquence de surveillance (tous les jours, une fois par semaine, une fois par mois, tous les deux mois, une fois par an...) Date : Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 60 Méthode d’analyse de risques et/ou de dangers Année 2…….. Ce protocole et le formulaire qui suivent donnent des lignes directrices pour tout type d’analyse de risques qui pourrait être demandé. Etape 1 : Décrire ce sur quoi porte l’analyse Faire une description fonctionnelle et se situer dans le processus de production (est-ce une analyse de risque portant sur l’implantation de la culture ? La fertilisation ? La récolte ? Le stockage ? Etc.) Etape 2 : identifier les éléments dangereux et dresser leur inventaire Suivant les situations et ce sur quoi porte l’analyse, ces éléments dangereux peuvent être : - des substances ou préparations dangereuses (ex. : produits phytosanitaires...) - des équipements dangereux (ex. : aire de stockage, zones de réception/expédition, machines agricoles…) - des opérations dangereuses associées aux pratiques agricoles (manipulation des produits phytosanitaires, manipulation des engins agricoles..) - … Les types de risque peuvent être des risques éventuels ou des risques avérés. Pour identifier les risques et dangers, il vaut mieux s’appuyer sur des sources d’informations fiables et le faire à partir de la description réalisée lors de la première étape (consultation, archives, publications..). Etape 3 : caractériser les risques Pour chacun des risques identifiés : - Evaluer leur gravité et la criticité en termes d’impact sur l’environnement, sur le produit, sur l’homme, sur l’économie de l’exploitation agricole et son organisation. - Evaluer la criticité en termes de probabilité d’apparition et de fréquence d’apparition. Etape 4 : Identifier les points critiques Les risques évoluent, leurs probabilités d’apparition et leurs gravités aussi. Il s’agit donc d’identifier parmi les étapes de production, celles qui sont plus à risques que les autres (lieux, moments et situations favorisant l’apparition de ces risques et où leur gravité est la plus importante). Etape 5 : Définir des précautions et des parades Ces actions doivent servir à éliminer le risque ou à limiter ces effets si le risque est déjà avéré. Des contrôles réguliers peuvent être planifié afin d’assurer une veille sur le bon fonctionnement de l’analyse de risque. Etape 6 : Actualiser l’analyse de risque L’analyse de risque ne doit pas être statique. Elle doit évoluer dès qu’un risque apparaît, il faut donc la réviser régulièrement. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 61 Méthode d’analyse de risques et/ou de dangers Année 2…….. Exemple de tableau de synthèse à remplir pour chaque analyse de risques à mener ANALYSE DE RISQUE PORTANT SUR :………………………………………………………………………………………… Description fonctionnelle de l’étape de production Etapes de production à risques associées et lieux, situations… Dangers identifiés (d’origine physique, chimique, microbiologique) Mesures préventives en place (produit/service certifié, contrat, systèmes de protection,…) Evaluation de la probabilité/fréquence d’apparition (forte, moyenne, faible, nulle) sur l’environnement Évaluation de la gravité (forte, moyenne, faible, nulle) sur le produit Sur l’homme Sur l’économie Sur l’organisation Risques potentiels Action de surveillance à éventuellement mener (analyse physico-chimique, contrôle visuel,…) Fréquence de surveillance (tous les jours, une fois par semaine, une fois par mois, tous les deux mois, une fois par an...) Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 62 Matériel et Stockage Conserver les factures et preuves de contrôles du matériel Liste matériel Noter les interventions sur les machines : réglages et réparations Réaliser, avant le démarrage de la campagne, un autocontrôle du pulvérisateur et remédier à toute anomalie constatée. Tenir un inventaire des stocks phytosanitaires et fertilisants et garder les factures Vérifier que son local phytosanitaire est aux normes Vérifier que le stockage d’engrais est fait dans les normes Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 63 Fiche matériel Machine : Marque : CODE : Une fiche par machine Pulvérisateur Epandeur d’engrais minéral distributeur d'engrais organique Autre : Année de 1ère mise en service : Modèle : Plaque CE ou conforme au code du travail OUI NON Achat neuf ou occasion : Pour les pulvérisateurs : années de contrôle et obtention de la Pastille Verte 1 2 3 4 5 6 7 8 Caractéristiques techniques Contenance : Largeur de travail : Largeur sur route : Débit : Autre : Évaluation de la dangerosité de la machine : § Quels sont les risques encourus (problèmes, accidents…) ? § Quels éléments causent la non conformité ? Consignes d’utilisation (lors de l’utilisation, de l’entretien, des réparations, des débourrages…) § § Personnes concernées par la machine Je reconnais avoir été informé des risques encourus Je m’engage formellement à appliquer les consignes données Nom Prénom Date Signature* *Chacun des signataires doit recevoir et conserver un exemplaire du présent document Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 64 Carnet d’entretien de la machine Opérations de maintenance et de nettoyage Date Compteur/Heures Nature de l’intervention Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Intervenant 65 MATERIEL D'EPANDAGE ■ Disposer des matériels d’épandage adaptés aux types de fertilisants épandus (engrais, fumier, lisier, fientes). ■ Conserver les matériels d’épandage dans de bonnes conditions. ■ Vérifier l’état du matériel d’épandage en début de saison (épandeurs d’effluents, tonnes à lisiers, distributeurs d’engrais, pulvérisateurs). ■ Pour les apports de lisiers ou d’effluents industriels en cours de végétation, utiliser des systèmes d’épandage assurant une bonne répartition de l’apport sur toute la parcelle (système de type « rampe » par exemple). ■ Renouveler les réglages de l’épandeur à chaque changement de produit, de dose par hectare ou de vitesse d’avancement. ■ Ne jamais intervenir sur des appareils en marche. Données à rassembler Prescriptions si élevage soumis au régime des installations classées Noms des épandeurs et des opérateurs les utilisant pour toutes les interventions de fertilisation ou d’amendement ou liste de matériels affichant le nom de l’intervenant Manuel ou fiche technique d’utilisation des épandeurs utilisés sur l’exploitation et factures de réparations disponibles Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 66 DISTANCES MINIMALES D’EPANDAGE A RESPECTER Attention : les distances minimales d’épandage faisant foi sont celles diffusées par les sources citées ci-dessous. Cette liste est à actualiser suivant la réglementation en vigueur. Tableau issu du « GUIDE des bonnes pratiques de production et de stockage des pommes de terre de conservation, pour le marché du frais » version 2008, réalisé par le CNIPT et ARVALIS – Institut du végétal. Source Epandage des Epandage de boues issues fumiers et autres du traitement des eaux usées déjections solides Epandage des lisiers, purins et eaux résiduaires Epandage des effluents organiques Arrêté du 8 janvier 1998 RSD – type* RSD – type* Installations classées** 35 m 35 m 50 m 35 m 35 m (cas général) 200 m si pente > 7% 35 m 10 m si bande enherbée ou boisée