Mode d'emploi | Quark QuarkXPress 8 Manuel utilisateur

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Mode d'emploi | Quark QuarkXPress 8 Manuel utilisateur | Fixfr
Guide QuarkXPress 8
INFORMATIONS JURIDIQUES
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DE QUELQUE NATURE QUE CE SOIT RÉSULTANT DE L’INSTALLATION OU DE
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LA CAUSE ET LA THÉORIE DE LA RESPONSABILITÉ. SI, NONOBSTANT CE QUI
II
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LICENCE SONT RECONNUS RESPONSABLES QUANT AUX PRODUITS ET SERVICES
QUARK OU AUX PRODUITS ET SERVICES TIERS, CETTE RESPONSABILITÉ SERA
LIMITÉE À LA SOMME PAYÉE PAR L’UTILISATEUR POUR LE LOGICIEL ET LES
SERVICES À L’ÉMISSION (À L’EXCLUSION DES PRODUITS ET SERVICES TIERS), LE
CAS ÉCHÉANT, OU À LA SOMME MINIMALE PRÉVUE PAR LA LOI EN VIGUEUR,
SUIVANT LA SOMME LA MOINS ÉLEVÉE DES DEUX. CES LIMITATIONS SONT
APPLICABLES MÊME SI QUARK, LES FILIALES QUARK, LEURS CONCÉDANTS
DE LICENCE ET/OU LEURS AGENTS ONT ÉTÉ PRÉVENUS DE L’ÉVENTUALITÉ
DE TELS DOMMAGES. CERTAINS ÉTATS, JURIDICTIONS OU PROVINCES N’AUTORISANT PAS L’EXCLUSION OU LA LIMITATION DE DOMMAGES ACCESSOIRES
OU INDIRECTS, CES RES TRICTIONS NE SONT PAS NÉCESSAIREMENT APPLICABLES. TOUTES LES AUTRES LIMITATIONS FOURNIES DANS LE CADRE DE
LA LOI EN VIGUEUR, Y COMPRIS LES PRESCRIPTIONS LÉGALES,
DEMEURERONT APPLICABLES.
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LIMITÉ DANS LA MESURE NÉCESSAIRE POUR QU’ELLES SOIENT EXÉCUTOIRES.
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|
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VI
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©1997–1999 Netscape Communication Corp. Netscape vous accorde une licence hors
droits d’utiliser ou de modifier le logiciel de menus en cascade à condition que cette
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Pour le logiciel W3C, Copyright ©2001 World Wide Web Consortium, (Massachusetts
Institute of Technology, European Research Consortium for Informatics and Mathematics,
Keio University). Tous droits réservés. Ce programme est distribué sous la licence logicielle
W3C® (1) à des fins utilitaires, mais SANS AUCUNE GARANTIE ; sans même la garantie
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(1) http://www.w3.org/Consortium/Legal/2002/copyright-software–20021231.
Des parties de ce logiciel sont basées sur le travail de Jean-Loup Gailly et de Mark Adler,
©1995–1998 Jean-Loup Gailly et Mark Adler [bibliothèque ZIP].
Pour la technologie Sun, copyright 2003–2006, Sun Microsystems, Inc. Tous droits
réservés. L’utilisation est soumise aux termes de la licence.
Toutes les autres marques sont détenues par leur propriétaire respectif.
|
VII
TABLE DES MATIÈRES
1
2
VIII
|
À propos de ce guide
Principes de départ
1
Où trouver de l’aide
1
Conventions
2
Note concernant la technologie
2
Interface utilisateur
Outils
4
Outils Web
7
Menus
8
Menu QuarkXPress (Mac OS uniquement)
8
Menu Fichier
8
Menu Édition
9
Menu Style
11
Menu Bloc
14
Menu Page
16
Menu Mise en page
16
Menu Tableau
17
Menu Affichage
18
Menu Utilitaires
19
Menu Fenêtre
20
Menu Aide
22
Menus contextuels
22
Palettes
23
Palette Outils
23
Palette Spécifications
23
Palette Disposition de page
25
Palette Feuilles de style
25
Palette Couleurs
26
Palette Contenu partagé
26
TABLE DES MATIÈRES
3
Palette Informations de défonce
27
Palette Listes
27
Palette Informations sur les profils
28
Palette Glyphes
28
Palette Hyperliens
28
Palette Index
29
Palette Calques
29
Palette Effets d’image
30
Palette PSD Import
30
Groupes de palettes et ensembles de palettes
30
Utilisation des groupes de palettes
30
Utilisation des ensembles de palettes
31
Contrôles de mise en page
32
Division d’une fenêtre
33
Projets et mises en page
Utilisation des projets
35
Options pour les mises en page papier
36
Options pour les mises en page Web
36
Enregistrement et appellation d’un
projet QuarkXPress
37
Exportation des mises en page et des projets
37
Utilisation des mises en page
37
Ressources de niveau projet et de niveau
mise en page
38
Utilisation des repères
39
Repères de colonnes et de marges
39
Repères de règle
40
Magnétisation contre les repères
41
Annulation et répétition des actions
41
|
IX
TABLE DES MATIÈRES
4
Blocs, traits et tableaux
Présentation des éléments et du contenu
42
Présentation des poignées
43
Poignées d’élément
43
Poignées d’image
43
Présentation des formes de Bézier
45
Utilisation des blocs
47
Création des blocs d’image et de texte
47
Redimensionnement des blocs
49
Modification de la forme des blocs
49
Ajout de cadres aux blocs
50
Application de couleurs aux blocs
50
Application de dégradés à des blocs
51
Fusion et division des blocs
51
Ajout de texte et d’images aux blocs
52
Modification du type d’un bloc
52
Utilisation des traits
53
Création des traits
53
Modes des lignes droites
54
Redimensionnement des traits
54
Modification de la forme des traits
55
Contrôle de l’apparence des traits
55
Jonction des traits
55
Manipulation des éléments
56
Sélection des éléments
56
Déplacement des éléments
56
Couper, copier et coller des éléments
57
Contrôle de l’ordre de superposition des éléments 57
X
|
Groupement des éléments
58
Duplication des éléments
59
TABLE DES MATIÈRES
Espacement et alignement des éléments
59
Rotation des éléments
60
Inclinaison des éléments
60
Verrouillage et déverrouillage des éléments
60
Ancrage d’éléments et de groupes dans du texte
61
Utilisation des tableaux
61
Tracé d’un tableau
61
Conversion de tableau en texte
62
Importation des tableaux Excel
63
Importation des graphiques Excel
65
Ajout de texte et d’images aux tableaux
65
Modification du texte d’un tableau
65
Chaînage des cellules d’un tableau
66
Formatage des tableaux
67
Formatage du quadrillage
67
Insertion et suppression des rangées et
des colonnes
68
Fusion des cellules
68
Redimensionnement manuel des tableaux,
rangées et colonnes
69
Reconversion des tableaux en texte
69
Utilisation des tableaux et des groupes
69
Continuation des tableaux à d’autres emplacements 69
Ajout de rangées d’en-tête et de pied de page
à des tableaux
5
71
Texte et typographie
Modification du texte
73
Importation et exportation de texte
74
Filtres d’importation/exportation
74
Recherche et remplacement de texte
75
Vérification de l’orthographe
76
|
XI
TABLE DES MATIÈRES
Dictionnaires auxiliaires
76
Application des attributs de caractère
77
Application d’une police
77
Sélection d’un corps de police
77
Application des styles typographiques
78
Application des couleurs, teintes et opacités
78
Application d’une échelle horizontale ou verticale
79
Application d’un décalage de ligne de base
79
Application de plusieurs attributs de caractère
80
Application des attributs de paragraphe
80
Contrôle de l’alignement
81
Contrôle de l’indentation
81
Contrôle de l’interlignage
82
Contrôle de l’espace avant et après les paragraphes 83
XII
|
Définition des tabulations
83
Contrôle des lignes veuves et orphelines
84
Contrôle de l’approche de paire
85
Approche de paire manuelle
85
Approche de paire automatique
85
Contrôle de la césure et de la justification
86
Utilisation de la césure conditionnelle
87
Contrôle de l’approche de groupe
88
Approche de groupe manuelle
88
Modification des tables d’approche de groupe
89
Utilisation de feuilles de style
89
Création et modification des feuilles de style
de paragraphe
89
Création et modification des feuilles de style
de caractères
91
Application des feuilles de style
93
Ajout des feuilles de style
93
TABLE DES MATIÈRES
Positionnement du texte dans des blocs de texte 94
Utilisation de la grille des lignes de base
94
Alignement vertical du texte
94
Sélection des retraits de texte
95
Contrôle des polices utilisées
95
Conversion de texte en blocs
95
Utilisation de l’habillage de texte
96
Habillage par le texte de tous les côtés
d’un élément
96
Habillage par le texte des lignes et des
chemins de texte
96
Habillage par le texte des blocs de texte
97
Habillage par le texte des images
97
Finition d’un chemin d’habillage
98
Modification d’un chemin d’habillage
99
Utilisation des chemins de texte
100
Création des lettrines
100
Création de filets au-dessus et au-dessous
des paragraphes
101
Utilisation des blocs ancrés
101
Ancrage des blocs et des lignes dans le texte
101
Couper, copier, coller et effacer des blocs et
des lignes ancrés
101
Désancrage des blocs et des lignes
101
Utilisation des polices OpenType
102
Application des styles OpenType
102
Utilisation des ligatures
104
Utilisation de la palette Glyphes
105
Affichage des caractères invisibles
106
Insertion de caractères spéciaux
106
Insertion d’espaces
106
Insertion d’autres caractères spéciaux
106
|
XIII
TABLE DES MATIÈRES
6
Spécification de la langue des caractères
107
Utilisation de Font Fallback
107
Importation et exportation de texte avec
des options Unicode
107
Utilisation des règles de mappage des polices
108
Grilles de conception
109
Description des grilles de conception
109
Grille de conception : notions de base
111
Configuration d’une grille de page maquette
111
Utilisation des styles de grille
117
Utilisation des grilles de conception
119
Utilisation des caractères hors justification
121
Images
Présentation des images
125
Images bitmap
125
Images orientées objet
126
Types de fichiers images pris en charge
126
Utilisation des images
127
Importation d’une image
127
Déplacement des images
128
Redimensionnement des images
128
Recadrage des images
128
Rotation et inclinaison des images
128
Application de couleurs et de teintes à des images 129
Retournement des images
129
Liste, vérification du statut et mise à jour des images 129
XIV
|
Définition des couleurs de fond des images
130
Gestion des attributs d’image
130
Utilisation des chemins de détourage
130
Création des chemins de détourage
131
TABLE DES MATIÈRES
7
Utilisation des chemins de détourage imbriqués
132
Manipulation des chemins de détourage
132
Création d’effets spéciaux à l’aide de chemins
de détourage
133
Utilisation des masques alpha
133
Utilisation des images PSD
134
Préparation des fichiers PSD
134
Utilisation des calques PSD
135
Affichage et masquage des calques Photoshop
135
Utilisation des couches PSD
136
Utilisation des chemins PSD
137
Impression avec PSD Import
138
Utilisation des effets d’image
138
Utilisation des effets d’image
139
Effets d’image : filtres
139
Effets d’image : ajustements
141
Enregistrement et chargement des présélections
d’effets d’image
143
Révision de l’utilisation des effets d’image
143
Enregistrement des fichiers images
143
Couleur, opacité et ombres portées
Présentation de la couleur
145
Présentation des couleurs de séparation et
d’accompagnement
145
Définition des couleurs de systèmes de synthèse
146
Utilisation des couleurs
146
Palette Couleurs
146
Boîte de dialogue Couleurs
147
Création d’une couleur
147
Modification d’une couleur
148
Duplication d’une couleur
149
|
XV
TABLE DES MATIÈRES
XVI
|
Suppression d’une couleur
149
Importation des couleurs à partir d’un autre
article ou projet
149
Remplacement de toutes les occurrences
d’une couleur par une autre couleur
149
Application des couleurs, des teintes et
des dégradés
149
Application des couleurs et des teintes au texte
150
Application d’une couleur et d’une teinte aux traits
150
Utilisation de l’opacité
151
Définition de l’opacité
151
Définition de l’opacité pour les groupes
151
Création des dégradés avec transparence
152
Gestion de la couleur
152
Paramétrages source et de sortie
152
Gestion de la couleur vécue par les utilisateurs
152
Utilisation des paramétrages source et de sortie
d’un expert de la couleur
153
Utilisation d’un environnement de gestion de la
couleur patrimonial
154
Vérification de la couleur à l’écran
(révision à l’écran)
155
Gestion de la couleur pour les spécialistes
156
Création d’un paramétrage source
156
Création d’un paramétrage de sortie
156
Gestion des profils
158
Utilisation des ombres portées
159
Application des ombres portées
159
Personnalisation des ombres portées
160
Intégration des ombres portées aux éléments
160
TABLE DES MATIÈRES
8
Construction des documents
Utilisation des calques
161
Présentation des calques
162
Création des calques
163
Sélection des calques
163
Affichage et masquage des calques
163
Identification du calque sur lequel un élément
est placé
164
Suppression des calques
165
Modification des options de calque
165
Déplacement des éléments sur un calque différent 166
Modification de l’ordre de superposition
des calques
166
Calques et habillage de texte
167
Duplication des calques
167
Fusion des calques
168
Verrouillage des éléments sur des calques
168
Utilisation des pages maquette avec les calques
169
Annulation de l’impression des calques
169
Utilisation des listes
170
Préparation des listes
170
Ajout des feuilles de style dans une liste
170
Définition des niveaux de liste
170
Création d’une liste
171
Importation des listes à partir d’un autre document 171
Navigation dans les listes
171
Génération des listes
172
Mise à jour des listes
172
Utilisation des listes dans les livres
173
Utilisation des index
174
Définition de la couleur des indicateurs d’index
174
|
XVII
TABLE DES MATIÈRES
9
XVIII
|
Création des entrées d’index
175
Création des références croisées
177
Modification d’une entrée d’index
178
Suppression d’une entrée d’index
179
Définition de la ponctuation d’un index
179
Génération d’un index
180
Modification des index finals
181
Utilisation des livres
182
Création des livres
183
Utilisation des chapitres
184
Contrôle de la numérotation des pages
186
Synchronisation des chapitres
187
Impression des chapitres
189
Création des index et des tables des matières
pour les livres
189
Utilisation des bibliothèques
190
Création des bibliothèques
191
Ajout d’entrées à une bibliothèque
191
Récupération des entrées de bibliothèque
192
Traitement des entrées de bibliothèque
192
Utilisation des étiquettes
193
Enregistrement des bibliothèques
194
Sortie
Impression des mises en page
195
Mise à jour des chemins d’accès aux images
195
Paramétrage des contrôles de la boîte de
dialogue Imprimer
196
Boîte de dialogue Imprimer
197
Exportation des mises en page
207
Exportation d’une mise en page au format EPS
207
Exportation d’une mise en page au format PDF
208
TABLE DES MATIÈRES
10
Création d’un fichier PostScript
210
Utilisation de la fonction Rassembler les
informations pour la sortie
210
Utilisation des styles de sortie
211
Utilisation de la défonce
212
Présentation de la défonce
212
Défonce des images EPS
214
Création et utilisation de la couleur Noir riche
214
Problèmes d’aplanissement et de production
215
Collaboration et source unique
Utilisation du contenu partagé
216
Partage et synchronisation de contenu
218
Fonctionnement des options de synchronisation
219
Synchronisation de contenu verrouillé
220
Placement d’un élément synchronisé
220
Placement de contenu synchronisé
220
Importation de contenu dans la bibliothèque de
contenu partagé
220
Utilisation de la fonction Composition Zones
221
Présentation de Composition Zones
222
Création d’un élément Composition Zones
227
Placement d’un élément Composition Zones
229
Partage d’une mise en page de composition
232
Utilisation de la boîte de dialogue
Paramétrage collaboration
240
Liaison avec d’autres projets
240
Affichage d’informations sur les mises en
page de composition pouvant être liées
241
Importation et gestion de contenu partagé
242
Définition d’options de mise à jour
242
|
XIX
TABLE DES MATIÈRES
11
XX
|
Mises en page interactives
Mises en page interactives
243
Création des éléments de base
252
Création d’une mise en page Présentation
252
Création d’un objet
253
Configuration d’un objet SWF
254
Configuration d’un objet Vidéo
255
Utilisation des objets Animation
257
Utilisation des objets Bouton
262
Mises en page Séquence d’images, mises en
page Bouton et contenu partagé
266
Utilisation des menus
267
Configuration d’un objet Fenêtre
270
Configuration d’un objet Bloc de texte
271
Utilisation des transitions
272
Utilisation des pages dans les mises en
page interactives
274
Utilisation des commandes clavier
276
Configuration des préférences interactives
277
Utilisation des actions
278
Affectation des actions
278
Description des actions
278
Utilisation des événements
289
Choix d’un événement utilisateur
289
Configuration des événements utilisateur
290
Utilisation des scripts
291
Création d’un script
291
Utilisation des instructions conditionnelles
292
Exécution d’un script
295
Exportation et importation des scripts
296
TABLE DES MATIÈRES
12
Prévisualisation et exportation des mises
en page interactives
296
Prévisualisation d’une mise en page Présentation
296
Vérification de l’utilisation d’un objet interactif
297
Exportation d’une mise en page Présentation
297
Utilisation des expressions
299
Expressions
299
Utilisation de la boîte de dialogue
Éditeur expressions
303
Job Jackets
Présentation de la fonction Job Jackets
306
Description des fichiers Job Jackets
(dossiers de fabrication)
307
Structure Job Jackets
307
Exemple de flux de travail Job Jackets
312
Utilisation de Job Jackets
313
Modes de base et avancé
313
Création des fichiers Job Jackets
314
Utilisation des bons de travail
318
Création d’un gabarit de bon de travail
318
Ajout d’une définition de mise en page à un
bon de travail : mode avancé
323
Application d’un gabarit de bon de travail
à un projet
324
Application d’une définition de mise en page
à un projet
327
Collaboration via des dossiers de fabrication
Job Jackets partagés
328
Exportation et importation des bons de travail
330
Fichier Job Jackets par défaut
331
Modification du gabarit de bon de travail
par défaut : menu Fichier
332
|
XXI
TABLE DES MATIÈRES
Modification du gabarit de bon de travail
par défaut : menu Utilitaires
332
Modification du fichier Job Jackets par défaut
333
Utilisation des ressources : mode avancé
333
Accès aux ressources : mode avancé
333
Configuration des ressources : mode avancé
334
Définition de l’emplacement des ressources :
mode avancé
335
Utilisation des spécifications de mise en page
336
Création d’une spécification de mise en page :
mode avancé
336
Application d’une spécification à une mise en page 337
13
XXII
|
Utilisation des spécifications de sortie
338
Création d’une spécification de sortie :
mode avancé
339
Application d’une spécification de sortie à
une mise en page
339
Utilisation des spécifications de sortie avec
un travail de sortie
341
Utilisation des règles et des jeux de règles
342
Création des règles : mode avancé
342
Ajout de règles à un jeu de règles : mode avancé
344
Application d’un jeu de règles à une mise en page
345
Évaluation d’une mise en page
347
Verrouillage des dossiers Job Jackets
349
Impression avec sortie JDF
350
Mises en page Web
Utilisation des mises en page Web
351
Création d’une mise en page Web
351
Blocs de texte dans des mises en page Web
353
Éléments graphiques des mises en page Web
355
Conversion en et à partir de mises en page Web
356
TABLE DES MATIÈRES
Restrictions des mises en page Web
357
Hyperliens
358
Destinations
358
Ancres
359
Cibles
359
Création d’une destination
360
Création d’une ancre
360
Création d’un hyperlien à l’aide d’une
destination existante
361
Création d’un hyperlien à partir de rien
361
Affichage des liens dans la palette Hyperliens
362
Formatage des hyperliens
362
Modification et suppression des destinations
362
Modification et suppression des ancres
362
Modification et suppression des hyperliens
363
Navigation à l’aide de la palette Hyperliens
363
Rollovers
363
Création d’un rollover simple
364
Modification et suppression des rollovers simples 364
Création d’un rollover à deux positions
364
Passage d’une image rollover à une autre dans
la mise en page
365
Suppression d’une cible d’un bloc de rollover
à deux positions
365
Séparation d’un rollover à deux positions
366
Images cliquables
366
Création d’une image cliquable
366
Modification d’une image cliquable
367
Formulaires
367
Création d’un bloc de formulaire
368
Ajout d’un contrôle de type texte, mot de
passe ou champ masqué
369
|
XXIII
TABLE DES MATIÈRES
14
15
XXIV
|
Ajout d’un contrôle de type bouton
370
Ajout d’un contrôle de type bouton d’image
370
Ajout de contrôles de types menu local et liste
371
Ajout d’un groupe de contrôles de type
bouton radio
371
Ajout d’un contrôle de type case à cocher
372
Ajout d’un contrôle de type envoi de fichier
373
Menus
373
Utilisation des menus standard
373
Utilisation des menus en cascade
375
Tableaux dans les mises en page Web
378
Balises Méta
379
Création d’un jeu de balises Méta
379
Définition d’un jeu de balises Méta pour une
page Web
380
Prévisualisation des pages Web
380
Définition de navigateurs supplémentaires
pour la prévisualisation
381
Exportation des pages Web
381
Préparation de l’exportation
381
Exportation d’une page Web
382
Travail en plusieurs langues
Application d’une langue de caractère
384
Modification de la langue du programme
385
Logiciels XTensions
Utilisation des modules XTensions
386
Installation des modules XTensions
386
Activation et désactivation des logiciels XTensions
386
Utilisation des groupes de modules XTensions
387
Logiciel Custom Bleeds XTensions
387
Utilisation de Custom Bleeds
388
TABLE DES MATIÈRES
Utilisation de l’option Détourer au bord du
fond perdu
388
Logiciel DejaVu XTensions
389
Logiciel Drop Shadow XTensions
389
Logiciel Full Resolution Preview XTensions
391
Logiciel Guide Manager Pro XTensions
392
Utilisation de la palette Repères
392
Menu de la palette Repères
393
Création de repères avec Guide Manager Pro
395
Création de grilles avec Guide Manager Pro
396
Création de rangées et de colonnes
397
Création des repères de fond perdu et de sécurité
397
Logiciel HTML Text Import XTensions
399
Logiciel Item Find/Change XTensions
399
Logiciel ItemStyles XTensions
401
Utilisation de la palette Styles d’élément
401
Création de styles d’élément
402
Vérification de l’usage des styles d’élément
403
Logiciel OPI XTensions
404
Désignation d’une image importée pour
substitution OPI
404
Activation de la fonction OPI pour une
mise en page
405
Création des commentaires OPI pour les
formats d’impression, EPS et PDF
405
Logiciel PDF Filter XTensions
405
Importation d’un fichier PDF dans un bloc d’image 406
Logiciel Scissors XTensions
406
Logiciel Script XTensions
407
Sous-menu Box Tools
407
Sous-menu Grid
408
Sous-menu Images
408
|
XXV
TABLE DES MATIÈRES
16
XXVI
|
Sous-menu Picture Box
408
Sous-menu Printing
409
Sous-menu Saving
409
Sous-menu Special
409
Sous-menu Stories
409
Sous-menu Tables
410
Sous-menu Typography
410
Logiciel Shape of Things XTensions
410
Utilisation de l’outil Bloc étoile
410
Logiciel Super Step and Repeat XTensions
411
Utilisation de Super Step and Repeat
411
Logiciel Table Import XTensions
412
Type Tricks
413
Faire fraction
413
Faire prix
413
Approche de groupe intermots
413
Contrôler lignes
414
Soulignement personnalisé
415
Word 6–2000 Filter
415
WordPerfect Filter
415
Logiciel XSLT Export XTensions
416
Autres modules XTensions
416
Préférences
Présentation des préférences
418
Alerte Préférences différentes
418
Modifications apportées aux
préférences QuarkXPress
419
Contenu des fichiers de préférences
420
Préférences pour l’application
421
Préférences — Application — Affichage
421
TABLE DES MATIÈRES
Préférences — Application — Paramètres de saisie
422
Préférences — Application — Police
de remplacement
423
Préférences — Application — Annulation
424
Préférences — Application — Ouvrir et Enregistrer
424
Préférences — Application —
Gestionnaire d’XTensions
425
Préférences — Application — Partage
425
Préférences — Application — Polices
425
Préférences — Application — Liste de fichiers
426
Préférences — Application — Chemin par défaut
426
Préférences — Application — EPS
426
Préférences — Application — Prévisualisation
pleine résolution
426
Préférences — Application — Navigateurs
427
Préférences — Application — Index
427
Préférences — Application — Job Jackets
428
Préférences — Application — PDF
429
Préférences — Application — PSD Import
429
Préférences — Application — Indicateurs
de position
430
Préférences — Application — SpellCheck
430
Préférences — Application — Fraction/Prix
430
Préférences — Application — Effets d’image
431
Préférences pour un projet
431
Préférences — Projet — Générales
431
Préférences pour la mise en page
432
Préférences — Mise en page — Générales
432
Préférences — Mise en page — Mesures
434
Préférences — Mise en page — Paragraphe
434
Préférences — Mise en page — Caractère
436
Préférences — Mise en page — Outils
438
|
XXVII
TABLE DES MATIÈRES
XXVIII
|
Préférences — Mise en page — Défonce
438
Préférences — Mise en page — Repères et grille
440
Préférences — Mise en page — Gestionnaire
des couleurs
440
Préférences — Mise en page — Calques
441
Préférences — Mise en page — Présentation
442
Préférences — Mise en page — SWF
442
PRINCIPES DE DÉPART
Chapitre 1 :
À propos de ce guide
Vous n’avez pas besoin de lire la documentation QuarkXPress de bout en bout.
Utilisez plutôt ce guide pour consulter rapidement des informations sur un
sujet donné, puis reprendre votre travail.
PRINCIPES DE DÉPART
Lors de la rédaction de ce guide, nous sommes partis du principe que vous
maîtrisez votre ordinateur et que vous savez :
• lancer une application ;
• ouvrir, enregistrer et fermer des fichiers ;
• utiliser des menus, des boîtes de dialogue et des palettes ;
• travailler dans un environnement informatique en réseau ;
• utiliser la souris, les commandes clavier et les touches de modification.
Si vous avez besoin d’aide dans ces domaines, veuillez consulter la
documentation fournie avec votre ordinateur ou toute autre ressource.
OÙ TROUVER DE L’AIDE
Si vous ne connaissez pas encore QuarkXPress ou si vous souhaitez en savoir
plus sur d’autres fonctions plus anciennes, consultez les ressources suivantes :
• Guide QuarkXPress
• Aide QuarkXPress
• Livres tiers
• Livres généraux sur la PAO
Si vos questions concernent le système (enregistrement et déplacement de
fichiers, activation de polices, par exemple), consultez la documentation
fournie avec votre ordinateur.
CHAPITRE 1 : À PROPOS DE CE GUIDE
|
1
CONVENTIONS
CONVENTIONS
Les conventions de formatage mettent en évidence les informations pour vous
aider à trouver rapidement ce dont vous avez besoin.
• Caractères gras : le nom des boîtes de dialogue, des champs et autres contrôles
apparaît en gras. Exemple : Cliquez sur OK.
• Références : dans les descriptions de fonctions, les références entre parenthèses
vous permettent d’accéder à ces fonctions. Exemple : La boîte de dialogue
Modifier (menu Bloc) permet de formater des éléments.
• Flèches : des flèches sont souvent utilisées (>) pour détailler le chemin du menu
d’une fonction. Exemple : Choisissez Bloc > Modifier > Texte pour accéder au
champ Colonnes.
• Icônes : même si de nombreux outils et boutons sont appelés par leurs noms,
visibles dans les astuces outils, dans certains cas, des icônes sont affichées
pour une identification aisée. Exemple : Cliquez sur le bouton
dans la
palette Spécifications pour centrer le texte.
• Problèmes de différences entre les plates-formes : QuarkXPress est assez cohérent
d’un système d’exploitation à un autre. Toutefois, certains libellés, boutons,
combinaisons de touches et autres aspects de QuarkXPress sont différents dans
Mac OS et dans Windows en raison des conventions d’interface utilisateur ou
d’autres facteurs. Dans de tels cas, les versions Mac OS et Windows sont séparées
par une barre oblique, la version Mac OS apparaissant en premier. Par exemple,
si un bouton est libellé Sélectionner dans la version Mac OS et Parcourir dans
la version Windows, l’instruction indique : Cliquez sur Sélectionner/Parcourir.
D’autres différences plus complexes sont mentionnées dans des remarques ou
entre parenthèses.
NOTE CONCERNANT LA TECHNOLOGIE
Quark a développé QuarkXPress pour Mac OS® et Windows® afin de permettre
aux éditeurs de contrôler la typographie, la couleur et la collaboration. Outre
des contrôles typographiques uniques, QuarkXPress offre une gestion complète
des polices avec une prise en charge de TrueType®, OpenType® et Unicode®.
Les graphistes peuvent utiliser PANTONE (PANTONE MATCHING SYSTEM®),
Hexachrome®, Trumatch®, Focoltone®, DIC® et Toyo pour ajouter de la couleur
aux mises en page.
QuarkXPress sert de concentrateur pour les environnements de publication
collaborative car il permet d’importer et d’exporter du contenu dans divers
formats de fichier, et de partager des composants de conception avec d’autres
utilisateurs. Vous pouvez importer des fichiers d’applications telles que
Microsoft® Word, Microsoft Excel®, WordPerfect®, Adobe® Illustrator® et Adobe
Photoshop®. Vous pouvez produire du contenu en PostScript® ou au format
2
|
CHAPITRE 1 : À PROPOS DE CE GUIDE
NOTE CONCERNANT LA TECHNOLOGIE
PDF pour Adobe Acrobat® Reader®. Vous pouvez également exporter des
fichiers à consulter dans QuickTime®, Internet Explorer®, Safari™, Firefox® et
Netscape Navigator®. Avec Quark Interactive Designer™, vous pouvez exporter
des mises en page au format Flash®. Grâce à des fonctions comme Job Jackets®
et Composition Zones®, vous vous assurez que plusieurs utilisateurs partagent
des spécifications afin de produire des publications homogènes, bien qu’ils
travaillent simultanément sur une même publication.
L’architecture du logiciel QuarkXPress vous permet à vous et aux développeurs de logiciels d’étendre votre capacité éditoriale. Grâce à la technologie
des logiciels XTensions®, des développeurs tiers peuvent créer des modules
personnalisés pour QuarkXPress. Les modules QuarkXTensions® (logiciels
XTensions de Quark®) fournissent également une approche modulaire pour
répondre à vos besoins éditoriaux particuliers. Et si vous écrivez des scripts
AppleScript®, vous pouvez utiliser ce langage de script d’Apple® pour
automatiser de nombreuses activités QuarkXPress.
CHAPITRE 1 : À PROPOS DE CE GUIDE
|
3
OUTILS
Chapitre 2 : Interface utilisateur
En parcourant l’interface utilisateur de QuarkXPress, vous vous rendrez compte
que de nombreuses commandes sont familières ou explicites. Une fois habitué aux menus et boîtes de dialogue de QuarkXPress, vous découvrirez que les
commandes clavier et palettes offrent un accès pratique aux fonctionnalités
également disponibles par le biais des menus.
OUTILS
Palette Outils
La palette Outils comprend les contrôles suivants :
• Utilisez l’outil Déplacement pour sélectionner, déplacer, redimensionner
et transformer des éléments (blocs, traits, chemins de texte et groupes). Lorsque
l’outil Déplacement n’est pas sélectionné, vous pouvez y accéder provisoirement
en appuyant sur Pomme/Ctrl.
• Utilisez l’outil Modification de texte
manipuler leur contenu.
pour tracer des blocs de texte et
• Utilisez l’outil Modification d’image
manipuler leur contenu.
pour tracer des blocs d’image et
• Utilisez l’outil Chaînage
pour chaîner des blocs de texte.
• Utilisez l’outil Séparation
pour séparer des blocs de texte.
• Utilisez l’outil Bloc rectangulaire pour créer un bloc rectangulaire. Pour
tracer un bloc carré, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée
pendant le tracé.
4
|
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
OUTILS
• Utilisez l’outil Bloc ovale pour créer un bloc ovale. Pour tracer un bloc
circulaire, appuyez sur la touche Maj et maintenez-la enfoncée pendant
le tracé.
• Utilisez l’outil Composition Zones pour créer un bloc Composition Zones.
• Utilisez l’outil Bloc étoile
pour créer un bloc en forme d’étoile.
• Utilisez l’outil Trait pour créer des diagonales de n’importe quel angle.
Pour contraindre un angle de trait à 45 degrés, appuyez sur la touche Maj et
maintenez-la enfoncée pendant le tracé.
• Utilisez l’outil de Bézier pour créer des traits et des blocs de Bézier. Pour
contraindre un angle de trait à 45 degrés, appuyez sur la touche Maj et
maintenez-la enfoncée pendant le tracé.
• Utilisez l’outil Ajouter point pour ajouter un point à n’importe quel type de
chemin. L’ajout d’un point à un bloc de contenu transforme automatiquement
ce dernier en élément de Bézier.
• Utilisez l’outil Retirer point
de chemin.
pour retirer un point de n’importe quel type
• Utilisez l’outil Convertir point pour convertir automatiquement des
points angulaires en points courbes, et vice-versa. Cliquez et faites glisser
pour modifier la position d’un point, la courbe d’un segment de courbe ou
la position d’un segment de ligne droite. Sélectionnez cet outil et cliquez sur
un bloc rectangulaire ou une ligne droite pour convertir l’élément en bloc ou
trait de Bézier.
• Utilisez l’outil Ciseaux
pour couper un élément en chemins distincts.
• Utilisez l’outil Sélection de point
pour sélectionner des courbes ou des
points afin de les déplacer ou de les supprimer. Appuyez sur Maj et cliquez
pour sélectionner plusieurs points. Appuyez sur Option/Alt et cliquez sur un
point pour le rendre symétrique.
• Utilisez l’outil Trait à main levée pour tracer un trait ou un bloc d’une
forme quelconque. Si vous ne fermez pas un bloc à main levée, il demeure
un trait. Pour fermer automatiquement un bloc à main levée, appuyez
sur Option/Alt.
• Utilisez l’outil Tableaux
• Utilisez l’outil Loupe
pour créer un tableau.
pour agrandir ou réduire la vue du document.
• Utilisez l’outil Panoramique
***
pour repositionner la mise en page active.
Après avoir tracé un bloc, sélectionnez l’outil Modification de texte ou
l’outil Modification d’image , suivant le contenu du bloc souhaité. Vous
pouvez également utiliser des commandes clavier pour déclarer le type de
contenu du bloc : appuyez sur T pendant le tracé pour déclarer un contenu
Image ou sur R pour déclarer un contenu Texte.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
|
5
OUTILS
***
Pour plus d’informations sur les blocs et les traits de Bézier, reportez-vous à
Création des blocs de Bézier et à Création des lignes de Bézier.
***
Pour ajouter du texte à un trait ou à un chemin, sélectionnez l’outil Modification
de texte et double-cliquez sur le trait ou le chemin.
***
Pour plus d’informations sur les éléments Composition Zones, reportez-vous
à Création d’un élément Composition Zones.
***
Les utilisateurs Windows peuvent afficher la palette Outils (menu Windows)
horizontalement ou verticalement. Pour afficher la palette horizontalement,
appuyez sur Ctrl et double-cliquez sur la barre de titre.
COMMANDES CLAVIER DES OUTILS
Si aucun bloc ou chemin de texte n’est actif, vous pouvez permuter rapidement
entre les outils à l’aide des commandes clavier suivantes :
• outil Déplacement : V
• outil Modification de texte : T
• outil Chaînage de texte : T
• outil Séparation de texte : T
• outil Modification d’image : R
• outil Bloc rectangulaire : B
• outil Bloc ovale : B
• outil Étoile : B
• outil Composition Zones : B
• outil Trait : L
• outil de Bézier : P
• outil Ajouter point : P
• outil Retirer point : P
• outil Convertir angle : P
• outil Ciseaux : P
• outil Sélection de point : P
6
|
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
OUTILS
• outil Trait à main levée : P
• outil Tableaux : G
• outil Loupe : Z
• outil Panoramique : X
OUTILS WEB
Palette Outils Web
La palette Outils Web (menu Fenêtre avec mise en page Web affichée)
comprend les contrôles suivants :
• Utilisez l’outil Image cliquable rectangulaire pour créer les « zones sensibles » des images cliquables rectangulaires (et accéder à d’autres outils
d’image cliquable). Les outils d’image cliquable sont disponibles lorsque le
module XTensions ImageMap est chargé.
• Utilisez l’outil Bloc de formulaire
(destiné à accueillir des contrôles).
• Utilisez l’outil Champ de saisie
• Utilisez l’outil Bouton
pour créer un bloc de formulaire
pour créer un champ de texte.
pour créer un bouton.
• Utilisez l’outil Bouton image
l’importation d’une image.
• Utilisez l’outil Menu local
• Utilisez l’outil Bloc de liste
pour créer un bouton qui permettra
pour créer un menu déroulant.
pour créer une liste.
• Utilisez l’outil Bouton radio
pour créer un bouton radio.
• Utilisez l’outil Case à cocher
pour créer une case à cocher.
• Utilisez l’outil Chaînage rollover pour lier les blocs d’origine et cible d’un
rollover à deux positions. Lorsque vous déplacez le pointeur de la souris sur le
bloc d’origine, le contenu du bloc cible apparaît.
• Utilisez l’outil Séparation rollover
d’un rollover à deux positions.
pour séparer les blocs d’origine et cible
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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MENUS
MENUS
Les rubriques ci-dessous décrivent les menus et options de menu disponibles
dans QuarkXPress.
MENU QUARKXPRESS (MAC OS UNIQUEMENT)
Le menu QuarkXPress fait partie de QuarkXPress pour Mac OS X. Il contient
les mêmes commandes que le menu du même nom des autres applications
Mac OS X. Ces commandes permettent de masquer ou d’afficher QuarkXPress
et d’autres applications, d’accéder aux préférences et de quitter QuarkXPress.
Ce menu comprend les commandes suivantes :
• À propos de QuarkXPress : utilisez cette commande pour afficher des
informations sur QuarkXPress telles que le numéro de version.
• Transférer la licence QuarkXPress : utilisez cette commande pour désactiver
QuarkXPress sur un ordinateur afin de l’activer sur un autre. Elle est disponible
uniquement lorsque QuarkXPress a été activé.
• Activer QuarkXPress : utilisez cette commande pour activer QuarkXPress
sur votre ordinateur. Elle est disponible uniquement lorsque QuarkXPress est
exécuté en mode de démonstration.
• Préférences : utilisez cette commande pour définir des paramètres par défaut
et personnaliser le fonctionnement de QuarkXPress. Pour plus d’informations,
reportez-vous à Préférences.
• Quitter QuarkXPress : utilisez cette commande pour quitter l’application.
MENU FICHIER
Le menu Fichier permet de manipuler des fichiers électroniques de différentes
manières comme la création, l’ouverture, l’impression et l’enregistrement.
Ce menu comprend les commandes suivantes :
• Créer : choisissez une option dans le sous-menu Créer pour créer un projet. Si
vous choisissez Nouveau projet du bon, vous pouvez sélectionner un bon de
travail à partir duquel créer le projet. Vous pouvez également utiliser ce
sous-menu pour créer des bibliothèques et des livres.
• Ouvrir : utilisez cette option pour ouvrir des fichiers de projet.
• Fermer : utilisez cette option pour fermer le projet actif.
• Enregistrer : utilisez cette option pour enregistrer le projet actif.
• Enregistrer sous : utilisez cette option pour enregistrer une copie du projet actif.
• Version enregistrée : utilisez cette option pour rétablir le projet actif à l’état
de son dernier enregistrement.
• Importer : utilisez cette commande pour importer du texte dans un bloc de
texte ou une image dans un bloc d’image.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
MENUS
• Enregistrer texte : utilisez cette option pour enregistrer le contenu du bloc de
texte actif comme fichier distinct.
• Enregistrer image : utilisez ce sous-menu pour enregistrer l’image sélectionnée
comme fichier distinct ou pour enregistrer toutes les images d’une mise en page
comme fichiers distincts.
• Ajouter : utilisez cette option pour ajouter des feuilles de style, des couleurs et
d’autres types de ressources provenant d’un autre fichier.
• Exporter : utilisez cette option pour exporter une mise en page dans un format
de fichier différent.
• Rassembler les informations pour la sortie : utilisez cette option pour copier
un fichier, un rapport de sortie et des ressources sélectionnées dans un dossier.
• Paramétrage collaboration : utilisez cette option pour contrôler les liaisons
de projet, partages et fréquences de mises à jour pour des ressources partagées.
• Job Jackets : utilisez ce sous-menu pour accéder aux spécifications et règles
de création et d’inspection d’une mise en page, lier un projet à un fichier Job
Jackets, modifier un bon de travail et évaluer une mise en page.
• Imprimer : utilisez cette option pour imprimer le fichier actif.
• Travail de sortie : utilisez cette option pour accéder à la spécification de sortie
d’un travail (sorte de feuille de style de sortie).
• Quitter (Windows uniquement) : utilisez cette option pour quitter l’application.
MENU ÉDITION
Le menu Édition permet de modifier du texte, d’utiliser le Presse-papiers, de
rechercher et de remplacer du texte et du formatage, de changer les valeurs
par défaut de l’application, de prédéterminer le formatage du texte, de créer
des listes et de personnaliser des procédures d’impression courantes. Ce menu
comprend les commandes suivantes :
• Annuler : annule la dernière action.
• Recommencer : rétablit une action annulée.
• Couper : coupe le contenu sélectionné.
• Copier : copie le contenu sélectionné dans le Presse-papiers.
• Coller : colle le contenu du Presse-papiers sur la page active.
• Coller même position : colle un élément dupliqué ou copié sur la page active
à sa position d’origine.
• Coller spécial (Windows uniquement) : permet de choisir le mode de collage
de l’objet dans votre document à l’aide de la fonction Microsoft Windows
OLE (Object Linking and Embedding).
• Effacer/Supprimer : supprime le contenu actif.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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MENUS
• Tout sélectionner : sélectionne tout le contenu du bloc ou du chemin de
texte actif.
• Liens (Windows uniquement) : permet de mettre à jour un objet lié.
• Objet (Windows uniquement) : permet de manipuler un objet imbriqué ou lié,
placé dans un bloc d’image sélectionné.
• Insérer objet (Windows uniquement) : permet de créer un objet à l’aide d’une
application serveur ou d’extraire un fichier existant.
• Afficher le presse-papiers : affiche le contenu du Presse-papiers.
• Rechercher/Remplacer : affiche la palette Rechercher/Remplacer qui permet
de rechercher et de modifier du texte par contenu et/ou par formatage.
• Rechercher/Remplacer : affiche et masque la palette Rechercher/Remplacer.
• Préférences (Windows uniquement) : permet de modifier les valeurs par défaut
de l’application.
• Feuilles de style : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des définitions de feuilles de style. Ces feuilles de style sont des outils qui facilitent le
formatage homogène du contenu.
• Couleurs : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des définitions
de couleurs.
• C&J : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des définitions de C&J
(césure et justification). Ces dernières permettent de contrôler la coupure
du texte.
• Listes : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des définitions de listes.
La fonction Listes est un outil de génération automatique des tables des
matières et d’autres types de contenu répertorié.
• Tirets et rayures : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des motifs de
lignes personnalisés.
• Styles de sortie : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des définitions
de styles de sortie. Les styles de sortie permettent de passer facilement d’un
ensemble d’options de sortie à un autre.
• Langue du programme (versions multilingues de QuarkXPress uniquement) :
permet de modifier la langue de l’interface utilisateur.
• Paramétrages couleur : permet d’accéder aux options des paramétrages source
et de sortie, et de les modifier.
• Styles de grille : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des motifs de
grille de conception applicables aux blocs de texte et aux pages.
• Hyperliens : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des hyperliens tels
que des URL, ancres et liens de page.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
MENUS
• Variables (mises en page interactives uniquement) : permet de définir des variables
pour des éléments interactifs.
• Menus interactifs (mises en page interactives uniquement) : permet de créer des
menus pour des mises en page interactives.
• Styles de soulignement : permet d’accéder à des styles de soulignés et de
les modifier.
• Menus (mise en page Web uniquement) : permet de créer et de gérer des listes,
des menus de navigation par exemple, utilisées dans des mises en page Web.
• Balises méta (mise en page Web uniquement) : permet de créer, de modifier et
d’accéder à des métadonnées, comme des mots-clés et des descriptions, fournissant des informations concernant la page pour les moteurs de recherche et
d’autres utilisations.
• Familles de polices CSS (mise en page Web uniquement) : permet de créer des
familles de polices pour les feuilles de style en cascade (CSS) et de déterminer
les polices à utiliser pour l’affichage de votre page Web si l’utilisateur ne
dispose pas de la police d’origine.
• Menus en cascade (mise en page Web uniquement) : permet de créer une liste
hiérarchique d’éléments qui s’affiche lorsque l’utilisateur final passe le pointeur de la souris sur un objet. Ceci simplifie la conception Web en masquant
les options de menu jusqu’à ce que le pointeur de la souris passe sur un
élément particulier.
• Styles d’élément : permet d’ajouter, de modifier et de supprimer des définitions applicables à des éléments QuarkXPress avec la palette Styles d’élément
(menu Fenêtre).
MENU STYLE
Le menu Style change selon l’élément actif : un bloc de texte ou d’image,
ou un trait.
MENU STYLE ASSOCIÉ AU TEXTE
Le menu Style comporte des commandes de définition d’attributs de caractères
et de formats de paragraphes. Ce menu comprend les commandes suivantes :
• Police : permet de changer la police du texte sélectionné.
• Corps : permet de changer la taille du texte sélectionné.
• Style : permet d’appliquer des styles typographiques, tels que le gras, l’italique
et le souligné au texte sélectionné.
• Changer la casse : permet de changer la casse du texte sélectionné en
majuscules, minuscules ou casse du titre.
• Couleur : permet de changer la couleur du texte sélectionné.
• Teinte : permet de définir la teinte d’une couleur appliquée.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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MENUS
• Opacité : permet de contrôler la transparence du texte sélectionné.
• Échelle horizontale/verticale : permet d’étirer le texte sélectionné
horizontalement ou verticalement.
• Approche de paire/groupe : lorsque le point d’insertion de texte se trouve
entre deux caractères, la commande Approche de paire permet de contrôler
l’espacement de ces caractères. Lorsque du texte est sélectionné, la commande
Approche de groupe permet de contrôler l’espacement de tous les
caractères sélectionnés.
• Décalage ligne de base : permet de faire monter ou descendre du texte par
rapport à la ligne de base sans changer l’espacement des lignes.
• Caractère : affiche la boîte de dialogue Attributs de caractères qui permet de
contrôler tous les aspects du formatage des caractères du texte sélectionné.
• Feuilles de style de caractères : permet d’appliquer des feuilles de style de
caractères au texte sélectionné.
• Convertir texte en bloc : permet de convertir du texte en bloc d’image de
Bézier de la forme des caractères sélectionnés.
• Alignement : permet d’aligner les paragraphes actifs sur la gauche, la droite
ou le centre. Permet également de justifier les paragraphes sélectionnés ou de
forcer leur justification.
• Interlignage : permet de changer l’espacement des lignes des
paragraphes sélectionnés.
• Formats : affiche la boîte de dialogue Attributs de caractères qui permet de
contrôler tous les aspects du formatage des paragraphes du texte sélectionné.
• Tabulations : permet de définir des taquets de tabulation pour les
paragraphes sélectionnés.
• Filets : permet de créer des lignes automatiques au-dessus et au-dessous des
paragraphes sélectionnés.
• Feuilles de style de paragraphe : permet d’appliquer des feuilles de style de
paragraphe au texte sélectionné.
• Mettre à jour la feuille de style : permet de mettre à jour une définition de
feuille de style de caractères ou de paragraphe en fonction de modifications
locales apportées à la feuille de style appliquée.
• Retourner horizontalement : permet de retourner le texte sélectionné
horizontalement.
• Retourner verticalement : permet de retourner le texte sélectionné
verticalement.
• Hyperlien : permet de modifier et d’appliquer un hyperlien, un lien de page
ou une ancre au texte sélectionné.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
MENUS
• Ancre : permet de créer ou de modifier une ancre pour le texte sélectionné.
• Styles de soulignement : permet de modifier et d’appliquer un style de
soulignement au texte sélectionné.
MENU STYLE ASSOCIÉ AUX IMAGES
Le menu Style pour les images comporte des commandes de formatage et de
modification des images. Ce menu comprend les commandes suivantes :
• Couleur : applique une couleur à une image à niveaux de gris ou un
bit sélectionnée.
• Teinte : permet de définir l’intensité d’une couleur appliquée.
• Opacité : permet de contrôler la transparence d’une image sélectionnée.
• Inverser/Négatif : applique un effet négatif ou inverse à une image sélectionnée.
La commande s’appelle Négatif lorsque vous sélectionnez une image CMJN.
• Demi-teintes : permet d’appliquer un motif de trame de demi-teintes à une
image à niveaux de gris sélectionnée.
• Retourner horizontalement : retourne l’image sélectionnée horizontalement.
• Retourner verticalement : retourne l’image sélectionnée verticalement.
• Centrer l’image : permet de centrer l’image sélectionnée dans son bloc.
• Étirer l’image dans le bloc : réduit ou agrandit l’image sélectionnée
horizontalement et verticalement pour remplir son bloc.
• Mettre l’image à l’échelle du bloc : réduit ou agrandit l’image sélectionnée
de manière proportionnelle pour remplir son bloc.
• Adapter le bloc aux dimensions de l’image : réduit ou agrandit le bloc pour
accommoder la taille de l’image sélectionnée.
• Hyperlien : permet de modifier et d’appliquer un hyperlien, un lien de page
ou une ancre à une image ou à un bloc sélectionné.
• Ancre : permet de créer ou de modifier une ancre pour une image ou un
bloc sélectionné.
• Effets d’image : affiche un sous-menu qui permet d’appliquer des ajustements
et des filtres à l’image sélectionnée.
MENU STYLE POUR LES TRAITS
Le menu Styles pour les traits comprend les commandes suivantes :
• Style de trait : permet d’appliquer un style à la ligne sélectionnée.
• Flèches : permet d’appliquer un style de flèche à la ligne sélectionnée.
• Épaisseur : permet d’ajuster l’épaisseur d’une ligne sélectionnée.
• Couleur : permet de changer la couleur d’une ligne sélectionnée.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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MENUS
• Teinte : permet de définir l’intensité d’une couleur appliquée.
• Opacité : permet de contrôler la transparence d’une ligne sélectionnée.
• Hyperlien : permet de modifier et d’appliquer un hyperlien, un lien de page
ou une ancre à une ligne sélectionnée.
• Ancre : permet de créer ou de modifier l’ancre d’une ligne sélectionnée.
MENU BLOC
Le menu Bloc comporte des commandes pour contrôler notamment des
attributs, positions, regroupement et partage de blocs.
• Modifier : permet d’accéder à un ensemble complet de contrôles tels que
couleur, teinte, position, taille, cadre, habillage, chemin de détourage, etc.
pour un bloc.
• Cadre : permet de définir des attributs de cadre tels que l’épaisseur, le style,
la couleur et l’opacité pour un bloc.
• Habillage : permet de définir si le texte s’écoule à l’intérieur, à l’extérieur ou à
travers une image ou son bloc d’image.
• Détourage : permet de sélectionner le type de détourage d’un bloc particulier
et de contrôler sa réserve extérieure.
• Dupliquer : permet de créer une copie d’un bloc et de son contenu.
• Dupliquer et déplacer : permet de dupliquer un bloc actif plusieurs fois et
dans la position que vous définissez.
• Super Step and Repeat : permet de dupliquer plusieurs fois un bloc actif et
de définir l’échelle, la rotation et l’ombre des copies.
• Supprimer : permet de supprimer un bloc sélectionné et son contenu.
• Grouper : permet de combiner en un groupe deux éléments actifs (traits, blocs,
chemins de texte ou autres groupes) au moins.
• Dégrouper : permet de décomposer un groupe en ses éléments ou groupes.
• Contraindre : permet de restreindre un élément afin de l’empêcher de dépasser
les limites du bloc qui le contient.
• Verrouiller : permet d’interdire des changements accidentels aux blocs et à
leur contenu en verrouillant leur position ou contenu.
• Fusionner : permet de fusionner des blocs sélectionnés de différentes façons.
• Diviser : permet de diviser des blocs sans zones de recouvrement, des blocs
contenant des figures à l’intérieur d’autres figures ou des blocs dont les
contours s’entrecroisent (comme le chiffre 8).
• Éloigner (Windows uniquement) : recule un élément d’un niveau sur la page
ou dans l’ordre de superposition des calques.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
MENUS
• Arrière-plan : place un élément à l’arrière de la page ou du calque. Sous Mac OS,
appuyez sur la touche Option avant de choisir Arrière-plan pour accéder à la
commande Éloigner.
• Rapprocher (Windows uniquement) : avance un élément d’un niveau sur la
page ou dans l’ordre de superposition des calques.
• Premier plan : place un élément à l’avant de la page ou du calque. Sous
Mac OS, appuyez sur la touche Option avant de choisir Premier plan pour
accéder à la commande Rapprocher.
• Espacer/Aligner : permet de positionner les éléments sélectionnés à distance
égale entre eux ou par rapport à la page ou à la planche.
• Forme : permet de modifier la forme d’un élément actif.
• Contenu : permet de modifier le type de contenu d’un élément.
• Éditer : permet de modifier la forme, l’habillage ou le chemin de détourage
d’un élément.
• Partager : permet d’accéder aux propriétés de partage d’un élément et de synchroniser ou de réutiliser du contenu tel que du texte, des images, des blocs,
des traits et des éléments Composition Zones.
• Désynchroniser : supprimer la synchronisation d’une instance particulière de
l’élément sans affecter les autres occurrences de ce dernier (ou les attributs
de synchronisation).
• Type de point/segment : permet de modifier le type de point ou de segment
d’un élément afin de manipuler des points, des poignées de courbe et des
segments linéaires.
• Ombre portée : permet d’appliquer ou de modifier l’ombre portée d’un élément.
• Composition Zones : permet de créer ou de modifier des éléments
Composition Zones.
• Prévisualisation résolution : permet d’afficher la prévisualisation d’une image
en résolution pleine ou basse.
• Supprimer toutes zones sensibles (mises en page Web uniquement) : supprime
les désignations d’image cliquable servant d’hyperliens.
• Menu en cascade (mises en page Web uniquement) : permet d’appliquer un menu
en cascade à un élément qui doit être exporté en tant qu’image.
• Rollover simple (mises en page Web uniquement) : permet d’appliquer un rollover simple à un élément afin que l’image change lorsque le pointeur de la
souris se trouve sur son bloc.
• Rollovers à deux positions (mises en page Web uniquement) : permet d’appliquer un rollover à deux positions à un élément afin que l’image d’un ou de
plusieurs blocs change lorsque le pointeur de la souris se trouve sur son bloc.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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MENUS
MENU PAGE
Le menu Page comporte des commandes pour insérer, supprimer et déplacer
des pages ; manipuler des repères, grilles et sections ; passer d’une page à
l’autre, etc.
• Insérer : permet d’ajouter de nouvelles pages.
• Supprimer : permet de supprimer des pages.
• Déplacer : permet de placer une page à un emplacement différent.
• Repères et grille de maquette : permet de modifier la position des repères de
page et des grilles de conception sur les pages maquette.
• Propriétés de la page (mises en pages Web uniquement) : permet de modifier
les propriétés de page d’une mise en page Web.
• Section : permet de changer le système de numérotation d’une mise en page
ou d’une série de pages dans une mise en page.
• Précédente : affiche la page précédente.
• Suivante : affiche la page suivante.
• Première : affiche la première page.
• Dernière : affiche la dernière page.
• Aller à : permet d’afficher une page particulière.
• Afficher : permet d’afficher une page ou une page maquette.
• Prévisualisation HTML (mises en page Web uniquement) : génère un aperçu en
HTML et l’affiche dans un navigateur Web.
• Prévisualisation SWF (mises en page interactives uniquement) : génère un aperçu
et l’affiche dans un navigateur Web.
MENU MISE EN PAGE
Le menu Mise en page comporte des commandes pour l’utilisation et la
consultation des mises en page.
• Créer : permet d’ajouter une nouvelle mise en page.
• Dupliquer : permet de dupliquer une mise en page pour copier ses éléments
et contenu dans une autre.
• Supprimer : permet de supprimer une mise en page.
• Créer/Modifier la spécification de mise en page : permet de créer ou de
modifier des propriétés Job Jackets pour une mise en page.
• Propriétés de mise en page : permet de modifier des propriétés de mise en
page telles que les nom, type et taille.
• Propriétés de mise en page avancées : permet de modifier le partage des
propriétés d’une mise en page.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
MENUS
• Précédente : active l’onglet de la mise en page qui était sélectionnée avant la
mise en page actuelle.
• Suivante : active l’onglet de la mise en page placée immédiatement à droite
de la mise en page active.
• Première : active l’onglet de la mise en page la plus à gauche.
• Dernière : active l’onglet de la mise en page la plus à droite.
• Aller à : permet d’activer une mise en page particulière, puis de choisir cette
mise en page dans le sous-menu.
MENU TABLEAU
Le menu Tableau comporte des commandes permettant d’ajouter des rangées
et des colonnes aux tableaux, de modifier les attributs d’un tableau, de convertir
des tableaux, etc.
• Insérer : permet d’ajouter une rangée ou une colonne à un tableau.
• Sélectionner : permet de sélectionner une série de rangées et de colonnes ou
d’autres éléments de tableau. Ceci facilite l’application d’un formatage alterné,
ombrer une rangée sur deux, par exemple.
• Supprimer : permet de supprimer une sélection du tableau.
• Fusionner les cellules : permet de fusionner une sélection rectangulaire de
cellules de tableau adjacentes, même des rangées et des colonnes entières,
en une cellule unique.
• Saut de tableau : permet de reprendre un tableau à un autre emplacement. Il
s’agit de la taille maximale qu’un tableau peut atteindre avant de se scinder
en deux tableaux liés.
• Faire tableaux distincts : permet d’éliminer le lien entre des tableaux continus afin que chacun soit complètement autonome. Ainsi, les modifications
apportées à une partie du tableau n’affectent pas tous les tableaux continus.
• Répéter comme en-tête : permet de définir une rangée d’en-tête à répéter
automatiquement dans les instances continues d’un tableau.
• Répéter comme pied de page : permet de définir une rangée en pied de page
à répéter automatiquement dans les instances continues d’un tableau.
• Convertir le texte en tableau : permet de convertir un texte déjà importé ou
entré dans un bloc de texte en tableau. Cette méthode est plus pratique si le
texte est délimité d’une façon ou d’une autre pour indiquer comment répartir
les informations en colonnes et rangées.
• Convertir tableau : permet de convertir les données d’un tableau en texte ou
en groupe de blocs associés. Vous pouvez convertir un tableau pour exporter
facilement des données courantes ou pour enregistrer un document contenant
des fonctions non prises en charge par des versions antérieures de QuarkXPress.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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MENUS
• Lier cellules de texte : permet de lier des cellules de tableau entre elles, tout
comme les blocs et les chemins de texte. Le texte tapé, importé ou collé dans
une cellule liée remplit la première cellule de texte, puis s’écoule dans chaque
cellule liée suivante.
• Maintenir la géométrie : empêche la modification de la largeur et de la hauteur
d’un tableau lorsque vous insérez ou supprimez des rangées ou des colonnes.
MENU AFFICHAGE
Le menu Affichage offre des options permettant de visualiser votre document
et de définir ce qui s’affiche lorsque l’option de menu est cochée. Ce menu
comprend les commandes suivantes :
• Taille écran : met la vue automatiquement à l’échelle pour faire tenir (et centrer)
une page entière dans la fenêtre de mise en page.
• 50 % : réduit la vue de mise en page à 50 %.
• 75 % : réduit la vue de mise en page à 75 %.
• Taille réelle : met la vue de mise en page à l’échelle à 100 %.
• 200 % : met la vue de mise en page à l’échelle à 200 %.
• Chemin de fer : affiche des représentations réduites de chaque page que vous
pouvez réorganiser et copier entre les projets.
• Repères : affiche des lignes non imprimables utilisées pour positionner des
éléments sur les pages, notamment des repères de marge, les contours des
blocs, le motif X des blocs d’image vides et des repères de règle.
• Grilles de page : affiche des quadrillages non imprimables définis pour la
page maquette sur laquelle la page de mise en page active est basée.
• Grilles de bloc de texte : affiche des quadrillages non imprimables appliqués
aux blocs de texte.
• Magnétiser les repères : permet d’aligner rapidement des éléments avec des
repères afin de magnétiser les premiers au repère le plus proche.
• Magnétiser les grilles de page : permet d’aligner rapidement des éléments avec
des repères de page afin de magnétiser les premiers au repère le plus proche.
• Règles : affiche des règles qui vous permettent de positionner des éléments et
des repères, le long des bords supérieurs et gauches ou droits de la fenêtre de
mise en page.
• Direction règle : permet de positionner les règles de page sur les bords
supérieurs et gauches ou droits de la fenêtre de mise en page.
• Caractères invisibles : affiche les caractères modifiables, non imprimables,
tels que les espaces, les tabulations et les retours de paragraphe dans le texte.
• Indicateurs visuels : affiche des indicateurs pour les éléments non imprimables,
tels que les hyperliens et les rollovers.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
MENUS
• Sortie préliminaire : permet de prévisualiser l’aspect de la mise en page à la
sortie vers différents supports et pour différentes méthodes d’impression. Cette
simulation d’affichage est assez exacte pour la révision à l’écran.
• Prévisualisation pleine résolution : affiche des images pleine résolution à
l’écran à l’aide de la pleine résolution des fichiers images. Vous pouvez réduire
ou agrandir l’image sans pixilation.
MENU UTILITAIRES
Le menu Utilitaires inclut des commandes permettant de vérifier l’orthographe et la césure, de répertorier les polices et de gérer les modules XTensions
et les fichiers PPD (PostScript Printer Description). Ce menu comprend les
commandes suivantes :
• Vérifier l’orthographe : utilisez ce sous-menu pour vérifier l’orthographe
d’un mot ou pour afficher la boîte de dialogue Nombre de mots et vérifier
l’orthographe des histoires, mises en page ou pages maquette.
• Dictionnaire auxiliaire : permet de spécifier un dictionnaire auxiliaire pour
la vérification orthographique.
• Modifier le dictionnaire auxiliaire : permet de modifier le dictionnaire
auxiliaire associé à la mise en page active.
• Insérer caractère : permet d’insérer aisément des caractères spéciaux,
notamment des espaces sécables et insécables.
• Césure proposée : affiche la césure suggérée pour le mot contenant le point
d’insertion de texte.
• Exceptions de césure : permet d’indiquer si et comment des mots particuliers
de l’article actif doivent être coupés.
• Gestionnaire Job Jackets : affiche la boîte de dialogue Gestionnaire
Job Jackets.
• Usage : permet d’afficher et de mettre à jour l’usage des polices, des images,
des effets QuarkVista, des profils chromatiques, des tableaux et des éléments
Composition Zones liés à des sources de données externes.
• Gestionnaire d’XTensions : permet de contrôler les modules XTensions à
charger au lancement de l’application.
• Mappage de police : permet de créer et de modifier les règles de remplacement
d’une police exigée par un projet mais non installée sur votre ordinateur.
• Statut composant : permet d’afficher le statut des composants requis
pour QuarkXPress.
• Gestionnaire PPD : permet de contrôler les fichiers PPD (PostScript Printer
Description) chargés dans la boîte de dialogue Imprimer.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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MENUS
• Utiliser allemand (réformé) : permet de contrôler si la vérification
orthographique utilise le dictionnaire de l’allemand réformé.
• Utiliser suisse allemand (réformé) : permet de contrôler si la vérification
orthographique utilise le dictionnaire du suisse allemand réformé.
• Gestionnaire de profils : permet de contrôler les profils chromatiques à charger
dans l’application.
• Générer un index : permet de créer un index à partir du contenu de la
palette Index.
• Jabber : génère du texte aléatoire dans le bloc de texte actif pour vous donner
un aperçu de l’écoulement et du style du texte, même si vous ne disposez pas
encore de contenu réel.
• Approche de groupe : permet de contrôler l’approche de groupe des
polices installées.
• Modification de la table d’approche de paire : permet de contrôler
l’approche de paire des polices installées.
• Supprimer approche manuelle : permet de supprimer toutes les approches
manuelles appliquées entre les caractères ou de supprimer l’approche
d’une paire.
• Contrôler lignes : affiche un sous-menu qui permet de trouver les lignes
veuves, orphelines, incorrectement justifiées ou se terminant par un trait
d’union, ainsi que les débordements de texte.
• Convertir anciens soulignés : convertit tous les soulignés de la chaîne de
texte active du format QuarkXPress 3.x (Stars & Stripes) au format Type Tricks.
• Débordement de texte : affiche la fenêtre Débordement de texte qui identifie
les blocs de texte contenant un débordement.
• Usage Item Styles : permet de visualiser et de mettre à jour les styles
d’élément appliqués.
MENU FENÊTRE
Le menu Fenêtre permet de contrôler l’affichage des fenêtres et des palettes
ouvertes. Ce menu comprend les commandes suivantes :
• Nouvelle fenêtre : affiche le projet actif dans une nouvelle fenêtre. Vous pouvez
alors visualiser différentes parties du projet dans chaque fenêtre.
• Diviser la fenêtre : divise en deux la fenêtre du projet. Vous pouvez alors
visualiser différentes parties du projet dans chaque moitié de fenêtre.
• Tout au premier plan (Mac OS uniquement) : positionne et affiche toutes les
fenêtres ouvertes.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
MENUS
• Cascade (Windows uniquement) : superpose plusieurs projets ouverts de
manière à laisser apparaître uniquement une portion de la barre de menus
de chaque projet.
• Mosaïque (Mac OS uniquement) : affiche toutes les fenêtres ouvertes en
mosaïque horizontale dans l’écran.
• Mosaïque horizontale (Windows uniquement) : affiche toutes les fenêtres
ouvertes en mosaïque horizontale dans l’écran.
• Empiler (Mac OS uniquement) : superpose plusieurs projets ouverts de
manière à laisser apparaître uniquement une portion de la barre de menus
de chaque projet.
• Mosaïque verticale (Windows uniquement) : affiche toutes les fenêtres
ouvertes en mosaïque verticale dans l’écran.
• Réorganiser les icônes (Windows uniquement) : réduit tous les projets actifs.
• Tout fermer (Windows uniquement) : ferme tous les projets actifs.
• Outils : affiche et masque la palette Outils.
• Outils Web (mises en page Web uniquement) : affiche et masque la palette
Outils Web.
• Spécifications : affiche et masque la palette Spécifications.
• Disposition de page : affiche et masque la palette Disposition de page.
• Feuilles de style : affiche et masque la palette Feuilles de style.
• Couleurs : affiche et masque la palette Couleurs.
• Contenu partagé : affiche et masque la palette Contenu partagé.
• Informations de défonce : affiche et masque la palette Informations
de défonce.
• Listes : affiche et masque la palette Listes.
• Informations de profils : affiche et masque la palette Informations de profils.
• Styles de grille : affiche et masque la palette Styles de grille.
• Glyphes : affiche et masque la palette Glyphes.
• Hyperliens : affiche et masque la palette Hyperliens.
• Index : affiche et masque la palette Index.
• Interactif (mises en page interactives uniquement) : affiche et masque la
palette Interactif.
• Calques : affiche et masque la palette Calques.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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21
MENUS
• Effets d’image : affiche et masque la palette Effets d’image.
• Indicateurs de position : affiche et masque la palette Indicateurs de position.
• Repères : affiche et masque la palette Repères.
• Styles d’élément : affiche et masque la palette Styles d’élément.
• PSD Import : affiche et masque la palette PSD Import.
• Ensembles de palettes : utilisez le sous-menu pour stocker et rappeler les
dispositions de palettes.
En outre, ce menu comporte une option pour chaque fenêtre ouverte. Ces
options permettent de permuter aisément entre les fenêtres.
MENU AIDE
Le menu Aide permet d’accéder à l’aide en ligne. Ce menu comprend les
commandes suivantes :
• Rubriques d’aide (Mac OS uniquement) : utilisez cette commande pour afficher
l’aide en ligne.
• Contenu (Windows uniquement) : utilisez cette option pour afficher la rubrique
Contenu de la fenêtre Aide.
• Recherche (Windows uniquement) : utilisez cette option pour afficher la rubrique
Recherche de la fenêtre Aide.
• Index (Windows uniquement) : utilisez cette option pour afficher la rubrique
Index de la fenêtre Aide.
• Transférer la licence QuarkXPress (Windows uniquement) : utilisez cette
option pour transférer votre licence QuarkXPress.
• À propos de QuarkXPress (Windows uniquement) : utilisez cette commande
pour afficher des informations sur QuarkXPress, telles que le numéro de version.
MENUS CONTEXTUELS
QuarkXPress offre une grande variété de fonctionnalités par des menus
contextuels. Pour afficher un menu contextuel, cliquez tout en appuyant sur
la touche Contrôle (Mac OS) ou avec le bouton droit de la souris dans le texte,
sur une image ou sur une palette.
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|
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
PALETTES
PALETTES
Pour ouvrir ou afficher une palette, cochez son nom dans le menu Fenêtre.
Pour fermer une palette, cliquez sur la case de fermeture dans l’angle supérieur
gauche de la palette, désactivez le nom de la palette dans le menu Fenêtre ou
utilisez l’équivalent clavier approprié.
PALETTE OUTILS
La palette Outils vous permet de permuter aisément entre une grande variété
d’outils pour travailler dans des mises en page. Pour plus d’informations,
reportez-vous à Outils.
PALETTE SPÉCIFICATIONS
La palette Spécifications (menu Fenêtre) permet de modifier rapidement plusieurs contrôles fréquemment utilisés. Les options proposées dans la palette
Spécifications varient en fonction de l’outil ou de l’élément sélectionné.
Lorsque vous sélectionnez plusieurs éléments de même type (trois blocs
d’image distincts, par exemple), les contrôles de la palette Spécifications
s’appliquent à tous les éléments choisis.
La barre d’onglets apparaît au-dessus du centre de cette palette.
La palette Spécifications affiche une rangée d’icônes appelée onglet de navigation au-dessus du centre de la palette. Vous pouvez passer d’une icône à
l’autre de cet onglet de navigation de gauche à droite en appuyant sur les
touches Pomme+Option+,/Ctrl+Alt+$. Vous pouvez aller en sens inverse (de
droite à gauche) en appuyant sur les touches Pomme+Option+;/Ctrl+Alt+,.
Pour afficher en permanence l’onglet de navigation, cliquez tout en appuyant
sur la touche Contrôle/avec le bouton droit de la souris sur la barre de titre de
la palette Spécifications et choisissez Toujours afficher barre onglets. Pour
masquer de façon permanente l’onglet de navigation, cliquez tout en appuyant
sur la touche Contrôle/avec le bouton droit de la souris sur la barre de titre de
la palette Spécifications et choisissez Toujours masquer barre onglets. Pour
afficher l’onglet de navigation de manière interactive, cliquez tout en appuyant
sur la touche Contrôle/avec le bouton droit de la souris sur la barre de titre de
la palette Spécifications et choisissez Afficher barre onglets pendant rollover.
La sélection des onglets affichés dans la palette Spécifications dépend des éléments actifs et la présentation d’une rubrique change suivant les éléments actifs.
Les rubriques disponibles sont les suivantes :
•
Classique : contient les contrôles les plus utilisés. S’affiche différemment
pour les blocs de texte, blocs d’image, traits et tableaux.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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23
PALETTES
***
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|
•
Texte : contient les contrôles de la rubrique Texte de la boîte de dialogue
Modifier (Bloc > Modifier).
•
Cadre : contient les contrôles de la rubrique Cadre de la boîte de
dialogue Modifier.
•
Habillage : contient les contrôles de la rubrique Habillage de la boîte de
dialogue Modifier. Apparaît différemment pour les blocs de texte, blocs
d’image et traits.
•
Détourage : contient les contrôles de la rubrique Détourage de la boîte de
dialogue Modifier.
•
Caractère : contient les contrôles de la boîte de dialogue Attributs de
caractères (Style > Caractère).
•
Paragraphe : contient les contrôles de la rubrique Format de la boîte de
dialogue Attributs de paragraphe (Style > Format).
•
Chemin de texte : contient les contrôles de la rubrique Chemin de texte
de la boîte de dialogue Modifier.
•
Espacer/Aligner : contient les contrôles du sous-menu Espacer/Aligner
(Bloc > Espacer/Aligner).
•
Exporter : contient les contrôles de la rubrique Exporter de la boîte de
dialogue Modifier (mises en page Web uniquement).
•
Grille : contient les contrôles de la rubrique Grille de la boîte de dialogue
Modifier (tableaux sélectionnés uniquement).
•
Ombre portée : contient les contrôles de la rubrique Ombre portée de la
boîte de dialogue Modifier.
•
Tabulations : contient les contrôles de la rubrique Tabulations de la boîte
de dialogue Attributs de paragraphe.
Lorsque vous sélectionnez un bloc d’image, le nombre en regard de l’icône
Résolution d’image effective
dans la rubrique Classique de la palette
Spécifications affiche la résolution effective de l’image. Celle-ci est égale à
la résolution de l’image réelle divisée par l’échelle de l’image. Par exemple, si
vous importez une image dont la résolution réelle est de 100 ppp, puis augmentez l’échelle de 100 à 200 %, la résolution effective est de 50 ppp. Plus la
résolution effective est élevée, meilleure est la qualité de l’image reproduite.
Notez que si vous sélectionnez plusieurs blocs d’image avec des résolutions
effectives diverses, aucun chiffre ne s’affiche à côté de l’icône Résolution
d’image effective.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
PALETTES
PALETTE DISPOSITION DE PAGE
La palette Disposition de page offre différentes fonctions pour les pages et
la navigation.
La palette Disposition de page permet de manipuler des pages maquette et des
pages de mise en page.
La partie supérieure de la palette permet de créer, dupliquer et supprimer des
pages maquette. Pour afficher et modifier une page maquette, double-cliquez
dessus ; elle s’affiche dans la fenêtre du projet actif. Une maquette simple s’affiche sous forme de rectangle alors qu’une maquette de pages en regard présente
deux coins repliés.
La partie inférieure de la palette permet de parcourir les pages dans la mise en
page active. Pour aller à une page de la mise en page, double-cliquez sur cette
partie de la palette.
Pour appliquer une page maquette à une page de mise en page, faites glisser
l’icône de la première sur l’icône de la deuxième. Vous pouvez également
sélectionner les icônes de page de mise en page dans la palette, puis cliquez
sur l’icône de la page maquette tout en appuyant sur la touche Pomme/Ctrl.
PALETTE FEUILLES DE STYLE
La palette Feuilles de style (Fenêtre > Afficher les feuilles de style) vous
permet d’appliquer des feuilles de style de caractères et de paragraphe en cliquant sur leur nom. Les boutons en haut de chaque section de cette palette
vous permettent de créer, de modifier, de dupliquer, de mettre à jour et de
supprimer des feuilles de style.
***
Un signe plus à côté d’une feuille de style de paragraphe indique qu’un
formatage local a été appliqué.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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PALETTES
La palette Feuilles de style permet de visualiser et d’appliquer des feuilles de
style de paragraphe et de caractères.
PALETTE COULEURS
La palette Couleurs permet de visualiser et d’appliquer des couleurs définies
dans le projet actif. Les boutons affichés à son sommet permettent de créer,
modifier et supprimer des couleurs.
La création des couleurs s’effectue dans la boîte de dialogue Couleurs
(Édition > Couleurs). Pour plus d’informations, reportez-vous à Utilisation
des couleurs.
La palette Couleurs permet d’afficher et d’appliquer des couleurs.
PALETTE CONTENU PARTAGÉ
La palette Contenu partagé permet de manipuler des éléments et du contenu
stockés dans la bibliothèque de contenu partagé. Pour plus d’informations,
reportez-vous à Utilisation du contenu partagé.
La palette Contenu partagé permet de manipuler des éléments et du contenu
de la bibliothèque de contenu partagé.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
PALETTES
PALETTE INFORMATIONS DE DÉFONCE
La palette Informations de défonce permet d’afficher et de manipuler les
relations de défonce des éléments sélectionnés. Pour plus d’informations,
reportez-vous à Utilisation de la défonce.
La palette Info. de défonce permet d’afficher et de manipuler les relations
de défonce.
PALETTE LISTES
La palette Listes aide à visualiser et à générer des listes. Cette fonction est
utile pour créer des éléments tels que des tables des matières. La création de
listes s’effectue dans la boîte de dialogue Listes (Édition > Listes).
Le menu déroulant Nom de la liste permet de choisir parmi les listes définies
dans le projet actif et le bouton Mettre à jour permet d’actualiser la liste affichée
dans la palette.
Le bouton Rechercher permet de localiser des éléments dans la palette Listes.
Vous pouvez également accéder à un mot ou à un titre en double-cliquant
simplement dessus dans la palette.
Le bouton Générer permet d’insérer la liste active dans la chaîne de texte
active. Si la liste figure déjà dans l’histoire, vous pouvez mettre à jour celle-ci
au lieu d’en insérer une autre copie. Les feuilles de style Formater comme
pour la liste sont appliquées automatiquement.
La palette Listes permet de créer des éléments tels que des tables des matières.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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27
PALETTES
PALETTE INFORMATIONS SUR LES PROFILS
La palette Informations sur les profils permet d’afficher et de mettre à jour
les paramètres de gestion de la couleur des images. Pour en savoir plus,
reportez-vous à Gestion de la couleur.
La palette Info. sur les profils permet de contrôler avec précision les paramètres
de gestion de la couleur des images.
PALETTE GLYPHES
La palette Glyphes permet d’accéder aisément à tous les caractères de chaque
police de votre ordinateur. Vous pouvez afficher tous les caractères de la police
sélectionnée ou limitez la liste en choisissant une option dans le second menu
déroulant. Vous pouvez ajouter des caractères à une histoire en double-cliquant
sur ceux-ci. La zone Glyphes favoris au bas de la palette permet de stocker les
caractères utilisés fréquemment pour y accéder aisément.
La palette Glyphes permet d’accéder aisément à tous les caractères de
chaque police.
PALETTE HYPERLIENS
La palette Hyperliens permet d’appliquer des hyperliens à du texte et à des
images. Bien que les hyperliens ne fonctionnent évidemment pas dans les
mises en page papier, ils fonctionnent lorsque vous exportez une mise en
page au format PDF et lorsque vous exportez une mise en page Web au format
HTML. Pour plus d’informations, reportez-vous à Hyperliens.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
PALETTES
La palette Hyperliens permet d’appliquer des hyperliens à du texte et à des images.
PALETTE INDEX
La palette Index permet de baliser du texte pour la génération d’index.
Lorsque vous créez un index (Utilitaires > Générer un index), toutes les
balises créées avec la palette Index sont automatiquement converties en
index personnalisable. Pour plus d’informations, reportez-vous à Utilisation
des listes.
La palette Index permet de baliser du texte à inclure dans un index généré
automatiquement.
PALETTE CALQUES
La palette Calques permet de créer des calques, de modifier des propriétés de
calques, de contrôler si ces calques sont affichés et imprimés, et de déplacer
des objets entre les calques. Pour plus d’informations, reportez-vous à
Utilisation des calques.
La palette Calques permet de manipuler des calques et les objets placés dessus.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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29
PALETTES
PALETTE EFFETS D’IMAGE
La palette Effets d’image permet d’appliquer des effets tels que la définition
des contours et l’ajustement des couleurs sur des images. Cette palette n’apparaît que si le logiciel XTensions QuarkVista est installé. Pour en savoir plus,
reportez-vous à Utilisation des effets d’image.
La palette Effets d’image permet d’appliquer divers effets visuels à des images
de la mise en page.
PALETTE PSD IMPORT
La palette PSD Import permet de contrôler l’affichage des fichiers Photoshop
(PSD) importés. Pour plus d’informations, reportez-vous à Utilisation des
images PSD.
La palette PSD Import permet de manipuler des images PSD importées.
GROUPES DE PALETTES ET ENSEMBLES DE PALETTES
QuarkXPress offre deux fonctions pour la gestion des palettes : les groupes de
palettes et les ensembles de palettes.
UTILISATION DES GROUPES DE PALETTES
La fonction Groupes de palettes permet de combiner plusieurs palettes en
une seule.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
GROUPES DE PALETTES ET ENSEMBLES DE PALETTES
Ce groupe de palettes affiche les palettes Feuilles de style et Listes reliées en
une seule, ce qui permet d’économiser de l’espace tout en offrant un accès aisé
aux fonctions.
Pour lier une palette à un groupe, appuyez sur la touche Contrôle+cliquez/
cliquez avec le bouton droit sur la barre de titre d’un groupe de palettes et
choisissez un nom de palette non cochée. Lorsque vous reliez une palette déjà
affichée, celle-ci se déplace pour se rattacher au groupe. Pour dissocier une
palette d’un groupe, appuyez sur la touche Contrôle+cliquez/cliquez avec le
bouton droit sur le nom de la palette et choisissez Dissocier [nom de la palette].
UTILISATION DES ENSEMBLES DE PALETTES
La fonction Ensembles de palettes permet de stocker et de mémoriser la position et le statut de toutes les palettes et bibliothèques ouvertes, afin de permuter
facilement entre des configurations de palettes différentes.
Pour créer un ensemble de palettes, affichez toutes les palettes dont vous aurez
besoin pour une tâche particulière et masquez toutes les autres. Choisissez ensuite
Fenêtre > Ensembles de palettes > Enregistrer l’ensemble de palettes sous
pour afficher la boîte de dialogue Enregistrer l’ensemble de palettes sous,
entrer un nom et affecter le cas échéant une commande clavier.
Pour ouvrir un ensemble de palettes, choisissez Fenêtre > Ensembles de
palettes > [nom de l’ensemble de palettes] ou utilisez la combinaison
clavier associée à cet ensemble.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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31
CONTRÔLES DE MISE EN PAGE
CONTRÔLES DE MISE EN PAGE
Lorsque vous ouvrez un projet, vous avez immédiatement accès à quelques
fonctionnalités de base en bas à gauche de la fenêtre du projet.
Contrôles de mise en page
1 Zoom : entrez un pourcentage de zoom ou choisissez une valeur dans le
menu déroulant.
2 Basculement vers page maquette : permet de permuter entre la page de mise
en page active et sa page maquette.
3 Numéro page : entrez une valeur dans le champ Numéro page ou choisissez
une page dans la liste qui apparaît lorsque vous cliquez sur la flèche vers le
haut à droite du champ.
4 Page précédente : permet d’aller à la page précédente.
5 Page suivante : permet d’aller à la page suivante.
6 Diviser l’écran verticalement : affiche la mise en page dans deux volets
distincts au moins l’un au-dessus de l’autre.
7 Diviser l’écran horizontalement : affiche la mise en page dans deux volets
distincts au moins côte à côte.
8 Exporter : affiche les options d’exportation disponibles lorsque vous choisissez
Fichier > Exporter.
9 Prévisualisation : permet de prévisualiser une mise en page Web ou interactive telle qu’elle apparaît à l’exportation. Disponible uniquement lorsque
vous travaillez sur des mises en page Web ou interactives.
***
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Cliquez sur la flèche haut en regard du champ Numéro page pour afficher
une vue en chemin de fer de toutes les pages de la mise en page. Les utilisateurs Mac peuvent continuer à cliquer sur la flèche haut pour agrandir les
vignettes du chemin de fer.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
CONTRÔLES DE MISE EN PAGE
DIVISION D’UNE FENÊTRE
La division d’une fenêtre en deux volets ou plus permet d’afficher plusieurs
vues d’un article en même temps et de visualiser les modifications dans tous
les volets simultanément. Vous pouvez même utiliser différentes vues dans
chaque volet, et visualiser vos modifications dans un volet et effectuer une
mise à jour dans l’autre volet en temps réel. Vous pouvez diviser plusieurs
vues horizontalement et verticalement dans une fenêtre.
En divisant une fenêtre, vous pouvez visualiser votre travail à deux agrandissements
différents simultanément.
Il existe trois manières de diviser une fenêtre :
• Choisissez Fenêtre > Diviser la fenêtre > Horizontal ou Fenêtre >
Diviser la fenêtre > Vertical.
• Cliquez sur la barre de division à droite de la barre de défilement (pour
une division verticale) ou au sommet de la barre de défilement (pour une
division horizontale).
• Cliquez sur les icônes de division d’écran dans la barre des contrôles de mise
en page au bas de la fenêtre du projet.
CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
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33
CONTRÔLES DE MISE EN PAGE
Une fois la fenêtre divisée, vous pouvez modifier la largeur et la hauteur de la
division en faisant glisser les barres de division.
Pour supprimer les divisions d’une fenêtre, utilisez l’une des
techniques suivantes :
• Choisissez Fenêtre > Diviser la fenêtre > Tout supprimer.
• Faites glisser une barre de division vers le côté de la fenêtre.
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CHAPITRE 2 : INTERFACE UTILISATEUR
UTILISATION DES PROJETS
Chapitre 3 :
Projets et mises en page
Les fichiers QuarkXPress sont appelés projets et chaque projet contient une ou
plusieurs mises en page. Toutes les mises en page sont stockées au sein d’un
projet et chaque projet en contient au moins une. Chaque mise en page peut
contenir jusqu’à 2 000 pages et mesurer jusqu’à 122 x 122 cm (ou 61 x 122 cm
pour une planche à double page). Un projet peut contenir un nombre illimité
de mises en page.
Plusieurs mises en page peuvent être stockées dans un seul fichier, vous pouvez
donc partager du contenu entre différentes versions d’un document, par exemple,
une lettre au texte identique dans des tailles de mise en page Lettre US et A4.
Un projet QuarkXPress peut inclure trois types de mises en page : papier, Web
et interactive. Vous pouvez utiliser un projet afin de créer du contenu pour des
supports divers : papier, PDF, SWF et HTML.
UTILISATION DES PROJETS
Pour créer un projet, choisissez Fichier > Créer > Projet. La boîte de dialogue
Nouveau projet s’affiche.
Boîte de dialogue Nouveau projet pour les mises en page papier
CHAPITRE 3 : PROJETS ET MISES EN PAGE
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35
UTILISATION DES PROJETS
Chaque projet QuarkXPress contient au moins une mise en page. Aussi, lorsque
vous créez un projet, vous devez définir une mise en page par défaut pour le
fichier. Vous pouvez utiliser le nom de la mise en page par défaut ou en entrer
un nouveau dans le champ Nom mise en page. Pour indiquer le type de la mise
en page par défaut, choisissez Papier, Web ou Interactif dans le menu déroulant
Type de mise en page.
Pour plus d’informations sur les mises en page Web, reportez-vous à Mises en
page Web.
Pour plus d’informations sur les mises en page interactives, reportez-vous à
Mises en page interactives.
Par défaut, des onglets s’affichent au sommet de la fenêtre du projet pour
chacune des mises en page de ce dernier. Pour empêcher leur affichage, cochez
Mode mise en page unique. (Vous pouvez toujours ajouter des mises en page
à un projet, mais le mode Mise en page unique sera désactivé.)
***
Un projet créé dans une édition dans une langue de QuarkXPress peut être
modifié, imprimé et enregistré dans n’importe quelle autre édition dans une
autre langue de QuarkXPress. Tous les dictionnaires de vérification orthographique et de règles de césure sont pris en charge par toutes les éditions en différentes langues. Cependant, un texte utilisant des fonctions spécifiques Asie
orientale (telles que rubi, jeux de polices et caractères de groupe) ne peut pas
être modifié dans une édition de QuarkXPress dans une autre langue.
OPTIONS POUR LES MISES EN PAGE PAPIER
Les contrôles de la zone Page permettent de définir les taille et orientation de
page pour la mise en page par défaut. La case à cocher Pages en regard permet
de créer des planches et la case à cocher Bloc de texte automatique, d’ajouter
un bloc de texte à la page maquette par défaut de la mise en page. Les contrôles
Repères de marges permettent de définir des marges par défaut pour la mise
en page et ceux de la zone Repères de colonnes, de créer une page à plusieurs
colonnes par défaut.
OPTIONS POUR LES MISES EN PAGE WEB
Les contrôles de la zone Couleurs permettent de définir les couleurs par défaut
du fond de page et des hyperliens. Les contrôles de la zone Mise en page permettent de définir une largeur de page par défaut et si cette largeur est variable
ou non. Vous pouvez utiliser les contrôles Image de fond pour importer un
fichier image pour le fond de la page.
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CHAPITRE 3 : PROJETS ET MISES EN PAGE
UTILISATION DES PROJETS
Boîte de dialogue Nouveau projet pour les mises en page Web
ENREGISTREMENT ET APPELLATION D’UN PROJET QUARKXPRESS
Lorsque vous enregistrez un projet QuarkXPress pour la première fois, la boîte
de dialogue Enregistrer sous s’affiche. Utilisez cette boîte de dialogue pour
préciser les nom, emplacement et type d’un projet.
Lorsque vous enregistrez un projet QuarkXPress, vous pouvez choisir une
option dans le menu déroulant Type d’objet :
• Choisissez Projet pour enregistrer un projet que vous pouvez modifier.
• Choisissez Gabarit projet pour enregistrer une version en lecture seule du projet.
EXPORTATION DES MISES EN PAGE ET DES PROJETS
Pour exporter des mises en page du projet actif, choisissez Fichier > Exporter >
Mise en page comme projet. Renseignez le champ Enregistrer sous et
choisissez un emplacement.
Pour exporter toutes les mises en page d’un projet, cochez la case Tout sélectionner dans la zone Mises en page. Pour exporter des mises en page individuelles,
cochez-les dans cette zone.
Pour exporter des mises en page sélectionnées que vous pouvez ouvrir dans
des versions antérieures de QuarkXPress, choisissez 7.0 dans le menu
déroulant Version.
UTILISATION DES MISES EN PAGE
Il est facile de passer d’une mise en page à une autre, d’ajouter, de dupliquer
et de supprimer des mises en page.
Pour passer d’une mise en page à une autre, utilisez les onglets au sommet de
la fenêtre de projet.
CHAPITRE 3 : PROJETS ET MISES EN PAGE
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37
UTILISATION DES MISES EN PAGE
Pour ajouter une mise en page au projet actif, choisissez Mise en page >
Créer ou cliquez sur un onglet de mise en page et choisissez Créer dans le
menu contextuel.
Pour dupliquer une mise en page, affichez celle-ci, puis choisissez Mise en
page > Dupliquer ou choisissez Dupliquer dans le menu contextuel de
l’onglet de la mise en page.
Pour modifier les propriétés d’une mise en page, affichez celle-ci, puis choisissez Mise en page > Propriétés de la mise en page ou choisissez Propriétés
de la mise en page dans le menu contextuel de la rubrique Mise en page. La
boîte de dialogue Propriétés de la mise en page s’affiche.
Pour supprimer une mise en page, affichez celle-ci, puis choisissez Mise en
page > Supprimer ou choisissez Supprimer dans le menu contextuel de la
rubrique Mise en page.
Lorsque vous utilisez les commandes ci-après, seule la mise en page active est
incluse dans la sortie qui en résulte :
• Fichier > Exporter > PDF
• Fichier > Exporter > Page en EPS
• Fichier > Rassembler les info. pour la sortie
• Fichier > Imprimer
• Fichier > Exporter > HTML (mises en page Web uniquement)
***
Les calques s’appliquent à la mise en page active lorsque vous les créez
et modifiez.
***
Lorsque vous exécutez une action au niveau du projet (Édition > Annuler),
celle-ci est ajoutée à l’historique des annulations de toutes les mises en page.
***
Lorsque vous effectuez une vérification orthographique (menu Utilitaires),
QuarkXPress ne vérifie que la mise en page active.
***
La fonction Rechercher/Remplacer (menu Édition) effectue la recherche dans
la mise en page active uniquement.
RESSOURCES DE NIVEAU PROJET ET DE NIVEAU MISE EN PAGE
Certaines ressources sont définies au niveau projet, d’autres au niveau mise
en page.
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CHAPITRE 3 : PROJETS ET MISES EN PAGE
UTILISATION DES MISES EN PAGE
RESSOURCES DE NIVEAU PROJET
Les ressources de niveau projet peuvent être utilisées par toutes les mises en
page du projet et sont identiques dans toutes les mises en page qui les utilisent. Elles comprennent les préférences pour l’application, feuilles de style,
couleurs, spécifications C&J, listes, tirets et rayures, menus en cascade (mises
en page Web uniquement), balises méta (mises en page Web uniquement) et
menus (mises en page Web uniquement).
***
Même si chaque définition de liste que vous créez peut être utilisée dans toutes
les mises en page du projet, une liste n’extrait ses éléments que de la mise en
page active lors de sa génération.
RESSOURCES DE NIVEAU MISE EN PAGE
Les ressources de niveau mise en page peuvent être différentes pour chaque
mise en page du projet. Les ressources de niveau mise en page comprennent :
• les préférences de mise en page (QuarkXPress/Édition > Préférences >
Mise en page ou Mise en page Web) ;
• les tables d’approche de paire (Utilitaires > Modification de la table
d’approche de paire) (mises en page papier uniquement) ;
• les tables d’approche de groupe (Utilitaires > Approche de groupe) (mises en
page papier uniquement) ;
• les exceptions de césure (Utilitaires > Exceptions de césure) ;
• les paramètres de défonce (Fenêtre > Afficher les informations de défonce)
(mises en page papier uniquement) ;
• les valeurs de zoom.
UTILISATION DES REPÈRES
Les repères sont des indicateurs non imprimables qui vous aident à aligner
des éléments et du texte dans une mise en page. On distingue deux types de
repères : les repères de règle et les repères de colonnes et de marges.
Les grilles de conception sont des indicateurs non imprimables permettant
d’aligner des éléments et du texte selon la taille et la position du texte.
Pour plus d’informations, reportez-vous à Guide Manager Pro et à Description
des grilles de conception.
REPÈRES DE COLONNES ET DE MARGES
Les repères de colonnes et de marges indiquent la position des marges
extérieures et, le cas échéant, des colonnes.
CHAPITRE 3 : PROJETS ET MISES EN PAGE
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UTILISATION DES REPÈRES
QuarkXPress place automatiquement des repères de colonnes et de marges
dans toutes les nouvelles mises en page papier. Vous pouvez définir leur position dans les champs Repères de colonnes et Repères de marges de la boîte
de dialogue Nouveau projet (Fichier > Créer > Projet) ou dans la boîte de
dialogue Nouvelle mise en page (Mise en page > Créer).
Lorsqu’une page maquette est affichée dans la fenêtre de projet, la position
des repères de marges et de colonnes peut être modifiée dans la boîte de dialogue Repères et grille de maquette (Page > Repères et grille de maquette).
Lorsque vous cochez la case Bloc de texte automatique de la boîte de dialogue Nouveau projet (Fichier > Créer > Projet) ou Nouvelle mise en page
(Mise en page > Créer), les valeurs définies dans la zone Repères de marges
définissent les dimensions et la position du bloc de texte automatique.
Pour en savoir plus sur la création des repères de colonnes et de marges,
reportez-vous à Configuration d’une grille de page maquette.
Pour plus d’informations, reportez-vous à Guide Manager Pro.
REPÈRES DE RÈGLE
Les repères de règle (ou simplement repères) sont des indications non imprimables positionnées manuellement. Les repères de règle se créent par glissement
hors des règles horizontale et verticale (Affichage > Règles). Vous pouvez en
créer sur les pages maquette ou sur chaque page d’une mise en page.
• Pour créer un repère de règle horizontale, cliquez sur la règle supérieure.
Lorsque le pointeur apparaît, faites glisser le repère à l’emplacement souhaité.
Pour créer un repère de règle verticale, cliquez sur celle-ci et, à l’apparition
du
pointeur, faites glisser le repère à l’emplacement souhaité. Si la palette
Spécifications est ouverte au moment où vous faites glisser un repère de règle,
vous pouvez y observer la position du repère dans le champ X (pour les repères
de la règle verticale) ou dans le champ Y (pour les repères de la
règle horizontale).
• Au cas où vous relâchez le bouton de la souris alors que vous faites glisser un
repère de la règle horizontale au-dessus de la table de montage, le repère traversera la table de montage et toutes les pages de la planche. Si vous relâchez
le bouton de la souris alors que le repère de la règle horizontale se trouve audessus d’une page de document, le repère n’apparaîtra que sur la page
en question.
• Pour repositionner un repère de règle, cliquez dessus et faites-le glisser à la
position souhaitée alors que le pointeur est affiché. Vous pouvez également
double-cliquer sur le repère de règle alors que l’outil Déplacement est sélectionné et entrer un nouvel emplacement dans la boîte de dialogue Guide
Manager Pro.
• Pour supprimer un repère de règle, faites-le glisser hors de la page.
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CHAPITRE 3 : PROJETS ET MISES EN PAGE
UTILISATION DES REPÈRES
• Pour retirer tous les repères de règle d’une page, affichez une partie de celle-ci,
appuyez sur Option/Alt et faites glisser à nouveau le repère sur la règle.
• Pour supprimer tous les repères de règle de la table de montage d’une planche,
affichez une partie de celle-ci, appuyez sur la touche Option/Alt et cliquez sur
une zone de la règle.
Reportez-vous également à Guide Manager Pro.
MAGNÉTISATION CONTRE LES REPÈRES
QuarkXPress permet de créer un champ magnétique autour des repères.
Ainsi, lorsque vous faites glisser un élément près d’un repère, il s’aligne
automatiquement avec lui. Cette fonction s’appelle Magnétiser les repères
(menu Affichage) et la largeur du champ magnétique s’appelle la distance
de magnétisme.
Pour contrôler la magnétisation avec des contrôles QuarkXPress, assurez-vous
que l’option Affichage > Magnétiser les repères est activée. Pour modifier
la distance, choisissez QuarkXPress/Édition > Préférences > Mise en page
papier > Repères et grille, entrez une valeur de pixel dans le champ
Dist. magnétisme.
Vous pouvez également choisir Affichage > Magnétiser les grilles de page
pour forcer les éléments à s’aligner sur la grille de page maquette. La valeur du
champ Dist. magnétisme s’applique aux grilles de page maquette également.
Pour plus d’informations, reportez-vous à Magnétisation des éléments contre
les grilles de conception.
ANNULATION ET RÉPÉTITION DES ACTIONS
La commande Annuler (menu Édition) annule la dernière action exécutée
sur un élément. Par exemple, si vous coupez involontairement un bloc d’image,
la commande Annuler ramènera le bloc dans la mise en page depuis le Pressepapiers. La commande Recommencer (menu Édition) vous permet de réactiver
une action que vous avez annulée.
Choisissez Édition > Annuler (Pomme+Z/Ctrl+Z) pour annuler la dernière
action effectuée. L’option du menu identifie l’action spécifique pouvant être
annulée. Par exemple, la commande Annuler Supprimer est disponible dans
le menu Édition après que vous avez utilisé la commande Bloc > Supprimer.
La commande Impossible d’annuler s’affiche en grisé lorsque la fonction
Annuler n’est pas disponible.
Pour recommencer une action, choisissez Édition > Recommencer
(Pomme+Maj+Z/Ctrl+Y) après l’avoir annulée.
CHAPITRE 3 : PROJETS ET MISES EN PAGE
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41
PRÉSENTATION DES ÉLÉMENTS ET DU CONTENU
Chapitre 4 :
Blocs, traits et tableaux
Pour réussir vos mises en page, vous devez agencer vos textes et vos images
de manière méthodique. Pour cela, vous pouvez utiliser des blocs. Les blocs
englobent le texte et les images, mais parfois même aucun contenu, pour
créer des éléments de conception colorés sur une page, par exemple. Leurs
contours donnent au texte et aux images une forme, des dimensions et un
emplacement particuliers sur la page.
PRÉSENTATION DES ÉLÉMENTS ET DU CONTENU
QuarkXPress fonctionne d’après le concept des éléments (conteneurs) et du
contenu (objets placés à l’intérieur des éléments).
Les éléments sont les éléments de base d’une mise en page. L’outil
Déplacement permet de déplacer, faire pivoter, transformer, couper,
copier et coller des éléments.
Les types d’éléments de base sont les suivants :
• Les blocs, comme les blocs de texte, d’image et sans contenu. Les blocs sont
de formes diverses telles que rectangulaire, arrondie et de Bézier.
• Les traits, comme les lignes simples et les chemins de texte (qui peuvent
comporter du texte). Les traits peuvent être droits ou de Bézier.
• Les groupes, ensembles d’éléments collés ensemble pour agir comme un
élément unique.
• Les tableaux peuvent contenir du texte et des images.
• Les formulaires permettent de créer des formulaires HTML (mises en page
Web uniquement).
• Les contrôles de formulaire permettent de créer des contrôles de formulaire
HTML (mises en page Web uniquement).
Le contenu est simplement du texte et des images. Pour créer une mise en
page, vous tracez généralement des blocs de texte et d’image, puis y insérez
du texte et des images.
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
PRÉSENTATION DES ÉLÉMENTS ET DU CONTENU
Les éléments et le contenu sont différents, vous utilisez donc des outils distincts
pour les manipuler :
• L’outil Modification texte permet de créer des blocs de texte rectangulaires et de formater du texte dans des blocs de texte ou sur des chemins de
texte. Vous pouvez également utiliser l’outil Modification texte pour couper,
copier et coller du texte.
• L’outil Modification image permet de créer des blocs d’image rectangulaires
et de manipuler des images dans des blocs d’image. Vous pouvez également
utiliser l’outil Modification image pour couper, copier et coller des images.
PRÉSENTATION DES POIGNÉES
Les blocs de contrainte des chemins de texte, traits et blocs sélectionnés présentent des petits carrés blancs appelés poignées d’élément. Elles permettent
de redimensionner et faire pivoter un élément sélectionné.
POIGNÉES D’ÉLÉMENT
Pour redimensionner un élément, cliquez et faites glisser ses poignées. Pour
le faire pivoter, cliquez et faites glisser juste en dehors d’une de ses poignées
d’angle. Le pointeur de la souris change lorsque vous le placez sur ou près
d’une poignée pour indiquer l’action possible :
Vous pouvez utiliser les poignées d’élément pour redimensionner et faire pivoter
un élément.
POIGNÉES D’IMAGE
Lorsque vous sélectionnez l’outil Modification image et cliquez sur un bloc
d’image contenant une image, cette dernière comporte des poignées en forme
de grands cercles. Ces poignées s’appellent poignées de modification d’image.
Lorsque vous cliquez sur une portion de l’image, vous pouvez utiliser le pointeur
Déplacement pour déplacer l’image au sein de son bloc.
Bloc d’image présentant des poignées de modification d’image
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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43
PRÉSENTATION DES POIGNÉES
Les poignées de modification d’image s’affichent même si l’image sélectionnée
dépasse de son bloc (voir l’illustration précédente). L’image s’affiche au-delà
des limites du bloc. Vous pouvez recadrer l’image en redimensionnant le
bloc d’image.
Vous pouvez utiliser les poignées de modification d’image pour redimensionner
ou faire pivoter une image sans changer la taille ou l’angle de son bloc d’image.
• Pointeurs Redimensionnement :
• Pointeurs Rotation :
Image pivotée dans un bloc non pivoté
Si vous souhaitez déplacer un bloc d’image ou visualiser l’apparence de son
rognage sans le revêtement transparent, appuyez sur la touche Pomme/Ctrl.
Le revêtement est temporairement retiré et vous pouvez interagir avec le bloc
comme si l’outil Déplacement était sélectionné.
***
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Si vous cliquez et faites glisser la souris avec l’outil Modification image
lorsque le pointeur de la souris est positionné sur un point où une poignée de
bloc d’image et une poignée de modification d’image se chevauchent, seule
l’image est redimensionnée ou pivotée. Si vous souhaitez modifier la poignée
de l’élément, sélectionnez l’outil Déplacement.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
PRÉSENTATION DES FORMES DE BÉZIER
PRÉSENTATION DES FORMES DE BÉZIER
Avant de modifier la forme des blocs et des courbes de Bézier, il vous faut
comprendre les définitions suivantes.
Point : un point connecte des segments et en définit les extrémités. Les points
qui relient des lignes courbes sont dotés de poignées permettant de contrôler
la forme des courbes. QuarkXPress propose trois types de points : angulaire,
lisse et symétrique.
Point angulaire : un point angulaire relie deux lignes droites, une ligne droite
et une courbe, ou deux courbes discontinues. Avec les courbes, les poignées
de courbe des points angulaires peuvent être manipulées indépendamment,
en général pour marquer une transition nette entre les deux segments :
Exemples de points angulaires
Point lisse : un point lisse relie deux lignes courbes pour former une courbe
continue. Les poignées de courbe prennent toujours appui sur une ligne
droite à travers le point, mais peuvent être étirées indépendamment :
Point lisse
Point symétrique : un point symétrique relie deux courbes pour former une
courbe continue. Le résultat est similaire à celui obtenu avec un point lisse,
sauf que les poignées de courbe sont toujours équidistantes par rapport à
ce point :
Point symétrique
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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45
PRÉSENTATION DES FORMES DE BÉZIER
Poignées de courbe : les poignées de courbe s’étirent de chaque côté d’un point
et permettent de contrôler la forme de la courbe :
Poignées de courbe (supérieur gauche)
Segments linéaires : les segments linéaires sont des sections linéaires droites ou
courbes positionnées entre deux points :
Segments linéaires
Lorsque l’outil Sélection de point est positionné sur une courbe ou un bloc
de Bézier actif, plusieurs pointeurs apparaissent pour indiquer si vous pouvez
sélectionner un point, des poignées de courbe ou un segment. Cliquez sur les
pointeurs et étirez-les pour changer la forme du bloc ou de la courbe de Bézier.
• Pour modifier complètement la forme, choisissez une option différente dans
le sous-menu Bloc > Forme.
• Pour ajouter un point à un bloc de Bézier lorsque vous travaillez avec l’outil
Bézier , cliquez sur un segment linéaire. Vous pouvez également utiliser
l’outil Ajouter point .
• Pour retirer un point d’un bloc de Bézier lorsque vous travaillez avec l’outil
Bézier , cliquez sur le point. Vous pouvez également utiliser l’outil
Supprimer point .
• Pour convertir un point en un autre type lorsque vous travaillez avec l’outil
Bézier , appuyez sur Option+cliquez/Alt+cliquez sur le point. Vous pouvez
également utiliser l’outil Convertir point .
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
PRÉSENTATION DES FORMES DE BÉZIER
• Pour déplacer un point ou modifier la forme d’un segment linéaire lorsque
vous travaillez avec l’outil Bézier , appuyez sur la touche Pomme+faites
glisser/Ctrl+faites glisser le segment de ligne du pointeur.
• Utilisez l’outil Sélection de point pour sélectionner des courbes ou des
points afin de les déplacer ou de les supprimer. Appuyez sur Maj et cliquez
pour sélectionner plusieurs points. Appuyez sur la touche Option+cliquez/
Alt+cliquez sur un point pour le rendre symétrique.
UTILISATION DES BLOCS
Il existe trois types de blocs : blocs de texte, blocs d’image et blocs sans
contenu (à contenu Néant). Ces trois types peuvent contenir de la couleur,
des teintes, des dégradés et des cadres. Lorsque vous tracez un bloc de texte,
d’image ou sans contenu, les contrôles disponibles correspondent au type de
bloc créé. Mais vous pouvez importer du texte dans des blocs d’image contenant des images et vous pouvez importer des images dans des blocs de texte
contenant du texte. Outre le type de contenu, vous pouvez modifier la forme
et d’autres attributs d’un bloc.
CRÉATION DES BLOCS D’IMAGE ET DE TEXTE
Il existe trois manières de créer des blocs :
• Pour créer un bloc sans contenu (bloc pouvant être changé en bloc d’image ou
de texte), cliquez et faites glisser la souris à l’aide de l’outil Bloc rectangle ,
de l’outil Bloc ovale ou de l’outil Étoile . Vous pouvez choisir un contenu
texte en appuyant sur la touche T lorsque vous tracez le bloc sans contenu.
Vous pouvez choisir un contenu image en appuyant sur la touche R lorsque
vous tracez le bloc sans contenu.
• Pour créer un bloc de texte ou d’image rectangulaire, cliquez et faites glisser
la souris à l’aide de l’outil Modification texte ou de l’outil Modification
image .
• Pour créer un bloc de Bézier, utilisez l’outil Crayon de Bézier
plus, reportez-vous à Création des blocs de Bézier.
***
. Pour en savoir
Pour contraindre des blocs rectangulaires dans des carrés et des blocs ovales
dans des cercles, appuyez sur Maj lorsque vous faites glisser la souris.
Vous pouvez créer des blocs à l’aide des outils suivants :
Pour changer un bloc sans contenu en bloc de texte, appuyez sur Pomme+E/Alt+E
et importez un fichier texte.
Pour changer un bloc sans contenu en bloc d’image, appuyez sur Pomme+E/Alt+E
et importez un fichier image.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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UTILISATION DES BLOCS
Vous pouvez définir des angles arrondis, concaves et biseautés pour les blocs
rectangulaires à l’aide du sous-menu Bloc > Forme ou du menu déroulant Style
d’angle de la palette Spécifications. Vous pouvez ajouter et modifier des angles
arrondis en renseignant le champ Rayon angulaire (Bloc > Modifier > onglet
Bloc). Vous pouvez également utiliser le champ Rayon angulaire bloc de la
rubrique Classique ou Espacer/Aligner de la palette Spécifications.
CRÉATION DES BLOCS DE BÉZIER
L’outil Crayon de Bézier permet de tracer des blocs et des courbes de Bézier
à plusieurs côtés dotés de segments droits ou courbes (reportez-vous à
Présentation des formes de Bézier).
Pour tracer un bloc de Bézier :
1 Sélectionnez l’outil Crayon de Bézier
le pointeur Croix
premier point.
dans la palette Outils. Positionnez
à l’endroit voulu sur la page et cliquez pour établir le
2 Placez le pointeur où vous souhaitez positionner le point suivant. Pour
contraindre le mouvement du pointeur à un angle de 45 degrés par rapport
à la page, appuyez sur la touche Maj.
3 Cliquez pour créer des points et des segments linéaires.
• Cliquez sur un point sans glissement pour créer une ligne droite et un point
angulaire. Pour créer un segment courbe et un point lisse, cliquez et faites
glisser la souris à l’emplacement souhaité pour le point suivant. Un point
doté de deux poignées de courbe apparaît. Vous pouvez contrôler la taille et
la forme de la courbe en étirant ces poignées. Appuyez sur Option/Alt en faisant
glisser le point lisse pour créer un segment courbe et un point angulaire.
4 Si vous le souhaitez, modifiez la forme de Bézier pendant que vous la tracez.
• Pour ajouter un point à un segment existant de la forme, cliquez sur le segment
linéaire sur lequel placer le point.
• Pour supprimer un point de la forme active pendant que vous la tracez, cliquez
sur celui-ci.
5 Pour fermer le bloc, fermez le chemin en positionnant le pointeur de la
souris sur le début de la courbe et cliquez lorsque le pointeur de fermeture de
bloc s’affiche.
***
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Lorsqu’un des outils de dessin est actif, vous pouvez appuyer sur Pomme/Ctrl
pour passer temporairement à l’outil Sélection point. Lorsque l’outil Sélection
point est actif, vous pouvez appuyer sur Pomme+Option/Ctrl+Alt pour passer
temporairement à l’outil Déplacement.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES BLOCS
REDIMENSIONNEMENT DES BLOCS
Un bloc peut être redimensionné en modifiant la taille de son bloc de
contrainte, c’est-à-dire la forme rectangulaire non imprimable qui le renferme. Les poignées d’élément du bloc marquent le contour du bloc de
contrainte. La meilleure manière d’afficher clairement le bloc de contrainte
est d’utiliser l’outil Déplacement pour sélectionner les poignées d’élément
sur un bloc de Bézier.
Vous pouvez redimensionner les blocs actifs en choisissant l’une des
méthodes suivantes :
• Sélectionnez l’outil Déplacement ou un outil Modification
et placez
le pointeur de la souris sur une poignée d’élément du bloc sélectionné pour
afficher le pointeur Redimensionnement. Cliquez et faites glisser la poignée
vers un nouvel emplacement pour réduire ou agrandir le bloc. Appuyez sur la
touche Maj pour conserver le rapport hauteur/largeur du bloc. Appuyez sur la
touche Option/Alt pour redimensionner le bloc à partir du centre. Appuyez
sur Pomme/Ctrl pour redimensionner le contenu du bloc en même temps que
ce dernier.
• Renseignez les champs L et H des rubriques Classique ou Espacer/Aligner de
la palette Spécifications pour modifier les largeur et hauteur, appuyez ensuite
sur Retour/Entrée.
• Choisissez Bloc > Modifier (Pomme+M/Ctrl+M), puis cliquez sur l’onglet Bloc.
Renseignez les champs Largeur et Hauteur pour changer les dimensions du
bloc de manière précise, puis cliquez sur OK.
MODIFICATION DE LA FORME DES BLOCS
Vous pouvez modifier la forme d’un bloc de trois manières :
• Vous pouvez la modifier complètement en choisissant une option différente
dans le sous-menu Bloc > Forme.
• Vous pouvez ajouter et modifier des angles arrondis en blocs rectangulaires
en renseignant le champ Rayon angulaire (Bloc > Modifier > onglet Bloc).
Vous pouvez également utiliser le champ Rayon angulaire bloc de la
rubrique Classique ou Espacer/Aligner de la palette Spécifications.
• Vous pouvez modifier la forme des blocs de Bézier en repositionnant des points,
poignées de courbe et segments. Pour plus d’informations, reportez-vous à
Présentation des formes de Bézier.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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UTILISATION DES BLOCS
AJOUT DE CADRES AUX BLOCS
Les cadres sont des bordures ornementales dont on peut entourer tous les
types de blocs. Pour accéder aux contrôles de cadre, effectuez une des
opérations suivantes :
• Choisissez Bloc > Cadre pour afficher la rubrique Cadre de la boîte de
dialogue Modifier.
• Affichez la rubrique Cadre de la palette Spécifications.
Utilisez les contrôles de ces rubriques pour définir les style, épaisseur, couleur
et opacité d’un cadre. Si le style du cadre contient des intervalles, vous pouvez
également définir la couleur et l’opacité de ces derniers.
Vous pouvez également créer vos propres styles de cadre dans la boîte de
dialogue Tirets et rayures (menu Édition) et définir des paramètres de
cadre dans un style d’élément. Pour en savoir plus sur les styles d’élément,
reportez-vous à Logiciel XTensions ItemStyles
APPLICATION DE COULEURS AUX BLOCS
Pour appliquer une couleur de fond aux blocs actifs, effectuez une des
opérations suivantes :
• Choisissez Bloc > Modifier (Pomme+M/Ctrl+M), cliquez sur l’onglet Bloc,
puis utilisez les contrôles de la zone Bloc.
• Affichez la palette Couleurs (Fenêtre > Couleurs), cliquez sur le bouton
Couleur de fond , puis utilisez les contrôles de la palette.
• Utilisez les contrôles de la rubrique Classique de la palette Spécifications.
Les contrôles disponibles dans ces rubriques et palette sont les suivants :
• Couleur bloc : permet de définir la couleur de fond du bloc.
• Teinte : permet de définir la teinte de la couleur de fond (0 % = blanc,
100 % = couleur pleine).
• Opacité : permet de contrôler la transparence de la couleur de fond (0 % =
entièrement transparent, 100 % = entièrement opaque).
Vous pouvez également définir la couleur de bloc dans un style d’élément.
Pour en savoir plus sur les styles d’élément, reportez-vous à Logiciel
XTensions ItemStyles
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES BLOCS
APPLICATION DE DÉGRADÉS À DES BLOCS
Un dégradé est une transition progressive entre deux couleurs. Pour appliquer
un dégradé au fond des blocs actifs, effectuez une des opérations suivantes :
• Choisissez Bloc > Modifier (Pomme+M/Ctrl+M), cliquez sur l’onglet Bloc,
puis utilisez les contrôles de la zone Dégradé.
• Affichez la palette Couleurs (Fenêtre > Couleurs), cliquez sur le bouton
Couleur de fond , puis utilisez les contrôles de la palette.
Les contrôles de dégradés disponibles dans cette rubrique sont les suivants :
• Style : permet de contrôler le type du dégradé.
• Angle : permet de contrôler l’angle de la transition d’une couleur à une autre.
Les dégradés ont deux couleurs ; chacune dispose de ses propres teinte et
opacité. Dans la rubrique Bloc de la boîte de dialogue Modifier, la couleur
de la zone Bloc est la première couleur et la couleur de la zone Dégradé est la
seconde. Dans la palette Couleurs, cliquez sur nº1 pour configurer la première
couleur et sur nº2 pour configurer la seconde.
Vous pouvez également définir des dégradés dans un style d’élément.
Pour en savoir plus sur les éléments de style, reportez-vous à Logiciel
XTensions ItemStyles.
FUSION ET DIVISION DES BLOCS
Les options proposées dans les sous-menus Fusionner et Diviser (menu Bloc)
permettent de créer des blocs de Bézier aux formes complexes à partir de
blocs existants. Par exemple, lorsqu’un bloc rectangulaire chevauche un bloc
ovale, vous pouvez sélectionner le sous-menu Bloc > Fusionner et choisir une
option afin de créer un bloc unique avec le même contenu. Si vous fusionnez
deux blocs d’image, une image s’affiche dans le bloc combiné. Si vous fusionnez deux blocs de texte, le texte est distribué comme une histoire dans les
deux blocs.
Pour utiliser la fonction Fusionner, sélectionnez deux éléments, puis choisissez
une des options ci-après dans le sous-menu Bloc > Fusionner :
• La commande Intersection ne conserve que les zones où les éléments recouvrent
l’élément d’arrière-plan et supprime tout le reste.
• La commande Union combine tous les éléments en un seul bloc, en conservant
les zones qui se chevauchent et celles qui ne se chevauchent pas.
• La commande Différence supprime les éléments de premier plan. Toutes les
zones de chevauchement sont éliminées.
• La commande Inverser la différence supprime l’élément d’arrière-plan. Toutes
les zones de chevauchement sont éliminées.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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51
UTILISATION DES BLOCS
• La commande Exclusif ou laisse toutes les figures intactes en n’éliminant que
les zones de chevauchement. Si vous souhaitez modifier les points qui entourent
la zone découpée, vous remarquerez que deux points apparaissent à l’endroit
où deux lignes s’entrecroisaient initialement.
• La commande Combiner est similaire à la commande Exclusif ou, mais si vous
observez les points entourant la zone découpée, vous remarquerez qu’aucun
point n’a été ajouté à l’intersection des deux lignes.
La commande Diviser permet de diviser en plusieurs blocs distincts un bloc
fusionné, de diviser en plusieurs blocs distincts un bloc complexe contenant
des chemins à l’intérieur d’autres chemins ou de diviser un bloc dont les contours s’entrecroisent (comme pour un 8). Pour utiliser cette fonction, sélectionnez deux éléments, puis choisissez une des options ci-après dans le sous-menu
Bloc > Diviser :
• La commande Chemins extérieurs s’applique à un bloc fusionné contenant
plusieurs formes qui ne se chevauchent pas. Elle conserve l’ensemble des
informations relatives aux chemins extérieurs et divise en plusieurs blocs
distincts ceux qui ne se chevauchent pas.
• La commande Tous chemins crée des blocs individuels à partir de toutes les
formes d’un bloc complexe.
AJOUT DE TEXTE ET D’IMAGES AUX BLOCS
Pour ajouter du texte à un bloc de texte, sélectionnez l’outil Modification
texte , double-cliquez sur le bloc, puis entrez du texte, collez du texte copié
d’un autre endroit ou choisissez Fichier > Importer. Si vous choisissez l’outil
Déplacement et double-cliquez sur un bloc de texte, la boîte de dialogue
Importer s’affiche.
Pour placer une image dans un bloc, sélectionnez ce dernier à l’aide de l’outil
Modification image , puis collez une image copiée d’un autre endroit ou
choisissez Fichier > Importer. Si vous choisissez l’outil Déplacement ou
l’outil Modification image , et double-cliquez sur un bloc d’image, la boîte
de dialogue Importer s’affiche.
MODIFICATION DU TYPE D’UN BLOC
Pour convertir un bloc sélectionné dans un type différent, choisissez Image,
Texte ou Néant dans le sous-menu Contenu (menu Bloc). Toutefois, vous
pouvez également transformer un bloc de texte en bloc d’image en choisissant Fichier > Importer et en sélectionnant une image. Vous pouvez changer
un bloc d’image en bloc de texte en choisissant Fichier > Importer et en
sélectionnant un fichier texte.
Pour convertir un bloc sélectionné en chemin de texte, choisissez une forme
de trait dans le sous-menu Bloc > Forme.
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES BLOCS
Lorsque vous sélectionnez un outil Bloc, vous pouvez utiliser les touches de
modification ci-après pour créer des blocs de texte ou d’image :
• Appuyez sur T pour tracer un bloc de texte.
• Appuyez sur R pour tracer un bloc d’image.
UTILISATION DES TRAITS
On distingue deux types de traits : droits et courbes de Bézier. Vous pouvez
appliquer des couleurs et des styles à tous les types de traits.
CRÉATION DES TRAITS
Pour créer un trait, sélectionnez tout d’abord l’outil Trait dans la palette
Outils et placez le pointeur Croix n’importe où sur la page. Cliquez et
faites glisser la souris pour tracer le trait.
***
Vous pouvez contraindre un trait à 0, 45 ou 90 degrés en appuyant sur la
touche Maj pendant que vous le tracez.
CRÉATION DES COURBES DE BÉZIER
L’outil Crayon de Bézier permet de tracer des blocs et des courbes de
Bézier à plusieurs côtés dotés de segments droits ou courbes (reportez-vous
à Présentation des formes de Bézier).
Pour tracer une courbe de Bézier :
1 Sélectionnez l’outil Crayon de Bézier
le pointeur Croix
premier point.
dans la palette Outils. Positionnez
à l’endroit voulu sur la page et cliquez pour établir le
2 Placez le pointeur où vous souhaitez positionner le point suivant. Pour contraindre le mouvement du pointeur à un angle de 45 degrés par rapport à la
page, appuyez sur la touche Maj.
3 Cliquez pour créer un point et des segments linéaires.
• Pour créer un segment courbe, cliquez et faites glisser la souris à l’emplacement souhaité pour le point suivant. Un point doté de deux poignées de
courbe apparaît. Vous pouvez contrôler la taille et la forme de la courbe en
étirant ces poignées.
• Pour créer un point angulaire, appuyez sur la touche Option/Alt avant de cliquer. Si vous cliquez et maintenez le bouton enfoncé, vous pouvez contrôler
le rayon du point angulaire en faisant glisser une poignée de courbe.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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UTILISATION DES TRAITS
• Pour ajouter un point à un segment existant de la forme, cliquez sur le segment
linéaire sur lequel placer le point.
• Pour supprimer un point de la forme active pendant que vous la tracez, cliquez
sur celui-ci.
4 Pour terminer la ligne, double-cliquez.
***
Lorsqu’un des outils de dessin est actif, vous pouvez appuyer sur Pomme/Ctrl
pour passer temporairement à l’outil Sélection point. Lorsque l’outil Sélection
point est actif, vous pouvez appuyer sur Pomme+Option/Ctrl+Alt pour passer
temporairement à l’outil Déplacement.
MODES DES LIGNES DROITES
Il existe quatre modes de lignes : Extrémités, Premier point, Milieu et
Dernier point. Selon le mode que vous choisissez dans la rubrique Trait
(Bloc > Modifier) ou dans la palette Spécifications (rubriques Classique et
Espacer/Aligner), la longueur et la position d’une ligne seront décrites de
façon différente.
• Mode Extrémités : le champ X1 indique la position horizontale de la première
extrémité ; le champ Y1, sa position verticale. Le champ X2 indique la position
horizontale de la deuxième extrémité ; le champ Y2, sa position verticale.
• Mode Premier point : le champ X1 indique la position horizontale de
l’extrémité de gauche ; le champ Y1, sa position verticale.
• Mode Milieu : le champ XC indique la position horizontale du milieu de
la ligne ; le champ YC, sa position verticale.
• Mode Dernier point : le champ X2 indique la position horizontale de
l’extrémité la plus à droite ; le champ Y2, sa position verticale.
REDIMENSIONNEMENT DES TRAITS
Vous pouvez redimensionner les lignes droites actives à l’aide d’une des
méthodes suivantes :
• Sélectionnez l’outil Déplacement
et placez le pointeur Flèche sur une
poignée d’élément pour afficher le pointeur Redimensionnement. Cliquez et
faites glisser la poignée vers un nouvel emplacement pour réduire ou allonger
le trait.
• Choisissez Bloc > Modifier (Pomme+M/Ctrl+M), puis cliquez sur l’onglet
Trait. Cliquez sur le menu déroulant Mode pour afficher les quatre options
de mode disponibles (reportez-vous à Modes des lignes droites). Choisissez
l’option Premier point, Milieu ou Dernier point pour afficher un champ
Longueur. Renseignez le champ Longueur pour modifier la longueur d’une
ligne avec précision, puis cliquez sur OK.
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES TRAITS
• Choisissez Premier point, Milieu ou Dernier point dans le menu déroulant Mode
de la rubrique Classique ou Espacer/Aligner de la palette Spécifications pour
afficher le champ L (champ Longueur). Pour modifier la longueur d’une ligne
avec précision, renseignez le champ L et appuyez sur la touche Retour/Entrée.
Vous pouvez redimensionner une courbe de Bézier en modifiant la taille de
son bloc de contrainte. Pour cela, vérifiez que l’option Bloc > Éditer > Forme
est désactivée, puis redimensionnez le trait comme s’il s’agissait d’un bloc.
MODIFICATION DE LA FORME DES TRAITS
Vous pouvez modifier la forme d’un trait des manières suivantes :
• Vous pouvez la modifier complètement en choisissant une option différente
dans le sous-menu Bloc > Forme.
• Vous pouvez changer la forme des lignes de Bézier en repositionnant des points,
poignées de courbe et segments. Pour plus d’informations, reportez-vous à
Présentation des formes de Bézier.
CONTRÔLE DE L’APPARENCE DES TRAITS
Pour contrôler l’apparence des traits actifs, utilisez les commandes aux
emplacements suivants :
• Palette Spécifications (rubrique Classique)
• Rubrique Trait de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc)
• Palette Couleurs (menu Fenêtre), pour la couleur de trait uniquement
Outre les couleur, teinte et opacité, vous pouvez contrôler les caractéristiques
ci-après des traits :
• Style de trait : cette option permet de contrôler l’apparence générale d’un trait.
Plusieurs styles de trait sont inclus par défaut et vous pouvez en ajouter de
nouveaux dans la boîte de dialogue Tirets et rayures (menu Édition).
• Épaisseur : vous pouvez définir l’épaisseur des traits dans n’importe quel système
de mesure. Vous pouvez également définir une épaisseur Filet maigre ; l’épaisseur à l’impression d’un filet maigre est de 0,125 sur une photocomposeuse
PostScript, cette valeur est plus élevée sur certaines imprimantes laser.
• Flèches : vous pouvez appliquer des pointes de flèche aux traits à l’aide du
menu déroulant Flèches.
Vous pouvez également définir l’apparence des traits dans un style d’élément.
Pour plus d’informations sur les styles d’élément, reportez-vous à Logiciel
XTensions ItemStyles.
JONCTION DES TRAITS
Pour fusionner deux traits, sélectionnez l’outil Déplacement , les traits,
puis choisissez Bloc > Fusionner > Joindre extrémités. La commande
Joindre extrémités est disponible lorsque les extrémités des lignes ou
des chemins de texte sont distantes de six points au plus.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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MANIPULATION DES ÉLÉMENTS
MANIPULATION DES ÉLÉMENTS
Les éléments peuvent être coupés, puis collés ailleurs, verrouillés pour ne pas
être déplacés, dupliqués une ou plusieurs fois, superposés pour créer des effets
visuels extraordinaires et manipulés de bien d’autres façons.
SÉLECTION DES ÉLÉMENTS
Vous devez sélectionner des éléments pour les manipuler. Une fois sélectionnés,
la plupart des éléments affichent des contours et des poignées permettant de
changer leur forme.
Pour sélectionner un élément, activez en premier lieu l’outil Déplacement ,
l’outil Modification texte
ou l’outil Modification image , et placez le
pointeur Flèche sur un élément. Cliquez une fois pour sélectionner un seul
élément ou, tout en appuyant sur la touche Maj, sur des éléments individuels
pour sélectionner plusieurs éléments à la fois. Vous pouvez également sélectionner plusieurs éléments en activant l’outil Déplacement
et en traçant
une zone les englobant.
Lorsque l’outil Déplacement est sélectionné, si vous double-cliquez sur un
bloc de texte, la boîte de dialogue Importer s’affiche. Si vous double-cliquez
sur un bloc d’image vide avec l’outil Déplacement ou l’outil Modification
image sélectionné, la boîte de dialogue Importer s’affiche. Si le bloc d’image
contient une image, l’outil Modification image est sélectionné.
Pour désélectionner un élément actif, cliquez en dehors de celui-ci. Lorsque
l’outil Déplacement
est sélectionné, vous pouvez appuyer sur la touche
Tab pour désélectionner les éléments actifs.
DÉPLACEMENT DES ÉLÉMENTS
Vous pouvez déplacer des éléments en renseignant les champs Origine horizontale et Origine verticale de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc),
les champs X et Y de la palette Spécifications et en déplaçant les éléments
manuellement à l’aide de l’outil Déplacement. Si vous maintenez le bouton
de la souris enfoncé avant de déplacer un bloc ou chemin de texte, vous pouvez voir le contenu tandis que vous déplacez l’élément. Vous pouvez déplacer
légèrement les éléments en sélectionnant l’outil Déplacement et en appuyant
sur une touche fléchée du clavier.
***
56
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Les poignées d’élément du bloc marquent le contour du bloc de contrainte.
La meilleure manière d’afficher clairement le bloc de contrainte est d’utiliser
l’outil Déplacement pour sélectionner les poignées d’élément sur un bloc
de Bézier.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
MANIPULATION DES ÉLÉMENTS
COUPER, COPIER ET COLLER DES ÉLÉMENTS
Lorsque l’outil Déplacement est sélectionné, les commandes Couper, Copier
et Coller (menu Édition) sont disponibles pour les blocs, traits et chemins de
texte actifs. Choisissez Édition > Coller (Pomme+V/Ctrl+V) pour placer au centre
de la fenêtre de projet une copie des éléments stockés dans le Presse-papiers.
Si vous activez l’outil Déplacement , vous pouvez utiliser les commandes
Effacer (Mac OS uniquement) et Supprimer pour supprimer les éléments. Les
éléments effacés et supprimés ne sont pas copiés dans le Presse-papiers.
CONTRÔLE DE L’ORDRE DE SUPERPOSITION DES ÉLÉMENTS
Lorsque deux objets au moins sont superposés, l’un des deux est positionné
devant ou derrière l’autre. Le terme ordre de superposition désigne la relation
avant-arrière des divers éléments figurant sur une page. Chaque objet créé
occupe son propre niveau dans l’ordre de superposition. Tout nouvel objet est
placé au premier plan.
Le menu Bloc offre des commandes permettant de contrôler l’ordre de
superposition des éléments.
• Choisissez Bloc > Arrière-plan pour placer un élément à l’arrière de la page
ou du calque.
• Choisissez Bloc > Premier plan pour placer un élément à l’avant de la page
ou du calque.
• Pour déplacer un élément d’un niveau vers l’arrière de la page ou du calque
sous Mac OS, appuyez sur la touche Option et choisissez Bloc > Éloigner.
Sous Windows, choisissez Bloc > Éloigner.
• Pour déplacer un élément d’un niveau vers l’avant de la page ou du calque
sous Mac OS, appuyez sur la touche Option et choisissez Bloc > Rapprocher.
Sous Windows, choisissez Bloc > Rapprocher.
***
Dans un document contenant des calques, ces derniers sont superposés selon
un ordre spécifique ; au sein de chaque calque, chaque élément a sa place particulière dans l’ordre de superposition. Lorsque vous utilisez les commandes
Arrière-plan, Éloigner, Premier plan et Rapprocher (menu Bloc), l’ordre de
superposition des éléments change au sein du calque.
***
Pour activer un élément caché derrière d’autres, sélectionnez l’outil
Déplacement et appuyez sur les touches Pomme+Option+Maj/Ctrl+Alt+Maj
tout en cliquant à plusieurs reprises à l’endroit où les divers éléments se superposent. Appuyez sur les touches Pomme+Option+Maj/Ctrl+Alt+Maj tout en
cliquant pour activer les éléments, de l’avant à l’arrière dans l’ordre
de superposition.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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57
MANIPULATION DES ÉLÉMENTS
GROUPEMENT DES ÉLÉMENTS
Vous pouvez combiner en un groupe plusieurs éléments d’une page ou d’une
planche. Le groupement d’éléments est utile lorsque vous souhaitez sélectionner ou déplacer plusieurs éléments en même temps. Vous pouvez déplacer,
couper, copier, dupliquer un groupe et réaliser un certain nombre d’autres
opérations. Vous pouvez, par exemple, regrouper tous les éléments qui composent le titre d’une publication, puis modifier ou déplacer le groupe ainsi formé
comme si vous manipuliez un bloc, un trait ou un chemin de texte individuel.
Les éléments regroupés peuvent toujours être modifiés, redimensionnés et
repositionnés individuellement tout en conservant leur relation de groupe.
En outre, vous pouvez placer une copie d’un groupe dans une bibliothèque
QuarkXPress ouverte afin de l’utiliser dans d’autres documents.
Il est possible de grouper des éléments quand deux éléments ou plus (traits,
blocs, chemins de texte ou autres groupes) sont actifs. Pour sélectionner plusieurs éléments avec l’outil Déplacement , cliquez sur chaque élément tout
en appuyant sur la touche Maj ou tracez un rectangle de sélection autour des
éléments à grouper. Choisissez Bloc > Grouper (Pomme+G/Ctrl+G) pour
réunir plusieurs éléments sélectionnés en un seul groupe.
Vous pouvez grouper des groupes et sélectionner simultanément un groupe
(ou plusieurs) avec des blocs, des traits et des chemins de texte pour créer un
groupe plus large.
L’outil Déplacement
sélectionné, vous pouvez déplacer, couper, copier,
coller, dupliquer, faire pivoter un groupe et lui appliquer une couleur. L’outil
Modification texte
ou Modification image
sélectionné, vous pouvez
manipuler chaque élément du groupe comme si vous manipuliez un élément
non groupé.
Pour déplacer un élément au sein d’un groupe, appuyez sur Pomme/Ctrl et
sélectionnez l’élément à l’aide de l’outil Déplacement , de l’outil
Modification texte ou de l’outil Modification image .
***
Si un groupe actif contient des éléments de même type (des blocs d’image,
par exemple), la boîte de dialogue Modifier inclut une rubrique (ou plusieurs)
se rapportant spécifiquement à ces éléments. Si un groupe actif contient des
éléments différents, la boîte de dialogue Modifier affiche uniquement la
rubrique Grouper.
Choisissez Bloc > Dégrouper (Pomme+U/Ctrl+U) pour supprimer la relation
de groupe.
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
MANIPULATION DES ÉLÉMENTS
REDIMENSIONNEMENT DES ÉLÉMENTS GROUPÉS
Pour redimensionner en même temps tous les éléments d’un groupe, cliquez
et étirez les poignées d’élément du groupe. Si vous appuyez sur les touches
Pomme+Maj/Ctrl+Maj alors que vous redimensionnez un groupe, toutes les
épaisseurs de cadre et de ligne, toutes les images et tout le texte sont redimensionnés proportionnellement. Si vous appuyez sur la touche Pomme/Ctrl alors
que vous redimensionnez un groupe, les épaisseurs de cadre, images et texte
sont redimensionnés, mais non proportionnellement.
DUPLICATION DES ÉLÉMENTS
QuarkXPress permet de réaliser une ou plusieurs copies de blocs, de traits et
de chemins de texte.
Créez une seule copie d’un élément sélectionné à l’aide de la commande
Dupliquer (menu Bloc). Vous pouvez également appuyer sur la touche
Option/Alt tout en faisant glisser un élément ou un groupe pour créer
un double.
La fonction Dupliquer et déplacer est utile lors de la mise en page d’éléments
de conception qui contiennent un certain nombre de copies d’un élément
uniformément espacées. Créez plusieurs copies d’un élément et définissez la
distance qui les sépare à l’aide de la commande Dupliquer et déplacer
(menu Bloc).
ESPACEMENT ET ALIGNEMENT DES ÉLÉMENTS
Vous pouvez contrôler la position de plusieurs éléments sélectionnés les uns
par rapport aux autres à l’aide du sous-menu Bloc > Espacer/Aligner ou de la
rubrique Espacer/Aligner de la palette Spécifications.
Vous pouvez choisir parmi huit options d’espacement et six d’alignement
dans la palette Spécifications et pouvez définir l’alignement par rapport aux
éléments sélectionnés, à la page ou (pour les mises en page papier avec pages
en regard) à la planche. Le sous-menu Bloc > Espacer/Aligner inclut les modes
Relatif élément et Relatif page décrits ci-dessous. La palette Spécifications
comprend également un troisième mode, Relatif planche.
Les modes espacer/aligner sont les suivants :
• Le mode relatif élément positionne les éléments par rapport à l’élément actif
le plus haut, qui est immobile. Celui-ci est déterminé par l’emplacement de
son sommet. Si les sommets d’au moins deux éléments sont au même niveau,
les éléments sont espacés par rapport à l’élément de gauche.
• Le mode relatif page
positionne les éléments par rapport aux bords de la
page (gauche, droite, haut ou bas).
• Le mode relatif planche est disponible pour les mises en page papier actives
comprenant des pages en regard. Par exemple, vous ouvrez une mise en page
avec planche, puis sélectionnez un élément sur la page de gauche et un autre
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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59
MANIPULATION DES ÉLÉMENTS
sur celle de droite. Si vous cliquez ensuite sur l’icône Mode relatif planche dans
la palette Spécifications et choisissez Espacer centres horizontalement , les
éléments sélectionnés se positionnent à l’extrême gauche et à l’extrême droite
de la planche.
ROTATION DES ÉLÉMENTS
Pour effectuer la rotation des éléments actifs, utilisez une des
opérations suivantes :
• Sélectionnez l’outil Déplacement
et placez la souris sur une poignée
d’angle. Lorsque le pointeur Rotation s’affiche, cliquez pour établir un point
de rotation, puis faites-le glisser en un mouvement circulaire pour faire pivoter l’élément. Le pointeur Flèche et la position de l’élément apparaissent au
cours du glissement. Si vous appuyez sur la touche Maj pendant la rotation,
les mouvements sont contraints à des angles de 45 degrés.
• Choisissez Bloc > Modifier (Pomme+M/Ctrl+M), renseignez le champ Angle,
puis cliquez sur OK.
• Renseignez le champ de la palette Spécifications (rubriques Classique et
Espacer/Aligner) et appuyez sur Retour/Entrée.
Pour faire pivoter une ligne droite, choisissez Premier point, Milieu ou
Dernier point dans le menu déroulant Mode (boîte de dialogue Modifier ou
palette Spécifications) pour afficher le champ Angle. Pour faire pivoter une
courbe de Bézier, affichez son bloc de contrainte en désactivant la commande
Forme (Bloc > Éditer).
INCLINAISON DES ÉLÉMENTS
Pour incliner des éléments actifs dans des blocs de contrainte, choisissez Bloc >
Modifier (Pomme+M/Ctrl+M) ; cliquez ensuite sur l’onglet Bloc. Renseignez
le champ Inclinaison. Les valeurs positives inclinent les objets vers la droite,
les valeurs négatives les inclinent vers la gauche.
VERROUILLAGE ET DÉVERROUILLAGE DES ÉLÉMENTS
Le verrouillage permet de protéger des éléments et du contenu des modifications
accidentelles. Vous pouvez procéder comme suit :
• Pour empêcher la modification des dimensions et de la position d’un
élément (ainsi que la suppression de ce dernier), cochez la case Bloc >
Verrouiller > Position.
• Pour empêcher la modification du contenu d’un élément, cochez la case
Bloc > Verrouiller > Histoire ou Bloc > Verrouiller > Image.
Pour déverrouiller des éléments sélectionnés, désélectionnez l’option correspondante dans le sous-menu Bloc > Verrouiller. Vous pouvez également
choisir Bloc > Modifier et cliquez sur l’icône de verrouillage placée à côté
d’un champ.
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
MANIPULATION DES ÉLÉMENTS
ANCRAGE D’ÉLÉMENTS ET DE GROUPES DANS DU TEXTE
Vous pouvez ancrer un élément ou un groupe afin qu’il s’écoule comme un
caractère au sein d’un texte. Pour ancrer un élément ou un groupe dans un
texte, utilisez l’outil Déplacement
pour sélectionner cet élément ou ce
groupe, puis choisissez Édition > Copier (Pomme+C/Ctrl+C) ou Édition >
Couper (Pomme+X/Ctrl+X). Puis, l’outil Modification texte sélectionné,
placez le point d’insertion de texte à l’endroit où vous souhaitez ancrer
l’élément ou le groupe et choisissez Édition > Coller (Pomme+V/Ctrl+V).
UTILISATION DES TABLEAUX
Dans QuarkXPress, un tableau est un élément distinct, comme un bloc de texte,
un bloc d’image, un chemin de texte ou un trait. Lorsque vous manipulez des
tableaux, vous pouvez en quelque sorte considérer chaque cellule comme un
bloc de texte, d’image ou sans contenu individuel, et vous pouvez traiter ces
cellules comme ces autres éléments. Pour manipuler les éléments du tableau
lui-même, tels que des rangées et des colonnes, utilisez le menu Tableau.
TRACÉ D’UN TABLEAU
Pour tracer un tableau et spécifier ses propriétés, procédez comme suit :
1 Sélectionnez l’outil Tableaux
dans la palette Outils, faites glisser la souris
pour tracer un rectangle de la taille approximative du tableau final, puis relâchez
le bouton de la souris. La boîte de dialogue Propriétés du tableau s’affiche.
Boîte de dialogue Propriétés du tableau
2 Indiquez le nombre de rangées horizontales dans le champ Rangées et le
nombre de colonnes verticales dans le champ Colonnes.
3 Pour indiquer le type de cellule par défaut, cliquez sur Cellules de texte ou
sur Cellules d’image dans la zone Type de cellule. Vous pourrez par la suite
sélectionner des cellules spécifiques et convertir le type de contenu si nécessaire.
4 Vous pouvez toutefois créer des cellules de texte qui s’élargissent à l’ajout de
texte à l’aide des contrôles de la zone Ajustement auto.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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61
UTILISATION DES TABLEAUX
5 Si vous avez une préférence pour parcourir les cellules d’un tableau lorsque
vous appuyez sur les touches Contrôle+Tab, vous pouvez choisir une option
différente dans le menu déroulant Ordre de tabulation.
6 Pour lier des cellules de texte afin que le texte importé soit réparti entre
les cellules spécifiées, d’une manière semblable aux blocs de texte chaînés,
cochez la case Lier cellules. Si vous cochez Lier cellules, vous pouvez choisir
la séquence de liaison des cellules de texte dans le menu déroulant Ordre
de chaînage.
***
Si vous ne liez pas les cellules de cette manière, vous pouvez effectuer cette
opération ultérieurement à l’aide de l’outil Chaînage ou de la commande
Lier cellules de texte (menu Tableau). En outre, même si vous ne liez pas les
cellules de texte, vous pouvez utiliser les touches Contrôle+Tab pour passer
d’une cellule à l’autre lors de la saisie ou de la modification des données.
7 Si vous envisagez d’importer des données depuis Excel, cochez la case Relier à
des données externes. Pour plus d’informations, reportez-vous à Importation
des tableaux Excel.
8 Si le tableau doit conserver la même taille si vous ajoutez ou supprimez des
rangées, cochez Maintenir la géométrie.
9 Cliquez sur OK.
CONVERSION DE TABLEAU EN TEXTE
La réussite de la conversion dépend de la préparation du texte lui-même. Il est
important d’utiliser les paragraphes, les tabulations, les espaces ou les virgules
(caractères que QuarkXPress peut convertir) de manière cohérente dans un bloc
de texte, car ces caractères permettent de définir les rangées et les colonnes dans
une conversion de tableau. Les utilisateurs se servent fréquemment de plusieurs
tabulations dans un traitement de texte pour aligner des colonnes de données, au
lieu de définir les taquets de tabulation appropriés. Si le bloc de texte à convertir contient plusieurs tabulations, leur nombre est probablement incohérent
entre les différentes colonnes de données. Vous devrez les ajuster avant de
convertir le texte en tableau.
Pour convertir du tableau en texte :
1 À l’aide de l’outil Modification texte
, sélectionnez tout le texte à convertir
en tableau.
2 Choisissez Tableau > Convertir le tableau en texte pour afficher la boîte
de dialogue correspondante. En fonction du texte sélectionné, QuarkXPress
détermine la valeur des options Séparer les rangées par et Séparer les
colonnes par, et le nombre de rangées et de colonnes nécessaires dans la
pire des hypothèses pour le texte sélectionné.
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES TABLEAUX
Boîte de dialogue Convertir le tableau en texte
3 Vous pouvez toutefois créer des cellules de texte qui s’élargissent à l’ajout de
texte à l’aide des contrôles de la zone Ajustement auto.
4 Si vous souhaitez répartir différemment les informations dans le tableau, par
exemple si les valeurs sont actuellement organisées en ordre décroissant mais
auraient plus d’impact en ordre croissant, vous pouvez modifier leur direction.
Choisissez une option dans le menu déroulant Ordre de remplissage de la
cellule (par défaut, De gauche à droite, de haut en bas).
5 Cliquez sur OK. Un tableau est créé, décalé par rapport au bloc de texte d’origine.
IMPORTATION DES TABLEAUX EXCEL
Les données de tableau proviennent souvent d’un tableur, tel qu’Excel, et
vous pouvez les importer comme des images. Même si la technique est légèrement différente, les résultats sont identiques : le tableau dans QuarkXPress est
lié au fichier Excel pour le suivi et la mise à jour.
Si vous importez un tableau d’Excel à l’aide de la fonction Relier à un tableau
externe de la boîte de dialogue Propriétés du tableau, le suivi de l’usage du
tableau est effectué comme celui des images. Ceci garantit que vous êtes ainsi
averti de la modification du tableau source et que vous disposez des données
les plus récentes lorsque vous produisez la mise en page par impression, rassemblement des informations pour la sortie, enregistrement en PDF ou exportation
en HTML. Pour vérifier le statut d’un tableau, choisissez Utilitaires > Usage,
puis cliquez sur l’onglet Tableaux.
Même si la mise à jour des tableaux est identique à celle des images, gardez les
points suivants à l’esprit :
• Si vous cochez la case Importer les formats dans la boîte de dialogue Liaison
de tableaux à l’importation d’un tableau Excel, son formatage Excel est conservé
(dans la mesure du possible) dans QuarkXPress. Si vous mettez le tableau à jour
par la suite, le formatage local appliqué dans QuarkXPress est supprimé et
remplacé par le formatage du fichier Excel.
• Si vous ne cochez pas la case Importer les formats dans la boîte de dialogue
Liaison de tableaux à l’importation d’un tableau Excel, son formatage Excel
est supprimé. Si vous mettez le tableau à jour par la suite, QuarkXPress tente
de préserver le formatage local appliqué au tableau dans QuarkXPress.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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63
UTILISATION DES TABLEAUX
Pour importer un tableau Excel et préserver le lien dans QuarkXPress :
1 À l’aide de l’outil Tableaux, faites glisser le curseur pour tracer un tableau aux
dimensions nécessaires approximatives. Lorsque vous relâchez le bouton de la
souris, la boîte de dialogue Propriétés du tableau apparaît.
2 Cochez Relier à des données externes.
3 Cliquez sur OK pour afficher la boîte de dialogue Liaison de tableaux.
Boîte de dialogue Liaison de tableaux
4 Cliquez sur Parcourir pour localiser et sélectionner un fichier Excel à importer.
5 Si le fichier contient plusieurs feuilles de calcul, choisissez celle que vous souhaitez importer dans le menu déroulant Feuille. Pour n’importer qu’une partie
des données, vous pouvez indiquer une plage de cellules dans le champ Série
ou choisir une plage nommée dans le menu déroulant.
6 Dans la zone Options, cochez les attributs que vous souhaitez importer.
7 Cliquez sur OK.
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***
Les formules et les références ne sont pas importées, contrairement aux valeurs
finales en résultant. Les images insérées ne sont pas importées. Le texte auquel
les options Filtre automatique ou Filtre élaboré (Données > Filtre) sont
appliquées est importé sous forme de texte statique.
***
Un moyen plus rapide de créer un tableau à partir de données Excel, sans
relier le tableau source au projet QuarkXPress pour les mises à jour, consiste à
copier et à coller. Pour cela, sélectionnez une partie quelconque d’une feuille
de calcul Excel et copiez les données sélectionnées. Puis, passez simplement
à QuarkXPress et choisissez Édition > Coller. QuarkXPress crée un tableau
pouvant recevoir les données et insère le texte.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES TABLEAUX
IMPORTATION DES GRAPHIQUES EXCEL
Si vous souhaitez utiliser des graphiques ou des images créés dans Excel via
Insérer > Graphique ou Insérer > Image dans une mise en page QuarkXPress,
vous pouvez les importer de la même façon que les autres images. Pour cela,
utilisez la rubrique Insérer un diagramme de la boîte de dialogue Importer
image (menu Fichier). Le suivi des graphiques et images importés depuis Excel
s’effectue via la rubrique Images de la boîte de dialogue Usage (menu Utilitaires)
comme pour les autres images.
AJOUT DE TEXTE ET D’IMAGES AUX TABLEAUX
Lorsque vous travaillez avec des tableaux, vous pouvez considérer une cellule
comme un bloc de texte ou d’image. Chaque bloc possède un contenu, du
texte lié ou non à la cellule suivante, une image individuelle ou rien (peutêtre un simple dégradé). Vous pouvez donc ajouter du contenu aux tableaux
comme vous le faites pour les blocs, en saisissant ou en important du texte,
ou en important des images.
***
La conversion de cellules de texte en cellules d’image est semblable à la
conversion d’un bloc de texte en bloc d’image. Sélectionnez toutes les
cellules à convertir et choisissez Bloc > Contenu > Image.
MODIFICATION DU TEXTE D’UN TABLEAU
Deux éléments importants doivent être présents à l’esprit lors de la modification du texte dans des tableaux : le mode de navigation entre les cellules
et la sélection de texte pour le formatage. Comme c’est systématiquement le
cas lors de la manipulation de texte, vous devez d’abord sélectionner l’outil
Modification texte .
La navigation à travers un tableau fonctionne de la façon suivante :
• Cliquez dans la cellule où le texte doit être saisi ou importé.
• Appuyez sur Contrôle+Tab pour passer à la cellule suivante.
• Appuyez sur Contrôle+Maj+Tab pour retourner à la cellule précédente.
• Utilisez les touches fléchées pour parcourir le texte d’une cellule et vous
déplacer d’une cellule à l’autre.
***
Pour insérer un caractère de tabulation dans une cellule de texte, appuyez
sur la touche Tab. Pour insérer une tabulation de retrait droit, appuyez sur les
touches Option+Tab/Maj+Tab. Si vous devez aligner les nombres d’un tableau
sur la virgule décimale ou un autre caractère, vous pouvez insérer des tabulations dans chaque cellule et indiquez les taquets appropriés dans le champ
Aligner sur (Style > Tabulations).
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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65
UTILISATION DES TABLEAUX
La sélection de texte dans les rangées et les colonnes fonctionne comme suit :
• Pour sélectionner tout le texte d’une rangée, cliquez en dehors du bord gauche
ou droit du tableau.
• Pour sélectionner tout le texte d’une colonne, cliquez sur le bord supérieur ou
inférieur du tableau.
• Pour sélectionner tout le texte de plusieurs rangées ou colonnes, cliquez et
faites glisser le pointeur le long d’un des bords du tableau.
• Pour sélectionner du texte dans des rangées ou des colonnes non adjacentes, appuyez sur la touche Maj tout en cliquant sur les rangées et les
colonnes souhaitées.
• Pour choisir le texte dans diverses rangées et colonnes, utilisez les options du sousmenu Sélectionner du menu Tableau. Les options sont les suivantes : Cellule,
Rangée, Rangées impaires, Rangées paires, Colonne, Colonnes impaires,
Colonnes paires, Toutes cellules, Rangées en-tête, Rangées pied de page et
Rangées corps. Les commandes Sélectionner du menu Tableau sont utiles
pour appliquer différents formatages à des rangées ou des colonnes alternées.
CHAÎNAGE DES CELLULES D’UN TABLEAU
Lorsque les cellules sont liées, le texte saisi, importé ou collé dans une cellule
remplit la première cellule de texte de l’histoire chaînée, puis chaque cellule
liée suivante. Comme pour le texte des blocs chaînés, le caractère Colonne
suivante (Entrée sur le pavé numérique) est utile pour contrôler le flux de texte
dans les cellules chaînées. Outre les cellules de tableau entre elles, vous pouvez
chaîner des cellules à et depuis des blocs et des chemins de texte.
• Pour chaîner toutes les cellules d’un tableau, cochez la case Lier les cellules
dans la boîte de dialogue Propriétés du tableau lorsque vous créez le tableau.
• Pour chaîner des cellules sélectionnées dans un tableau, choisissez Tableau >
Lier les cellules de texte. Toutes les cellules à l’exception de la première
doivent être vides.
• Pour lier manuellement des cellules de tableau, utilisez l’outil Chaînage .
Comme pour les blocs de texte, cliquez sur la cellule de début pour la sélectionner, puis sur la suivante que vous souhaitez ajouter. Pour rediriger les liens
existants, cliquez à l’aide de l’outil Chaînage tout en appuyant sur la touche Maj.
• Pour supprimer le chaînage de cellules d’un tableau, utilisez l’outil Séparation
pour cliquer sur l’extrémité épointée de la flèche entre deux cellules.
• Pour lier des cellules de tableau à des blocs ou chemins de texte, utilisez l’outil
Chaînage .
***
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Si vous combinez des cellules de texte chaînées (Tableau > Fusionner les
cellules), elles sont retirées de la chaîne de texte ; les autres liens ne sont pas
affectés. Si une cellule fusionnée est fractionnée (Tableau > Diviser cellule),
les liens sont maintenus et le texte est réparti selon l’ordre de chaînage spécifié.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES TABLEAUX
FORMATAGE DES TABLEAUX
Les tableaux, tout comme d’autres éléments de QuarkXPress, disposent de
leur propre version de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc) pour le formatage de leurs attributs. Les rubriques disponibles dans la boîte de dialogue
Modifier dépendent de l’élément sélectionné. Vous pouvez, par exemple,
sélectionner le tableau entier à l’aide de l’outil Déplacement , des cellules
ou des groupes de cellules à l’aide de l’outil Modification , ou des grilles,
des cellules d’image ou de texte spécifiques. Les options des palettes
Spécifications et Couleurs reflètent également les sélections de tableau, vous
permettant d’effectuer des ajustements.
FORMATAGE DU QUADRILLAGE
Le quadrillage est formé par les lignes horizontales entre les rangées et les
lignes verticales entre les colonnes. Lorsque le quadrillage est sélectionné,
vous pouvez utiliser la rubrique Grilles de la boîte de dialogue Modifier pour
définir des styles de ligne, épaisseurs, couleurs, couleurs d’intervalle, teintes
et opacités.
1 Pour formater un quadrillage, sélectionnez-le comme suit :
• Cliquez sur un quadrillage unique avec l’outil Modification texte
.
• Pour sélectionner plusieurs quadrillages, cliquez sur chacun tout en maintenant
la touche Maj enfoncée.
• Pour le tableau entier, tout le quadrillage horizontal ou vertical, sélectionnez
le tableau à l’aide de l’outil Déplacement . Vous pouvez alors effectuer une
sélection dans la boîte de dialogue Modifier.
• Choisissez une option dans le sous-menu Sélectionner du menu Tableau :
Grilles horizontales, Grilles verticales, Bordure ou Toutes grilles.
2 Lorsque le quadrillage approprié est sélectionné, choisissez Bloc > Modifier,
puis cliquez sur l’onglet Grille.
La rubrique Grille de la boîte de dialogue Modifier s’affiche.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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67
UTILISATION DES TABLEAUX
3 Pour sélectionner toutes les grilles, grilles verticales ou grilles horizontales,
cliquez sur un des boutons à droite de la zone Prévisualisation. Ceux-ci permettent de sélectionner, de haut en bas : Toutes grilles, Grilles horizontales
ou Grilles verticales.
4 Modifiez des valeurs dans la rubrique Grille, en utilisant la zone Prévisualisation
et le bouton Appliquer pour vous aider à prendre des décisions.
***
La palette Spécifications (menu Fenêtre) dispose également d’une rubrique
pour le formatage des grilles sélectionnées.
INSERTION ET SUPPRESSION DES RANGÉES ET DES COLONNES
Vous pouvez insérer des rangées et des colonnes n’importe où dans un tableau.
Il suffit de cliquer dans la cellule immédiatement au-dessus ou au-dessous de
l’emplacement où vous souhaitez ajouter une rangée. Ou cliquez dans une
cellule à droite ou à gauche de l’emplacement où vous souhaitez ajouter une
colonne. Choisissez ensuite Tableau > Insérer > Rangée ou Tableau >
Insérer > Colonne.
Pour sélectionner des rangées ou des colonnes à supprimer, faites glisser le pointeur flèche sur le bord d’un tableau, puis cliquez ce pointeur tout en appuyant
sur la touche Maj, ou utilisez les commandes du sous-menu Sélectionner du
menu Tableau (telles que Rangées impaires). Choisissez ensuite Tableau >
Supprimer > Rangée ou Tableau > Supprimer > Colonne.
***
Lorsque l’option Maintenir la géométrie est activée dans le menu Tableau
et que vous supprimez une colonne ou une rangée, la taille des colonnes ou
des rangées restantes augmente pour remplir l’espace qui était occupé par les
colonnes ou rangées supprimées. Si cette option n’est pas activée, le tableau
est réduit selon les besoins.
FUSION DES CELLULES
Pour fusionner des cellules, cliquez à l’aide de l’outil Modification sur une
sélection rectangulaire de cellules tout en appuyant sur la touche Maj. Choisissez
Tableau > Fusionner les cellules. Pour annuler la fusion des cellules afin de les
adapter au tableau qui les contient, sélectionnez-les, puis choisissez Tableau >
Diviser cellules.
***
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Si vous fusionnez des cellules non liées contenant du texte ou des images, le
contenu de la cellule supérieure gauche de la sélection est conservé dans la
cellule fusionnée.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES TABLEAUX
REDIMENSIONNEMENT MANUEL DES TABLEAUX, RANGÉES
ET COLONNES
Vous pouvez redimensionner des rangées, des colonnes et des tableaux, comme
d’autres éléments de QuarkXPress. Pour redimensionner une rangée ou une
colonne, cliquez sur une ligne de quadrillage afin d’afficher le pointeur de
redimensionnement. Faites-le glisser vers le haut ou le bas pour redimensionner une rangée et vers la gauche ou la droite pour redimensionner une colonne.
Pour redimensionner l’intégralité d’un tableau, appuyez sur l’une des commandes
clavier suivantes tout en faisant glisser une poignée de redimensionnement.
EFFET SUR LE TABLEAU
COMMANDE MAC OS
COMMANDE WINDOWS
Tableau et contenu
redimensionnés
Pomme
Ctrl
Tableau (non son contenu)
redimensionné proportionnellement
Maj
Maj
Tableau et contenu redimensionnés
proportionnellement
Pomme+Maj
Ctrl+Maj
RECONVERSION DES TABLEAUX EN TEXTE
Pour exporter les données actuelles d’un tableau, par exemple, pour enregistrer les données dans un fichier Word, vous pouvez convertir les informations
en texte. Pour cela, sélectionnez le tableau, puis choisissez Tableau >
Convertir tableau > En texte.
UTILISATION DES TABLEAUX ET DES GROUPES
Pour des questions de flexibilité, vous pouvez grouper des tableaux à d’autres
éléments à l’aide de la commande Groupe (menu Bloc). En outre, vous pouvez désassembler un tableau en convertissant ses cellules en une série de blocs
de texte et/ou d’image groupés. Cette méthode vous permet de séparer les éléments d’un tableau et de les utiliser ailleurs dans la mise en page. Pour ce
faire, sélectionnez un tableau et choisissez Tableau > Convertir tableau >
En groupe. Pour manipuler les blocs individuels, choisissez Bloc > Dégrouper.
CONTINUATION DES TABLEAUX À D’AUTRES EMPLACEMENTS
Comme les tableaux ne tiennent pas toujours sur une page ou une planche,
ou dans l’espace alloué dans votre projet, ils peuvent être automatiquement
continués ailleurs dans une mise en page. Dans ce cas, il vous faudra sans
doute utiliser une légende expliquant le contenu du tableau. Vous pouvez
l’ajouter sous la forme de rangées d’en-tête et de pied de page créées et
synchronisées automatiquement.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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69
UTILISATION DES TABLEAUX
Pour continuer un tableau à un autre emplacement, vous définissez un saut de
tableau. Il s’agit de la taille maximale qu’un tableau peut atteindre avant de se
scinder en deux tableaux liés. Dans un tableau continu, toute modification,
comme l’insertion de colonnes, est répercutée sur la totalité du tableau. Pour
créer une instance continue d’un tableau :
1 Choisissez Tableau > Saut de tableau pour afficher la boîte de
dialogue correspondante.
Boîte de dialogue Définir saut de tableau
2 Cochez la case Largeur pour couper le tableau lorsque sa largeur dépasse la
valeur du champ. Par défaut, la largeur actuelle du tableau apparaît dans le
champ Largeur, la réduction de cette valeur scinde le tableau.
3 Cochez la case Hauteur pour couper le tableau lorsque sa hauteur dépasse la
valeur du champ. Par défaut, la hauteur actuelle du tableau apparaît dans le
champ Hauteur, la réduction de cette valeur scinde le tableau.
4 Cliquez sur OK. Si la hauteur ou la largeur du tableau atteint les critères de
saut de tableau, celui-ci se scinde en deux tableaux liés ou plus. Vous pouvez
déplacer les tableaux continus ailleurs dans la mise en page. Si le tableau reste
dans les limites des critères de saut de tableau, il sera peut-être scindé plus tard
lorsque vous l’ajusterez par redimensionnement ou par ajout de rangées et
de colonnes.
Le tableau Tour Schedule (dates de la tournée) mesure environ 18 cm de haut.
Nous divisons le tableau à 6 cm et obtenons trois instances du tableau.
70
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CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
UTILISATION DES TABLEAUX
La fonction Saut de tableau opère dans les deux directions : elle continue
le tableau à l’aide de sous-tableaux supplémentaires si nécessaire si celui-ci
s’agrandit et fusionne à nouveau des tableaux si le tableau se raccourcit.
Pour éliminer les liens, sélectionnez une instance du tableau continu et
choisissez Tableau > Faire tableaux distincts.
AJOUT DE RANGÉES D’EN-TÊTE ET DE PIED DE PAGE À
DES TABLEAUX
Vous pouvez spécifier que ces rangées doivent se répéter automatiquement
dans les instances continues de tableaux. De plus, les rangées d’en-tête et de
pied de page sont automatiquement synchronisées ; toute modification du
texte est répercutée sur toutes les instances d’un tableau continu. Pour ajouter
des rangées d’en-tête et de pied de page dans un tableau :
1 Choisissez Tableau > Saut de tableau pour afficher la boîte de dialogue
Définir saut de tableau.
2 Cochez Hauteur.
3 Sélectionnez la première rangée du tableau et choisissez Tableau > Répéter
comme en-tête pour la désigner comme rangée d’en-tête automatique. Vous
pouvez également sélectionner plusieurs rangées en haut d’un tableau pour
les répéter en tant qu’en-têtes.