permanente d’au moins 10 m ne recevant aucun intrant 100 m (cas général) 50 m si effluents désodorisés ou enfouis rapidement 100 m (cas général) 10 m si composts 50 m : - si lisiers ou purins traités ou désodorisés - si lisiers ou purins épendus par pendillards et enfouis sous 12 heures - si fumiers stockés au moins 2 mois et enfouis sous 24 h (bovins et porcins) - si fumiers enfouis sous 12 h (bovins et porcins) - si fientes > 65% MS enfouies sous 12 h. 15 m si lisiers ou purins injectés directement dans le sol 200 m des lieux de baignade Puits, forages, sources, aqueducs à écoulement libre 35 m si pente < 7% (conso), 100 m si pente > 7% installations de stockage 35 m (cas général) 200m si boues non stabilisées et non solides et si pente > 7% 100 m si boues stabilisées et solides et si Cours d’eau ou plan d’eau pente > 7% 5 m si boues stabilisées et enfouies dans le sol immédiatement après épandage et pente < 7% Habitations, zones de loisirs 100 m (cas général) néant pour les boues hygiénisées ou stabilisées et enfouies immédiatement après épandage 100 m (cas général) < 100 m si labour moins de 24 heures après épandage 500 m (cas général) variable (cf. variable (cf. variable selon conseil conseil 500 m topographie et type de départemental départemental boues d’hygiène) d’hygiène) * modifications locales possibles, se renseigner en mairie. ** distances minimales les plus restrictives en installations classées soumises à autorisation. Zones conchylicoles / piscicoles Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 67 Fiche de contrôle de l’épandeur (Recommandation) Année 2…….. Tableau pour consigner les opérations de maintenance : Marque : Numéro : EPANDEUR Date du contrôle : Opérateur : Marque : TRACTEUR MAINTENANCE Numéro : ETAT ENTRETIEN REALISE OBSERVATIONS Châssis Protège-Cardans Commande : Cuve : Tableau de réglage : Réglage Produit épandu Quantité voulue / ha Vitesse d’avancement (km/h) Ouverture en Quantité obtenue nombre de crans Distance / 100 kg / ha (index) 1 2 3 4 5 1 2 3 4 5 Page 1/2 Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 68 Année 2…….. Fiche de contrôle de l’épandeur (Recommandation) Tableau pour consigner les tests d’épandage : Produit épandu Parcelles concernées Dose en m3/ha ou en t/ha Vitesse d’avancement en km/h Régime moteur en tr/min pour un régime de rotation de la prise de force de 540 tr/min Vitesse du tapis (fumier) ou pression (lisier) Débit en t/min (fumier) ou en m3/min (lisier) Largeur de travail en m Page 2/2 Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 69 PULVERISATEUR ET PULVERISATION Données à rassembler Nom de l’opérateur et pulvérisateur utilisé pour toutes les interventions phyto (ou liste de matériels affichant le nom de l’intervenant, ou fiche parcellaire correctement remplie). Date d’acquisition du pulvérisateur Attestation de contrôle par un tiers spécialisé (dans le cadre de la NF V 25-111, le recours à un tiers spécialisé n’implique pas nécessairement que ce tiers soit agréé au sens du Décret n° 2008-1255 du 1er décembre 2008), dates et réparations effectuées, factures Manuel ou fiches techniques d’utilisation du ou des pulvérisateurs utilisés sur l’exploitation Copie agrément du prestataire appliquant les produits phytosanitaires Document(s) technique(s) de moins de 3 ans sur les produits phytosanitaires, précisant, par culture, les matières actives, les doses maximales autorisées, les périodes d’application, les délais avant récolte, les limites maximales de résidus (LMR) et les distances à respecter non traitées en bordure des cours d’eau (ZNT) Certificat de contrôle du pulvérisateur par un tiers spécialisé datant de moins de 3 ans. ■ Utiliser uniquement des produits et adjuvants bénéficiant d’une autorisation de mise sur le marché pour l’usage envisagé, en respectant leurs conditions optimales d’emploi (suivre les informations figurant sur l’étiquette des produits, et les notices d’emploi disponibles chez le distributeur, se procurer les fiches sécurité des produits). ■ N’utiliser que des mélanges autorisés. ■ Se protéger avec des équipements de protection individuels pendant toute la manipulation des produits. Pulvérisateur ■ Conserver le ou les pulvérisateurs dans de bonnes conditions. ■ Avant le démarrage de la campagne, procéder à un autocontrôle du pulvérisateur et remédier à toute anomalie constatée. ■ Faire contrôler le pulvérisateur par un organisme spécialisé au moins tous les trois ans et remédier à toute anomalie constatée comme l’exige la réglementation en vigueur. ■ Renouveler le réglage à tout changement de volume de bouillie, de vitesse d’avancement ou de type de buses (il est préférable, pour cela, de se référer au manuel d’utilisation fourni par le constructeur). ■ Vérifier en permanence l’absence de fuites ou de débordements du pulvérisateur (pendant le remplissage, la pulvérisation et les déplacements). Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 70 Remplissage du pulvérisateur ■ Pour la préparation de la bouillie : utiliser des ustensiles exclusivement réservés à cet usage et suivre les indications portées sur les étiquettes, notamment en cas de mélanges. ■ Préparer la bouillie à l’écart des réseaux d’eaux pluviales, des réseaux d’eaux usées, des cours d’eau et des points d’eau et des zones d’écoulement vers ces lieux. ■ Ne jamais pomper directement dans les eaux superficielles ou souterraines pour remplir le pulvérisateur. ■ Etalonner les balances annuellement. ■ Utiliser un dispositif de remplissage qui évite les risques de contamination de la source d’eau (potence, réservoir intermédiaire, clapets anti-retour…) ■ Prévenir les débordements de cuve en surveillant la phase de remplissage, ou disposer d’un système d’arrêt automatique (volucompteur) ou de récupération des débordements. ■ Calculer au plus juste le volume de bouillie nécessaire pour la surface à traiter. ■ Au moment du remplissage, rincer les bidons vides (rince-bidon et/ou au moins 3 rinçages successifs), les bouchons et opercules (ADIVALOR) et verser les eaux de rinçage dans la cuve ou dans le bac d’incorporation. Conduite de la pulvérisation ■ Se conformer aux prescriptions relatives aux activités exercées à l’intérieur des périmètres de protection des captages d’eau potable, si l’exploitation est concernée. ■ Respecter les zones non traitées (ZNT) et installer des bandes enherbées le long des cours d’eau, conformément à la réglementation en vigueur. ■ Ne pas pulvériser sur un sol imperméable (cour, route, chemin..), traiter par temps calme et mettre en œuvre des équipements et des réglages adaptés pour limiter la dérive. ■ En cas d’appel à un prestataire de service, vérifier qu’il est agréé comme applicateur de produits phytopharmaceutiques. ■ Disposer d’une cuve de rinçage sur le pulvérisateur ou d’une réserve d’eau au champ pour la dilution du fond de cuve et le rinçage de la cuve au champ ■ Diluer le fond de cuve au cinquième et pulvériser les eaux de rinçage sur la parcelle ou une culture autorisée sans dépasser la dose homologuée Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 71 Fiche de contrôle annuel du pulvérisateur (remplir une fiche par pulvérisateur) DATE : Année 2…….. Checklist des points dont il faut vérifier l’état. Etat Observations/ Opérations effectuées Vérifications