4 Sélectionnez la dernière rangée du tableau et choisissez Tableau > Répéter
comme pied de page pour la désigner comme rangée de pied de page automatique. Là aussi, vous pouvez sélectionner plusieurs rangées comme pieds
de page.
Vous pouvez désactiver la case Répéter comme en-tête ou Répéter comme
pied de page dans le menu Tableau à tout moment pour supprimer les rangées
d’en-tête ou de pied de page des tableaux continus.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
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71
UTILISATION DES TABLEAUX
Dans ce tableau continu, les deux premières rangées, l’en-tête du tableau et les
intitulés de colonne, se répètent comme rangées d’en-tête dans les instances
continues du tableau.
***
72
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Une fois les rangées d’en-tête et de pied de page automatiques ajoutées, les
autres rangées du tableau sont considérées comme des rangées de corps. Des
options du sous-menu Sélectionner du menu Tableau vous permettent de
choisir toutes les rangées d’en-tête, rangées de pied de page et rangées de
corps dans n’importe quelle instance d’un tableau continu pour le formatage.
CHAPITRE 4 : BLOCS, TRAITS ET TABLEAUX
MODIFICATION DU TEXTE
Chapitre 5 : Texte et typographie
Le texte fait partie intégrante de pratiquement toute publication. QuarkXPress
permet de créer et de modifier du texte directement dans vos publications ou
d’importer du texte à partir des applications de traitement de texte courantes.
En complément des mécanismes standard de formatage et d’édition du texte,
QuarkXPress offre des fonctions, telles que la recherche et la modification du
texte et de ses attributs, la vérification de l’orthographe, la création de dictionnaires orthographiques personnalisés et un utilitaire d’usage des polices
permettant d’effectuer des changements globaux au formatage du texte
d’un projet.
La typographie, c’est l’art de véhiculer le ton ou le sens du contenu par l’apparence du texte. QuarkXPress vous permet de contrôler le ton du texte grâce
au réglage de chaque facette de la typographie, notamment les polices de
caractères, le style typographique, l’interlignage et l’espacement.
MODIFICATION DU TEXTE
Pour entrer et importer du texte dans des blocs de texte actifs, utilisez l’outil
Modification de texte . Les caractères sont saisis au point d’insertion de texte,
indiqué par la ligne clignotante. Toute le texte contenu dans un bloc représente
une histoire. Si une série de blocs sont liés, le texte de tous ces blocs constitue
une même histoire.
Vous pouvez sélectionner du texte en cliquant plusieurs fois avec la souris.
Cliquez deux fois pour sélectionner le mot dans lequel se trouve le point d’insertion de texte ; trois fois pour sélectionner la ligne dans laquelle se trouve le
point d’insertion de texte ; quatre fois pour sélectionner le paragraphe complet
dans lequel se trouve le point d’insertion de texte ; cinq fois pour sélectionner
l’histoire entière.
Lorsque vous cliquez deux fois sur un mot pour le sélectionner et que vous le
coupez ou le copiez, l’application examine le contexte du mot et, au besoin,
ajoute ou supprime un espace automatiquement lorsque vous collez ce mot à
son nouvel emplacement. Cette fonction est appelée Espace typographique.
Si vous souhaitez que le signe de ponctuation qui accompagne un mot soit
également inclus, cliquez deux fois entre le mot et le signe de ponctuation
qui lui est adjacent.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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73
IMPORTATION ET EXPORTATION DE TEXTE
IMPORTATION ET EXPORTATION DE TEXTE
Pour importer du texte, sélectionnez l’outil Modification de texte , placez le
point d’insertion à l’endroit où vous souhaitez placer le texte, puis choisissez
Fichier > Importer texte.
Si l’ensemble du texte importé ne peut être contenu dans le bloc de texte,
le symbole de débordement s’affiche. Si la case Insertion auto. pages
(QuarkXPress/Édition >Préférences > volet Générales) est activée, des
pages sont alors insérées selon les besoins, pour contenir le texte (si vous
importez le texte dans un bloc de texte automatique).
Pour exporter du texte, placez le point d’insertion de texte dans un bloc de
texte (si vous souhaitez enregistrer tout le texte dans ce bloc) ou sélectionnez
le texte à exporter.
FILTRES D’IMPORTATION/EXPORTATION
Ces logiciels XTensions permettent d’importer et d’exporter du texte dans
une série de formats, notamment ceux décrits dans cette section.
WORD 6–2000 FILTER
Le filtre Word 6–2000 permet l’importation ou l’exportation de documents
depuis/vers les formats Microsoft Word 6.0/95 (Word 6 et Word 7) et
Word 97/98/2000 (Word 8).
***
Pour éviter les problèmes d’importation, désactivez la case Autoriser les enregistrements rapides (dans l’onglet Enregistrement de la boîte de dialogue
Options) dans Microsoft Word ou utilisez la commande Enregistrer sous
pour créer une copie du fichier Word à importer.
WORDPERFECT FILTER
Le filtre WordPerfect permet l’importation des documents depuis WordPerfect 3.0
et 3.1 (Mac OS) et WordPerfect 5.x et 6.x (Windows). Il permet aussi d’enregistrer
du texte au format WordPerfect 6.0.
***
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WordPerfect 3.1 pour Mac OS peut lire les documents WordPerfect 6.0 pour
Windows ; il n’existe donc aucune option d’exportation WordPerfect 3.1
pour Mac OS.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
RECHERCHE ET REMPLACEMENT DE TEXTE
RECHERCHE ET REMPLACEMENT DE TEXTE
La palette Rechercher/Remplacer (menu Édition) permet d’effectuer des
opérations standard de recherche et de remplacement. En outre, vous pouvez
utiliser cette palette pour :
• rechercher et remplacer à l’aide de caractères joker : Pomme+/ (Mac OS) ou
Ctrl+/ (Windows) ;
• rechercher et remplacer le formatage du texte, notamment la feuille de style,
la police, la taille, la couleur et le style typographique (styles OpenType inclus) ;
• limiter les opérations de recherche/remplacement à un seul composant, ou à
un article entier ;
• rechercher et remplacer du texte en fonction de la langue de caractère
(reportez-vous à Application d’une langue de caractère) ;
• rechercher et remplacer les ligatures.
Appuyez sur la touche Option/Alt pour remplacer le bouton Rechercher par
le bouton Début. Pour rechercher et remplacer les attributs de formatage de
base, désactivez la case Ignorer attributs.
Utilisez la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer pour rechercher et remplacer du texte. Pour rechercher et remplacer les attributs de formatage de base,
désactivez la case Ignorer attributs.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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75
VÉRIFICATION DE L’ORTHOGRAPHE
VÉRIFICATION DE L’ORTHOGRAPHE
Pour vérifier l’orthographe, choisissez une option dans le sous-menu
Utilitaires > Vérifier l’orthographe. Vous pouvez :
• vérifier un seul mot
• vérifier un texte sélectionné
• vérifier une histoire
• vérifier une mise en page entière
Utilisez la fonction Vérification de l’orthographe pour contrôler l’orthographe
dans un composant.
***
Lorsque vous cliquez sur le bouton Remplacer, l’application remplace toutes
les occurrences du mot douteux.
DICTIONNAIRES AUXILIAIRES
Pour empêcher l’arrêt du correcteur orthographique sur un mot, créez un dictionnaire auxiliaire et ajoutez-y ce mot. Pour créer un dictionnaire auxiliaire,
choisissez Utilitaires > Dictionnaire auxiliaire, puis cliquez sur Créer. Pour
ajouter des mots à un dictionnaire auxiliaire, choisissez Utilitaires > Modifier
le dictionnaire auxiliaire.
Un seul dictionnaire auxiliaire à la fois peut être utilisé avec un article. Un
dictionnaire auxiliaire reste associé à un article jusqu’à ce que vous cliquiez
sur Fermer dans la boîte de dialogue Dictionnaire auxiliaire ou que vous
ouvriez un autre dictionnaire auxiliaire.
Les dictionnaires auxiliaires sont enregistrés dans des fichiers distincts sur
votre disque dur. Le chemin d’accès au dictionnaire auxiliaire d’un article est
enregistré avec le projet. Si vous placez un dictionnaire auxiliaire ouvert dans
un dossier ou volume différent, l’application ne le trouvera pas.
76
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE CARACTÈRE
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE CARACTÈRE
QuarkXPress permet de conserver un contrôle caractère par caractère précis
sur le formatage du texte.
APPLICATION D’UNE POLICE
Pour appliquer une police à du texte sélectionné, effectuez une des
opérations suivantes :
• Choisissez Style > Police et sélectionnez une police dans le sous-menu.
• Affichez la boîte de dialogue Attributs de caractère (Style > Caractère) et
choisissez une police dans le menu Police.
• Choisissez une police dans le menu déroulant des Polices de la rubrique
Classique ou Attributs de caractère de la palette Spécifications.
• Appuyez sur les touches Pomme+Option+Maj+M/Ctrl+Alt+Maj+M pour accéder directement au champ de police de la palette Spécifications, entrez les
premiers caractères du nom de la police jusqu’à ce qu’elle soit reconnue et
appuyez sur Retour/Entrée.
Les dernières polices utilisées s’affichent en haut de la liste des polices.
***
Pour afficher des aperçus des polices dans les menus de police, cochez la case
Afficher dans le menu de police du volet Polices de la boîte de dialogue
Préférences (menu QuarkXPress/Édition). Appuyez sur la touche Maj pour
supplanter temporairement cette préférence.
SÉLECTION D’UN CORPS DE POLICE
Vous pouvez utiliser des corps de police allant de 2 à 720 points. Pour
appliquer un corps de police à du texte sélectionné, effectuez une des
opérations suivantes :
• Choisissez Style > Corps et sélectionnez une taille en points dans le sous-menu.
• Cliquez sur la flèche placée en regard du corps de police actif pour afficher
une liste de corps et en choisir ou en saisir un.
• Utilisez une des commandes clavier ci-dessous.
MAC OS
• Augmenter d’un pt : Pomme+Option+Maj+$
• Réduire d’un pt : Pomme+Option+Maj+=
• Augmenter selon la fourchette prédéfinie : Pomme+Maj+$
• Réduire selon la fourchette prédéfinie : Pomme+Maj+=
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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APPLICATION DES ATTRIBUTS DE CARACTÈRE
WINDOWS
• Augmenter d’un pt : Ctrl+Alt+Maj+£
• Réduire d’un pt : Ctrl+Alt+Maj+=
• Augmenter selon la fourchette prédéfinie : Ctrl+Maj+£
• Réduire selon la fourchette prédéfinie : Ctrl+Maj+=
APPLICATION DES STYLES TYPOGRAPHIQUES
Pour appliquer un style typographique à du texte sélectionné, effectuez une
des opérations suivantes :
• Choisissez Style > Style et sélectionnez un style typographique dans
le sous-menu.
• Choisissez Style > Caractère et cliquez sur les cases à cocher de la zone Style.
• Choisissez un style typographique dans le menu déroulant Styles typographiques de la palette Spécifications. Appliquez des styles gras et italiques à
l’aide des icônes placées à gauche du menu déroulant Styles typographiques.
Pour supprimer tous les styles du texte sélectionné, choisissez Supprimer tous
les styles du menu déroulant Styles typographiques.
Notez que le menu déroulant Styles typographiques, l’icône Gras et l’icône
Italique permettent d’appliquer des polices dérivées au lieu de polices prédéfinies. Les polices dérivées sont des modifications des polices prédéfinies. Les
polices prédéfinies sont les polices ordinaires des familles de polices. Les polices
dérivées peuvent poser des problèmes à la sortie.
La bordure de l’icône du menu Styles typographiques change de couleur pour
indiquer que des styles typographiques dérivés sont appliqués. Elle devient verte
lorsque seuls des styles typographiques prédéfinis sont appliqués. Elle devient
rouge lorsque des styles typographiques dérivés sont appliqués. Elle est noire
lorsqu’aucun style typographique n’est appliqué.
APPLICATION DES COULEURS, TEINTES ET OPACITÉS
Pour appliquer une couleur, une teinte et une opacité à du texte sélectionné,
effectuez une des opérations suivantes :
• Choisissez des options dans les sous-menus Style > Couleur, Style > Teinte et
Style > Opacité.
• Affichez la palette Couleurs (Fenêtre > Afficher les couleurs), cliquez sur une
couleur, puis choisissez ou renseignez les champs Teinte et Opacité.
• Utilisez les contrôles de couleur, teinte et opacité dans la rubrique Classique
ou Attributs de caractère de la palette Spécifications.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE CARACTÈRE
APPLICATION D’UNE ÉCHELLE HORIZONTALE OU VERTICALE
Pour appliquer une échelle horizontale ou verticale au texte sélectionné,
effectuez une des opérations suivantes :
• Choisissez Style > Échelle horizontale/verticale, puis Horizontale ou Verticale
dans le menu déroulant Échelle, renseignez le champ, puis cliquez sur OK.
• Utilisez une des commandes clavier ci-dessous. Si l’échelle d’une section de
texte sélectionnée est modifiée à la fois horizontalement et verticalement, les
commandes augmenteront ou réduiront le texte conformément.
***
Il est impossible d’appliquer simultanément à un texte des valeurs d’échelle
horizontale et verticale.
MAC OS
• Condenser de 5 % : Pomme+,
• Agrandir de 5 % : Pomme+;
• Condenser de 1 % : Pomme+Option+,
• Agrandir de 1 % : Pomme+Option+;
WINDOWS
• Condenser de 5 % : Ctrl+Maj+,
• Agrandir de 5 % : Ctrl+Maj+. (point)
• Condenser de 1 % : Ctrl+Alt+Maj+,
• Agrandir de 1 % : Ctrl+Alt+Maj+. (point)
APPLICATION D’UN DÉCALAGE DE LIGNE DE BASE
Vous pouvez placer des caractères au-dessus ou au-dessous de leur ligne de
base sans affecter l’espacement des paragraphes. Une valeur positive élève le
texte, tandis qu’une valeur négative l’abaisse. Pour appliquer un décalage de
ligne de base au texte sélectionné, effectuez une des opérations suivantes :
• Choisissez Style > Décalage ligne de base, renseignez le champ Décalage ligne
de base, puis cliquez sur OK.
• Utilisez une des commandes clavier ci-dessous.
MAC OS
• 1 pt vers le bas : Pomme+Option+Maj+)
• 1 pt vers le haut : Pomme+Option+Maj+<
WINDOWS
• 1 pt vers le bas : Ctrl+Alt+Maj+1
• 1 pt vers le haut : Ctrl+Maj+1
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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79
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE CARACTÈRE
APPLICATION DE PLUSIEURS ATTRIBUTS DE CARACTÈRE
Vous pouvez visualiser et modifier simultanément tous les attributs de caractère
via la boîte de dialogue Attributs de caractère (Style > Caractère).
Des champs vides et des cases à cocher grises dans la boîte de dialogue
Attributs de caractère indiquent que plusieurs styles sont appliqués au texte
sélectionné. Par exemple, si le champ Police est vide, cela signifie que plusieurs
polices ont été appliquées.
Toute valeur saisie dans un champ vide de la boîte de dialogue Attributs de
caractère s’appliquera à l’ensemble du texte sélectionné. Activez ou désactivez une case à cocher grise pour appliquer au texte ou en supprimer le
paramètre sélectionné.
Utilisez la boîte de dialogue Attributs de caractère pour formater le texte.
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE PARAGRAPHE
Les attributs de paragraphe sont des options de formatage qui s’appliquent à
la totalité d’un paragraphe. Il s’agit des paramètres d’alignement, de retrait,
d’interlignage et de tabulation. Pour appliquer des attributs aux paragraphes
sélectionnés, utilisez la boîte de dialogue Attributs de paragraphe (Style >
Format) ou la palette Spécifications.
Vous pouvez copier tous les formats de paragraphe appliqués, d’un paragraphe à d’autres du même bloc ou de la même chaîne de texte. Pour copier
des formats de paragraphe appliqués, sélectionnez les paragraphes que vous
souhaitez modifier, et appuyez sur les touches Option+Maj/Alt+Maj tout en
cliquant n’importe où dans le paragraphe qui contient les formats que vous
souhaitez copier. Copier des formats de paragraphe de cette manière ne change
aucun attribut de caractère.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE PARAGRAPHE
CONTRÔLE DE L’ALIGNEMENT
Vous pouvez choisir parmi cinq alignements de paragraphe : Gauche, Centré,
Droite, Justifié et Forcé. L’option Forcé aligne toutes les lignes entre les retraits
gauche et droit, comme l’option Justifié, mais justifie également la dernière
ligne (si un retour est placé à la fin du paragraphe).
Pour définir l’alignement du texte sélectionné, effectuez une des
opérations suivantes :
• Choisissez un alignement dans le sous-menu Style > Alignement.
• Cliquez sur une icône d’alignement dans la rubrique Classique ou Attributs
de paragraphe de la palette Spécifications.
• Utilisez une des commandes clavier ci-dessous.
MAC OS
• Gauche
: Pomme+Maj+L
• Centré
: Pomme+Maj+C
• Droite
: Pomme+Maj+R
• Justifié
: Pomme+Maj+J
• Forcé
: Pomme+Option+Maj+J
WINDOWS
• Gauche
: Ctrl+Maj+L
• Centré
: Ctrl+Maj+C
• Droite
: Ctrl+Maj+R
• Justifié
: Ctrl+Maj+J
• Forcé
: Ctrl+Alt+Maj+J
CONTRÔLE DE L’INDENTATION
Pour définir les retraits des paragraphes sélectionnés, utilisez le sous-menu
Style > Alignement, la boîte de dialogue Attributs de paragraphe (Style >
Format) ou la rubrique Attributs de paragraphe de la palette Spécifications.
• Pour spécifier le retrait d’un paragraphe à partir du bord gauche d’un bloc ou
d’une colonne, renseignez le champ Retrait gauche.
• Pour spécifier la distance de retrait de la première ligne d’un paragraphe à
partir de la valeur Retrait gauche, renseignez le champ Alinéa. Notez que
l’alinéa est relatif au retrait gauche appliqué à un paragraphe. Par exemple,
si vous spécifiez un retrait gauche et un alinéa de 1,27 cm, l’alinéa sera placé
à 2,54 cm du bord gauche du bloc de texte.
• Pour spécifier le retrait d’un paragraphe à partir du bord droit d’un bloc ou
d’une colonne, renseignez le champ Retrait droit. Cliquez sur OK.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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81
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE PARAGRAPHE
• Pour créer des retraits descendants, spécifiez un retrait gauche positif et un
alinéa négatif ou faites glisser les icônes de retrait sur la règle des colonnes.
Utilisez le bouton Appliquer de la rubrique Format de la boîte de dialogue
Attributs de paragraphe (Style > Format) pour faire des essais de
retraits descendants.
Vous pouvez non seulement établir des retraits descendants en tant qu’attributs de paragraphe, mais aussi saisir un caractère spécial entraînant le retrait
de toutes les lignes de texte, de ce caractère au retour de paragraphe suivant.
Appuyez sur les touches Pomme+Maj+= (Mac OS) ou Ctrl+Alt+Maj+! (Windows)
pour saisir un caractère d’alignement sur l’alinéa. (Notez que ce caractère est
invisible ; pour l’afficher, choisissez Affichage > Afficher caractères invisibles
(Pomme+I/Ctrl+I).)
L’alignement et les retraits se mesurent à l’aide du retrait de texte spécifié
dans la rubrique Texte de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc). La
valeur Retrait texte affecte les quatre côtés d’un bloc de texte, mais non les
colonnes qu’il contient.
CONTRÔLE DE L’INTERLIGNAGE
L’interlignage mesure l’espacement des lignes, soit la distance entre les lignes
de base de texte des paragraphes. La valeur d’interlignage que vous spécifiez
est appliquée à toutes les lignes des paragraphes sélectionnés. L’interlignage
peut être spécifié de trois façons :
• L’interlignage absolu précise la distance qui sépare les lignes de base du texte,
indépendamment de la taille des caractères sur ces lignes. Par exemple, si vous
appliquez à un paragraphe une valeur d’interlignage absolu de 16 points, toutes
les lignes de base seront séparées de 16 points. Lorsque vous spécifiez un interlignage absolu, choisissez une valeur égale à la distance verticale totale dont
vous souhaitez séparer les lignes de base du texte.
• L’interlignage automatique incrémentiel associe une valeur d’interlignage automatique de base à une valeur absolue définie dans le champ Interlignage
(menu Style). Les valeurs d’interlignage incrémentiel doivent être précédées
du signe plus (+) ou moins (–).
• L’interlignage automatique signifie que l’application utilise la valeur du champ
Interlignage automatique (QuarkXPress/Édition > Préférences > volet
Paragraphe) pour décider si l’interlignage automatique doit être incrémentiel
ou exprimé en pourcentage. L’interlignage par défaut, c’est-à-dire exprimé en
pourcentage, s’appuie sur une valeur de base d’interlignage automatique à
laquelle est ajouté un pourcentage fixe du corps de police le plus grand situé
sur la ligne supérieure pour déterminer l’espacement total entre une ligne à
laquelle a été appliquée la méthode d’interlignage automatique et la ligne
supérieure. La valeur par défaut de l’interlignage automatique en pourcentage
est 20 %. Pour définir l’interlignage automatique, entrez auto dans le
champ Interlignage.
82
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE PARAGRAPHE
Pour définir l’alignement des paragraphes sélectionnés, effectuez une des
opérations suivantes :
• Choisissez Style > Interlignage, puis entrez une valeur d’interlignage absolu,
une valeur d’interlignage incrémentiel (précédée du signe plus ou moins) ou
le mot auto dans le champ Interlignage.
• Utilisez les contrôles Interlignage de la palette Spécifications.
• Utilisez une des commandes clavier ci-dessous.
MAC OS
• Réduire d’un pt : Pomme+Maj+: (deux-points)
• Réduire de 0,1 pt : Pomme+Option+Maj+: (deux-points)
• Augmenter d’un pt : Pomme+Maj+ù
• Augmenter de 0,1 pt : Pomme+Option+Maj+ù
WINDOWS
• Réduire d’un pt : Ctrl+ù
• Réduire de 0,1 pt : Ctrl+Alt+ù
• Augmenter d’un pt : Ctrl+*
• Augmenter de 0,1 pt : Ctrl+Alt+*
CONTRÔLE DE L’ESPACE AVANT ET APRÈS LES PARAGRAPHES
Les commandes Espace avant et Espace après vous permettent de spécifier
l’espace à ajouter avant ou après des paragraphes sélectionnés.
Pour définir l’espace avant et après des paragraphes sélectionnés, effectuez
une des opérations suivantes :
• Choisissez Style > Format, puis renseignez les champs Espace avant ou
Espace après.
• Utilisez les commandes Espace avant paragraphe et Espace après paragraphe
dans la rubrique Attributs de paragraphe de la palette Spécifications.
DÉFINITION DES TABULATIONS
Vous pouvez choisir parmi six types de taquets de tabulation :
• Gauche aligne le texte fer à gauche sur le taquet de tabulation.
• Centré centre le texte sur le taquet.
• Droite aligne le texte fer à droite sur le taquet.
• Point aligne le texte sur un point.
• Virgule aligne le texte sur une virgule.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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83
APPLICATION DES ATTRIBUTS DE PARAGRAPHE
• Aligné sur aligne le texte sur le caractère de votre choix. Lorsque vous sélectionnez cette tabulation, le champ Aligné sur s’affiche. Sélectionnez l’entrée
existante et entrez le caractère d’alignement.
***
Si vous ne définissez pas de tabulations personnalisées, l’application pose des
tabulations prédéfinies tous les 12 millimètres.
Pour appliquer des tabulations aux paragraphes sélectionnés, effectuez une
des opérations suivantes :
• Utilisez les contrôles de la rubrique Tabulations de la boîte de dialogue
Attributs de paragraphe (Style > Tabulations).
• Utilisez les contrôles de la rubrique Tabulations de la palette Spécifications.
La palette Spécifications permet de préserver l’espace à l’écran, et vous pouvez
visualiser en continu les effets des modifications apportées aux paramètres de
tabulation. Vous pouvez faire glisser les icônes de tabulation vers la règle ou
directement dans le texte. Lorsque vous faites glisser les tabulations vers la règle
ou le texte, une ligne verticale apparaît à l’écran pour vous aider à positionner
la tabulation.
CONTRÔLE DES LIGNES VEUVES ET ORPHELINES
Les lignes veuves et orphelines sont deux types de lignes indésirables d’un point
de vue typographique. Une veuve est généralement définie comme la dernière
ligne d’un paragraphe qui apparaît en haut d’une colonne. Une orpheline est
la première ligne d’un paragraphe qui apparaît en bas d’une colonne.
Grâce à la fonction Joindre les lignes, vous pouvez choisir de ne pas couper
les paragraphes ; si toutes ses lignes ne peuvent tenir dans une colonne ou sur
une page, le paragraphe entier se déplace au début de la colonne ou page suivante. Vous pouvez également conserver la coupure des paragraphes en précisant
le nombre de lignes devant demeurer au bas d’une colonne ou d’un bloc et en
haut de la colonne ou du bloc suivant. La fonction Lier au ¶ suivant permet
également de ne pas séparer un paragraphe du suivant. De cette manière, vous
pouvez par exemple lier un paragraphe avec le sous-titre qui le précède ou lier
plusieurs lignes de texte formant un ensemble logique.
Il est courant de spécifier Lier au paragraphe suivant pour les feuilles de style
de titre et de sous-titre et Joindre les lignes (en général avec les paramètres
Début et Fin) pour les feuilles de style du corps du texte.
Pour activer ou désactiver Joindre les lignes et Lier au paragraphe suivant
pour les paragraphes sélectionnés, choisissez Style > Format pour afficher la
rubrique Format de la boîte de dialogue Attributs de paragraphe, puis activez
ou désactivez les deux options.
84
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
CONTRÔLE DE L’APPROCHE DE PAIRE
CONTRÔLE DE L’APPROCHE DE PAIRE
L’approche de paire est l’ajustement de l’espace qui sépare deux caractères. En
effet, certains caractères aux formes particulières auront un aspect plus avantageux selon qu’ils sont rapprochés ou écartés. L’approche de paire s’applique
automatiquement ou manuellement.
Les valeurs d’approche s’expriment en 1/200ème de cadratin. Une valeur
d’approche positive éloigne deux caractères, une valeur négative les rapproche.
APPROCHE DE PAIRE MANUELLE
Pour appliquer l’approche de paire entre deux caractères, effectuez une des
opérations suivantes :
• Choisissez Style > Approche de paire et renseignez le champ Approche de
paire. Cliquez sur OK.
• Utilisez les contrôles Approche de paire de la palette Spécifications.
• Utilisez une des commandes clavier ci-dessous.
MAC OS
• Réduire d’1/20ème de cadratin : Pomme+Maj+,
• Augmenter d’1/20ème de cadratin : Pomme+Maj+;
• Réduire d’1/200ème de cadratin : Pomme+Option+Maj+,
• Augmenter d’1/200ème de cadratin : Pomme+Option+Maj+;
WINDOWS
• Réduire d’1/20ème de cadratin Ctrl+Maj+ù
• Augmenter d’1/20ème de cadratin : Ctrl+Maj+*
• Réduire d’1/200ème de cadratin : Ctrl+Alt+Maj+ù
• Augmenter d’1/200ème de cadratin : Ctrl+Alt+Maj+*
APPROCHE DE PAIRE AUTOMATIQUE
Pour effectuer automatiquement l’approche de paire de caractères au-dessus
d’un corps de police spécifique, affichez le volet Caractère de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition), cochez la case Approche
auto. à partir de et renseignez le champ.
QuarkXPress utilise les données d’approche de paire intégrées à la police (la table
d’approche de la police). Une table d’approche comporte un certain nombre de
paires de caractères, comme Ta par exemple, à chacune desquelles une valeur
d’approche est associée. Vous ne pouvez pas modifier cette table, mais vous
pouvez créer une table personnalisée pour une police à l’aide de la boîte de
dialogue Modifier la table d’approche de paire (menu Utilitaires). Vous
pouvez utiliser cette boîte de dialogue pour personnaliser l’espace horizontal
(Rapprocher) et vertical (Décaler) des paires d’approche.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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85
CONTRÔLE DE LA CÉSURE ET DE LA JUSTIFICATION
CONTRÔLE DE LA CÉSURE ET DE LA JUSTIFICATION
Une spécification de césure et de justification (C&J) est un ensemble nommé
de paramètres pour la césure des mots dépassant la marge d’une ligne de texte
et pour la justification des espaces entre des mots et des caractères. Vous pouvez
appliquer des spécifications C&J à un paragraphe individuel ou les associer à
une feuille de style de paragraphe. Utilisez la boîte de dialogue Modification
de la césure et de la justification (Édition > C&J > Créer) pour contrôler
ces paramètres.
Boîte de dialogue Modification de la césure et de la justification
• Césure automatique : indiquez si la césure automatique est autorisée.
• Le plus petit mot : indique le nombre minimum de caractères qu’un mot
doit contenir pour être coupé.
• Minimum avant : indique le nombre minimum de caractères avant le
trait d’union.
• Minimum après : indique le nombre minimum de caractères après le
trait d’union.
• Césure des mots à maj. : indique si la césure des mots en majuscules
est autorisée.
• Césures consécutives : inique combien de mots peuvent être coupés dans
des fins de ligne consécutives.
• Zone de césure : indique la zone avant le retrait droit dans lequel la césure se
produit. Par exemple, si vous définissez la zone de césure à 1,27 mm, le mot
est coupé lorsqu’un point de césure acceptable se trouve à moins de 1,27 mm
du retrait droit. Le mot précédent le mot coupé ne doit pas se trouver dans la
zone de césure.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
CONTRÔLE DE LA CÉSURE ET DE LA JUSTIFICATION
• Mode de justification : indique comment les mots et les caractères
sont espacés.
• Espace : indique l’espace minimum et maximum entre les mots dans des paragraphes comportant un alignement justifié ou forcé. Indiquez l’espace optimum
entre des mots dans tous les paragraphes, quel que soit leur alignement.
• Caract. : indique l’espace minimum et maximum entre les caractères dans
des paragraphes comportant un alignement justifié ou forcé. Indiquez l’espace optimum entre des caractères dans tous les paragraphes, quel que soit
leur alignement.
• Zone justif. : indique la zone avant le retrait droit à l’intérieur de laquelle le
dernier mot de la dernière ligne d’un paragraphe justifié doit se trouver pour
justifier cette ligne. Par exemple, si vous entrez 25,4 mm, la dernière ligne
d’un paragraphe à laquelle la spécification de césure et de justification est
appliquée ne sera pas justifiée si le dernier mot de la ligne ne se trouve pas à
moins de 25,4 mm du retrait droit.
• Mot justifié : indique si un mot isolé sur une ligne d’un paragraphe justifié
s’étend du retrait gauche au retrait droit. Lorsque cette case est vide, un mot
isolé sur une ligne est aligné à gauche.
DÉFINITION DES EXCEPTIONS DE CÉSURE
Dans la plupart des éditions en différentes langues de QuarkXPress, vous
pouvez créer des listes spécifiques d’exceptions de césure. La boîte de dialogue
Exceptions de césure (menu Utilitaires) comprend un menu déroulant
Langue qui permet de définir la langue à laquelle une exception de césure
s’applique. Lorsque la césure automatique est effectuée dans un paragraphe,
QuarkXPress contrôle la liste des exceptions de césure associée à la langue de
paragraphe appropriée.
***
La boîte de dialogue Césure proposée (menu Utilitaires) affiche la césure recommandée pour un mot en se basant sur la méthode de césure définie pour le
paragraphe et sur les exceptions de césure associées à la langue de celui-ci.
UTILISATION DE LA CÉSURE CONDITIONNELLE
Outre la césure automatique, l’insertion de traits d’union manuels ou conditionnels (Pomme+- (trait d’union)/Ctrl+!) vous permet de contrôler les ruptures de
ligne et la distribution du texte. Un tiret conditionnel n’est inséré que si un
mot est coupé en fin de ligne.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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CONTRÔLE DE L’APPROCHE DE GROUPE
CONTRÔLE DE L’APPROCHE DE GROUPE
L’approche de groupe permet d’ajuster l’espace qui sépare des caractères ou mots
sélectionnés à des fins de calibrage ou pour produire des effets typographiques.
Les valeurs d’approche s’expriment en 1/200ème de cadratin. Une valeur
d’approche de groupe positive augmente l’espace qui suit chaque caractère,
une valeur négative le réduit.
L’approche de groupe est surtout utilisée pour le calibrage. Cependant, abuser
de cette technique peut affecter l’aspect général et la lisibilité d’un document.
Dans l’optique du calibrage, vous devriez respecter les règles suivantes :
• Effectuez l’approche de paragraphes entiers et non pas d’une ligne ou d’un
mot seul.
• Établissez des limites d’approche, par exemple de +3 à –3.
• Veillez à ce qu’une approche de groupe identique soit appliquée aux paragraphes
placés côte à côte.
Ces règles ne sont que des lignes directrices ; les valeurs d’approche adéquates
dépendent de la conception, de la police, de la largeur des colonnes, ainsi que
d’autres facteurs.
APPROCHE DE GROUPE MANUELLE
Pour appliquer une approche de groupe à du texte sélectionné, effectuez une
des opérations suivantes :
• Choisissez Style > Approche de groupe, renseignez le champ Approche de
groupe, puis cliquez sur OK.
• Utilisez les contrôles Approche de groupe de la palette Spécifications.
• Utilisez une des commandes clavier ci-dessous.
MAC OS
• Réduire d’1/20ème de cadratin : Pomme+Maj+,
• Augmenter d’1/20ème de cadratin : Pomme+Maj+;
• Réduire d’1/200ème de cadratin : Pomme+Option+Maj+,
• Augmenter d’1/200ème de cadratin : Pomme+Option+Maj+;
WINDOWS
• Réduire d’1/20ème de cadratin : Ctrl+Maj+ù
• Augmenter d’1/20ème de cadratin : Ctrl+Maj+*
• Réduire d’1/200ème de cadratin : Ctrl+Alt+Maj+ù
• Augmenter d’1/200ème de cadratin : Ctrl+Alt+Maj+*
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
CONTRÔLE DE L’APPROCHE DE GROUPE
MODIFICATION DES TABLES D’APPROCHE DE GROUPE
L’application utilise les données d’approche de groupe intégrées à la police
(la table d’approche de la police). Vous ne pouvez pas modifier cette table, mais
vous pouvez créer une table personnalisée pour une police à l’aide de la boîte
de dialogue Approche de groupe (menu Utilitaires).
UTILISATION DE FEUILLES DE STYLE
Une feuille de style est un groupe d’attributs de paragraphes et/ou de caractères
que l’on peut appliquer en une seule étape aux paragraphes et aux caractères
sélectionnés. Utilisez des feuilles de style pour convertir un texte non formaté
en manchette, sous-titre, légende, corps du texte, etc. L’utilisation de feuilles
de style pour appliquer plusieurs attributs de paragraphes et de caractères en
même temps réduit le temps consacré à la mise en page et contribue à maintenir
une homogénéité typographique.
CRÉATION ET MODIFICATION DES FEUILLES DE STYLE
DE PARAGRAPHE
Une feuille de style de paragraphe est un ensemble nommé d’attributs de
paragraphe et de caractère. Vous pouvez appliquer tous les attributs de formatage d’une feuille de style de paragraphe au texte en associant simplement
celle-ci au texte. Pour créer, modifier, dupliquer ou supprimer des feuilles de
style de paragraphe, utilisez la boîte de dialogue Feuilles de style (Édition >
Feuilles de style).
La boîte de dialogue Feuilles de style permet de créer, modifier et supprimer
des feuilles de style.
Pour créer une feuille de style de paragraphe, choisissez Paragraphe depuis le
bouton déroulant Créer. La boîte de dialogue Modification de la feuille de
style de paragraphe s’affiche. Utilisez les contrôles de cette boîte de dialogue
pour configurer les attributs de la feuille de style.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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UTILISATION DE FEUILLES DE STYLE
La boîte de dialogue Modification de la feuille de style de paragraphe permet
de configurer une feuille de style de paragraphe.
Configurez d’abord les contrôles de la rubrique Générales :
• Nom : entrez un nom dans ce champ ou l’application emploiera la désignation
par défaut Nouvelle feuille de style.
• Équivalent clavier : saisissez dans ce champ un équivalent clavier défini pour
la feuille de style. Vous pouvez saisir n’importe quelle combinaison des touches
Pomme, Option, Maj ou Contrôle/Ctrl ou Ctrl+Alt avec une touche de fonction
ou du pavé numérique.
• Si vous attribuez à une feuille de style un équivalent clavier correspondant à
une commande existante, le raccourci de la feuille de style supplante la commande existante lorsque l’outil Modification est sélectionné et qu’un bloc de
texte est actif.
• Basé sur : pour baser les attributs d’une nouvelle feuille de style sur une feuille
existante, cliquez sur le menu déroulant Basé sur et choisissez une feuille de
style dans la liste. Si vous utilisez le menu déroulant Basé sur de la boîte de
dialogue Modification de la feuille de style de paragraphe pour baser une
feuille de style sur une feuille existante, les changements apportés à l’original
s’appliquent automatiquement à la copie.
• Style suivant : pour sélectionner une transition d’une feuille de style de paragraphe à une autre après la saisie d’un retour chariot, choisissez une feuille de
style de paragraphe dans le menu déroulant Style suivant.
• Style : pour associer une feuille de style de caractères à la feuille de style de
paragraphe, choisissez une option dans le menu déroulant Style de la zone
Attributs de caractère. Pour créer une feuille de style de caractères, reportez-vous
à Création et modification des feuilles de style de caractères.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
UTILISATION DE FEUILLES DE STYLE
Utilisez ensuite les rubriques Format, Tabulations et Filets afin de définir des
attributs supplémentaires pour la feuille de style de paragraphe. Lorsque vous
avez terminé, cliquez sur OK pour retourner à la boîte de dialogue Feuilles de
style, puis sur Enregistrer pour sauvegarder la feuille de style. Une fois une
feuille de style de paragraphe enregistrée, elle apparaît dans le sous-menu
Feuille de style de paragraphe (menu Style), ainsi que dans la palette
Feuilles de style.
***
Les feuilles de style créées sans projet ouvert sont intégrées à la liste des
feuilles de style par défaut et s’appliquent à tous les projets créés par la suite.
Lorsque vous créez une feuille de style avec un projet ouvert, elle est incluse
uniquement dans la liste des feuilles de style du projet actif.
***
Pour créer une feuille de style de paragraphe basée sur du texte formaté,
placez d’abord le point d’insertion de texte dans un paragraphe comportant
les attributs de format que vous souhaitez incorporer à la feuille de style.
Choisissez Édition > Feuilles de style pour afficher la boîte de dialogue
Feuilles de style. Choisissez Créer > Paragraphe et renseignez le champ
Nom. Cliquez sur Enregistrer. Appliquez ensuite la nouvelle feuille de style
au paragraphe.
MISE À JOUR DES FEUILLES DE STYLE DE PARAGRAPHE
Utilisez les boutons en haut de la section de paragraphe de la palette
Feuilles de style pour créer, dupliquer, modifier ou mettre à jour une feuille
de style. Lorsque vous placez le curseur dans un paragraphe auquel un formatage local uniforme est appliqué, vous pouvez mettre à jour une feuille de
style existante pour inclure le formatage local en cliquant sur le bouton Mettre
à jour. Vous pouvez également choisir Édition > Mettre à jour la feuille de
style > Paragraphe.
Choisissez Édition > Mettre à jour la feuille de style > Les deux pour actualiser
le paragraphe et la feuille de style associés au texte sélectionné.
CRÉATION ET MODIFICATION DES FEUILLES DE STYLE
DE CARACTÈRES
Un feuille de style de caractères est un ensemble nommé d’attributs de caractère.
Vous pouvez appliquer tous les attributs de formatage d’une feuille de style de
caractères au texte en associant simplement celle-ci au texte. Pour créer, modifier
ou supprimer des feuilles de style de caractères, utilisez la boîte de dialogue
Feuilles de style (Édition > Feuilles de style).
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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91
UTILISATION DE FEUILLES DE STYLE
Pour créer une feuille de style de caractères, choisissez Caractère depuis le
bouton déroulant Créer. La boîte de dialogue Modification de la feuille de
style de caractères s’affiche. Utilisez les contrôles de cette boîte de dialogue
pour configurer les attributs de la feuille de style.
La boîte de dialogue Modification de la feuille de style de caractères permet
de configurer une feuille de style de caractères.
Configurez d’abord les contrôles de la rubrique Générales :
• Nom : entrez un nom dans ce champ ou l’application emploiera la désignation
par défaut Nouvelle feuille de style.
• Équivalent clavier : saisissez dans ce champ un équivalent clavier défini pour
la feuille de style. Vous pouvez saisir n’importe quelle combinaison des touches
Pomme, Option, Maj ou Contrôle/Ctrl ou Ctrl+Alt avec une touche de fonction
ou du pavé numérique.
• Basé sur : pour baser les attributs d’une nouvelle feuille de style sur une feuille
existante, choisissez cette dernière dans le menu déroulant Basé sur.
Choisissez ensuite des attributs de caractère dans la partie inférieure de la boîte
de dialogue Modification de la feuille de style de caractères. Lorsque vous
avez terminé, cliquez sur OK pour retourner à la boîte de dialogue Feuilles de
style, puis sur Enregistrer pour sauvegarder la feuille de style. Une fois une
feuille de style de caractères enregistrée, elle apparaît dans la liste du sousmenu Feuille de style de caractères (menu Style), ainsi que dans la palette
Feuilles de style.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
UTILISATION DE FEUILLES DE STYLE
MISE À JOUR DES FEUILLES DE STYLE DE CARACTÈRES
Utilisez les boutons en haut de la section de caractère de la palette Feuilles de
style pour créer, dupliquer, modifier ou mettre à jour une feuille de style. Lorsque
vous sélectionnez du texte auquel un formatage local uniforme est appliqué,
vous pouvez mettre à jour une feuille de style existante pour inclure le formatage local en cliquant sur le bouton Mettre à jour. Vous pouvez également
choisir Édition > Mettre à jour la feuille de style > Caractère.
Choisissez Édition > Mettre à jour la feuille de style > Les deux pour actualiser
le paragraphe et la feuille de style associés au texte sélectionné.
APPLICATION DES FEUILLES DE STYLE
Pour appliquer une feuille de style au texte sélectionné, effectuez une des
opérations suivantes :
• Choisissez le nom de la feuille de style dans le sous-menu Style > Feuille de
style de paragraphe ou Style > Feuille de style de caractère.
• Affichez la palette Feuilles de style (menu Fenêtre), puis cliquez sur le nom
de la feuille de style dans la palette.
• Utilisez la commande clavier (le cas échéant) affichée face au nom de la feuille
de style dans la palette Feuilles de style.
Lorsque des attributs locaux de paragraphe ou de caractère se trouvent dans
du texte sélectionné, un signe plus s’affiche face au nom de la feuille de style
dans la palette Feuilles de style. Pour supprimer les attributs locaux, cliquez
sur Aucun style et sélectionnez de nouveau la feuille de style, ou cliquez sur
son nom tout en appuyant sur la touche Option/Alt.
AJOUT DES FEUILLES DE STYLE
Pour importer des feuilles de style de paragraphe et de caractères depuis un
article ou un projet différent, choisissez Fichier > Ajouter, accédez au fichier
d’article ou de projet cible, puis affichez la rubrique Feuilles de style et
importez les feuilles de style souhaitées.
Si une feuille de style du fichier source porte le même nom qu’une feuille
de style du projet cible, mais est définie différemment, la boîte de dialogue
Conflit né de l’ajout s’affiche. Vous pouvez utiliser cette boîte de dialogue
pour déterminer comment résoudre ces conflits.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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93
POSITIONNEMENT DU TEXTE DANS DES BLOCS DE TEXTE
POSITIONNEMENT DU TEXTE DANS DES BLOCS DE TEXTE
Les rubriques ci-dessous présentent différentes méthodes pour contrôler le
positionnement vertical et horizontal du texte dans les blocs de texte.
UTILISATION DE LA GRILLE DES LIGNES DE BASE
Les versions 7.0 et antérieures de QuarkXPress comportaient une fonction
appelée Grille des lignes de base. La grille des lignes de base représentait une
série de lignes horizontales invisibles espacées régulièrement de haut en bas
de chaque page. Le verrouillage des paragraphes contre cette grille permettait
d’aligner les lignes de base de colonne en colonne et de bloc en bloc à travers
une page ou une planche.
Dans QuarkXPress 8.0, la fonction Grille des lignes de base a été remplacée
par la fonction Grille de conception. Pour plus d’informations, reportez-vous
à Grilles de conception.
ALIGNEMENT VERTICAL DU TEXTE
Il existe quatre positions verticales possibles des lignes de texte dans les blocs
de texte :
• En haut : dans les blocs de texte réglés sur cette option, les lignes du texte
s’alignent dans le bloc avec le haut de la première ligne à la position spécifiée
dans la zone Première ligne de base.
• Centré : dans les blocs de texte réglés sur cette option, les lignes de texte sont
centrées entre l’ascendante de la première ligne de base et le bas du bloc
de texte.
• En bas : dans les blocs de texte réglés sur cette option, les lignes de texte
s’alignent avec la dernière ligne justifiée au bas du bloc.
• Justifié : dans les blocs de texte réglés sur cette option, les lignes de texte s’alignent selon la position de la première ligne spécifiée dans la zone Première
ligne de base, la dernière ligne s’alignant le long du retrait de texte à la base
du bloc et les lignes intermédiaires étant justifiées. Lorsque vous justifiez du
texte verticalement, vous pouvez préciser l’écart vertical maximal entre
les paragraphes.
Pour utiliser ces options, choisissez-en une dans le menu déroulant Type
(Bloc > Modifier > rubrique Texte > zone Alignement vertical. Le champ
Max Inter ¶ (disponible uniquement lorsque l’option Justifié est sélectionnée dans le menu déroulant Type) permet de définir l’espace pouvant être
inséré entre les paragraphes justifiés verticalement.
***
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Les options d’alignement Centré, En bas et Justifié ne s’appliquent qu’aux
zones de texte rectangulaires et peuvent être interrompues par des éléments
faisant obstruction.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
POSITIONNEMENT DU TEXTE DANS DES BLOCS DE TEXTE
SÉLECTION DES RETRAITS DE TEXTE
Le retrait du texte détermine la distance à laquelle les caractères sont décalés
par rapport au bord intérieur d’un bloc de texte. Pour définir le retrait de
texte d’un bloc de texte actif, utilisez les contrôles de retrait de texte (Bloc >
Modifier > rubrique Texte > zone Retrait texte). Pour spécifier un retrait égal
pour les quatre côtés, ne cochez pas la case Retraits multiples, mais entrez un
chiffre dans le champ Tous les côtés. Pour spécifier des retraits de texte différents pour chaque côté, cochez la case Retraits multiples, puis entrez des
chiffres dans les champs Haut, Gauche, Bas et Droite.
CONTRÔLE DES POLICES UTILISÉES
Pour visualiser et remplacer les polices utilisées dans un article, affichez la
rubrique Polices de la boîte de dialogue Usage (menu Utilitaires). Cette rubrique
répertorie toutes les polices utilisées dans l’article actif. Pour remplacer toutes
les occurrences d’une police dans l’article, sélectionnez le nom de celle-ci,
cliquez sur Remplacer et choisissez une police de remplacement.
***
Si une police apparaît dans la rubrique Polices (Utilitaires > Usage) sous la
forme [Nom de la police] précédé d’un nombre négatif, cette police n’est pas
installée dans le système que vous utilisez. Dans ce cas, vous pouvez installer
la police requise et rouvrir le document ou vous pouvez utiliser la commande
Usage pour rechercher les occurrences de la police et en appliquer une autre.
CONVERSION DE TEXTE EN BLOCS
Pour convertir les caractères sélectionnés en bloc d’image de Bézier, choisissez
Style > Texte en bloc.
Pour convertir le texte sélectionné en blocs d’image de Bézier non ancrés,
choisissez Style > Convertir texte en blocs > Non ancré.
Pour convertir le texte sélectionné en blocs d’image de Bézier ancrés, choisissez
Style > Convertir texte en blocs > Ancré.
Pour convertir tout le contenu de blocs de texte en blocs d’image de Bézier non
ancrés, choisissez Style > Convertir texte en blocs > Convertir le bloc entier.
Pour en savoir plus, reportez-vous à Présentation des formes de Bézier et
Utilisation des blocs ancrés.
***
Dans les versions 8 et supérieures de QuarkXPress, vous pouvez convertir
plusieurs lignes de texte à la fois en blocs.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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UTILISATION DE L’HABILLAGE DE TEXTE
UTILISATION DE L’HABILLAGE DE TEXTE
La fonction d’habillage permet de contrôler la distribution du texte derrière,
autour ou à l’intérieur des éléments et des images. Vous pouvez spécifier la
distribution du texte autour d’un objet existant ou vous pouvez créer des
chemins d’habillage personnalisés, puis les modifier.
L’habillage permet de différencier une page du point de vue visuel.
HABILLAGE PAR LE TEXTE DE TOUS LES CÔTÉS D’UN ÉLÉMENT
Pour habiller par le texte tous les côtés d’un élément, sélectionnez un bloc de
texte à l’aide de l’outil Modification de texte ou Déplacement , affichez
la rubrique Texte de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc), puis cochez
Habiller chaque côté de texte.
***
Le bloc de texte, et non pas l’élément qui fait obstacle au texte, détermine si
le texte habille trois côtés ou tous les côtés de l’élément. Il s’agit de la seule
commande d’habillage qui agit sur le bloc de texte même. Toutes les autres
commandes d’habillage agissent sur les éléments placés devant le bloc de texte.
HABILLAGE PAR LE TEXTE DES LIGNES ET DES CHEMINS DE TEXTE
Pour appliquer un habillage de texte à une ligne ou un chemin de texte
devant un bloc de texte, sélectionnez la ligne ou le chemin, choisissez Bloc >
Habillage, puis une option du menu déroulant Type :
• Choisissez Néant pour distribuer le texte derrière la ligne ou le chemin de texte.
• Choisissez Bloc pour distribuer le texte autour de la ligne ou du chemin de
texte. Vous pouvez indiquer la distance que conserve le texte par rapport aux
bords supérieur, inférieur, gauche et droit de l’élément sélectionné. Dans le
cas d’un chemin de texte, le texte n’habillera que le chemin, et non le texte
qui se trouve dessus.
• Choisissez Manuel pour créer un chemin d’habillage modifiable. Vous pouvez
spécifier la distance du nouveau chemin par rapport au texte, puis modifier ce
chemin en choisissant Bloc > Modifier > Habillage. Pour plus d’informations
sur la modification d’un chemin d’habillage, reportez-vous à Finition d’un
chemin d’habillage et Modification d’un chemin d’habillage.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
UTILISATION DE L’HABILLAGE DE TEXTE
HABILLAGE PAR LE TEXTE DES BLOCS DE TEXTE
Pour appliquer un habillage de texte à un bloc de texte devant un autre bloc
de texte, sélectionnez le bloc de texte de devant, choisissez Bloc > Habillage,
puis une option du menu déroulant Type :
• Choisissez Néant pour distribuer le texte derrière le bloc de texte actif.
• Choisissez Bloc pour que le texte habille le bloc de texte actif. Si celui-ci est
rectangulaire, renseignez les champs Haut, Gauche, Bas et Droite afin de
spécifier la réserve intérieure ou extérieure de la zone d’habillage. S’il n’est pas
rectangulaire, seul le champ Réserve extérieure est disponible.
HABILLAGE PAR LE TEXTE DES IMAGES
Les applications de retouche d’images peuvent imbriquer des chemins et des
couches alpha dans une image. Un chemin est une forme de Bézier lisse, tandis qu’une couche alpha est généralement une image à niveaux de gris. Les
chemins et les couches alpha servent généralement à déterminer les parties
affichées d’une image et les parties masquées ou transparentes.
Si vous importez une image intégrant un chemin ou une couche alpha, vous
pouvez utiliser ces derniers pour contrôler le mode d’habillage du texte autour de
l’image. Plus précisément : l’application peut balayer un chemin ou des couches,
et créer un chemin d’habillage du texte en fonction de ces informations.
Pour appliquer un habillage de texte à un bloc d’image devant un bloc de
texte, sélectionnez le bloc de texte, choisissez Bloc > Habillage, puis une
option du menu déroulant Type :
• Choisissez Néant pour distribuer le composant image actif.
• Choisissez Bloc pour distribuer le texte autour des limites du composant image.
Si celui-ci est rectangulaire, renseignez les champs Haut, Gauche, Bas et Droite
afin de spécifier la réserve intérieure ou extérieure de la zone d’habillage. S’il
n’est pas rectangulaire, seul le champ Réserve extérieure est disponible.
• Choisissez Image automatique pour créer un chemin de détourage et
d’habillage de Bézier en fonction des zones non blanches de l’image.
• Choisissez Chemin imbriqué pour distribuer le texte autour d’un chemin
intégré à une image par une application de retouche.
• Choisissez Couche alpha pour distribuer le texte autour d’une couche alpha
intégrée à une image par une application de retouche.
• Choisissez Zones non blanches pour créer un chemin d’habillage basé sur
le sujet de l’image. Selon la valeur du champ Seuil, le chemin d’habillage
souligne une figure sombre dans un fond plus large blanc ou presque blanc
(ou vice versa).
• Choisissez Idem détourage pour régler le chemin d’habillage de texte sur le
chemin de détourage sélectionné dans la rubrique Détourage.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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97
UTILISATION DE L’HABILLAGE DE TEXTE
• Choisissez Limites de l’image pour distribuer le texte autour de la toile
rectangulaire du fichier image importé. Celle-ci comprend toutes les zones
d’arrière-plan blanches enregistrées avec le fichier original. Renseignez les
champs Haut, Gauche, Bas et Droite pour définir la réserve intérieure ou
extérieure du texte par rapport aux limites de l’image.
***
Le chemin intérieur de la zone Prévisualisation représente le chemin d’habillage
et le contour extérieur représente le bloc d’image.
Rubrique Habillage de la boîte de dialogue Image, affichant un aperçu
de l’habillage
FINITION D’UN CHEMIN D’HABILLAGE
Lorsque vous choisissez Image automatique, Chemin imbriqué, Couche
alpha, Zones non blanches ou Idem détourage dans le menu déroulant Type
(Style > Image > Habillage), les champs suivants permettent de manipuler le
chemin d’habillage :
1 Réserve extérieure modifie la taille du chemin d’habillage. Des valeurs
positives produisent un chemin d’habillage éloigné du paramètre original,
tandis que les valeurs négatives réduisent la surface de l’image incluse dans
le chemin d’habillage.
2 Le champ Bruit permet de spécifier le plus petit chemin fermé autorisé. Tout
chemin fermé plus petit que la valeur de bruit est ignoré. Les valeurs de bruit
sont utiles pour épurer les chemins d’habillage et faciliter leur sortie.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
UTILISATION DE L’HABILLAGE DE TEXTE
3 Régularité permet de contrôler la précision du chemin. Une valeur plus petite
crée un chemin plus complexe avec un plus grand nombre de points. Une valeur
plus élevée crée un chemin moins précis.
4 Seuil détermine la façon dont le « blanc » est défini. Tous les pixels définis
comme « blancs » sont exclus. Par exemple, si la valeur du champ Seuil est
20 % et que la tonalité du gris d’un pixel est inférieure ou égale à 20 %, on
considérera que ce pixel est blanc. Il sera donc exclu du chemin de détourage.
MODIFICATION D’UN CHEMIN D’HABILLAGE
Pour ajuster un chemin d’habillage, cochez Habillage (Bloc > Édition). Le
chemin d’habillage apparaît sous forme de contour magenta. Vous pouvez
alors modifier le chemin comme tout autre objet de Bézier.
Vous pouvez donc modifier les types de points et les segments du chemin
d’habillage à l’aide des contrôles de la palette Spécifications. Pour remplacer
le type d’un point, utilisez un des trois boutons suivants :
• Point symétrique : un point symétrique relie deux courbes pour former
une courbe continue. Le résultat est semblable à un point lisse, mais les poignées de courbe reposent toujours sur une ligne droite traversant le point et
se trouvent toujours à une distance égale par rapport à ce point.
• Point lisse : un point lisse relie deux lignes courbes pour former une courbe
continue. Les poignées de courbe prennent toujours appui sur une ligne droite
traversant le point, mais peuvent être étirées indépendamment.
• Point angulaire : un point angulaire relie deux lignes droites, une ligne
droite et une courbe, ou deux courbes discontinues. Les poignées attachées aux
points angulaires des lignes courbes peuvent être manipulées indépendamment,
en général pour marquer une transition nette entre les deux segments.
Pour modifier le caractère d’un segment linéaire, utilisez un des
boutons suivants :
• Segment droit
• Segment courbe
***
: convertit le segment actif en segment droit.
: convertit le segment actif en segment courbe.
Vous pouvez également modifier les types de points et de segments à l’aide du
sous-menu Style > Type de point/segment.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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99
UTILISATION DES CHEMINS DE TEXTE
UTILISATION DES CHEMINS DE TEXTE
Un chemin de texte est une ligne à laquelle vous pouvez ajouter du texte.
Vous pouvez manipuler la position et l’orientation du texte sur le chemin, les
attributs du texte (police, couleur, corps, etc.), ainsi que la forme et les attributs
de style du chemin.
Pour ajouter du texte à une ligne ou à un chemin, sélectionnez l’outil
Modification de texte et double-cliquez sur la ligne ou le chemin.
Pour contrôler l’orientation du texte le long du chemin, affichez la rubrique
Chemin de texte de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc), puis cliquez
sur un bouton de la zone Orientation du texte pour effectuer votre sélection.
Vous pouvez également choisir une option dans le menu déroulant Aligner
texte afin de déterminer quelle partie d’une police servira à positionner les
caractères sur le chemin.
CRÉATION DES LETTRINES
Les lettrines sont des majuscules initiales qui descendent de deux lignes au
moins en dessous de la première ligne d’un paragraphe. Grâce à la fonction
automatique, les lettrines sont agrandies et automatiquement habillées du
texte du paragraphe. Elles apparaissent avec les mêmes polices et styles
typographiques que ceux appliqués au reste du paragraphe.
Pour appliquer des lettrines à un paragraphe sélectionné, affichez la rubrique
Format de la boîte de dialogue Attributs de paragraphe et cochez Lettrines.
Pour spécifier le nombre de caractères à utiliser comme lettrines, saisissez une
valeur comprise entre 1 et 127 dans le champ Nombre de caractères. Pour spécifier le nombre de lignes le long desquelles les caractères descendent, saisissez
une valeur comprise entre 2 et 16 dans le champ Nombre de lignes.
Les lettrines permettent de distinguer visuellement le texte.
100
|
***
Les lettrines sont mesurées en pourcentage plutôt qu’en points. Lorsque vous
sélectionnez une lettrine, la taille par défaut est 100 %.
***
Vous pouvez également créer des lettrines dans la rubrique Attributs de
paragraphe de la palette Spécifications.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
CRÉATION DE FILETS AU-DESSUS ET AU-DESSOUS DES PARAGRAPHES
CRÉATION DE FILETS AU-DESSUS ET AU-DESSOUS DES PARAGRAPHES
Les filets sont souvent appliqués au-dessus ou au-dessous du texte pour
rehausser des paragraphes, indiquer des informations connexes ou simplement enrichir une mise en page d’une note graphique. Pour créer des filets,
utilisez la rubrique Filets de la boîte de dialogue Attributs de paragraphe
(menu Style).
UTILISATION DES BLOCS ANCRÉS
Vous pouvez coller des blocs et des lignes de toute forme dans du texte.
Ceux-ci se comportent alors comme des caractères et se déplacent avec le
texte. Ceci est particulièrement utile lorsque le texte est redistribué. Si des
éléments placés dans un texte redistribué ne sont pas ancrés, ils se déplacent
et risquent de chevaucher le texte.
ANCRAGE DES BLOCS ET DES LIGNES DANS LE TEXTE
Lorsqu’un élément est ancré, il se comporte comme un caractère et se positionne
avec le texte. Pour ancrer un élément :
1 Choisissez l’outil Déplacement
, puis choisissez l’élément que vous
souhaitez ancrer.
2 Choisissez Édition > Couper ou Édition > Copier.
3 Sélectionnez l’outil Modification texte
et placez la barre d’insertion de
texte où vous souhaitez ancrer l’élément.
4 Choisissez Édition > Coller pour ancrer l’élément au point d’insertion de texte.
COUPER, COPIER, COLLER ET EFFACER DES BLOCS ET DES
LIGNES ANCRÉS
Pour couper ou copier un élément ancré, sélectionnez-le comme n’importe
quel caractère de texte et choisissez Édition > Couper ou Édition > Copier.
Pour déplacer l’élément ancré, placez la barre d’insertion de texte à l’emplacement souhaité et choisissez Édition > Coller. Pour supprimer un élément
ancré, sélectionnez-le ou faites-le suivre de la barre d’insertion de texte et
appuyez sur la touche Suppression/Retour arrière.
DÉSANCRAGE DES BLOCS ET DES LIGNES
Pour désancrer un élément, sélectionnez-le avec l’outil Déplacement et
choisissez Bloc > Dupliquer pour créer une copie non ancrée de l’élément —
l’élément dupliqué sera placé sur la page suivant les paramètres de la boîte
de dialogue Dupliquer et déplacer (menu Bloc). Supprimez ensuite l’élément
ancré dans le texte en le sélectionnant à l’aide de l’outil Modification texte
et en appuyant sur la touche Suppression/Retour arrière.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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UTILISATION DES POLICES OPENTYPE
UTILISATION DES POLICES OPENTYPE
OpenType est un format de polices multi-plate-forme élaboré par Adobe
et Microsoft, comprenant des jeux de caractères et des glyphes importants,
comportant souvent des fractions, des ligatures conditionnelles et des chiffres
elzéviriens, etc. Lorsqu’une police OpenType est appliquée au texte, vous
pouvez accéder à toutes les options de style intégrées à celle-ci via la boîte de
dialogue Attributs de caractères (Style > Caractère).
***
Apprendre à faire la distinction entre des caractères et des glyphes vous aidera
à mieux comprendre le fonctionnement des styles OpenType. Un caractère
est un élément de langage écrit : les majuscules, minuscules, chiffres et signes
de ponctuation sont tous des caractères. Un glyphe est en fait une image
représentant un caractère, peut-être sous des formes différentes. Par exemple,
le chiffre 1 standard est un caractère, le chiffre elzévirien 1 est un glyphe.
Autre exemple : f et i placés côte à côte sont des caractères, la ligature fi est
un glyphe.
***
Une relation réciproque n’existe pas toujours entre des caractères et des
glyphes. Dans certains cas, trois caractères (tels qu’un 1, une barre oblique et
un 4) forment un glyphe de fraction unique (1/4). Ou un caractère peut être
représenté par trois glyphes possibles (trois symboles de perluète différents,
par exemple). Vous pouvez sélectionner des caractères individuels à formater
et à modifier, indépendamment des glyphes utilisés.
APPLICATION DES STYLES OPENTYPE
Vous pouvez appliquer un style OpenType aux caractères pour afficher des
glyphes différents, conçus spécifiquement ou repositionnés dans la police
actuelle. Par exemple, vous pouvez appliquer le style Fractions afin d’accéder
à des glyphes de fraction spécifiques plutôt que de formater manuellement
des fractions en redimensionnant et en repositionnant des caractères existants. De même, l’application du style Ligatures standard représente des
caractères suivant les ligatures disponibles dans la police. (Reportez-vous à
Utilisation des ligatures pour plus d’informations.) Vous pouvez appliquer de
nombreux styles combinés, mais certains, comme Exposant et Indice
s’excluent mutuellement.
Pour appliquer des styles OpenType dans la boîte de dialogue Attributs de
caractère (Style > Caractère) et les rubriques Modification des attributs de
caractère (Édition > Feuilles de style) afin de définir des feuilles de style de
caractères et de paragraphe, cliquez sur la flèche à côté d’OpenType pour afficher les styles, puis utilisez les cases à cocher pour appliquer ces styles. Une
case à cocher non disponible ou une option de menu déroulant entre crochets
indique un style OpenType non pris en charge par la police active.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
UTILISATION DES POLICES OPENTYPE
Styles OpenType disponibles dans la boîte de dialogue Attributs de caractères
Les styles OpenType sont les suivants :
• Ligatures standard : applique des ligatures conçues pour améliorer la lisibilité
et à utilisation standard.
• Ligatures conditionnelles : applique des ligatures non utilisées en standard.
Cette fonction concerne les ligatures permettant de produire un effet spécial à
la discrétion de l’utilisateur.
• Chiffres tabulaires : applique des épaisseurs égales aux nombres.
• Chiffres proportionnels : applique des épaisseurs inégales aux nombres.
• Petites majuscules : applique des petites majuscules aux caractères non CJK
(chinois, japonais et coréen) en minuscules.
• Petites capitales : applique des petites majuscules à tous les caractères non
CJK (chinois, japonais et coréen).
• Chiffres linéaires : applique des styles numériques modernes qui s’alignent
mieux avec le texte en majuscules.
• Chiffres garaldes : applique des styles numériques convenant mieux aux
nombres intégrés au texte.
• Italique : applique des glyphes en italique.
• Fractions : applique des glyphes de fraction à barre oblique.
• Lettres ornées italiques : applique des glyphes calligraphiques.
• Ordinaux : applique des glyphes de nombres ordinaux.
• Variantes titre : applique des glyphes en majuscules conçus pour les titres à
corps plus important.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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UTILISATION DES POLICES OPENTYPE
• Variantes contextuelles : applique des variations de glyphe suivant des
juxtapositions contextuelles de texte.
• Formes localisées : remplace des formes par défaut de glyphes par des
formes localisées.
• Position : applique des glypes en exposant, indice, inférieur scientifique,
numérateur et dénominateur au texte sélectionné.
UTILISATION DES LIGATURES
Il existe deux méthodes d’utilisation des ligatures : la méthode patrimoniale
et la méthode OpenType. La méthode patrimoniale prend en charge les
ligatures standard telles que fi et fl dans des polices PostScript. La méthode
OpenType permet d’accéder aux ligatures standard et conditionnelles dans
des polices OpenType. Ces deux méthodes sont appliquées comme attributs
de caractères ; vous pouvez donc les appliquer à n’importe quel
texte sélectionné.
• Pour appliquer des ligatures au texte sélectionné à l’aide de la méthode patrimoniale, cochez Activer ligatures dans la rubrique Caractère de la palette
Spécifications (menu Fenêtre) ou cochez Ligatures dans la boîte de dialogue
Attributs de caractères (Style > Caractère).
• Pour appliquer des ligatures au texte sélectionné à l’aide de la méthode
OpenType, sélectionnez du texte utilisant OpenType, puis choisissez Ligatures
standard dans le menu OpenType de la rubrique Classique ou Caractère de
la palette Spécifications (menu Fenêtre). Les ligatures telles que fi, fl, ff, ffi,
ffl, fj, ffj et th seront appliquées si elles sont intégrées à la police. Vous pouvez
également choisir Ligatures conditionnelles pour appliquer des ligatures
rares, telles que ct, sp, st et fh. Si l’une de ces options de ligature s’affiche
entre crochets, la police OpenType active ne la prend pas en charge. Vous
pouvez également cocher Ligatures standard et Ligatures conditionnelles
dans la zone OpenType de la boîte de dialogue Attributs de caractères.
PRÉFÉRENCES POUR LES LIGATURES
Vous pouvez définir des préférences pour les ligatures dans le volet Caractère
de la boîte de dialogue Préférences (QuarkXPress/Édition > Préférences >
Mise en page papier > Caractère) :
• Césure à partir de : la valeur de ce champ précise une valeur d’approche de
groupe ou de paire au-dessus de laquelle les ligatures seront coupées. Avec la
valeur par défaut 1, si vous utilisez une approche de groupe +1 pour le texte
(1/200ème de cadratin), les ligatures sont remplacées par des lettres standard.
• Pas «ffi» ou «ffl» : cochez cette case pour interdire les ligatures fi et fl dans
des mots tels qu’office ou affluent si la police active ne les contient pas.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
UTILISATION DE LA PALETTE GLYPHES
UTILISATION DE LA PALETTE GLYPHES
Un glyphe est la plus petite unité d’une police — chaque lettre majuscule,
par exemple, est constituée de son glyphe propre. Pour accéder à tous les
glyphes d’une police, particulièrement dans le cas d’une police OpenType qui
peut comprendre environ 65 000 glyphes, il vous faut afficher une table de
caractères complète. Vous pouvez accéder à cette table de caractères dans la
palette Glyphes (menu Fenêtre), qui vous permet de visualiser tous les glyphes
de la police sélectionnée, d’afficher les glyphes en gras ou en italique, de doublecliquer sur un glyphe pour l’insérer dans le texte et d’enregistrer vos glyphes
favoris pour y accéder facilement.
La palette Glyphes facilite la manipulation de jeux de caractères importants et de
polices de qualité professionnelle.
Pour visualiser les glyphes dans une police, affichez la palette Glyphes (menu
Fenêtre) et choisissez une police dans le menu Police dans l’angle supérieur
gauche. Les options disponibles dans la palette Glyphes sont les suivantes :
• Vous pouvez utiliser les boutons Gras et Italique pour afficher les versions en
gras et en italique des glyphes ; si l’instance gras, italique ou gras italique de
la police n’est pas active dans votre système, l’application les simule sur les
glyphes comme elle le fait lorsque vous appliquez les styles typographiques
Gras et Italique à l’aide de la palette Spécifications.
• Pour afficher un sous-ensemble des glyphes de la police, choisissez une option
dans le menu déroulant Afficher.
• Pour afficher les variantes disponibles pour un glyphe, cliquez sur la case dans
le coin inférieur droit de la cellule du glyphe.
• Le cas échéant, cliquez sur l’outil Loupe de la palette pour les agrandir.
• Si vous avez besoin du point de code Unicode d’un glyphe, pour la création
HTML, par exemple, vous pouvez l’afficher (sous forme de valeur hexadécimale)
en pointant sur ce glyphe.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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UTILISATION DE LA PALETTE GLYPHES
• Pour insérer un glyphe au point d’insertion de texte, double-cliquez dessus
dans la palette Glyphes.
• Si vous utilisez fréquemment certains glyphes d’une police, vous pouvez les
enregistrer comme favoris pour y accéder rapidement. Pour créer une liste de
favoris, cliquez d’abord sur le triangle d’affichage en regard de Glyphes favoris dans la palette Glyphes (menu Fenêtre). Puis, faites simplement glisser un
glyphe vers une cellule vide dans la zone Glyphes favoris. Pour supprimer un
favori, cliquez tout en appuyant sur la touche Contrôle/cliquez avec le bouton
droit sur le glyphe et utilisez le menu contextuel.
AFFICHAGE DES CARACTÈRES INVISIBLES
L’option Caractères invisibles (menu Affichage) est toujours utile lors de la
modification d’un texte ou de la mise au point de la typographie, car elle permet de voir les caractères invisibles courants tels que les espaces, les tabulations
et les retours de paragraphe.
INSERTION DE CARACTÈRES SPÉCIAUX
Il existe toutes sortes de caractères spéciaux à des fins de typographie et de
formatage. Vous pouvez entrer ces caractères spéciaux à l’aide de commandes
clavier ou les choisir dans le sous-menu Utilitaires > Insérer caractère. Chaque
caractère s’affiche différemment lorsque les caractères invisibles apparaissent
(Affichage > Caractères invisibles).
INSERTION D’ESPACES
Pour insérer un espace particulier, comme un cadratin, au point d’insertion
de texte, choisissez Utilitaires > Insérer caractère > Spécial > Cadratin
ou Utilitaires > Insérer caractère > Spécial (insécable) > Cadratin. Les
options du sous-menu Espace insécable servent à « coller » deux mots, deux
nombres, etc., et empêchent ainsi les césures entre ces deux éléments en fin
de ligne.
INSERTION D’AUTRES CARACTÈRES SPÉCIAUX
Pour insérer un caractère spécial autre qu’un espace, tel qu’un tiret cadratin
ou un caractère d’indicateur de position du numéro de la page courante, au
point d’insertion de texte, choisissez Utilitaires > Insérer caractère > Spécial
ou Utilitaires > Insérer caractère > Spécial (insécable).
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
SPÉCIFICATION DE LA LANGUE DES CARACTÈRES
SPÉCIFICATION DE LA LANGUE DES CARACTÈRES
Vous pouvez spécifier la langue à utiliser pour la césure et la vérification de
l’orthographe en appliquant une langue de caractère au texte. Vous pouvez
ainsi mêler des mots de langues différentes dans le même paragraphe sans
provoquer de césures erronées ou davantage de mots douteux dans Vérifier
l’orthographe (menu Utilitaires). En plus d’appliquer une langue particulière
à des caractères, vous pouvez appliquer Néant afin d’interdire la césure ou la
vérification orthographique d’un mot.
Pour appliquer une langue aux caractères sélectionnés, utilisez le menu
déroulant Langue de la boîte de dialogue Attributs de caractères (Style >
Caractère) ou la rubrique Caractère de la palette Spécifications.
UTILISATION DE FONT FALLBACK
La prise en charge d’Unicode, système de codage de caractères sur 16 bits
autorisant des jeux de caractères plus étendus dans les polices, comprend la
prise en charge de Font Fallback. Font Fallback désigne la capacité d’une
application à sélectionner automatiquement et intelligemment une autre
police pour afficher ou imprimer un caractère spécifique lorsque la police
actuelle ne le permet pas.
Lorsque Font Fallback est activé, si l’application détecte un caractère non disponible dans la police actuelle, il recherche parmi les polices actives de votre
système une qui contient ce caractère. Par exemple, si Helvetica est appliqué
au point d’insertion du texte et que vous importez ou collez du texte contenant un caractère Kanji, l’application peut lui appliquer une police Hiragino.
Si l’application ne trouve pas de police active contenant le caractère, celui-ci
s’affiche sous forme de carré ou de symbole.
Font Fallback est mis en œuvre en tant que préférence pour l’application,
c’est-à-dire que la fonction est activée ou désactivée dans votre exemplaire du
programme. La fonction est activée par défaut, mais si vous devez la désactiver, annulez la sélection de la case Font Fallback dans le volet Paramètres de
saisie de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
IMPORTATION ET EXPORTATION DE TEXTE AVEC DES OPTIONS UNICODE
Vous pouvez spécifier un type de codage lors de l’importation et de l’exportation de texte. Le type de codage spécifie la séquence d’octets utilisée pour
représenter chaque glyphe du texte. Lorsque vous manipulez du texte dans
d’autres langues ou HTML, vous pouvez choisir l’encodage approprié pour
convertir tous les caractères du fichier en Unicode. Les options fonctionnent
comme suit :
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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IMPORTATION ET EXPORTATION DE TEXTE AVEC DES OPTIONS UNICODE
• La boîte de dialogue Importer comprend un menu déroulant Codage lorsque
du texte brut ou un fichier de texte « XPress Tags » est sélectionné. Le logiciel
tente de déterminer le codage des fichiers texte sélectionnés et d’appliquer un
type de codage approprié. Vous pouvez, toutefois, choisir une option différente
pour le texte.
• La boîte de dialogue Enregistrer texte présente un menu déroulant Codage
lorsque vous exportez du texte brut ou au format « XPress Tags ».
• L’option Convertir guillemets continue de convertir des guillemets droits en
guillemets typographiques et les tirets doubles en cadratins.
UTILISATION DES RÈGLES DE MAPPAGE DES POLICES
Lorsque vous ouvrez un projet, l’application s’assure que toutes les polices
appliquées au texte sont actives dans votre système. Dans le cas contraire,
l’alerte Polices manquantes apparaît, vous donnant la possibilité de remplacer les polices manquantes par des polices actives. Vous pouvez enregistrer
ces remplacements comme des règles de mappage globales, qui peuvent être
appliquées automatiquement chaque fois que vous ouvrez un projet.
Pour créer une règle de mappage de polices, ouvrez d’abord un projet utilisant
une police manquante (inactive). Cliquez sur Liste des polices pour afficher
l’alerte Polices manquantes. Utilisez le bouton Remplacer pour choisir des
polices de remplacement pour toutes les polices manquantes, puis cliquez sur
Enregistrer en tant que règle. Tous les remplacements répertoriés dans l’alerte
Polices manquantes sont enregistrés comme règles, même si certains remplacements seulement sont sélectionnés. Si vous changez d’avis concernant un
remplacement, sélectionnez la ligne correspondante et cliquez sur Réinitialiser.
Vous pouvez également choisir Fichier > Version enregistrée après avoir ouvert
l’article. Ceci réaffiche l’alerte Polices manquantes et vous permet d’effectuer
des changements. (Notez que les changements s’appliquent uniquement à cet
article, et non à toutes les règles que vous venez d’enregistrer.)
Une fois que vous avez créé une règle de mappage des polices en cliquant sur
Enregistrer en tant que règle dans l’alerte Polices manquantes, la règle est
enregistrée dans les préférences de votre exemplaire de l’application et appliquée à tous les articles. Pour modifier, supprimer ou partager des règles de
mappage des polices, choisissez Utilitaires > Mappage police.
Vous pouvez utiliser le volet Mappage police (QuarkXPress/Édition >
Préférences) pour spécifier une police de remplacement par défaut et décider
si l’alerte Polices manquantes s’affiche lorsque vous ouvrez un projet où des
polices sont manquantes.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
GRILLES DE CONCEPTION
GRILLES DE CONCEPTION
La fonction Grille de conception est une extension de la fonction Grille de lignes
de base des versions 7 et antérieures de QuarkXPress. Les grilles de conception
facilitent davantage la définition des grilles en vous permettant d’aligner du
texte et des objets précisément au niveau de la page et du bloc de texte.
Pour plus d’informations sur les préférences relatives aux grilles de conception,
reportez-vous à Préférences — Mise en page — Repères et grilles.
DESCRIPTION DES GRILLES DE CONCEPTION
Une grille de conception est une séquence de lignes non imprimables permettant
l’alignement du texte et des éléments.
LIGNES DE GRILLE
Chaque grille de conception comporte les lignes de grille suivantes : ligne inférieure, ligne de base, ligne centrale et ligne supérieure. Vous pouvez aligner du
texte et des éléments sur n’importe quelle ligne de grille.
Une ligne d’une grille de conception comprend une ligne inférieure, une ligne de
base, une ligne centrale et une ligne supérieure.
GRILLES DE PAGE MAQUETTE ET GRILLES DE BLOC DE TEXTE
Les projets QuarkXPress contiennent deux types de grilles de conception par
défaut : les grilles de page maquette et les grilles de bloc de texte. Toutes les pages
et tous les blocs de texte sont associés à une grille de conception. Pour masquer
ou afficher les grilles de conception d’une mise en page entière, choisissez
Affichage > Grilles de page ou Affichage > Grilles de bloc de texte.
Vous pouvez configurer la grille de conception d’une page en affichant la
page maquette de cette dernière et en choisissant Page > Repères et grilles de
maquette. Pour contrôler la grille de conception d’un bloc de texte, choisissez
Paramètres de grille dans le menu contextuel du bloc de texte.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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GRILLES DE CONCEPTION
Page affichant sa grille de page maquette où toutes les lignes de grille sont visibles
Bloc de texte affichant sa grille de bloc de texte où toutes les lignes de grille
sont visibles
Pour plus d’informations, reportez-vous à Utilisation d’une grille de
page maquette.
***
Pour utiliser la fonction de grille des lignes de base qui existait dans
QuarkXPress 7 et antérieur, affichez la ligne de base et masquez les autres
lignes de grille.
STYLES DE GRILLE
Un style de grille est un ensemble nommé de paramètres décrivant une grille ;
l’équivalent d’une feuille de style pour une grille de conception. Vous pouvez
appliquer des styles de grille aux blocs de texte et les utiliser comme base pour
les grilles de page maquette. Vous pouvez également baser des styles de grille
sur d’autres. Les styles de grille figurent dans la palette Styles de grille (menu
Fenêtre). Pour plus d’informations, reportez-vous à Utilisation des styles
de grille.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
Les rubriques ci-après expliquent le fonctionnement des grilles de conception.
Pour en savoir plus sur les styles de grille, reportez-vous à Utilisation des styles
de grille.
CONFIGURATION D’UNE GRILLE DE PAGE MAQUETTE
Pour configurer une grille de page maquette, affichez une page maquette, puis
choisissez Page > Repères et grille de maquette. La boîte de dialogue Repères
et grille de maquette s’affiche.
Utilisez la boîte de dialogue Repères et grille de maquette pour contrôler les
grilles de page maquette.
• Sous Repères de marges, utilisez les champs Haut, Bas, Gauche et Droite
pour définir la position de la marge par rapport aux bords supérieur, inférieur,
gauche et droit de la page. Pour synchroniser les valeurs des champs Haut et
Bas ou Gauche et Droite, cliquez sur l’icône de chaîne placée à côté.
• Sous Repères de colonnes, renseignez le champ Colonnes pour indiquer le
nombre de colonnes sur la page maquette. Renseignez le champ Largeur
gouttière pour spécifier l’espace entre les colonnes.
• Le champ Dimensions du contenu affiche la zone entre les repères de marges.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
• Pour contrôler la position et l’espacement de la grille, utilisez les contrôles de
la rubrique Paramètres de texte. Pour en savoir plus, reportez-vous à Grilles
de conception : rubrique Paramètres de texte.
• Pour contrôler l’affichage de la grille, utilisez les contrôles de la rubrique
Paramètres d’affichage. Pour en savoir plus, reportez-vous à Grilles de
conception : rubrique Paramètres d’affichage.
• Pour visualiser les changements que vous effectuez, cochez Prévisualisation.
• Pour utiliser les spécifications d’une grille de page maquette, d’un style de
grille ou d’une feuille de style, cliquez sur Charger les paramètres. Pour en
savoir plus, reportez-vous à Chargement des paramètres de grille.