visuelles des éléments de sécurité Présence et état des protections des arbres à cardan Présence et état des protections de toutes les pièces en mouvement (ex : ventilateur…) Présence et état de l’éclairage et de la signalisation Présence et état des tuyaux (particulièrement à proximité de l’opérateur) Autres vérifications visuelles (Appareil installés rampe ouverte, certains points sont visuellement contrôlés quand le pulvérisateur est à l’arrêt) Etat général de l’appareil : attelage, pneumatiques Structure de la rampe : l’importance de la déformation peut être mesurée au cordeau Evaluer visuellement le parallélisme par rapport au sol Etat du système de suspension : le faire fonctionner pour vérifier qu’il est opérationnel Mesurer l’équidistance des buses Aplomb des buses : apprécier à l’oeil Etat des tuyaux : état général, usure du matériau, présence de plis et fuites éventuelles Etat des filtres : vérifier l’état et la propreté, la maille correspond-elle au calibre des buses en service Etat de la cloche à air : appuyer sur la valve, vérifier qu’il n’y a pas d’eau (signe de cloche perforée). Puis vérifier la pression de celle-ci et la réajuster (car le contrôle a généralement réduit la pression) Vérifications de l’appareil en service : mettre l’appareil en pression avec de l’eau seulement Détection des fuites : coup d’œil général et en particulier la pompe, les filtres, les porte-buses, le circuit En cas de bouchage des buses et/ou colmatage, vérifier s’il s’agit d’un bouchage isolé, sinon interrompre le diagnostic et faire procéder à un nettoyage complet Signaler les fuites d’huile Le système de régulation est-il opérationnel ? Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 72 ESSAI DE PULVERISATION DATE : RENSEIGNEMENTS TRACTEUR : Marque : Type : Régime moteur pour obtenir 540 T/min à la prise de force :………………….T/min. Régime moteur employé/ ………………T/min Vitesse correspondante (au régime moteur employé) :……………………….. Exemple: 3ème moyenne = 5km/h ……………………………….km/h ……………………………..km/h …………………………….km/h VERIFICATION DU DEBIT : Pression contrôlée au manomètre du pulvérisateur :………….bar Débit Débit gauche en litres/ mn Exemple 5,6 litres / mn Débit droit en litres/ mn 5,4 litres / mn Vérification 2004 Total en 2004 litres / mn Volume / hectare = (600 x débit total) / (Largeur* x vitesse**) : exemple : (600 x 11) / (4 x 5) = 330 litres / ha * largeur de l'inter rang des parcelles ** vitesse d'avancement du tracteur QUALITE DE LA PULVERISATION Notation des papiers hydrosensibles : exemple: bonne pulvérisation, léger manque sur le haut… CONCLUSIONS GENERALES SUR L'APPAREIL: CONFORME ACTIONS immediates à réaliser : …………………………………………….. ………………………………………………………………………. ACTIONS à mettre en oeuvre : ………………………………………………… ………………………………………………………………………. Date et Visa : Recommandations : …..…………………………………………………………. ………………………………………………………………………. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 73 FICHE DE VIE SONDE DE TEMPERATURE Matériel: Date de mise en service: Marque: Type: Localisation: N°série: N° sonde: Précision: Précision requise: +/-0,2°C (EMT/3) Erreur maximale tolérée (EMT): +/- 0,5°C Plage d'utilisation: VERIFICATION/ETALONNAGE MAINTENANCE Périodicité: 2 ans Périodicité: 2 ans Faire comparer, par un organisme spécialisé, la sonde à une sonde de référence raccordée à un étalon national Date Société N°PV Conformité (C/NC) Initiales Date Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Société Observations Initiales 74 CONTRÔLE DE DERIVE DES SONDES DE TEMPERATURE DE STOCKAGE CONTRÔLE DE DERIVE Périodicité: 1 an 1/ Placer la sonde avec les autres sondes de stockage dans un seau d'eau à température ambiante stabilisée entre 5°C et 10°C. Veiller à ce que les sondes soient rassemblées dans la même partie du seau sans qu'elles ne touchent le bord. 2/ Comparer la température de chacune des sondes deux à deux. 3/ L'écart de T°C entre la mesure de chacune des sondes doit être inférieur ou égal à 0,5°C. Au-delà, il est nécessaire soit de faire intervenir un organisme spécialisé pour maintenance, soit de remplacer les sondes. Date Initiales T°C sonde 1 T°C sonde 2 T°C sonde 3 T°C sonde 4 Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 T°C sonde 5 T°C sonde 6 T°C sonde 7 75 T°C sonde 8 T°C sonde 9 T°C sonde 10 Ecart max. entre sondes Conformité (C/NC) FICHE DE VIE BALANCE DE PESEE Matériel: Date de mise en service: Marque: Type: Localisation: N°série: Précision: Précision requise (EMT/3): Erreur maximale tolérée (EMT): Plage d'utilisation: VERIFICATION / ETALONNAGE / MAINTENANCE VERIFICATION/ETALONNAGE MAINTENANCE Périodicité: 1 an Faire contrôler la balance par un organisme agréé. Date Société N°PV Conformité (C/NC) Initiales Date Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Société Observations Initiales 76 CONTRÔLE DE DERIVE BALANCE DE PESEE Matériel: Date de mise en service: Marque: Type: Localisation: N°série: Précision: Précision requise (EMT/3): Erreur maximale tolérée (EMT): Plage d'utilisation: CONTRÔLE DE DERIVE Périodicité: Placer sur la balance une masse de référence connue. L'écart entre la masse de référence et la valeur mesurée par la balance doit être inférieur à l'Erreur Maximale Tolérée. Date Par Masse pesée Masse lue Ecart EMT Conformité (C/NC) Date Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Par Masse pesée Masse lue Ecart EMT Conformité (C/NC) 77 Instructions de stockage des fertilisants Année 2…….. ■ Respecter les prescriptions établies par la législation relatives aux installations classées, si l’exploitation ou le stockage y sont soumis et, par le Règlement Sanitaire Départemental (RSD) si ce n’est pas le cas. ■ Respecter la réglementation relative aux boues urbaines et industrielles, zones vulnérables (Directive Nitrates), périmètre de protection des captages d’eau potable et arrêtés préfectoraux ou municipaux spécifiques. ■ Stocker tous les fertilisants séparément (sans mélange possible : équipements de stockage, cloisons, distances suffisantes,…) des plants, des semences, des produits agricoles quelle que soit leur destination. ■ Disposer d’un inventaire des engrais minéraux mis à jour tous les trois mois. Dans le cadre de GlobalGAP, un inventaire doit être fait au moins 1 fois/an et les enregistrements d’entrée et de sortie des produits doivent être enregistrés de façon à connaître le stock disponible facilement si nécessaire. ■ Disposer de panneaux d’indication des dangers sur les portes ou accès aux zones de stockage. Dépôts ou aires de stockages d’engrais de ferme ■ Connaître les quantités d’effluents produites sur l’exploitation et conserver la méthode utilisée pour l’estimation. ■ Respecter la réglementation portant sur le stockage permanent ou temporaire d’engrais de ferme, en particulier : - Disposer d’ouvrages de stockage étanches permettant, si nécessaire, le recueil des liquides d’égouttage par un réseau étanche vers une installation de stockage appropriée. - Disposer d’installations de stockage permettant de contenir au minimum les effluents d’élevage produits pendant la période où l’épandage est inapproprié (période définie par le Code des Bonnes Pratiques Agricoles dans le cadre de la Directive nitrates) ou interdit. ■ En dehors des zones vulnérables, respecter le Code des Bonnes Pratiques Agricoles (Directive Nitrates). ■ Ne pas réaliser de dépôts temporaires de fumiers (< ou = 10 mois) sur des zones à risque : - les sols à forte pente, les parcelles inondables, les zones en cuvette, - les sols où la nappe phréatique est susceptible de remonter en surface, - les zones d’infiltration préférentielle (failles, bétoires,...). ■ Changer chaque année l’emplacement du tas de fumier. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 78 Stockage d’engrais minéraux solides ■ Stocker les engrais minéraux solides à l’écart des produits agricoles sans mélange possible avec des produits agricoles, notamment les pommes de terre. ■ Stocker les engrais simples ou composés à base de nitrates à l'écart des dépôts de matières explosives, inflammables ou combustibles, et en évitant toute contamination des produits agricoles destinés à l’alimentation humaine ou animale (local séparé ou séparations physiques dans un même local). ■ Stocker les engrais minéraux solides sur une zone stabilisée couverte ou à l’abri des intempéries (palettes sous bâche pour les sacs ou big-bags, surface imperméable sous toiture pour le vrac,…) ■ Stockage les engrais minéraux solides sur une zone aérée et propre (absence de fuites, de déchets) ■ Stocker les engrais minéraux solides sans risque de pollution des points et cours d’eau Stockage d’engrais minéraux liquides ■ Ne pas stocker d’engrais liquides dans un réservoir enterré. ■ Inspecter la cuve régulièrement (au moins une fois par an) pour en contrôler l’étanchéité (corrosion, etc..). ■ Equiper toutes les cuves d’engrais de plus de 100m3 d’un bac de rétention* ou suivre les exigences réglementaires locales si elles sont plus contraignantes, ou utiliser des citernes à double paroi se remplissant par le haut avec système de détection des fuites. ■ Pour toute nouvelle installation, construire une rétention étanche* sous la cuve de stockage quelle que soit la quantité stockée, ou suivre les exigences réglementaires locales si elles sont plus contraignantes, ou utiliser des citernes à double paroi se remplissant par le haut avec système de détection des fuites. * le volume retenu doit être au moins égal à la capacité du plus grand réservoir ou à 50% de la capacité total Données à rassembler : Prescription si stockage soumis au régime des installations classées Méthode d’estimation des quantités d’effluents produites sur l’exploitation Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 79 Année 2…….. FICHE INVENTAIRE DES ENGRAIS Remplir une fiche par type d’engrais Type d’engrais : DATE ENTREES (l ou kg) SORTIES (l ou kg) Les approvisionnements Les applications Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 CULTURE 80 SOLDE INVENTAIRE Instructions de stockage des produits phytopharmaceutiques 1 - Disposer d’une installation de stockage des produits (local ou armoire) réservée à cet usage, identifiée et fermée à clef 2 - Disposer d’une installation de stockage solide et saine (peu humide), protégée des températures extrêmes, dont le sol est étanche (sol cimenté) et résistante au feu. 3 – Endroit ventilé ou aéré 4 – Disposer d’un bon éclairage 5 - Les étagères du local sont en matériel non absorbant (métal...) 6 - Local équipé d'un système de rétention (bac de rétention, rigoles, seuil de porte…) 7 – Disposer d’équipements de mesure spécifique, en bon état et étalonnés (jauge, éprouvette, balance…) 8 - Des équipements pour préparer la bouillie (seaux, eau courante à proximité du lieu de préparation) 9 - Stockage des équipements de protection ainsi que d'une trousse d'urgence : rince yeux (burette de collyre) en dehors du local phyto 10 - Equipements en cas de renversement accidentel (sable, pelle, balai et sacs plastiques) 11 - Affichage d'une procédure d'urgence en cas d'accidents, la liste des numéros de téléphone d'urgence, une indication du téléphone le plus proche 12 - Les produits phytopharmaceutiques sont stockés dans leur emballage d'origine et les liquides ne sont pas au dessus des poudres. ■ Tenir à jour au moins une fois par an un inventaire des produits phytopharmaceutiques, de leurs dates d’arrivée et des quantités disponibles. ■ Les produits sont classés par culture. ■ Les produits qui ne sont plus utilisables (PPNU) sont rangés dans une caisse à part balisée Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 81 Année 2…….. FICHE INVENTAIRE DES PRODUITS PHYTOPHARMACEUTIQUES 1er inventaire Noms des produits commerciaux Culture Solde Entrées (l ou kg) Les appro. Sorties (l ou kg) Les applications 2nd inventaire Solde Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Entrées (l ou kg) Les appro. Sorties (l ou kg) Les applications 3ème inventaire Solde Entrées (l ou kg) Les appro. 82 Sorties (l ou kg) Les applications 4ème inventaire Solde Entrées (l ou kg) Les appro. Sorties (l ou kg) Les applications Solde ENTRETIEN DES EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELS Le décret du 27 mai 1987 indique que l'employeur doit assurer chaque année, avant la campagne d'utilisation, une formation de ses salariés sur les risques liés à la manipulation des produits phytosanitaires. Il oblige l'employeur à fournir gratuitement à ses salariés, les équipements de protection individuelle adaptés aux traitements phytosanitaires. L'employeur doit aussi veiller au bon entretien et au renouvellement régulier de ces équipements. Les opérateurs sont tenus de les utiliser. Protections recommandées Des gants imperméables aux produits phyto, en nitrile ou néoprène, identifié par le sigle CE Longueur minimale : 25 cm Une combinaison correspondant au type d'exposition, portant le logo CE et assez ample pour être portée au dessus des vêtements classiques. Un masque portant le marquage CE et la norme EN ou le type ABnPn Filtre marqué CE. Comme le prévoit la norme AFNOR FD S 76-050, renouvellement des cartouches filtrantes au moins tous les 6 mois. Des chaussures fermées, avec la combinaison au dessus. Entretien et entreposage des équipements de protection : marche à suivre Comment entretenir ? Gants Masque Rincer abondamment à l'eau avant de les retirer Comment stocker ? Laisser sécher à l'air Quand renouveler ? Dès apparition de craquelures .vérifier régulièrement brides et Dès perception des odeurs joints d’étanchéité Dans un emballage des produits ou difficulté à .Rincer à l'eau sans les hermétique à l'écart du local respirer (au minimum tous les cartouches après chaque phytosanitaire 6 mois). Attention à la date utilisation d'utilisation Lunettes Nettoyer à l'eau A l'abri de la poussière Si la notice permet sa réutilisation, la nettoyer, sécher et Combinaison stocker à l'abri de la poussière et de l'humidité Dès détérioration Spécifié sur la notice d'utilisation Stocker les équipements de protection dans un endroit différent des produits phytos, à l'abri de la chaleur, Pour plus d'information, voir les brochures MSA "appareils de protection respiratoires et filtres : comment choisir ?", "Equipements de protection individuelle, comment choisir ?", "Equipements de protection corporelle" Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 83 INSTRUCTIONS DE TRAITEMENT La contamination s'effectue par ingestion mais aussi par la peau et par les voies respiratoires : Porter des équipements de protection individuelle au remplissage et pour tout dépannage sur la parcelle