CONFIGURATION D’UNE GRILLE DE BLOC DE TEXTE
Pour configurer une grille de bloc de texte, cliquez sur le bloc de texte en
appuyant sur la touche Contrôle/avec le bouton droit de la souris et choisissez
Paramètres de grille. La boîte de dialogue Paramètres de grille s’affiche.
Boîte de dialogue Paramètres de grille
• Pour contrôler la position et l’espacement de la grille, utilisez les contrôles de
la rubrique Paramètres de texte. Pour en savoir plus, reportez-vous à Grilles
de conception : rubrique Paramètres de texte.
• Pour définir l’affichage des lignes de la grille, utilisez les contrôles de la
rubrique Paramètres d’affichage. Pour en savoir plus, reportez-vous à Grilles
de conception : rubrique Paramètres d’affichage.
• Pour visualiser les changements que vous effectuez, cochez Prévisualisation.
• Pour utiliser les spécifications d’une grille de page maquette, d’un style de
grille ou d’une feuille de style, cliquez sur Charger les paramètres. Pour en
savoir plus, reportez-vous à Chargement des paramètres de grille.
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
GRILLES DE CONCEPTION : RUBRIQUE PARAMÈTRES TEXTE
Pour déterminer la taille, l’échelle et la position d’une grille de conception,
utilisez les contrôles de la rubrique Paramètres texte. La rubrique Paramètres
texte s’affiche dans les boîtes de dialogue Repères et grille de maquette,
Modifier style de grille et Paramètres de grille.
***
Si vous cochez Prévisualisation, vous pouvez afficher le résultat des
modifications au fur et à mesure que vous les effectuez.
Rubrique Paramètres texte de Repères et grille de maquette
• Corps de police : entrez un corps pour déterminer la hauteur de chaque ligne
de la grille de conception.
• Mise à l’échelle verticale : entrez un pourcentage pour ajuster la hauteur de
chaque ligne d’une grille de conception, en fonction du corps de police.
• Espacement de lignes et Interlignage : ces valeurs déterminent l’espacement
de grille. Il est calculé selon la formule suivante : Corps de police multiplié par
Mise à l’échelle verticale plus Espacement de lignes égale Interlignage. Par
exemple, si le corps de police est de 12 pt, la mise à l’échelle verticale de 100 %
et l’espacement de lignes de 2 pt, la valeur d’interlignage est de 14 pt.
• Lorsqu’une grille de conception est basée sur une feuille de style de paragraphe, la valeur Interlignage est définie dans la feuille de style. La valeur
Interlignage peut être un nombre spécifique, ou si la valeur est auto, elle est
calculée à partir de la valeur Interlignage auto. de la rubrique Paragraphe
de la boîte de dialogue Préférences (QuarkXPress/Édition > Préférences).
Reportez-vous à Chargement des paramètres de grille pour plus d’informations
sur l’association des feuilles de style aux styles de grille.
• Position de ligne de base : choisissez une option dans cette zone pour indiquer
le positionnement de la ligne de base dans la grille de conception.
Pour indiquer l’origine du décalage, cliquez sur Placer à, choisissez Ligne
supérieure, Centrer (haut), Centrer (bas) ou Ligne inférieure dans le menu
déroulant à partir de, puis entrez un pourcentage dans le champ pour définir
la position de la ligne de base par rapport à la ligne supérieure, centrale
ou inférieure.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
Pour déterminer l’origine du décalage à partir d’une police, cliquez sur Lire à
partir de la police et sélectionnez une police dans le menu déroulant. La ligne
de base définie pour la police sélectionnée détermine la position de la ligne de
base de chaque ligne de la grille. Le pourcentage affiché sous la liste de polices
indique la relation entre la ligne de base et la ligne inférieure dans la
configuration de la police.
• Décalage : pour contrôler la position de la première ligne de la grille de
conception sur la page ou dans le bloc, choisissez Ligne supérieure, Ligne
centrale, Ligne de base ou Ligne inférieure, et entrez une mesure dans
le champ.
• Ajuster : cliquez ici pour afficher la boîte de dialogue Ajuster les lignes dans
les marges pour les grilles de page maquette. Pour plus d’informations,
reportez-vous à Boîte de dialogue Ajuster les lignes dans les marges.
• Lignes au sein de la marge ou Lignes au sein du bloc : ce champ affiche le
nombre de lignes qui tiennent sur une page ou dans un bloc, en fonction des
paramètres précédents.
BOÎTE DE DIALOGUE AJUSTER LES LIGNES DANS LES MARGES
La boîte de dialogue Ajuster les lignes dans les marges (Repères et grille de
maquette > Ajuster) permet de modifier le nombre de lignes de grille contenues entre les marges d’une page maquette. De nombreux contrôles de cette
boîte de dialogue se trouvent également dans la rubrique Paramètres texte ;
les modifications sont reflétées aux deux emplacements.
Boîte de dialogue Ajuster les lignes dans les marges pour ajuster les paramètres
de grille d’une page maquette
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
• Le champ Lignes par page affiche le nombre de lignes sur une page. Cette
valeur est mise à jour lorsque vous effectuez des changements.
• Cliquez sur + ou sur – à côté d’un champ pour augmenter ou réduire le
nombre de lignes sur la page par incréments d’une ligne. Par exemple, si la
valeur du champ Lignes par page est de 50, la valeur du champ Corps est de
12 points et l’échelle de la police verticale est de 100 %, lorsque vous cliquez
sur + à côté du champ Corps, la valeur du champ Lignes par page devient 51
et celle du champ Corps devient 11,765 points.
• La barre d’incrément affiche un pourcentage (de 0 à +1) pour indiquer l’excédent du schéma de grille par rapport à la page. Si les incréments de la grille
s’alignent parfaitement, la barre d’incrément affiche 0. Si les incréments de la
grille ne s’alignent pas parfaitement avec la page, une estimation de l’excédent
s’affiche dans la barre d’incrément.
• Cliquez sur Réinitialiser pour rétablir les valeurs affichées de tous les champs
avant l’ouverture de la boîte de dialogue.
***
Si vous cochez Prévisualisation avant d’afficher cette boîte de dialogue, vous
pouvez visualiser les résultats des changements pendant que vous les effectuez.
GRILLES DE CONCEPTION : RUBRIQUE PARAMÈTRES D’AFFICHAGE
Une grille de conception comporte des lignes distinctes indiquant la ligne
supérieure, la ligne centrale, la ligne de base et la ligne inférieure. Utilisez les
contrôles de la rubrique Paramètres d’affichage pour afficher ou masquer
des lignes de grille, et pour définir les couleurs, épaisseur et style de ces lignes.
La rubrique Paramètres d’affichage s’affiche dans les boîtes de dialogue Repères
et grille de maquette, Modifier le style de la grille et Paramètres de grille.
Rubrique Paramètres d’affichage de la boîte dialogue Repères et grille
de maquette
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
• Cochez Afficher <type de ligne de grille> pour afficher chaque type de ligne
de grille lorsque la grille apparaît.
• Cliquez sur la case de Couleur pour définir une couleur pour chaque ligne
de grille.
• Choisissez une épaisseur dans le menu déroulant d’épaisseur.
• Choisissez un style dans le menu déroulant de Style.
• Boîte de dialogue Repères et grille de maquette uniquement : pour définir
les limites de la grille de la page maquette, choisissez Dans les marges, À la
page ou Table de montage dans le menu déroulant Afficher la grille.
CHARGEMENT DES PARAMÈTRES DE GRILLE
Pour utiliser un style de grille, une feuille de style ou une grille de page maquette
comme base d’une grille de page maquette ou d’un bloc de texte :
1 Cliquez sur Charger les paramètres de la boîte de dialogue Repères et grille
de maquette, Paramètres de grille ou Modifier style de grille. La boîte de
dialogue Charger les paramètres s’affiche.
Sélectionnez un style de grille, une feuille de style ou une page maquette dans la
boîte de dialogue Charger les paramètres.
2 Choisissez Tous, Styles de grille, Pages maquette ou Feuilles de style de
paragraphe dans le menu déroulant Afficher.
3 Sélectionnez un style de grille, une feuille de style ou une page maquette dans
la liste, puis cliquez sur OK.
***
116
|
Les spécifications du style de grille, de la feuille de style ou de la page maquette
que vous chargez sont affichées dans la boîte de dialogue Repères et grille de
maquette, Paramètres de grille ou Modifier style de grille. Vous pouvez
modifier ces paramètres de grille après leur chargement.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
Style de grille avec feuille de style body copy chargée
Si vous chargez une feuille de style pour un style de grille, cochez Lier à
feuille de style de paragraphe <nom de feuille de style> pour indiquer que
les modifications ultérieures de la feuille de style se répercutent automatiquement sur le style de grille. Notez que les contrôles de police et d’espacement
deviennent inaccessibles.
Style de grille avec feuille de style body copy chargée et liée
UTILISATION DES STYLES DE GRILLE
Un style de grille inclut des attributs que vous pouvez appliquer à un bloc de
texte ou utiliser comme base pour une grille de page maquette ou un autre
style de grille.
CRÉATION DES STYLES DE GRILLE
Pour créer, modifier, dupliquer ou supprimer des styles de grille, utilisez la
boîte de dialogue Styles de grille (Édition > Styles de grille).
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
|
117
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
La boîte de dialogue Styles de grille permet de créer, de modifier, de dupliquer
et de supprimer des styles de grille.
Lorsque vous cliquez sur Créer, Modifier ou Dupliquer dans la boîte de dialogue
Styles de grille, la boîte de dialogue Modifier le style de grille s’affiche.
Boîte de dialogue Modifier style de grille
• Pour nommer un style de grille, renseignez le champ Nom.
• Pour contrôler la position et l’espacement de la grille, utilisez les contrôles de
la rubrique Paramètres de texte. Pour en savoir plus, reportez-vous à Grilles
de conception : rubrique Paramètres de texte.
• Pour définir l’affichage des lignes de la grille, utilisez les contrôles de la
rubrique Paramètres d’affichage. Pour en savoir plus, reportez-vous à Grilles
de conception : rubrique Paramètres d’affichage.
• Pour utiliser les spécifications d’une grille de page maquette, d’un style de
grille ou d’une feuille de style, cliquez sur Charger les paramètres. Pour en
savoir plus, reportez-vous à Chargement des paramètres de grille.
***
118
|
Lorsque vous créez un style de grille sans projet ouvert, ce style est intégré à la
liste des styles de grille par défaut et s’applique à tous les projets créés par la suite.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
APPLICATION D’UN STYLE DE GRILLE À UN BLOC DE TEXTE
Pour appliquer un style de grille au bloc de texte sélectionné :
1 Pour afficher les grilles de bloc de texte, assurez-vous que l’option Affichage >
Grilles de bloc de texte est cochée.
2 Pour afficher la palette Styles de grille, assurez-vous que l’option Fenêtre >
Styles de grille est cochée.
Utilisez la palette Styles de grille pour appliquer des styles de grille aux blocs
de texte.
3 Cliquez sur le nom de la feuille de style de grille dans la palette Styles de grille.
***
Un signe plus en regard du nom d’un style de grille dans la palette Styles de
grille indique que la grille de bloc de texte a été modifiée depuis l’application
du style de grille au bloc de texte. Pour appliquer à nouveau le style de grille et
supplanter le formatage de la grille de bloc de texte, cliquez sur Aucun style,
puis sur le nom du style de grille (ou appuyez sur Option/Alt et cliquez sur le
nom du style de grille modifié).
UTILISATION DES GRILLES DE CONCEPTION
Après avoir appliqué des grilles de conception aux blocs de texte ou configuré
des grilles de page maquette, vous pouvez utiliser les grilles pour l’alignement.
Vous pouvez visuellement aligner les éléments sur les grilles de conception, et
vous pouvez choisir Affichage > Magnétiser les grilles de page pour forcer les
éléments à s’aligner sur les grilles de page maquette.
UTILISATION D’UNE GRILLE DE PAGE MAQUETTE
Pour spécifier la grille de page maquette d’une page de mise en page, appliquez
la page maquette à la page de projet.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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119
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
VERROUILLAGE DU TEXTE SUR UNE GRILLE
À l’aide d’une feuille de style ou du formatage de paragraphe local, vous pouvez verrouiller le texte sur la grille de la page maquette ou d’un bloc de texte.
Pour verrouiller du texte sur une grille :
1 Pour paramétrer le verrouillage de texte d’une feuille de style, choisissez
Édition > Feuilles de style, sélectionnez une feuille de style de paragraphe,
cliquez sur Modifier, puis sur l’onglet Formats. Pour paramétrer le verrouillage de texte d’un paragraphe, sélectionnez ce dernier, puis choisissez
Style > Formats.
Rubrique Formats de la boîte de dialogue Attributs de paragraphe
2 Dans la rubrique Formats, cochez Verrouiller sur la grille.
3 Pour indiquer la grille sur laquelle le texte doit être verrouillé, choisissez
Grille de page ou Grille de bloc de texte dans le premier menu déroulant
sous Verrouiller sur la grille.
4 Pour indiquer la ligne de grille sur laquelle le texte doit être verrouillé, choisissez Ligne supérieure, Ligne centrale, Ligne de base ou Ligne inférieure
dans le second menu déroulant sous Verrouiller sur la grille.
MAGNÉTISATION DES ÉLÉMENTS CONTRE LES GRILLES
DE CONCEPTION.
Vous pouvez magnétiser des éléments aux lignes de grille de page maquette,
et à la grille de bloc de texte lorsque vous redimensionnez un bloc de texte.
Pour magnétiser les éléments à une ligne de grille de page maquette, affichez
la grille de page maquette (Affichage > Grille de page), puis choisissez
Affichage > Magnétiser les grilles de page.
120
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
GRILLE DE CONCEPTION : NOTIONS DE BASE
***
Le champ Distance magnétisme du volet Repères et grilles de la boîte de
dialogue Préférences vous permet de modifier la distance de 6 pixels par
défaut à laquelle les éléments se magnétisent aux grilles de page si l’option
Magnétiser les grilles de page est sélectionnée (menu Affichage).
Pour magnétiser à une ligne de grille de bloc de texte lorsque le bloc est
redimensionné, affichez la grille et redimensionner le bloc.
ALIGNEMENT DE GRILLES
Pour aligner une ligne de grille de bloc de texte sur une ligne de grille de page
maquette ou sur un repère :
1 Assurez-vous que les options Affichage > Repères, Affichage > Grilles de page
et Affichage > Grilles de bloc de texte sont cochées.
2 Sélectionnez l’outil Déplacement
.
3 Cliquez sur une ligne de grille dans le bloc de texte, puis faites glisser le bloc.
Notez que même si vous déplacez la ligne de grille, la position d’origine du
bloc s’affiche toujours. Vous pouvez aligner la ligne de grille sélectionnée sur
une autre du bloc, sur une ligne de grille de page maquette ou sur un repère.
(Reportez-vous aux remarques sur le glissement en direct ci-dessous.)
4 Cliquez sur une ligne de grille dans le bloc de texte, puis faites glisser le bloc.
Notez que même si vous déplacez la ligne de grille, la position d'origine du
bloc s'affiche toujours. Vous pouvez aligner la ligne de grille sélectionnée sur
une autre du bloc, sur une ligne de grille de page maquette ou sur un repère.
***
Glissement en direct est une fonctionnalité qui vous permet de voir le contenu
d’un élément pendant que vous le déplacez. Toutefois, les lignes de grille
sélectionnées ne s’affichent pas lorsque le glissement en direct est actif.
UTILISATION DES CARACTÈRES HORS JUSTIFICATION
Les jeux de caractères hors justification gèrent la ponctuation hors justification
et l’alignement de marge. L’alignement de marge vous permet de placer les
caractères partiellement en dehors de la marge pour créer un alignement de
texte uniforme visuellement le long de la marge. La ponctuation hors justification vous permet de placer les caractères de ponctuation entièrement en
dehors de la marge pour que le texte s’aligne contre une marge uniforme au
début (tête) ou à la fin (fin) d’une ligne de texte. Par exemple, les guillemets
du premier exemple ci-dessous se trouvent en dehors de la marge de tête : le
premier caractère de la première ligne de texte peut ainsi s’aligner uniformément avec les lignes de texte du dessous. Les guillemets du second exemple
ci-dessous se trouvent en dehors de la marge de fin.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
|
121
UTILISATION DES CARACTÈRES HORS JUSTIFICATION
Les guillemets ouvrants de cet exemple de texte sont des caractères hors justification
de tête.
Les guillemets fermants de cet exemple de texte sont des caractères hors justification
de fin.
Vous pouvez créer des classes de caractères hors justification et des jeux de caractères hors justification personnalisés, ou utiliser les classes et les jeux par défaut
fournis avec le logiciel. Une classe de caractères hors justification est un groupe
de caractères qui doivent être systématiquement placés en dehors de la marge
ou en retrait à l’intérieur de la marge par le même pourcentage. Un jeu de caractères hors justification est un groupe de classes de caractères hors justification.
Vous pouvez utiliser un jeu de caractères hors justification pour appliquer une
ou plusieurs classes de caractères hors justification à des paragraphes.
Pour afficher, créer, modifier, dupliquer et supprimer des jeux et classes de
caractères hors justification, utilisez la boîte de dialogue Caractères hors
justification pour <Projet> (Édition > Caractères hors justification).
Boîte de dialogue Caractères hors justification pour <Projet>
Les jeux de caractères hors justification sont précédés d’une icône . Les classes
de caractères hors justification sont précédées d’une icône .
Si vous sélectionnez un jeu de caractères hors justification dans la zone centrale de la boîte de dialogue, la zone inférieure affiche les classes appartenant
à celui-ci. Si vous sélectionnez une classe dans la zone centrale de la boîte de
dialogue, la zone inférieure affiche les jeux auxquels la classe appartient et les
attributs de la classe sélectionnée.
122
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
UTILISATION DES CARACTÈRES HORS JUSTIFICATION
***
Pour comparer des jeux ou des classes de caractères hors justification, sélectionnez-en deux dans la boîte de dialogue Caractères hors justification pour
<Projet> et appuyez sur Option/Alt. Le bouton Ajouter devient Comparer.
CRÉATION DES CLASSES DE CARACTÈRES HORS JUSTIFICATION
Utilisez la boîte de dialogue Modifier la classe de caractères hors justification
(Édition > Caractères hors justification > Créer > Classe) pour définir les caractères à inclure dans une classe de caractères hors justification, le pourcentage
hors justification de la classe et s’il s’agit d’une classe de tête ou de fin.
Boîte de dialogue Modifier la classe de caractères hors justification
Entrez des caractères dans la rubrique Caractères. Choisissez un pourcentage
dans le menu déroulant Hors justification. Le pourcentage hors justification
indique quelle portion de la largeur du glyphe doit toujours déborder de la
marge ou doit toujours être en retrait. Par exemple, si vous choisissez –50 %,
les caractères de la classe sont indentés à l’intérieur de la marge de la moitié
de la largeur de glyphe. Si vous choisissez 100 %, ils débordent de la marge de
la largeur totale de glyphe.
Choisissez ensuite si la classe de caractères est Tête ou Fin. Les caractères
d’une classe Tête débordent de la marge de début. Les caractères d’une classe
Fin débordent de la marge de fin.
***
Après avoir enregistré une classe de caractères hors justification dans un jeu
de caractères hors justification, vous pouvez cocher Prévisualisation pour
visualiser les changements apportés à la classe.
CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
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123
UTILISATION DES CARACTÈRES HORS JUSTIFICATION
CRÉATION DES JEUX DE CARACTÈRES HORS JUSTIFICATION
Utilisez la boîte de dialogue Modifier le jeu de caractères hors justification
(Édition > Caractères hors justification > Créer > Jeu) pour choisir les classes
de caractères hors justification à inclure dans un jeu.
Boîte de dialogue Modifier le jeu de caractères hors justification
La zone centrale de la boîte de dialogue affiche toutes les classes de caractères
hors justification disponibles que vous pouvez ajouter à un jeu. Cochez les
blocs en regard des classes à ajouter, nommez le jeu de caractères hors
justification, puis cliquez sur OK.
Pour modifier une classe de caractères hors justification avant d’enregistrer le
nouveau jeu, sélectionnez celle-ci et cliquez sur Modifier la classe.
***
Vous ne pouvez pas définir des valeurs de tête et de fin différentes pour un
seul caractère dans un jeu de caractères hors justification.
APPLICATION DES JEUX DE CARACTÈRES HORS JUSTIFICATION
Pour appliquer un jeu de caractères hors justification à un texte, choisissez une
option dans le menu déroulant Jeu de caractères hors justification de la boîte
de dialogue Attributs de paragraphe (Édition > Format).
Pour appliquer un jeu de caractères hors justification à une feuille de style de
paragraphe, choisissez une option dans le menu déroulant Jeu de caractères
hors justification de la rubrique Format de la boîte de dialogue Modification
de la feuille de style de paragraphe (Édition > Feuilles de style > Créer >
Paragraphe ou Édition > Feuilles de style > Modifier).
124
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CHAPITRE 5 : TEXTE ET TYPOGRAPHIE
PRÉSENTATION DES IMAGES
Chapitre 6 : Images
Vous pouvez importer et coller dans QuarkXPress des images d’applications
de retouche d’images ou d’autres applications graphiques. Une fois que l’image
est dans un bloc, vous pouvez lui appliquer diverses opérations telles que
modifier sa position, sa taille, l’incliner ou la retourner.
PRÉSENTATION DES IMAGES
Il existe deux sortes fondamentales de fichiers images : bitmap (en mode points)
et orienté objet.
IMAGES BITMAP
Les images bitmap (parfois appelées images matricielles ou raster) sont composées de pixels individuels (petits points). Ces pixels s’alignent sur une grille
que l’œil fond dans une seule image.
Le mode de couleur décrit la façon dont les couleurs sont représentées dans
un fichier ; la profondeur du pixel correspond au nombre de bits utilisés pour
représenter chaque pixel. Le mode de couleur le plus simple est le mode 1 bit
(également appelé image au trait ou noir et blanc). Les images plus complexes,
comme les photographies, ont plus de profondeur car elles contiennent plusieurs bits par pixel qui peuvent décrire de nombreux niveaux de gris ou
de couleurs.
Les dimensions décrivent la taille physique de l’image (par exemple, 10 x 15 cm).
Les dimensions d’un fichier image sont déterminées par l’application qui le
crée ; celles-ci sont stockées dans le fichier image.
La résolution correspond au nombre de pixels (points) par pouce dans une
image. La résolution dépend des dimensions. En d’autres termes, si vous
changez les dimensions d’une image, vous changez également sa résolution.
Prenons une image de 72 ppp qui mesure 2,54 x 2,54 cm. Si vous changez
l’échelle de cette image à 200 %, sa résolution effective tombe à 36 ppp, car
les pixels sont plus grands. Pour déterminer la résolution effective d’une
image importée, utilisez le champ Résolution effective
de la rubrique
Classique de la palette Spécifications.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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125
PRÉSENTATION DES IMAGES
IMAGES ORIENTÉES OBJET
Les images orientées objet contiennent des informations qui décrivent comment dessiner la position et les attributs d’objets géométriques. Vous pouvez
ensuite rétrécir, agrandir, étirer et faire pivoter ces images, sans vous préoccuper de leur apparence ; les images orientées objet ont toujours une apparence
régulière, quelle que soit l’échelle, car elles ne sont pas composées de pixels.
***
Les images orientées objet sont parfois appelées format de fichier vectoriel,
car elles utilisent des informations vectorielles (distance et direction) pour
décrire une forme.
TYPES DE FICHIERS IMAGES PRIS EN CHARGE
Le type de fichier désigne la façon dont les informations de l’image sont
formatées. La liste ci-après répertorie les formats de fichier pris en charge
par QuarkXPress :
• Adobe Illustrator (AI) : format de fichier image natif d’Adobe Illustrator. Les
fichiers Adobe Illustrator 9 importés sont fonctionnellement équivalents aux
fichiers PDF importés. Si vous importez un fichier Adobe Illustrator 8, toutes
les données EPS de celui-ci sont incluses. Vous ne pouvez pas importer les
fichiers Adobe Illustrator enregistrés dans les versions 7 ou antérieures.
• BMP (Bitmap) : un fichier image matricielle utilisé principalement sur la
plate-forme Microsoft Windows.
• DCS 2.0 (Desktop Color Separations) : fichier EPS enregistré comme fichier
unique qui peut inclure des films quadrichromiques (cyan, magenta, jaune,
noir), ainsi que des films d’accompagnement et une image maîtresse. Un
fichier DCS 2.0 est préséparé et s’imprime donc plus rapidement qu’un fichier
EPS standard. L’image maîtresse est utilisée pour l’impression composite. Un
fichier DCS 2.0 peut contenir des informations bitmap et orientées objet. Le
format DCS 2.0 prend en charge les modèles chromatiques bitmap, d’accompagnement et CMJN. DCS 1.0, également appelé format cinq fichiers, contient
cinq fichiers séparés : les fichiers des films cyan, magenta, jaune et noir, ainsi
qu’un fichier maître.
• EPS (Encapsulated PostScript) : format de fichier utilisé couramment prenant en
charge des informations matricielles (raster) et vectorielles. Certains fichiers
EPS ne disposent pas de prévisualisation. Après l’importation d’un fichier EPS
n’ayant pas de prévisualisation, PostScript Picture et le nom du fichier s’affichent
dans le bloc d’image. Cependant, si vous envoyez l’image vers un périphérique
de sortie PostScript, l’image est produite. Pour afficher la prévisualisation, choisissez Générée dans le menu déroulant Prévisualisation de la boîte de dialogue
Préférences (menu Édition), puis réimportez l’image.
126
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CHAPITRE 6 : IMAGES
TYPES DE FICHIERS IMAGES PRIS EN CHARGE
• GIF (Graphics Interchange Format) : format de fichier bitmap prenant en charge
les couleurs indexées 8 bits, transparence et animation.
• JPEG (Joint Photographic Experts Group) : format de compression avec perte.
La compression avec perte est une méthode qui peut entraîner une perte de
données et une dégradation possible de la qualité. La compression avec perte
produit souvent des tailles de fichier inférieures que la compression sans perte.
• PDF (Portable Document Format) : format propriétaire développé par Adobe
Systems, Inc. pour faciliter le transfert de fichiers. Vous pouvez importer des
fichiers PDF des versions 1.7 et inférieures dans QuarkXPress.
• PICT : format Mac OS basé sur les routines de dessins d’origine QuickDraw.
Les fichiers PICT contiennent des informations bitmap et orientées objet.
• PNG (Portable Network Graphics) : format de fichier bitmap prenant en charge
à la fois la couleur indexée et la couleur à ton continu, avec compression avec
ou sans perte.
• PSD (Photoshop Document) : format de fichier propriétaire développé par
Adobe Systems, Inc. L’extension .psd est l’extension par défaut des fichiers
Adobe Photoshop.
• SWF : format de fichier graphique vectoriel propriétaire développé par Adobe
Systems, Inc. et utilisé pour l’animation.
• TIFF (Tagged Image File Format) : format de fichier permettant une compression sans perte, si cette fonction est prise en charge par l’application source.
Ils peuvent contenir des informations bitmap et orientées objet, et prennent
en charge les modèles chromatiques bitmap, niveaux de gris, RVB, CMJN et
indexé. Ce format permet d’inclure des chemins et des couches alpha
imbriqués, ainsi que des commentaires OPI.
• WMF (Windows Metafile) : format de fichier Windows pouvant contenir des
informations bitmap et orientées objet. Lorsqu’une image au format métafichier Windows est importée dans QuarkXPress pour Mac OS, elle est convertie
en PICT.
UTILISATION DES IMAGES
QuarkXPress fournit un grand nombre d’outils de manipulation des images.
IMPORTATION D’UNE IMAGE
Pour importer une image dans un bloc sélectionné, choisissez Fichier >
Importer. Vous pouvez également coller une image du Presse-papiers dans
un bloc d’image.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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127
UTILISATION DES IMAGES
Lorsque vous importez une image, celle-ci est importée à sa taille réelle, l’origine (coin supérieur gauche) étant placée dans l’angle supérieur gauche du
bloc de contrainte du bloc. L’outil Modification image
sélectionné,
l’image entière s’affiche au-delà des limites du bloc.
Il vous faudra peut-être redimensionner ou repositionner l’image après l’avoir
importée afin de l’adapter à son bloc.
DÉPLACEMENT DES IMAGES
Vous pouvez déplacer des images dans leur bloc à l’aide de l’outil Modification
image , de la boîte de dialogue Modifier (Bloc > Modifier) ou de la palette
Spécifications. Lorsque l’outil Modification image est sélectionné, vous
pouvez cliquer sur n’importe quelle partie d’une image, quelle que soit sa
position au sein de son bloc. Vous pouvez également déplacer légèrement une
image dans son bloc à l’aide des touches fléchées.
***
Si l’outil Déplacement est sélectionné lorsque vous utilisez les flèches de la
palette Spécifications ou les touches fléchées du clavier, le bloc se déplacera et
non l’image qu’il contient. Reportez-vous à Déplacement des éléments pour
en savoir plus sur le déplacement des images.
REDIMENSIONNEMENT DES IMAGES
Vous pouvez mettre à l’échelle des images afin de les agrandir ou de les réduire
à l’aide de l’outil Modification image , du menu Bloc (Bloc > Modifier), du
menu Style ou de la palette Spécifications. Une fois une image importée dans
un bloc, vous pouvez choisir Adapter le bloc aux dimensions de l’image et
Cadrer l’image dans le bloc dans le menu contextuel (ou dans le menu Style).
Appuyez sur la touche Maj lorsque vous manipulez une image à l’aide de l’outil Modification image pour redimensionner celle-ci proportionnellement.
Appuyez sur les touches Maj+Option/Maj+Alt tout en faisant glisser une poignée
d’angle pour redimensionner l’image proportionnellement à partir du centre.
RECADRAGE DES IMAGES
Si vous souhaitez que seule une partie de l’image apparaisse, vous pouvez
manuellement la recadrer en ajustant la taille du bloc.
ROTATION ET INCLINAISON DES IMAGES
Faire pivoter une image la place à un angle différent à l’intérieur du bloc,
tandis que l’incliner lui donne une apparence penchée.
Pour pivoter une image, sélectionnez l’outil Modification image et placez la
souris sur une des poignées d’angle de l’image. Un pointeur Rotation apparaît
suivant l’angle sélectionné. Faites glisser le pointeur pour faire pivoter l’image.
128
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CHAPITRE 6 : IMAGES
UTILISATION DES IMAGES
Vous pouvez également entrer des valeurs de rotation pour une image dans le
champ Angle d’image de la boîte de dialogue Modifier (Bloc > Modifier >
Image) ou la palette Spécifications (rubrique Classique).
Pour incliner une image, renseignez le champ Inclinaison de la boîte de
dialogue Modification (menu Bloc > Modifier) ou la palette Spécifications
(rubrique Classique).
APPLICATION DE COULEURS ET DE TEINTES À DES IMAGES
Vous pouvez appliquer des valeurs de couleur et de teinte aux ombres et aux
tons moyens des images en noir et blanc et à niveaux de gris à l’aide de la
palette Couleurs (Fenêtre > Couleurs), de la boîte de dialogue Modifier
(menu Bloc) ou du menu Style. Vous pouvez également appliquer une couleur
au fond de l’image et du bloc.
• Pour appliquer une couleur à une image en noir et blanc ou à niveaux de gris,
sélectionnez l’icône Couleur image dans la palette Couleurs et cliquez sur
un nom de couleur.
• Pour appliquer une couleur au fond d’une image en noir et blanc ou à niveaux
de gris, sélectionnez l’icône Couleur fond image
dans la palette Couleurs
et cliquez sur un nom de couleur.
• Pour appliquer une couleur au fond d’une image en noir et blanc ou à niveaux
de gris, sélectionnez l’icône Couleur fond image
dans la palette Couleurs
et cliquez sur un nom de couleur.
RETOURNEMENT DES IMAGES
Vous pouvez retourner le contenu d’un bloc d’image de gauche à droite et de
haut en bas à l’aide du menu Style (Style > Retourner horizontalement ou
Style > Retourner verticalement) ou de la rubrique Classique de la palette
Spécifications (cliquez sur l’icône de retournement horizontal
ou de
retournement vertical ).
LISTE, VÉRIFICATION DU STATUT ET MISE À JOUR DES IMAGES
QuarkXPress affiche automatiquement une prévisualisation basse résolution
de 72 ppp de chaque fichier image importé, gère le chemin d’accès aux fichiers
images et extrait les données de haute résolution nécessaires à la sortie.
La fonction Usage (menu Utilitaires) permet d’effectuer le suivi de toutes les
images importées. Pour utiliser cette fonction, choisissez Utilitaires > Usage,
puis cliquez sur Images pour afficher la rubrique Images. Elle permet de localiser
un fichier image manquant, mettre à jour un fichier image modifié, rechercher
et afficher une image, imprimer une image ou annuler l’impression d’une image.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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129
UTILISATION DES IMAGES
DÉFINITION DES COULEURS DE FOND DES IMAGES
Pour améliorer vos options en matière de conception des images, vous pouvez modifier les couleurs de bloc, d’image et de fond d’image. Reportez-vous à
Couleurs et ombres des images pour plus d’informations.
• Pour les pixels gris, les couleurs de l’image et du fond de l’image sont mélangées.
• Si vous spécifiez différentes opacités pour ces couleurs, ces dernières interagiront
entre elles et avec la couleur du bloc.
***
Images en niveaux de gris et 1 bit uniquement : lorsque vous ouvrez un projet
d’une version précédente de QuarkXPress, la couleur de bloc est mappée sur
la couleur de fond de l’image afin que l’image semble identique.
GESTION DES ATTRIBUTS D’IMAGE
Lorsque vous importez une image dans un bloc d’image, que le bloc contienne
déjà une image ou non, vous pouvez conserver tous les attributs de l’image.
Par exemple, si un bloc d’image vide dans un gabarit spécifie que l’image doit
être mise à l’échelle de 50 % et pivotée à 90°, vous pouvez importer une nouvelle
image et ces attributs lui seront automatiquement appliqués.
Pour importer une image et conserver les attributs indiqués pour le bloc et/ou
l’image existante, cochez la case Conserver attributs bloc d’image dans la
boîte de dialogue Importer (menu Fichier).
UTILISATION DES CHEMINS DE DÉTOURAGE
Un chemin de détourage est une forme de Bézier fermée indiquant les parties
d’une image à afficher et celles à traiter comme transparentes. Les chemins de
détourage sont particulièrement utiles lorsqu’il s’agit d’isoler le sujet d’une
image de l’arrière-plan qui l’entoure dans le fichier image d’origine.
Vous pouvez créer des chemins de détourage entièrement dans QuarkXPress ou
utiliser des informations de chemin ou de couche alpha imbriqués pour créer
des chemins de détourage. Les chemins de détourage créés par QuarkXPress sont
basés sur le fichier image haute résolution ; ils sont stockés avec la mise en page.
Un chemin de détourage permet de contrôler les parties d’une image à afficher et
à masquer.
130
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CHAPITRE 6 : IMAGES
UTILISATION DES CHEMINS DE DÉTOURAGE
CRÉATION DES CHEMINS DE DÉTOURAGE
Pour créer ou affecter un chemin de détourage, choisissez Bloc > Détourage,
puis sélectionnez une option dans le menu déroulant Type :
• Choisissez Bloc pour recadrer l’image aux limites du bloc. Cette option ne crée
pas de chemin de détourage, mais recadre simplement l’image aux dimensions
de son bloc.
• Choisissez Chemin imbriqué pour découper l’image selon un chemin déjà
imbriqué dans le fichier image. Sélectionnez un chemin dans le menu déroulant
Chemin si le fichier image contient plusieurs chemins imbriqués.
• Choisissez Couche alpha pour découper une image selon une couche alpha
déjà imbriquée dans un fichier image. Sélectionnez une couche alpha dans le
menu déroulant Alpha si le fichier image contient plusieurs couches alpha
imbriquées. Notez que l’utilisation d’un chemin de détourage autour d’une
couche alpha entraîne la création d’un contour dur plutôt qu’un effet de
dégradé. Si vous souhaitez obtenir un dégradé semi-opaque, utilisez un masque
alpha. (Reportez-vous à Utilisation des masques alpha.)
• Choisissez Zones non blanches pour créer un chemin de détourage basé sur
le sujet de l’image. Selon l’image et la valeur du champ Seuil, le chemin de
détourage délimitera une figure non blanche à l’intérieur d’une image blanche
ou presque blanche plus grande (ou vice versa). L’option Zones non blanches
donne de meilleurs résultats lorsque les zones inutiles d’une image sont
beaucoup plus claires que le sujet proprement dit (ou vice versa).
• Choisissez Limites de l’image pour découper une image selon la toile rectangulaire du fichier image importé. Cette zone inclut tous les espaces blancs
d’arrière-plan enregistrés avec le fichier image original. Renseignez les champs
Haut, Gauche, Bas et Droite pour définir la réserve du chemin de détourage
à partir des limites de l’image. Les valeurs positives augmentent la réserve,
tandis que les valeurs négatives la réduisent.
Rubrique Détourage de la boîte de dialogue Modifier
***
Le chemin vert dans la zone Prévisualisation correspond au chemin de
détourage et le contour bleu, au bloc d’image.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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131
UTILISATION DES CHEMINS DE DÉTOURAGE
UTILISATION DES CHEMINS DE DÉTOURAGE IMBRIQUÉS
Vous pouvez utiliser des applications de retouche d’images pour imbriquer
des chemins et des couches alpha dans une image. Si une image stockant ces
informations est importée dans QuarkXPress, vous pouvez accéder aux informations sur le chemin et la couche dans la rubrique Détourage de la boîte de
dialogue Modifier ou de la palette Spécifications.
Les fichiers TIFF et PSD peuvent inclure des chemins et des couches alpha
imbriqués. Les fichiers EPS, BMP, JPEG, PCX et PICT peuvent uniquement
inclure des chemins imbriqués.
MANIPULATION DES CHEMINS DE DÉTOURAGE
Après avoir appliqué un chemin de détourage, choisissez Bloc > Éditer >
Chemin de détourage pour le modifier. Sélectionnez ensuite un des outils
suivants : Sélection de point , Ajouter point , Retirer point et
Convertir point . Pour plus d’informations, reportez-vous à Outils.
Vous pouvez également manipuler les chemins de détourage à l’aide des
contrôles de la palette Spécifications. Pour remplacer le type d’un point,
utilisez un des trois boutons suivants :
• Point symétrique : un point symétrique relie deux courbes pour former une
courbe continue. Le résultat est semblable à un point lisse, mais les poignées de
courbe reposent toujours sur une ligne droite traversant le point et se trouvent
toujours à une distance égale par rapport à ce point.
• Point lisse : un point lisse relie deux lignes courbes pour former une courbe
continue. Les poignées de courbe prennent toujours appui sur une ligne droite
traversant le point, mais peuvent être étirées indépendamment.
• Point angulaire : un point angulaire relie deux lignes droites, une ligne droite
et une courbe, ou deux courbes discontinues. Les poignées attachées aux points
angulaires des lignes courbes peuvent être manipulées indépendamment, en
général pour marquer une transition nette entre les deux segments.
Pour modifier le caractère d’un segment linéaire, utilisez un des
boutons suivants :
• Segment droit : convertit le segment actif en segment droit.
• Segment courbe : convertit le segment actif en segment courbe.
***
132
|
Vous pouvez également modifier les types de points et de segments à l’aide du
sous-menu Style > Type de point/segment.
CHAPITRE 6 : IMAGES
UTILISATION DES CHEMINS DE DÉTOURAGE
CRÉATION D’EFFETS SPÉCIAUX À L’AIDE DE CHEMINS
DE DÉTOURAGE
Diverses options de la rubrique Détourage permettent d’inverser un chemin
de détourage ou de spécifier si une image est coupée à l’aide des contours
externes uniquement ou si l’image est contenue dans son bloc. Vous pouvez
créer des effets spéciaux tels que rendre transparentes des régions visibles et
inversement, autoriser les trous sur un chemin, rogner l’image jusqu’aux
contours du bloc d’image ou retirer les portions du chemin de détourage
placées au-delà des limites du bloc.
UTILISATION DES MASQUES ALPHA
Contrairement aux chemins de détourage qui produisent un contour dur utilisé pour séparer une image de premier plan d’une image de fond, les masques
alpha peuvent inclure des informations de transparence pour fondre subtilement une image de premier plan dans un nouveau fond. Pour utiliser des
masques alpha dans QuarkXPress, il vous faut tout d’abord créer un masque
alpha dans une application de retouche d’images telle qu’Adobe Photoshop.
Vous pouvez ensuite manipuler le masque alpha dans QuarkXPress.
Le masque alpha sur les flammes permet au texte du fond d’apparaître.
Pour manipuler des masques alpha dans QuarkXPress, vous devrez les enregistrer
avec l’image dans un format prenant en charge les couches alpha.
Pour appliquer un masque alpha à l’image sélectionnée, choisissez une couche
alpha dans le menu déroulant Masque de la palette Spécifications.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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133
UTILISATION DES IMAGES PSD
UTILISATION DES IMAGES PSD
Vous pouvez importer des fichiers images natifs et non aplanis d’Adobe
Photoshop directement dans QuarkXPress avec le logiciel XTensions PSD
Import. Une fois les fichiers importés, vous pouvez manipuler tous les
calques, couches et chemins enregistrés avec les fichiers Photoshop (PSD).
L’intégration entre Photoshop et QuarkXPress rationalise votre flux de production en vous permettant d’ignorer l’aplanissement ; économise de l’espace
disque en vous autorisant à utiliser des fichiers natifs ; et améliore vos capacités
créatives en vous offrant un accès à des calques, couches et chemins.
Lorsque le logiciel XTensions PSD Import est exécuté, vous pouvez utiliser
Fichier > Importer pour importer un fichier PSD dans le bloc d’image
QuarkXPress sélectionné.
Pour utiliser des calques, couches et chemins dans l’image, choisissez
Fenêtre > PSD Import. Vous pouvez utiliser la palette PSD Import pour
fondre des calques, travailler avec des couches couleur et sélectionner
des chemins.
***
Pour utiliser des fichiers PSD dans QuarkXPress, il vous faut charger le logiciel
XTensions PSD Import.
PRÉPARATION DES FICHIERS PSD
Lorsque vous préparez des images dans Photoshop pour les utiliser avec PSD
Import, vous devez garder plusieurs choses à l’esprit.
• Vous n’avez pas besoin d’enregistrer l’image dans un autre format de fichier,
ce qui signifie que vous n’avez pas à aplanir les calques.
• Créez des couches alpha ou des chemins de détourage pour tous les contours
que vous souhaitez habiller de texte.
• Créez des couches pour les zones dans lesquelles vous souhaitez appliquer une
couleur d’accompagnement ou un vernis différents.
• PSD Import ne peut pas lire les informations de calque de certaines images,
notamment celles utilisant les effets de calque. Une image composite est
utilisée à la place.
134
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***
Les effets d’image ne sont pas disponibles pour les images Photoshop.
***
PSD Import prend en charge les fichiers PSD en modes niveaux de gris, RVB,
CMJN, index et multicouches.
CHAPITRE 6 : IMAGES
UTILISATION DES IMAGES PSD
UTILISATION DES CALQUES PSD
La manipulation des calques vous permet de voir différentes images dans le
contexte de la mise en page complète. De plus, vous pouvez modifier l’opacité
d’un calque et essayer différents modes de fusion, tels que dissoudre, éclaircir
et différence, pour voir comment ces effets s’intègrent au reste du concept.
Vous pouvez utiliser la rubrique Calques de la palette PSD Import pour afficher, masquer, fondre et modifier l’opacité des calques dans des images PSD.
La palette PSD Import affiche des informations concernant le mode de création du fichier image, mais ne vous autorise pas à apporter des changements
fondamentaux à ce dernier :
• Vous ne pouvez pas créer, nommer, copier, dupliquer, aligner, repositionner,
supprimer ou fusionner des calques dans la rubrique Calques.
• Si le fichier PSD ne contient pas de calque, la palette PSD Import affiche
uniquement le calque de fond.
FUSION DES CALQUES PSD
Le menu déroulant Mode de fusion de la rubrique Calques vous permet de
contrôler l’interaction des pixels d’un calque sélectionné avec ceux de tous
les calques sous le calque sélectionné. Les modes de fusion sont semblables à
ceux des applications de retouche d’images : ils comprennent Produit, Densité,
Exclusion et Saturation.
AFFICHAGE ET MASQUAGE DES CALQUES PHOTOSHOP
Vous pouvez afficher et imprimer des calques visibles ; les calques masqués ne
se voient ni à l’écran ni à l’impression. PSD Import vous permet de masquer
des calques, y compris celui de fond.
• Pour afficher un calque, cliquez sur l’icône de bloc vide à sa gauche.
• Pour afficher tous les calques, cliquez sur l’icône de bloc vide tout en appuyant
sur les touches Option+Maj/Alt+Maj.
• Pour masquer un calque, cliquez sur l’icône Œil
.
• Pour masquer tous les calques sauf un, cliquez sur l’icône Œil tout en appuyant
sur la touche Option/Alt .
Lorsque la modification des fusions et de l’opacité des calques produit des
résultats indésirables, vous pouvez rétablir les calques à leur état d’origine
dans le fichier PSD importé à l’aide des options Rétablir calque ou Rétablir
tous les calques dans le menu de la palette PSD Import.
MODIFICATION DE L’OPACITÉ DES CALQUES PSD
Un menu et un champ de la rubrique Calques permettent de contrôler la
transparence des pixels d’un calque sélectionné. Vous pouvez définir une
transparence allant de 0 (transparent) à 100 % (opaque) par incréments
de 1 %.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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135
UTILISATION DES IMAGES PSD
UTILISATION DES MASQUES DE CALQUE
Si des masques de calque sont enregistrés avec les fichiers PSD, vous pouvez
activer et désactiver ces masques dans la rubrique Calques de la palette PSD
Import en appuyant sur la touche Maj tout en cliquant sur la prévisualisation
en mode chemin de fer du masque de calque.
UTILISATION DES COUCHES PSD
Les couches Photoshop stockent des informations concernant les couleurs des
images. Par défaut, les images en niveaux de gris et en couleurs indexées ont
une couche, les images RVB en ont trois et les images CMJN, quatre. Ces
couches sont appelées collectivement couches par défaut. Vous pouvez utiliser
la rubrique Couches de la palette PSD Import pour afficher et masquer toutes
les couches, pour modifier la solidité de la couleur et de l’encre d’une couche de
couleur d’accompagnement ou alpha sélectionnée, et pour associer des couleurs d’accompagnement aux couleurs indexées sélectionnées. Par exemple,
vous pouvez affecter des effets spéciaux tels que des vernis, un relief et des
découpes aux couches.
AFFICHAGE ET MASQUAGE DES COUCHES
Les couches visibles dans les fichiers PSD importés s’affichent à l’écran et peuvent être imprimées ; les couches masquées ne s’affichent pas et ne peuvent
pas être imprimées. La procédure d’affichage et de masquage des couches est
identique à celle des calques.
Cliquez sur la couche composite pour afficher toutes les couches par défaut,
telles que CMJN ou RVB.
MODIFICATION DE LA COULEUR ET DE LA SOLIDITÉ DES COUCHES
Vous pouvez utiliser PSD Import pour changer les couleurs, teintes et solidité
d’encre des couleurs d’accompagnement, masques ou couches alpha créés
dans Photoshop. Vous pouvez affecter des couleurs d’accompagnement aux
couches qui se surimpriment aux images composites et vous pouvez définir
une solidité pour l’affichage des couches et l’impression des composites couleur. (La valeur de solidité n’est pas importante lorsque vous imprimez des
séparations de couleur.)
Les couches définies comme couches de masque dans Photoshop sont importées différemment de celles définies comme couleurs d’accompagnement. Dans
Photoshop, les couches de masque reçoivent un paramètre d’opacité tandis que
les couches d’accompagnement reçoivent un paramètre de solidité. Comme
PSD Import prend en charge la solidité d’encre, les couches de masque sont
importées avec une solidité d’encre de 0 %. Pour visualiser les couches de
masque dans des fichiers PSD importés, il vous faut activer manuellement les
couches de masque dans la rubrique Couches de la palette PSD Import. Les
couches de couleur d’accompagnement, par contre, conservent le paramètre
de solidité enregistré dans le fichier PSD et sont mappées vers les couleurs
QuarkXPress par défaut.
136
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CHAPITRE 6 : IMAGES
UTILISATION DES IMAGES PSD
Pour modifier la couleur, la teinte ou la solidité de l’encre des pixels d’une
couche de couleur d’accompagnement ou alpha, utilisez la boîte de dialogue
Options de couche. Pour afficher cette dernière, double-cliquez sur une
couche de la rubrique Couches de la palette PSD Import (menu Fenêtre).
UTILISATION DES COUCHES DE COULEURS INDEXÉES
Par défaut, lorsque vous imprimez des séparations de couleur à partir de
QuarkXPress à l’aide de PSD Import, les couleurs des images à couleurs
indexées se séparent en CMJN. Vous pouvez supplanter cette option en
créant une couleur d’accompagnement ou Multi-Ink dans QuarkXPress
(Édition > Couleurs) et en associant celle-ci aux couleurs indexées sélectionnées de l’image. PSD Import permet également de créer des couleurs
d’accompagnement à partir des couleurs de l’image en couleurs indexées.
Les couleurs indexées que vous ne modifiez pas se séparent toujours en CMJN.
UTILISATION DES CHEMINS PSD
Vous pouvez également utiliser PSD Import afin d’effectuer une sélection
parmi des chemins imbriqués pour définir le détourage et l’habillage. La
rubrique Chemins de la palette PSD Import offre un accès pratique aux
fonctions de chemin de détourage et d’habillage de texte dans QuarkXPress.
Elle vous permet de sélectionner différents chemins de détourage à utiliser
pour les contours d’habillage de texte. Pour sélectionner un contour d’habillage de texte, cliquez sur la zone vide de la première colonne. L’icône
Habillage de texte s’affiche et le texte est habillé autour des contours du
chemin de détourage.
***
Pour obtenir un habillage de texte dans QuarkXPress, le bloc d’image doit être
devant le texte. Si le texte n’est pas renvoyé à la ligne, sélectionnez le bloc
d’image et choisissez Bloc > Rapprocher ou Bloc > Premier plan.
La rubrique Chemins permet également de contrôler l’affichage d’une image
grâce à la sélection d’un chemin de détourage créé dans Photoshop. Pour sélectionner un chemin de détourage, cliquez dans la zone vide de la deuxième
colonne. L’icône Chemin de détourage s’affiche et la zone de l’image apparaît
au sein du chemin de détourage sélectionné.
Vous pouvez annuler les modifications apportées aux chemins dans PSD Import.
Les chemins retournent à leur état d’origine au moment de leur création dans
le fichier PSD importé. Pour ce faire, choisissez Rétablir chemin ou Rétablir
tous les chemins dans la palette PSD Import ou dans le menu contextuel.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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137
UTILISATION DES IMAGES PSD
IMPRESSION AVEC PSD IMPORT
Lorsque vous imprimez une mise en page à l’aide de PSD Import, vous pouvez
indiquer les calques, les couches et les chemins de chaque image PSD à imprimer. Étant donné que l’icône Œil de la palette PSD Import contrôle l’affichage
et l’impression, les images s’impriment telles qu’elles apparaissent à l’écran.
***
Si vous imprimez une mise en page sans exécuter le logiciel XTensions PSD
Import, les fichiers PSD s’impriment sous forme de prévisualisations composites en basse résolution. Les informations de calque, de couche et de chemin
ne sont pas disponibles et les images ne se séparent pas.
UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
La fonction Effets d’image ajoute plusieurs fonctions de retouche d’images
courantes à QuarkXPress. Ceci vous permet d’effectuer des manipulations
d’image perfectionnées dans le contexte de la mise en page environnante
plutôt que de travailler dans une autre application et faire le va-et-vient. Les
effets d’image sont expliqués en détail dans Ajustements et Filtres.
Les modifications effectuées avec la fonction Effets d’image ne sont pas destructives, elles n’affectent donc pas le fichier image d’origine. En fait, les ajustements
et les filtres sont enregistrés avec les mises en page, peuvent s’afficher à l’écran
en résolution pleine et sont appliqués à la sortie. Si toutefois, vous préférez
enregistrer les changements directement dans les fichiers images, la fonction
Effets d’image peut également le faire. Vous pouvez exporter de manière sélective des images contenant différents ajustements, filtres et transformations,
comme la rotation et le découpage dans QuarkXPress aux effets Négatif et
Flou gaussien fournis par la fonction Effets d’image. Lorsque vous exportez
des images, vous pouvez également convertir le type de fichier et le mode
chromatique, et indiquer si vous souhaitez enregistrer sur les fichiers images
source ou créer de nouveaux fichiers images (qui peuvent automatiquement
être reliés à la mise en page).
Vous pouvez appliquer plusieurs effets et instances du même effet, mais avec
des paramètres différents.
***
138
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Pour utiliser des effets d’image, le logiciel XTensions Vista doit être chargé.
CHAPITRE 6 : IMAGES
UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
***
Lorsque vous synchronisez une image, vous pouvez inclure des effets d’image.
Si vous ajoutez, supprimez ou modifiez un effet par la suite, ce changement est
appliqué à toutes les instances de l’image synchronisée. Lorsque vous ajoutez
un bloc d’image dans la palette Contenu partagé (menu Fenêtre), cochez
Synchroniser le contenu dans la boîte de dialogue Propriétés élément partagé. Puis, cliquez sur Contenu et attributs. Ceci applique des effets identiques
sur le même fichier image dans toute la mise en page.
UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
Vous pouvez utiliser la palette Effets d’image (menu Fenêtre) pour essayer
différents effets. Il vous suffit de sélectionner une image importée dans un des
formats pris en charge : TIFF (.tif), PNG (.png), JPEG (.jpg), Scitex CT (.sct),
GIF (.gif), PICT (.pct ou .pict), BMP (.bmp) ou raster/Photoshop EPS (.eps).
Vous pouvez utiliser la palette Effets d’image pour appliquer des effets à
l’image sélectionnée. Vous pouvez également utiliser les sous-menus Style >
Effets d’image > Ajustements et Style > Effets d’image > Filtres pour appliquer
des effets.
Les effets sont appliqués aux images comme indiqué dans la palette Effets
d’image de haut en bas. Pour réorganiser des effets, faites-les simplement
glisser vers le haut ou vers le bas de la liste.
RETRAIT ET SUPPRESSION DES EFFETS D’IMAGE
La palette Effets d’image permet de retirer temporairement un effet à des fins
d’expérimentation ou de supprimer complètement des effets de la liste.
• Pour retirer un effet (sans le supprimer), désactivez-le. Vous pouvez activer et
désactiver des effets pour essayer diverses combinaisons.
• Pour supprimer un effet, sélectionnez-le et cliquez sur Supprimer l’effet
appuyez sur la touche Retour arrière/Suppression.
ou
AFFICHAGE DES EFFETS EN PLEINE RÉSOLUTION
La fonction Effets d’image affiche des images selon la résolution de prévisualisation active. Vous pouvez modifier celle-ci pour l’image sélectionnée en
choisissant une option dans le sous-menu Résolution de prévisualisation
(menu Bloc).
EFFETS D’IMAGE : FILTRES
Les filtres proposent des options qui évaluent l’image entière ou des groupes
de pixels, puis modifient les pixels suivant le contexte. Si vous connaissez les
filtres ou effets d’une autre application, vous maîtriserez également les contrôles
de QuarkXPress.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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139
UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
• Le filtre Anti-poussière détecte les contours d’une image et trouble toute
l’image à l’exception de ses contours. Il supprime le bruit tout en conservant
le détail et peut s’avérer utile pour nettoyer une image numérisée.
• Le filtre Flou gaussien lisse les transitions en faisant la moyenne des pixels
placés à côté des bords durs des lignes définies et des zones ombrées d’une
image. Lorsque vous activez Image floue et/ou Masque flou, vous pouvez
appliquer ce filtre séparément aux images et à leurs masques alpha.
• Le filtre Masque flou compare les valeurs de pixel d’une zone définie à la
valeur de seuil spécifiée. Si la valeur de contraste d’un pixel est inférieure au
seuil, elle est augmentée.
• Le filtre Trouver contours souligne de noir les bords d’une image sur un
fond blanc.
• Le filtre Solariser fond les zones négatives et positives d’une image, produisant un effet de solarisation photographique. Pour utiliser la boîte de dialogue
Solariser, renseignez le champ Seuil ou déplacez le curseur. La valeur indique
les pixels à modifier : ceux dont la valeur est inférieure au seuil sont considérés
comme négatifs et ceux dont la valeur est supérieure au seuil, comme positifs.
Les valeurs de pixel sont alors inversées.
• Le filtre Diffuser mélange les pixels afin que l’image paraisse plus floue. Par
défaut, l’effet s’applique à l’image et au masque sélectionnés pour l’image dans
la rubrique Bloc > Modifier > Image.
• Le filtre Relief effectue la mise en relief ou l’estampage des zones de l’image.
• Lorsque le filtre Relief est appliqué, vous pouvez spécifier le sens du relief ou
de l’estampage de l’image à l’aide du filtre Effets gaufrage. Cliquez sur les
flèches de direction de la boîte de dialogue Effets gaufrage pour appliquer
différents sens. Par exemple, cliquez sur la flèche supérieure droite pour indiquer que lorsque vous estampez un objet, vous poussez légèrement sur la
droite, en faisant glisser le cachet dans cette direction.
• Le filtre Détection de contours affiche uniquement les contours de l’image,
en supprimant les couleurs restantes. La boîte de dialogue Détection de
contours offre deux méthodes mathématiques de définition des contours :
Sobel et Prewitt. La méthode Sobel est sans doute plus précise car elle prend
davantage en compte les pixels environnants dans ses calculs.
• Le filtre Tracer les contours détoure d’un trait fin les transitions des zones
principales de luminosité pour chaque couche de couleur, produisant un
contour noir et blanc de l’image. Vous avez également la possibilité d’inverser
les résultats.
140
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CHAPITRE 6 : IMAGES
UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
• Le filtre Ajouter du bruit applique des pixels aléatoires à une image pour
simuler les photos prises sur film ultra-sensible. Il applique un motif uniforme sur les tons d’ombre et moyens tout en ajoutant un motif plus lisse et
plus saturé sur les zones plus claires de l’image.
• Le filtre Médian réduit ou élimine l’effet de mouvement sur une zone particulière de l’image. Cet effet recherche des pixels de même luminosité et remplace
le pixel central par la luminosité médiane des pixels trouvés ; les pixels qui
diffèrent grandement des pixels adjacents ne sont pas affectés.
EFFETS D’IMAGE : AJUSTEMENTS
Les ajustements analysent les pixels à travers l’image et les mappent sur
différentes valeurs. Si vous connaissez les ajustements ou effets d’une autre
application, vous maîtriserez également les contrôles d’ajustement
de QuarkXPress.
• Lorsqu’une image est trop claire ou trop foncée, vous pouvez utiliser l’effet
Niveaux pour éclairer les tons clairs, comprimer les ombres et ajuster les tons
moyens individuellement.
• Pour éclaircir ou assombrir une image, vous pouvez effectuer des ajustements
de tonalité précis à l’aide de l’effet Courbes. Au lieu de limiter les ajustements
aux ombres, aux tons clairs et moyens, vous pouvez ajuster tous les points sur
une échelle de 0 à 100 % (pour CMJN et niveaux de gris) ou de 0 à 255 (pour
RVB). La nature précise de cet outil nécessite plus d’expérience et de connaissances que l’effet Niveaux.
• Pour apporter des changements simples à la tonalité d’une image, vous pouvez utiliser l’effet Luminosité/Contraste pour ajuster la tonalité de chaque
pixel au lieu des couches individuelles.
• Utilisez l’effet Équilibre des couleurs pour supprimer les dominantes de couleur ou corriger la saturation des couleurs. Cet effet modifie le mélange des
couleurs dans une image pour appliquer une correction généralisée.
• L’effet Teinte/Saturation est conçu pour ajuster l’intensité et la luminosité
générales de la couleur dans une image délavée ou sourde, mais il est généralement utilisé comme effet spécial. Par défaut, la teinte actuelle de l’image
(dominante de couleur), la saturation (intensité) et la luminosité (degré de
lumière blanche) sont exprimées par des zéros.
• Pour imiter la méthode de correction de couleurs spécifiques des anciennes
imprimantes, vous pouvez utiliser l’effet Couleur sélective. Celui-ci augmente ou réduit la quantité de couleurs quadrichromiques dans chacune des
couleurs primaires d’une image. Par exemple, si une pomme est trop violette,
vous pouvez supprimer le cyan des zones de rouge.
CHAPITRE 6 : IMAGES
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141
UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
• Pour les images destinées à l’écran (dans les mises en page Web), vous pouvez
ajuster le point blanc à l’aide de l’effet Correction Gamma. L’ajustement du
point blanc contrôle la luminosité de l’affichage de l’image à l’écran. Pour
utiliser la boîte de dialogue Correction Gamma, ajustez les tons moyens en
entrant une nouvelle valeur dans le champ Gamma ou en déplaçant le curseur.
Une valeur plus importante produit une image plus sombre.
***
Bien que la modification gamma vous donne un certain contrôle sur l’affichage
de l’image, des différences entre Windows et Mac OS peuvent toujours poser
problème. Windows utilisant une valeur gamma plus élevée (2,2) pour l’affichage
que Mac OS (1,8), une même image apparaîtra plus sombre sous Windows.
• L’effet spécial Désaturer convertit une image couleur en image noir et blanc
sans changer le mode chromatique ou la luminosité de chaque pixel. Par
exemple, il affecte des valeurs de rouge, vert et bleu identiques à chaque pixel
d’une image RVB pour que celle-ci apparaisse en gris.
• L’effet Inverser inverse les valeurs de gris de chaque couche d’une image.
Cet effet est recommandé pour les images 1 bit, à niveaux de gris et RVB. Les
images CMJN contiennent une couche noire, cet effet n’est donc pas recommandé dans ce cas. L’inversion de la couche noire crée habituellement des
images principalement noires ou principalement blanches.
• L’effet Seuil convertit les images couleur en images noir et blanc, sans utiliser
de gris. Renseignez le champ Seuil ou déplacez le curseur ; tous les pixels plus
clairs que la valeur du seuil sont convertis en blanc et les pixels plus sombres,
en noir.
• L’effet Postériser modifie les tonalités de chaque couche d’une image pour
produire des effets spéciaux. Pour utiliser la boîte de dialogue Postériser,
entrez une nouvelle valeur dans le champ Niveaux ou déplacez le curseur.
Par exemple, choisissez cinq tonalités dans une image RVB pour obtenir
15 couleurs (cinq pour chacune des trois couleurs primaires).
• L’effet Négatif inverse les luminosité et teinte des images CMJN. Les images
CMJN contenant une couche noire, cet effet, plutôt que l’effet Inverser, est
recommandé dans ce cas. L’inversion de la couche noire crée habituellement
des images principalement noires ou principalement blanches. Si vous exportez l’image dans un autre mode chromatique (Fichier > Enregistrer l’image),
l’effet Négatif n’est pas appliqué.
142
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CHAPITRE 6 : IMAGES
UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
ENREGISTREMENT ET CHARGEMENT DES PRÉSÉLECTIONS
D’EFFETS D’IMAGE
Pour appliquer rapidement de manière cohérente les mêmes ajustements et
filtres à plusieurs images, vous pouvez exporter des paramètres sous forme de
présélections. Les présélections sont enregistrées dans des fichiers distincts
portant l’extension .vpf. Vous pouvez les charger pour l’image active dans
n’importe quel projet.
Pour enregistrer une présélection, appliquer des effets à une image, vérifier
tous les paramètres lorsque l’image est sélectionnée, cliquez sur Enregistrer
présélection dans la palette Effets d’image.
Pour appliquer une présélection, sélectionnez une image dans une mise en
page, puis cliquez sur Charger présélections dans la palette Effets d’image.
***
Les présélections ne sont pas modifiables. Si vous devez changer certains
paramètres d’un fichier de présélection, supprimez ce dernier et créez-en
un autre.
***
Par défaut, lorsque vous enregistrez des présélections, elles sont sauvegardées
dans le dossier Picture Effects Presets du dossier d’application. Lorsque vous
manipulez des images à l’aide de la palette Effets d’image, leurs données sont
enregistrées dans la mémoire cache. Pour personnaliser les emplacements
d’enregistrement des présélections, utilisez le volet Effets d’image de la boîte
de dialogue Préférences (QuarkXPress/Édition > Préférences).
RÉVISION DE L’UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
Pour faciliter la visualisation de tous les effets d’image utilisés dans une
mise en page, affichez la rubrique Vista de la boîte de dialogue Usage (menu
Utilitaires). Comme la rubrique Images, la rubrique Vista répertorie le nom
du fichier, son emplacement, le numéro de la page (un obèle ou PB indique la
table de montage), le type du fichier et le nombre d’effets pour chaque image
de la mise en page.
Reportez-vous à Exportation des fichiers images.
ENREGISTREMENT DES FICHIERS IMAGES
Vous pouvez exporter des fichiers images dans les formats de votre choix. Tous
les changements effectués dans QuarkXPress, y compris tout ce que vous pouvez accomplir dans la rubrique Image de la boîte de dialogue Modifier (menu
Bloc) et dans la palette Effets d’image (menu Fenêtre), peuvent être enregistrés
avec le fichier image source ou dans un nouveau fichier image. L’application
CHAPITRE 6 : IMAGES
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143
UTILISATION DES EFFETS D’IMAGE
des modifications à un fichier image source est appelée rendu. Cette opération
est généralement effectuée pour accélérer le traitement à la sortie ou pour
optimiser les fichiers à envoyer à un prestataire de services de prépresse
et d’impression.
La boîte de dialogue Options d’exportation d’image permet de contrôler les
effets d’image appliqués et le mode de rendu des images sélectionnées.
Pour exporter l’image sélectionnée, choisissez Fichier > Enregistrer images >
Image sélectionnée. Choisissez Fichier > Enregistrer images > Toutes les
images de la mise en page pour exporter toutes les images de la mise en page
active. (Notez que cette option s’applique uniquement aux formats et modes
chromatiques compatibles.) Pour exporter des images sélectionnées dans une
mise en page, choisissez Utilitaires > Usage, cliquez sur Vista, sélectionnez
les images à exporter, puis cliquez sur Rendu.
Lorsque vous exportez une image, vous pouvez préciser les modifications
à enregistrer avec chaque image, le type de fichier et le mode chromatique.
Vous pouvez, de plus, décider de supplanter le fichier image d’origine ou
d’en créer un. Cochez la case Remplacer image d’origine pour remplacer le
fichier d’origine.
Cochez la case Lier la mise en page à la nouvelle image pour enregistrer un
nouveau fichier et remplacer le lien vers le fichier d’origine par un lien vers le
nouveau fichier. Si vous décidez d’effectuer le rendu des transformations de
l’image (telles que la mise à l’échelle, l’inclinaison, le recadrage et la rotation),
les attributs du bloc d’image sont ajustés si nécessaire pour assurer que
l’apparence de l’image est conservée après la réimportation.
144
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CHAPITRE 6 : IMAGES
PRÉSENTATION DE LA COULEUR
Chapitre 7 : Couleur, opacité et
ombres portées
QuarkXPress vous permet de créer des couleurs personnalisées ou de choisir
des couleurs dans l’un des systèmes de synthèse des couleurs et de les modifier. Vous pouvez appliquer des couleurs et des teintes au texte et aux images.
Vous pouvez également contrôler l’opacité du texte de la même manière que
vous contrôlez sa couleur. Vous pouvez appliquer des ombres portées aux
éléments comme au texte.
PRÉSENTATION DE LA COULEUR
PRÉSENTATION DES COULEURS DE SÉPARATION
ET D’ACCOMPAGNEMENT
Bien que certains périphériques de sortie puissent imprimer des mises en page
QuarkXPress en couleurs, dans le domaine de la publication, la production
finale se fait surtout sous forme de films quadrichromiques reproduits sous
presse à l’aide d’encres de couleur.
FILMS DE SÉPARATION QUARKXPRESS
Vous pouvez définir deux types de couleurs dans un projet : couleur d’accompagnement et couleur de séparation. Lors de l’impression d’une page contenant
des couleurs d’accompagnement, QuarkXPress assemble tous les éléments,
images et caractères d’une même couleur d’accompagnement sur un même film
de séparation. En revanche, lors de l’impression d’une mise en page contenant
des éléments intégrant des couleurs quadrichromiques, QuarkXPress sépare
chaque couleur en ses composantes d’encres polychromiques et génère un
film de séparation par composante d’encre pour chaque page de la mise en
page. Si, par exemple, les pages contiennent des éléments auxquels une seule
couleur d’accompagnement a été appliquée, ainsi que des éléments auxquels
des couleurs quadrichromiques ont été appliquées, QuarkXPress générera
cinq films de séparation pour chaque page contenant ces couleurs : les films
de séparation cyan, magenta, jaune et noir, plus un autre film qui contient les
éléments de la page auxquels la couleur d’accompagnement a été appliquée.
CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
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145
PRÉSENTATION DE LA COULEUR
FILMS DE SÉPARATION
Lors d’un tirage sous presse, les imprimeurs créent une plaque d’impression
pour chaque séparation d’accompagnement et chaque séparation d’encre
polychromique. Un travail en quadrichromie nécessite quatre plaques d’impression, chacune imprimant une encre de couleur différente pour créer la page
couleur finale.
DÉFINITION DES COULEURS DE SYSTÈMES DE SYNTHÈSE
La sélection des couleurs dans un système de synthèse de couleurs peut s’avérer utile pour communiquer avec un imprimeur industriel au sujet des couleurs
de votre mise en page. Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Définition de
couleur (Édition > Couleurs > Créer) pour sélectionner des couleurs dans les
modèles chromatiques suivants : PANTONE Hexachrome, PANTONE MATCHING SYSTEM, le système chromatique TRUMATCH, le système chromatique
FOCOLTONE, DIC et TOYO. Les couleurs issues de ces systèmes de synthèse
sont principalement utilisées dans des mises en page destinées à l’impression.
TRUMATCH ET FOCOLTONE
Les systèmes chromatiques TRUMATCH et FOCOLTONE utilisent des couleurs
prédéfinies afin que la couleur finale imprimée reproduise fidèlement l’échantillon choisi (avec de légères variations de teinte en fonction, entre autres, de
la couleur du papier et de la pureté de l’encre).
PANTONE
PANTONE MATCHING SYSTEM imprime chaque couleur sur son propre film
lorsque vous générez des séparations. Les encres entrant dans la composition
des couleurs PANTONE sont normalisées, cataloguées et pré-mélangées ; il est
donc possible d’obtenir une couleur exacte pour la sortie finale.
DIC ET TOYO
DIC et TOYO sont des systèmes de synthèse de couleurs d’accompagnement
utilisés principalement au Japon.
UTILISATION DES COULEURS
Certaines couleurs sont automatiquement incluses à la palette Couleurs.
Pour en utiliser d’autres, vous devez les créer ou modifier des couleurs via la
boîte de dialogue Couleurs, qui permet de créer des couleurs à l’aide de roues
chromatiques, de champs numériques ou de systèmes de synthèse des couleurs.
PALETTE COULEURS
Lorsque vous créez un article, sa palette Couleurs (Affichage > Afficher les
couleurs) contient toutes les couleurs de la boîte de dialogue Couleurs de
l’application (Édition > Couleurs).
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CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
UTILISATION DES COULEURS
La palette Couleurs permet de créer, de modifier et de supprimer des couleurs.
BOÎTE DE DIALOGUE COULEURS
La boîte de dialogue Couleurs (Édition > Couleurs) permet de créer, de
modifier, de dupliquer ou de supprimer une couleur ; d’ajouter des couleurs
provenant d’un autre article ; de renommer la couleur ; de modifier le modèle
chromatique ; de spécifier des films de séparation pour une couleur ; de remplacer le tramage d’une couleur d’accompagnement ; d’ajuster la couleur ;
et de faire passer tous les éléments d’une couleur à une autre. Vous pouvez
également utiliser la boîte de dialogue Couleurs pour spécifier les relations de
défonce entre les couleurs de mises en page destinées à une sortie sur films
de séparation.
La boîte de dialogue Couleurs permet de créer, de modifier et de supprimer des
définitions de couleur.
CRÉATION D’UNE COULEUR
Vous pouvez choisir parmi plusieurs modèles chromatiques et systèmes de
synthèse pour créer des couleurs. En outre, vous pouvez ajouter à la liste de
couleurs par défaut les couleurs le plus fréquemment employées lorsqu’aucun
article n’est ouvert). Vous pouvez créer jusqu’à 1 000 couleurs par défaut ou
spécifiques à un article. Pour créer une couleur, choisissez Édition > Couleurs
afin d’afficher la boîte de dialogue Couleurs et cliquez sur Créer afin d’afficher
la boîte de dialogue Définition de couleur. Puis, renseignez le champ Nom et
indiquez le modèle chromatique de votre nouvelle couleur.
CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
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147
UTILISATION DES COULEURS
• RVB : ce système de synthèse additive des couleurs s’utilise le plus souvent
pour des enregistreurs de diapositives ou des écrans vidéo couleur. Il est également recommandé pour les pages Web. Des radiations lumineuses rouges,
vertes et bleues sont combinées pour restituer les couleurs sur écran vidéo.
• HSB : ce modèle chromatique est surtout employé par les artistes parce qu’il
simule la méthode qu’ils utilisent pour mélanger les couleurs. La teinte correspond au pigment utilisé, la saturation à la proportion de pigment dans le
mélange et la luminosité à la proportion de noir.
• LAB : cet espace chromatique est conçu de façon à être indépendant des différences d’interprétation de la couleur inévitables entre les différents modèles
d’imprimantes et de moniteurs. Le modèle chromatique LAB, également
appelé espace chromatique LAB, est un modèle tridimensionnel standard de
représentation des couleurs. Les couleurs sont définies par une coordonnée
de luminance (L) et deux coordonnées de chrominance (A pour vert-rouge) et
(B pour bleu-jaune).
• Multi-Ink : ce modèle chromatique est basé sur les pourcentages de pigments
dans les encres polychromiques ou d’accompagnement.
• CMJN : CMJN (CMYK) est un modèle de synthèse soustractive utilisé par les
imprimeurs. Les couleurs sont reproduites par combinaison des encres cyan,
magenta, jaune et noire sur une presse.
• Couleurs Web-Safe ou Web Named : les couleurs Web standard sont utilisées
pour obtenir des couleurs cohérentes dans les mises en page Web.
• Pour sélectionner une couleur dans un système de synthèse et l’ajouter à votre
liste de couleurs, choisissez d’abord le système de synthèse dans le menu
déroulant Modèle.
MODIFICATION D’UNE COULEUR
Pour modifier une couleur existante, choisissez Édition > Couleurs, sélectionnez la couleur à modifier dans la liste Couleurs, puis cliquez sur Modifier
pour afficher la boîte de dialogue Définition de couleur. Vous pouvez également cliquer deux fois sur la couleur que vous souhaitez modifier dans la liste
Couleurs pour afficher la boîte de dialogue Définition de couleur.
Boîte de dialogue Définition de couleur
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CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
UTILISATION DES COULEURS
DUPLICATION D’UNE COULEUR
Pour dupliquer une couleur existante, choisissez Édition > Couleurs, sélectionnez la couleur à dupliquer dans la liste Couleurs, puis cliquez sur Dupliquer
pour afficher la boîte de dialogue Définition de couleur.
SUPPRESSION D’UNE COULEUR
Vous ne pouvez pas supprimer certaines couleurs par défaut, mais il est possible
de supprimer les couleurs nouvelles ou dupliquées que vous avez créées. Pour
supprimer une couleur de la liste, choisissez Édition > Couleurs, sélectionnez
la couleur à retirer de la liste Couleurs, puis cliquez sur Supprimer.
IMPORTATION DES COULEURS À PARTIR D’UN AUTRE ARTICLE
OU PROJET
Vous pouvez ajouter des couleurs en provenance d’un autre article ou projet
à l’aide de la boîte de dialogue Couleurs (Édition > Couleurs) ou de la
commande Ajouter (Fichier > Ajouter).
REMPLACEMENT DE TOUTES LES OCCURRENCES D’UNE COULEUR
PAR UNE AUTRE COULEUR
Pour changer globalement la couleur de tous les éléments, remplacez-la par
la couleur souhaitée ou choisissez Édition > Couleurs pour afficher la boîte
de dialogue Couleurs, sélectionnez le nom de la couleur à effacer, puis
cliquez Supprimer.
***
Lorsque vous changez la couleur de l’ensemble des objets et du texte, n’oubliez pas de sauvegarder au préalable votre travail. Ainsi, si vous appliquez au
tout la mauvaise couleur accidentellement, vous pouvez annuler cette erreur
sans perdre le reste de votre travail en choisissant simplement Fichier >
Version enregistrée.
APPLICATION DES COULEURS, DES TEINTES ET DES DÉGRADÉS
Pour appliquer des couleurs et des teintes aux blocs, cadres et images, vous
pouvez utiliser les rubriques Bloc et Cadre de la boîte de dialogue Modifier
(Bloc > Modifier), ou la palette Couleurs (Affichage > Afficher les couleurs).
***
Vous pouvez également définir des dégradés et des trames de fond à l’aide de
la palette Couleurs (Affichage > Afficher les couleurs).
Vous pouvez rendre un bloc transparent en choisissant une couleur de fond
Néant dans le menu local Couleur de la rubrique Bloc (Bloc > Modifier) ou en
sélectionnant Néant dans la palette Couleurs. Lorsqu’un bloc est transparent,
il est possible de voir les éléments qui se trouvent derrière. L’option Néant doit
être utilisée uniquement pour laisser transparaître les éléments placés derrière
le bloc. Sinon, choisissez pour le fond du bloc la couleur Blanc.
CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
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149
UTILISATION DES COULEURS
Vous pouvez appliquer une couleur aux zones sombres des images bitmap en
noir et blanc et aux images en niveaux de gris en choisissant la commande
Couleur (Style > Couleur) lorsqu’un bloc d’image contenant une image dans
l’un de ces formats est actif.
UTILISATION DE LA PALETTE COULEURS POUR APPLIQUER
DES COULEURS
La palette Couleurs vous permet de définir une couleur de fond ou de cadre,
une teinte, et de créer un dégradé entre deux couleurs comme fond de bloc.
UTILISATION DE LA PALETTE COULEURS POUR CRÉER
DES DÉGRADÉS
Un dégradé est une transition entre deux couleurs. Dans la palette Couleurs,
vous pouvez définir les deux couleurs d’un dégradé ainsi que leur teinte, la
forme du dégradé et l’angle d’orientation de celui-ci par rapport au bloc. Un
dégradé peut être créé avec n’importe quelle combinaison de deux couleurs
disponibles dans un projet.
APPLICATION DES COULEURS ET DES TEINTES AU TEXTE
Pour appliquer une couleur et une teinte à du texte, quatre méthodes
sont possibles :
• vous pouvez appliquer une couleur et une teinte à l’aide des commandes
Style > Couleur et Style > Teinte ;
• vous pouvez utiliser la palette Couleurs (Affichage > Afficher les couleurs) ;
• vous pouvez utiliser la commande Feuille de style de caractères (Style >
Feuille de style de caractères) pour appliquer une couleur et une teinte au
texte sélectionné en utilisant les feuilles de style de caractères que vous
avez créées ;
• vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Attributs de caractère
(Style > Caractère).
APPLICATION D’UNE COULEUR ET D’UNE TEINTE AUX TRAITS
Pour appliquer une couleur et une teinte à des traits, trois méthodes
sont possibles :
• vous pouvez utiliser la rubrique Ligne (Bloc > Modifier) ;
• vous pouvez utiliser la palette Couleurs (Affichage > Afficher les couleurs) ;
• vous pouvez appliquer des paramètres de couleur, de teinte et d’intervalle de
ligne à l’aide des commandes Style > Couleur et Style > Teinte.
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CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
UTILISATION DE L’OPACITÉ
UTILISATION DE L’OPACITÉ
L’opacité est appliquée au niveau de la couleur, vous pouvez donc spécifier
une opacité pour tout élément auquel vous pouvez appliquer une couleur,
même la première ou la seconde couleur d’un dégradé. Vous pouvez utiliser
des opacités variées sur les différents attributs d’un même élément, un cadre
de bloc de texte, un fond, une image et chaque caractère du texte, par exemple.
Lorsque vous définissez l’opacité, vous devez prendre en compte la disposition
des éléments les uns par rapport aux autres.
DÉFINITION DE L’OPACITÉ
La définition de l’opacité est aussi simple que celle de la teinte d’une couleur. Lorsque vous choisissez une couleur dans la palette Couleurs, la palette
Spécifications, le menu Style, différentes rubriques de la boîte de dialogue
Modifier (menu Bloc), la boîte de dialogue Attributs de caractères (Style >
Caractère), etc., vous pouvez entrer une valeur d’opacité allant de 0 (transparent) à 100 % (opaque) par incréments de 0,1 %. Pour définir l’opacité d’une
image, renseignez le champ Opacité de la rubrique Image (Bloc > Modifier).
DÉFINITION DE L’OPACITÉ POUR LES GROUPES
N’oubliez pas que lorsque vous empilez des éléments de différentes opacités, les
couleurs sont combinées et peuvent produire une accumulation d’encre. Par
exemple, si vous placez un bloc jaune d’une opacité de 30 % devant un bloc
cyan d’une opacité de 100 %, le bloc supérieur devient légèrement verdâtre.
Vous pouvez contrôler cet effet en regroupant les éléments et en définissant une
opacité de groupe plutôt que des opacités individuelles par élément. Pour cela,
utilisez le champ Opacité de groupe de la rubrique Groupe dans la boîte de
dialogue Modifier (menu Bloc). Suivant l’effet souhaité, il vous faudra rétablir
le champ Opacité pour les différents éléments à 100 % (sinon, vous obtenez
une opacité d’élément plus une opacité de groupe).
Avec ces trois éléments regroupés, comparez l’opacité individuelle à celle de
groupe. À gauche, chaque élément est opaque à 50 % : les éléments supérieurs
sont composés par rapport à ceux du dessous. À droite, l’opacité de chaque élément est de 100 %, celle du groupe est de 50 % : le groupe entier est composé
par rapport au fond. Les éléments du groupe pourraient cependant utiliser une
opacité individuelle en plus de celle du groupe.
CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
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151
UTILISATION DE L’OPACITÉ
CRÉATION DES DÉGRADÉS AVEC TRANSPARENCE
Vous pouvez appliquer un dégradé à une couleur à l’aide de l’option Néant
plutôt qu’avec simplement du blanc. Il vous suffit de choisir Néant pour la
première ou la seconde couleur du dégradé dans la palette Couleurs ou la
rubrique Bloc de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc).
GESTION DE LA COULEUR
QuarkXPress permet de produire une couleur prévisible grâce à des outils de
gestion de la couleur ICC nécessitant très peu de la part des utilisateurs. Pour
les experts de la couleur, cependant, QuarkXPress permet de contrôler tous les
aspects de la gestion de la couleur. Outre une implémentation rationalisée de
la gestion de la couleur, QuarkXPress permet une véritable révision à l’écran à
l’aide de prévisualisations simulant la sortie sur divers périphériques.
PARAMÉTRAGES SOURCE ET DE SORTIE
L’implémentation de la gestion des couleurs dans QuarkXPress permet aux
experts de créer et d’affiner des ensembles de paramètres de gestion de la couleur appelés paramétrages source et de sortie. Les paramétrages source spécifient
individuellement les profils et modes de rendu pour les couleurs unies et les
images dans les espaces chromatiques RVB, CMJN, LAB et à niveaux de gris ;
définissent les espaces chromatiques source des couleurs nommées ; et indiquent les espaces chromatiques sous-jacents des encres. Les paramétrages de
sortie spécifient les profils et modèles chromatiques de sortie, et configurent
les options d’épreuvage pour simuler différents types de sortie à l’écran.
GESTION DE LA COULEUR VÉCUE PAR LES UTILISATEURS
Vous avez plusieurs possibilités quant à la méthode de travail : vous pouvez travailler avec des paramètres par défaut éprouvés, implémenter des paramétrages
source et de sortie fournis par un expert ou travailler dans un environnement
de gestion de la couleur patrimonial.
UTILISATION DE L’ENVIRONNEMENT DE GESTION DE LA COULEUR
PAR DÉFAUT
Ces paramétrages par défaut sont conçus pour fournir des prévisualisations
précises et des sorties excellentes dans la majorité des cas. Vous n’avez rien à
définir, mais si vous souhaitez consulter ces paramétrages par défaut, vous
pouvez vérifier les profils moniteur, paramétrages source et révisions à l’écran
sélectionnés dans la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
DÉFINITION D’UN MOTEUR DE COULEURS
Le menu déroulant Moteur de couleurs permet de choisir le moteur de couleurs utilisé pour transformer les couleurs pour la gestion de la couleur. Les
options possibles sont CMM LogoSync, CMM Kodak et Paramètres Système.
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CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
GESTION DE LA COULEUR
DÉFINITION D’UN PROFIL MONITEUR
La zone Moniteur de la rubrique Affichage présente le profil utilisé. Le paramètre par défaut, Automatique, se rapporte au moniteur actuel reconnu par
Mac OS ou Windows. Vous pouvez choisir un autre profil dans le menu
déroulant Profil. Vous pouvez changer le profil moniteur par défaut, par
exemple, si vous disposez d’un profil personnalisé pour votre moniteur ou si
vous passez d’un ordinateur portable à un ordinateur de bureau et souhaitez
simuler le même environnement d’affichage.
DÉFINITION D’UN PARAMÉTRAGE SOURCE
La zone Options source de la rubrique Gestionnaire des couleurs affiche le
paramétrage source par défaut, QuarkXPress 7.0 défaut, qui fournit l’environnement de gestion de la couleur éprouvé le plus récent. Si vous préférez
l’environnement de gestion de la couleur d’une version de QuarkXPress antérieure à 7.0, vous pouvez choisir QuarkXPress Emulate Legacy dans le menu
déroulant Paramétrage source.
DÉFINITION D’UN PARAMÉTRAGE DE SORTIE PRÉLIMINAIRE
Afin de spécifier un paramétrage de sortie préliminaire par défaut pour l’affichage des couleurs dans les mises en page papier, choisissez une option dans
la liste déroulante Sortie préliminaire.
SPÉCIFICATION D’UN USAGE FINAL DU RENDU
Le menu déroulant Usage final du rendu présente la méthode utilisée pour
convertir les couleurs d’un espace chromatique à un autre. Le paramétrage
par défaut, Colorimétrie absolue, rend précisément les couleurs de la gamme
et mappe les couleurs hors gamme sur la teinte la plus proche possible. Suivant
le type de projet sur lequel vous travaillez (par exemple, si l’accent est mis sur
les images au trait et les couleurs Pantone plutôt que sur les photographies), il
est recommandé de choisir une option différente dans le menu déroulant
Usage final du rendu.
GESTION DE LA COULEUR DANS LES IMAGES EPS ET PDF À
MULTIPLES ESPACES COLORIMÉTRIQUES
Certains fichiers EPS et PDF contiennent parfois des éléments qui utilisent
différents espaces chromatiques. Par exemple, un fichier PDF ou EPS peut
contenir une image qui utilise l’espace RVB et une couleur utilisant l’espace
CMJN. Pour permettre à QuarkXPress de gérer correctement ces différents éléments à l’aide du paramétrage de sortie défini, cochez l’option Gérer la couleur
des fichiers EPS/PDF dans mise en page.
UTILISATION DES PARAMÉTRAGES SOURCE ET DE SORTIE D’UN
EXPERT DE LA COULEUR
Si un expert crée des paramétrages source et de sortie personnalisés spécifiques
à votre flux de production, ou même pour des travaux ou clients individuels,
vous pouvez facilement les employer via les préférences, options d’affichage,
CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
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153
GESTION DE LA COULEUR
paramètres de sortie et dossiers de fabrication Job Jackets. Par exemple, un atelier
de photocomposition ou un imprimeur peut vous fournir des paramétrages qui
assurent une sortie conforme pour leur équipement.
AJOUT DES PARAMÉTRAGES SOURCE
Si les paramétrages source sont créés pour un projet sur lequel vous travaillez,
vous pouvez les ajouter aux autres projets. Utilisez le bouton Ajouter de la
boîte de dialogue Paramétrages source (Édition > Paramétrages couleur >
Source) pour rechercher et sélectionner un paramétrage source.
IMPORTATION DES PARAMÉTRAGES DE SORTIE
Si des paramétrages de sortie sont créés pour vous, importez-les via la boîte de
dialogue Paramétrages de sortie (Édition > Paramétrages couleur > Sortie).
Utilisez le bouton Importer pour rechercher et sélectionner les fichiers de
paramétrage de la sortie.
SÉLECTION DES PARAMÉTRAGES SOURCE ET DE SORTIE
Pour utiliser des paramétrages source et de sortie personnalisés, vous les
sélectionnez de divers menus de gestion de la couleur comme suit :
• Sources couleur : pour utiliser un paramétrage source personnalisé, sélectionnez-le dans le menu déroulant Paramétrage source du volet Gestionnaire des
couleurs de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition)
pour la mise en page.
• Affichage couleur : pour utiliser un paramétrage de sortie personnalisé
pour l’épreuvage, choisissez-le dans le sous-menu Sortie préliminaire du
menu Affichage.
• Sortie couleur : pour utiliser un paramétrage de sortie personnalisé pour
l’impression ou d’autres types de sortie, choisissez-le dans le menu déroulant
Réglage de la rubrique Couleurs de la boîte de dialogue Imprimer
(Fichier > Imprimer).
UTILISATION DES PARAMÉTRAGES SOURCE ET DE SORTIE DANS
JOB JACKETS
Lorsque vous créez un projet à partir d’un fichier Job Jackets, les paramétrages
source et de sortie appropriés sont intégrés et sélectionnés pour vous. Vous
pouvez toujours importer, ajouter et créer des paramétrages supplémentaires,
et sélectionner ceux-ci pour l’affichage et la sortie.
UTILISATION D’UN ENVIRONNEMENT DE GESTION DE LA
COULEUR PATRIMONIAL
Vous pouvez ouvrir des projets QuarkXPress 3.3, 4.x, 5.x ou 6.x dont l’affichage
et la sortie couleur seront conservés.
Vous pouvez continuer de travailler dans un environnement de gestion de la
couleur patrimonial des versions 3.3, 4.x, 5.x ou 6.x de QuarkXPress. Si vous
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CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
GESTION DE LA COULEUR
choisissez de travailler dans un environnement de gestion de la couleur patrimonial, vous pouvez toujours bénéficier des fonctions de révision à l’écran
de QuarkXPress 7.
Vous pouvez facilement passer aux méthodes QuarkXPress 7 en remplaçant
le paramétrage source par QuarkXPress 7.0 Défaut (ou à une option
personnalisée) dans les préférences Gestionnaire des couleurs (menu
QuarkXPress/Édition > Préférences). Le paramétrage source dépend de
la mise en page. Aussi, lorsque vous ouvrez un projet contenant plusieurs
mises en page, vous pouvez changer le paramétrage source pour chacune
d’entre elles. Vérifiez ensuite que les paramètres de sortie utilisés (Édition >
Paramétrages couleur > Sortie) utilisent les profils QuarkXPress 7.0 Défaut
plutôt que ceux des versions précédentes.
VÉRIFICATION DE LA COULEUR À L’ÉCRAN (RÉVISION À L’ÉCRAN)
QuarkXPress offre une simulation d’affichage assez précise pour la vérification
à l’écran d’une portion de la sortie. À l’aide des informations des paramétrages
source et de sortie, et de tout autre paramétrage personnalisé (tel que les différents profils appliqués aux images), les options souples de simulation présentent
l’apparence de la même mise en page sortie sur différents supports et pour
différents modes d’impression.
Pour réviser à l’écran, choisissez une option dans le sous-menu Sortie préliminaire du menu Affichage. Ce menu répertorie tous les paramètres de sortie
disponibles dans la mise en page. Si vous avez importé des paramétrages de
sortie personnalisés par un expert, ils sont affichés ici. Une fois l’option choisie, toute la mise en page s’affiche dans cet espace chromatique, y compris la
palette Couleurs (menu Fenêtre) et les nuanciers affichés dans QuarkXPress.
Le sous-menu Sortie préliminaire (menu Affichage) offre des options de simulation
d’affichage pour vous permettre de visualiser les couleurs qui seront produites. Par
exemple, si vous décidez de convertir des couleurs d’accompagnement en couleurs
de séparation ou de sortir une mise en page RVB en niveaux de gris, vous pouvez
visualiser votre choix.
CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
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155
GESTION DE LA COULEUR
GESTION DE LA COULEUR POUR LES SPÉCIALISTES
Même si QuarkXPress est conçu pour fournir immédiatement des couleurs
exceptionnelles à travers tout le flux de production, un expert de la couleur
peut toujours personnaliser et affiner les paramètres de gestion de la couleur
pour des projets, équipements et processus de sortie spécifiques. Si vous comprenez la théorie de la couleur et toute la terminologie de la gestion de la couleur
(profils et modes de rendu, par exemple), vous pouvez créer des paramétrages
source et de sortie personnalisables reflétant des flux de production particuliers.
Ces paramètres sont transférables, vous pouvez donc les partager avec d’autres
utilisateurs afin d’éviter des surprises en matière de couleurs, à l’écran et
à l’impression.
CRÉATION D’UN PARAMÉTRAGE SOURCE
Un paramétrage source décrit les couleurs d’une mise en page telles qu’elles
existent avant la sortie ; il s’agit, en d’autres termes, de la provenance des
couleurs. Un paramétrage source contient des profils et des modes de rendu
pour les couleurs unies et les images en RVB, CMJN, LAB et niveaux de gris.
En outre, il inclut des informations sur l’espace chromatique sous-jacent des
couleurs nommées (telles que des couleurs Pantone Process Coated) et des
encres (comme cyan, magenta, jaune, noir et couleurs Multi-Ink). Vous pouvez créer des paramètres source pour des clients en fonction de leurs flux de
production standard, ou pour un projet spécifique.
Pour créer un paramétrage source, vous devez au préalable connaître des détails
sur le matériel et les logiciels impliqués dans le flux de production d’un client,
le type d’appareils photo numériques et de scanners utilisés par exemple, et
vous assurer que les profils pertinents sont disponibles. Il est également utile
d’étudier des exemples de projets pour connaître les types d’images, de couleurs, d’encres et de périphériques utilisés, comme des logos, des diagrammes
et des graphiques, des photographies, des éléments Duotone, des sorties
SWOP ou un affichage sur le Web.
Pour créer un paramétrage source, choisissez Édition > Paramétrages
couleur > Source.
CRÉATION D’UN PARAMÉTRAGE DE SORTIE
Un paramétrage de sortie décrit les capacités de divers types de périphériques
de sortie et détermine le mode de gestion des couleurs dans différents scénarios de production. Un paramétrage de sortie peut être considéré comme la
désignation de l’emplacement des couleurs. Il précise s’il s’agit d’une sortie
composite ou avec séparation, indique un mode et un profil de sortie. Vous
pouvez créer des paramètres de sortie pour la simulation à l’aide des commandes Affichage > Sortie préliminaire et pour la sortie réelle sur papier,
en PDF et dans d’autres formats.
Comme pour les paramètres source, la création d’un paramétrage de sortie
nécessite au préalable la connaissance des détails des travaux standard, des
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CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
GESTION DE LA COULEUR
méthodes et du matériel de sortie. Par exemple, il est utile de connaître le
nom et de disposer des profils des périphériques d’impression composite.
QuarkXPress est fourni avec des paramètres de sortie par défaut pour divers
flux de production : Tel quel, Composite CMJN, Composite CMJN et accompagnement, Composite Hexachrome, Composite RVB, Convertir en couleurs
de séparation, Niveaux de gris, Séparations In-RIP, Couleurs de séparation
et d’accompagnement.
Pour créer un paramétrage de sortie, choisissez Édition > Paramètres
couleur > Sortie.
PARTAGE DES PARAMÉTRAGES SOURCE ET DE SORTIE
Les paramétrages source et de sortie sont transférables, les experts en couleurs
peuvent donc les distribuer aisément aux utilisateurs et aux groupes de travail.
Les paramétrages source peuvent être ajoutés à partir d’autres projets et les
paramétrages de sortie peuvent être exportés dans des fichiers individuels et
enregistrés dans les styles de sortie. Ces deux types de paramétrages, source et
sortie, peuvent être partagés par inclusion dans des dossiers de fabrication Job
Jackets. Avant de distribuer des paramétrages à un groupe de travail ou à des
clients, veillez à les tester avec des travaux standard.
• Pour partager, ajouter, exporter ou importer des paramétrages, choisissez
Édition > Paramétrages couleur et modifiez le paramètre souhaité.
• Pour intégrer des paramétrages à des dossiers Job Jackets et définir les paramétrages source et de sortie utilisés dans une structure Job Jackets ou un bon de
travail, cliquez sur le bouton Paramètres avancés de la boîte de dialogue
Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires), sélectionnez un projet contenant des paramétrages source ou de sortie dans la liste de gauche, puis faites
glisser ceux-ci vers la structure Job Jackets ou le bon de travail cible. Vous
pouvez également choisir un style de sortie qui comporte des paramétrages
de sortie spécifiques.
• Pour utiliser un paramétrage de sortie personnalisé pour l’impression ou d’autres
types de sortie, choisissez-le dans le menu déroulant Réglage de la rubrique
Couleur de la boîte de dialogue Styles de sortie (Édition > Styles de sortie >
Créer/Modifier).
FINITION DE LA GESTION DE LA COULEUR POUR DES
IMAGES INDIVIDUELLES
Si vous devez spécifier des profils et des modes de rendu pour des images individuelles, vous pouvez effectuer ces opérations de la même façon quasiment que
dans les versions précédentes de QuarkXPress. Ceci supplante les paramètres par
défaut QuarkXPress ou le paramétrage source sélectionné. Par exemple, vous
pouvez remplacer l’usage final du rendu d’un logo EPS par saturation, en laissant les images restantes dans une mise en page, surtout des photographies,
avec l’option Perceptible.
CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
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157
GESTION DE LA COULEUR
Pour accéder aux contrôles de gestion des couleurs des images individuelles,
rendez les fonctions disponibles en cochant Activer accès aux profils image
dans le volet Gestionnaire des couleurs de la boîte de dialogue Préférences
(menu QuarkXPress/Édition). Pour appliquer et modifier des profils d’images :
• Importation des images : la boîte de dialogue Importer image (menu Fichier)
présente une rubrique Gestion des couleurs qui vous permet de spécifier un
profil et un usage final du rendu pour l’image sélectionnée.
• Modification des profils : la palette Informations de profils (menu Fenêtre)
affiche des renseignements sur le type et l’espace chromatique de l’image sélectionnée. Cette palette vous permet de modifier rapidement les paramètres
Profil, Usage final du rendu et Gestion couleur vers [type de périphérique]
de l’image.
GESTION DES PROFILS
À la base, la gestion de la couleur est pilotée par profil. Au fur et à mesure de
l’adoption de nouveaux flux de production, de l’acquisition de nouveaux
périphériques et de la résolution des incidents de production, vous devrez
peut-être installer de nouveaux profils, contrôler la disponibilité des profils et
déterminer leur mode d’utilisation dans une mise en page. Vous pouvez exécuter ces tâches à l’aide des fonctions Gestionnaire de profils et Usage des profils.
Il s’agit de fonctions avancées en matière de gestion de la couleur. Pour accéder à la commande Gestionnaire de profils du menu Utilitaires et dans la
rubrique Profils de la boîte de dialogue Usage, il vous faut cocher la case Activer
accès aux profils image dans le volet Gestionnaire des couleurs de la boîte
de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
INSTALLATION DES PROFILS
Si vous vous procurez de nouveaux profils auprès de fabricants et que ceux-ci
ne sont pas automatiquement installés au niveau système, vous pouvez les
faire glisser dans le dossier « Profiles » du dossier d’application QuarkXPress.
Au lancement suivant de QuarkXPress, les profils seront disponibles dans
les menus déroulants pertinents de gestion de la couleur. La boîte de dialogue
Gestionnaire de profils (menu Utilitaires) vous permet également de définir
un nouveau dossier de profils.
CHARGEMENT DES PROFILS
Si vous disposez de plus de profils que nécessaire pour un flux de production
particulier, vous pouvez rationaliser les profils disponibles dans QuarkXPress.
Pour ce faire, utilisez la boîte de dialogue Gestionnaire de profils
(menu Utilitaires).
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CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
GESTION DE LA COULEUR
VÉRIFICATION DE L’USAGE DES PROFILS
Lorsque vous manipulez les mises en page d’autres utilisateurs, vous pouvez
déterminer rapidement comment la gestion de la couleur a été implémentée
dans la rubrique Profils de la boîte de dialogue Usage (menu Utilitaires).
Semblable aux fonctions Usage des images et Usage des polices, la fonction
Usage des profils permet de voir où les profils sont disponibles dans la mise
en page et s’ils sont spécifiés dans les paramètres source/de sortie ou appliqués
aux images. Dans ce dernier cas, vous pouvez remplacer un profil par un autre.
UTILISATION DES OMBRES PORTÉES
Une ombre portée est un attribut d’élément, comme la couleur, que vous
appliquez via la rubrique Ombre portée de la boîte de dialogue Modifier
(menu Bloc) ou de la palette Spécifications. Vous pouvez créer des ombres
portées pour des éléments, des cadres, du texte, des images, etc., suivant leur
mode de formatage.
QuarkXPress vous permet de créer des ombres portées automatiques.
***
Pour utiliser des ombres portées, il vous faut charger le logiciel
XTensions DropShadow.
APPLICATION DES OMBRES PORTÉES
Pour appliquer une ombre portée, sélectionnez l’élément et cochez la case
Appliquer une ombre portée dans la rubrique Ombre portée de la palette
Spécifications ou de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc). Vous pouvez
appliquer des ombres portées à la forme d’un élément (bloc, trait, chemin de
texte, tableau) si ce dernier dispose d’une couleur de fond. Vous pouvez appliquer des ombres portées au texte lorsque le fond du bloc a une opacité inférieure
à 100 %. Vous pouvez appliquer des ombres portées au contour d’une image
lorsqu’un chemin de détourage ou un masque alpha est sélectionné, et que le
fond du bloc est Néant. Vous pouvez appliquer à un groupe une ombre portée
reflétant la forme collective de tous ses éléments.
CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
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159
UTILISATION DES OMBRES PORTÉES
PERSONNALISATION DES OMBRES PORTÉES
Les contrôles de la rubrique Ombre portée de la boîte de dialogue Modifier
(menu Bloc) ou de la palette Spécifications permettent de personnaliser l’apparence des ombres portées, notamment leur distance par rapport à l’élément,
leur dimension par rapport à l’élément d’origine, les décalage, angle de la source
lumineuse, couleur, teinte, opacité, flou, etc. Vous pouvez également synchroniser l’angle avec d’autres ombres portées de la mise en page, ce qui permet
d’homogénéiser la source lumineuse sur toute la mise en page et rendre les
ombres portées plus naturelles.
INTÉGRATION DES OMBRES PORTÉES AUX ÉLÉMENTS
Des options supplémentaires contrôlent l’interaction des ombres portées avec
des éléments, telle que le traitement de l’opacité et l’habillage de texte. Comme
pour les autres contrôles, ces options sont placées dans la rubrique Ombre portée
de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc) ou de la palette Spécifications.
• Utilisez l’option Conserver opacité élément pour que l’ombre portée reflète
les différentes opacités de l’élément, telles que les différences du fond et du
cadre du bloc.
• Utilisez l’option Ombre portée masquée par l’élément pour empêcher l’ombre
d’apparaître à travers les zones semi-opaques d’un élément ; pour l’empêcher
de percer à travers son bloc, par exemple.
• Utilisez Habiller ombre portée pour inclure une ombre portée avec le contour
d’habillage de texte défini dans la rubrique Habillage (Bloc > Modifier).
• Utilisez ensemble les options Conserver opacité élément et Ombre portée
masquée par l’élément pour obtenir des résultats différents suivant la
combinaison de ces paramètres, comme présenté ici.
À gauche, les deux options Conserver opacité élément et Ombre portée masquée par l’élément sont désactivées. Dans le deuxième exemple, seule l’option
Conserver opacité élément est activée. À droite, les deux options sont activées.
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CHAPITRE 7 : COULEUR, OPACITÉ ET OMBRES PORTÉES
UTILISATION DES CALQUES
Chapitre 8 : Construction
des documents
La fonction Calques vous permet de masquer, afficher et interdire facilement
l’impression de groupes d’objets. La fonction Listes permet de créer des tables des
matières et d’autres listes. La fonction Index permet de générer automatiquement
l’index d’une mise en page. La fonction Livres permet de combiner des projets
dans des livres, de synchroniser leurs feuilles de style et couleurs, et de créer
des index et des tables des matières multiprojets. La fonction Bibliothèques
permet de placer les éléments les plus utilisés à un endroit facile d’accès.
UTILISATION DES CALQUES
La palette Calques est le centre de contrôle des calques. Vous pouvez masquer,
afficher, verrouiller ou déverrouiller des calques d’un simple clic sur cette palette.
Elle vous permet également d’indiquer le calque actif (où les nouveaux objets
dessinés seront disposés), de réorganiser l’ordre de superposition des calques,
de fusionner ceux-ci et de déplacer des objets d’un calque à un autre.
Chaque calque créé a une couleur unique dans la palette Calques. Lorsque
vous créez un élément sur un calque, le bloc de contrainte et les poignées de
cet élément utilisent la couleur du calque.
Pour ouvrir la palette Calques, choisissez Affichage > Calques.
La palette Calques vous permet de manipuler des calques.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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161
UTILISATION DES CALQUES
Chaque mise en page est dotée d’un calque Défaut. Il est possible d’ajouter des
éléments au calque Défaut ou d’en retirer, mais celui-ci ne peut pas être supprimé. Lorsque vous ouvrez un document créé dans une version de QuarkXPress
antérieure à la version 5.0, tous les éléments apparaissent sur le calque Défaut.
Une mise en page peut contenir jusqu’à 256 calques, calque Défaut compris.
PRÉSENTATION DES CALQUES
Zpage d’une mise en page. Vous pouvez placer pratiquement n’importe quoi
sur un calque : des blocs d’image, des blocs de texte, des lignes, des tableaux,
des objets interactifs et tout autre type d’élément QuarkXPress.
Les calques peuvent se révéler utiles sur différents plans :
• Vous pouvez placer les traductions d’un document sur différents calques et
ainsi stocker toutes les versions de celui-ci dans une même mise en page.
Lorsque vous imprimez la mise en page, vous pouvez masquer tous les
calques hormis celui où figure la langue souhaitée.
• Vous pouvez placer différentes versions d’un concept sur différents calques.
Vous pouvez ainsi passer d’une variation à l’autre du thème lorsque vous
présentez le concept à un client.
• Le verrouillage des calques empêche leur modification accidentelle s’ils
contiennent des éléments de page qui ne doivent pas changer. Par exemple,
si vous devez imprimer sur du papier préimprimé comportant un en-tête et
un graphique de fond, vous pouvez inclure ces éléments dans un calque pour
visualiser l’aspect final de l’impression. Vous pouvez ensuite verrouiller le
calque et l’omettre à l’impression.
Si vous avez utilisé des applications de retouche d’images, telles qu’Adobe
Photoshop, vous êtes peut-être déjà familiarisé avec le concept de calques.
Toutefois, certaines implications des calques dans QuarkXPress sont absentes
de la retouche d’images :
• Même si un calque supérieur est affiché, vous pouvez cliquer à travers n’importe
quelle portion vide de ce calque pour sélectionner des éléments des calques
sous-jacents, sans changer de calque actif.
• Chaque calque existe sur toutes les pages d’une mise en page QuarkXPress, et
n’est pas spécifique à une page ou à une planche. L’apparence de chaque page
d’une longue mise en page est ainsi plus facile à contrôler.
• Le texte d’un calque inférieur peut entourer les objets d’un calque supérieur.
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES CALQUES
CRÉATION DES CALQUES
Pour créer un calque, cliquez sur le bouton Nouveau calque de la palette
Calques. Le nouveau calque s’ajoute à la palette Calques, devant le calque
actif. Le nouveau calque est actif par défaut, ce qui signifie que tout nouvel
élément créé est placé dessus.
Pour créer des éléments sur un calque donné, cliquez d’abord sur le nom du
calque dans la palette Calques afin de l’activer. Utilisez ensuite l’un des outils
de création standard pour ajouter des éléments au calque.
SÉLECTION DES CALQUES
Le calque actif est identifié dans la palette Calque par l’icône Édition . Le
calque actif est celui sur lequel les nouveaux éléments créés seront placés. La
définition du calque actif s’effectue de deux façons :
• Cliquez sur le nom du calque dans la palette Calques.
• Sélectionnez un élément sur la page. Le calque correspondant devient
automatiquement le calque actif.
Un seul calque peut être actif à la fois (même si vous sélectionnez des éléments de plusieurs calques à la fois). Toutefois, vous pouvez choisir plusieurs
calques à la fois (pour fusionner des calques, par exemple). Pour sélectionner
plusieurs calques, effectuez une des opérations suivantes :
• Sélectionnez des éléments dans plusieurs calques (choisissez tout le contenu
de la page, par exemple).
• Pour sélectionner plusieurs calques consécutifs dans la palette, cliquez sur le
nom du premier et du dernier de la fourchette à sélectionner tout en appuyant
sur la touche Maj.
• Pour sélectionner plusieurs calques non-consécutifs dans la palette, appuyez
sur la touche Pomme/Ctrl tout en cliquant sur les calques à sélectionner.
***
Pour désélectionner un calque alors que plusieurs sont sélectionnés, appuyez
sur la touche Pomme/Ctrl, puis cliquez sur le calque souhaité.
AFFICHAGE ET MASQUAGE DES CALQUES
La colonne Visible
de la palette Calques contrôle les calques affichés à
tout moment. Lorsque l’icône Visible
apparaît dans cette colonne, cela
signifie qu’un calque est visible.
• Pour afficher ou masquer un calque, cliquez sur l’icône Visible à gauche de
son nom. Vous pouvez également double-cliquer sur un calque pour afficher
la boîte de dialogue Attributs correspondante, activer ou désactiver l’option
Visible, puis cliquer sur le bouton OK.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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163
UTILISATION DES CALQUES
• Pour afficher ou masquer simultanément tous les calques d’une mise en page,
sélectionnez le nom d’un calque et choisissez Afficher tous les calques ou
Masquer tous les calques dans le menu contextuel de la palette Calques.
• Pour masquer tous les calques hormis le calque actif, sélectionnez le nom de
ce dernier, puis choisissez Masquer les autres calques dans le menu de la
palette Calques. Vous pouvez également appuyer sur la touche Contrôle/Ctrl
pendant que vous cliquez sur l’icône Visible du calque à afficher. Tous les
autres calques sont alors masqués.
• Pour afficher tous les calques hormis le calque actif, choisissez Afficher les
autres calques dans le menu contextuel de la palette Calques.
Lorsque vous utilisez la fonction Rechercher/Remplacer, QuarkXPress inspecte les calques masqués et les calques visibles. Si une correspondance est
trouvée sur un calque masqué, QuarkXPress affiche temporairement le bloc
ou le chemin de texte caché.
Lorsque vous passez le correcteur orthographique dans une mise en page ou
une histoire, QuarkXPress vérifie tous les calques de la mise en page ou de
l’histoire. Si une faute d’orthographe est trouvée sur un calque masqué,
QuarkXPress affiche temporairement le bloc ou le chemin de texte caché.
Lorsqu’un calque est masqué, il apparaît par défaut sans coche dans la rubrique
Calques de la boîte de dialogue Imprimer, et ne s’imprime donc pas (sauf si
vous le cochez vous-même dans la boîte de dialogue Imprimer).
Lorsque vous créez un élément dans un calque masqué, il reste visible jusqu’à
ce que vous le désactiviez.
IDENTIFICATION DU CALQUE SUR LEQUEL UN ÉLÉMENT EST PLACÉ
Il existe deux façons de déterminer sur quel calque un élément est placé :
• Examinez le bloc de contrainte et les poignées de l’objet (il vous faudra peutêtre choisir Affichage > Repères pour les afficher). Chaque calque (sauf le
calque Défaut) est associé à une couleur unique dans la palette Calques, et les
blocs de contrainte et poignées des objets placés dessus sont de cette couleur.
• Examinez la palette Calques. Lorsque vous sélectionnez un élément de page,
l’icône Élément s’affiche dans la palette Calques à côté du nom du calque
contenant l’élément sélectionné. Si vous sélectionnez plusieurs éléments situés
sur des calques différents, l’icône Élément s’affiche en regard de chaque calque
contenant un élément sélectionné.
164
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES CALQUES
SUPPRESSION DES CALQUES
Même si vous ne pouvez pas supprimer le calque Défaut, vous pouvez effacer
tous les autres. Lorsque vous supprimez des calques, vous avez le choix entre
supprimer les éléments qui s’y trouvent ou les placer sur d’autres calques.
Pour supprimer un calque :
1 Dans la palette Calques, sélectionnez les calques à supprimer.
2 Cliquez sur le bouton Supprimer le calque
.
3 Si le calque à supprimer comporte des éléments, la boîte de dialogue Supprimer
le calque s’affiche. Choisissez une option :
• Pour supprimer les éléments des couches, cochez la case Supprimer les éléments
du/des calque(s) sélectionné(s).
• Pour déplacer ces éléments dans un autre calque, désactivez l’option Supprimer
les éléments du/des calque(s) sélectionné(s), puis choisissez un calque de
destination dans le menu déroulant Placer les éléments sur le calque.
4 Cliquez sur OK.
Pour supprimer tous les calques inutilisés d’une mise en page, choisissez
Supprimer les calques non utilisés dans le menu de la palette.
MODIFICATION DES OPTIONS DE CALQUE
Vous pouvez contrôler les options ci-après pour le calque sélectionné dans la
boîte de dialogue Attributs :
• Nom : nom du calque, tel qu’affiché dans la palette Calques.
• Couleur du calque : couleur utilisée pour les blocs de contrainte et les poignées
des objets de ce calque.
• Visible : contrôle si le calque est visible dans QuarkXPress.
• Ne pas imprimer : contrôle si le calque doit être imprimé en même temps
que la mise en page. Vous pouvez supplanter ce paramètre dans la boîte de
dialogue Imprimer.
• Verrouillés : contrôle si vous pouvez manipuler des objets sur ce calque.
• Conserver l’habillage : contrôle si l’habillage des objets de ce calque s’applique
aux calques sous-jacents lorsque le premier est masqué.
Pour afficher la boîte de dialogue Attributs pour un calque, double-cliquez
sur le nom de ce dernier dans la palette Calques ou sélectionnez un nom de
calque dans la palette, puis choisissez Modifier le calque dans son menu.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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165
UTILISATION DES CALQUES
Vous pouvez contrôler les options de calque dans la boîte de dialogue Attributs.
Vous pouvez définir des valeurs par défaut pour les cases à cocher Visible,
Verrouillés, Ne pas imprimer et Conserver l’habillage pour les nouveaux
calques dans les volets Calques de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition).
DÉPLACEMENT DES ÉLÉMENTS SUR UN CALQUE DIFFÉRENT
La palette Calques offre trois façons de déplacer des éléments existants sur un
calque différent. Sélectionnez les éléments à déplacer à l’aide de l’outil
Déplacement , puis :
• cliquez sur le bouton Placer l’élément sur le calque , puis choisissez le
calque cible dans la boîte de dialogue Déplacer éléments ;
• faites glisser l’icône Élément
sur le calque cible ;
• coupez les éléments de leur calque actuel et collez-les sur le calque cible.
Pour placer la copie d’un élément sur un autre calque, appuyez sur la touche
Contrôle/Ctrl pendant que vous faites glisser l’icône Élément vers le calque
cible dans la palette Calques.
***
Il est possible de déplacer des éléments de page maquette depuis le calque
Défaut vers d’autres calques, mais ils cessent alors d’être des éléments de
page maquette.
MODIFICATION DE L’ORDRE DE SUPERPOSITION DES CALQUES
La superposition sur un calque fonctionne de la même manière que sur une
page simple. Dans un calque, chaque élément a sa propre position dans l’ordre
de superposition (le positionnement du haut vers le bas des éléments sur le
calque). Lorsque vous dessinez des éléments sur un calque, ceux-ci viennent
se superposer devant les éléments existants. Vous pouvez utiliser les commandes Arrière-plan, Éloigner, Premier plan et Rapprocher (menu Bloc)
pour modifier l’ordre de superposition des éléments d’un calque, mais elles ne
permettent pas de déplacer ceux-ci sur des calques différents. Cependant, tout
ce qui se trouve sur un calque de premier plan s’affiche devant tout ce que
contient un calque d’arrière-plan.
Pour modifier l’ordre de superposition des calques, vous pouvez faire glisser
un calque à sa nouvelle position dans la palette Calques. (Le premier calque
de la palette Calques est le premier de la mise en page.)
166
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES CALQUES
CALQUES ET HABILLAGE DE TEXTE
Les éléments des calques suivent la règle standard de l’habillage dans
QuarkXPress : le texte enveloppe uniquement les éléments qui sont devant
lui. Par exemple, si vous dessinez un petit bloc d’image au centre d’une
colonne de texte, le texte habille par défaut le bloc d’image.
***
QuarkXPress évalue également le paramètre Type de la rubrique Habillage
dans la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc) pour déterminer si le texte
doit habiller les éléments.
Lorsque vous masquez un calque, vous pouvez afficher ou masquer l’habillage
provoqué par ses éléments. Par défaut, l’habillage imposé par des éléments
masqués est conservé.
• Pour masquer l’habillage de texte provoqué par des éléments d’un calque
masqué, double-cliquez sur ce dernier dans la palette Calques pour afficher la
boîte de dialogue Attributs, puis désactivez la case Conserver l’habillage et
cliquez sur OK.
• Pour modifier ce paramètre d’habillage par défaut pour les nouveaux calques,
désactivez la case Conserver l’habillage dans le volet Calques de la boîte de
dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
DUPLICATION DES CALQUES
Pour dupliquer un calque, sélectionnez celui-ci dans la palette Calques et
choisissez Dupliquer le calque dans le menu. Le nouveau calque dupliqué est
placé directement devant le calque original.
Si vous dupliquez une histoire contenant des blocs de texte chaînés placés sur
des calques différents, vous observez les comportements suivants :
• si vous dupliquez le calque contenant le premier bloc de l’histoire, tout le
texte de ce dernier et celui des blocs chaînés qui complètent l’histoire sont
reproduits. Le premier bloc s’affiche sur le calque dupliqué et présente un
symbole de débordement ;
• si vous dupliquez un calque contenant l’un des blocs intermédiaires d’une
histoire, tout le texte de ce bloc et celui des blocs chaînés qui terminent l’histoire sont reproduits. Le bloc intermédiaire apparaît sur le calque dupliqué et
affiche un symbole de débordement. Le texte des blocs précédents dans l’histoire
n’est pas copié sur le calque dupliqué ;
• si vous dupliquez le calque contenant uniquement le dernier bloc de l’histoire,
seul le texte de cette dernière, et non celui des blocs précédents dans l’histoire,
sera copié dans le calque dupliqué.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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167
UTILISATION DES CALQUES
FUSION DES CALQUES
Lorsque vous fusionnez deux calques ou plus, tous leurs éléments se déplacent
sur le même calque. L’ordre de superposition est conservé à l’intérieur et parmi
tous les calques fusionnés (en d’autres termes, tout ce qui se trouve sur un calque
supérieur reste devant le contenu d’un calque inférieur). Pour fusionner
des calques :
1 Dans la palette Calques, sélectionnez les calques à fusionner.
2 Cliquez sur le bouton Fusionner les calques
dans la palette Calques. La
boîte de dialogue Fusionner les calques s’affiche.
3 Choisissez un calque cible dans le menu déroulant Choisir calque
de destination.
4 Cliquez sur OK. Les indicateurs visuels des éléments fusionnés prennent la
couleur du calque de destination de la fusion. Les autres calques sélectionnés
sont supprimés.
***
Il est impossible de procéder à la fusion de calques si l’un d’entre eux
est verrouillé.
***
Les éléments peuvent être fusionnés à partir du calque Défaut, mais ce dernier
n’est jamais supprimé par une opération de fusion.
VERROUILLAGE DES ÉLÉMENTS SUR DES CALQUES
Pour éviter les modifications accidentelles des éléments d’un calque, vous
pouvez utiliser la palette Calques pour verrouiller le calque entier.
Le verrouillage des calques est indépendant du verrouillage des éléments. Les
éléments verrouillés à l’aide de la commande Bloc > Verrouiller peuvent encore
être sélectionnés et modifiés ; les éléments sur un calque verrouillé ne peuvent
pas du tout être sélectionnés. Si vous verrouillez un élément sur un calque à
l’aide de la commande Bloc > Verrouiller, puis verrouillez et déverrouillez le
calque, l’élément reste verrouillé même si le calque ne l’est plus.
La colonne Verrouiller de la palette Calques contrôle le verrouillage des
calques. Pour verrouiller des calques, utilisez l’une des trois méthodes suivantes :
• pour verrouiller ou déverrouiller un calque, cliquez dans la colonne Verrouiller
à gauche du nom du calque. Vous pouvez également cliquer deux fois sur un
calque pour afficher la boîte de dialogue Attributs correspondante, activer ou
désactiver l’option Verrouillés, puis cliquer sur le bouton OK.
168
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES CALQUES
• Pour verrouiller tous les calques à l’exception d’un seul, appuyez sur la touche
Contrôle/Ctrl et cliquez dans la colonne Verrouiller à côté du calque que
vous souhaitez modifier.
• Pour verrouiller tous les calques, choisissez Verrouiller tous les calques dans
le menu de la palette.
UTILISATION DES PAGES MAQUETTE AVEC LES CALQUES
Les éléments des pages maquette se trouvent sur le calque Défaut des pages de
mise en page. Les éléments des pages maquette sont dotés des caractéristiques
suivantes par rapport aux calques :
• Si vous appliquez une page maquette à une page de mise en page, les éléments de la page maquette n’affectent que le calque Défaut de la page de
mise en page.
• Les éléments ajoutés à la page maquette sont placés derrière les éléments
ajoutés au calque Défaut d’une page de mise en page.
• Vous pouvez déplacer des éléments de page maquette depuis le calque Défaut
vers d’autres calques, mais ils cessent alors d’être des éléments de page maquette.
ANNULATION DE L’IMPRESSION DES CALQUES
De la même façon que vous pouvez annuler l’impression d’éléments tels que des
blocs d’image dans la boîte de dialogue Modifier, vous pouvez annuler l’impression des calques. Pour annuler l’impression d’un calque, double-cliquez
sur son nom dans la palette Calques. Dans la boîte de dialogue Attributs,
cochez Ne pas imprimer, puis cliquez sur OK.
Lorsque l’option Ne pas imprimer est activée pour un calque, celui-ci apparaît
par défaut désactivé dans le volet Calques de la boîte de dialogue Imprimer,
et ne s’imprime donc pas (sauf si vous cochez vous-même ce calque dans la
boîte de dialogue Imprimer).
La boîte de dialogue Imprimer fournit des paramètres permettant de définir les
calques à imprimer.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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169
UTILISATION DES CALQUES
***
Pour modifier ce paramètre d’impression par défaut pour les nouveaux
calques, désactivez la case Ne pas imprimer dans le volet Calques de la boîte
de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
***
Le paramètre Ne pas imprimer d’un calque est indépendant des contrôles
Ne pas imprimer et Ne pas imprimer l’image de la boîte de dialogue
Modifier (menu Bloc).
UTILISATION DES LISTES
La fonction Listes permet de rassembler le texte de paragraphes auxquels des
feuilles de style de caractères ou de paragraphe spécifiques ont été appliquées.
Même si elle est surtout utilisée pour créer des tables des matières, la fonction
Listes peut également servir à créer un document répertoriant les illustrations
ou les images d’une publication.
PRÉPARATION DES LISTES
Avant d’établir une liste, vous devez créer et appliquer des feuilles de style
dans votre document. Commencez par créer des feuilles de style à utiliser
dans une table des matières, telles que Nom du chapitre, Nom de la section et
Corps du texte. Créez ensuite une feuille de style de paragraphe pour la table
des matières formatée.
AJOUT DES FEUILLES DE STYLE DANS UNE LISTE
Lorsque vous créez une liste, la première étape consiste à sélectionner les feuilles
de style que vous souhaitez y inclure. Si la liste créée correspond à une table
des matières, il peut être utile d’y inclure des feuilles de style de chapitre et de
section, car une table des matières répertorie en général le titre et le numéro
de page de chaque chapitre. Les listes prennent en charge les feuilles de style
de paragraphe et de caractère.
DÉFINITION DES NIVEAUX DE LISTE
Vous devez également définir les différents niveaux des feuilles de style de
paragraphe avant de générer une liste. Les titres de chapitre figurent souvent
au premier niveau et les rubriques de chaque chapitre au second niveau. Si
vous rédigez un manuel sur une application et qu’un chapitre du manuel est
intitulé Menu Fichier, vous pouvez placer ce titre au premier niveau de la liste.
Placez ensuite les sous-titres Créer, Ouvrir, Fermer et Enregistrer (titres secondaires
du chapitre Menu Fichier) au second niveau. En prenant ce type de décision au
préalable, vous simplifiez le processus de création de listes.
170
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES LISTES
CRÉATION D’UNE LISTE
Une fois que vous avez conçu et appliqué les feuilles de style du document et
sélectionné celles à inclure dans la liste, vous pouvez commencer à créer cette
dernière. Choisissez Édition > Listes, puis cliquez sur Créer pour afficher la
boîte de dialogue Modification de la liste et renseignez le champ Nom.
La liste Styles disponibles affiche toutes les feuilles de style du projet actif.
Sélectionnez chaque feuille de style que vous souhaitez utiliser dans la liste et
cliquez sur Ajouter pour l’insérer dans la liste Styles de la liste. Par exemple,
pour inclure tous les titres utilisant les feuilles de style Titre 1 et Titre 2 dans
une table des matières, ajoutez ces deux feuilles dans la liste Styles de la liste.
Une fois que vous avez indiqué les feuilles de style déterminant le contenu
de la table des matières, vous pouvez spécifier le formatage de celle-ci. Pour
chaque style de la liste Styles de la liste, choisissez un niveau, une option de
numérotation et une feuille de style Formater comme :
• Niveau détermine le mode d’indentation du contenu de la liste sur la palette
Listes (les niveaux supérieurs sont davantage en retrait).
• Numérotation permet de contrôler la présence et l’emplacement du numéro
de page dans la liste pour chaque occurrence d’une feuille de style.
• Formater comme permet de spécifier la feuille de style à appliquer à chaque
niveau de la table des matières générée automatiquement.
La boîte de dialogue Modification de la liste permet de créer des listes, telles
qu’une table des matières.
IMPORTATION DES LISTES À PARTIR D’UN AUTRE DOCUMENT
QuarkXPress permet d’ajouter des listes d’un autre document ou de la boîte
de dialogue Listes (menu Édition > Listes), ou à l’aide de la commande
Ajouter (Fichier > Ajouter).
NAVIGATION DANS LES LISTES
Pour visualiser une liste, affichez la palette Listes (menu Fenêtre), sélectionnez la liste dans le menu déroulant Nom de la liste, puis cliquez sur Mettre à
jour. La liste sélectionnée s’affiche dans la palette Listes.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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171
UTILISATION DES LISTES
La boîte de dialogue Modification de la liste permet de créer des listes pour des
tables des matières automatiques, par exemple.
***
Si votre article contient plusieurs mises en page, vous pouvez en choisir une
autre dans la liste déroulante Afficher la liste pour.
Pour localiser une ligne particulière dans la liste active, entrez un mot de cette
ligne dans le champ Rechercher de la palette. La liste dans la palette défile
jusqu’à la première occurrence du mot.
Pour aller à un paragraphe particulier, double-cliquez dessus dans la palette
Listes. La fenêtre défile jusqu’à l’emplacement de ce paragraphe dans la mise
en page.
GÉNÉRATION DES LISTES
Pour créer une table des matières (ou un autre type de liste) dans la mise en
page, placez le point d’insertion de texte à l’endroit où la liste doit figurer, puis
cliquez sur Générer dans la palette Listes. La liste est générée automatiquement.
Les feuilles de style sélectionnées pour la liste dans le menu local Formater
comme (boîte de dialogue Nouvelle liste) sont automatiquement appliquées.
***
Si le texte du document se trouve dans la table de montage, un obèle †
(Mac OS) ou les caractères PB (Windows) sont apposés au texte de la liste
compilée à la place du numéro de page.
MISE À JOUR DES LISTES
La palette Listes ne se met pas automatiquement à jour au fur et à mesure que
vous travaillez dans votre document. Lorsque vous apportez des modifications
au texte, vous devez actualiser vous-même la liste. Si vous cliquez sur le bouton
Mettre à jour de la palette Listes, le programme recherche les éléments de liste
dans le document, puis recompile la liste dans la palette correspondante.
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES LISTES
Pour actualiser une liste déjà distribuée dans un bloc de texte, sélectionnez le
bloc, cliquez sur Mettre à jour pour assurer l’exactitude de la liste, puis cliquez
sur Générer. L’application détecte la présence d’une copie de la liste dans la
mise en page et affiche une alerte vous demandant si vous souhaitez insérer
un nouvel exemplaire de la liste ou remplacer la version existante. Pour mettre
à jour la liste existante, cliquez sur Remplacer.
UTILISATION DES LISTES DANS LES LIVRES
Il est possible de créer une liste référençant tous les chapitres d’un livre. Une
fois que vous avez défini le chapitre maquette incluant les listes à utiliser dans
le livre, vous pouvez synchroniser les chapitres et actualiser les listes dans la
palette Listes (Affichage > Afficher les listes). Après que vous avez défini, mis
à jour et fusionné la liste, vous pouvez la générer dans un bloc de texte actif.
DÉFINITION D’UNE LISTE POUR UN LIVRE
Pour définir la liste d’un livre :
1 Ouvrez le chapitre maquette. Les listes d’un livre doivent figurer dans le
chapitre maquette.
2 Dans ce dernier, créez une liste contenant les spécifications voulues.
3 Dans la palette Livre, cliquez sur le bouton Synchroniser. Cela permet
d’ajouter les spécifications de la liste à chaque chapitre.
4 Choisissez Affichage > Afficher les listes. Choisissez le livre ouvert actuellement
dans le menu déroulant Afficher liste pour.
5 Sélectionnez le bloc de texte où la liste compilée doit s’afficher, puis cliquez
sur le bouton Générer.
MISE À JOUR DE LA LISTE D’UN LIVRE
Lorsque vous cliquez sur le bouton Mettre à jour pour actualiser la liste d’un
livre ouvert, QuarkXPress ouvre et analyse l’ensemble des chapitres du livre afin
de rechercher tout élément appartenant à la liste. Le texte trouvé est ensuite
affiché dans la palette Listes. Pour mettre à jour la liste d’un livre :
1 Choisissez Affichage > Afficher les listes pour ouvrir la palette Listes.
2 Pour afficher la liste du livre, choisissez le livre ouvert dans le menu
déroulant Afficher liste pour.
3 Cliquez sur le bouton Mettre à jour pour analyser une nouvelle fois tous les
chapitres du livre et compiler une nouvelle liste. Une fois cela effectué, la liste
du livre apparaît dans la palette Listes.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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173
UTILISATION DES INDEX
UTILISATION DES INDEX
Dans QuarkXPress, l’indexation s’effectue par repérage des mots dans les
documents en tant qu’entrées d’index de premier, deuxième, troisième ou
quatrième niveau. Vous pouvez créer des références croisées et spécifier qu’une
entrée d’index englobe un mot, un nombre donné de paragraphes, une sélection de texte ou tout le texte jusqu’à la prochaine occurrence d’une feuille de
style particulière. Au moment de compiler l’index, définissez un format (imbriqué ou continu), une ponctuation, une page maquette et des feuilles de style
pour les différents niveaux. QuarkXPress peut alors vous créer un index
sur mesure.
Un logiciel peut se charger d’automatiser le processus de saisie, de formatage
et de mise à jour des numéros de page au sein d’un index, mais seul un être
humain peut créer un index au contenu significatif et utile. Comme il ne
peut être entièrement automatisé, le processus d’indexation peut se révéler
assez long, mais cela en vaut la peine : vos lecteurs apprécieront fortement de
pouvoir trouver facilement les informations dont ils ont besoin.
DÉFINITION DE LA COULEUR DES INDICATEURS D’INDEX
Lors de l’ajout d’un mot à un index, QuarkXPress le balise à l’aide de crochets
ou d’un bloc, appelés indicateurs d’index. Les indicateurs d’index sont affichés
dans un document lorsque la palette Index est ouverte (Affichage > Afficher
l’index). Vous pouvez personnaliser la couleur de ces indicateurs dans la boîte
de dialogue Préférences pour l’index.
1 Choisissez QuarkXPress/Édition > Préférences > Index.
2 Cliquez sur le bouton Couleur des indicateurs d’index pour afficher
un nuancier.
3 Utilisez les curseurs, les flèches, les champs ou la roue chromatique pour
attribuer une couleur aux indicateurs d’index.
4 Cliquez sur OK pour fermer le nuancier. Cliquez de nouveau sur OK pour
fermer la boîte de dialogue Préférences pour l’index.
***
174
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Toute portion de texte indexée est affichée entre crochets. Lorsque vous placez
la barre d’insertion de texte dans le texte, puis saisissez une entrée d’index,
celle-ci est indiquée par un bloc.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES INDEX
CRÉATION DES ENTRÉES D’INDEX
Chaque élément d’index, qu’il s’agisse d’un ou de plusieurs mots, s’appelle
une entrée. Chaque entrée se voit attribuer un niveau. Il existe jusqu’à quatre
niveaux différents qui signalent la position hiérarchique des entrées. Les entrées
de premier niveau constituent les entrées les plus génériques, et celles de
quatrième niveau sont les plus précises.
QuarkXPress permet de créer quatre niveaux d’entrées dans un index imbriqué
et deux niveaux d’entrées dans un index continu.
CRÉATION D’UNE ENTRÉE D’INDEX DE PREMIER NIVEAU
Les entrées de premier niveau correspondent à des sujets principaux triés par
ordre alphabétique dans un index.
***
Avant d’insérer des termes dans un index, vous devez décider du type d’index à
créer : imbriqué ou continu. Un index imbriqué comporte jusqu’à quatre niveaux
d’information ; les entrées sont séparées par des retours de paragraphe et des
feuilles de style différentes. Un index continu comporte deux niveaux d’information où les entrées de second niveau suivent immédiatement les entrées de
premier niveau dans le même paragraphe.
1 Placez la barre d’insertion de texte dans le texte concerné ou sélectionnez une
portion de texte pour désigner le début du texte à indexer.
2 Pour saisir le contenu de la première entrée dans le champ Texte de la palette
Index (menu Affichage), sélectionnez le texte dans le document ou renseignez
le champ.
3 Pour supplanter l’indexation alphabétique d’une entrée d’index, saisissez-en
le texte dans le champ Classer comme. Par exemple, vous pouvez faire apparaître l’entrée 20ème siècle sous la forme Vingtième siècle. Cela n’affecte pas
l’orthographe de l’entrée d’index.
4 Choisissez l’option Premier niveau dans le menu déroulant Niveau.
5 Pour supplanter le formatage de caractère attribué par défaut à un numéro de
page ou à une référence croisée, choisissez une autre feuille de style de caractère
dans le menu déroulant Style. Le formatage par défaut est le style de caractère
appliqué au texte de l’entrée.
6 Choisissez une option dans le menu déroulant Étendue pour définir la portion
de texte couverte par l’entrée d’index.
7 Cliquez sur le bouton Ajouter
dans la palette Index. L’entrée d’index de
premier niveau est classée par ordre alphabétique dans la liste Entrées. Le
texte indexé est entouré de crochets ou d’un bloc dans le document. Cliquez
sur le bouton Tout ajouter si vous souhaitez insérer toutes les occurrences
du texte sélectionné dans la liste Entrées.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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175
UTILISATION DES INDEX
***
Vous pouvez ajouter une entrée d’index en sélectionnant le texte voulu dans
le document, en affichant le menu contextuel, puis en sélectionnant la commande Ajouter dans index. L’entrée est alors ajoutée en tenant compte des
niveaux, du style et de la portion de texte sélectionnés. La seule différence
entre ce menu contextuel et celui des blocs de texte est la commande Ajouter
dans index.
Si vous sélectionnez un mot, l’ajoutez à un index, puis essayez de l’intégrer de
nouveau à l’index (à un niveau différent, par exemple), l’alerte suivante apparaît : Une référence d’index existe déjà à cet emplacement. Pour indexer le
même mot plusieurs fois, vous devez placer la barre d’insertion de texte dans
le mot, puis saisir le texte souhaité dans le champ Texte. La seconde entrée
d’index est alors repérée par un bloc et des crochets.
Appuyez sur la touche Option/Alt pour remplacer le bouton Ajouter par le
bouton Ajouter ordre inverse . Ce dernier permet d’ajouter avec une virgule et dans l’ordre opposé un nouvel élément à la liste Entrées. L’entrée
Henri Matisse, par exemple, vient s’ajouter sous la forme Matisse, Henri si
vous cliquez sur le bouton Ajouter ordre inverse. De même, l’entrée Lila
Cabot Perry vient s’ajouter sous la forme Perry, Lila Cabot.
Appuyez sur la touche Option/Alt pour remplacer le bouton Tout ajouter par
le bouton Ajouter tout inversé . Ce dernier permet d’ajouter à la liste Entrées,
dans l’ordre inverse, toutes les occurrences du texte sélectionné.
CRÉATION D’UNE ENTRÉE D’INDEX DE DEUXIÈME, TROISIÈME OU
QUATRIÈME NIVEAU
Dans un index imbriqué, les entrées des deuxième, troisième et quatrième
niveaux sont positionnées en retrait par rapport aux entrées de premier niveau
dans un nouveau paragraphe. Dans un index continu, les entrées de second
niveau suivent les entrées de premier niveau dans le même paragraphe.
1 Placez la barre d’insertion de texte au début de la portion de texte à indexer.
2 Utilisez les contrôles Texte, Classer comme, Style et Étendue de la même
manière que pour créer une entrée d’index de premier niveau.
3 Cliquez en regard d’une entrée dans la colonne située à gauche de la liste
Entrées pour désigner l’entrée de niveau supérieur sous laquelle la nouvelle
entrée de deuxième, troisième ou quatrième niveau va figurer.
***
Les entrées des deuxième, troisième et quatrième niveaux sont positionnées
en retrait si la feuille de style de paragraphe utilisée dans l’index inclut une
valeur de retrait gauche.
4 Choisissez Deuxième niveau, Troisième niveau ou Quatrième niveau dans
le menu déroulant Niveau.
176
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES INDEX
La position de la flèche détermine les options de niveau disponibles.
L’option Deuxième niveau est disponible lorsque la flèche se trouve en
regard d’une entrée de premier ou de deuxième niveau ; l’option Troisième
niveau est disponible lorsque la flèche se trouve en regard d’une entrée de
premier, deuxième ou troisième niveau ; l’option Quatrième niveau est
disponible lorsque la flèche se trouve en regard d’une entrée de premier,
deuxième, troisième ou quatrième niveau.
5 Cliquez sur le bouton Ajouter
. La nouvelle entrée d’index est classée par
ordre alphabétique et en retrait sous l’entrée appropriée.
***
Choisissez l’option Supprimer n° de page dans le menu déroulant Étendue
pour qu’une entrée d’index soit utilisée comme en-tête de plusieurs niveaux
d’information. Par exemple, si vous créez un livre de cuisine, vous pouvez
définir une entrée pour Gâteau, en supprimer le numéro de page, puis répertorier différents types de gâteaux (chocolat et citron, par exemple) comme
entrées de deuxième ou de troisième niveau.
CRÉATION DES RÉFÉRENCES CROISÉES
En plus de répertorier les numéros de page associés aux entrées d’index, vous
pouvez renvoyer vos lecteurs à d’autres rubriques. Dans un chapitre sur la
typographie, par exemple, vous pouvez faire apparaître la mention Voir aussi
Polices. Pour ce faire, vous devez créer des références croisées. Ces références
croisées mènent à des entrées d’index existantes ou à de nouvelles entrées
créées spécifiquement à cette fin. Utilisez la palette Index (Affichage >
Afficher l’index) pour créer des références croisées.
CRÉATION D’UNE RÉFÉRENCE CROISÉE DE NOUVELLE
ENTRÉE D’INDEX
Pour créer une référence croisée de nouvelle entrée d’index :
1 Placez la barre d’insertion de texte n’importe où dans le texte (la position de la
barre n’a pas d’importance, car l’entrée sera répertoriée sans numéro de page).
2 Saisissez le texte de l’entrée dans le champ Texte de la palette Index.
3 Utilisez les contrôles Classer comme et Niveau de la même manière que pour
la création des autres entrées d’index.
4 Choisissez l’option Référence croisée dans le menu déroulant Étendue.
Choisissez le type de référence croisée souhaité dans le menu déroulant :
Voir, Voir aussi ou Voir ici.
5 Spécifiez l’entrée d’index à laquelle renvoie la référence croisée en saisissant
son texte dans le champ ou en cliquant sur une entrée existante dans la liste.
6 Cliquez sur le bouton Ajouter. Développez l’entrée pour afficher le texte de la
référence croisée.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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177
UTILISATION DES INDEX
CRÉATION D’UNE RÉFÉRENCE CROISÉE D’ENTRÉE
D’INDEX EXISTANTE
Pour créer une référence croisée d’entrée d’index existante :
1 Placez la barre d’insertion de texte n’importe où dans le texte (la position de la
barre n’a pas d’importance, car l’entrée sera répertoriée sans numéro de page).
2 Sélectionnez une entrée dans la liste Entrées. Elle est automatiquement placée
dans le champ Texte.
3 Cliquez sur le bouton Modifier
dans la palette Index, puis double-cliquez
sur l’entrée ou sélectionnez-la, et affichez le menu contextuel.
4 Choisissez l’option Référence croisée dans le menu déroulant Étendue.
Choisissez le type de référence croisée souhaité dans le menu déroulant :
Voir, Voir aussi ou Voir ici.
5 Spécifiez l’entrée d’index à laquelle renvoie la référence croisée en saisissant
son texte dans le champ ou en cliquant sur une entrée existante dans la liste.
***
Pour afficher le texte de la référence croisée dans la liste Entrées, ainsi que les
références aux numéros de page, développez l’entrée.
***
Lors de la génération d’un index, les références croisées suivent immédiatement
les références aux numéros de page. Leur formatage est déterminé par la feuille
de style de caractères définie dans la boîte de dialogue Préférences pour l’index
(Édition > Préférences > Index). Si vous choisissez Style d’entrée, la référence
croisée utilise la même feuille de style que l’entrée qu’elle suit. Le menu déroulant Style (palette Index) permet de définir une feuille de style de caractères
pour une référence croisée et d’annuler la feuille de style spécifiée dans la boîte
de dialogue Préférences pour l’index. Cette même feuille de style est alors appliquée au texte saisi dans le champ Référence croisée, mais pas à la section Voir,
Voir aussi ou Voir ici de la référence croisée.
La ponctuation qui précède les références croisées est définie dans le champ
Avant référence croisée de la boîte de dialogue Préférences pour l’index
(QuarkXPress/Édition > Préférences > Index). Si vous souhaitez faire suivre
une référence croisée d’un signe de ponctuation, entrez-le à la suite du texte
de la référence croisée figurant dans la palette Index.
MODIFICATION D’UNE ENTRÉE D’INDEX
Vous pouvez sélectionner une entrée d’index, puis modifier les informations
des champs Texte ou Classer comme. Vous pouvez également sélectionner
une référence croisée ou une référence à un numéro de page, et modifier les
informations des menus déroulants Style et Étendue. Vous pouvez aussi
modifier le niveau d’une entrée.
178
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES INDEX
1 Sélectionnez une entrée ou une référence dans la liste Entrées. (Pour afficher
les références, développez une entrée.)
2 Cliquez sur le bouton Modifier
dans la palette Index, puis double-cliquez
sur l’entrée ou sélectionnez-la, et choisissez Modifier dans le menu contextuel.
Lorsque vous êtes en mode d’édition, le bouton Modifier
apparaît à l’envers.
3 Appliquez les changements nécessaires à l’entrée ou à la référence sélectionnée.
Le cas échéant, sélectionnez et modifiez d’autres entrées et références.
4 Cliquez de nouveau sur le bouton Modifier
pour quitter le mode d’édition.
SUPPRESSION D’UNE ENTRÉE D’INDEX
Pour supprimer une entrée d’index et retirer ses indicateurs du texte :
1 Sélectionnez une entrée ou une référence dans la liste Entrées. (Pour afficher
les références, développez une entrée.)
2 Affichez le menu contextuel et choisissez Supprimer ou cliquez sur le bouton
du même nom
dans la palette Index.
DÉFINITION DE LA PONCTUATION D’UN INDEX
La boîte de dialogue Préférences pour l’index permet de définir la ponctuation
appliquée automatiquement lors de la compilation d’un index.
1 Choisissez QuarkXPress/Édition > Préférences > Index.
2 Précisez la ponctuation à utiliser dans l’index (y compris les espaces éventuels)
en renseignant les champs de la zone Caractères de séparation.
• Le champ Entrée suivante permet de définir la ponctuation suivant immédiatement chaque entrée de l’index (en général, les deux-points). Par exemple,
QuarkXPress : xii, 16–17, 19 utilise les deux-points et un espace après l’entrée
d’index QuarkXPress.
Lorsqu’une référence croisée suit immédiatement une entrée d’index, les
caractères définis au niveau du champ Avant référence croisée sont utilisés
à la place des caractères définis dans le champ Entrée suivante.
• Le champ Entre numéros de page permet de définir les mots ou les signes de
ponctuation utilisés pour séparer plusieurs numéros de page (en général une
virgule ou un point-virgule). Par exemple, QuarkXPress : xii, 16–17, 19 utilise
une virgule et un espace entre les numéros de page.
• Le champ Entre série de pages permet de définir les mots ou les signes de
ponctuation utilisés pour indiquer une série de pages (en général un tiret
demi-cadratin ou la préposition « à » entourée d’espaces comme suit : « à »).
Par exemple, QuarkXPress : xii, 16–17, 19 utilise un tiret demi-cadratin entre
une série de pages.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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179
UTILISATION DES INDEX
• Le champ Avant référence croisée permet de définir les mots ou les signes de
ponctuation utilisés avant une référence croisée (en général un point, un pointvirgule ou un espace). Par exemple, QuarkXPress : xii, 16–17, 19. Voir aussi Mise
en page utilise un point et un espace avant le renvoi.
• Le champ Style référence croisée permet de définir la feuille de style utilisée
pour une référence croisée. Cette feuille est appliquée uniquement pour Voir,
Voir aussi et Voir ici.
• Le champ Entre entrées permet de définir les mots ou les signes de ponctuation utilisés entre les niveaux d’entrées dans un index continu (en général un
point-virgule ou un point). Un index continu répertorie les entrées et les sousentrées d’un index dans un seul paragraphe plutôt que dans des tabulations
imbriquées. Par exemple, QuarkXPress : xii, 16–17, 19 ; Impression dans :
62–64 ; Composition : 32, 34, par exemple, inclut entre les entrées un
point-virgule précédé et suivi d’un espace.
Dans un index imbriqué, les caractères définis au niveau du champ Entre
entrées sont utilisés comme ponctuation finale de chaque paragraphe.
3 Cliquez sur OK.
***
L’index final se compose d’un texte avec formatage et non de liens dynamiques
menant au texte indexé. Si vous apportez de nouvelles modifications au texte
ou à la liste Entrées, vous devez recompiler l’index.
***
Les champs de la zone Caractères de séparation peuvent contenir jusqu’à
72 caractères. Certaines balises « XPress Tags » sont prises en charge par les
champs Caractères de séparation. Si vous entrez \t dans le champ Entrée
suivante, par exemple, une tabulation (par défaut) sera automatiquement
insérée après l’entrée lors de la compilation de l’index.
GÉNÉRATION D’UN INDEX
Utilisez la boîte de dialogue Générer un index pour créer un index à partir
du contenu de la palette Index.
Lorsque vous composez un index, QuarkXPress compile la liste, la formate
conformément à vos spécifications et effectue sa distribution selon la page
maquette que vous avez choisie. Si vous définissez des préférences d’indexation
dans un document ouvert, elles ne s’appliquent qu’à celui-ci.
Avant de générer l’index, attribuez-lui une page maquette comprenant un
bloc de texte automatique. Créez ensuite les feuilles de style de paragraphe
applicables aux titres de section et à chaque niveau de l’index. En général, les
niveaux se distinguent les uns des autres grâce à des retraits différents.
180
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES INDEX
Lorsque vous générez l’index d’un livre, placez-le dans le dernier chapitre. Si
l’index est inséré dans un autre chapitre d’un livre à numérotation de page
continue, les numéros de page suivant le chapitre de l’index risquent de
changer. Il est souvent utile de créer un chapitre spécifique à l’index et de le
placer à la fin du livre.
Pour générer un index :
1 Choisissez Utilitaires > Générer un index ou affichez le menu contextuel de
la palette Index et choisissez Générer un index.
2 Cliquez sur Imbriqué ou Continu dans la zone Format. Si votre index est
organisé avec plus de deux niveaux d’information, vous devriez créer un
index imbriqué. Si vous décidez de créer un index continu, tous les niveaux
d’information de chaque entrée seront répertoriés dans le même paragraphe
sans aucune hiérarchie.
3 Cochez la case Livre entier pour indexer tout le livre dont le document fait
partie. Si le document ne fait pas partie d’un livre, cette option n’est pas
disponible. Si vous ne la cochez pas, seul le document actif est indexé.
4 Cochez la case Remplacer index existant pour écraser l’index existant.
5 Pour ajouter un titre à chaque section alphabétique de l’index, cochez la
case Ajouter lettres d’en-tête, puis choisissez une feuille de style dans le
menu déroulant.
6 Choisissez une maquette pour l’index (seules les pages maquette contenant des
blocs de texte automatiques sont répertoriées). QuarkXPress ajoute automatiquement en fin de document les pages nécessaires à l’index. Si vous définissez
une page maquette en regard, une page de droite est insérée en premier.
7 Choisissez des feuilles de style pour chaque niveau d’index dans les menus
déroulants Styles des niveaux. Si vous avez cliqué sur Continu dans la zone
Format, seul le menu déroulant Premier niveau est disponible (car tous les
niveaux sont placés dans le même paragraphe).
8 Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Générer un index et
créer l’index.
***
Pour comparer deux versions d’un index, désactivez la case à cocher Remplacer
index existant de la boîte de dialogue Générer un index (menu Utilitaires).
MODIFICATION DES INDEX FINALS
Un index compilé doit être examiné avec soin. Vérifiez que votre index est
complet, que les références croisées sont correctes et que les niveaux sont
logiques. Vérifiez également la ponctuation et le formatage utilisés. Vous ne
serez sans doute pas entièrement satisfait du premier index généré. Certains
problèmes ne requièrent qu’un formatage local du texte de l’index tandis que
d’autres impliquent une recompilation totale de l’index après correction.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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181
UTILISATION DES INDEX
TEXTE NON IMPRIMABLE DANS UN INDEX
Si le texte figurant entre crochets n’apparaît pas à l’impression parce qu’il se
trouve sur la table de montage, qu’il est caché par un autre élément ou qu’il
déborde de son bloc, un obèle † (Mac OS) ou les caractères PB suivis d’un
espace (PB ) (Windows) s’affichent en regard de l’entrée associée dans l’index
à la place du numéro de page.
Mac OS uniquement : pour rechercher les occurrences de l’obèle †, saisissez
Option+T dans le champ Rechercher de la boîte de dialogue Rechercher/
Remplacer (menu Édition). Décidez ensuite si le problème doit être corrigé
dans le document ou si la suppression des obèles de l’index suffit.
Windows uniquement : pour rechercher les occurrences des caractères PB, saisissez-les (avec l’espace) dans le champ Rechercher de la boîte de dialogue
Rechercher/Remplacer (menu Édition). Décidez ensuite si le problème doit
être corrigé dans le document ou si la suppression des caractères de l’index suffit.
MODIFICATION ET RECOMPILATION DE L’INDEX
Si vous rencontrez des problèmes liés à la ponctuation, aux entrées d’index ou
à l’organisation de l’index, revenez à la palette Index, à la boîte de dialogue
Préférences pour l’index (QuarkXPress/Édition > Préférences > Index) ou
à la boîte de dialogue Générer un index (menu Utilitaires). Apportez les
modifications nécessaires, puis recompilez l’index.
MISE À JOUR DE L’INDEX
Tout index compilé dans un document que vous modifiez doit être recompilé.
En effet, QuarkXPress n’actualise pas automatiquement le texte de l’index.
Aussi est-il préférable de compiler l’index final uniquement lorsque vous êtes
relativement certain que le document est définitif.
APPLICATION D’UN FORMATAGE LOCAL À L’INDEX
Lorsque vous disposez d’un index qui vous convient et que vous êtes quasiment
certain que la publication est définitive, vous pouvez améliorer l’apparence de
cet index en lui appliquant un formatage local. Par exemple, si une seule entrée
figure sous les en-têtes W, X, Y et Z, vous pouvez les combiner en un en-tête W–Z.
Vous pouvez également utiliser la boîte de dialogue Rechercher/Remplacer
(menu Édition) afin d’appliquer des styles typographiques à certains mots.
N’oubliez pas que les suppressions ou modifications d’entrées effectuées à ce
stade ne figureront pas dans les versions ultérieures de l’index.
UTILISATION DES LIVRES
La gestion des publications composées de plusieurs documents constitue parfois un véritable défi. En effet, alors qu’ils doivent être stockés près les uns des
autres, les documents associés doivent demeurer distincts. Mais les livres sont
là pour vous aider à relever le défi.
182
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES LIVRES
Les livres sont des fichiers QuarkXPress qui s’affichent sous la forme de fenêtres
comportant des liens vers des documents indépendants appelés chapitres. Une
fois que vous avez ajouté des chapitres à un livre, vous pouvez les ouvrir, les
fermer et assurer leur suivi à partir de la palette Livre. QuarkXPress permet
la synchronisation des feuilles de style et d’autres spécifications propres aux
chapitres d’un livre, l’impression des chapitres figurant dans la palette Livre
et la mise à jour automatique des numéros de page sur plusieurs chapitres.
QuarkXPress permet d’ouvrir jusqu’à 25 livres à la fois. Comme les livres peuvent être ouverts simultanément par plusieurs utilisateurs, les membres d’un
groupe de travail peuvent accéder à différents chapitres en même temps. Les
livres restent ouverts jusqu’à ce que vous les fermiez ou que vous quittiez
QuarkXPress. Les modifications apportées sont enregistrées lorsque vous
refermez la palette Livre ou quittez QuarkXPress.
Les modifications apportées (l’ajout ou la réorganisation des chapitres, par
exemple) sont enregistrées automatiquement lorsque vous refermez les livres
ou que vous quittez QuarkXPress. Lorsque vous ouvrez et modifiez des chapitres,
vous devez enregistrer les documents correspondants comme s’il s’agissait de
projets QuarkXPress autonomes à l’aide de la commande Enregistrer
(menu Fichier).
***
Toute modification (ouverture ou réorganisation des chapitres, par exemple)
apportée par les membres d’un groupe de travail est reportée au fur et à
mesure dans le livre. Cliquez n’importe où dans la palette Livre pour forcer
la mise à jour.
CRÉATION DES LIVRES
Dans QuarkXPress, un livre correspond à un ensemble de documents (ou
chapitres). Vous pouvez créer un livre à tout moment. Pour créer un livre :
1 Choisissez Fichier > Créer > Livre.
2 Utilisez les contrôles de la boîte de dialogue pour préciser l’emplacement du
nouveau fichier de livre.
3 Renseignez le champ Nom du livre/Nom de fichier.
4 Cliquez sur Créer. Le nouveau livre s’affiche sous la forme d’une fenêtre
devant tous les documents ouverts.
***
En stockant des fichiers de livre dans un emplacement partagé, vous permettez à plusieurs utilisateurs d’ouvrir les livres et de modifier les chapitres. Pour
utiliser la fonction Livre dans un environnement multiutilisateurs, chaque
utilisateur doit disposer du même chemin d’accès entre son ordinateur et le
livre. Le livre doit donc être stocké sur un serveur réseau commun et non sur
l’ordinateur d’un utilisateur faisant partie du réseau.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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183
UTILISATION DES LIVRES
UTILISATION DES CHAPITRES
Les livres contiennent des documents QuarkXPress indépendants appelés
chapitres. La création de chapitres revient à ajouter des documents à des livres
ouverts. Les chapitres s’ouvrent généralement via la palette Livre plutôt que
la commande Ouvrir (menu Fichier). Il est possible de changer l’ordre des
chapitres dans un livre ainsi que de supprimer des chapitres. Les chapitres
doivent être stockés sur le même volume que le livre dont ils font partie.
AJOUT DE CHAPITRES À DES LIVRES
Vous pouvez ajouter jusqu’à 1 000 chapitres à un livre. Pour ajouter des
chapitres à un livre ouvert :
1 Cliquez sur le bouton Ajouter chapitre
dans la palette Livre.
2 Utilisez les contrôles de la boîte de dialogue pour rechercher le premier document à ajouter au livre. Le premier chapitre attribué à un livre devient le
chapitre maquette par défaut. Il détermine les feuilles de style, les couleurs,
les spécifications de césure et de justification, les listes, les tirets et rayures
utilisés tout au long du livre. Ces attributs sont spécifiques au chapitre
maquette : les autres chapitres sont dotés d’attributs indépendants de ceux
du chapitre maquette.
3 Sélectionnez le document dans la liste, puis cliquez sur le bouton Ajouter. Si
le document a été créé dans une version antérieure de QuarkXPress, un message d’alerte s’affiche vous informant que l’ajout du document entraînera une
mise à jour de son format. Si vous cliquez sur OK, le document est mis à jour
et réenregistré comme chapitre de livre QuarkXPress.
4 Répétez les étapes 1 à 3 pour ajouter d’autres chapitres au livre.
Au fur et à mesure de leur ajout, les chapitres sont répertoriés dans la palette
Livre. Si un chapitre est sélectionné dans la palette Livre lorsque vous cliquez
sur le bouton Ajouter chapitre , le chapitre suivant est ajouté immédiatement
après ce chapitre. Si aucun chapitre n’est sélectionné, le nouveau chapitre
apparaît en fin de liste.
Un chapitre ne peut appartenir qu’à un seul livre. Si vous voulez utiliser un
même chapitre dans un autre livre, créez-en une copie avec la commande
Enregistrer sous (menu Fichier). Ajoutez ensuite cette copie à l’autre livre.
La numérotation des pages d’un livre dans lequel un nouveau chapitre vient
d’être inséré peut être modifiée.
STATUT DES CHAPITRES
Après avoir inséré des chapitres dans un livre, vous, ainsi que d’autres utilisateurs,
pouvez les ouvrir, les fermer et assurer leur suivi dans la palette Livre. Celle-ci
comporte une colonne État qui affiche le statut actuel de chaque chapitre :
• Disponible indique que vous pouvez ouvrir le chapitre.
• Ouvert indique que le chapitre est ouvert sur votre ordinateur.
184
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES LIVRES
• [Nom utilisateur] indique que le chapitre est ouvert par un autre utilisateur.
Le nom de l’utilisateur correspond au nom attribué à l’ordinateur de l’utilisateur. Pour plus d’informations sur le partage des fichiers et l’attribution de noms
aux ordinateurs, consultez la documentation fournie avec votre ordinateur.
• Modifié indique que le chapitre a été ouvert et modifié indépendamment du
livre. Pour faire passer son état à Disponible, rouvrez le chapitre à l’aide de la
palette Livre, puis refermez-le.
• Absent indique que le fichier du chapitre a été déplacé depuis son ajout au livre.
Double-cliquez sur le nom du chapitre pour accéder à une boîte de dialogue
vous permettant de rechercher le fichier.
OUVERTURE DES CHAPITRES DANS LES LIVRES
Même si plusieurs utilisateurs peuvent ouvrir un même livre, un chapitre ne
peut être ouvert que par un seul utilisateur à la fois. Pour qu’un chapitre puisse
être ouvert, il doit afficher Disponible ou Modifié dans la colonne État.
Double-cliquez sur le nom d’un chapitre disponible pour l’ouvrir.
OUVERTURE DES CHAPITRES INDÉPENDAMMENT DES LIVRES
Si vous devez travailler sur un ordinateur qui ne fait pas partie du réseau sur
lequel un livre réside (pour modifier un chapitre de chez vous, par exemple),
vous pouvez effectuer une copie d’un chapitre et travailler dessus indépendamment du livre. Lorsque vous avez terminé de travailler sur le chapitre,
recopiez-le à son emplacement initial sur le réseau. Son état dans la palette
Livre affiche alors Modifié.
***
Pour vous assurer que d’autres utilisateurs ne travaillent pas sur le chapitre
original situé sur le réseau pendant que vous modifiez une copie, placez le
fichier sur le réseau dans un autre dossier de sorte que son état dans la palette
Livre passe à Absent.
RÉORGANISATION DES CHAPITRES D’UN LIVRE
Vous pouvez à tout moment changer l’ordre des chapitres d’un livre, quel que
soit leur statut. Les numéros de page automatiques sont alors actualisés pour
refléter la nouvelle organisation des chapitres. Cliquez sur le nom d’un chapitre pour le sélectionner, puis sur un bouton Placer chapitre
dans la
palette Livre. Le chapitre sélectionné se déplace d’une rangée vers le haut ou
vers le bas.
SUPPRESSION DES CHAPITRES D’UN LIVRE
Vous pouvez supprimer à tout moment un chapitre d’un livre. Cliquez sur
le nom du chapitre pour le sélectionner, puis cliquez sur le bouton Retirer
chapitre . Le nom du chapitre disparaît de la palette Livre et les liens
pointant vers lui sont rompus. Le chapitre se transforme en document
QuarkXPress standard.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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185
UTILISATION DES LIVRES
CONTRÔLE DE LA NUMÉROTATION DES PAGES
Les sections (Page > Section) et les numéros de page d’un chapitre sont
conservés lorsqu’il est inséré dans un livre. Chaque chapitre d’un livre peut
constituer une nouvelle section, par exemple. Si les chapitres insérés ne sont
pas dotés de sections, QuarkXPress leur attribue automatiquement des numéros de page séquentiels dans le livre. Ainsi, si le premier chapitre contient
10 pages, le deuxième commence à la page 11.
Il est possible d’ajouter et de supprimer des sections afin de modifier la numérotation des pages d’un livre. Si une page de document comporte un caractère
de numéro de page automatique, elle affiche le numéro de page approprié.
UTILISATION DES CHAPITRES DIVISÉS EN SECTIONS
Lorsqu’un chapitre comporte un début de section, la numérotation des pages
de celle-ci demeure effective tout au long du livre jusqu’à ce que QuarkXPress
rencontre le début d’une nouvelle section. Si le premier chapitre d’un livre est
une section dont les numéros de page sont dotés du préfixe A, par exemple,
toutes les pages des chapitres suivants portent aussi le préfixe A jusqu’à ce que
QuarkXPress identifie une nouvelle section. Dans cet exemple, le deuxième
chapitre peut constituer une nouvelle section dotée du préfixe B.
Vous pouvez à tout moment ajouter, modifier et supprimer les sections incluses
dans les chapitres d’un livre (Page > Section). Si vous supprimez toutes les
sections de tous les chapitres d’un livre, la numérotation séquentielle des
pages est rétablie.
***
Pour voir les numéros de page des chapitres dans la palette Livre, vous devez
activer la numérotation automatique des pages.
UTILISATION DES CHAPITRES NON DIVISÉS EN SECTIONS
Si les chapitres ne comportent pas de sections, QuarkXPress crée un début de
chapitre pour la première page de chaque chapitre. Cette option indique à un
chapitre de commencer la numérotation de ses pages après la dernière page
du chapitre précédent. Pour annuler un début de chapitre et créer une section, ouvrez le chapitre concerné, puis choisissez Page > Section. Cochez la
case Début de section ; la case à cocher Début de chapitre est alors désactivée. Lorsque vous ajoutez des pages à un chapitre, réorganisez ou supprimez
des chapitres, les pages et les chapitres suivants sont numérotés en fonction
du début de section défini.
***
186
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Pour que les pages des chapitres finals reflètent la numérotation du livre, leur
numéro doit être inséré avec le caractère de numéro de page courante.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES LIVRES
Tout utilisateur qui ouvre un livre peut y ajouter, réorganiser et supprimer des
chapitres. Il peut également ajouter des sections aux chapitres afin de mettre
en place une nouvelle numérotation séquentielle des pages ou de synchroniser des chapitres. Il est recommandé de confier ces tâches à un seul utilisateur
(le réviseur, par exemple) et de limiter les tâches des autres utilisateurs à
l’ouverture et à la fermeture des livres par le biais de la palette.
L’ouverture d’un chapitre en dehors du livre QuarkXPress auquel il est associé
(c’est-à-dire sans utiliser la palette Livre) modifie parfois temporairement la
numérotation de ses pages. Si l’option Début de chapitre est activée pour un
chapitre (permettant ainsi la mise à jour automatique de la numérotation des
pages sur plusieurs chapitres), la première page du chapitre en cours de modification devient alors la page 1. Lorsque vous rouvrez le chapitre via la palette
Livre, la numérotation de ses pages est automatiquement mise à jour. En
revanche, si l’option standard Début de section est activée, la numérotation
des pages du chapitre en cours de modification reste la même.
SYNCHRONISATION DES CHAPITRES
Pour veiller à ce que les mêmes feuilles de style, couleurs, spécifications de
césure et de justification, listes, tirets et rayures soient utilisés dans l’ensemble
des chapitres d’un livre, vous pouvez les synchroniser afin qu’ils correspondent
à ceux du chapitre maquette. Par défaut, le premier chapitre d’un livre est considéré comme étant le chapitre maquette. Vous pouvez toutefois en désigner un
autre à tout moment.
Lors de la synchronisation de chapitres, tous les attributs de chaque chapitre
sont comparés à ceux du chapitre maquette et modifiés au besoin. Une fois la
synchronisation effectuée, chaque chapitre du livre sera doté de feuilles de style,
couleurs, spécifications de césure et de justification, listes, tirets et rayures
identiques à ceux du chapitre maquette.
DÉFINITION DU CHAPITRE MAQUETTE
Par défaut, le premier chapitre ajouté à un livre est le chapitre maquette. La
présence de la lettre M en regard de son nom dans la palette Livre indique qu’il
s’agit du chapitre maquette. Pour désigner un nouveau chapitre maquette, cliquez sur le nom du nouveau chapitre pour le sélectionner. Cliquez ensuite sur la
zone vierge à gauche de son nom. L’icône M qui désigne les chapitres maquette
apparaît alors en regard du nom du chapitre.
SYNCHRONISATION DES SPÉCIFICATIONS
Avant de synchroniser les spécifications d’un livre, vérifiez que les feuilles de
style, les couleurs, les spécifications de césure et de justification, les listes, les
tirets et rayures du chapitre maquette sont définis correctement. Puis :
1 Assurez-vous que tous les chapitres du livre sont dotés du statut Disponible. Si
l’un d’entre eux ne l’est pas, ses spécifications ne peuvent pas être synchronisées.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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187
UTILISATION DES LIVRES
2 Sélectionnez les chapitres à synchroniser. Pour sélectionner une série de chapitres, cliquez sur le nom du premier chapitre, et appuyez sur la touche Maj
tout en cliquant sur le nom du dernier chapitre. Pour sélectionner des chapitres non-consécutifs, appuyez sur la touche Pomme/Ctrl tout en cliquant
sur leur nom.
3 Cliquez sur le bouton Synchroniser livre
dans la palette Livre. La boîte de
dialogue Synchroniser les chapitres sélectionnés s’affiche.
4 Cliquez sur l’onglet Feuilles de style, Couleurs, C&J, Listes ou Tirets et
rayures afin de sélectionner les spécifications voulues. La liste Disponible
affiche toutes les spécifications appropriées. Sélectionnez les spécifications à
synchroniser et cliquez deux fois dessus ou cliquez sur la flèche pour les placer
dans la colonne Inclure.
5 Pour synchroniser toutes les spécifications de la boîte de dialogue Synchroniser
les chapitres sélectionnés, cliquez sur le bouton Tout synchroniser.
6 Cliquez sur OK. Chaque chapitre du livre est ouvert, comparé au chapitre
maquette, modifié si nécessaire et enregistré. Lorsque vous synchronisez des
chapitres, ceux-ci sont modifiés comme suit :
• Les spécifications portant le même nom sont comparées. Le cas échéant, les
spécifications des chapitres sont modifiées pour correspondre à celles du
chapitre maquette.
• Les spécifications du chapitre maquette absentes d’autres chapitres y
sont ajoutées.
• Les spécifications d’autres chapitres qui ne sont pas définies dans le chapitre
maquette restent telles quelles.
188
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***
Si vous apportez des modifications qui affectent les spécifications d’un livre,
vous devez synchroniser de nouveau les chapitres.
***
Vous pouvez utiliser la synchronisation pour apporter des modifications
globales à l’une des spécifications d’un livre. Si vous décidez de changer une
couleur d’accompagnement utilisée tout au long d’un livre, par exemple,
modifiez sa définition dans le chapitre maquette, puis cliquez sur le bouton
Synchroniser livre .
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES LIVRES
IMPRESSION DES CHAPITRES
La palette Livre permet d’imprimer rapidement plusieurs chapitres dotés des
mêmes paramètres. Il est possible d’imprimer un livre entier ou simplement
quelques chapitres sélectionnés dans la palette. Pour imprimer des chapitres
d’un livre ouvert :
1 Assurez-vous que tous les chapitres à imprimer ont le statut Disponible ou
Ouvert. Il est impossible d’imprimer des chapitres absents ou utilisés par
d’autres personnes.
2 Pour imprimer le livre entier, assurez-vous qu’aucun chapitre n’est sélectionné. Pour sélectionner un chapitre, cliquez dessus. Pour sélectionner des
chapitres consécutifs, appuyez sur la touche Maj tout en cliquant sur leur
nom. Pour sélectionner des chapitres non-consécutifs, appuyez sur la touche
Pomme/Ctrl tout en cliquant sur leur nom.
3 Cliquez sur le bouton Imprimer les chapitres
de la palette Livre pour
accéder à la boîte de dialogue Imprimer.
4 Pour imprimer toutes les pages des chapitres sélectionnés, choisissez l’option
Toutes dans le menu déroulant Pages.
5 Définissez les autres paramètres d’impression ou choisissez une option dans
le menu déroulant Style d’impression. L’ensemble des pages ou des chapitres
s’impriment avec ces paramètres.
6 Cliquez sur OK. QuarkXPress ouvre alors, imprime et ferme chacun des chapitres. Si un chapitre est absent ou utilisé par une autre personne, le livre ne
peut pas être imprimé.
***
Dans les champs requérant la saisie de numéros de page (tels que les champs
de la boîte de dialogue Imprimer), vous devez entrer un numéro de page
complet (préfixe inclus) ou un numéro de page absolu. Un numéro de page
absolu reflète la position réelle d’une page par rapport à la première page d’un
document, quelle que soit la façon dont le document est divisé en sections.
Tout numéro de page absolu saisi dans une boîte de dialogue doit être précédé
d’un signe plus (+). Pour afficher la première page d’un document, par exemple,
vous devez saisir +1.
CRÉATION DES INDEX ET DES TABLES DES MATIÈRES POUR
LES LIVRES
QuarkXPress permet de compiler l’index et la table des matières d’un livre
entier. Ces opérations s’effectuent à l’aide des fonctions de création de listes
et d’index, et non au moyen de la palette Livre. Cependant, tous les chapitres
du livre doivent être disponibles pour permettre la création d’une liste ou
d’un index complet.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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189
UTILISATION DES LIVRES
INDEX DES LIVRES
Les fonctions d’indexation ne sont disponibles que lorsque le module
QuarkXTensions Index est chargé. La création d’un index s’effectue depuis
la palette Index (menu Affichage), dans laquelle un texte peut être désigné
comme constituant une entrée d’index. La ponctuation de l’index est définie
dans la boîte de dialogue Préférences pour l’index (QuarkXPress/Édition >
Préférences > Index). Lorsqu’un livre est terminé, l’index se compile à partir
de la boîte de dialogue Composer un index (menu Utilitaires).
LISTES POUR LES LIVRES
Dans QuarkXPress, une liste est une compilation de texte formaté à l’aide de
feuilles de style de paragraphe particulières. Vous pouvez, par exemple, extraire le texte inclus dans la feuille de style Nom du chapitre et celui de la feuille
de style Titre de section pour compiler une table des matières à deux niveaux.
Les listes ne sont pas limitées aux tables des matières ; vous pouvez notamment
créer une liste d’illustrations à partir des feuilles de style appliquées à des
légendes. Les listes sont générées dans la boîte de dialogue Listes (menu Édition)
et la palette Listes (menu Affichage).
UTILISATION DES BIBLIOTHÈQUES
Les bibliothèques permettent de stocker les éléments de page fréquemment
utilisés, tels que les logos, les titres de publication, les mentions légales et les
photographies. Une bibliothèque peut contenir jusqu’à 2 000 entrées. Une
entrée de bibliothèque correspond à un bloc ou chemin de texte, à un bloc
d’image, à un trait, à une sélection d’éléments multiples (non groupés) ou à
un groupe. Pour inclure et extraire des éléments de bibliothèque, il vous suffit
de les faire glisser ou de les couper et de les copier avant de les coller.
Les bibliothèques sont utiles pour stocker des éléments dont vous pouvez
avoir besoin à tout moment dans une mise en page. Les logos de sociétés, les
mentions légales, les images et le texte fréquemment utilisés ainsi que les formats de diagramme et les images clip art constituent d’excellents exemples
d’entrées de bibliothèque. Il en va de même des éléments dont le formatage
est difficile à mémoriser.
Utilisez la barre de défilement de la palette Bibliothèque pour consulter les
différentes entrées verticalement. Faites glisser la case de redimensionnement
dans l’angle inférieur droit de la palette pour la redimensionner. Vous pouvez
développer une palette Bibliothèque en cliquant sur sa case d’agrandissement/
de réduction. Cliquez de nouveau sur cette même case pour rétablir la taille
antérieure de la palette.
190
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES BIBLIOTHÈQUES
Palette Bibliothèque
***
Les bibliothèques QuarkXPress ne sont pas multiplateformes ; vous devez
donc les ouvrir sur la plate-forme utilisée pour les créer.
CRÉATION DES BIBLIOTHÈQUES
Vous pouvez créer une bibliothèque à tout moment, à condition d’avoir
moins de 25 fichiers ouverts. Pour créer une bibliothèque :
1 Choisissez Fichier > Créer > Bibliothèque.
***
Lorsque vous créez une bibliothèque, elle demeure ouverte jusqu’à ce que
vous la fermiez manuellement. Lorsque vous redémarrez QuarkXPress, les
palettes des bibliothèques précédemment ouvertes sont automatiquement
rouvertes en tant que bibliothèques par défaut.
2 Utilisez les contrôles de la boîte de dialogue pour préciser l’emplacement du
fichier de la nouvelle bibliothèque.
3 Renseignez le champ Nom de bibliothèque/Nom de fichier.
4 Cliquez sur le bouton Créer.
AJOUT D’ENTRÉES À UNE BIBLIOTHÈQUE
Lorsque vous ajoutez des entrées à une bibliothèque, des copies des éléments y
sont placées et affichées en mode chemin de fer. Les éléments d’origine ne sont
pas retirés du document. Pour ajouter des entrées à une bibliothèque ouverte :
1 Sélectionnez l’outil Déplacement
.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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191
UTILISATION DES BIBLIOTHÈQUES
2 Sélectionnez les éléments ou le groupe d’éléments à placer dans la bibliothèque. Pour sélectionner plusieurs éléments simultanément, appuyez sur
la touche Maj en cliquant sur chaque élément. Notez toutefois que si vous
sélectionnez plusieurs éléments, ceux-ci sont enregistrés dans la bibliothèque
sous la forme d’une entrée unique et non comme éléments distincts.
3 Faites glisser les éléments ou le groupe dans la bibliothèque et relâchez le
bouton de la souris lorsque le pointeur Bibliothèque apparaît. L’entrée de
bibliothèque est placée entre les icônes en forme de flèche.
RÉCUPÉRATION DES ENTRÉES DE BIBLIOTHÈQUE
Pour placer une entrée de bibliothèque dans un document, sélectionnez l’outil de votre choix, puis cliquez sur l’entrée à insérer. Faites-la glisser dans le
document. Une copie de l’entrée est placée dans le document.
TRAITEMENT DES ENTRÉES DE BIBLIOTHÈQUE
Il est possible de réorganiser l’ordre des entrées dans une bibliothèque, de
transférer des entrées d’une bibliothèque à une autre ou encore de remplacer
et de supprimer des entrées de ce type.
• Pour modifier la position d’une entrée dans une bibliothèque, cliquez dessus
et faites-la glisser à l’endroit souhaité.
• Pour copier une entrée d’une bibliothèque à une autre, cliquez dessus et
faites-la glisser vers la bibliothèque cible ouverte.
• Pour remplacer une entrée dans une bibliothèque, sélectionnez les éléments de
remplacement dans un document, puis choisissez Édition > Copier. Cliquez
sur l’entrée dans la bibliothèque pour la sélectionner et choisissez
Édition > Coller.
• Pour supprimer une entrée de bibliothèque sous Mac OS, cliquez dessus,
puis choisissez Édition > Effacer, Édition > Couper ou appuyez sur la
touche Supprimer. Pour supprimer une entrée de bibliothèque sous Windows,
choisissez Édition (menu de la palette Bibliothèque) > Supprimer ou
Édition > Couper.
192
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***
Windows uniquement : pour copier, coller ou supprimer des éléments de
bibliothèque sous Windows, utilisez le menu Édition situé dans la partie
supérieure de la palette Bibliothèque.
***
Si vous déplacez une image haute résolution après l’avoir importée dans
votre document, mettez à jour son chemin d’accès à l’aide de la commande
Usage (menu Utilitaires) pour pouvoir déplacer l’entrée de bibliothèque
dans un document.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
UTILISATION DES BIBLIOTHÈQUES
UTILISATION DES ÉTIQUETTES
QuarkXPress permet de gérer les entrées de bibliothèque en leur appliquant
des étiquettes. Vous pouvez appliquer la même étiquette à plusieurs entrées
et afficher de manière sélective les entrées de bibliothèque selon leurs étiquettes. Si vous disposez d’une bibliothèque contenant de nombreux logos,
par exemple, vous pouvez étiqueter chaque entrée avec le nom de
l’entreprise correspondant.
LIBELLÉ DES ENTRÉES DE BIBLIOTHÈQUE
Après avoir libellé une entrée de bibliothèque, vous pouvez utiliser l’étiquette définie pour d’autres entrées. Vous pouvez également attribuer à
chaque entrée de bibliothèque un nom unique. Pour libeller des entrées de
bibliothèque :
1 Double-cliquez sur une entrée pour accéder à la boîte de dialogue Entrée
de bibliothèque.
2 Renseignez le champ Étiquette à l’aide d’un nom descriptif ou choisissez-en
un dans la liste Étiquette. Pour renommer une entrée de bibliothèque, saisissez
un nouveau nom d’étiquette ou choisissez-en un dans la liste.
3 Cliquez sur OK.
AFFICHAGE DES ENTRÉES DE BIBLIOTHÈQUE PAR ÉTIQUETTE
Pour afficher les entrées par étiquette, cliquez sur le menu local (Mac OS)
ou sur le menu Étiquettes (Windows) situé dans l’angle supérieur gauche
d’une palette Bibliothèque. Choisissez des étiquettes pour afficher les
entrées correspondantes.
• Le menu répertorie les options Toutes, Sans étiquette ainsi que toutes les
étiquettes créées et appliquées aux entrées.
• Vous avez la possibilité de choisir plus d’une étiquette afin d’afficher
plusieurs catégories d’entrées ; une coche s’affiche en regard de chaque
étiquette sélectionnée.
• Si vous choisissez plusieurs étiquettes sous Mac OS, la mention Plusieurs
étiquettes apparaît dans le menu déroulant. Si vous sélectionnez le menu
Étiquettes sous Windows, une coche apparaît en regard des étiquettes
affichées dans la palette.
• Pour visualiser toutes les entrées de bibliothèque, sans tenir compte des
étiquettes, choisissez l’option Toutes.
• Pour visualiser les entrées auxquelles aucune étiquette n’a été attribuée,
choisissez l’option Sans étiquette. Vous pouvez choisir cette option en plus
d’autres étiquettes.
• Pour masquer les entrées auxquelles une étiquette précise a été attribuée,
choisissez de nouveau l’étiquette concernée.
CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
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193
UTILISATION DES BIBLIOTHÈQUES
ENREGISTREMENT DES BIBLIOTHÈQUES
Lorsque vous cliquez sur la case de fermeture d’une palette Bibliothèque,
QuarkXPress enregistre automatiquement les modifications que vous y avez
apportées. Si vous préférez, vous pouvez utiliser la fonction Enregistrement
bibliothèque automatique pour enregistrer chaque changement à la volée.
Pour activer l’option Enregistrement bibliothèque automatique :
1 Choisissez QuarkXPress/Édition > Préférences, puis cliquez sur Enregistrer
dans la liste située sur la gauche pour accéder au panneau Enregistrer.
2 Cochez la case Enregistrement bibliothèque automatique.
3 Cliquez sur OK.
194
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CHAPITRE 8 : CONSTRUCTION DES DOCUMENTS
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
Chapitre 9 : Sortie
Qu’il s’agisse de l’impression préalable d’épreuves sur imprimante laser ou
de la sortie finale de films sur imageuse haute résolution, QuarkXPress est là
pour vous aider à obtenir à chaque fois des résultats satisfaisants.
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
Dans de nombreux environnements de publication, vous pouvez imprimer sur
une grande variété de périphériques de sortie, des imprimantes à jet d’encre
aux imprimantes laser de bureau ou même aux imageuses de plaques haut de
gamme. Les rubriques ci-dessous décrivent l’impression à partir de QuarkXPress.
MISE À JOUR DES CHEMINS D’ACCÈS AUX IMAGES
QuarkXPress se sert des deux types d’informations suivants pour les images
importées : les informations de haute et de basse résolution. Les informations
de basse résolution permettent l’affichage des images en mode de prévisualisation. Pendant l’impression, les informations de haute résolution figurant
dans les fichiers images d’origine sont accessibles grâce à leur chemin.
Un chemin d’accès à une image est établi lorsque vous importez une image
dans un document QuarkXPress. Les informations relatives au chemin d’accès et à la dernière date de modification de chaque image sont conservées
par QuarkXPress.
Si vous déplacez ou modifiez une image après l’avoir importée, QuarkXPress
affiche un message d’alerte lorsque vous exécutez la commande Imprimer
ou Rassembler les informations pour la sortie (menu Fichier).
***
Si vous conservez vos images dans le même dossier que le document
QuarkXPress, il est inutile de conserver des chemins d’accès aux images.
QuarkXPress retrouve toujours les images stockées dans le même dossier
que le projet auquel elles sont associées, quel que soit l’endroit où elles se
trouvaient au moment de leur importation.
Les systèmes OPI (Open Prepress Interface) remplacent les images haute résolution et réalisent la séparation préalable des images numérisées en couleur.
En utilisant un tel système de sortie, vous pouvez, par exemple, importer
dans un document une image TIFF RVB en basse résolution et préciser que
QuarkXPress doit saisir automatiquement des commentaires OPI afin que les
images basse résolution soient remplacées par leur version haute résolution à
l’impression. Les systèmes OPI sont dotés de plusieurs capacités de substitution.
CHAPITRE 9 : SORTIE
|
195
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
PARAMÉTRAGE DES CONTRÔLES DE LA BOÎTE DE
DIALOGUE IMPRIMER
La boîte de dialogue Imprimer (Fichier > Imprimer) d’une mise en page
papier comprend deux zones fonctionnelles : (1) les champs, listes déroulantes et boutons situés dans les parties supérieure et inférieure de la boîte
de dialogue et (2) les éléments de liste. Les contrôles de la première zone
sont disponibles à tout moment, indépendamment de l’élément de liste
sélectionné. En revanche, les informations apparaissant dans les éléments
de liste changent en fonction de l’élément sélectionné. Pour imprimer une
mise en page papier :
1 Choisissez Fichier > Imprimer (Pomme+P/Ctrl+P). La boîte de dialogue
Imprimer s’affiche.
2 Sélectionnez le pilote d’imprimante souhaité dans le menu
déroulant Imprimante.
• Windows uniquement : si vous cliquez sur le bouton Propriétés, vous accédez à une boîte de dialogue répertoriant les contrôles propres au pilote de
l’imprimante sélectionnée. Pour plus d’informations sur les options de cette
boîte de dialogue ou sur l’installation des imprimantes, consultez la
documentation fournie avec le logiciel Microsoft Windows.
3 Définissez les options de sortie de l’une des façons suivantes :
• Pour utiliser un style de sortie existant, choisissez une option dans le menu
déroulant Style d’impression.
• Pour configurer les options d’impression manuellement, utilisez les contrôles
situés dans la moitié inférieure de la boîte de dialogue. Cette partie de la boîte
de dialogue Imprimer est divisée en plusieurs rubriques. Pour afficher une
rubrique, cliquez sur son nom dans la liste située dans la partie inférieure
gauche. Pour plus d’informations sur ces options, reportez-vous à Options de
sortie papier.
• Pour enregistrer les options d’impression sélectionnées dans un nouveau style
de sortie, choisissez Nouveau style sortie papier dans le menu déroulant
Style d’impression.
4 Pour définir le nombre d’exemplaires à imprimer, renseignez le champ Copies.
5 Pour définir les pages à imprimer, renseignez le champ Pages. Ce champ
permet de définir l’impression de séries de pages, de groupes de pages discontinues et de combinaisons de séries de pages continues et discontinues.
Utilisez des virgules et des traits d’union pour définir des séries de pages
continues et discontinues. Par exemple, pour imprimer les pages 3 à 9, 12
à 15 et la page 19 d’une mise en page de 20 pages, entrez 3–9, 12–15, 19
dans le champ Pages.
6 Pour préciser si seules les pages impaires ou seules les pages paires ou encore
si toutes pages doivent être imprimées, choisissez l’option appropriée dans le
196
|
CHAPITRE 9 : SORTIE
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
menu déroulant Séq. de pages. Toutes (valeur par défaut) permet d’imprimer
toutes les pages consécutives. Si vous choisissez l’option Impaires, seules les
pages dont le numéro est impair sont imprimées. Si vous choisissez l’option
Paires, seules les pages dont le numéro est pair sont imprimées.
7 Pour augmenter ou diminuer la taille du document à l’impression, entrez un
pourcentage dans le champ Échelle. La valeur par défaut est 100 %.
8 Si vous imprimez au moins deux exemplaires d’une mise en page et que vous
souhaitez que tous les exemplaires soient imprimés dans un ordre séquentiel,
vous devez cocher la case Trier. Si cette case n’est pas cochée, QuarkXPress
imprime plusieurs exemplaires de chaque page en même temps.
9 Pour imprimer des planches (c’est-à-dire des pages contiguës horizontalement)
côte à côte sur le film ou le papier, cochez la case Planches.
10 Pour imprimer une mise en page de plusieurs pages dans l’ordre opposé
d’apparition des pages, cochez la case Ordre inverse. La dernière page
de la mise en page s’imprime alors en premier.
11 Cochez la case Ajuster à zone imprimable pour réduire ou augmenter la
taille d’une page de document afin de l’ajuster à la zone imprimable du
support sélectionné.
12 Mac OS uniquement : cliquez sur le bouton Imprimante pour ouvrir la boîte
de dialogue Gestionnaire d’imprimante. Pour plus d’informations à ce sujet,
consultez la documentation fournie avec votre ordinateur.
13 Cliquez sur Imprimer pour imprimer la mise en page.
14 Cliquez sur le bouton Annuler pour fermer la boîte de dialogue Imprimer
sans enregistrer les paramètres et sans imprimer la mise en page.
***
La zone dans la partie supérieure droite de la boîte de dialogue Imprimer est
la zone de prévisualisation des pages. Vous pouvez utiliser cette image pour
prévisualiser les pages telles qu’elles apparaîtront sur le périphérique de sortie.
BOÎTE DE DIALOGUE IMPRIMER
Les rubriques de la boîte de dialogue Imprimer sont décrites dans les
rubriques ci-dessous.
RUBRIQUE PÉRIPHÉRIQUE
Utilisez la rubrique Périphérique pour contrôler des paramètres propres au
périphérique, notamment la sélection des fichiers PPD et le positionnement
de la page :
• Une fois le fichier PPD choisi, les champs Taille papier, Largeur et Hauteur
affichent automatiquement les données par défaut fournies par ce fichier. Si
vous sélectionnez le fichier PPD d’une photocomposeuse, les champs Décalage
CHAPITRE 9 : SORTIE
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197
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
et Intervalle de page deviennent également disponibles. La boîte de dialogue
Gestionnaire PPD (menu Utilitaires) permet de personnaliser la liste des
fichiers PPD disponibles dans le menu déroulant PPD. Si vous ne disposez pas
du fichier PPD approprié, choisissez un fichier similaire générique et intégré.
• Pour définir la taille du support utilisé par l’imprimante, choisissez une
option dans le menu déroulant Taille papier.
• Pour définir la largeur et la hauteur d’un support personnalisé pris en charge
par l’imprimante, choisissez Personnalisée dans le menu déroulant Taille
papier, puis renseignez les champs Largeur et Hauteur. Si le document est
produit sur photocomposeuse à alimentation continue ou sans tambour,
utilisez le paramètre Automatique dans le champ Hauteur.
• Pour positionner le document sur le support de sortie sélectionné, choisissez
une option dans le menu déroulant Position.
• La résolution par défaut du fichier PPD sélectionné apparaît automatiquement
dans le champ Résolution.
• Photocomposeuses uniquement : renseignez le champ Décalage pour définir
la distance de décalage (ou de retrait) entre le bord gauche de la page et le
bord gauche du support en rouleau.
• Photocomposeuses uniquement : renseignez le champ Intervalle de page
pour définir l’espace entre les pages de la mise en page lorsqu’elles sont
imprimées sur le rouleau.
• Pour imprimer des images en négatif, activez la case à cocher
Impression négative.
• Pour recevoir de QuarkXPress des rapports imprimés sur les erreurs PostScript
identifiées, cochez la case Traitement d’erreurs PostScript.
RUBRIQUE PAGES
Utilisez la rubrique Pages pour définir l’orientation des pages, la fonction
Mosaïque, le retournement des pages, ainsi que d’autres options associées :
• Pour définir un mode d’impression Portrait ou Paysage, cliquez sur un bouton
radio Orientation (Portrait ou Paysage).
• Pour inclure des pages vierges dans la sortie, cochez la case Inclure les
pages vierges.
• Pour imprimer en taille réduite plusieurs pages d’une mise en page sur une
seule feuille, cochez la case Chemin de fer.
• Pour retourner le document à imprimer verticalement ou horizontalement,
sélectionnez une option dans le menu déroulant Retourner la page.
Pour imprimer en sections (c’est-à-dire en mosaïque) une mise en page de
taille importante, choisissez une option dans le menu déroulant Mosaïque
page. QuarkXPress imprime des coches et des repères sur chaque section
pour vous aider à les rassembler.
198
|
CHAPITRE 9 : SORTIE
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
• L’option Manuelle permet de contrôler la division d’une page grâce au
positionnement du bord de la règle.
• Pour que QuarkXPress détermine le nombre de mosaïques nécessaires à
l’impression de chaque page de document en fonction de la taille de la
mise en page, de la taille du support, de l’activation ou non de l’option
Recouvrement absolu et de la valeur du champ Largeur recouvrement,
sélectionnez Automatique. La valeur du champ Largeur recouvr. correspond
à la taille d’agrandissement de la page utilisée par QuarkXPress pour créer la
section. Si vous activez l’option Recouvrement absolu, QuarkXPress utilise la
valeur saisie dans le champ Largeur recouvr. pour agrandir la page lors de la
création de la section. Si vous n’activez pas l’option Recouvrement absolu,
QuarkXPress utilise au minimum la quantité définie dans le champ Largeur
recouvr. pour créer la section, mais peut utiliser une largeur supérieure si
nécessaire. Si vous souhaitez obtenir une mise en page centrée sur les sections
assemblées finales, ne cochez pas la case Recouvrement absolu.
RUBRIQUE IMAGES
La rubrique Images permet de contrôler le mode d’impression des images :
• Pour définir le mode d’impression des images, choisissez une option dans le
menu déroulant Qualité. L’option Normal(e) permet d’obtenir une qualité
haute résolution des images en utilisant les données des fichiers source.
L’option Basse résolution permet d’imprimer les images en utilisant la résolution de prévisualisation à l’écran. L’option Brouillon permet de supprimer
l’impression des images et des dégradés et de les remplacer par un bloc
contenant un x, comme un bloc d’image vide à l’écran.
• Pour sélectionner le format des données d’impression, choisissez une option
dans le menu déroulant Données. Même si les documents s’impriment plus
rapidement au format binaire, le format ASCII est plus portable car il s’agit
d’un format standard lisible par une plus grande variété d’imprimantes et de
spouleurs. Combinaison des formats ASCII et binaire, le format Clean 8 bits
est extrêmement souple et portable.
• Cochez la case Surimprimer le noir EPS pour que tous les éléments noirs
des images EPS importées soient surimprimés (indépendamment de leurs
paramètres de surimpression dans le fichier EPS).
• Pour imprimer des images TIFF 1 bit en pleine résolution (dans les limites
de la résolution définie dans l’élément de liste Périphérique), cochez la case
Sortie TIFF pleine résolution. Si vous n’activez pas cette option, les images
de plus d’un (1) bit sont sous-échantillonnées à deux fois la valeur du
paramètre lpp.
CHAPITRE 9 : SORTIE
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199
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
RUBRIQUE POLICES
La rubrique Polices permet de définir les polices incluses dans la sortie. Notez
que de nombreuses options de cette rubrique sont disponibles uniquement
pour l’impression sur un périphérique de sortie PostScript.
• Cochez la case Optimiser formats police si vous imprimez vers un périphérique
de sortie PostScript niveau 3 ou ultérieur ou vers un périphérique utilisant
PostScript 2 version 2015 ou ultérieure.
• Pour télécharger toutes les polices utilisées dans la mise en page et toutes les
polices système, cochez la case Télécharger les polices de la mise en page.
Pour choisir les polices à télécharger, désactivez la case Télécharger les polices
de la mise en page, puis cochez Télécharger pour chaque police voulue. Vous
pouvez sélectionner les polices à répertorier en choisissant une option dans le
menu déroulant Afficher.
• Pour télécharger toutes les polices nécessaires aux fichiers PDF et EPS importés,
cochez la case Télécharger les polices PDF/EPS importées.
RUBRIQUE COULEUR
Utilisez la rubrique Couleur pour contrôler la sortie de la couleur.
• Pour imprimer toutes les couleurs d’une page, choisissez Composite dans le
menu déroulant Mode. Pour imprimer un film pour chaque couleur (pour une
presse polychrome), choisissez Séparations dans le menu déroulant Mode.
Pour plus d’informations sur la sortie composite, reportez-vous à Impression
des composites couleur. Pour plus d’informations sur les séparations,
reportez-vous à Impression des séparations couleur.
• Pour définir un paramètre de sortie pour le périphérique de sortie, choisissez
une option dans le menu déroulant Réglage. Pour plus d’informations sur la
gestion de la couleur, reportez-vous à Paramétrages source et paramétrages de
sortie.
• Pour définir des formes et des fréquences de demi-teinte, utilisez les menus
déroulants Demi-teintes et Fréquence. L’option Imprimante du menu
déroulant Demi-teintes permet au périphérique de sortie de déterminer
tous les paramétrages de demi-teinte.
• Pour imprimer des films spécifiques uniquement et contrôler les options de
demi-teinte pour des films individuels, utilisez les contrôles de la liste de films.
RUBRIQUE MARQUES
La rubrique Marques permet d’inclure des marques de repérage, des hirondelles et des marques de fond perdu dans la sortie. Les marques de repérage
sont des lignes courtes verticales et horizontales imprimées en dehors des
limites de la page finale et désignant l’endroit où couper cette dernière. Les
hirondelles sont des symboles utilisés pour aligner des films superposés. Les
marques de fond perdu indiquent la limite des fonds perdus de la page.
200
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CHAPITRE 9 : SORTIE
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
• Pour imprimer des marques de repérage et des hirondelles sur chaque page,
choisissez l’option Centré ou Décentré dans le menu déroulant Marques.
• Si vous choisissez l’option Centré ou l’option Décentré, les champs Largeur,
Longueur et Décalage sont disponibles. Les valeurs saisies dans les champs
Largeur et Longueur correspondent à la largeur et à la longueur des marques
de repérage. La valeur saisie dans le champ Décalage correspond à la distance
entre les marques de repérage et le bord de la page.
• Pour inclure des marques indiquant l’emplacement des fonds perdus,
sélectionnez l’option Inclure marques de fond perdu.
RUBRIQUE CALQUES
La rubrique Calques permet de définir les calques qui seront imprimés et
ceux qui ne le seront pas.
Boîte de dialogue Imprimer uniquement : si vous souhaitez appliquer des paramètres de la rubrique Calques à la mise en page, cochez Appliquer à la mise
en page.
RUBRIQUE FOND PERDU
Utilisez la rubrique Fond perdu pour permettre aux éléments de s’étendre
au-delà des limites de la page à l’impression. Les paramètres de fond perdu
s’appliquent à chaque page de mise en page.
Pour créer un fond perdu en définissant la longueur de dépassement du
fond perdu par rapport à chaque bord de la page, choisissez Symétrique ou
Asymétrique dans le menu déroulant Type de fond perdu.
• Pour créer un fond perdu équidistant de chaque bord de la page,
choisissez Symétrique et renseignez le champ Quantité afin de préciser
la distance voulue.
• Pour définir différentes longueurs de dépassement entre le fond perdu et
chaque bord de la page, choisissez Asymétrique et renseignez les champs
Haut, Bas, Gauche et Droite afin de préciser les distances voulues.
• Sorties papier et PDF uniquement : pour que le fond perdu englobe tous les éléments de page situés en dehors des limites de la page, choisissez Eléments
de page.
• Sorties papier et PDF uniquement : pour définir si les éléments qui dépassent
sont coupés au bord du fond perdu ou peuvent être imprimés entièrement,
cochez la case Détourer au bord du fond perdu.
***
la rubrique Fond perdu est disponible uniquement lorsque le logiciel
XTensions Custom Bleeds est installé.
CHAPITRE 9 : SORTIE
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201
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
RUBRIQUE TRANSPARENCE
La rubrique Transparence permet de définir le traitement de la transparence
au moment de l’exportation.
• Le contrôle Images vectorielles permet de définir une résolution pour les
images rastérisées comprenant des données vectorielles lorsqu’elles apparaissent dans une relation de transparence. Il est généralement recommandé
d’utiliser une valeur assez élevée car les images vectorielles comportent habituellement des traits nets qui semblent irréguliers aux résolutions inférieures.
Ce champ contrôle également la résolution du rendu des cadres bitmap dans
une relation de transparence.
• Le contrôle Dégradés permet de définir la résolution des dégradés apparaissant dans une relation de transparence. Les dégradés peuvent généralement
être rastérisés à une résolution relativement basse parce qu’ils ne contiennent
pas de contours nets.
• Le contrôle Ombres portées permet de définir la résolution des ombres portées
rastérisées. Cette valeur peut être relativement basse, à moins que vous ne
souhaitiez créer des ombres portées pour lesquelles l’option Flou indique zéro.
Choisissez une valeur de résolution inférieure pour un de ces champs au moins
afin de réduire le temps nécessaire à la mise à plat et la durée de traitement
lorsque vous envoyez la mise en page à la sortie.
Les éléments pivotés ou inclinés participant à une relation de transparence
doivent être rastérisés avant d’être envoyés vers le RIP. Comme les opérations
de rotation et d’inclinaison aux résolutions inférieures dégradent la qualité
d’une image, QuarkXPress peut suréchantillonner les éléments avant de les
faire pivoter ou de les incliner, la dégradation des images est ainsi réduite.
Cochez la case Suréchantillonner les rotations si vous souhaitez paramétrer
manuellement la résolution suréchantillonnée des éléments et images pivotés ou inclinés, impliqués dans une relation de transparence. Si vous utilisez
des valeurs de résolution basses et qu’un élément pivoté ou incliné apparaît
en mosaïque ou dégradé, cochez cette case, puis renseignez le champ À à l’aide
d’une valeur au moins égale à la valeur de résolution la plus élevée de la zone
Options de rendu de transparence.
Le champ ppp pour les images inférieures à permet de définir une valeur
au-dessus de laquelle les éléments pivotés ou inclinés ne sont pas suréchantillonnés. Le but de ce champ est d’empêcher les éléments pivotés ou inclinés
proches de la valeur À de l’option Suréchantillonner les rotations d’être
suréchantillonnés inutilement. En général, paramétrez cette valeur à 100 ppp
de moins que la valeur Suréchantillonner les rotations.
202
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CHAPITRE 9 : SORTIE
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
Pour imprimer des éléments sans tenir compte de leur valeur d’opacité, cochez
la case Ignorer mise à plat de transparence. Tous les éléments sont traités
comme si leur opacité était de 100 %, quelle que soit la valeur d’opacité
appliquée, et les ombres portées et les masques d’image sont ignorés. Cette
option peut être utile pour la résolution des problèmes de sortie liés à
la transparence.
***
Le dispositif de mise à plat ne rastérise que les zones contenant un élément
matriciel, comme une ombre portée, un dégradé, une image semi-opaque ou
une image masquée par une couche alpha. Le dispositif de mise à plat ne rastérise pas les zones de couleur unie (même si elles sont le résultat de couches
semi-opaques) à moins qu’elles ne soient couvertes par un élément matriciel.
RUBRIQUE JDF
La rubrique JDF permet de déterminer si un fichier JDF doit être enregistré à
partir de la structure Job Jackets du projet. Lorsque vous cochez la case JDF
sortie, la liste déroulante Inclure contact Job Jackets devient disponible ;
choisissez alors un contact parmi les ressources dans la structure Job Jackets
du projet.
RUBRIQUE OPI
La rubrique OPI permet de contrôler les paramètres de l’interface OPI (Open
Prepress Interface).
• Cochez la case OPI active si vous n’utilisez pas de serveur OPI.
• Cochez la case Inclure images pour inclure les images TIFF ou EPS dans le
flux de sortie.
• Cochez la case Basse résolution pour inclure les images TIFF basse résolution
utilisées dans la mise en page plutôt que les versions haute résolution.
Si un fichier haute résolution est introuvable pour une image EPS, la
prévisualisation écran est utilisée à la place.
***
La rubrique OPI est disponible uniquement lorsque le logiciel XTensions OPI
est installé.
RUBRIQUE AVANCÉ
Dans la rubrique Avancé, vous pouvez définir le niveau PostScript du
périphérique de sortie.
RUBRIQUE RÉSUMÉ
La rubrique Résumé permet d’afficher le récapitulatif des paramètres des
autres rubriques.
CHAPITRE 9 : SORTIE
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203
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
ZONE DE PRÉVISUALISATION DES PAGES
La boîte de dialogue Imprimer (menu Fichier) pour les mises en page papier
offre une représentation graphique des pages de sortie appelée zone de prévisualisation des pages. Elle ne sert pas à afficher les éléments figurant réellement
dans les pages ; elle a plutôt pour fonction de montrer la forme et l’orientation
des pages par rapport au support cible.
• Le rectangle bleu représente une page.
• Le rectangle vert représente la zone imprimable pour le support de
sortie sélectionné.
• Si vous avez sélectionné un périphérique à feuilles dans le menu déroulant
PPD (rubrique Périphérique), un rectangle noir représentant la zone de
support apparaît.
• Si vous avez défini un paramètre de fond perdu via le logiciel XTensions
Custom Bleeds (rubrique Fond perdu), une zone grise entourant la mise en
page et représentant le fond apparaît.
• Si la page (y compris les marques de repérage et/ou le fond perdu) dépasse la
zone imprimable du support de sortie, une zone rouge signalant les portions
qui débordent et doivent donc être coupées apparaît. Si vous avez activé une
mise en mosaïque automatique des pages dans la rubrique Pages, la zone
rouge n’apparaît pas.
• Le R signale la rotation, l’impression en positif ou négatif et le retournement
de la page.
• La flèche à gauche de la prévisualisation graphique indique le sens
d’alimentation des films ou des pages.
• Deux icônes plus petites figurent sous la zone de prévisualisation graphique.
L’icône de feuille séparée indique que vous avez sélectionné un périphérique de sortie pour feuilles séparées dans le menu déroulant PPD (rubrique
Périphérique), alors que l’icône d’alimentation en rouleau indique que vous
avez sélectionné dans ce même menu un périphérique de sortie pour papier
en rouleau. Le point d’interrogation est un bouton déroulant affichant une
légende pour les couleurs utilisées dans la zone de prévisualisation des pages.
• Lorsque vous activez les hirondelles (volet Marques), celles-ci sont également
affichées dans la zone de prévisualisation des pages.
• Lorsque la case Chemin de fer est cochée (rubrique Pages), la prévisualisation
se fait sous forme de vignettes.
IMPRESSION DES SÉPARATIONS DE COULEURS
Pour imprimer des séparations de couleurs :
1 Affichez la rubrique Couleur de la boîte de dialogue Imprimer (menu Fichier).
2 Choisissez Séparation dans le menu déroulant Mode.
204
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CHAPITRE 9 : SORTIE
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
3 Choisissez une option dans la liste déroulante Réglage :
• L’option Couleurs séparation et accompagnement permet d’imprimer les
films des couleurs de séparation et d’accompagnement utilisées dans la mise
en page.
• L’option Conv. en coul. de séparation permet de convertir toutes les couleurs
du fichier en couleurs de séparation (uniquement au moment de l’impression)
avant d’imprimer les films correspondants.
• L’option Séparations In-RIP permet d’imprimer tous les films des couleurs
de séparation et d’accompagnement, et la sortie est au format composite.
Cependant, le fichier PostScript à imprimer contient des informations sur la
séparation des couleurs.
L’option Séparations In-RIP ne doit être sélectionnée que si vous utilisez un
périphérique PostScript niveau 3. Notez aussi que le menu déroulant Réglage
contient également tous les paramètres de sortie relatifs aux séparations répertoriés dans la boîte de dialogue Paramétrages sortie par défaut (Édition >
Paramétrages sortie).
4 Pour définir une linéature différente, entrez une valeur en lignes par pouce
(lpp) dans le champ Linéature ou choisissez une option dans le menu
déroulant Linéature.
5 La liste située dans la partie inférieure de la rubrique Couleur répertorie les
films utilisés dans la mise en page, ainsi que les paramètres par défaut suivants : Demi-teintes, Linéature, Angle et Fonction. En règle générale, ces
paramètres par défaut produisent des résultats satisfaisants. Toutefois, il est
parfois nécessaire de les adapter. Un tiret figurant dans une colonne indique
que l’élément désigné n’est pas modifiable.
• Cliquez sur une coche de la colonne Imprimer pour la désactiver et annuler
ainsi l’impression du film correspondant, ou sélectionnez le film et choisissez
l’option Non dans le menu déroulant de la colonne Imprimer.
• La colonne Film répertorie les couleurs d’accompagnement et les encres primaires du document lorsque vous sélectionnez l’option Séparations dans le
menu déroulant Mode. Le menu déroulant Réglage dans la partie supérieure
de la rubrique Couleur définit les films de mise en page répertoriés.
• Le menu déroulant Demi-teintes permet d’attribuer un nouvel angle de trame
à une couleur d’accompagnement. Les valeurs de trame par défaut des couleurs d’accompagnement sont définies dans le menu déroulant Demi-teintes
de la boîte de dialogue Définition de couleur (Édition > Couleurs > Créer).
• La colonne Linéature affiche la valeur de la linéature de la trame lignée.
Exprimée en lignes par pouce (lpp), cette valeur s’applique à chaque film de
couleur. Pour attribuer à un film une valeur différente de la valeur par défaut,
choisissez l’option Autre dans le menu déroulant Linéature. La boîte de
dialogue Linéature/Autre s’affiche alors.
CHAPITRE 9 : SORTIE
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205
IMPRESSION DES MISES EN PAGE
• La colonne Angle indique l’angle de trame de chaque film de couleur. Pour
attribuer une valeur différente de la valeur par défaut, choisissez l’option
Autre dans le menu déroulant Angle. La boîte de dialogue Angle/Autre
s’affiche alors.
• Pour définir des formes de point différentes dans les trames imprimées,
choisissez une option dans le menu déroulant de la colonne Fonction.
IMPRESSION DE COMPOSITES EN COULEUR
Pour imprimer une sortie en composites couleurs (par opposition aux
séparations des couleurs) :
1 Affichez la rubrique Couleur de la boîte de dialogue Imprimer (menu Fichier).
2 Choisissez Composite dans la liste déroulante Mode.
3 Choisissez une option dans la liste déroulante Réglage :
• Niveaux de gris
• Composite CMJN
• Composite RVB
• Composite CMJN et accompagnement (permet d’imprimer en PostScript
composite vers un périphérique prenant en charge les séparations In-RIP)
• Telle quelle (désigne des éléments colorés utilisant leur espace colorimétrique
source lors de la sortie vers un périphérique couleur composite PostScript)
***
Le menu déroulant Réglage contient également tous les paramètres de sortie
relatifs aux séparations répertoriés dans la boîte de dialogue Paramétrages
sortie par défaut (Édition > Paramétrages sortie).
4 Choisissez l’option Conventionnel ou Imprimante dans le menu déroulant
Demi-teintes. L’option Conventionnel s’appuie sur les valeurs de la trame
de simili calculées par QuarkXPress. L’option Imprimante s’appuie sur les
valeurs de la trame de simili effectives sur l’imprimante sélectionnée ; dans
ce cas, QuarkXPress n’envoie pas d’informations de tramage.
5 Pour définir une linéature différente, entrez une valeur en lignes par pouce
(lpp) dans le champ Linéature ou choisissez une option dans le menu
déroulant Linéature.
206
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CHAPITRE 9 : SORTIE
EXPORTATION DES MISES EN PAGE
EXPORTATION DES MISES EN PAGE
Vous pouvez produire des fichiers dans les formats ci-après à l’aide des commandes Exporter, Imprimer et autres :
• PostScript (PS)
• Encapsulated PostScript (EPS)
• Portable Document Format (PDF), avec ou sans vérification PDF/X
• HyperText Markup Language (HTML)
• Extensible HyperText Markup Language (XHTML)
• Extensible Markup Language (XML)
• Extensible Stylesheet Language (XSL)
• Extensible Stylesheet Language Translator (XSLT)
Pour accéder aux options d’exportation, choisissez Fichier > Exporter ou
cliquez sur le bouton Exporter .
Le type de la mise en page active détermine vos options d’exportation
QuarkXPress. Par exemple, lorsqu’une mise en page papier est affichée,
la commande d’exportation d’une mise en page Web au format HTML
(Fichier > Exporter > HTML) n’est pas disponible.
EXPORTATION D’UNE MISE EN PAGE AU FORMAT EPS
Lorsque vous exportez une page d’une mise en page sous forme de fichier
Encapsulated PostScript (EPS), vous pouvez spécifier un nom de fichier et un
emplacement, et définir plusieurs paramètres d’exportation EPS (par l’intermédiaire de contrôles personnalisés ou d’un style de sortie EPS). Pour utiliser
les contrôles d’exportation EPS de base :
1 Choisissez Fichier > Exporter > Page en EPS. La boîte de dialogue
correspondante apparaît.
2 Entrez une série de pages dans le champ Page.
3 Pour utiliser un style de sortie existant, choisissez une option dans le menu
déroulant Style EPS.
4 Pour modifier des paramètres de sortie, cliquez sur Options. Utilisez les
rubriques de la boîte de dialogue qui s’affiche pour contrôler le format du
fichier exporté.
• Pour utiliser un style de sortie EPS, choisissez une option dans le menu
déroulant Style EPS. Pour créer un style de sortie EPS utilisant les réglages
courants, choisissez Nouveau style sortie EPS.
• Pour spécifier un format pour le fichier EPS, choisissez une option dans le
menu déroulant Format.
CHAPITRE 9 : SORTIE
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207
EXPORTATION DES MISES EN PAGE
• Utilisez la rubrique Générales pour spécifier l’échelle du fichier EPS, le format
de la prévisualisation, si les zones blanches de la page doivent être considérées
comme transparentes ou opaques, et si le fichier EPS doit être généré sous
forme de planche.
• Utilisez la rubrique Couleur pour choisir un paramétrage de sortie pour le
fichier EPS et sélectionner les films à inclure dans la sortie.
• Utilisez la rubrique Polices pour spécifier les polices incorporées dans le fichier
EPS exporté.
• Utilisez la rubrique Marques pour spécifier le positionnement, la largeur et
la longueur des hirondelles dans le fichier EPS.
• Utilisez la rubrique Fond perdu pour désigner un type de fond perdu
symétrique ou asymétrique, et définir la distance de fond perdu autour
du fichier EPS.
• Utilisez la rubrique Transparence pour activer ou désactiver la transparence,
et contrôler la résolution des éléments aplatis dans le fichier EPS.
• Utilisez la rubrique OPI pour spécifier des options d’inclusion des images
d’origine haute résolution dans le fichier EPS, et pour contrôler les options
TIFF et EPS séparément.
• Utilisez la rubrique JDF pour indiquer si un fichier JDF (Job Definition Format)
doit être créé en même temps que le fichier EPS. Ceci peut être utile si vous
utilisez des dossiers de fabrication dans un flux de production JDF.
• Utilisez la rubrique Avancé pour choisir si le fichier EPS est conforme à la
norme PostScript niveau 2 ou PostScript niveau 3.
5 Cliquez sur OK. (Pour enregistrer les paramètres actuels sans créer de fichier
EPS, cliquez sur Saisir réglages.)
6 Cliquez sur Enregistrer.
EXPORTATION D’UNE MISE EN PAGE AU FORMAT PDF
Pour exporter la mise en page active au format PDF :
1 Choisissez Fichier > Exporter > Mise en page en PDF. La boîte de dialogue
Exporter au format PDF apparaît.
2 Entrez une série de pages dans le champ Pages.
3 Pour utiliser un style de sortie existant, choisissez une option dans le menu
déroulant Style PDF.
4 Pour modifier des paramètres de sortie, cliquez sur Options. Utilisez les
rubriques de la boîte de dialogue qui s’affiche pour contrôler le format du
fichier exporté.
208
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CHAPITRE 9 : SORTIE
EXPORTATION DES MISES EN PAGE
• Pour utiliser un style de sortie PDF, choisissez une option dans le menu
déroulant Style PDF. Pour créer un style de sortie PDF utilisant les réglages
courants, choisissez Nouveau style sortie PDF.
• Pour utiliser la vérification PDF/X, choisissez une option dans le menu
déroulant Vérification. Les options disponibles comprennent PDF/X 1a et
PDF/X 3. Notez que la vérification PDF/X 1a autorise uniquement les couleurs CMJN et d’accompagnement, tandis que la vérification PDF/X 3 vous
permet d’inclure des couleurs et images recourant à d’autres espaces colorimétriques, ainsi que des profils de couleurs ICC (définis dans les paramétrages
source et de sortie pour la gestion des couleurs).
• Utilisez la rubrique Couleur pour spécifier la création d’une sortie composite
ou de séparations, choisir un paramétrage de sortie pour le fichier PDF, et
sélectionner les films à inclure dans la sortie.
• Utilisez la rubrique Compression afin de spécifier des options de compression
pour différents types d’images dans le fichier PDF.
• Utilisez la rubrique Pages pour spécifier éventuellement l’exportation de
planches, l’exportation de chaque page comme fichier PDF distinct, l’inclusion
des pages blanches et l’incorporation d’une vignette du fichier PDF.
• Utilisez la rubrique Marques pour spécifier le positionnement, la largeur et
la longueur des hirondelles dans le fichier PDF.
• Utilisez la rubrique Hyperlien pour spécifier la manière dont les liens et listes
de la mise en page sont exportés et dont les hyperliens doivent apparaître dans
le PDF. Vous pouvez également utiliser cette rubrique pour définir le zoom par
défaut du fichier PDF.
• Utilisez la rubrique Métadonnées pour fournir les détails s’affichant dans la
rubrique Description de la boîte de dialogue Propriétés du document dans
Adobe Acrobat Reader.
• Utilisez la rubrique Polices pour spécifier les polices incorporées dans le
fichier PDF exporté.
• Utilisez la rubrique Fond perdu pour spécifier le mode de gestion des fonds
perdus dans le fichier PDF.
• Utilisez la rubrique Calques pour spécifier les calques à inclure dans le
fichier PDF.
• Utilisez la rubrique Transparence pour activer ou désactiver la transparence,
et contrôler la résolution des éléments aplatis dans le fichier PDF.
• Utilisez la rubrique OPI pour spécifier des options d’inclusion des images
d’origine haute résolution dans le fichier PDF (non disponible lorsque vous
choisissez PDF/X 1a ou PDF/X 3 dans le menu déroulant Vérification).
CHAPITRE 9 : SORTIE
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209
EXPORTATION DES MISES EN PAGE
• Utilisez la rubrique JDF pour indiquer si un fichier JDF (Job Definition Format)
doit être créé en même temps que le fichier PDF. Ceci peut être utile si vous
utilisez des dossiers de fabrication dans un flux de production JDF.
• Utilisez la rubrique Résumé pour afficher un récapitulatif des options
d’exportation PDF sélectionnées.
5 Cliquez sur OK. (Pour enregistrer les paramètres actuels sans créer de fichier
PDF, cliquez sur Saisir réglages.)
6 Cliquez sur Enregistrer.
***
Si vous utilisez un programme de distillation tiers et que vous souhaitez
créer un fichier PostScript, modifiez vos paramètres dans le volet PDF de
la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition). Pour plus
d’informations, reportez-vous à Préférences — Application — PDF.
CRÉATION D’UN FICHIER POSTSCRIPT
Pour créer un fichier PostScript à partir d’une mise en page, affichez la
rubrique PDF de la boîte de dialogue Préférences (QuarkXPress/Édition >
Préférences) et cochez la case Créer un fichier PostScript pour distillation
ultérieure. Lorsque vous choisissez Fichier > Exporter > Mise en page en
PDF, QuarkXPress génère un fichier PostScript avec le nom et l’emplacement
que vous avez définis au lieu de créer un fichier PDF.
UTILISATION DE LA FONCTION RASSEMBLER LES INFORMATIONS POUR
LA SORTIE
Pour utiliser la fonction Rassembler les informations pour la sortie :
1 Affichez la rubrique Polices de la boîte de dialogue Usage (menu Utilitaires)
afin de confirmer que toutes les polices sont disponibles. Vérifiez ensuite dans la
rubrique Images de la boîte de dialogue Usage que toutes les images importées
sont reliées au document et dotées de l’état OK.
2 Choisissez Fichier > Rassembler les informations pour la sortie. La boîte
de dialogue Rassembler les informations pour la sortie s’affiche.
3 Affichez la rubrique Rassembler les informations pour la sortie. Lorsque
vous utilisez cette fonction, un rapport est généré automatiquement. Pour
générer ce rapport uniquement, cochez la case Rapport seulement dans la
rubrique Rassembler les informations pour la sortie. Si vous ne cochez pas
cette case, vous pouvez activer l’une des cases suivantes au moins :
• L’option Mise en page permet de copier le fichier du projet dans le dossier
cible défini.
210
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CHAPITRE 9 : SORTIE
UTILISATION DE LA FONCTION RASSEMBLER LES INFORMATIONS POUR LA SORTIE
• L’option Images reliées permet de copier les fichiers images importés devant
rester reliés au document pour une sortie haute résolution. Lorsqu’il rassemble
des images avec un document, QuarkXPress met à jour leur chemin d’accès
afin de refléter leur nouvel emplacement dans le sous-dossier « Images » du
dossier cible.
• L’option Profils couleurs permet de copier tous les profils ICC (International
Color Consortium) associés au document ou aux images importées.
• Mac OS uniquement : l’option Polices écran permet de copier toutes les polices
écran nécessaires à l’affichage du document.
• Mac OS uniquement : l’option Polices imprimante permet de copier toutes
les polices d’imprimante nécessaires à l’impression du document.
• Windows uniquement : l’option Polices permet de copier toutes les polices
nécessaires à l’impression du document.
***
Les polices TrueType fonctionnent sous Mac OS comme polices d’écran et
d’imprimante. Si un document n’est basé que sur des polices TrueType,
QuarkXPress les rassemble lorsque vous cochez Polices écran ou Polices
imprimante. Si un document est basé sur une combinaison de polices
TrueType et Type 1 ou sur des polices Type 1 uniquement, cochez Polices
écran et Polices imprimante pour assurer le rassemblement complet des
polices Type 1.
4 Dans la rubrique Vista, cochez Rendre les altérations d’image pour appliquer des effets aux images avant l’opération de rassemblement. Si cette case
n’est pas cochée, les images sont rassemblées sous leur forme d’origine, sans
application d’effets d’image.
5 Cliquez sur Enregistrer.
***
Lorsque vous choisissez de rassembler les polices, QuarkXPress collecte
également les polices au sein des fichiers EPS importés, si celles-ci sont
actives sur l’ordinateur.
UTILISATION DES STYLES DE SORTIE
Les styles de sortie vous permettent de capturer les paramètres de sortie dans
les formats papier, PDF et EPS. Vous pouvez utiliser des styles de sortie lors
de l’utilisation des commandes Fichier > Imprimer, Fichier > Exporter >
Mise en page en EPS et Fichier > Mise en page > Exporter au format PDF.
QuarkXPress comprend des paramètres par défaut pour toutes les options de
sortie, ce qui peut vous servir de base de personnalisation selon vos besoins.
Vous pouvez aussi créer des styles de sortie de toutes pièces.
CHAPITRE 9 : SORTIE
|
211
UTILISATION DES STYLES DE SORTIE
Pour créer un style de sortie :
1 Choisissez Édition > Styles de sortie. La boîte de dialogue Styles
sortie apparaît.
Utilisez la boîte de dialogue Styles sortie pour créer, importer, exporter, modifier
et supprimer des groupes de paramètres pour la sortie papier, EPS et PDF.
2 Choisissez une option dans le menu déroulant Créer.
3 Renseignez le champ Nom pour le style en cours de création.
4 Définissez des paramètres dans les rubriques. Pour plus d’informations sur
les options EPS, reportez-vous à Exportation d’une mise en page au format
EPS. Pour plus d’informations sur les options PDF, reportez-vous à
Exportation d’une mise en page au format PDF.
5 Cliquez sur OK.
6 Cliquez sur Enregistrer.
UTILISATION DE LA DÉFONCE
La défonce tente de compenser le mauvais repérage de l’encre en élargissant
les zones de couleur claires pour qu’elles recouvrent légèrement les zones
de couleur plus foncées. QuarkXPress permet de défoncer les couleurs automatiquement en définissant des préférences par défaut au niveau de l’application ou spécifiques à des documents particuliers. Vous pouvez personnaliser
davantage les défonces en spécifiant des valeurs de défonce pour des couleurs
individuelles par rapport à d’autres couleurs et vous pouvez individualiser la
défonce d’éléments particuliers d’une mise en page.
PRÉSENTATION DE LA DÉFONCE
Dans QuarkXPress, la défonce se définit en termes de relations entre la couleur
d’un objet et une couleur de fond. La couleur de l’objet est la couleur appliquée
à un élément (texte ou bloc) situé devant une autre couleur. La couleur de
fond est la couleur appliquée à un élément (texte ou bloc) situé derrière la
212
|
CHAPITRE 9 : SORTIE
UTILISATION DE LA DÉFONCE
couleur de l’objet. Lorsque ces deux couleurs se touchent sur une page imprimée, la direction de la défonce est déterminée par la luminance relative
(luminosité ou tons clairs) des couleurs.
On distingue quatre méthodes de défonce d’une couleur d’objet contre une
couleur de fond :
• Surimpression : la couleur d’un objet s’imprime directement au-dessus de la
couleur de fond.
• Aucun débord : la couleur d’un objet découpe la couleur de fond selon sa
forme exacte.
• Dilatation : une couleur plus claire d’un objet s’étale légèrement de façon à
ce que la forme de l’objet chevauche la couleur de fond plus foncée.
• Contraction : la couleur plus foncée d’un objet se contracte légèrement, de façon
à ce que la forme de la couleur de fond plus claire chevauche la couleur de l’objet.
Dans QuarkXPress, on détermine les valeurs de défonce selon l’un de ces
trois états :
• La défonce par défaut est la première méthode utilisée par QuarkXPress pour
défoncer automatiquement des couleurs de teintes et de tons différents, en
se basant sur la luminance relative des couleurs d’objet et de fond. Utilisez le
volet Défonce de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition > Préférences) afin d’entrer des préférences de défonce par défaut pour
QuarkXPress et pour des mises en page individuelles QuarkXPress (défonce
spécifique aux mises en page).
• La défonce spécifique aux couleurs est une défonce définie pour une couleur d’objet par rapport à une couleur de fond. En utilisant les options de dilatation
Surimpression, Aucun débord, Quantité automatique (+), de contraction
Quantité automatique (–) ou une valeur de défonce personnalisée dans la
boîte de dialogue Spécifications de défonce (Édition > Défonce > Modifier
défonce), vous pouvez contrôler les rapports de défonce entre toutes les
couleurs dans la palette Couleurs (menu Fenêtre).
• La défonce spécifique aux éléments est définie pour tous les éléments à l’aide
de la palette Informations de défonce (menu Fenêtre).
***
Les préférences spécifiques aux documents supplantent les préférences par
défaut, les préférences spécifiques aux couleurs supplantent toutes les préférences par défaut et les préférences spécifiques aux éléments supplantent
toutes les autres préférences pour la défonce.
***
Si vous imprimez en composite (sans séparations) ou que vous imprimez sur
une imprimante laser, spécifier des valeurs de défonce n’aura aucune incidence
sur la sortie.
CHAPITRE 9 : SORTIE
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213
UTILISATION DE LA DÉFONCE
***
Plusieurs facteurs sont à considérer au moment de définir des valeurs de
défonce : à savoir la presse, le papier, le format des feuilles, les encres et la
linéature de trame (lpp) utilisés pour imprimer un document. Pour obtenir
les meilleurs résultats possibles, utilisez la méthode et les valeurs de défonce
conseillées par les professionnels.
DÉFONCE DES IMAGES EPS
Les paramètres de défonce (surimpressions et zones d’aucun débord) dans
des fichiers EPS importés sont conservés lorsque vous placez ces images
devant d’autres éléments QuarkXPress.
***
Les commandes qui permettent de créer des tracés surimprimés varient
d’une application à une autre. Reportez-vous à la documentation de l’application en question pour obtenir des instructions concernant la création de
tracés et de surimpressions.
CRÉATION ET UTILISATION DE LA COULEUR NOIR RICHE
Les imprimeurs et artistes graphiques font souvent appel à la couleur noir
riche pour créer un noir plus foncé et profond, et appliquer une coloration
uniforme et extrêmement sombre à de larges surfaces couvertes d’encre. Un
noir riche standard est composé de 100% de noir quadrichromique recouvrant
un pourcentage tramé de plusieurs couleurs quadrichromiques.
Puisque cette couleur est composée de plusieurs encres quadrichromiques, des
erreurs de repérage sur presse sont susceptibles de se produire. QuarkXPress
effectue donc la défonce différemment pour cette couleur. Si la couleur d’un
objet est dilatée sur un fond en noir riche, toutes les couleurs quadrichromiques,
sauf le noir quadrichromique, seront dilatées selon les valeurs saisies dans le
champ Quantité automatique (Édition > Préférences > rubrique Défonce).
En cas de contraction de la couleur d’objet noir riche par une couleur de fond,
toutes les couleurs quadrichromiques, sauf le noir, sont contractées. Ce procédé
de défonce particulier est utilisé pour empêcher l’apparition des couleurs
quadrichromiques de fond à travers l’objet en cas d’erreur de repérage.
214
|
***
QuarkXPress défonce la couleur Noir riche uniquement si le pourcentage de
noir quadrichromique entrant dans la composition de cette couleur est supérieur ou égal au pourcentage saisi dans le champ Limite de surimpression
(Édition > Préférences > panneau Défonce).
***
QuarkXPress défonce la couleur noir riche uniquement lorsque sa teinte est
de 100 %.
CHAPITRE 9 : SORTIE
PROBLÈMES D’APLANISSEMENT ET DE PRODUCTION
PROBLÈMES D’APLANISSEMENT ET DE PRODUCTION
Comme PostScript ne comprend pas la transparence, l’aplanissement est le
processus de simulation de la transparence par la modification des éléments
de page pour produire le concept prévu. Ce phénomène se produit pendant le
flux d’impression (lorsque les éléments sont transmis au moteur d’impression),
vos mises en page QuarkXPress ne sont donc jamais vraiment modifiées. Dans
QuarkXPress, l’aplanissement fonctionne comme suit.
Premièrement, les blocs sont décomposés, les éléments transparents, identifiés, et les relations entre les formes discrètes (contours de texte compris),
déconstruites. Les régions qui n’ont pas besoin d’être rastérisées sont remplies d’une nouvelle couleur créée en fusionnant les couleurs existantes.
(Les zones d’opacité Néant et 0 % n’ont pas besoin d’être aplanies sauf
quand elles sont utilisées pour les dégradés et les images.)
Les régions qui doivent être rastérisées génèrent des chemins de détourage.
(Les images semi-opaques, les ombres portées, les dégradés et éléments
semi-opaques qui chevauchent des éléments de page doivent être rastérisés.)
Les paramètres de la rubrique Transparence de la boîte de dialogue
Imprimer (menu Fichier) contrôlent la résolution de sortie des éléments
de page rastérisés à cause d’effets de transparence ou d’ombres portées. Pour
plus d’informations, reportez-vous à la rubrique Rubrique Transparence.
En général, lorsque vous travaillez avec des relations de transparence, la
défonce n’est pas nécessaire. Dans ce cas, les surimpressions d’éléments
opaques sont héritées par les chemins créés pendant la décomposition ; les
contractions et les dilatations pour les éléments transparents sont ignorées.
Tous les autres éléments créés par la décomposition sont paramétrés sur
Aucun débord et envoyés à l’aide de la défonce QuarkXPress pendant les
séparations basées hôte.
Tous les éléments de page transparents sont toujours aplanis pendant la
sortie PDF.
CHAPITRE 9 : SORTIE
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215
UTILISATION DU CONTENU PARTAGÉ
Chapitre 10 : Collaboration et
source unique
Vous pouvez utiliser la fonction de synchronisation afin de présenter la même
information pour la distribution sur plusieurs formats et différents canaux.
En plus de personnaliser des concepts en fonction du support, papier ou Web,
vous pouvez créer des projets contenant plusieurs tailles de mise en page. Mieux
encore, vous pouvez rationaliser votre travail en synchronisant automatiquement
le contenu entre des mises en page de types différents.
UTILISATION DU CONTENU PARTAGÉ
Si vous avez déjà travaillé sur un projet où le même contenu doit être conservé
à plusieurs emplacements, vous savez que cela implique un certain degré de
risque. Que se passe-t-il si la version imprimée d’un document est mise à jour,
mais non la version Web ? Pour résoudre ce problème, QuarkXPress comporte
la fonction contenu partagé. Cette fonction permet de lier un contenu utilisé à
différents emplacements dans un fichier de projet. Si une copie du contenu
change, les autres copies sont immédiatement et automatiquement mises à
jour pour refléter ces modifications.
Pour la plupart des éléments synchronisés, QuarkXPress tient à jour une version
principale dans une partie invisible du fichier de projet appelé bibliothèque de
contenu partagé. Lorsque vous modifiez un élément synchronisé dans une mise
en page, cette modification est écrite sur la version principale dans la bibliothèque de contenu partagé, puis QuarkXPress met automatiquement à jour
toutes les copies synchronisées de cet élément dans le projet afin de refléter le
changement. Ainsi, si vous mettez à jour l’élément A, l’élément B est automatiquement mis à jour via l’élément principal dans la bibliothèque de contenu
partagé. Lorsque vous mettez à jour l’élément B, l’élément A est actualisé de la
même manière.
La bibliothèque de contenu partagé peut contenir des images, blocs, traits, texte
formaté ou non, chaînes de blocs de texte, groupes et éléments Composition
Zones. Lorsque vous y ajoutez un objet, vous pouvez contrôler les aspects de
ce contenu ou de cet élément qui doivent être synchronisés (identiques dans
chaque instance) et ceux qui ne le doivent pas.
216
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DU CONTENU PARTAGÉ
La bibliothèque de contenu partagé contient du texte, des images, des lignes,
des éléments Composition Zones, ainsi que des éléments pouvant être utilisés
dans différentes mises en page d’un projet. Lorsque vous modifiez une occurrence
d’une entrée de la bibliothèque de contenu partagé dans une mise en page,
toutes les occurrences dans toutes les mises en page sont automatiquement
mises à jour car elles sont toutes liées à la version principale.
Le contenu de cette bibliothèque est affiché dans la palette Contenu partagé.
À partir de celle-ci, vous pouvez dupliquer et synchroniser ce contenu dans
différentes mises en page, comme illustré ci-dessous.
La palette Contenu partagé permet d’accéder aux éléments de la bibliothèque de
contenu partagé. Ici, Mise en page papier 1 utilise Bloc d’image d’article principal
et l’image qu’il contient, mais Mise en page Web 1 n’utilise que l’image (dans un
bloc d’image plus grand). Si l’image change dans une des mises en page, les
deux mises en page sont automatiquement mises à jour.
***
Pour en savoir plus sur l’inclusion de différents types de mises en page dans
un projet unique, reportez-vous à Projets et mises en page.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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217
UTILISATION DU CONTENU PARTAGÉ
PARTAGE ET SYNCHRONISATION DE CONTENU
Pour partager et synchroniser des blocs, lignes, groupes et contenu :
1 Affichez la palette Contenu partagé (menu Fenêtre).
2 Sélectionnez les éléments à synchroniser.
3 Cliquez sur Ajouter un élément
dans la palette Contenu partagé. Si un
élément est sélectionné, la boîte de dialogue Propriétés élément partagé
s’affiche. Si plusieurs objets sont sélectionnés, la boîte de dialogue Partager
plusieurs éléments s’affiche.
Utilisez la boîte de dialogue Propriétés élément partagé pour partager et
synchroniser des éléments individuels.
Utilisez la boîte de dialogue Partager plusieurs éléments pour partager et
synchroniser plusieurs éléments.
***
Seuls les attributs des lignes partagées peuvent être synchronisés.
4 Pour partager les caractéristiques d’un élément sélectionné, cochez la case
Synchroniser les attributs de bloc correspondante.
5 Pour partager le texte ou l’image d’un élément sélectionné, cochez la case
Synchroniser le contenu de ce bloc. Pour partager le texte ou l’image et son
formatage, cliquez sur ou choisissez Contenu et attributs. Pour ne partager que le
texte ou l’image, cliquez sur ou choisissez Contenu uniquement. Reportez-vous
à Présentation des options de synchronisation pour obtenir la description des
options de bloc et de contenu.
6 Cliquez sur OK pour ajouter les éléments sélectionnés à la palette
Contenu partagé.
218
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DU CONTENU PARTAGÉ
La palette Contenu partagé permet d’accéder aux éléments et au contenu de la
bibliothèque de contenu partagé.
FONCTIONNEMENT DES OPTIONS DE SYNCHRONISATION
Lorsque vous ajoutez des éléments et du contenu dans la palette Contenu
partagé, vous pouvez choisir diverses options de synchronisation dans la boîte
de dialogue Propriétés élément partagé.
• Pour synchroniser le contenu du bloc de texte, chemin de texte ou bloc d’image
sélectionné sans synchroniser le bloc ou le chemin lui-même, désactivez la case
Synchroniser attribut bloc et cochez Synchroniser le contenu. Vous devez
faire glisser le texte synchronisé de cette manière dans un bloc ou sur un chemin
de texte, et les images dans un bloc d’image.
• Vous pouvez synchroniser le texte ou l’image et ses attributs de contenu
(comme le formatage pour le texte et la mise à l’échelle, la rotation et les effets
pour les images) en cliquant sur ou en choisissant Contenu et attributs.
• Vous pouvez synchroniser le texte ou l’image tout en autorisant les modifications
d’attributs de contenu uniques en cliquant sur Contenu uniquement. Dans
ce cas, le texte ou l’image peuvent être formatés différemment dans diverses
parties du projet. Mais si vous remplacez le texte ou mettez à jour l’image à
un endroit, cette modification s’applique partout.
• Pour synchroniser un bloc de texte, un chemin de texte ou un bloc d’image et ses
attributs sans synchroniser son contenu, cochez la case Synchroniser attribut
bloc et désactivez Synchroniser le contenu. Par exemple, vous effectuez cette
opération avec un bloc de texte ou d’image, puis déplacez deux copies du bloc
avec la souris. Si vous redimensionnez ensuite un des blocs et lui ajoutez un
cadre, l’autre bloc est automatiquement redimensionné et acquiert le même
cadre. Vous pouvez cependant importer un contenu différent dans chaque bloc.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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219
UTILISATION DU CONTENU PARTAGÉ
Pour synchroniser des attributs d’élément, du contenu et des attributs de contenu, cochez les cases Synchroniser attribut bloc et Synchroniser le contenu,
puis cliquez sur Contenu et attributs. Si vous synchronisez deux blocs de
cette manière, toute modification apportée à l’un d’eux est automatiquement
appliquée à l’autre, y compris les changements de taille du bloc, de contenu
et de formatage.
SYNCHRONISATION DE CONTENU VERROUILLÉ
Les paramètres du sous-menu Verrouillages (menu Bloc) sont tenus à jour pour
les éléments synchronisés (Emplacement verrouillage, Taille verrouillage,
Supprimer verrouillage et Paramètres de modification verrouillage). Si vous
déverrouillez la position ou le contenu d’un élément synchronisé, toutes les
instances sont déverrouillées.
PLACEMENT D’UN ÉLÉMENT SYNCHRONISÉ
Pour placer un élément ou un groupe synchronisé :
1 Sélectionnez une entrée cible dans la palette Contenu partagé.
2 Faites glisser l’entrée de la palette Contenu partagé sur la page.
PLACEMENT DE CONTENU SYNCHRONISÉ
Pour placer un contenu synchronisé :
1 Sélectionnez un bloc de texte, un chemin de texte ou un bloc d’image.
2 Sélectionnez l’entrée de contenu de texte ou d’image dans la palette Contenu
partagé et cliquez sur Insérer. Notez la manière dont les poignées de redimensionnement de l’élément se transforment en symboles de synchronisation. Vous
pouvez également faire glisser l’entrée de texte ou d’image de la palette Contenu
partagé vers un bloc de texte, un chemin de texte ou un bloc d’image actif.
Vous pouvez également faire glisser l’entrée de texte ou d’image de la
palette Contenu partagé vers un bloc de texte, un chemin de texte ou un
bloc d’image actif.
IMPORTATION DE CONTENU DANS LA BIBLIOTHÈQUE DE
CONTENU PARTAGÉ
En plus d’importer du texte ou des images dans des blocs de texte ou d’image,
vous pouvez utiliser deux méthodes pour importer un contenu directement
dans la palette Contenu partagé.
220
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DU CONTENU PARTAGÉ
Pour importer un contenu à l’aide de la boîte de dialogue
Paramétrage collaboration :
1 Avec un projet actif, choisissez Fichier > Paramétrage collaboration. Le
contenu partagé s’affiche dans la rubrique Contenu de la boîte de dialogue
Paramétrage collaboration et dans la palette Contenu partagé.
Rubrique Contenu de la boîte de dialogue Paramétrage collaboration
2 Cliquez sur Importer texte pour afficher la boîte de dialogue correspondante.
Sélectionnez un fichier et cliquez sur Ouvrir. Utilisez les contrôles de la boîte
de dialogue Propriétés élément partagé pour indiquer le mode de partage du
contenu et des attributs.
3 Cliquez sur Importer image pour afficher la boîte de dialogue correspondante.
Sélectionnez un fichier image et cliquez sur Ouvrir. Utilisez les contrôles de
la boîte de dialogue Propriétés élément partagé pour indiquer le mode de
partage du contenu et des attributs.
Vous pouvez également importer du contenu à l’aide du bouton Importer de
la palette Contenu partagé. Toutefois, ce bouton n’est disponible que si vous
sélectionnez une icône de contenu texte
ou de contenu image
dans la
palette Contenu partagé. Notez que le texte importé de cette manière est
imbriqué dans le fichier du projet ; aucun lien n’est conservé avec le fichier texte
source. Les images importées de cette manière, en revanche, peuvent être
affichées et mises à jour dans la rubrique Images de la boîte de dialogue Usage.
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
Les rubriques ci-après décrivent comment les éléments Composition Zones peuvent rationaliser des flux de production existants en permettant aux membres
d’une équipe de travailler simultanément sur un même projet QuarkXPress.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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221
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
PRÉSENTATION DE COMPOSITION ZONES
Un élément Composition Zones est une mise en page ou une zone définie par
l’utilisateur dans une mise en page qui peut être partagée avec d’autres utilisateurs
de QuarkXPress.
***
Pour utiliser des éléments Composition Zones dans QuarkXPress, le logiciel
XTensions Composition Zones doit être chargé.
Imaginez un maquettiste chargé des fichiers de projet QuarkXPress pour un
magazine. Il peut utiliser la fonction Composition Zones pour partager du
contenu avec des rédacteurs, réviseurs, graphistes et collaborateurs distants
qui utilisent également QuarkXPress.
Avec QuarkXPress, le maquettiste peut extraire la zone du projet réservée à une
publicité à l’aide de l’outil Composition Zones, puis exporter cet élément
Composition Zones comme fichier distinct. Le fichier ainsi créé inclut les spécifications correctes et cette approche fait gagner du temps au créateur distant qui
reçoit le fichier. Ce dernier travaille dans QuarkXPress pour ajouter le contenu,
puis renvoie le fichier, avec les images et polices nécessaires, au maquettiste.
Le maquettiste place alors le fichier mis à jour dans le dossier approprié et la
mise en page est automatiquement actualisée pour faire apparaître la publicité.
Comme les éléments Composition Zones fonctionnent comme les mises en
page QuarkXPress, le maquettiste peut ouvrir le fichier pour le modifier.
Entretemps, le maquettiste peut définir un autre élément Composition Zones
pour un article sur la même page que la publicité. Il dessine trois blocs : un pour
la manchette, un pour le corps de l’article et un pour une image. En utilisant
la touche Maj pour sélectionner les trois blocs, le maquettiste crée un nouveau
fichier Composition Zones à partir des trois blocs, exporte ce fichier, puis
indique au rédacteur que le fichier est disponible dans le dossier réseau partagé
du personnel. Au fur et à mesure que le rédacteur travaille sur le fichier et
enregistre chaque version mise à jour, les changements apparaissent dans le
projet du maquettiste. Comme la publicité, l’article peut aussi être modifié
ultérieurement dans le projet.
222
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
En haut : le maquettiste principal exporte des parties d’un projet comme éléments
Composition Zones, puis envoie un fichier par courriel à un concepteur publicitaire
distant et place un autre fichier sur un serveur de réseau local. Au milieu : le
maquettiste principal, le journaliste et le concepteur publicitaire travaillent tous
sur leur partie de la page simultanément. En bas : le concepteur publicitaire envoie
la publicité achevée au maquettiste principal par courriel, la page se met à jour
automatiquement. La mise en page est terminée.
Le scénario ci-dessus présente les principaux usages de la fonction Composition
Zones, mais celle-ci peut également répondre à d’autres problèmes de flux de
production collaboratifs. Par exemple, les éléments Composition Zones peuvent
être limités au projet dans lequel ils sont définis, et ce pour diverses raisons. Peutêtre le maquettiste souhaite-t-il utiliser une publicité à plusieurs emplacements
du projet et la publicité peut inclure plusieurs blocs de texte et d’image. Vous
ne pouvez pas utiliser la palette Contenu partagé pour synchroniser un groupe
d’éléments, mais si le maquettiste crée un élément Composition Zones basé sur
une sélection de plusieurs éléments, cet élément Composition Zones est synchronisé et disponible pour utilisation dans tout le projet. Le maquettiste peut
désigner une mise en page pour le magazine imprimé et une autre mise en page
du même projet pour une page Web incluant la publicité. Le maquettiste peut
restreindre l’usage de cet élément Composition Zones à ce seul projet, mais la
publicité peut être identique sur le papier et sur le Web.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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223
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
TERMINOLOGIE COMPOSITION ZONES
Les éléments Composition Zones sont uniques car ils sont dotées des caractéristiques des éléments lorsque vous les placez dans une mise en page, mais ils
se comportent comme des mises en page lorsque vous modifiez leur contenu.
• Élément Composition Zones : élément présentant le contenu d’une mise en page
existant ailleurs. Vous pouvez vous représenter un élément Composition Zones
comme une fenêtre à travers laquelle vous pouvez voir le contenu d’une autre
mise en page. La mise en page affichée dans un élément Composition Zones
est appelée sa mise en page de composition (voir la définition suivante). Chaque
élément Composition Zones obtient son contenu d’une (et d’une seule) mise
en page de composition.
• Mise en page de composition : type particulier de mise en page utilisé uniquement
pour fournir le contenu d’un élément Composition Zones. Vous pouvez vous
représenter une mise en page de composition comme la mise en page visible par
la fenêtre d’un élément Composition Zones. Plusieurs éléments Composition
Zones synchronisés peuvent afficher le contenu d’une seule mise en page de
composition. Cependant, une mise en page de composition peut être modifiée
par une seule personne à la fois.