traitée. En cas de cabine non filtrée, se protéger durant tout le traitement. PREPARATION DE LA BOUILLIE 1- Calculer La Quantité Exacte Q (en kg) = D (dose en kg / hectare) X S (surface en hectare) 2- Remplissage Sur les vieux pulvérisateurs, bien pré-diluer la poudre avant de la verser dans la cuve et surveiller en permanence la phase de remplissage de la cuve afin d'éviter tout débordement. Rincer les bidons systématiquement avec le rince bidon du pulvérisateur ou manuellement 3 fois à l'eau claire et verser les eaux de rinçage dans la cuve. • PENDANT LE TRAITEMENT 1 – Ne jamais interrompre un traitement en cours pour effectuer d'autres travaux La concurrence entre différents travaux conduit à des situations à risques favorisant la contamination de l'homme 2 – Ne pas suspendre le traitement à cause d'incidents techniques : pannes, bouchage… Prévenir autant que possible l'apparition de ces incidents par une révision fréquente du matériel, un check-up avant traitement et un nettoyage soigneux de l'appareil après chaque traitement. Intervenir sur le matériel en cours de traitement est source de forte contamination. 3 – A l'occasion d'un traitement, s'il vous arrive d'avoir une indisposition (mal de tête, nausées, vomissement, etc…), pensez immédiatement à l'intoxication et suivez la procédure d'incident. 4 - Ne jamais augmenter la dose, même en cas d'attaque violente du parasite. • APRES LE TRAITEMENT 1- Ne jamais faire l'impasse sur le nettoyage du pulvérisateur en fin de traitement. Ces opérations sont indispensables à la qualité du traitement suivant et la sécurité de l'opérateur. 2-Nettoyer systématiquement les protections individuelles et les ranger en dehors du local de stockage. Se laver systématiquement les mains et le visage, ou mieux se doucher et changer de vêtements. Date et Signature des employés concernés : Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 84 CALENDRIER INDICATIF DE TRAITEMENTS Equipement concerné Principales cibles visées Nettoyage avant désinfection Fréquence indicative de désinfection Arracheuse Champignons Bactéries Nématodes Grattage au champ puis lavage nettoyeur haute pression Entre deux exploitations voire 2 parcelles à risque Remorque Champignons Bactéries Nématodes Grattage au champ puis lavage nettoyeur haute pression Entre deux exploitations voire 2 parcelles à risque Chantier réception Champignons Bactéries Nématodes Grattage sur place puis lavage nettoyeur haute pression Entre deux exploitations voire 2 parcelles à risque Palox Champignons Bactéries Nématodes Grattage, élimination des débris sec +/- lavage nettoyeur haute pression Chaque année voire entre 2 remplissages Bâtiment stockage Champignons Bactéries Nématodes Grattage, balayage, aspiration des poussières et/ou lavage nettoyeur haute pression Entre 2 campagnes de stockage Calibreur Champignons Bactéries Grattage soigné Régulièrement entre chaque lot à risque Laveuse Bactéries Lavage nettoyeur haute pression Entre chaque lot à risque ou une fois par semaine La désinfection devra être réalisée à l’aide d’un produit désinfectant homologué. Ces produits doivent être rangés dans un local ou une armoire dédiée, fermée à clé. Dératisation La protection des tubercules stockés doit également s’exercer vis-à-vis des nuisibles (rongeurs…). Elle doit être réalisée à l’aide de pièges spécifiques attachés et positionnés à l’extérieur de l’aire de stockage. Ceux-ci seront régulièrement relevés pour s’assurer de la charge en produit raticide homologué à titre de produit phytosanitaire. La position de ces pièges doit être connue. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 85 ENREGISTREMENT D’OPERATIONS DE NETTOYAGE Lieux Date Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Produit Dose 86 ENREGISTREMENT DU SUIVI DE LA DERATISATION Localiser les pièges sur un plan des bâtiments Piège 1 Piège 2 Piège 3 Piège 4 Piège 5 Remarques Remarques Remarques Remarques Remarques Date de pose Date de relevés Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 87 Sécurité Conserver les attestations de formation, programmes de stage, etc… Afficher et faire signer aux salariés les règles de sécurité Supports écrits et affiches portant les instructions de sécurité et placés aux endroits adéquats Le kit de « Matériel d'information qualité pour les centres de conditionnement de pommes de terre » vous permet d’adapter les messages qualité aux salariés des centres de réception et conditionnement de pommes de terre et de les transmettre à travers du matériel d'information concis aux illustrations attrayantes. La campagne est placée sous une signature et un logo identifiables "Priorité qualité" et traite de 4 thèmes : qualité produit, hygiène, sécurité, traçabilité. Pour vous le procurer, adressez-vous au CNIPT. Les illustrations de ce chapitre sont issues de ce kit. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 88 Formations Quelques exemples d’organismes proposant des formations : Santé et sécurité au travail : Renseignez-vous auprès de la MSA (http://www.msa.fr) Sécurité des aliments et hygiène alimentaire : Retrouvez, pour chaque région et pour chaque département, des listes de consultants Français, de laboratoires privés et de laboratoires nationaux de référence spécialisés dans le domaine de l'hygiène alimentaire sur le site http://www.liste-hygiene.org/formatio.html Formations techniques et économiques : Centre Technique Interprofessionnel des Fruits et Légumes (CTIFL) : http://www.ctifl.fr/Pages/Formations.aspx Contact : Marie-Madeleine MARTINEZ ([email protected] – 01 47 70 91 54) ou Brigitte BESSEZ ([email protected] – 01 47 70 70) ARVALIS – Institut du végétal : http://www.formations-arvalis.fr/ Contact : service formation ARVALIS – Institut du végétal - Tél. 01 64 99 22 80 – Email : [email protected] Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 89 PROTECTION DES UTILISATEURS ■ Former les salariés aux risques liés à l’utilisation des produits dangereux. ■ Accès à l’installation de stockage des produits phytopharmaceutiques réservé aux salariés formés à l’utilisation des produits phytopharmaceutiques. ■ Pour le rinçage des yeux en cas de projections accidentelles, disposer d’une source d’eau et d’une procédure en cas d’accident à proximité du local de stockage de produits phytopharmaceutiques et du lieu de mesure ou mélange des produits. ■ Disposer pour chaque utilisateur des équipements de protection pour la manipulation des produits phytopharmaceutiques (gants, masques, lunettes de sécurité, vêtements de protection imperméables, chaussures fermées, réserves de filtres et de gants) utilisés en accord avec les indications portées sur les étiquettes. ■ Disposer de recommandations écrites relatives à l’utilisation des équipements de protection. ■ S’il est réutilisable, nettoyer l’équipement de protection après chaque utilisation et le ranger dans un endroit spécifique autre que l’installation de stockage des produits phytopharmaceutiques. ■ Fournir aux salariés des instructions claires ou une formation à l’utilisation d’équipements complexes. ■ Veiller à la conformité des machines agricoles et des équipements vis-à-vis des normes et de la réglementation. ■ Disposer d’au moins une trousse de première urgence sur le siège de l’exploitation ou à proximité des lieux de travaux, notamment du local de stockage des produits phytopharmaceutiques et du lieu de mesure ou mélange des produits phytopharmaceutiques. ■ Faire connaître aux sous-traitants les exigences en matière de sécurité. ■ Respecter les conditions d’emploi des produits utilisé après la récolte : produits et non dépassement des doses autorisées. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 90 Règles de sécurité Exemple à adapter à l’exploitation et aux nouveaux risques, analyser régulièrement les risques aux différents postes, notamment à l’aide du document unique RISQUES : traitements du plant sur la planteuse Si traitement confiné privilégier le traitement U.B.V. (Ultra Bas Volume) sur table de visite Si poudrage : utilisez des E.P.I*.(Equipement de Protection Individuel) adaptés préférer l’utilisation de poudreuse mécanique RISQUES : Chargement de la planteuse Prévention : Choisir un terrain stable et nivelé RISQUES : Suivi de la plantation Prévention : Ne pas se trouver dans les zones d’évolution des machines Ne pas intervenir sur les machines en marche Situation à risques : Préparation Epandage – traitement Nettoyage de matériel Prévention : Entretenir votre matériel, réaliser un contrôle régulier Préparer sur l’aire de remplissage et avec des E.P.I*. adaptés Traitement : Prévention : Privilégier l’utilisation des cabines filtrées, entretenues régulièrement Utiliser une brosse ou un aérosol pour déboucher les buses Nettoyage : Utiliser les E.P.I*. Adaptés *Equipement de Protection Individuel Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 91 a) Situation à risques : Le contact avec des organes de transmission Prévention : N’intervenir que sur machine à l’arrêt Veiller à la présence et à l’entretien des systèmes de protection b) Situation à risques et autres : Dysfonctionnement (débourrage,…) Prévention : Maintenir une bonne visibilité de l’environnement, du chantier + des tracteurs Rester à distance des machines en mouvement Utiliser des outils pour débourrer Travailler avec du personnel spécialisé Nettoyage du matériel Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 92 Situation à risques : Circulation routière Déchargement - chargement Déterrage Prévention : Circulation routière : S’assurer du bon état du matériel (signalisation, transmission et freins, visibilité) et des capacités des personnels ; veiller au nettoyage des voies de circulation Déchargement : Rester à distance des machines en mouvement, éviter les surcharges Déterrage : Intervenir avec des outils sur du matériel à l'arrêt a) Electricité b) Matériel en mouvement c) Organisation de l’activité Prévention : a) Electricité : Veiller à la conformité des installations électriques (éviter les rallonges, câbles en mauvais état, lieu du chantier…) b) Matériel en mouvement : Prévoir une commande d’arrêt d’urgence accessible (câble, bouton…) Privilégier une tenue ajustée, gants (E.P.I.) c) Organisation de l’activité : > Au-dessus et en dessous du matériel organiser le chantier afin d’éviter le passage… des convoyeurs > Prévoir à proximité une trousse de secours et les n° d’appel d’urgence > Installer une signalisation d’avertissement des dangers > Organiser la rotation des postes répétitifs Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 93 Situation à risques : a) Manutention des pallox et big-bag b) Thermo – nébulisation c) Circulation Prévention : a) S’assurer du bon état des caisses et des équipements de levage Personnel formé et autorisé à la conduite des engins de manutention et de levage b) Thermo nébulisation en fonction d’un emplacement sécurité. Interdire l’accès au bâtiment durant l’application Limiter l’accès au bâtiment de stockage au personnel habilité Limiter la hauteur de gerbage Réaliser la thermo nébulisation c) Circulation : sécuriser les espaces de circulation du personnel (grille de protection, barrières…) A remplir par les employés Je soussigné, Prénom Nom Fonction Signature Date déclare avoir pris connaissance des règles ci-dessus et m'engage à les respecter. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 94 PROCEDURES D'URGENCE EN CAS D'ACCIDENTS ET PREMIERS GESTES DE SECOURS A afficher sur le local phytosanitaire, lieu de stockage des engrais et de traitement post-récolte En cas de projections accidentelles de produits phytosanitaires sur la peau ou les yeux : Se débarrasser des vêtements contaminés puis laver la peau à l'eau Laver les yeux immédiatement et abondamment l'œil ou les yeux à l'eau claire et consulter un spécialiste En cas d'intoxication : • • • • Garder emballage et étiquette du ou des produits en cause pour les montrer au médecin. Si la victime ne respire plus, pratiquer immédiatement le bouche à bouche. C'est le geste qui sauve. Si la victime est à peine consciente, ou qu'elle ne l'est plus, la mettre en position latérale de sécurité, c'est à dire la tête et le corps sur le côté. Prévenir, muni de l'emballage et de l'étiquette du ou des produits en cause, les secours d'urgence, le médecin et le centre anti poisons. Ne pas faire boire, surtout jamais de lait ou d'alcool Ne pas faire vomir, sauf si l'étiquette du produit en cause le prescrit (ramoxome) et seulement si la victime est consciente. 13 31 33 85 38 49 CENTRE ANTI-POISONS - Marseille - Hôpital Salvator - Tél 04 91 75 25 25 54 - Nancy - Hôpital Central - Tél 03 83 85 26 26 - Toulouse - Hôpital Purpan - Tél 05 61 49 33 33 59 - Lille - Hôpital albert Calmette - Tél 03 20 44 44 44 - Bordeaux - Hôpital Pellegrin - Tél 05 56 96 40 80 63 - Clermont Ferrand - St Jacques - Tél 04 72 11 69 11 - Rennes - Hôtel Dieu - Tél 02 99 59 22 22 67 - Strasbourg - Hôpital Central - Tél 03 88 37 37 37 - Grenoble - Hôpital de la Tronche - Tél 04 76 42 42 42 69 - Lyon - Hôpital Edouard Herriot - Tél 04 72 11 69 11 - Angers - Centre Hospitalier - Tél 02 41 48 21 21 75 - Paris - Hôpital Fernand Widal - Tél 01 40 05 48 48 76 - Rouen - Hôpital Charles Nicolle - Tél 02 35 88 44 00 Centres nationaux d'informations toxicologiques vétérinaires et Ecoles Nationales Vétérinaires 31- Toulouse - Tél 05 61 19 39 40 44 - Nantes - Tél 02 40 68 77 40 69 - Marcy l'Etoile - Tél 04 78 87 10 40 94 - Maisons-Alfort - Tél 01 48 93 13 00 Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 95 A afficher EN CAS D’URGENCE En cas de projections accidentelles Laver les yeux immédiatement et abondamment l'œil ou les yeux à l'eau claire et consulter un spécialiste En cas d'intoxication : Garder emballage et étiquette du ou des produits en cause pour les montrer au médecin Si la victime ne respire plus, pratiquer immédiatement le bouche à bouche. C'est le geste qui sauve. Si la victime est à peine consciente, ou qu'elle ne l'est plus, la mettre en position latérale de sécurité, c'est à dire la tête et le corps sur le côté. Prévenir, muni de l’emballage et des étiquettes, les n° suivants : N° d’URGENCE N° DU CENTRE ANTI-POISON Ne pas faire boire, surtout jamais de lait ou d'alcool Ne pas faire vomir, sauf si l'étiquette du produit en cause le prescrit (ramoxome) et seulement si la victime est consciente. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 96 Liste des téléphones d'urgence Document à afficher dans le local phytosanitaire et dans les locaux fréquentés par les employés. Médecin SAMU Hôpital Centre antipoisons SOS Mains N° d’urgence depuis un portable 112 Responsable d'exploitation Numéros utiles: Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 97 Hygiène Faire connaître les risques sanitaires liés aux opérations de récolte, stockage et conditionnement éventuel sur l’exploitation à tous les intervenants Former les salariés intervenant dans les phases de conditionnement du produit aux bonnes pratiques hygiéniques (s’il existe un conditionnement sur l’exploitation) Attestations de formation, programme de stages, dates et nature des prestataires de formation Disposer d’installations sanitaires (eau, toilettes) accessibles aux salariés sur l’exploitation ou tout autre site facilement accessible dans le cadre des travaux Mettre en place des panneaux d’indication des dangers à proximité et sur les portes d’accès aux zones de stockage des produits phytosanitaires et des engrais Le kit de « Matériel d'information qualité pour les centres de conditionnement de pommes de terre » vous permet d’adapter les messages qualité aux salariés des centres de réception et conditionnement de pommes de terre et de les transmettre à travers du matériel d'information concis aux illustrations attrayantes. La campagne est placée sous une signature et un logo identifiables "Priorité qualité" et traite de 4 thèmes : qualité produit, hygiène, sécurité, traçabilité. Pour vous le procurer, adressez-vous au CNIPT. Les illustrations de ce chapitre sont issues de ce kit. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 98 BONNES PRATIQUES HYGIENIQUES 2009 Version 2006 p1/2 Phase Stockage, manutention et transport Dangers retenus Bonnes pratiques résumées Corps et substances étrangers Assurer bon état et propreté des pallox avant chargement, des aires de stockage, des chambres froides Enregistrements/Preuves documentaires Sur les chaînes,s'assurer de l'étanchéité des circuits hydrauliques, mécaniques et de fluide frigorigène. Assurer une protection des installations de stockage contre la présence de corps ou substances étrangers (bois, pièces métalliques, verre, fioul, ...). Prévenir l’intrusion d’animaux surComité les produits stockés. National Interprofessionnel de la pomme de terre Recommandation : gestion des bris de verre pendant la phase de stockage, manutention des pommes de terre grâce à une procédure bris de verre. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 99 BONNES PRATIQUES HYGIENIQUES Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 2009 Version 2006 p2/2 100 CONSIGNES SALARIES BONNES PRATIQUES HYGIENIQUES Les locaux et le matériel : • • Assurer la propreté des locaux Evacuer systématiquement les déchets et emballages selon les procédures prévues Veiller à la propreté du matériel et notamment les bennes, remorques et pallox avant chargement Signaler tout rongeur ou autre nuisible Tenir les animaux domestiques à l’écart Ranger les produits de nettoyage et désinfection dans le local spécifique • • • • Hygiène personnelle • • • • Ne pas manger, boire ou fumer Se laver les mains avant et après chaque contact avec les produits Avoir les ongles courts et propres Bijoux déconseillés Hygiène personnelle • • Porter des vêtements propres et adaptés : attention aux écharpes et manches flottantes qui peuvent se coincer dans les machines en mouvement Protéger les plaies à l’aide de pansements Je soussigné : Prénom/Nom Fonction Date Signature Déclare avoir pris connaissance des règles précédentes et m’engage à les respecter. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 101 Environnement et déchets Suivre les bonnes pratiques en matière de déchets Conserver les bons d’enlèvement, liste des déchetteries… Eventuellement, faire le bilan des déchets produits sur l’exploitation (recommandé) Disposer d’un plan de protection de l’environnement (à titre individuel ou collectif, dans le cadre de zones protégées ou non) Conserver les documents relatifs aux actions environnementales locales Le kit de « Matériel d'information qualité pour les centres de conditionnement de pommes de terre » vous permet d’adapter les messages qualité aux salariés des centres de réception et conditionnement de pommes de terre et de les transmettre à travers du matériel d'information concis aux illustrations attrayantes. La campagne est placée sous une signature et un logo identifiables "Priorité qualité" et traite de 4 thèmes : qualité produit, hygiène, sécurité, traçabilité. Pour vous le procurer, adressez-vous au CNIPT. Les illustrations de ce chapitre sont issues de ce kit. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 102 Instructions pour la gestion des déchets ■ Ne pas abandonner les déchets dans le milieu, ni les enfouir, ni les brûler. ■ Stocker ses déchets hors des parcelles et à l’écart des zones de manipulation et de stockage des produits agricoles : les éliminer en respectant la réglementation. ■ Connaître les déchets et matières polluantes produits sur l’exploitation et, pour chacun d’entre eux, le mode de stockage et les filières de récupération ou élimination en accord avec les réglementations générales ou locales. Pour cela, il est recommandé de : - Avoir une liste des déchets produits avec leur mode d’évacuation ou de valorisation - Définir des objectifs de réduction (plan documenté visant à éviter ou à réduire les déchets) ■ En cas de participation à des opérations de reprise, les règles imposées par le récupérateur doivent être respectées. ■ Conserver tous les bons d’enlèvement, bordereaux de livraison, accords éventuels des collectivités et disposer d’une liste des lieux de collecte. Déchets banals ■ Trier les déchets banals n’ayant pas contenu de produits classés dangereux, notamment les emballages (sacs d’engrais, suremballages, etc…), les nettoyer si nécessaire. ■ Les stocker dans un ou plusieurs lieux en attendant leur élimination (pas de déchets éparpillés). ■ Apporter les déchets banals dans une déchetterie ou d’autres lieux de collecte, ou bien profiter de collectes spécifiques, ou bien les éliminer par la voie des ordures ménagères sous réserve d’accord de la collectivité Déchets dangereux et matériaux ou objets souillés ■ Participer aux opérations de collecte spécifiques des déchets dangereux (huile de vidange, batteries, produits phytosanitaires non utilisables (PPNU), déchets comportant des traces de produits phytopharmaceutiques, emballages phytopharmaceutiques vides,…). A défaut, les apporter dans des déchetteries agrées ou les éliminer via une entreprise agrée. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 103 Déchets liés aux produits phytopharmaceutiques ■ Participer aux filières pérennes de valorisation des déchets du type de celles mises en place à l’occasion du programme national phytosanitaire pour les produits phytopharmaceutiques (ADIVALOR), lorsqu’elles existent. ■ En attendant leur élimination, identifier et conserver les PPNU ou produits périmés dans leur emballage d’origine, en les séparant des produits utilisables, et dans le lieu de stockage des produits phytopharmaceutiques. ■ En attendant leur élimination, rassembler les déchets comportant des traces de produits phytopharmaceutiques (gants, combinaisons jetables,…) dans un sac adapté, hermétique et dans le lieu de stockage des produits phytopharmaceutiques. ■ En attendant leur élimination, stocker les emballages vides des produits phytopharmaceutiques (EVPP) et rincés dans un endroit unique, abrité, d’accès limité, isolé des produits récoltés, et limitant les risques pour les personnes et l’environnement ■ Ne jamais réutiliser les EVPP, même s’ils sont bien rincés. ■ Se conformer aux règles imposées par le collecteur des emballages phytopharmaceutiques vides (perçage, écrasement,…) ■ Ne jamais brûler phytopharmaceutiques. ou enfouir des emballages de produits Données à rassembler : Bons d’enlèvement, bordereaux de livraison, accords éventuels des collectivités, liste des lieux de collecte Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 104 Instructions pour la gestion des bris de verre Cette fiche doit être accessible à tous en permanence. Nom du responsable de la procédure bris de verre : Description de la procédure à mettre en place : Etape Origine du bris de verre Mesure à prendre immédiatement Tableau d’enregistrement des incidents : Date et Etape de la Cause du bris de lieu production verre Procédure de nettoyage de l’équipement et de la zone environnante Mesure corrective prise Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Elimination du verre et des produits contaminés Nom du responsable Signature 105 Quelques exemples.. … d’origine de bris de verre : ■ Vitres, ■ Lampes (pour l’éclairage des bâtiments ou des tracteurs) ■ Ouvertures vitrées ■ Contenants en verre ■ Thermomètre et autres appareils de mesures… ■ Miroirs de machines (tracteurs, récolteuses, moyens de transport, …). ■ Déchets de verre en bordure de champ… … de mesures préventives : ■ Les lampes se situant au-dessus du produit stocké doivent être munies de coiffes protectrices ou être incassables ■ Les pommes de terre stockées doivent être éloignées des vitres du local de stockage. … de mesures à mettre en place en cas de bris de verre au champ : ■ Installer une séparation à l’endroit où le verre s’est brisé pour permettre de récolter les produits sans danger. ■ Détruire le produit contaminé. ■ Eliminer les éclats de verre suivant les filières spécifiques au verre. … de mesures à mettre en place en cas de bris de verre dans les bâtiments de stockage et de manipulation : ■ Soit détruire immédiatement le produit dans une zone suffisamment grande et éliminer soigneusement tous les éclats; ■ Soit délimiter soigneusement une zone de sécurité suffisamment grande en utilisant un ruban de couleur voyante. Le produit probablement contaminé dans cette zone de sécurité est ensuite détruit. La zone de sécurité doit restée visible tant que les équipements s’y trouvant et cette zone elle-même n’ont pas fait l’objet d’un nettoyage méticuleux. ■ Eliminer les éclats de verre suivant les filières spécifiques au verre. Ne jamais utiliser les emballages servant à la récolte pour y récolter les éclats de verre ! Rassembler les éclats de verre dans un endroit unique et séparés des produits non contaminés avant élimination. Même chose pour les produits contaminés. Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 106 Année 2…….. TRAME D’ENREGISTREMENT GESTION DES DECHETS QUANTITES moyennes STOCKAGE DESTINATION FILIERE Palettes 20 par mois Tas extérieurs Fournisseur Remise en état Métaux ferreux 200 Kg/mois Tas extérieurs Ferrailleur NATURE Ré utilisation Bouteilles de gaz vides Filtres de la chambre à poussières Gravats Cailloux pommes de terre Poussières de silo Pommes de terres Cartons Bois Bigs Bags Rouleaux Filtres à air Fûts plastiques et métalliques non souillés Bidons de produits phytopharmaceutiques Verre intact et brisé … Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 107 Fiche répertoriant les actions en faveur de l’environnement (facultative..) Action Année 2…….. Description, commentaire Implantation de haies Implantation de bandes enherbées Intervention sur cultures que sur un risque identifié Préférence pour des méthodes culturales de lutte et la prophylaxie pour protéger les cultures Respect des ZNT Limitation de la dérive lors des traitements aux champs (buses anti-dérive..) Combinaison des méthodes culturales de lutte et des traitements du sol pour lutter contre les ravageurs Réduction des doses d’herbicides en sols légers ou filtrants … Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 108 Commerce et Relations Clients Conserver les factures et bons de livraison Tenir un cahier d’entrée et de sortie Avoir des formulaires prêts en cas de réclamation clients ou auprès de vos fournisseurs Archiver les formulaires de réclamation Plan d’action en cas de dépassement de LMR Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 109 Année 2…….. CAHIER D’ENTREE ET DE SORTIE Cahier d’entrée : Date de la transaction Fournisseur Coordonnées du fournisseur (adresse, téléphone) Produit Quantité Cahier de sortie Date de transaction N° de lot Variété Quantité Client Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Coordonnées du client (adresse, téléphone) Frigos Parcelle d’origine (facultatif) 110 Année 2…….. FICHE DE TRAITEMENT ET DE SUIVI DES NON CONFORMITES CLIENTS Réclamation n° : Date de réception : Objet de la réclamation (cadre à remplir par le client) Raison sociale N° de lot : Date de livraison Variété : Insatisfaction sur : Calibre : Emballage : Précisions sur la réclamation Qualité du produit Emballage Autres Devenir de la marchandise Suivi de la réclamation et actions correctives (cadre réservé au fournisseur) Devenir du produit Retour client Geste commercial Autres : Suivi de la non-conformité Devenir du produit Déclassement du lot Marchandise triée Marchandise reconditionnée Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 111 Année 2…….. GESTION DES RECLAMATIONS CLIENTS/ FOURNISSEURS Date Date Client Fournisseur Coordonnées (adresse, téléphone) Coordonnées (adresse, téléphone) Lot concerné (numéro) Marchandise concernée Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 Cause Cause Action corrective Résultat 112 Année 2…….. PLAN D'ACTION EN CAS DÉPASSEMENT LMR DETECTION D'UN DEPASSEMENT DE LMR SUR UN LOT Dans tous les cas : 1 - Engager une enquête en analysant la fiche parcellaire du lot concerné et rechercher les causes de dépassement 2 – Engager des actions correctives Le lot ou une partie du lot a déjà été vendu : 1 - Information immédiate du ou des clients concernés 2 – Evaluer l’impact de ce dépassement sur la mise en danger de la santé des consommateurs (analyse de risques) 3 – RAPPELER LE LOT si l’évaluation d’impact conclut à un risque inacceptable. Le lot n'a pas encore été vendu : Si le dépassement concerne le CIPC, attendre deux semaines avant de faire de nouveaux tests. Pour les autres molécules : déclassement du lot, les produits ne peuvent être commercialisés Informations à transmettre aux acheteurs/ certification, en cas de risque détecté clients/ à l’organisme de Emetteur Coordonnées, téléphone Produit Dénomination : Marque/ variété : N° de lot : Date de vente : Motif de la transmission et risque potentiel Nature : Résultats éventuels d’analyses : Mesures prises : □ Blocage temporaire du produit / □ Retrait / □ Rappel de produit (Communiqué de presse : □ affichage : □ □ Information du fournisseur / □ Information du fabricant) Cahier de procédures et d’enregistrements - version Juin 2009 113 ">

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