Lorsque vous créez un élément Composition Zones, QuarkXPress crée
automatiquement une mise en page de composition pour fournir le contenu
de celui-ci.
Lorsque vous ajoutez un contenu à une mise en page de composition, il met
automatiquement à jour tous les éléments Composition Zones correspondants.
Les mises à jour apparaissent dans les éléments Composition Zones en fonction
des préférences définies pour les mises en page contenant ces éléments
(immédiatement, au moment de l’impression ou lors de l’ouverture du projet).
224
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
• Élément Composition Zones d’origine : mise en page initiale ou zone définie par
l’utilisateur à partir de laquelle un élément Composition Zones a été créé.
• Élément Composition Zones placé : élément Composition Zones que vous avez
positionné dans une mise en page à l’aide de la palette Contenu partagé.
Les mises en page de composition sont répertoriées dans la palette Contenu
partagé. Vous pouvez utiliser celle-ci pour placer des mises en page de composition
dans plusieurs mises en page, dans le même projet ou dans d’autres.
• Mise en page hôte d’origine : mise en page dans laquelle un élément Composition
Zones a été créé.
• Mise en page hôte : mise en page dans laquelle un élément Composition Zones
a été placé.
• Mise en page de composition externe : mise en page de composition exportée
comme projet QuarkXPress distinct. Un autre utilisateur peut modifier une
mise en page de composition externe, et ses changements sont reportés dans
toutes les mises en page hôtes.
Lorsque vous exportez une mise en page de composition, un autre utilisateur
peut la modifier. Ses modifications peuvent être affichées automatiquement dans
toutes les mises en page hôtes contenant des éléments Composition Zones
basés sur la mise en page de composition externe.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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225
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
• Mise en page de composition pouvant être liée : lorsque vous définissez une mise en
page de composition pouvant être liée dans votre projet, d’autres utilisateurs
de QuarkXPress peuvent créer un lien vers votre projet et se servir de cette mise
en page de composition pour placer des éléments Composition Zones dans leurs
mises en page. Cependant, les modifications apportées à une mise en page de
composition pouvant être liée ne peuvent être réalisées que dans cette mise en
page même (par vous ou par d’autres utilisateurs accédant à votre mise en page
hôte d’origine). Les mises en page de composition pouvant être liées apparaissent
dans la rubrique Mises en page partagées de la boîte de dialogue Paramétrage
collaboration (menu Fichier).
• Mise en page de composition de projet unique : mise en page de composition
pouvant être placée et modifiée uniquement dans le projet où elle a été créée.
• Mise en page de composition liée : mise en page de composition à laquelle vous
accédez en créant un lien avec un projet contenant une mise en page de composition pouvant être liée. Les mises en page de composition liées apparaissent
dans la palette Contenu partagé et dans la rubrique Mises en page liées de
la boîte de dialogue Paramétrage collaboration (menu Fichier). Vous pouvez
faire glisser des mises en page de composition liées de la palette Contenu partagé
sur votre mise en page pour placer des éléments Composition Zones.
• Bibliothèque de contenu partagé : reportez-vous à Utilisation du contenu partagé.
En haut à droite : un élément Composition Zones s’affiche comme élément dans
les mises en page hôtes. En bas à droite : lorsque vous modifiez le contenu d’un
élément Composition Zones, vous devez ouvrir la mise en page de composition.
Gauche : la palette Contenu partagé répertorie les éléments Composition Zones.
226
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
CRÉATION D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES
Trois méthodes permettent de créer un élément Composition Zones (et sa mise
en page de composition correspondante) :
• vous pouvez sélectionner plusieurs objets et choisir Bloc >
Composition Zones > Créer.
• Vous pouvez désigner une mise en page complète comme élément
Composition Zones.
• Vous pouvez sélectionner l’outil Composition Zones et délimiter manuellement
l’espace de votre élément Composition Zones.
Les rubriques ci-après présentent les trois méthodes de création d’un élément
Composition Zones, pour usage exclusif dans un projet (c’est-à-dire une mise
en page de composition de projet unique).
CRÉATION D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES À PARTIR D’UNE
SÉLECTION DE PLUSIEURS ÉLÉMENTS
Pour créer un élément Composition Zones basé sur une sélection de
plusieurs éléments :
1 Sélectionnez l’outil Déplacement
ou un outil Modification, appuyez sur
la touche Maj et sélectionnez plusieurs éléments.
2 Choisissez Bloc > Composition Zones > Créer. Un bloc de la dimension des
limites du groupe remplace ce dernier.
3 Pour terminer la création de l’élément Composition Zones, choisissez Bloc >
Partager ou affichez la palette Contenu partagé (menu Fenêtre) et cliquez
sur Ajouter un élément. Dans les deux cas, la boîte de dialogue Propriétés
élément partagé apparaît.
Utilisez la boîte de dialogue Propriétés élément partagé pour nommer votre
mise en page de composition et indiquer sa disponibilité.
4 Entrez le nom de la mise en page de composition dans le champ Nom.
5 Choisissez Ce projet uniquement dans le menu déroulant Disponibilité.
6 Cochez la case Afficher onglet dans fenêtre projet pour permettre l’accès à
la mise en page de composition à partir de l’onglet de mise en page au bas de
la fenêtre de projet.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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227
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
7 Cliquez sur OK pour enregistrer la mise en page de composition.
***
Si la position d’un élément sélectionné au moins est verrouillée (Bloc >
Verrouiller > Position), vous ne pouvez pas créer d’élément Composition Zones.
CRÉATION D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES À PARTIR D’UNE
MISE EN PAGE
Pour créer un élément Composition Zones basé sur une mise en page complète,
procédez comme suit :
1 Affichez la mise en page que vous souhaitez désigner comme élément
Composition Zones (par exemple, Mise en page 1).
2 Choisissez Mise en page > Propriétés mise en page avancées.
3 Cochez la case Partager la mise en page.
Utilisez la boîte de dialogue Propriétés mise en page avancées pour spécifier
le partage pour une mise en page de composition basée sur une mise en
page complète.
4 Choisissez Ce projet uniquement dans le menu déroulant Disponibilité.
5 Cochez la case Afficher onglet dans fenêtre projet pour afficher la mise en
page de composition afin d’en faciliter l’accès à partir de l’onglet de mise en
page situé en bas de la fenêtre de projet. Si vous désactivez la case à cocher
Afficher onglet dans fenêtre projet, vous pouvez accéder à la mise en page de
composition en sélectionnant l’élément Composition Zones et en choisissant
Bloc > Composition Zones > Modifier.
6 Cliquez sur OK. La mise en page de composition apparaît dans la palette
Contenu partagé.
***
228
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Une mise en page de composition peut contenir plusieurs pages. Vous pouvez
utiliser le menu Page ou la palette Disposition de page pour ajouter, supprimer
ou déplacer des pages.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
CRÉATION D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES AVEC L’OUTIL
COMPOSITION ZONES
Pour définir manuellement un élément Composition Zones :
1 Sélectionnez l’outil Composition Zones dans la palette Outils.
2 Faites glisser la souris pour tracer l’élément Composition Zones.
3 Pour terminer la création de l’élément Composition Zones, choisissez Bloc >
Partager ou affichez la palette Contenu partagé (menu Fenêtre) et cliquez
sur Ajouter un élément . Dans les deux cas, la boîte de dialogue Propriétés
élément partagé apparaît.
Utilisez la boîte de dialogue Propriétés élément partagé pour nommer votre
mise en page de composition, indiquer sa disponibilité et spécifier si un onglet
s’affiche en bas de la fenêtre de projet.
4 Entrez le nom de la mise en page de composition dans le champ Nom.
5 Choisissez Ce projet uniquement dans le menu déroulant Disponibilité.
6 Cliquez sur OK. La mise en page de composition apparaît dans la palette
Contenu partagé.
PLACEMENT D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES
Après avoir ajouté une mise en page de composition dans la palette Contenu
partagé, vous pouvez placer un élément Composition Zones basé sur celle-ci
sur une page. Pour placer un élément Composition Zones :
1 Affichez la palette Contenu partagé (menu Fenêtre).
La palette Contenu partagé répertorie les mises en page de composition ainsi
que tout autre contenu partagé.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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229
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
2 Sélectionnez la mise en page de composition à placer.
3 Faites glisser la zone de composition de la palette Contenu partagé à la mise
en page.
GESTION DE PLUSIEURS PAGES DANS UN ÉLÉMENT COMPOSITION
ZONES PLACÉ
Une mise en page de composition peut contenir plusieurs pages. Cependant,
un élément Composition Zones basé sur cette dernière ne peut présenter
qu’une seule page à la fois. Pour indiquer la page à afficher dans un élément
Composition Zones :
1 Sélectionnez l’élément Composition Zones.
2 Choisissez Bloc > Modifier, puis cliquez sur l’onglet Mise en page.
3 Choisissez une page dans le menu déroulant Page.
Utilisez le menu déroulant Page de la rubrique Mise en page de la boîte de
dialogue Modifier pour afficher une page spécifique d’une mise en page de
composition dans l’élément Composition Zones placé.
4 Cliquez sur OK.
MODIFICATION DES ATTRIBUTS D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES
Pour modifier les attributs d’un élément Composition Zones :
1 Sélectionnez un élément Composition Zones.
2 Choisissez Bloc > Modifier.
3 Utilisez la rubrique Bloc de la boîte de dialogue Modifier pour spécifier le
positionnement, la taille, l’alignement, la couleur, l’opacité et la possibilité
d’impression.
230
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
4 Utilisez les rubriques Cadre, Habillage et Ombre portée pour effectuer
d’autres ajustements structurels.
5 Utilisez la rubrique Mise en page pour naviguer entre les pages, supprimer ou
autoriser l’impression, et ajuster l’opacité de la mise en page.
SUIVI D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES POUR LES MISES
À JOUR
QuarkXPress effectue le suivi des éléments Composition Zones à l’aide des
mêmes méthodes employées pour le suivi des images importées (reportez-vous
à Liste, vérification de statut et mise à jour des images). En outre :
• Non lié indique que la disponibilité a été changée de Tous projets à Ce projet
uniquement dans la mise en page hôte d’origine.
• Indisponible indique que l’élément Composition Zones ne peut pas être mis à
jour, peut-être parce que son type Papier a été remplacé par Web ou Interactif.
CONVERSION D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES EN IMAGE
Pour créer un fichier image externe à partir d’un élément Composition Zones,
choisissez Bloc > Composition Zones > Convertir en image. Une image adaptée
au type de la mise en page dans laquelle l’élément Compositions Zones a été
créé apparaît.
Avant sa conversion en image, un élément Composition Zones s’affiche dans la
rubrique Composition Zones de la boîte de dialogue Usage (menu Utilitaires).
Mais lorsque vous choisissez Bloc > Composition Zones > Convertir en image,
une alerte indique que l’élément Composition Zones ne sera plus synchronisé.
L’image créée apparaît dans la rubrique Image de la boîte de dialogue Usage.
Cependant, la mise en page de composition reste dans la palette Contenu partagé.
DÉSYNCHRONISATION D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES
Lorsque vous désynchronisez un élément Composition Zones, sa mise en
page de composition reste disponible dans le projet. Pour désynchroniser un
élément Composition Zones :
1 Sélectionnez l’élément Composition Zones dans la fenêtre de mise en page.
2 Choisissez Bloc > Désynchroniser. La mise en page de composition demeure
dans la palette Contenu partagé et dans la rubrique Mises en page partagées de
la boîte de dialogue Paramétrage collaboration pour un usage ultérieur. Notez
que les modifications apportées par la suite aux éléments Composition Zones
désynchronisés dans la fenêtre de mise en page ne seront pas synchronisées.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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231
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
PARTAGE D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION
Vous pouvez spécifier le partage lorsque vous créez une mise en page de
composition et modifier ultérieurement les paramètres de partage. Les options
de partage comprennent :
• Partage synchronisé, modifiable entre les projets : vous pouvez exporter une mise en
page de composition dans un fichier de projet distinct qui peut être ouvert et
modifié librement. Il s’agit d’une mise en page de composition externe. D’autres
projets peuvent être liés à un fichier de projet contenant une mise en page de
composition externe et les utilisateurs peuvent employer cette dernière pour
créer des éléments Composition Zones.
• Partage synchronisé, lié entre les projets : vous pouvez autoriser la liaison de mises
en page de composition internes. D’autres projets peuvent donc être liés au
projet contenant la mise en page de composition interne et utiliser cette dernière
pour créer des éléments Composition Zones.
• Partage de projet unique : vous pouvez limiter l’utilisation de la mise en page de
composition au projet la contenant (mise en page de projet unique).
***
Lorsque vous créez un lien avec un projet, vous pouvez créer des éléments
Composition Zones à partir de toutes les mises en page de composition
partagées de ce projet. Cependant, vous ne pouvez pas modifier une mise en
page de composition à moins d’ouvrir le projet la contenant. Plusieurs utilisateurs peuvent créer un lien avec un projet contenant une mise en page de
composition simultanément, mais une seule personne à la fois peut ouvrir ce
projet et modifier la mise en page.
PARTAGE D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION
POUR MODIFICATION
Pour permettre à d’autres utilisateurs de modifier votre mise en page de
composition en tant que fichier distinct, vous pouvez créer une mise en page
de composition externe. Lorsqu’un utilisateur modifie cette dernière, le contenu
est mis à jour dans la mise en page hôte d’origine à partir de laquelle la mise
en page de composition a été créée (ainsi que dans les autres projets liés à la
mise en page de composition externe). Les mises à jour apparaissent dans les
éléments Composition Zones selon les préférences définies pour les mises en
page contenant les éléments Composition Zones (immédiatement, à l’ouverture
ou au moment de l’impression).
L’outil permettant la création de toutes les mises en page de composition
externes est le bouton Rendre externe qui apparaît dans la boîte de dialogue
Propriétés élément partagé. La boîte de dialogue Propriétés élément partagé
s’affiche à la création d’une mise en page de composition basée sur une sélection multiple ou lorsque vous utilisez l’outil Composition Zones, puis cliquez
sur Ajouter un élément dans la palette Contenu partagé, ou choisissez Bloc >
232
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
Partager. Pour les mises en page de composition existantes, vous accédez au
bouton Rendre externe via la palette Contenu partagé.
Pour créer une mise en page de composition externe à partir de la palette
Contenu partagé :
1 Affichez la palette Contenu partagé.
2 Sélectionnez la mise en page de composition dans la palette Contenu partagé.
3 Cliquez sur le bouton Modifier.
4 Dans la boîte de dialogue Propriétés élément partagé, cliquez sur Rendre
externe. La boîte de dialogue Enregistrer sous s’affiche.
5 Entrez un nom de fichier, choisissez un emplacement et cliquez sur Enregistrer.
La mise en page de composition externe est créée sous forme de projet
QuarkXPress distinct.
***
Lorsque vous sélectionnez vos éléments Composition Zones externes dans
la palette Contenu partagé et cliquez sur Modifier, le bouton devient
Rendre interne.
PARTAGE D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION À PARTIR DE LA
PALETTE CONTENU PARTAGÉ
Pour spécifier le partage depuis la palette Contenu partagé :
1 Affichez la palette Contenu partagé (menu Fenêtre).
Utilisez la palette Contenu partagé pour partager une mise en page de
composition à placer.
2 Sélectionnez la mise en page de composition et cliquez sur Modifier
pour
afficher la boîte de dialogue Propriétés élément partagé.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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233
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
Le menu déroulant Disponibilité est identique dans les boîtes de dialogue
Propriétés avancées de mise en page et Propriétés élément partagé.
3 Choisissez Tous projets dans le menu déroulant Disponibilité.
4 Cliquez sur OK.
PARTAGE D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION À PARTIR
DE CELLE-CI
Pour spécifier le partage à partir de la mise en page de composition :
1 Affichez la mise en page de composition et choisissez Mise en page >
Propriétés avancées de mise en page. Vous pouvez également cliquer en
appuyant sur la touche Contrôle (sous Mac OS) ou avec le bouton droit (sous
Windows) sur l’onglet de mise en page de composition en bas de la fenêtre du
projet et choisir Propriétés avancées de mise en page. L’onglet de mise en
page est disponible si vous cochez la case Afficher onglet dans fenêtre projet
de la boîte de dialogue Propriétés élément partagé ou Propriétés avancées
de mise en page.
Utilisez le menu déroulant Disponibilité de la boîte de dialogue Propriétés
avancées de mise en page pour spécifier l’accès.
2 La liste Disponibilité inclut les options Tous projets et Ce projet uniquement.
Choisissez Tous projets pour permettre à d’autres utilisateurs de créer un lien
vers le projet actif et de placer cet élément Composition Zones.
3 Cliquez sur OK.
234
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
SUIVI D’UN ÉLÉMENT COMPOSITION ZONES POUR LES MISES À JOUR
QuarkXPress effectue le suivi des éléments Composition Zones à l’aide des
mêmes méthodes employées pour le suivi des images importées (reportez-vous
à Liste, vérification de statut et mise à jour des images). En outre :
• Non lié indique que la disponibilité a été changée de Tous projets à Ce projet
uniquement dans la mise en page hôte d’origine.
• Indisponible indique que l’élément Composition Zones ne peut pas être mis à
jour, peut-être parce que son type Papier a été remplacé par Web ou Interactif.
LIAISON AVEC UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION DANS UN
AUTRE PROJET
Lorsqu’une mise en page de composition est dotée d’un paramètre Disponibilité
Tous projets, il s’agit d’une mise en page de composition pouvant être liée.
D’autres utilisateurs peuvent créer un lien avec cette mise en page à partir d’un
projet distinct et la placer dans une des mises en page de ce projet en tant
qu’élément Composition Zones.
Pour établir un lien avec un projet contenant des mises en page de composition
pouvant être liées :
1 Avec un projet ouvert, choisissez Fichier > Paramétrage collaboration pour
afficher la boîte de dialogue Paramétrage collaboration.
2 Cliquez sur l’onglet Mises en page liées.
Utilisez la rubrique Mises en page liées de la boîte de dialogue Paramétrage
collaboration pour accéder à des mises en page de composition pouvant être
liées dans d’autres projets.
3 Cliquez sur le bouton Lier mise en page. La boîte de dialogue Lier mise en
page s’affiche.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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235
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
4 Sélectionnez le projet contenant les mises en page de composition pouvant
être liées à ajouter à votre projet et cliquez sur Ouvrir.
5 Les mises en page de composition pouvant être liées du projet avec lequel
vous avez créé un lien apparaissent dans la boîte de dialogue Paramétrage
collaboration et dans la palette Contenu partagé.
La rubrique Mises en page liées de la boîte de dialogue Paramétrage collaboration
répertorie les mises en page de composition pouvant être liées à d’autres projets.
***
Vous pouvez placer les mises en page de composition liées dans les mises en page
du projet actif. Dans ce cas, l’élément Composition Zones résultant ressemble
à une image importée, car vous pouvez le voir, mais pas modifier son contenu.
Cependant, vous pouvez en remplacer les attributs de la même manière que
ceux d’un bloc d’image.
MODIFICATION D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION : CONTENU
Lorsque vous modifiez une mise en page de composition, vous pouvez changer
le contenu et ajuster les attributs au niveau de la mise en page.
Pour modifier le contenu d’une mise en page de composition :
1 Pour un fichier de mise en page de composition externe, choisissez
Fichier > Ouvrir.
2 Pour une mise en page de composition dans votre projet QuarkXPress, cliquez
sur son nom dans l’onglet de mise en page situé en bas de la fenêtre du projet
(disponible si la case Afficher onglet dans fenêtre projet est cochée). Si le nom
de la mise en page de composition n’apparaît pas dans la rubrique, sélectionnez
l’outil Déplacement et double-cliquez sur l’élément Compositions Zones.
236
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
3 Lorsque la mise en page de composition apparaît, tout son contenu est modifiable.
Vous pouvez utiliser les commandes de menu et de palette pour modifier le texte,
les graphiques et les éléments, ainsi que des outils pour ajouter du contenu.
4 Choisissez Fichier > Enregistrer pour refléter les changements dans la mise
en page hôte d’origine (et dans toutes les autres mises en page dans lesquelles
la mise en page de composition externe a été liée et placée). Si vous modifiez
une mise en page de composition de projet unique, la simple fermeture de la
fenêtre met à jour le contenu de l’élément Composition Zones.
MODIFICATION D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION :
ATTRIBUTS
Pour modifier les attributs d’une mise en page de composition :
1 Ouvrez le fichier de la mise en page de composition externe (Fichier > Ouvrir)
ou activez celle-ci à l’aide de la rubrique de mise en page. Vous pouvez également
activer la mise en page de composition en sélectionnant l’outil Déplacement
et en double-cliquant sur l’élément Composition Zones.
2 Choisissez Mise en page > Propriétés de la mise en page pour afficher la boîte
de dialogue correspondante.
3 Pour les types de mise en page papier, confirmez ou modifiez la taille,
l’orientation ainsi que les paramètres de pages en regard, puis cliquez sur OK.
4 Pour les types de mise en page Web, confirmez ou changez les couleurs de fond
et de lien, la taille de la mise en page, ainsi que l’image de fond (éventuelle),
puis cliquez sur OK.
***
Vous pouvez changer le type de mise en page dans la boîte de dialogue Propriétés
de la mise en page, mais vous risquez de perdre du contenu et des paramètres.
De plus, la mise en page de composition sera indisponible dans la boîte de
dialogue Usage (menu Utilitaires) des autres projets QuarkXPress qui lui
sont liés.
RÉCUPÉRATION DU CONTENU D’UNE MISE EN PAGE DE
COMPOSITION EXTERNE
Si vous perdez une mise en page de composition externe (si elle a été supprimée
de votre réseau par exemple), les éléments Composition Zones basés sur celle-ci
s’affiche avec la mention Absent(e) dans la rubrique Composition Zones de la
boîte de dialogue Usage (menu Utilitaires). Vous avez cependant toujours accès
au contenu et pouvez créer une nouvelle mise en page de composition à partir
de toutes les mises en page hôtes utilisant la mise en page manquante. Pour
récupérer le contenu d’une mise en page de composition externe perdue :
1 Affichez une mise en page avec un élément Composition Zones basé sur la
mise en page de composition manquante.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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237
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
2 Choisissez Fichier > Paramétrage collaboration.
3 Cliquez sur l’onglet Mises en page liées.
4 Sélectionnez la mise en page de composition manquante.
5 Cliquez sur Briser le lien. La mise en page de composition est retirée de la
rubrique Mises en page liées et une nouvelle mise en page de composition
est ajoutée dans la rubrique Mises en page partagées de la boîte de dialogue
Paramétrage collaboration. Bien que cette nouvelle mise en page de composition porte le même nom dans la palette Contenu partagé, il s’agit en fait
d’une nouvelle mise en page où l’option Disponibilité est limitée à Ce projet
uniquement. Vous pouvez alors placer et modifier la mise en page
de composition.
MODIFICATION DU CONTENU D’UNE MISE EN PAGE DE
COMPOSITION DE PROJET UNIQUE
Une mise en page de composition de projet unique est limitée au projet dans lequel
elle a été créée. Votre mode d’accès à une mise en page de composition pour
modification est déterminée par le paramètre Afficher onglet dans fenêtre
projet de la boîte de dialogue Propriétés mise en page avancées. Lorsque vous
cochez la case Afficher onglet dans fenêtre projet, vous pouvez accéder à la
mise en page de composition à partir de la rubrique de mise en page en haut
de la fenêtre du projet. Cliquez simplement sur l’onglet pour activer la mise en
page de composition afin de modifier son contenu et ses attributs.
Si vous ne cochez pas la case Afficher onglet dans fenêtre projet, vous devez
sélectionner l’outil Déplacement et double-cliquer sur l’élément Composition
Zones d’origine. La mise en page de composition apparaît.
Pour accéder aisément à une mise en page de composition créée à partir d’une
mise en page complète, cochez la case Afficher onglet dans fenêtre projet dans
la boîte de dialogue Propriétés mise en page avancées. Sinon, sélectionnez
la mise en page de composition dans la palette Contenu partagé, cliquez sur
Modifier, puis cochez la case Afficher onglet dans fenêtre projet.
DÉSYNCHRONISATION D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION
Lorsque vous désynchronisez une mise en page de composition, QuarkXPress
rompt le lien entre celle-ci et tous les éléments Composition Zones existants, basés
sur elle. Pour désynchroniser toutes les instances d’un élément Composition
Zones dans un projet, sélectionnez la mise en page de composition dans la
palette Contenu partagé et cliquez sur le bouton Tout désynchroniser .
Cependant, si vous modifiez par la suite la mise en page de composition,
puis placez un nouvel élément Composition Zones basé sur elle, ce dernier
reflétera la modification.
238
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
RUPTURE DU LIEN AVEC UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION
Si votre projet QuarkXPress contient un élément Composition Zones lié à une
mise en page de composition dans un autre projet, vous pouvez utiliser le premier
pour un autre objectif, sans recevoir de mises à jour lorsque des modifications
sont apportées au projet contenant la mise en page de composition. Lorsque vous
brisez le lien, l’élément Composition Zones demeure dans la bibliothèque de
contenu partagé et reste disponible dans la palette Contenu partagé.
Pour briser le lien entre un élément Composition Zones et la mise en page de
composition correspondante :
1 Choisissez Fichier > Paramétrage collaboration.
2 Sélectionnez la mise en page de composition dans la rubrique Mises en page
liées et cliquez sur Briser le lien.
3 Cliquez sur Terminé. La mise en page de composition est retirée de la rubrique
Mises en page liées et une nouvelle mise en page de composition est ajoutée
dans la rubrique Mises en page partagées de la boîte de dialogue Paramétrage
collaboration. La mise en page de composition demeure dans la bibliothèque
de contenu partagé.
SUPPRESSION D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION LIÉE
La suppression d’une mise en page de composition liée est similaire à la rupture
du lien avec une mise en page de composition liée. La différence est que, dans
le premier cas, la mise en page de composition est retirée de la bibliothèque
de contenu partagé et n’apparaît donc plus dans la palette Contenu partagé.
Vous pouvez utiliser le bouton Supprimer de la boîte de dialogue Paramétrage
collaboration pour supprimer le lien avec une mise en page de composition
liée et le bouton Supprimer de la palette Contenu partagé pour retirer les
éléments Composition Zones liés de la palette Contenu partagé. Dans les deux
cas, la mise en page de composition est retirée de la palette Contenu partagé.
Pour supprimer une mise en page de composition liée :
1 Choisissez Fichier > Paramétrage collaboration.
2 Sélectionnez la mise en page de composition dans la rubrique Mises en
page liées.
3 Cliquez sur Supprimer.
***
Vous ne pouvez utiliser le bouton Supprimer que pour des mises en page de
composition liées.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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239
UTILISATION DE LA FONCTION COMPOSITION ZONES
***
Après suppression d’une mise en page de composition liée, l’élément
Composition Zones reste sur la page. Vous pouvez donc choisir Bloc >
Partager pour ajouter l’élément dans la palette Contenu partagé.
SUPPRESSION D’UNE MISE EN PAGE DE COMPOSITION
Pour supprimer une mise en page de composition :
1 Affichez la palette Contenu partagé.
2 Sélectionnez la mise en page de composition dans la palette et cliquez
sur Supprimer
***
.
Le bouton Supprimer de la rubrique Mises en page liées a le même effet que
le bouton Supprimer de la palette Contenu partagé.
UTILISATION DE LA BOÎTE DE DIALOGUE PARAMÉTRAGE COLLABORATION
La boîte de dialogue Paramétrage collaboration (menu Fichier) comporte des
paramètres de collaboration pour tout le projet. Ces paramètres permettent
les opérations suivantes :
• établir des liens avec des mises en page de composition de projets externes,
• afficher des informations sur les mises en page de composition partagées dans
le projet actif,
• partager des dossiers Job Jackets,
• importer du texte ou des images dans la bibliothèque de contenu partagé,
• supprimer du texte ou des images importés à l’aide de la boîte de dialogue
Paramétrage collaboration,
• définir la fréquence de mise à jour du projet actif par les modifications du
contenu lié ou des paramètres Job Jackets.
Les rubriques ci-dessous décrivent ces paramètres.
LIAISON AVEC D’AUTRES PROJETS
Vous pouvez créer des mises en page de composition et les mettre à la disposition
d’autres membres de l’équipe, et établir des liens avec des projets contenant des
mises en page de composition pouvant être liées.
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
UTILISATION DE LA BOÎTE DE DIALOGUE PARAMÉTRAGE COLLABORATION
Utilisez la rubrique Mises en page liées de la boîte de dialogue Paramétrage
collaboration pour créer des liens avec d’autres projets contenant des mises en
page de composition pouvant être liées, pour briser des liens avec ces mises en
page dans d’autres projets et pour supprimer des mises en page de composition
liées du projet.
Pour en savoir plus sur la création d’un lien avec un autre projet, reportezvous à Liaison avec une mise en page de composition dans un autre projet.
Pour en savoir plus sur l’utilisation des boutons Briser le lien et Supprimer,
reportez-vous à Désynchronisation d’une mise en page de composition.
La colonne Nom indique le nom de la mise en page de composition présente
dans la palette Contenu partagé et la colonne Nom origine, son nom d’origine dans la mise en page hôte d’origine. La présence des deux noms facilite
le suivi si vous renommez une mise en page de composition dans la palette
Contenu partagé.
AFFICHAGE D’INFORMATIONS SUR LES MISES EN PAGE DE
COMPOSITION POUVANT ÊTRE LIÉES
Utilisez la rubrique Mises en page partagées pour afficher une liste des mises
en page de composition pouvant être liées dans le projet.
Utilisez la rubrique Mises en page partagées de la boîte de dialogue Paramétrage
collaboration pour identifier les mises en page de composition pouvant être liées
dans votre projet.
CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
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241
UTILISATION DE LA BOÎTE DE DIALOGUE PARAMÉTRAGE COLLABORATION
La colonne Nom indique le nom de la mise en page de composition dans
la palette Contenu partagé et la colonne Nom origine, le nom qui lui est
appliqué dans sa boîte de dialogue Propriétés de la mise en page.
IMPORTATION ET GESTION DE CONTENU PARTAGÉ
La rubrique Contenu de la boîte de dialogue Paramétrage collaboration
(menu Fichier) permet d’importer du texte et des images, et répertorie le
texte et les images synchronisés d’un projet.
Utilisez la rubrique Contenu de la boîte de dialogue Paramétrage collaboration
pour importer du texte et des images.
Lorsque vous utilisez la rubrique Contenu pour importer des images et du texte,
le contenu se place directement dans la palette Contenu partagé.
DÉFINITION D’OPTIONS DE MISE À JOUR
Vous pouvez décider de la fréquence de mise à jour des éléments Composition
Zones basés sur des mises en page liées.
Définissez des options de mise à jour dans la rubrique Mises à jour de la boîte de
dialogue Paramétrage collaboration.
• À l’ouverture : effectue une mise à jour lors de l’ouverture du projet.
• Avant sortie : effectue une mise à jour avant la sortie du projet.
• Lors utilisation : effectue une mise à jour en fonction du paramètre Intervalle
mise à jour spécifié.
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CHAPITRE 10 : COLLABORATION ET SOURCE UNIQUE
MISES EN PAGE INTERACTIVES
Chapitre 11 : Mises en
page interactives
La souplesse d’utilisation du format et l’omniprésence de Flash Player font de
SWF le format de prédilection des groupes créatifs cherchant à développer des
projets visuellement sensationnels, dotés de capacités interactives sophistiquées
et à la portée de quiconque regarde un écran.
Avec les mises en page interactives, vous pouvez créer des projets SWF spectaculaires avec sons, films et animations, au moyen de fonctionnalités éprouvées qui
font de QuarkXPress la meilleure application de mise en page au monde, et sans
devoir apprendre un nouvel environnement de création complexe.
MISES EN PAGE INTERACTIVES
L’ajout d’interactivité aux mises en page QuarkXPress est facile. Il vous suffit
de comprendre les trois concepts suivants.
• Objets : un objet est un bloc de texte ou d’image, ou un trait, auquel vous donnez
un nom dans la palette Interactif. Ce sont les éléments avec lesquels l’utilisateur
final interagit. Bloc de texte et Animation sont des exemples d’objets.
• Événements utilisateur : un événement utilisateur désigne une action que
l’utilisateur final effectue avec la souris. Vous pouvez définir un événement
utilisateur comme « le mode d’interaction de l’utilisateur final avec un objet ».
Cliquer ou Souris-entrer sont des exemples d’événements utilisateur.
• Actions : une action est ce qui se produit lorsque l’utilisateur final déclenche un
des événements utilisateur d’un objet. Vous pouvez définir une action comme
« ce que fait l’objet lorsqu’un utilisateur final interagit avec lui ». Lire animation
et Afficher page suivante sont des exemples d’actions.
Vous sélectionnez par exemple un bloc d’image, le transformez en objet Bouton,
choisissez l’événement utilisateur Cliquer (relâcher) pour ce bouton et affectez
l’action Afficher page suivante à cet événement utilisateur. Lorsqu’un utilisateur
final exécute la présentation SWF et clique sur le bloc d’image, la présentation
passe à la page suivante.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
243
MISES EN PAGE INTERACTIVES
La procédure de création d’une mise en page interactive est simple. Vous dessinez
des objets dans la mise en page à l’aide des mêmes outils QuarkXPress que
pour les mises en page papier, comme les blocs de texte et d’image, les feuilles
de style, etc. Vous sélectionnez ensuite des « éléments de base » et les rendez
interactifs en trois étapes simples :
1 Nommez l’objet.
2 Définissez l’événement utilisateur (opération effectuée par l’utilisateur final
avec la souris) auquel l’objet doit répondre.
3 Définissez l’action ou les actions qui doivent être déclenchées par cet
événement utilisateur.
***
Les caractères hors justification, la distance, la direction d’histoire verticale et
les fonctions de grille de conception ne sont pas disponibles dans les mises en
page interactives.
TYPES DE MISES EN PAGE INTERACTIVES
Il existe trois types de mises en page interactives :
• Mise en page Présentation : mise en page interactive que vous pouvez exporter
pour créer un fichier SWF. C’est ici que vous construisez les présentations Flash.
• Mise en page Bouton : mise en page interactive où vous pouvez créer un bouton
multi-états. Pour plus d’informations sur les objets Bouton, reportez-vous à
Utilisation des objets Bouton.
• Mise en page Séquence d’images : mise en page interactive où vous pouvez créer
une séquence d’images lisible dans un objet Animation. Pour plus d’informations
sur les objets Animation, reportez-vous à Utilisation des objets Animation.
TYPES D’OBJETS
Un objet est un élément QuarkXPress (tel qu’un bloc de texte ou d’image)
auquel un nom et un type d’objet ont été affectés. Si vous ne transformez pas
un élément QuarkXPress en objet, il devient simplement partie intégrante de
l’arrière-plan. Il existe dix types d’objets :
• Objet de base : élément QuarkXPress (tel qu’un bloc de texte ou d’image, ou un
trait) ou groupe d’éléments qui a été nommé. Un objet de base en lui-même
ne fait rien de particulier mais vous pouvez utiliser des actions pour le masquer, l’afficher ou le déplacer. Les objets de base peuvent également réagir aux
événements utilisateur.
244
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
MISES EN PAGE INTERACTIVES
• Objet Bouton : objet contenant un bouton multi-états. Vous pouvez créer des
boutons au moyen de mises en page Bouton.
• Objet Animation : objet pouvant se déplacer sur un chemin, contenir une
séquence d’images, ou faire les deux. Une séquence d’images est une série
d’images créée à l’aide d’une mise en page Séquence d’images (dans une mise
en page interactive).
• Objet Vidéo : bloc contenant un film.
• Objet SWF : bloc contenant une présentation SWF importée.
• Objet Bloc de texte : bloc rectangulaire contenant du texte que l’utilisateur final
peut sélectionner. Un objet Liste est un type particulier d’objet Bloc de texte
qui permet à l’utilisateur final de sélectionner chaque ligne comme un
élément distinct.
• Objet Menu : bloc permettant à l’utilisateur final de choisir parmi une liste
d’options. Un objet Barre de menus est un objet Menu qui s’affiche sous forme
de liste horizontale de menus. Un objet Menu local est un objet Menu qui
s’affiche sous forme de menu déroulant.
• Objet Fenêtre : objet qui peut être affiché et masqué dans sa propre fenêtre,
tel qu’une boîte de dialogue ou une palette, au lieu d’être contraint dans la
fenêtre de la présentation.
• Groupe de boutons : ensemble de boutons On/Off (activé/désactivé) agissant
comme un groupe de boutons radio. Lorsque l’utilisateur final active un des
boutons d’un groupe, tous les autres boutons du groupe sont désactivés.
Comme chaque type d’objet est conçu pour effectuer une opération différente,
la rubrique Objet de la palette Interactif change suivant l’objet sélectionné.
MISES EN PAGE INTERACTIVES EN ACTION
Supposons que Brad est chargé de la publicité d’un groupe. Ce groupe fait
une tournée dont les dates doivent sans cesse être mises à jour. Brad doit
s’assurer que :
• Le groupe dispose d’un superbe site Flash comprenant les dates à jour de
la tournée.
• Le groupe dispose également d’un site HTML fabuleux comprenant des dates
de tournée à jour pour les fans qui n’ont pas Flash.
• Le groupe dispose d’une liste de diffusion recevant périodiquement un
publipostage présentant les dates de la tournée.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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245
MISES EN PAGE INTERACTIVES
Lorsque Brad a choisi un logo pour le groupe, il crée le modèle du publipostage
à l’aide d’une mise en page papier dans un projet QuarkXPress et importe les
dates à jour de la tournée.
Mise en page papier QuarkXPress standard
Dès qu’il a conçu le publipostage selon ses préférences, il choisit Mise en
page > Dupliquer pour dupliquer le contenu en mise en page Web dans le
même projet. Il peut maintenant travailler sur la version HTML de la page
dans le même fichier.
Mise en page Web créée en dupliquant la mise en page papier
Il copie ensuite la mise en page Web dans une mise en page interactive en
choisissant à nouveau Mise en page > Dupliquer.
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
MISES EN PAGE INTERACTIVES
Pour ajouter de l’interactivité, il décide de faire glisser la guitare de la droite
lorsqu’un fan ouvre la présentation SWF. Pour cela, il suit la procédure ci-après :
• Il ajoute une ligne rouge qui servira de chemin le long duquel la guitare glissera.
À l’aide de la palette Interactif, il transforme la ligne en objet de base qu’il
nomme chemin de guitare. Sous Options, il choisit Masqué initialement
(pour que la ligne soit invisible aux utilisateurs finals).
• Il sélectionne le dessin de la guitare et utilise la palette Interactif pour en faire
un objet Animation nommé Glissement guitare. Pour indiquer que la guitare
doit glisser le long de la ligne rouge, il choisit l’option Élément sur un chemin
dans le menu déroulant Afficher comme, puis Chemin de la guitare (la ligne
rouge) dans le menu déroulant Chemin. Pour définir la vitesse du glissement,
il entre 4 dans le champ Vitesse.
La rubrique Objet permet de transformer un élément en objet Animation.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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247
MISES EN PAGE INTERACTIVES
Pour exécuter cette animation, Brad effectue deux opérations :
1 Il crée un script qui exécute l’animation.
La rubrique Script permet de créer des scripts.
2 Il relie ce script à la première page de la présentation afin qu’il s’exécute lorsque
cette page s’affiche : pour ce faire, il choisit le nom du script dans le menu
déroulant Script d’entrée pour cette page.
La rubrique Page permet d’associer des scripts aux pages.
Brad souhaite maintenant ajouter un bouton pour ouvrir le site HTML du manager du groupe dans une autre fenêtre. Pour créer ce bouton, il dessine un bloc
d’image, le nomme Bouton du site Web, choisit Bouton dans le menu déroulant
Type d’objet, puis Créer dans le menu déroulant Bouton. Ceci crée une mise en
page Bouton contenant quatre pages. Brad y construit les quatre états du bouton
(à l’aide d’outils QuarkXPress uniquement). Les différents états du bouton permettent à Brad d’offrir une aide visuelle à l’utilisateur final. Grâce aux différentes
images de chaque état, l’apparence du bouton change suivant que ce dernier est
appuyé ou non, activé ou désactivé.
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
MISES EN PAGE INTERACTIVES
La palette Disposition de page permet de visualiser les états d’un bouton que
vous créez.
Brad doit maintenant configurer ce bouton : il retourne donc dans la mise en
page Présentation et configure le bouton de manière à ouvrir le site Web du
groupe en ajoutant une action Ouvrir URL à l’événement utilisateur Cliquer
(relâcher) de l’objet Bouton.
La rubrique Événement permet d’associer des événements aux différents états
d’un objet Bouton.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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249
MISES EN PAGE INTERACTIVES
Brad souhaite ensuite ajouter une séquence animée du logo à la présentation.
Pour créer la séquence d’images, il dessine un bloc d’image, le nomme Logo
animé, choisit Animation dans le menu déroulant Type d’objet, choisit
Séquence dans un bloc dans le menu déroulant Afficher comme, puis Créer
dans le menu déroulant Séquence. Une mise en page Séquence d’images est
créée. Brad ajoute 10 pages à cette mise en page, puis construit les 11 cadres
de l’animation en en plaçant un sur chaque page.
La palette Disposition de page permet de prévisualiser les cadres d’une
séquence d’images.
Pour exécuter l’animation, il ajoute une action Lire animation au script qu’il
avait utilisé pour démarrer l’animation Glissement guitare.
La page SWF des dates de la tournée du groupe est prête. Il choisit alors
Fichier > Exporter > Exporter pour Macromedia Flash, paramètre ses
options d’exportation, puis exporte la présentation au format SWF.
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
MISES EN PAGE INTERACTIVES
La boîte de dialogue Exporter pour Macromedia Flash permet de contrôler les
options d’exportation.
Dès que les trois versions de la page, papier, Web et interactive, sont à son
goût, il utilise la palette Contenu partagé pour synchroniser les dates de la
tournée dans les trois mises en page. Il imprime ensuite la mise en page
papier, exporte la mise en page Web en HTML et la mise en page interactive
au format SWF.
Une semaine plus tard, une nouvelle version de la tournée arrive. Brad ouvre
le projet et entre les nouvelles dates dans la mise en page papier. En divisant
l’affichage, il peut immédiatement voir que les deux autres mises en page sont
également actualisées.
La fonction d’affichage de mises en page multiples de QuarkXPress permet d’observer la mise à jour simultanée du contenu dans une mise en page papier et
dans une mise en page interactive.
Ensuite, il suffit simplement d’exporter les mises en page Web et interactive
pour mettre à jour le site. Le nouveau publipostage est imprimé et prêt à
être expédié.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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251
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
Avant d’exporter une mise en page Présentation au format SWF, vous devez la
créer ainsi que certains objets interactifs. Ces rubriques expliquent comment
créer une mise en page Présentation et y placer des éléments de base tels que
des boutons, des animations, des fichiers SWF et des films.
CRÉATION D’UNE MISE EN PAGE PRÉSENTATION
Une mise en page Présentation est une mise en page interactive qui peut être
exportée au format SWF. Pour créer une mise en page Présentation :
1 Créez une mise en page interactive :
• Si vous créez une mise en page Présentation comme première mise en page
d’un projet, choisissez Fichier > Créer > Projet.
• Si vous créez une mise en page Présentation dans un projet existant, ouvrez
ce dernier et choisissez Mise en page > Créer.
• Pour créer une mise en page Présentation basée sur une mise en page existante,
ouvrez celle-ci et choisissez Mise en page > Dupliquer.
La boîte de dialogue Nouveau projet, Nouvelle mise en page ou Dupliquer
mise en page s’affiche (elles sont quasiment identiques).
La boîte de dialogue Nouveau projet permet de créer une mise en
page Présentation.
2 Choisissez Interactif dans le menu déroulant Type mise en page.
3 Sélectionnez Présentation dans le menu déroulant Type interactif.
252
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
4 Pour indiquer la taille de la présentation exportée, choisissez une option dans le
menu déroulant Dimensions ou renseignez les champs Largeur et Hauteur.
5 Pour définir la couleur de fond de la présentation exportée, choisissez une option
dans le menu déroulant Couleur de fond.
CRÉATION D’UN OBJET
Un objet est un élément auquel on a attribué un nom et un type d’objet à
l’aide de la palette Interactif. Avant d’effectuer une opération interactive sur
un élément, vous devez en faire un objet. Pour créer un objet dans une mise
en page Présentation :
1 Cliquez sur l’onglet Objet de la palette Interactif.
2 Dessinez ou sélectionnez un élément, selon le type d’objet que vous
souhaitez créer :
• Objet de base : dessinez ou sélectionnez un bloc d’image ou de texte, un bloc
sans contenu (Bloc > Contenu > Aucun), un trait, un chemin de texte, un
tableau ou un groupe d’éléments.
• Objet Bouton : dessinez ou sélectionnez un bloc d’image.
• Objet Animation : dessinez ou sélectionnez un bloc d’image ou de texte, un
bloc sans contenu, un trait, un chemin de texte, un tableau ou un groupe
d’éléments.
• Objet vidéo : dessinez ou sélectionnez un bloc d’image.
• Objet SWF : dessinez ou sélectionnez un bloc d’image.
• Objet Bloc de texte : dessinez ou sélectionnez un bloc de texte.
• Objet Menu : dessinez ou sélectionnez un bloc d’image ou de texte.
• Objet Fenêtre : dessinez ou sélectionnez un bloc d’image ou de texte, un bloc
sans contenu ou un tableau.
• Objet Groupe : dessinez ou sélectionnez un groupe d’éléments.
3 Entrez un nom pour l’objet dans le champ Nom objet.
***
Étant donné que les scripts et les actions désignent les objets par leur nom,
chaque nom d’objet figurant sur une page doit être unique.
***
Les noms d’objet ne sont pas sensibles à la casse. Vous pouvez donc par exemple,
nommer un objet BoutonDémarrer et y faire référence en tant que boutondémarrer
dans une expression. (Pour en savoir plus sur les expressions, reportez-vous à
Utilisation des expressions.)
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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253
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
4 Pour indiquer le type d’objet que vous souhaitez créer, choisissez une option
dans le menu déroulant Type d’objet.
5 Configurez l’objet à l’aide des autres commandes de la rubrique Objet.
CONFIGURATION D’UN OBJET SWF
Un objet SWF contient un fichier SWF importé. Pour configurer un objet SWF :
1 Créez un objet SWF comme décrit dans Création d’un objet. Assurez-vous que
l’objet SWF est sélectionné.
2 Pour indiquer quel fichier SWF doit s’exécuter dans l’objet SWF, choisissez une
option dans le menu déroulant SWF :
• Pour importer un fichier, choisissez Autres.
• Pour utiliser un fichier SWF déjà employé ailleurs dans le projet actif,
choisissez le nom de ce fichier.
• Pour insérer un chemin faisant référence à un fichier SWF au moment de
l’exécution (même si ce fichier n’est pas disponible), choisissez Externe.
Cette option permet de limiter la taille du projet exporté, mais introduit la
possibilité de liens rompus.
3 Si vous choisissez Externe dans le menu déroulant SWF, la boîte de dialogue
Référence fichier externe s’affiche.
La boîte de dialogue Référence fichier externe permet de spécifier le chemin
d’un fichier.
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour définir un chemin :
• Pour référencer un fichier depuis votre système de fichiers local, choisissez
Fichier dans le menu Type, puis indiquez le chemin vers ce fichier dans le
champ Chemin. Vous pouvez entrer le chemin, ou cliquer et rechercher
le fichier.
• Pour utiliser un fichier Internet, choisissez URL dans le menu Type, puis
entrez l’URL du fichier dans le champ correspondant.
254
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
• Pour référencer un fichier résidant sur votre système de fichiers local en utilisant un chemin créé par une expression, choisissez Expression fichier dans
le menu Type, puis entrez l’expression dans le champ Expr ou cliquez sur le
bouton pour utiliser la boîte de dialogue Éditeur expressions.
• Pour référencer un fichier sur Internet en utilisant une URL créée par une
expression, choisissez Expression fichier dans le menu Type, puis entrez l’expression dans le champ Expr ou cliquez sur le bouton pour utiliser la boîte
de dialogue Éditeur expressions.
4 Pour définir des paramètres supplémentaires pour l’objet SWF, choisissez des
options dans le menu déroulant Options :
• Pour masquer l’objet avant son affichage par une action Afficher, choisissez
Masqué initialement.
• Pour empêcher la modification d’un objet avant son activation par une action
Activer, choisissez Désactivé initialement.
• Pour conserver l’état de l’objet lorsqu’une page de présentation différente
s’affiche, choisissez Conserver statut à entrée page.
• Pour spécifier la lecture en continu du fichier, choisissez Boucle.
• Pour spécifier la lecture du fichier sans interruption du début à la fin et de la
fin au début, choisissez Boucle va-et-vient.
***
L’option Boucle va-et-vient n’est pas disponible pour les objets vidéo.
5 Pour définir la position initiale de l’objet sur la page, choisissez une option
dans le menu déroulant Initialement à :
• Pour afficher initialement l’objet à son emplacement actuel sur la page,
choisissez Origine.
• Pour le positionner initialement sur l’une des tables de montage, choisissez
Haut, Gauche, Bas ou Droite.
6 Pour spécifier la vitesse de lecture du fichier, entrez une valeur dans le champ
Vitesse de défilement ou choisissez Défaut afin d’utiliser la vitesse de lecture
imbriquée dans le fichier SWF.
CONFIGURATION D’UN OBJET VIDÉO
Un objet Vidéo contient un film. Pour configurer un objet Vidéo :
1 Créez un objet Vidéo comme décrit dans Création d’un objet. Assurez-vous
que l’objet Vidéo est sélectionné.
2 Pour indiquer le film à exécuter, choisissez une option dans le menu
déroulant Vidéo :
• Pour importer un fichier AVI ou MOV, choisissez Autres.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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255
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
• Pour utiliser un film déjà employé ailleurs dans le projet actif, choisissez le
nom de ce fichier.
• Pour insérer un chemin faisant référence à un fichier FLV au moment de
l’exécution (même si ce fichier n’est pas disponible), choisissez Externe.
***
Vous ne pouvez créer des liens qu’à des fichiers FLV pour les objets Vidéo si vous
choisissez Externe. Pour établir un lien à un fichier SWF externe, configurez
le type d’objet SWF.
3 Si vous choisissez Externe dans le menu déroulant Vidéo, la boîte de dialogue
Référence fichier externe s’affiche.
La boîte de dialogue Référence fichier externe permet de spécifier le chemin
d’un fichier.
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour définir un chemin :
• Pour référencer un fichier depuis votre système de fichiers local, choisissez
Fichier dans le menu Type, puis indiquez le chemin vers ce fichier dans
le champ Chemin. Vous pouvez entrer le chemin, ou cliquer et rechercher
le fichier.
• Pour utiliser un fichier Internet, choisissez URL dans le menu Type, puis
entrez l’URL du fichier dans le champ correspondant.
• Pour référencer un fichier résidant sur votre système de fichiers local en utilisant un chemin créé par une expression, choisissez Expression fichier dans
le menu Type, puis entrez l’expression dans le champ Expr ou cliquez sur le
bouton pour utiliser la boîte de dialogue Éditeur expressions.
• Pour référencer un fichier sur Internet en utilisant une URL créée par une
expression, choisissez Expression fichier dans le menu Type, puis entrez
l’expression dans le champ Expr ou cliquez sur le bouton pour utiliser la
boîte de dialogue Éditeur expressions.
4 Pour indiquer le format auquel convertir le film à l’exportation, choisissez
une option dans le menu déroulant Type vidéo.
• SWF : pour convertir un film au format vidéo SWF à l’exportation. Notez que
le lecteur Flash Player 6 ne peut exécuter que le format vidéo SWF.
• FLV : pour convertir un film au format vidéo FLV à l’exportation. Ce format
exige la version 7 ou supérieure de Flash Player.
256
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
5 Pour définir des paramètres supplémentaires pour l’objet Vidéo, choisissez des
options dans le menu déroulant Options :
• Pour masquer l’objet avant son affichage par une action Afficher, choisissez
Masqué initialement.
• Pour empêcher la modification d’un objet avant son activation par une action
Activer, choisissez Désactivé initialement.
• Pour conserver l’état de l’objet lorsqu’une page de présentation différente
s’affiche, choisissez Conserver statut à entrée page.
• Pour spécifier la lecture en continu du fichier, choisissez Boucle.
6 Pour définir la position initiale de l’objet sur la page, choisissez une option dans
le menu déroulant Initialement à :
• Pour afficher initialement l’objet à son emplacement actuel sur la page,
choisissez Origine.
• Pour le positionner initialement sur l’une des tables de montage, choisissez
Haut, Gauche, Bas ou Droite.
7 Définissez les options supplémentaires comme suit :
• Pour que le film se mette en route et s’arrête alternativement sous l’action
d’un clic, cochez l’option Cliquez pour lire/arrêter.
• Pour définir des paramètres vidéo et audio avancés pour le film, cliquez sur
Paramètres export.
***
Une fois l’objet Vidéo paramétré, vous devez utiliser une action pour l’exécuter.
Sinon, seul le premier cadre de la vidéo apparaîtra.
UTILISATION DES OBJETS ANIMATION
Deux types d’animation sont disponibles pour les mises en page Présentation :
• un objet interactif se déplaçant le long d’un chemin : par exemple, un logo
ou un autre élément conceptuel glissant à travers l’écran. Pour créer ce type
d’animation, il vous faut deux éléments : un objet Animation contenant l’objet
qui se déplacera le long du chemin et un autre objet pour définir le chemin
suivi par l’objet. L’objet Animation peut quasiment être toute sorte d’élément
et l’objet de chemin peut être un trait ou un bloc de n’importe quelle forme.
• une séquence d’images dans un bloc : par exemple, une roue qui tourne, un
caractère qui clignote et l’écoulement du sable dans un sablier. Pour créer ce type
d’animation, vous devez réaliser un type spécial de mise en page interactive
appelée mise en page Séquence d’images, c’est-à-dire une mise en page dans
laquelle chaque page représente une image d’une séquence animée. Vous pouvez
dessiner les cadres manuellement sur chaque page à l’aide des outils de
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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257
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
QuarkXPress, importer chaque cadre sous forme d’image ou combiner les deux
approches. Pour plus d’informations sur les séquences d’images, reportez-vous
à Création d’une séquence d’images.
Vous pouvez également combiner les deux approches pour créer une séquence
d’images dans un bloc qui se déplace le long d’un chemin ; par exemple, créer
une séquence d’images d’un globe qui tourne, puis utiliser un chemin en boucle
pour le faire se déplacer à travers l’écran.
***
Il est important de noter qu’un objet Animation restera inactif dans le projet
exporté tant que vous n’avez pas activé l’option Cliquez sur Lecture/Pause ou
une action Lire animation pour lancer l’animation.
CONFIGURATION D’UN OBJET ANIMATION
Pour configurer un objet Animation :
1 Créez un objet Animation comme décrit dans Création d’un objet. Assurez-vous
que l’objet Animation est sélectionné.
2 Choisissez un type d’animation dans le menu déroulant Afficher comme :
• Élément sur un chemin : un objet qui se déplace le long d’un chemin.
• Séquence dans un bloc : un bloc contenant une séquence d’images.
• Séquence sur un chemin : un bloc contenant une séquence d’images et se
déplaçant le long d’un chemin.
3 Pour indiquer la séquence d’images (le cas échéant) à lire, choisissez une option
dans le menu déroulant Séquence.
• Nom de mise en page : pour utiliser une séquence d’images dans le même
projet, choisissez le nom de la mise en page Séquence d’images contenant
la séquence.
• Créer : choisissez cette option pour créer une mise en page Séquence d’images
dans le même projet.
• Modifier : choisissez cette option pour sélectionner une mise en page Séquence
d’images dans le même projet et afficher cette mise en page pour la modifier.
• Choisir fichier externe : choisissez cette option pour sélectionner une mise
en page Séquence d’images dans un autre projet QuarkXPress.
4 Pour définir la vitesse de lecture d’une séquence d’images, renseignez le champ
Vitesse défilement. La vitesse de lecture par défaut de la séquence d’images
est chargée par défaut.
258
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
5 Pour définir un chemin pour le bloc contenant un élément ou une séquence à
déplacer, choisissez une option dans le menu déroulant Chemin. Vous pouvez
utiliser n’importe quel objet de bloc ou de trait nommé comme chemin.
6 Pour définir des paramètres pour le mouvement de l’objet sur le chemin,
choisissez des options dans le menu déroulant Options :
• Pour déplacer l’objet Animation de manière répétée du point de départ au
point d’arrivée du chemin, choisissez Boucle.
• Pour déplacer l’objet Animation de manière répétée du point de départ au
point d’arrivée du chemin, puis à nouveau vers le point de départ, choisissez
Boucle va-et-vient.
• Pour masquer l’objet Animation avant son affichage par une action Afficher,
choisissez Masqué initialement.
• Pour masquer l’objet Animation après l’arrêt de sa lecture, choisissez Masqué
en fin.
• Pour conserver l’état de l’objet Animation lorsque l’utilisateur final quitte, puis
affiche à nouveau la page sur laquelle se trouve l’objet, choisissez Conserver
statut à entrée page.
• Pour empêcher toute interaction initiale entre l’utilisateur et cet objet, choisissez
Désactivé initialement.
7 Pour que l’animation se mette en route et s’arrête alternativement sous l’action
d’un clic, cochez l’option Cliquez pour lire/arrêter.
8 Pour déterminer la vitesse à laquelle l’objet Animation se déplace le long
du chemin, renseignez le champ Vitesse, puis choisissez une unité dans le
menu déroulant.
9 Pour indiquer qu’un son doit être émis au début de l’animation, choisissez une
option dans le menu déroulant Son :
• Pour importer un fichier son, choisissez Autres dans le menu déroulant Son.
• Pour utiliser un fichier son déjà employé ailleurs dans le projet actif, choisissez
le nom de ce fichier.
• Pour insérer un chemin faisant référence à un fichier son au moment de
l’exécution (même si ce fichier n’est pas disponible), choisissez Externe.
***
Vous ne pouvez établir des liens qu’à des fichiers son externes au format MP3.
10 Pour indiquer la répétition du son lors de l’exécution de l’animation,
cochez Boucle.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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259
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
11 Si vous choisissez Externe dans le menu déroulant Son, la boîte de dialogue
Référence fichier externe s’affiche.
La boîte de dialogue Référence fichier externe permet de spécifier le chemin
d’un fichier.
Utilisez l’une des méthodes suivantes pour définir un chemin :
• Pour référencer un fichier depuis votre système de fichiers local, choisissez
Fichier dans le menu Type, puis indiquez le chemin vers ce fichier dans le
champ Chemin.
• Pour utiliser un fichier Internet, choisissez URL dans le menu Type, puis
entrez l’URL du fichier dans le champ correspondant.
• Pour référencer un fichier résidant sur votre système de fichiers local en utilisant un chemin créé par une expression, choisissez Expression fichier dans
le menu Type, puis entrez l’expression dans le champ Expr ou cliquez sur le
bouton pour utiliser la boîte de dialogue Éditeur expressions.
• Pour référencer un fichier sur Internet en utilisant une URL créée par une
expression, choisissez Expression fichier dans le menu Type, puis entrez l’expression dans le champ Expr ou cliquez sur le bouton pour utiliser la boîte
de dialogue Éditeur expressions.
12 Pour définir un point de départ et un sens pour le bloc contenant la
séquence d’images, cliquez sur Spécifier. La boîte de dialogue Point départ
animation s’affiche.
La boîte de dialogue Point départ animation permet de spécifier un point de
départ et un sens pour un objet ou une séquence sur un chemin.
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
Pour spécifier un point de départ pour le bloc contenant la séquence d’images,
cliquez une fois n’importe où sur le chemin. Pour modifier le sens initial du
mouvement du bloc, cliquez sur Changer direction. Lorsque vous avez terminé,
cliquez sur OK.
***
Lorsque vous avez défini un objet Animation, vous devez utiliser une action
pour l’animer.
CRÉATION D’UNE SÉQUENCE D’IMAGES
Pour créer un objet Animation contenant une séquence d’images (Séquence
dans un bloc ou Séquence sur un chemin), vous devez en premier lieu créer
une mise en page Séquence d’images. Une mise en page Séquence d’images
est une mise en page interactive particulière dans laquelle vous pouvez créer
une page distincte pour chaque cadre d’une séquence.
Pour construire une mise en page Séquence d’images :
1 Créez un objet Animation comme décrit dans Création d’un objet. Assurez-vous
que l’objet Animation est sélectionné.
2 Pour indiquer que vous souhaitez utiliser une séquence d’images, choisissez
Séquence dans un bloc ou Séquence sur un chemin dans le menu déroulant
Afficher comme.
3 Pour créer une mise en page Séquence d’images, choisissez Créer dans le
menu déroulant Séquence. La boîte de dialogue Nouvelle mise en page
interactive s’affiche.
4 Donnez un nom à la mise en page et renseignez le champ Vitesse de défilement,
puis cliquez sur OK. (Les valeurs Largeur et Hauteur sont automatiquement
copiées de l’objet Animation.)
5 Assurez-vous que l’option Fenêtre > Disposition de page est cochée. La palette
Disposition de page affiche une page pour chaque cadre de la séquence d’images.
La palette Disposition de page (Fenêtre > Disposition de page) vous permet
de voir et d’accéder à chaque cadre de la séquence d’images.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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261
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
6 Sélectionnez le premier cadre d’une séquence d’images en double-cliquant sur
la page dans la palette Disposition de page, puis dessinez le premier cadre à
l’aide des outils de mise en page de QuarkXPress, ou dessinez un bloc d’image
et importez le premier cadre d’une séquence d’images existante.
7 Pour créer le second cadre de l’animation, Contrôle+cliquez/cliquez avec le
bouton droit de la souris sur la page dans la palette Disposition de page et
choisissez Insertion de pages. La boîte de dialogue Insertion de pages s’affiche.
8 Entrez 1 dans le champ Insérer de la boîte de dialogue Insertion de pages et
cliquez sur OK. La seconde page s’affiche dans la palette Disposition de page.
9 Copiez et collez le contenu de la première page vers la seconde afin que les
deux cadres soient identiques. Vous pouvez utiliser la palette Disposition de
page pour passer d’un cadre à l’autre.
10 Mettez à jour le contenu du nouveau cadre pour créer le cadre.
11 Répétez les quatre étapes précédentes jusqu’à ce que vous ayez créé tous
les cadres.
12 Lorsque vous avez terminé, retournez à la mise en page Présentation à l’aide
des onglets de mise en page au bas de la fenêtre ou en choisissant Mise en
page > Aller à.
***
Vous pouvez également créer une mise en page Séquence d’images de la même
manière qu’une mise en page Présentation, à l’aide des commandes Fichier >
Créer > Projet ou Mise en page > Créer. Cependant, la méthode habituelle pour
créer une mise en page Séquence d’images est l’approche décrite précédemment.
Lorsque vous l’utilisez, la taille du bloc est automatiquement conservée et utilisée
pour la nouvelle mise en page Séquence d’images.
***
Une mise en page Séquence d’images ne peut pas être supprimée tant qu’elle
n’est pas désynchronisée. Pour désynchroniser une mise en page Séquence
d’images, sélectionnez celle-ci dans la palette Contenu partagé et cliquez sur
le bouton Supprimer .
UTILISATION DES OBJETS BOUTON
Il existe deux sortes d’objets Bouton pour les mises en page Présentation :
• un objet interactif qui utilise des comportements de bouton : la plupart des
types d’objets interactifs fait intervenir des événements utilisateur tels que
Cliquer (bouton de la souris cliqué sur l’objet), Cliquer (relâcher) (bouton de
souris relâché sur l’objet) et Double-cliquer (bouton de la souris double-cliqué
sur l’objet). En affectant des actions à ces événements utilisateur, vous pouvez
transformer la plupart des éléments en boutons.
262
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
• Un objet Bouton qui contient un bouton multi-états : un bouton multi-états
est un bouton qui change d’apparence sous l’action d’un clic. Un tel bouton
peut également fournir une indication visuelle à l’utilisateur final en ayant
différentes apparences pour les états On (activé) et Off (désactivé). Pour utiliser
un bouton multi-états, vous devez en dessiner les différents états (ou les
importer comme images) dans un type particulier de mise en page interactive
appelée mise en page Bouton.
Vous pouvez également regrouper plusieurs boutons On/Off pour créer un
groupe de boutons dans lequel un seul bouton peut être activé à un moment
donné. Ceci est utile dans les cas où vous souhaitez limiter l’utilisateur final à
un choix parmi plusieurs qui s’excluent mutuellement.
CRÉATION D’UN BOUTON MULTI-ÉTATS
Pour créer un bouton multi-états, vous devez en premier lieu créer une mise
en page Bouton. Il s’agit d’un type particulier de mise en page interactive dotée
d’une page distincte pour chaque état d’un bouton multi-états.
Vous pouvez créer les types suivants de boutons multi-états :
• Simple : un bouton simple est toujours cliqué ou relâché. Il sert à déclencher
une action simple (par exemple, passer un film).
• Simple avec Désactiver : un bouton Simple avec Désactiver est un bouton
simple doté d’un état supplémentaire appelé Désactiver.
• On/Off (activé/désactivé) : ce bouton fonctionne comme un commutateur ;
chaque clic le fait passer de l’état On (activé) à l’état Off (désactivé) et vice versa.
• On/Off avec Désactiver (activé/désactivé) : un bouton On/Off (activé/
désactivé) avec Désactiver est un bouton On/Off doté d’un état supplémentaire
appelé Désactiver.
Un bouton multi-états peut posséder les états ci-après, dans des
combinaisons diverses :
• Haut : l’utilisateur final n’a pas cliqué sur le bouton.
• Au-dessus : le pointeur de la souris est sur l’objet mais l’utilisateur final n’a
pas cliqué.
• Bas : l’utilisateur final a cliqué le bouton et ne l’a pas relâché.
• Zone interactive : définit la zone interactive du bouton. Cet état n’est pas
affiché ; il fournit simplement une indication des zones cliquables et non
cliquables du bouton. Ceci peut être considéré comme un masque de bouton.
Si vous laissez cet état non spécifié, votre bouton ne fonctionnera pas.
• Désactiver : le bouton ne peut pas être cliqué.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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263
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
***
Comme vous pouvez cliquer sur les boutons On/Off lorsque leur état est Haut
ou Bas, ils disposent de deux états On (Haut Activé, Bas Activé) et de deux
états Off (Haut Désactivé, Bas Désactivé). Toutefois, vous n’avez pas à créer
d’image différente pour chaque état.
Pour construire un bouton multi-états dans une mise en page Bouton :
1 Créez un objet Bouton comme décrit dans Création d’un objet. Assurez-vous
que l’objet Bouton est sélectionné.
2 Pour créer une mise en page Bouton, choisissez Créer dans le menu déroulant
Bouton. La boîte de dialogue Nouvelle mise en page interactive s’affiche.
3 Nommez la mise en page et choisissez un type de bouton dans le menu
déroulant Type bouton, puis cliquez sur OK. (Les valeurs Largeur et Hauteur
sont automatiquement copiées depuis l’objet Bouton.)
4 Assurez-vous que l’option Fenêtre > Disposition de page est cochée. La
palette Disposition de page affiche une page pour chaque état de bouton.
La palette Disposition de page (Fenêtre > Disposition de page) vous permet
de voir et d’accéder à chaque état de bouton dans une mise en page Bouton.
5 Sélectionnez un état de bouton en double-cliquant sur la page correspondante
dans la palette Disposition de page, puis dessinez l’état du bouton à l’aide des
outils de mise en page QuarkXPress, ou dessinez un bloc d’image et importez
l’état du bouton sous forme de graphique.
6 Copiez et collez le contenu d’un état du bouton vers l’autre afin que les deux
états soient identiques. Vous pouvez utiliser la palette Disposition de page
pour passer d’un état de bouton à l’autre.
7 Actualisez le contenu de l’état du bouton.
8 Répétez les trois étapes précédentes jusqu’à ce que vous ayez créé chaque état
du bouton.
264
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
9 Si vous souhaitez spécifier qu’une partie seulement de la zone de bouton doit
être interactive (cliquable), dessinez des blocs dans les états Zone interactive
où vous souhaitez que le bouton soit cliqué.
10 Lorsque vous avez terminé, retournez à la mise en page Présentation à
l’aide des onglets de mise en page au bas de la fenêtre ou en choisissant
Mise en page > Aller à.
***
Vous pouvez également créer une mise en page Bouton de la même manière
qu’une mise en page Présentation, à l’aide des commandes Fichier > Créer >
Projet ou Mise en page > Créer. Cependant, la méthode habituelle pour créer
une mise en page Bouton est l’approche décrite précédemment. Lorsque vous
l’utilisez, la taille du bloc est automatiquement conservée et utilisée pour la
nouvelle mise en page Bouton.
***
Une mise en page Bouton ne peut pas être supprimée tant qu’elle n’est pas
désynchronisée. Pour désynchroniser une mise en page Bouton, sélectionnez
celle-ci dans la palette Contenu partagé et cliquez sur le bouton Supprimer .
CONFIGURATION D’UN OBJET BOUTON
Pour configurer un objet Bouton :
1 Créez un objet Bouton comme décrit dans Création d’un objet. Assurez-vous
que l’objet Bouton est sélectionné.
2 Pour indiquer la mise en page Bouton à utiliser, choisissez une option dans le
menu déroulant Bouton.
• Nom de mise en page : pour utiliser une mise en page Bouton dans le même
projet, choisissez le nom de celle-ci.
• Créer : choisissez cette option pour créer une mise en page Bouton dans le
même projet.
• Modifier : choisissez cette option pour sélectionner une mise en page Bouton
dans le même projet et afficher cette mise en page pour la modifier.
• Choisir fichier externe : choisissez cette option pour sélectionner une mise
en page Bouton d’un autre projet QuarkXPress.
3 Pour définir des paramètres supplémentaires pour l’objet Bouton, choisissez
des options dans le menu déroulant Options :
• Pour masquer l’objet Bouton avant son affichage par une action Afficher,
choisissez Masqué initialement.
• Pour désactiver l’objet Bouton jusqu’à son activation à l’aide d’une action
Activer, choisissez Désactivé initialement.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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265
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
• Pour conserver l’état de l’objet Bouton lorsqu’un utilisateur final quitte, puis
affiche à nouveau la page sur laquelle se trouve l’objet, choisissez Conserver
statut à entrée page.
• Pour spécifier que le bouton doit être initialement à l’état activé, cochez
Initialement activé.
4 Pour définir la position initiale de l’objet sur la page, choisissez une option
dans le menu déroulant Initialement à :
• Pour afficher initialement l’objet à son emplacement actuel sur la page,
choisissez Origine.
• Pour le positionner initialement sur l’une des tables de montage, choisissez
Haut, Gauche, Bas ou Droite.
5 Pour définir une commande clavier permettant d’activer un bouton simple
ou de basculer l’état d’un bouton On/Off ou On/Off avec Désactiver, entrez
une combinaison de touches dans le champ Alias touches.
CRÉATION D’UN GROUPE DE BOUTONS
Vous pouvez regrouper plusieurs boutons On/Off (ou On/Off avec Désactiver)
afin qu’ils fonctionnent comme un ensemble de boutons radio (c’est-à-dire
que l’activation d’un bouton désactive automatiquement tous les autres du
groupe). Pour créer un groupe de boutons :
1 Créez deux objets Bouton au moins et configurez chacun à l’aide d’un bouton
multi-états On/Off ou On/Off avec Désactiver.
2 À l’aide de l’outil Déplacement
, sélectionnez tous les objets Bouton en même
temps (et rien d’autre).
3 Regroupez les objets Bouton à l’aide de la commande Bloc > Grouper.
4 Dans la rubrique Objet de la palette Interactif, choisissez Groupe boutons
dans le menu déroulant Type d’objet et entrez un nom pour ce groupe dans
le champ Nom objet.
MISES EN PAGE SÉQUENCE D’IMAGES, MISES EN PAGE BOUTON ET
CONTENU PARTAGÉ
Lorsque vous ajoutez une séquence d’images ou un bouton multi-états à une
mise en page Présentation, QuarkXPress utilise sa technologie Composition
Zones pour placer une copie de la mise en page Séquence d’images ou Bouton
cible dans un bloc de votre mise en page Présentation.
Comme toutes les mises en page de composition, les mises en page Séquence
d’images et Bouton sont synchronisées avec leurs blocs correspondants dans la
mise en page Présentation. Par conséquent, toutes les mises en page Séquence
d’images ou Bouton que vous avez utilisées sont affichées dans la palette
Contenu partagé, et les animations et boutons présentent les poignées de
bloc particulières aux éléments synchronisés.
266
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
Vous pouvez utiliser des éléments Composition Zones pour imbriquer une
mise en page interactive dans une mise en page Web, puis exporter cette
dernière pour créer une page HTML avec une présentation SWF imbriquée.
UTILISATION DES MENUS
Les mises en page interactives prennent en charge deux types de menus :
• Barre de menus : série de menus arrangés horizontalement, avec des listes
d’options qui se déroulent des menus. Les barres de menus peuvent contenir
des sous-menus.
• Menu local : menu déroulant. Les menus locaux peuvent également contenir
des sous-menus.
Pour créer l’un de ces menus, vous devez en premier lieu créer un menu interactif.
Les menus de ce type n’ont pas d’interface utilisateur dans QuarkXPress : il s’agit
simplement d’une liste de menus, sous-menus et options de menu stockée dans
le projet. Lorsque vous créez un menu interactif, vous pouvez définir des menus,
des options de menu, des séparateurs et des sous-menus. Chaque option de
menu peut être associée à une action déterminant ce qui se produit lorsque
l’utilisateur final la sélectionne.
Une fois le menu interactif créé, vous pouvez l’affecter à un ou plusieurs objets
Menu. Ces derniers déterminent l’emplacement et l’apparence du menu.
CRÉATION D’UN MENU INTERACTIF
Pour créer un objet Menu, vous devez en premier lieu créer un menu interactif.
Un menu interactif est stocké dans un projet mais apparaît à l’écran uniquement
si vous l’utilisez dans un objet Menu.
Un menu interactif peut contenir des éléments Menu, des sous-menus et des
séparateurs. Une action peut être affectée à chaque élément Menu (option de
menu) et Sous-menu (un saut à une page différente ou l’ouverture d’une URL,
par exemple).
Un menu interactif peut être affiché sous forme de barre de menus ou de menu
local (menu déroulant).
• Si un menu interactif apparaît sous forme de barre de menus, les éléments Menu
s’affichent en tant que menus en haut de la barre de menus, les sous-menus de
premier niveau s’affichent dans une liste déroulante en tant qu’options dans
les menus, et tous les autres sous-menus s’affichent en tant que sous-menus des
options de menu.
• Si un menu interactif s’affiche sous forme de menu local, les éléments Menu
s’affichent verticalement en tant qu’options de menu dans une liste déroulante
et tous les sous-menus s’affichent en tant que sous-menus des options de menu.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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267
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
Pour créer un menu interactif :
1 Choisissez Édition > Menus interactifs. La boîte de dialogue Menus
interactifs s’affiche.
La boîte de dialogue Menus interactifs permet de créer, supprimer et dupliquer
des menus interactifs.
2 Pour créer un menu interactif, cliquez sur Créer. La boîte de dialogue Modifier
menu interactif s’affiche.
La rubrique Propriétés du menu de la boîte de dialogue Modifier menu interactif
permet de contrôler l’apparence d’un menu interactif.
3 Entrez un nom pour le menu dans le champ Nom de menu. Vous utilisez
ce nom pour affecter le menu interactif à un objet Menu. Le nom du menu
n’apparaît pas dans les fichiers exportés.
268
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
4 Utilisez la rubrique Propriétés du menu pour déterminer l’aspect du menu :
• Attribuez une feuille de style, un retrait de texte et un fond pour les états
Normal et Mise en valeur. (La valeur Retrait texte est appliquée à tous les
côtés du texte.)
• Définissez une épaisseur de trait et une couleur pour la bordure et le séparateur
du menu.
5 Cliquez sur l’onglet Options de menu.
La rubrique Options de menu de la boîte de dialogue Modifier menu interactif
permet d’ajouter des éléments Menu, des sous-menus et des séparateurs à un
menu interactif.
6 Pour ajouter une option de menu ou de sous-menu :
• Pour créer une option de menu, choisissez Menu à l’aide du bouton Ajouter
menu . Ou pour créer une option de menu dans un sous-menu de l’option
sélectionnée dans la liste défilante, choisissez Sous-menu.
• Entrez le nom de l’option de menu dans le champ Nom de l’élément.
• Pour définir une commande clavier permettant d’activer l’action de cette option
de menu, entrez une combinaison de touches dans le champ Alias touches.
• Pour affecter l’action à exécuter lorsque cette option de menu est sélectionnée
par l’utilisateur final, choisissez une action dans le menu déroulant Action.
7 Pour ajouter un séparateur sous l’option de menu sélectionnée dans la liste
défilante, choisissez Séparateur.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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269
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
CONFIGURATION D’UN OBJET MENU
Pour configurer un objet Menu :
1 Créez un objet Menu comme décrit dans Création d’un objet. Assurez-vous
que l’objet Menu est sélectionné.
2 Pour définir comment afficher le menu, choisissez une option dans le menu
déroulant Afficher comme.
• Barre de menus : choisissez cette option pour afficher le menu interactif sous
forme de barre de menus horizontale dans la présentation.
• Local : choisissez cette option pour afficher le menu interactif sous forme de
menu déroulant.
3 Pour indiquer le menu interactif à utiliser, choisissez une option dans le menu
déroulant Menu.
• Nom de menu interactif : pour utiliser un menu interactif existant, choisissez
son nom.
• Créer : choisissez cette option pour créer un menu interactif.
4 Pour définir des paramètres pour le menu, choisissez des options dans le menu
déroulant Options :
• Pour masquer l’objet avant son affichage par une action Afficher, choisissez
Masqué initialement.
• Pour désactiver l’objet Menu jusqu’à son activation à l’aide d’une action Activer,
choisissez Désactivé initialement.
• Pour conserver l’état de l’objet Menu lorsqu’un utilisateur final quitte, puis
affiche à nouveau la page sur laquelle se trouve l’objet, choisissez Conserver
statut à entrée page.
5 Pour modifier le menu interactif sélectionné dans le menu déroulant Menu,
cliquez sur Modifier le menu.
CONFIGURATION D’UN OBJET FENÊTRE
Un objet Fenêtre peut être affiché dans une fenêtre distincte de celle de la
présentation principale, comme une boîte de dialogue ou une palette. Pour
configurer un objet Fenêtre :
1 Créez un objet Fenêtre comme décrit dans Création d’un objet. Assurez-vous
que l’objet Fenêtre est sélectionné.
2 Choisissez une option dans le menu déroulant Afficher comme :
• Pour créer une fenêtre interdisant à l’utilisateur l’accès à d’autres fenêtres ou
toute interaction avec la présentation principale tant qu’elle n’est pas fermée
(comme une boîte de dialogue), choisissez Fenêtre modale.
270
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
• Pour créer une fenêtre permettant à l’utilisateur final de passer à d’autres
fenêtres et d’interagir avec la présentation principale alors qu’elle est ouverte
(comme une palette), choisissez Fenêtre amodale.
3 Pour spécifier l’apparence des contrôles de la fenêtre, choisissez une option
dans la liste déroulante Style :
4 Choisissez une option dans le menu déroulant Position :
• Pour ouvrir la fenêtre à une position identique à celle qu’elle occupe dans la
mise en page Présentation, choisissez Origine.
• Pour ouvrir la fenêtre centrée sur l’écran de l’ordinateur, choisissez Centrer
sur écran.
• Pour afficher le coin supérieur gauche de la fenêtre à un point précis par rapport à celui de la fenêtre de la présentation, choisissez À position absolue et
renseignez les champs À gauche et À partir du haut.
• Pour ouvrir la fenêtre à la même position que précédemment, activez
Mémoriser position.
5 Si vous avez choisi une option autre que Tel que conçu dans le menu déroulant
Afficher comme, vous pouvez utiliser les paramètres ci-après pour contrôler
plus précisément l’apparence de l’objet Fenêtre :
• Pour inclure un titre dans la barre de titre de la fenêtre, entrez-le dans le
champ Titre.
• Pour inclure un bouton Fermer à la fenêtre, activez Inclure bouton Fermer.
CONFIGURATION D’UN OBJET BLOC DE TEXTE
Les objets Bloc de texte sont des objets interactifs permettant d’afficher et de
modifier du texte. Seul un bloc de texte rectangulaire peut être converti en
objet Bloc de texte. Vous pouvez définir la police, le corps, le style, la couleur
et l’alignement du texte dans les objets Bloc de texte.
***
Si un bloc de texte n’est pas un objet Bloc de texte, il est converti en vecteurs et
s’affiche toujours tel que vous le voyez dans la mise en page interactive. Toutefois,
lorsque vous travaillez avec un objet Bloc de texte, vous devez imbriquer les
polices dans la présentation pour vous assurer qu’elles s’affichent sur l’ordinateur de l’utilisateur final (reportez-vous à Configuration des paramètres d’exportation). Pour garantir l’imbrication d’une police, elle doit être appliquée à au
moins un caractère ou paragraphe vide dans un objet Bloc de texte à un endroit
quelconque de la mise en page. Si vous n’imbriquez pas de police, une police
par défaut est utilisée.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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271
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
Pour configurer un objet Bloc de texte :
1 Créez un objet Bloc de texte comme décrit dans Création d’un objet.
Assurez-vous que l’objet Bloc de texte est sélectionné.
2 Pour définir le type de l’objet Bloc de texte, choisissez une option dans le
menu déroulant Afficher comme.
• Simple : l’utilisateur final peut sélectionner et copier le texte, mais non
le modifier.
• Modifiable : l’utilisateur final peut modifier le texte du bloc.
• Avec défilement : le bloc dispose d’une barre de défilement. L’utilisateur final
peut sélectionner et copier le texte, mais non le modifier.
• Modifiable et à défilement : le bloc dispose d’une barre de défilement et
l’utilisateur final peut modifier le texte du bloc.
• Liste : le bloc dispose d’une barre de défilement et contient une liste d’éléments,
qui occupent chacun une ligne. L’utilisateur peut sélectionner un élément à la
fois dans la liste.
3 Pour configurer des paramètres supplémentaires pour l’objet Bloc de texte
simple, choisissez des options dans le menu déroulant Options :
• Pour masquer l’objet Bloc de texte avant son affichage par une action Afficher,
choisissez Masqué initialement.
• Pour empêcher la modification de l’objet Bloc de texte avant son activation
par une action Activer, choisissez Désactivé initialement.
• Pour conserver l’état de l’objet Bloc de texte lorsque l’utilisateur final quitte, puis
affiche à nouveau la page sur laquelle se trouve l’objet, choisissez Conserver
statut à entrée page.
• Pour afficher tous les caractères dans le bloc sous forme d’astérisques, choisissez
Protégé. Cette option peut être utile pour les champs de saisie de mot de passe.
4 Pour définir la position initiale de l’objet Bloc de texte sur la page, choisissez
une option dans le menu déroulant Initialement à :
• Pour afficher initialement l’objet Bloc de texte comme il s’affiche dans la mise
en page Présentation, choisissez Origine.
• Pour positionner initialement l’objet Bloc de texte sur la table de montage,
choisissez Haut, Gauche, Bas ou Droite.
UTILISATION DES TRANSITIONS
QuarkXPress offre plusieurs effets de transition que vous pouvez appliquer à vos
présentations. Vous pouvez configurer des transitions pour toutes les pages de
votre mise en page Présentation, ou pour des pages et objets individuels au
moyen d’actions et de scripts.
272
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
• Couvrir : vous pouvez utiliser une transition Couvrir pour faire glisser une
nouvelle page au-dessus de la page affichée ou pour masquer un objet avec un
effet de glissement.
• Découvrir : vous pouvez utiliser une transition Découvrir pour faire glisser la
page affichée de la présentation et révéler une nouvelle page ou un objet avec
un effet de glissement.
• Rideau : vous pouvez utiliser une transition Rideau pour révéler un objet
ou une nouvelle page par glissement, à la manière d’un rideau qui s’ouvre ou
se ferme.
• Fondu : vous pouvez utiliser une transition en fondu pour qu’une page ou un
objet apparaisse ou disparaisse graduellement par rapport à son état d’origine.
• Zoom : vous pouvez utiliser une transition zoom pour qu’une page ou un
objet apparaisse en s’agrandissant ou disparaisse en diminuant au centre de
la présentation.
CONFIGURATION DES TRANSITIONS
Vous pouvez configurer des transitions pour toutes les pages de votre mise en
page Présentation à la fois ou pour des pages et objets individuels au moyen
d’actions et de scripts.
Pour configurer des transitions pour chaque page d’une mise en page
Présentation, ouvrez le volet Présentation dans la boîte de dialogue Préférences
(QuarkXPress/Édition > Préférences).
Pour configurer des transitions pour des pages et objets individuels, choisissez
l’une des actions ci-après lorsque vous configurez un événement utilisateur
ou créez un script. Après que vous sélectionnez l’une des actions indiquées
ci-dessous, les commandes Transitions s’affichent dans la palette Interactif
pour vous permettre de configurer une transition dans le cadre de l’action.
• Objet Masquer
• Objet Afficher
• Afficher première page
• Afficher dernière page
• Afficher page suivante
• Afficher page précédente
• Afficher page
• Retourner
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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273
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
UTILISATION DES PAGES DANS LES MISES EN PAGE INTERACTIVES
Les pages sont des espaces dans lesquels vous concevez et contrôlez le flux
de votre mise en page interactive. Une mise en page Présentation contient au
moins une page. Une mise en page Séquence d’images contient une page pour
chaque cadre que vous créez pour animer une série d’images. Une mise en page
Bouton contient une page pour chaque état du bouton (activé, désactivé, cliqué,
relâché, etc).
Tout comme les objets, les actions et les scripts, les pages constituent un puissant
élément des mises en page interactives. Vous pouvez, par exemple :
• contrôler avec précision le flux de votre présentation en configurant le défilement
des pages selon un intervalle de temps automatique ou à la suite de l’utilisation
d’une combinaison de touches ou de la souris par l’utilisateur final ;
• ajouter des transitions, telles que des fondus, entre les pages ;
• exécuter automatiquement un script donné à l’ouverture ou à la fermeture
d’une page.
AJOUT DE PAGES À UNE MISE EN PAGE INTERACTIVE
Vous pouvez ajouter des pages à une mise en page Présentation ou Séquence
d’images de deux façons :
• Choisissez Page > Insérer, entrez le nombre de pages à ajouter et cliquez sur OK.
• Ouvrez la palette Disposition de page (Fenêtre > Disposition de page),
Contrôle+cliquez ou cliquez avec le bouton droit de la souris sur une page,
entrez le nombre de pages à ajouter et cliquez sur OK.
CONFIGURATION DES PAGES
Vous pouvez configurer les pages pour fonctionner de plusieurs manières
dans vos mises en page interactives :
• Utilisation des préférences interactives : définissez des transitions de page
par défaut et l’intervalle de progression automatique pour chaque page d’une
mise en page interactive via le volet Présentation de la boîte de dialogue
Préférences (QuarkXPress/Édition > Préférences).
• Utilisation d’actions et de scripts : définissez des actions et des scripts
renvoyant aux pages de votre présentation. Par exemple, vous associez une
action à un événement utilisateur de bouton de sorte que la page suivante
s’affiche après un clic du bouton par l’utilisateur final.
• Utilisation de la rubrique Page : configurez des pages individuelles dans
votre mise en page Présentation via la rubrique Page de la palette Interactif.
La rubrique Page de la palette Interactif répertorie chaque page de votre mise
en page par son numéro. Vous pouvez trier la liste de pages par nom de page
ou par page maquette.
274
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
La rubrique Page de la palette Interactif permet de configurer les pages d’une
mise en page interactive.
Pour configurer les pages de votre mise en page Présentation via la rubrique
Page, sélectionnez une page dans la liste et configurez les attributs suivants :
• Nom page : entrez un nom pour la page dans le champ Nom page. Les noms de
page s’affichent dans la liste de pages et peuvent vous aider à organiser celle-ci.
D’autre part, après que vous nommez une page, vous pouvez renvoyer à son
nom au sein d’un script.
• Script d’entrée : choisissez un nom de script dans le menu déroulant Script
d’entrée afin d’exécuter un script dans votre présentation lorsqu’un utilisateur
final ouvre cette page. Par exemple, vous pouvez exécuter un script qui génère
le fondu d’une image lorsque la page s’affiche.
• Script de sortie : choisissez un nom de script dans le menu déroulant Script
de sortie afin d’exécuter un script dans votre présentation lorsque l’utilisateur
final quitte cette page. Par exemple, vous pouvez exécuter un script qui génère
la fermeture de la présentation lorsque l’utilisateur final quitte la page.
• Progression automatique : choisissez une option dans le menu déroulant
Progression automatique pour que la page laisse place automatiquement à la
page suivante après un nombre de secondes donné.
***
Vous pouvez configurer l’intervalle de progression automatique par défaut pour
votre présentation à l’aide des préférences interactives.
• Description page : le cas échéant, entrez une description pour la page dans le
champ Description page. Ces descriptions peuvent vous aider à organiser vos
pages. D’autre part, après avoir créé une description de page, vous pouvez y
accéder à l’aide d’une action ou d’un script. Par exemple, vous pouvez créer
un script qui affiche la description d’une page lorsque l’utilisateur final clique
sur un bouton.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
275
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
UTILISATION DES COMMANDES CLAVIER
Comme les menus offrent une manière simple et intuitive de parcourir une
présentation, les utilisateurs expérimentés attendent des commandes clavier
permettant d’accéder rapidement aux commandes les plus fréquentes. La
rubrique Touches de la palette Interactif permet de créer des commandes
clavier exécutant les opérations suivantes :
• déclencher un événement associé à un clic de bouton ;
• déclencher un événement associé à une option de menu ;
• exécuter automatiquement un script donné à l’activation d’une
commande clavier.
Pour créer une commande clavier :
1 Cliquez sur l’onglet Touches dans la palette Interactif.
2 Choisissez une option dans la liste Page :
• Choisissez Tous pour créer des commandes clavier qui exécutent des scripts
indépendamment de la page où se trouve l’utilisateur final.
• Choisissez un nom de page maquette afin de rendre tous les boutons et menus
de cette page disponibles dans la liste de droite et de créer des commandes
clavier qui exécutent des scripts uniquement lorsque l’utilisateur se trouve sur
une page basée sur cette page maquette.
• Choisissez un numéro de page afin de rendre tous les boutons et menus de cette
page disponibles dans la liste de droite et de créer des commandes clavier qui
exécutent des scripts uniquement lorsque l’utilisateur se trouve sur cette page.
3 Pour contrôler les objets qui apparaissent dans la liste de droite, choisissez
une option dans le menu déroulant Afficher. Par exemple, pour créer une
commande clavier qui déclenche un événement associé à un clic de bouton,
choisissez Boutons pour n’afficher que les boutons dans la liste.
4 Indiquez une cible pour la commande clavier, comme suit :
• Pour associer une commande clavier à un bouton, sélectionnez le nom de ce
dernier dans la liste Commandes clavier.
• Pour associer une commande clavier à un script, cliquez sur le bouton Ajouter
touche , puis sélectionnez le nom du script dans le menu déroulant Script.
5 Entrez une combinaison de touches dans le champ Alias touches. Vous pouvez utiliser n’importe quelle touche du clavier conjointement à n’importe
quelle combinaison des touches Pomme, Maj, Option et Contrôle (Mac OS)
ou des touches Ctrl, Maj et Alt (Windows) pour créer une commande clavier
valide, à l’exception des commandes clavier réservées aux tâches courantes,
comme Pomme-Q/Alt+F4 qui sert exclusivement à quitter la présentation.
276
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
CRÉATION DES ÉLÉMENTS DE BASE
La rubrique Touches de la palette Interactif permet de créer des commandes
clavier et de les associer à des scripts.
***
Vous ne pouvez pas utiliser certaines commandes clavier dans vos mises en
page interactives car elles sont réservées à des tâches par défaut ou ne sont
pas disponibles (elles n’existent pas) sur le clavier Mac OS ou Windows.
***
Chaque nouvelle mise en page interactive contient automatiquement une
commande clavier appelée « Suivant » (touche fléchée droite) et une autre
appelée « Précédent » (touche fléchée gauche). Ces commandes clavier sont
liées à des scripts qui affichent les pages suivante et précédente. Elles sont
fournies pour faciliter la navigation et peuvent être supprimés si vous ne les
utilisez pas.
CONFIGURATION DES PRÉFÉRENCES INTERACTIVES
Comme les mises en page papier et Web, les mises en page interactives possèdent leur propre ensemble de volets dans la boîte de dialogue Préférences
(menu QuarkXPress/Édition). La plupart des ces volets sont identiques à ceux
associés aux mises en page papier et Web, mais les mises en page interactives
ont deux volets de plus : Présentation et SWF.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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277
UTILISATION DES ACTIONS
UTILISATION DES ACTIONS
Les actions confèrent à une mise en page Présentation son caractère interactif.
Sans actions, votre présentation resterait figée. Vous pouvez associer une action
à un certain événement utilisateur ou regrouper une séquence d’actions dans
un script à exécuter lorsque l’utilisateur final ouvre ou ferme une présentation,
entre sur une page ou la quitte, ou encore actionne une certaine combinaison
de touches.
AFFECTATION DES ACTIONS
Le menu déroulant Action permet d’affecter des actions à une mise en page
interactive. Ce menu apparaît dans les rubriques Événement et Script de la
palette Interactif.
Le menu déroulant Action permet d’affecter des actions aux événements utilisateur
dans la rubrique Événement de la palette Interactif et de regrouper des actions
dans un script dans la rubrique Script.
DESCRIPTION DES ACTIONS
Cette rubrique présente une liste des actions disponibles dans les mises en
page Présentation et explique le mode de fonctionnement de chacune. Vous
pouvez vous y référer au moment d’associer des actions à des événements
utilisateur et lors de la création de scripts.
***
278
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Les actions texte et de formatage de texte ne fonctionnent pas avec la version 5
de Flash Player ni avec QuickTime Player.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Aucune action
Aucune action
Ne fait rien.
Animation > Interrompre
Interrompre animation Interrompt l’objet Animation indiqué.
Animation > Lire
Lire animation
Lit l’objet Animation indiqué. Si l’animation a été interrompue, la lecture
se poursuit depuis la dernière position.
Si l’animation a été arrêtée, la lecture
recommence depuis le début.
Animation > Lire dans objet
Lire animation
dans objet
Lit la séquence d’images spécifiée dans
l’objet Animation indiqué.
Animation > Lire sur chemin Lire animation
sur chemin
Lit la séquence d’images spécifiée dans
l’objet Animation indiqué en déplaçant
l’objet le long du chemin désigné.
Animation > Arrêter
Arrêter
Arrête l’objet Animation indiqué.
Bouton > Désactiver
Désactiver bouton
Désactive l’objet Bouton indiqué.
Bouton > Activer
Activer bouton
Active l’objet Bouton indiqué.
Bouton > Off (désactivé)
Définir bouton
désactivé
Fait passer l’objet Bouton indiqué à
l’état Off.
Bouton > On (activé)
Définir bouton activé
Fait passer l’objet Bouton indiqué à
l’état On.
Contrôle > Break If
Break If
Disponible uniquement dans les scripts.
Permet d’échapper d’une boucle Loop.
Reportez-vous à Utilisation des
instructions conditionnelles.
Contrôle > Else
Else
Disponible uniquement dans les scripts.
Crée une branche dans une instruction
If. Reportez-vous à Utilisation des
instructions conditionnelles.
Contrôle > End If
End If
Disponible uniquement dans les
scripts. Marque la fin d’une instruction
If. Reportez-vous à Utilisation des
instructions conditionnelles.
Contrôle > End Loop
End Loop
Disponible uniquement dans les
scripts. Marque la fin d’une boucle
Loop. Reportez-vous à Utilisation des
instructions conditionnelles.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
279
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Contrôle > End While
End While
Disponible uniquement dans les scripts.
Marque la fin d’une boucle While.
Reportez-vous à Utilisation des
instructions conditionnelles.
Contrôle > If
If
Disponible uniquement dans les scripts.
Marque le début d’une instruction If.
Reportez-vous à Utilisation des
instructions conditionnelles.
Contrôle > Loop
Loop
Disponible uniquement dans les scripts.
Marque le début d’une boucle Loop.
Reportez-vous à Utilisation des
instructions conditionnelles.
Contrôle > While
While
Disponible uniquement dans les scripts.
Marque le début d’une boucle While.
Reportez-vous à Utilisation des
instructions conditionnelles.
Curseur > Masquer
Masquer curseur
Masque le pointeur de la souris.
Curseur > Afficher
Afficher curseur
Affiche le pointeur de la souris s’il
est masqué.
Curseur > Utiliser
Utiliser curseur
Remplace le pointeur de la souris par
l’icône indiquée.
Expression > Définir
Définir
Permet de configurer une expression à
exécuter. Pour plus d’informations à ce
sujet, reportez-vous à Expressions.
Internet > Extraire URL texte
Extraire URL texte
Récupère le contenu textuel de l’URL
spécifiée et l’insère dans l’objet Bloc de
texte indiqué. Remarque : lorsque le
fichier SWF exporté de la présentation est
visionné dans un navigateur Web, l’URL
correspondant à cette action doit avoir le
même superdomaine que le fichier SWF
(s’il est visionné dans la version 6 de Flash
Player) ou le même domaine que le fichier
SWF (s’il est visionné dans la version 7
de Flash Player). Remarque : si un fichier
texte affiché avec cette action contient deux
retours chariot d’affilée, trois retours
chariot sont affichés. Remarque : pour
utiliser cette action, une URL doit
commencer par le préfixe http://.
280
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Internet > Extraire URL texte
Extraire URL texte
Remarque : si vous établissez un lien à
un fichier texte résidant sur votre
bureau ou dans un système de fichiers,
vous devez indiquer le chemin système
complet au fichier sur un ordinateur
Mac OS, à moins que le fichier texte ne
se trouve dans le même dossier que
votre fichier SWF exporté (dans ce cas,
nous n’avez qu’à indiquer le nom du
fichier texte sans spécifier de chemin).
Internet > Extraire variable
Extraire variables
Récupère le contenu d’une variable
nommée dans un fichier texte encodé
URL et place ce contenu dans un objet
Bloc de texte. Remarque : lorsque le
fichier SWF exporté de la présentation
est visionné dans un navigateur Web,
l’URL correspondant à cette action doit
avoir le même superdomaine que le
fichier SWF (s’il est visionné dans la
version 6 de Flash Player) ou le même
domaine que le fichier SWF (s’il est
visionné dans la version 7 de Flash
Player). Remarque : pour utiliser cette
action, une URL doit commencer par le
préfixe http://.
Internet > Ouvrir URL
Ouvrir URL
Envoie l’URL indiquée au navigateur Web
par défaut. Autorise éventuellement l’utilisateur final à entrer l’URL. Remarque :
pour utiliser cette action, une URL doit
commencer par le préfixe http://.
Internet > Soumettre page
Soumettre page
Soumet le contenu d’un bloc de texte
modifiable, l’élément sélectionné dans
un menu déroulant ou une liste, les
états d’un bouton On/Off et le bouton
sélectionné dans un groupe de boutons
On/Off sur la page indiquée vers l’URL
indiquée. Vous pouvez placer la réponse
(le contenu de l’élément ci-dessus) dans
un objet Bloc de texte ou la traiter en tant
que fichier à enregistrer sur l’ordinateur
de l’utilisateur final. Remarque : lorsque
le fichier SWF exporté de la présentation
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
281
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Internet > Soumettre page
Soumettre page
est visionné dans un navigateur Web,
l’URL correspondant à cette action doit
avoir le même superdomaine que le
fichier SWF (s’il est visionné dans la version 6 de Flash Player) ou le même
domaine que le fichier SWF (s’il est
visionné dans la version 7 de Flash
Player). Remarque : pour utiliser cette
action, une URL doit commencer par le
préfixe http://.
Liste > Extraire sélection
Extraire sélection liste
Copie le texte ou le numéro de position
d’un élément sélectionné dans n’importe
quel type d’objet Bloc de texte vers un
autre type de ce même objet, ou vers un
fichier à enregistrer sur l’ordinateur de
l’utilisateur final.
Barre menus >
Ajouter option menu
Ajouter option menu
Ajoute une option à la barre de menus
indiquée. Vous pouvez entrer le nom de
l’option de menu vous-même ou le lire
depuis un objet Bloc de texte. Vous pouvez spécifier une liste de sous-menus pour
la nouvelle option de menu et associer
une valeur et un script à chacune.
Barre menus > Cocher
Cocher barre menus
Coche une option dans la barre de
menus indiquée.
Barre menus >
Élément désactivé
Désactiver option menu Désactive une option dans la barre de
menus indiquée.
Barre menus >
Élément activé
Activer option menu
Active une option dans la barre de
menus indiquée.
Barre menus >
Retirer élément
Retirer option menu
Retire une option de la barre de
menus indiquée.
Barre menus > Désactiver
Désactiver barre menus Désactive une option dans la barre de
menus indiquée.
Objet > Désactiver
Désactiver objet
282
|
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
Désactive un objet afin d’empêcher
l’utilisateur final d’interagir avec lui.
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Objet > Afficher image
Afficher image
Affiche une image dans un objet basé sur
un bloc d’image. Remarque : avec cette
action, les images au format progressif et
les images utilisant l’espace colorimétrique
CMJN risquent de ne pas s’afficher correctement et les images haute définition
peuvent apparaître floues.
Objet > Faire glisser
Faire glisser objet
Permet à l’utilisateur de faire glisser
un objet. Appliqué généralement à
l’événement utilisateur Cliquer.
Objet > Déposer
Déposer objet
Permet à l’utilisateur de déposer un objet.
Appliqué généralement à l’événement
utilisateur Cliquer (relâcher).
Objet > Activer
Activer objet
Active un objet désactivé.
Objet > Masquer
Masquer objet
Masque un objet, avec éventuellement
un effet de transition.
Objet > Réinitialiser
Réinitialiser objet
Retourne un objet à sa position initiale
(où il se trouvait au lancement de la
présentation) et à ses attributs d’origine.
Objet > Définir position
Définir position objet
Définit la position d’un objet.
Objet > Afficher
Afficher objet
Affiche un objet qui était masqué, avec
éventuellement un effet de transition.
Objet > Glisser
Glisser objet
Déplace un objet d’une position à une
autre avec un effet de glissement animé.
Page > Afficher
Afficher page
Affiche une page désignée dans la
présentation, avec éventuellement un
effet de transition.
Page > Afficher premier
Afficher première page Affiche la première page de la présentation, avec éventuellement un effet de
transition.
Page > Afficher dernier
Afficher dernière page
Affiche la dernière page de la présentation,
avec éventuellement un effet de transition.
Page > Afficher suivant
Afficher page suivante
Affiche la page suivante de la présentation,
avec éventuellement un effet de transition.
Page > Afficher précédent
Afficher
page précédente
Affiche la page précédant la page
actuelle, avec éventuellement un effet
de transition.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
283
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
Page > Extraire description
Extraire description page Extrait la description appliquée à une
page via le champ Description page de
la rubrique Page de la palette Interactif.
Page > Extraire nom
Extraire nom page
Extrait le nom appliqué à une page via
le champ Nom page de la rubrique
Page de la palette Interactif.
Page > Retourner
Retourner
Affiche la dernière page consultée de
la présentation.
Local > Ajouter élément
Ajouter option menu
Ajoute une option de menu à l’objet
Menu local spécifié.
Local >
Extraire sélection locale
Extraire sélection
menu local
Extrait l’option de menu sélectionnée
(par nom ou par numéro) de l’objet Menu
local indiqué et le place dans l’objet
Bloc de texte spécifié. Vous pouvez
ajouter l’option de menu en début ou
en fin de texte, remplacer tout le texte
par l’option de menu, ou ne remplacer
qu’une sélection.
Local > Élément désactivé
Désactiver option menu Désactive une option de menu dans
l’objet Menu local spécifié.
Local > Élément activé
Activer option menu
Active une option de menu dans l’objet
Menu local spécifié.
Local > Retirer élément
Retirer option menu
Retire une option de menu de l’objet
Menu local spécifié.
Local >
Définir sélection locale
Définir sélection
menu local
Sélectionne l’option de menu indiquée
dans l’objet Menu local spécifié. Vous
pouvez indiquer l’option de menu
cible par nom ou par numéro
(en commençant à 1).
Imprimer > Page en cours
Imprimer page en cours Imprime la page active de
la présentation.
Imprimer > Objet texte
Imprimer objet texte
Imprime le contenu d’un objet texte.
Script > Désactiver
Désactiver script
Désactive un script.
Script > Activer
Activer script
Active un script.
Script > Exécuter
Exécuter script
Exécute un script.
Script > Arrêter
Arrêter script
Arrête un script. Les scripts arrêtés ne
peuvent pas être relancés.
284
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
DESCRIPTION
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Son > Bip
Bip
Déclenche un bip de l’ordinateur.
Son > Interrompre
Interrompre son
Interrompt un son.
Son > Lire
Lire son
Lit un son.
Son > Lire arrière-plan
Lire son arrière-plan
Lit un son en arrière-plan.
Son >
Définir volume arrière-plan
Définir volume
arrière-plan
Règle le volume du son en arrière-plan.
Son > Définir volume
Définir volume son
Règle le volume du son.
Son > Arrêter
Arrêter son
Arrête un son.
Son > Arrêter arrière-plan
Arrêter son arrière-plan
Arrête un son en arrière-plan.
SWF > Charger
Charger
Charge une présentation SWF importée
dans la mémoire.
SWF > Interrompre
Pause
Interrompt une présentation
SWF importée.
SWF > Exécuter
Exécuter
Lance une présentation SWF importée.
SWF > Arrêter
Arrêter
Arrête une présentation SWF importée.
SWF > Décharger
Décharger
Décharge une présentation SWF
importée d’un objet SWF.
Texte > Copier
Copier texte
Copie le texte sélectionné d’un objet
Bloc de texte dans le Presse-papiers. Ne
fonctionne pas pour les événements
utilisateur faisant intervenir un clic de
souris car une telle action désélectionne
tout le texte.
Texte > Couper
Couper texte
Coupe le texte sélectionné (si possible)
d’un objet Bloc de texte et le place dans
le Presse-papiers. Ne fonctionne pas
pour les événements utilisateur faisant
intervenir un clic de souris car une telle
action désélectionne tout le texte.
Texte > Désélectionner
Désélectionner texte
Désélectionne le texte choisi dans
l’objet Bloc de texte.
Texte > Rechercher
Rechercher texte
Recherche du texte dans un objet Bloc
de texte particulier. Vous pouvez entrer
une chaîne de recherche littérale ou la
lire depuis un autre objet Bloc de texte.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
285
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Texte > Importer de l’URL
Extraire texte de l’URL
Extrait le texte d’une URL et le place dans
un objet Bloc de texte. Vous pouvez entrer
l’URL vous-même ou la lire depuis un
autre objet Bloc de texte. La cible de l’URL
peut être extraite en une fois, ligne par
ligne ou par blocs délimités par un caractère. Remarque : lorsque le fichier SWF
exporté de la présentation est visionné
dans un navigateur Web, l’URL correspondant à cette action doit avoir le même
superdomaine que le fichier SWF (s’il est
visionné dans la version 6 de Flash Player)
ou le même domaine que le fichier SWF
(s’il est visionné dans la version 7 de Flash
Player). Remarque : si un fichier texte
affiché avec cette action contient deux
retours chariot d’affilée, trois retours
chariot sont affichés. Remarque : pour
utiliser cette action, une URL doit
commencer par le préfixe http://.
Texte > Coller
Coller texte
Colle dans un objet Bloc de texte le
texte copié ou coupé à l’aide d’une
action Copier texte ou Couper texte.
Texte > Poster sur URL
Poster sur URL
Soumet le contenu d’un ou de tous les
objets modifiables sur la page à une URL
à l’aide de la méthode GET ou POST. Vous
pouvez entrer l’URL vous-même ou la lire
depuis un objet Bloc de texte. Remarque :
pour fonctionner avec cette action, une
URL doit contenir un signe deux-points
(:). Si l’URL commence par un deux-points,
le préfixe http:// est implicite.
Texte > Sélectionner
Sélectionner texte
Sélectionne du texte dans un objet Bloc de
texte. Vous pouvez indiquer les points
de départ et de fin de la sélection.
Texte > Définir texte
Définir texte
Remplace ou insère du texte dans un
objet Bloc de texte. Le nouveau texte
peut être entré littéralement ou lu depuis
un autre objet Bloc de texte. Vous pouvez
indiquer les points de départ et de fin de
l’insertion ou du remplacement.
286
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Formatage texte >
Alignement
Alignement du texte
Définit l’alignement du texte dans un
objet Bloc de texte.
Formatage texte > Couleur
Couleur du texte
Applique une couleur au texte d’un
objet Bloc de texte.
Formatage texte > Police
Police texte
Applique une police au texte d’un objet
Bloc de texte.
Formatage texte >
Indentation
Indentation texte
Indente du texte dans un objet Bloc
de texte.
Formatage texte >
Interlignage
Interlignage
Définit l’espacement vertical du texte
dans un objet Bloc de texte.
Formatage texte > Style
Style texte
Applique un formatage standard, gras,
italique ou souligné au texte d’un objet
Texte. Remarque : même si un projet
contient une action qui formate le texte
pour utiliser la version en gras d’une
police et que vous configurez les options
d’exportation pour imbriquer toutes les
polices, le projet exporté ne contiendra
pas la version en gras de la police à moins
que celle-ci ne soit utilisée dans un bloc
de texte quelconque de la mise en page.
Vidéo > Afficher dans objet
Afficher vidéo
dans objet
Affiche la première image d’un film dans
un objet Vidéo particulier.
Vidéo > Interrompre
Interrompre vidéo
Interrompt un film dans un objet
Vidéo. Après une interruption, la lecture
reprend là où le film a été interrompu.
Vidéo > Lire
Lire vidéo
Lit un film depuis le début dans un
objet Vidéo.
Vidéo > Lire dans objet
Lire vidéo dans objet
Lit un film depuis le début dans un
objet Vidéo particulier. Cette action
vous permet de lire plusieurs films dans
un même objet Vidéo.
Vidéo > Définir volume
Définir volume vidéo
Règle le volume de l’audio d’un film
dans un objet Vidéo.
Vidéo > Arrêter
Arrêter vidéo
Arrête la lecture d’un film dans un
objet Vidéo. Les films arrêtés reprennent
depuis le début si une nouvelle lecture
est lancée.
Fenêtre > Fermer
Fermer fenêtre
Ferme un objet Fenêtre.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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287
UTILISATION DES ACTIONS
CHEMIN
ACTION
DESCRIPTION
Fenêtre > Faire glisser
Faire glisser fenêtre
Permet à l’utilisateur de faire glisser un
objet Fenêtre. Appliqué généralement à
l’événement utilisateur Cliquer.
Fenêtre > Déposer
Déposer fenêtre
Permet à l’utilisateur de déposer un
objet Fenêtre. Appliqué généralement à
l’événement utilisateur Cliquer (relâcher).
Fenêtre > Ouvrir
Ouvrir fenêtre
Ouvre un objet Fenêtre.
Fenêtre > Définir titre
Définir titre
Définit le texte de la barre de titre d’un
objet Fenêtre.
Autre > Autoriser
interaction utilisateur
Autoriser
interaction utilisateur
Si vous avez exécuté cette action, le
traitement des événements utilisateur
par le lecteur se poursuit. Cette action
est généralement utilisée avec l’action
Ne pas autoriser interaction utilisateur
pour activer les événements utilisateur
après leur blocage.
Autre > Différé
Différé
Force une période d’inactivité de la
présentation pendant un laps de
temps donné ou l’attente d’un
événement spécifique.
Autre > Désactiver clavier
Désactiver clavier
Empêche la présentation de reconnaître
les saisies au clavier.
Autre > Ne pas autoriser
interaction utilisateur
Ne pas autoriser
interaction utilisateur
Si vous avez exécuté cette action, tous
les événements utilisateur (y compris les
événements avec la souris et au clavier)
sont bloqués.
Autre > Activer clavier
Activer clavier
Autorise la présentation à reconnaître
les saisies au clavier.
Autre > Ouvrir projet
Ouvrir projet
Ouvre une présentation SWF différente
et ferme la présentation SWF en cours.
Autre > Quitter
Quitter
Ferme le lecteur Flash.
288
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES ÉVÉNEMENTS
UTILISATION DES ÉVÉNEMENTS
Le processus d’association d’une action à un événement utilisateur consiste
en trois étapes :
1 Sélectionnez l’objet à associer à l’action.
2 Choisissez l’événement utilisateur qui déclenchera l’action.
3 Configurez l’action elle-même.
CHOIX D’UN ÉVÉNEMENT UTILISATEUR
Un événement utilisateur désigne une opération effectuée par l’utilisateur avec
la souris. Vous pouvez définir un événement utilisateur comme le mode d’interaction de l’utilisateur final avec un objet. Les types d’événements utilisateur
disponibles pour les divers types d’objets sont présentés au tableau suivant.
***
ÉVÉNEMENT UTILISATEUR
DÉMARRE UNE ACTION LORSQUE
Cliquer
L’utilisateur final clique sur l’objet.
Cliquer (relâcher)
L’utilisateur final relâche le bouton de la
souris après avoir cliqué sur l’objet et le
curseur de la souris reste sur l’objet cliqué.
Double-clic
L’utilisateur final double-clique sur l’objet.
Souris-entrer
Le pointeur de la souris passe sur l’objet.
Souris-quitter
Le pointeur de la souris quitte l’objet.
Cliquer désactivé
L’utilisateur final clique sur un bouton
On/Off (activé/désactivé) à l’état Off.
Cliquer (relâcher) activé
L’utilisateur final relâche le bouton de la
souris après avoir cliqué sur un bouton
On/Off (activé/désactivé) à l’état Off.
Cliquer activé
L’utilisateur final clique sur un bouton
On/Off (activé/inactivé) à l’état On.
Cliquer (relâcher) désactivé
L’utilisateur final relâche le bouton de la
souris après avoir cliqué sur un bouton
On/Off (activé/désactivé) à l’état On.
Ouverture fenêtre
L’objet Fenêtre s’ouvre.
Fermeture fenêtre
L’objet Fenêtre se ferme.
Différents objets prennent en charge différents événements utilisateur. Par
conséquent, le menu déroulant Événement utilisateur varie selon le type
d’objet sélectionné.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
289
UTILISATION DES ÉVÉNEMENTS
CONFIGURATION DES ÉVÉNEMENTS UTILISATEUR
Lorsque vous avez créé un élément de base et choisi les événements utilisateur
à employer, vous devez leur associer des actions. Une action désigne ce qui se
produit lorsque l’utilisateur final déclenche un des événements utilisateur d’un
objet. Vous pouvez définir une action comme « ce que fait l’objet lorsqu’un
utilisateur final interagit avec lui ».
Pour associer une action à un événement utilisateur d’un objet :
1 Sélectionnez l’objet.
2 Cliquez sur l’onglet Événement dans la palette Interactif.
La rubrique Événements de la palette Interactif vous permet d’affecter des
actions aux événements utilisateur. Vous pouvez également utiliser des actions
dans les scripts.
3 Pour spécifier l’affichage d’un curseur lorsque la souris de l’utilisateur se trouve
au-dessus de l’objet, choisissez-en un dans le menu déroulant Curseur.
4 Choisissez un événement dans le menu déroulant Événement utilisateur
(reportez-vous à Choix d’un événement utilisateur).
5 Pour spécifier l’émission d’un son lorsqu’un événement utilisateur se produit,
choisissez une option dans le menu déroulant Événement son.
• Pour importer un fichier son, choisissez Autres dans le menu déroulant Son.
• Pour utiliser un fichier son déjà employé ailleurs dans le projet actif, choisissez
le nom de ce fichier.
• Pour insérer un chemin faisant référence à un fichier son au moment de
l’exécution (même si ce fichier n’est pas disponible), choisissez Externe.
290
|
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES ÉVÉNEMENTS
6 Si vous choisissez Externe dans le menu déroulant Son, la boîte de dialogue
Référence fichier externe s’affiche.
La boîte de dialogue Référence fichier externe permet de spécifier le chemin
d’un fichier.
Utilisez l’une des méthodes ci-après pour définir un chemin :
• Pour référencer un fichier de votre système de fichiers local, choisissez Fichier
dans le menu déroulant Type, puis indiquez le chemin vers ce fichier dans le
champ Chemin.
• Pour utiliser un fichier Internet, choisissez URL dans le menu déroulant Type,
puis entrez l’URL du fichier dans le champ correspondant.
• Pour référencer un fichier résidant sur votre système de fichiers local en utilisant
un chemin créé par une expression, choisissez Expression fichier dans le menu
déroulant Type, puis entrez l’expression dans le champ Expression ou cliquez
sur le bouton pour utiliser la boîte de dialogue Éditeur expressions.
• Pour référencer un fichier sur Internet en utilisant une URL créée par une
expression, choisissez Expression fichier dans le menu déroulant Type, puis
entrez l’expression dans le champ Expression ou cliquez sur le bouton pour
utiliser la boîte de dialogue Éditeur expressions.
7 Pour indiquer l’action à entreprendre lorsque l’événement utilisateur se produit,
faites une sélection dans la liste déroulante Action. La zone sous l’action
sélectionnée change et présente les paramètres éventuels associés à cette action.
8 Configurez les paramètres de l’action.
UTILISATION DES SCRIPTS
Un script est une séquence d’actions regroupées dans un ordre particulier.
Lorsque vous exécutez un script, les actions qu’il contient sont effectuées
l’une après l’autre.
CRÉATION D’UN SCRIPT
Pour créer un script :
1 Cliquez sur l’onglet Script dans la palette Interactif.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
291
UTILISATION DES SCRIPTS
2 Pour créer un script, cliquez sur le bouton
. Un nouveau script portant un
nom par défaut est ajouté à la liste Script.
3 Renseignez le champ Nom script.
***
Étant donné que les actions désignent les scripts par leur nom, chaque nom
de script figurant dans une mise en page doit être unique.
***
Les noms de script ne sont pas sensibles à la casse.
4 Sélectionnez cette action dans la liste Actions. Par défaut, le nouveau script
contient une seule action Aucune action.
5 Choisissez une action dans le menu déroulant Action et configurez-la selon la
procédure décrite dans Configuration des événements utilisateur.
6 Pour ajouter une action après la sélection, cliquez sur le bouton
.
7 Répétez les deux étapes précédentes jusqu’à la fin du script.
La rubrique Scripts de la palette Interactif vous permet de créer des scripts.
UTILISATION DES INSTRUCTIONS CONDITIONNELLES
Une instruction conditionnelle est une séquence de trois actions ou plus pouvant
être utilisée dans un script pour déclencher d’autres actions dans des conditions
précises. Par exemple, vous pouvez utiliser une instruction conditionnelle pour
modifier le comportement d’une présentation en fonction de la version de Flash
Player de l’utilisateur final.
Trois types d’instructions conditionnelles de base sont disponibles pour
vos présentations multimédias : instructions If, instructions While et
instructions Loop.
292
|
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES SCRIPTS
UTILISATION D’UNE INSTRUCTION IF DANS UN SCRIPT
Les actions If et End If peuvent être combinées dans un script pour former une
instruction If. Ces instructions permettent de déclencher des actions uniquement
lorsque certaines conditions sont satisfaites. Vous pouvez, par exemple, créer
une instruction If qui affiche une page dans une présentation utilisée sur un ordinateur Mac et une autre sur un ordinateur Windows. Pour utiliser une instruction
If dans un script :
1 Dans la rubrique Script de la palette Interactif, créez un script.
2 Pour commencer l’instruction If, ajoutez une action If (Contrôle > If).
3 Pour spécifier la condition à satisfaire, choisissez une option dans le menu
déroulant Type d’objet, choisissez le nom de l’objet dans le menu déroulant
Objet, puis choisissez une option dans le menu déroulant Is (est) ou Has (a).
4 Pour spécifier l’action à entreprendre si la condition est respectée, ajoutez une
action au script immédiatement après l’action If et configurez-la pour exécuter
l’opération souhaitée. Si vous souhaitez ajouter plusieurs actions quand la
condition If est satisfaite, ajoutez des actions supplémentaires.
5 Si vous souhaitez spécifier ce qui se produit si la condition If n’est pas satisfaite,
ajoutez une action Else (Contrôle > Else) à la fin du script et faites-la suivre
d’une ou plusieurs actions.
6 Pour conclure l’instruction If, ajoutez une action End If (Contrôle > End If)
immédiatement après la dernière action.
Les actions If, Else et End If vous permettent de créer des instructions
conditionnelles. Dans ce cas, un son est reproduit si l’animation 2 est exécutée ;
sinon, l’ordinateur émet un bip.
***
Les actions If et End If doivent toujours être utilisées ensemble.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
293
UTILISATION DES SCRIPTS
UTILISATION D’UNE BOUCLE DANS UN SCRIPT
Une boucle est une structure de programmation où une instruction ou une
série d’instructions est répétée plusieurs fois, généralement jusqu’à ce qu’une
condition soit satisfaite. Les mises en page interactives disposent de deux types
de boucles : boucles Loop et boucles While.
Une boucle Loop (créée à l’aide des actions Loop, Break If et End Loop)
répète une série d’actions jusqu’à ce qu’une condition particulière (indiquée
dans l’action Break If) soit satisfaite. Vous pouvez, par exemple, utiliser une
boucle Loop pour poser la même question à un étudiant jusqu’à ce qu’il
réponde correctement.
Une boucle While (créée avec les actions While et End While) répète une
série d’actions tant qu’une condition particulière (indiquée dans l’action
While) est satisfaite. Vous pouvez, par exemple, utiliser une boucle While
pour exécuter une animation jusqu’à ce que l’utilisateur déplace le pointeur
de la souris hors de la fenêtre.
Pour créer une boucle Loop ou While :
1 Dans la rubrique Script de la palette Interactif, créez un script.
2 Pour commencer l’instruction de boucle, effectuez une des opérations suivantes :
• Pour une boucle Loop, ajoutez une action Loop (Contrôle > Loop).
• Pour une boucle While, ajoutez une action While. Pour spécifier la condition
à satisfaire pour que la boucle continue son exécution, choisissez une option
dans le menu déroulant Type d’objet, choisissez le nom de l’objet dans le
menu déroulant Objet, puis choisissez une option dans le menu déroulant
Is (est) ou Has (a). (Notez que si vous choisissez Expression dans le menu
déroulant Type d’objet, vous devez entrer une expression qui effectue une
évaluation Vrai ou Faux au lieu de choisir une option dans le menu déroulant
Is ou Has.)
3 Pour spécifier l’action à répéter au sein de la boucle, ajoutez une action au script
immédiatement après l’action If et configurez-la pour exécuter l’opération
souhaitée. Si vous souhaitez exécuter plusieurs opérations dans le corps de la
boucle, ajoutez des actions supplémentaires.
4 Si vous créez une boucle Loop, ajoutez une action Break If. Pour spécifier la
condition à satisfaire pour que la boucle cesse de se répéter, choisissez une
option dans le menu déroulant Type d’objet, choisissez le nom de l’objet dans
le menu déroulant Objet, puis choisissez une option dans le menu déroulant
Is ou Has.
5 Pour conclure la boucle, effectuez une des opérations suivantes :
• Pour une boucle Loop, ajoutez une action End Loop.
• Pour une boucle While, ajoutez une action End While.
294
|
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES SCRIPTS
EXÉCUTION D’UN SCRIPT
Après la création d’un script dans la rubrique Script, vous devez configurer
votre présentation afin de l’exécuter. La manière dont vous configurez votre
présentation pour exécuter un script dépend du moment souhaité pour
cette exécution.
EXÉCUTION D’UN SCRIPT LORS D’UN ÉVÉNEMENT UTILISATEUR
Pour exécuter un script quand un événement utilisateur se produit :
1 Cliquez sur l’onglet Événement dans la palette Interactif.
2 Sélectionnez l’objet dans la liste Objet.
3 Choisissez éventuellement une préférence de curseur dans le menu
déroulant Curseur.
4 Choisissez une option dans le menu déroulant Événement utilisateur.
5 Choisissez éventuellement un son à émettre dans le menu déroulant
Evénement son.
6 Choisissez Script > Exécuter dans le menu déroulant Action.
7 Choisissez le script dans le menu déroulant Script.
EXÉCUTION D’UN SCRIPT À PARTIR D’UN AUTRE SCRIPT
Pour exécuter un script à partir d’un autre script :
1 Cliquez sur l’onglet Script dans la palette Interactif.
2 Sélectionnez le script dans la liste Script.
3 Ajoutez une nouvelle action au script.
4 Choisissez Script > Exécuter dans le menu déroulant Action.
5 Choisissez le script dans le menu déroulant Script.
EXÉCUTION D’UN SCRIPT LORSQU’UN UTILISATEUR ACCÈDE À UNE
PAGE OU LA QUITTE
Pour exécuter un script lorsqu’un utilisateur accède à une page ou la quitte :
1 Cliquez sur l’onglet Page dans la palette Interactif.
2 Sélectionnez une page dans la liste Page.
3 Choisissez le script dans le menu déroulant Script d’entrée ou Script de sortie.
EXÉCUTION D’UN SCRIPT LORSQU’UN UTILISATEUR APPUIE SUR UNE
COMBINAISON DE TOUCHES
Pour exécuter un script lorsqu’un utilisateur appuie sur une combinaison
de touches :
1 Cliquez sur l’onglet Touches dans la palette Interactif.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
295
UTILISATION DES SCRIPTS
2 Sélectionnez une option dans la liste Page.
3 Cliquez sur
pour ajouter un raccourci au script.
4 Entrez la combinaison de touches dans le champ Alias touches.
5 Choisissez le script dans le menu déroulant Script.
EXPORTATION ET IMPORTATION DES SCRIPTS
Vous pouvez exporter des scripts à l’aide du bouton
et en importer à l’aide
du bouton
dans la rubrique Scripts de la palette Interactif (menu Fenêtre).
Notez que lorsque vous utilisez le bouton Exporter, seuls les scripts sélectionnés
sont exportés.
PRÉVISUALISATION ET EXPORTATION DES MISES EN PAGE INTERACTIVES
Le développement des mises en page interactives est souvent un processus
itératif au cours duquel un graphiste doit prévisualiser sans arrêt la mise en
page exportée pendant son travail. Les tests sont importants pour assurer que
le projet terminé fonctionne comme le graphiste l’a prévu. Pour répondre à ce
besoin, QuarkXPress permet une prévisualisation d’un clic de souris et offre
une fonction Usage permettant de vérifier les différents fichiers médias utilisés
dans un projet.
Les tests terminés, le projet peut être exporté. Le format SWF est personnalisable ; vous pouvez exporter un projet dans un format adapté au support cible.
QuarkXPress permet d’accéder à la majeure partie des options personnalisables
disponibles pour le format SWF.
PRÉVISUALISATION D’UNE MISE EN PAGE PRÉSENTATION
Pour visualiser l’aspect final d’une mise en page Présentation après son
exportation, effectuez une des opérations suivantes :
• Pour afficher l’aperçu de la page en cours de la mise en page Présentation dans
Flash Player, choisissez Mise en page > Prévisualiser SWF > Prévisualiser page.
• Pour afficher un aperçu de la mise en page Présentation active à partir de
la première page désignée dans Flash Player, choisissez Mise en page >
Prévisualiser SWF > Prévisualiser mise en page ou cliquez sur le bouton
au bas de la fenêtre de projet.
Lorsque vous avez terminé, appuyez sur Pomme+Q/Ctrl+F4 pour quitter le
programme ou retournez simplement dans QuarkXPress.
***
296
|
Pour prévisualiser une présentation, Flash Player doit être installé sur
votre système.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
PRÉVISUALISATION ET EXPORTATION DES MISES EN PAGE INTERACTIVES
VÉRIFICATION DE L’UTILISATION D’UN OBJET INTERACTIF
Outre la vérification du statut des polices et des images, la boîte de dialogue
Usage permet également de contrôler celui des séquences d’images, des boutons
multi-états, des sons, des vidéos et des fichiers SWF importés. Pour afficher
cette boîte de dialogue, choisissez Utilitaires > Usage et cliquez sur
l’onglet Multimédia.
• La case à cocher Sortie permet de contrôler si les objets multimédias individuels
sont exportés. Ceci peut être utile pour la résolution des problèmes.
• La case à cocher Convertir (disponible pour les sons) vous permet de convertir
les fichiers non MP3 au format MP3 à l’exportation.
EXPORTATION D’UNE MISE EN PAGE PRÉSENTATION
Vous disposez de trois options d’exportation d’une mise en page Présentation :
• SWF : crée un fichier affichable dans un exemplaire de Macromedia Flash
Player. Cette application installée avec QuarkXPress 7 est disponible gratuitement sur le site d’Adobe à l’adresse www.adobe.com. Ce format d’exportation
autorise l’inclusion d’une page HTML élaborée dans une autre application,
mais n’est visible que si Flash Player est installé sur l’ordinateur.
• Projecteur Windows : crée un fichier unique contenant la présentation
exportée et Flash Player 7. Sous Windows, la présentation peut être affichée
en double-cliquant sur ce fichier.
• Projecteur Macintosh (Mac OS uniquement) : crée un fichier unique contenant la présentation exportée et Flash Player 7. Sous Mac OS, la présentation
peut être affichée en double-cliquant sur ce fichier.
***
L’option Projecteur Macintosh n’est actuellement disponible que sous Mac OS.
Pour exporter la mise en page interactive active :
1 Choisissez Fichier > Exporter > Exporter pour Macromedia Flash. La boîte
de dialogue Exporter pour Macromedia Flash s’affiche.
2 Choisissez une option d’exportation, décrite ci-dessus.
3 Pour afficher la présentation SWF exportée en mode plein écran par défaut,
cochez Exporter en plein écran.
4 Utilisez le champ Pages pour indiquer les pages à inclure.
5 Pour spécifier les options d’exportation, cliquez sur Options. La boîte de
dialogue Options d’exportation s’affiche. Pour plus d’informations sur les
options d’exportation disponibles, reportez-vous à Configuration des
paramètres d’exportation.
6 Cliquez sur Enregistrer.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
297
PRÉVISUALISATION ET EXPORTATION DES MISES EN PAGE INTERACTIVES
CONFIGURATION DES PARAMÈTRES D’EXPORTATION
Lors de l’exportation d’une mise en page Présentation au format SWF, vous
pouvez contrôler plusieurs paramètres accessibles via la boîte de dialogue
Paramètres d’exportation, que vous pouvez afficher des manières suivantes :
• Cliquez sur le bouton Options de la boîte de dialogue Fichier > Exporter >
Exporter pour Macromedia Flash pour rendre disponibles les rubriques
Polices et Compression.
• Choisissez le bouton Mise en page interactive > SWF > Options par défaut
dans la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition) pour
rendre disponibles les rubriques Format de fichier, Polices et Compression.
La boîte de dialogue Paramètres d’exportation permet de spécifier le format
d’une présentation exportée.
La rubrique Format de fichier permet de définir des valeurs par défaut pour
les options d’exportation qui s’affichent dans la boîte de dialogue Fichier >
Exporter > Exporter pour Macromedia Flash. Cette rubrique n’apparaît que
si vous ouvrez la boîte de dialogue via la boîte de dialogue Préférences.
Dans la rubrique Polices, la case à cocher Intégrer toutes les polices permet
d’inclure toutes les polices nécessaires au rendu correct du texte dans les objets
Bloc de texte du fichier SWF exporté. Notez que les blocs de texte qui ne sont
pas des objets Bloc de texte s’affichent toujours avec la police attribuée, quel
que soit ce paramètre.
***
298
|
Pour garantir l’imbrication d’une police, elle doit être appliquée à au moins
un caractère ou paragraphe vide d’un objet Bloc de texte n’importe où dans la
mise en page.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
PRÉVISUALISATION ET EXPORTATION DES MISES EN PAGE INTERACTIVES
Les contrôles ci-après sont disponibles dans la rubrique Compression :
• Curseur Qualité JPEG : permet de contrôler la qualité des images JPEG dans le
fichier SWF exporté. Une qualité supérieure peut donner un meilleur résultat
mais crée un fichier plus volumineux.
• Case à cocher Ne pas compresser audio : un son audio non compressé peut
donner un meilleur résultat mais crée un fichier plus volumineux.
• Menu déroulant Compatible avec : permet de choisir la version compatible
minimale de Flash Player. En règle générale, une version inférieure signifie
une plus grande compatibilité avec les navigateurs mais ne prend pas nécessairement en charge toutes les fonctions de votre présentation. Par exemple,
la version 6 de Flash Player ne prend pas en charge le format vidéo FLV. Cette
valeur n’est utilisée que si vous exportez sans Flash Player intégré ; sinon, la
version 9 est toujours utilisée.
UTILISATION DES EXPRESSIONS
Les expressions, variables, opérateurs et fonctions peuvent être combinés pour
former un langage de programmation permettant de créer des présentations
interactives avec logique intégrée. La plupart des projets ne nécessitent pas
d’expressions ; les contrôles de la palette Interactif suffisent pour construire la
plupart des types de présentations multimédias. Toutefois, pour les utilisateurs
plus chevronnés souhaitant davantage de contrôle, les expressions offrent un
niveau de performance supérieur.
EXPRESSIONS
Une expression est un ensemble bref d’instructions indiquant à une présentation
interactive d’effectuer une opération. Exemple :
Box1.SetOpacity(50)
Cette expression indique à une présentation interactive de paramétrer l’opacité
du bloc d’image appelé Box1 sur 50 %.
Chaque expression se compose de plusieurs parties. Une expression peut être
constituée des cinq composants suivants :
• Paramètres
• Variables
• Opérateurs
• Fonctions
• Objets
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
|
299
UTILISATION DES EXPRESSIONS
Dans cet exemple, Box1 est un objet, SetOpacity, une fonction et 50, un
paramètre. En combinant ces éléments dans un ordre spécifique, nous allons
créer une expression qui indiquera à la présentation interactive de placer le
texte dans le bloc.
PARAMÈTRES
Un paramètre est une information. Il peut s’agir de n’importe quoi, d’un
nombre entier à un objet interactif. Un type de variable est disponible pour
chaque type de paramètre.
VARIABLES
Une variable est un emplacement permettant de stocker une information. Elle
peut être considérée comme un logement dans lequel vous insérez une valeur.
Les mises en page Présentation acceptent les types de variables suivants :
• Nombre entier : nombre entier compris entre –2 147 483 648
et 2 147 483 647 inclus.
• Décimal : nombre fractionnaire compris entre –9x10 306 et 9x10 306 avec
une précision de 15 positions décimales.
• Chaîne : série de 255 lettres, nombres ou signes de ponctuation au maximum.
• Booléen : vrai ou faux.
• Point : coordonnée x, y (par exemple, 10, 20). Chaque valeur doit être un
nombre entier compris entre –2 147 483 648 et 2 147 483 647 inclus.
• Objet : référence à un objet interactif.
Chaque variable possède un nom unique. Lorsque vous utilisez le nom d’une
variable dans une expression, vous indiquez à une présentation interactive de
rechercher la valeur stockée dans cette variable pour l’utiliser dans l’expression.
Prenons l’exemple d’une variable nombre entier nommée IntVar qui contient
le chiffre 6. Vous pouvez créer l’expression suivante :
Box1.Append(IntVar)
Lorsque cette expression est exécutée (ou évaluée), la présentation interactive
retrouve la valeur stockée dans la variable appelée IntVar (6) et la place dans
le bloc appelé Box1. Le bloc de texte Box1 contiendra donc le chiffre 6.
Les variables peuvent être très utiles. Vous pouvez les utiliser pour stocker
des informations, telles que le numéro de la dernière page visitée dans une
présentation, le nom de l’utilisateur final ou le nombre de points qu’il a marqués
au cours d’un jeu.
***
300
|
Les noms de variable ne sont pas sensibles à la casse.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES EXPRESSIONS
OPÉRATEURS
Les opérateurs sont des symboles (tels que + et -) qui permettent d’additionner, de soustraire, de multiplier, de diviser ou d’effectuer de nombreux autres
types d’opérations.
Le signe égal est l’opérateur le plus important car il vous permet d’affecter
une valeur à une variable. Dans l’exemple précédent, nous aurions pu utiliser
l’expression simple suivante pour placer le chiffre 6 dans la variable IntVar :
IntVar = 6
Cette expression indique à une présentation interactive de placer la valeur
située après le signe égal dans la variable nommée IntVar.
D’autres opérateurs vous permettent de combiner ou de comparer des nombres
et d’autres valeurs. Exemple :
IntVar = 2 + 4
Cet exemple utilise deux opérateurs : le signe égal et le signe plus. Lorsque
cette expression est exécutée, votre présentation interactive ajoute 2 + 4 et
place le résultat dans IntVar.
***
Utilisez un seul signe égal (=) pour l’affectation et deux signes égal (==) pour
contrôler l’égalité des valeurs.
FONCTIONS
Les fonctions sont des commandes permettant d’effectuer des opérations
complexes. Il existe de nombreuses sortes de fonctions mais toutes utilisent
le même format :
nomFonction()
Certaines fonctions requièrent l’ajout d’un argument (paramètre ou variable)
entre parenthèses après le nom de la fonction et d’autres exigent de laisser
des parenthèses vides. Les parenthèses doivent toujours être ajoutées, qu’elles
contiennent ou non des éléments.
FONCTIONS NÉCESSITANT DES PARAMÈTRES
Certaines fonctions requièrent l’ajout d’un paramètre ou d’une variable entre
leurs parenthèses. Lorsque vous insérez un paramètre ou une variable entre
les parenthèses d’une fonction, on parle de transmission du paramètre ou de
la variable à la fonction. Exemple :
Box1.Append(IntVar)
Dans cette expression, la valeur de la variable IntVar est transmise à la fonction
Append. La fonction Append traite à son tour ce paramètre en le plaçant dans
un objet Bloc de texte appelé Box1.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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301
UTILISATION DES EXPRESSIONS
FONCTIONS RETOURNANT DES VALEURS
Certaines fonctions sont conçues pour effectuer un calcul ou déterminer
la condition d’un objet. Ces fonctions créent des informations, telles que
le résultat du calcul ou l’état de l’objet. En fin d’exécution, ces fonctions
renvoient l’information.
Prenons, par exemple, la fonction Number.sqrt(). Elle calcule la racine carrée
des valeurs qui lui sont transmises. Si vous souhaitez trouver la racine carrée
du nombre 25, vous pouvez le noter comme suit : Number.sqrt(25).
Toutefois, Number.sqrt(25) ne constitue pas une expression complète car elle
n’indique pas à la présentation interactive que faire de la valeur retournée (la
racine carrée de 25 ou 5). Pour compléter l’expression, vous devez indiquer à
la présentation interactive où placer l’information.
Vous pouvez par exemple la placer dans une variable :
IntVar = Number.sqrt(25)
Après évaluation de l’expression, IntVar est égal à 5.
***
Pourquoi cette fonction commence-t-elle par Number ? Dans ce cas, Number
indique simplement qu’il s’agit d’une fonction numérique. Pour plus
d’informations, reportez-vous à Objets.
OBJETS
Certaines fonctions requièrent un objet (un élément sur lequel exercer une
action). Elles peuvent modifier l’état de l’objet ou extraire des informations
le concernant. Ces fonctions sont appelées fonctions objet ou méthodes. Nous
utilisons la syntaxe suivante pour ces fonctions :
nomObjet.nomFonction()
Les fonctions objet opèrent comme les autres fonctions. Nous avons déjà étudié
cet exemple :
Box1.Append(IntVar)
Ici, l’objet bloc de texte appelé Box1 est l’objet dans lequel nous souhaitons que
la fonction Append place la valeur représentée par IntVar. Cette fonction est
un exemple de fonction objet qui ne renvoie pas de valeur.
Voici un exemple de fonction objet renvoyant une valeur :
MyVariable = Box1.IsVisible()
Dans cette expression, la fonction IsVisible vérifie si l’objet appelé Box1 est
visible, puis place le résultat booléen (vrai ou faux) dans la variable nommée
MyVariable.
302
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES EXPRESSIONS
Outre des objets interactifs, certaines fonctions objet vous permettent d’accéder
à d’autres types d’objets. Exemple :
MyVariable = Number.Sqrt(2)
L’objet Number est tout simplement une bibliothèque de fonctions mathématiques, plutôt qu’un objet interactif. Cette expression indique à la fonction
Sqrt de l’objet Number de calculer la racine carrée de 2 et de placer le résultat
dans la variable nommée MyVariable.
***
Pour référencer un objet dans une expression, celui-ci doit suivre certaines
conventions d’appellation. Il ne peut pas commencer par un chiffre et ne peut
pas contenir d’autres symboles que le symbole du dollar ($) ou un trait de
soulignement (_). S’il contient des espaces, vous pouvez les remplacer par des
traits de soulignement lorsque vous y faites référence dans une expression.
UTILISATION DE LA BOÎTE DE DIALOGUE ÉDITEUR EXPRESSIONS
Le bouton Éditeur expressions
permet d’afficher la boîte de dialogue du
même nom. Celle-ci permet de créer des expressions de deux façons :
• si vous n’avez pas encore l’habitude d’utiliser les expressions, vous pouvez en
créer en double-cliquant sur les éléments de listes dans la moitié supérieure de
la boîte de dialogue dans l’ordre approprié.
• Si vous maîtrisez la syntaxe des expressions, vous pouvez les entrer directement
dans le grand champ d’édition.
La boîte de dialogue Éditeur expressions permet de créer et de valider
des expressions.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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303
UTILISATION DES EXPRESSIONS
Vous pouvez créer divers types d’expressions. Voici les plus courants :
• Appel d’une fonction sur un objet interactif : dans ce cas, il s’agit essentiellement
d’indiquer à un objet de faire quelque chose. Par exemple, pour rendre un
objet masqué visible, vous pouvez appeler la fonction SetVisible sur cet objet,
comme suit : MyBox.SetVisible(true)
• Affectation d’une valeur à une variable : ici, vous changez la valeur d’une variable.
Par exemple, vous pouvez affecter le contenu d’un objet Bloc de texte à une
variable nommée NomUtilisateur : NomUtilisateur = MyTextBox.GetText()
APPEL D’UNE FONCTION SUR UN OBJET INTERACTIF
Pour créer une expression qui appelle une fonction sur un objet interactif :
1 Pour agir sur un objet interactif déjà présent dans la mise en page, sélectionnez
le nom de celui-ci dans la liste Objets. Utilisez le menu déroulant en haut de
la liste pour limiter la liste d’objets par type.
2 Double-cliquez sur le nom de l’objet pour l’ajouter à la zone d’édition.
3 Pour afficher la liste des fonctions qui peuvent être appelées sur ce type d’objet particulier, choisissez ce dernier dans le menu déroulant Fonctions. Par
exemple, si vous travaillez sur un objet Animation, choisissez Animation.
4 Faites défiler la liste Fonctions jusqu’à la fonction souhaitée. Pour déterminer
ce qu’une fonction effectue, cliquez sur son nom et consultez la description
qui apparaît au bas de la boîte de dialogue. Pour ce type d’expression, il vous
faut généralement une fonction qui ne renvoie pas de valeur. Recherchez donc
une description qui ne commence pas par le mot Get. Par exemple, pour lancer
la lecture d’un objet Animation, choisissez Animation.play().
5 Double-cliquez sur le nom de la fonction pour l’ajouter à la zone d’édition.
6 Pour vérifier l’exactitude de l’expression, cliquez sur Valider. Notez que ce bouton
ne vérifie que la syntaxe de votre expression ; la validité d’une expression ne
signifie pas nécessairement qu’elle effectue l’opération souhaitée.
7 Cliquez sur OK.
Lorsque l’expression est évaluée, la fonction indiquée est appelée sur l’objet
spécifié. Dans ce cas, l’animation démarre.
AFFECTATION D’UNE VALEUR À UNE VARIABLE
Pour créer une expression affectant une valeur à une variable :
1 Si vous n’avez pas encore créé de variable, cliquez sur Créer/Modifier au-dessus
de la liste Variables pour afficher la boîte de dialogue Variables.
304
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CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
UTILISATION DES EXPRESSIONS
2 Cliquez sur le bouton, entrez un nom pour la variable et choisissez un type dans
le menu déroulant Type. Si vous souhaitez que la variable soit un tableau, cochez
Tableau et entrez le nombre d’éléments dans le champ Éléments. Cliquez
sur OK.
***
Les éléments d’un tableau sont accessibles à l’aide du nom et de la position
des variables dans le tableau.
3 Dans la liste Variables, double-cliquez sur le nom de la variable pour l’ajouter
à la zone d’édition. Par exemple, pour extraire le texte d’un objet Bloc de texte
et le placer dans une variable chaîne appelée NomUtilisateur, double-cliquez
sur NomUtilisateur dans la liste Variables.
4 Pour insérer un signe égal, double-cliquez dessus dans la zone Opérateurs ou
insérez-le manuellement.
5 En général, la valeur que vous affectez à une variable provient d’un objet
interactif ou d’un calcul quelconque.
• Pour affecter une valeur à partir d’un objet interactif, double-cliquez sur le
nom de l’objet dans la liste Objets, puis sur un nom de fonction dans la liste
Fonctions. Par exemple, pour extraire le contenu d’un objet Bloc de texte
appelé MyTextBox, double-cliquez sur MyTextBox dans le menu Objets, puis
sur Text Object.GetText() dans la liste Fonctions.
• Pour affecter le résultat d’un calcul comme valeur, utilisez les fonctions appropriées de la liste Fonctions et/ou les opérateurs appropriés de la liste Opérateurs.
Par exemple, pour convertir la valeur stockée dans la variable chaîne
NomUtilisateur en lettres capitales, ajoutez NomUtilisateur.ToUpperCase() à
l’expression à l’aide des listes Objets et Fonctions. Ou, pour calculer la longueur
combinée de deux chaînes, ajoutez String1 + String2 à la zone d’édition à l’aide
des listes Variables et Opérateurs.
6 Pour vérifier la validité de l’expression, cliquez sur Valider. Notez que ce
bouton ne vérifie que la syntaxe de votre expression ; une expression valide
ne signifie pas nécessairement qu’elle effectue l’opération souhaitée.
7 Cliquez sur OK.
CHAPITRE 11 : MISES EN PAGE INTERACTIVES
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305
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
Chapitre 12 : Job Jackets
La fonction Job Jackets constitue une étape révolutionnaire au-delà du preflight
(préparation de copie) : elle permet de vérifier qu’un travail d’impression
respecte les spécifications depuis sa création, et qu’il continue de les respecter
jusqu’après son passage sous presse. De plus, la fonction Job Jackets étend le
concept d’application des spécifications du travail au-delà du domaine de
l’utilisateur individuel en reliant des projets à des spécifications de conception
synchronisées, actualisables de manière dynamique, comprenant tous les
éléments nécessaires, des feuilles de style et des couleurs aux dimensions et
nombre de pages.
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
La fonction Job Jackets a deux fonctions principales :
• permettre au créateur de projet d’élaborer des spécifications détaillées pour les
mises en page papier et Web ;
• permettre à un maquettiste de créer des projets et des mises en page à partir de
ces spécifications, de partager celles-ci avec d’autres maquettistes et de vérifier
qu’une mise en page respecte ses spécifications.
Les dossiers de fabrication Job Jackets ont été créés pour simplifier la tâche
complexe représentée par l’élaboration d’une mise en page et son envoi à
la production.
Par exemple, pensez à certaines difficultés qui compliquent le travail des créateurs de mises en page papier. Les diverses presses ont des capacités différentes
et les applications de mise en page modernes doivent être suffisamment polyvalentes pour prendre en charge toutes ces capacités. Aussi, plusieurs problèmes
peuvent se poser, surtout quand on compte l’inévitable possibilité d’une erreur
humaine. En voici quelques exemples :
• Un maquettiste peut utiliser des couleurs ou des graphiques importés qui ne
peuvent pas être reproduits correctement sur la presse cible.
• Un document envoyé à la production compte 112 pages au lieu des 100 prévues.
• Un projet peut être envoyé vers le périphérique de sortie sans les fichiers
graphiques ou les polices nécessaires.
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
• Une mise en page avec un petit texte en une couleur d’accompagnement peut
être envoyée sur une machine à quatre couleurs, ce qui produit un texte illisible.
• Les paramètres de gestion de la couleur peuvent être configurés de manière
erronée pour le périphérique de sortie, ce qui provoque des résultats inattendus.
Les travaux d’impression volumineux et complexes sont davantage susceptibles
aux erreurs et le coût de celles-ci est encore plus important. La fonction Job
Jackets empêche la création de travaux impossibles à imprimer ou construits
de manière erronée.
DESCRIPTION DES FICHIERS JOB JACKETS
(DOSSIERS DE FABRICATION)
Du point de vue technique, les dossiers de fabrication sont des structures
XML comprenant des spécifications et des règles de création et d’inspection
des mises en page QuarkXPress. D’un point de vue conceptuel, une structure
Job Jackets peut être comparée à celle d’un dossier contenant des bons de travail décrivant les différents types de projets et de mises en page, et donnant
d’autres informations.
Les dossiers de fabrication sont basés sur la dernière version du schéma JDF
(Job Definition Format). Job Jackets vous laisse contrôler les spécifications
QuarkXPress et permet également de définir des valeurs pour diverses autres
spécifications couvertes par la norme JDF, telles que les paramètres de reliure
et de transition. Lorsque vous envoyez une mise en page en production, vous
avez la possibilité d’inclure les données JDF de cette mise en page afin que les
systèmes en aval les utilisent à des fins d’automatisation et d’information. La
spécification Job Jackets est extensible. Les développeurs de systèmes compatibles
JDF peuvent intégrer des paramètres spécifiques à leur propre implémentation
dans des dossiers de fabrication avant de transmettre ces derniers au maquettiste.
Ces paramètres peuvent alors être conservés dans le fichier Job Jackets et utilisés
par des logiciels XTensions, par des applications compatibles JDF ou par d’autres
systèmes, pour automatiser et rationaliser un grand nombre de processus.
Job Jackets vous permet également de collaborer au sein d’un groupe de travail.
Plusieurs maquettistes travaillant sur des mises en page utilisant un même
ensemble de spécifications peuvent relier leurs projets à un fichier Job Jackets
partagé. Ainsi, lorsqu’un maquettiste modifie une feuille de style, par exemple,
ce changement peut être appliqué automatiquement aux mises en page de
ses collègues.
STRUCTURE JOB JACKETS
Les dossiers de fabrication Job Jackets sont des structures XML contenant des
spécifications et des règles. Les rubriques ci-dessous décrivent l’organisation
de celles-ci dans ces dossiers.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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307
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
RESSOURCES
Les dossiers de fabrication Job Jackets contiennent des ressources, notamment :
1 des ressources de niveau projet : éléments qui peuvent être appliqués à un objet
particulier, tels que les feuilles de style, les couleurs, les styles de sortie et les
paramètres de gestion de la couleur.
2 des ressources de niveau mise en page : éléments qui peuvent être appliqués à une
mise en page particulière, notamment :
• des spécifications de mise en page : paramètres pouvant être utilisés pour attribuer
une taille, une orientation particulières, etc. à une mise en page.
• des spécifications de sortie : paramètres pouvant être utilisés pour configurer un
projet afin de permettre la sortie correcte de celui-ci sur un périphérique particulier.
• des règles et ensembles de règles : tests à exécuter pour inspecter une mise en page
et vérifier qu’elle respecte les spécifications.
En plus des ressources décrites ci-dessus, les dossiers de fabrication Job Jackets
peuvent contenir certaines ressources informationnelles, notamment :
• descriptions de travail : cette catégorie comprend un numéro de travail, une
révision, des instructions, des notes et des mots-clés.
• contacts : coordonnées des créateurs du projet et des autres utilisateurs associés
à celui-ci. L’ajout de contacts facilite la recherche de l’utilisateur concerné en
cas de problème.
BONS DE TRAVAIL
Les ressources dans Job Jackets sont classées dans un ou plusieurs bons de travail.
Chacun d’entre eux contient un ensemble de ressources particulières pouvant
être appliquées à un projet QuarkXPress.
Dans un bon de travail, les ressources sont groupées comme suit :
1 Paramètres de projet : ensemble de ressources de niveau projet pouvant être
appliquées à un projet unique. Les paramètres de projet comportent des
éléments comme des feuilles de style, des couleurs, des styles de sortie et
des paramètres de gestion de la couleur. Chaque bon de travail contient un
ensemble de paramètres de projet.
2 Définitions de mise en page : ensembles de ressources de niveau mise en page
pouvant être appliqués à une mise en page unique. Chaque bon de travail
peut contenir zéro définition de mise en page ou plus. Chaque définition de
mise en page peut comprendre les éléments suivants :
• une spécification de mise en page (dimensions, orientation de page, etc.)
• zéro spécification de sortie ou plus (configurations pour un périphérique de
sortie particulier)
• zéro ensemble de règles ou plus (pour inspecter la mise en page)
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
• un type de support (papier ou Web)
• des paramètres de gestion de la couleur (paramétrages de la source et de
la sortie)
• des spécifications d’épreuves (sortie et mode colorimétrique des épreuves)
• des ressources informationnelles (description, description du travail
et instructions).
Les ressources sont définies et stockées dans une structure Job Jackets. Un bon
de travail contient un ensemble de paramètres pour un type particulier de projet
et des définitions de mise en page pour zéro mise en page ou plus. Notez que les
définitions de ressources ne résident pas dans les bons de travail ; ceux-ci réfèrent
à ou pointent vers des définitions de ressources, stockées dans la structure
Job Jackets.
BONS DE TRAVAIL ET GABARITS DE BON DE TRAVAIL
Il existe trois types de bons de travail :
• Un gabarit de bon de travail définit une matrice de bon de travail. Par certains
aspects, un gabarit de bon de travail est semblable à une page maquette ou à
un fichier de gabarit QuarkXPress.
• Un bon de travail actif est une copie d’un gabarit de bon de travail associée à
un projet particulier.
• Un bon de travail différé est une copie d’un gabarit de bon de travail qui était
associée à un projet, mais ne l’est plus (par exemple, si le projet a été fermé
sans être enregistré).
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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309
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
Un fichier Job Jackets peut contenir des gabarits de bon de travail (comportant
des définitions de bons de travail), des bons de travail actifs (associés à un projet
particulier) et des bons de travail différés (qui étaient associés à un projet, mais ne
le sont plus).
Chaque gabarit permet de générer des bons de travail pour un ou plusieurs
projets. Chaque gabarit de travail ne peut s’appliquer qu’à un seul projet. À ce
moment, les ressources de ce bon de travail sont disponibles dans le projet
(par exemple, le projet hérite de toutes les définitions de couleur, de feuille de
style et de mise en page contenues dans le bon de travail).
Il existe deux méthodes d’application d’un bon de travail à un projet :
• Lorsque vous créez le projet, choisissez Fichier > Créer > Projet du bon, puis
sélectionnez un gabarit de bon de travail. QuarkXPress copie les informations
du gabarit dans un nouveau bon de travail pour le nouveau projet. Ce dernier
contient automatiquement une mise en page préconfigurée pour chacune
des définitions de mise en page du gabarit, plus tous les paramètres du projet
définis dans le gabarit du bon de travail.
• Créez ou ouvrez un projet, puis choisissez Fichier > Job Jackets > Lier projet
et sélectionnez un gabarit de bon de travail. QuarkXPress copie à nouveau les
informations du gabarit dans un nouveau bon de travail pour ce projet particulier. Le projet acquiert tous les paramètres du projet définis dans le gabarit de
bon de travail. Une nouvelle mise en page préconfigurée est créée pour chacune
des définitions de mise en page dans le gabarit de bon de travail.
***
Un bon de travail ne conserve aucun lien au gabarit à partir duquel il a été
créé. Les modifications apportées à ce dernier ne sont pas transmises aux bons
de travail existants.
DOSSIERS JOB JACKETS LIÉS ET IMBRIQUÉS
Chaque projet QuarkXPress est associé à une structure Job Jackets. Celle-ci peut
être imbriquée dans le projet ou stockée dans un fichier Job Jackets XML du
système de fichiers local. L’emplacement de cette structure dépend du mode
de création du projet ; pour plus d’informations, reportez-vous à Application
d’un gabarit de bon de travail à un projet.
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
Une structure Job Jackets peut exister en tant que fichier XML dans le système de
fichiers ou peut être imbriquée dans le fichier du projet.
Par défaut, les fichiers Job Jackets non imbriqués sont stockés à l’emplacement
indiqué dans le volet Job Jackets de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition). Vous pouvez toutefois stocker des fichiers Job Jackets
où vous le souhaitez. Par exemple, si vous partagez un fichier Job Jackets entre
les maquettistes d’un groupe de travail (voir Dossiers Job Jackets partagés), vous
pouvez décider de placer ce fichier sur un serveur réseau auquel tout le monde
a accès.
Pour changer l’emplacement de stockage par défaut des dossiers de fabrication
Job Jackets, ouvrez le volet Job Jackets de la boîte de dialogue Préférences
(menu QuarkXPress/Édition), cliquez sur Spécifier chemin, sur le bouton
Sélectionner et accédez au répertoire cible.
FICHIERS JOB JACKETS PARTAGÉS
Une structure de dossier de fabrication imbriquée peut être utilisée pour un
seul projet : celui dans lequel elle est imbriquée. Mais un fichier Job Jackets
autonome peut être partagé par plusieurs projets. (Pour être plus précis, un
fichier Job Jackets partagé peut fournir des définitions de ressources aux bons
de travail utilisés par plusieurs projets.)
Un fichier Job Jackets partagé permet à plusieurs projets de partager des ressources.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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311
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
Lorsque deux projets partagent un fichier Job Jackets, ils peuvent synchroniser toutes les ressources existant dans les deux bons de travail. Ainsi, par
exemple, si le propriétaire du projet 1 modifie une définition de couleur
existant dans les deux bons de travail, cette définition peut être mise à jour
automatiquement dans le projet 2.
EXEMPLE DE FLUX DE TRAVAIL JOB JACKETS
Cette rubrique décrit un flux de production Job Jackets possible. Notez qu’il ne
s’agit pas du seul flux possible ; il s’agit simplement d’un exemple d’utilisation
des dossiers de fabrication. Les définitions ci-après sont utilisées :
• Créateur de projet : celui qui sait en quoi consiste le travail d’impression, par
exemple, nombre de pages, dimensions, couleurs, etc.
• Spécialiste de la sortie : celui qui sait comment le travail d’impression doit être
créé et configuré afin d’être imprimé correctement sur la presse cible.
• Maquettiste : créateur réel de la mise en page dans QuarkXPress.
Le flux de production prévu pour Job Jackets se présente comme suit :
1 Un spécialiste de la sortie et un créateur de projet définissent ensemble les
spécifications et règles de sortie convenant à un travail d’impression (ou pour
un ensemble de travaux d’impression), notamment des éléments tels que les
dimensions de page, le nombre de pages, la liste des couleurs, les paramètres de
défonce, les feuilles de style, l’épaisseur des traits et les espaces colorimétriques
valables pour les images importées.
2 Le créateur du projet utilise ces spécifications et ces règles pour construire un
gabarit de bon de travail dans un fichier Job Jackets. Le gabarit de bon de travail décrit un projet particulier et peut comporter des spécifications et des
règles différentes pour chaque mise en page du projet (ici, une seule mise en
page est définie dans le gabarit de bon de travail). Lorsque le fichier Job Jackets
est terminé, le créateur du projet le donne à la maquettiste.
3 Celle-ci crée un projet à partir du gabarit de bon de travail à l’aide de la commande Fichier > Créer > Projet du bon. QuarkXPress crée automatiquement
un bon de travail à partir du gabarit et l’associe au projet. QuarkXPress lit le
bon de travail et insère automatiquement toutes les ressources de ce dernier
dans le projet (telles que les couleurs, les feuilles de style et les paramètres de
gestion de la couleur). QuarkXPress crée également automatiquement toutes
les mises en page définies dans le bon de travail.
4 En utilisant le bon de travail comme ensemble de directives, la maquettiste construit la mise en page. De temps en temps, elle choisit Fichier > Job Jackets >
Évaluer mise en page pour vérifier qu’elle respecte bien les directives définies
dans le bon de travail. À ce moment, une boîte de dialogue lui permet d’identifier et de rechercher les éléments de conception qui ne respectent pas les règles
312
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
PRÉSENTATION DE LA FONCTION JOB JACKETS
définies dans le bon de travail. Elle peut ainsi résoudre les problèmes dès leur
apparition plutôt que d’attendre leur découverte au prépresse.
5 Lorsqu’une mise en page est terminée, la maquettiste l’envoie en production
via une des méthodes suivantes : publipostage, rassemblement des informations pour la sortie ou exportation en PDF ou PDF/X. Si le fichier Job Jackets
inclut des spécifications de sortie, elles peuvent être utilisées pour générer le
document dans des formats et avec des paramètres spécifiques. La mise en
page ayant été élaborée selon les spécifications fournies par le gabarit de bon
de travail, elle est correcte lorsqu’elle arrive sous presse.
UTILISATION DE JOB JACKETS
Les données Job Jackets sont stockées au format XML. Toutefois, QuarkXPress
fournit une interface complète qui facilite la création et la modification des
fichiers Job Jackets. Les rubriques suivantes décrivent les éléments de base de
l’interface utilisateur Job Jackets.
MODES DE BASE ET AVANCÉ
La boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (Utilitaires > Gestionnaire
Job Jackets) propose une interface unifiée dans laquelle un créateur de
projet peut élaborer et configurer des dossiers de fabrication Job Jackets et
leurs composants.
La boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets présente les dossiers de fabrication
dans le fichier Job Jackets par défaut (reportez-vous à Fichier Job Jackets par
défaut), ainsi que les dossiers de fabrication associés aux projets ouverts. Le projet
actif (le cas échéant) est affiché en gras avec un astérisque.
La boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets fonctionne en deux modes :
• le mode de base est destiné aux maquettistes et aux créateurs de projet qui
n’ont pas besoin des fonctionnalités JDF avancées de Job Jackets. Ce mode
offre tous les contrôles nécessaires à la création, à la gestion et au partage des
dossiers de fabrication ;
• le mode avancé est conçu pour les administrateurs de production qui souhaitent
utiliser les fonctions JDF pour automatiser et intégrer des éléments de leur flux
de production. Ce mode utilise une interface utilisateur différente qui fournit
un accès aux fonctions du mode de base et à des ressources supplémentaires,
telles que les règles, et des ressources spécifiques JDF, telles que les spécifications
de transition et de reliure.
Pour utiliser le mode avancé, ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job
Jackets (menu Utilitaires) et cliquez sur le bouton Paramètres avancés. Pour
retourner en mode de base, cliquez sur le bouton Paramètres de base.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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313
UTILISATION DE JOB JACKETS
La boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (Utilitaires > Gestionnaire Job
Jackets) permet aux créateurs de projet de manipuler des fichiers Job Jackets et
leurs composants. Cette boîte de dialogue fonctionne en mode de base (à gauche)
et en mode avancé (à droite).
CRÉATION DES FICHIERS JOB JACKETS
Premièrement, quand et pourquoi un créateur de projet élabore-t-il un nouveau
fichier Job Jackets (dossier de fabrication) ? Il n’existe pas de règles précises
pour répondre à cette question : si vous le souhaitez, vous pouvez placer des
bons de travail pour tous vos travaux d’impression dans un grand fichier
Job Jackets. Cependant, voici quelques raisons pour lesquelles nous vous
recommandons de créer des fichiers Job Jackets distincts.
• Si vous envisagez de réaliser plusieurs travaux d’impression partageant les
mêmes ressources (telles que les couleurs, feuilles de style, paramètres de
défonce et de gestion de la couleur, dimensions de page, etc.), vous pouvez
314
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DE JOB JACKETS
créer un fichier Job Jackets pour tous ces travaux d’impression. Par exemple, si
votre studio de création traite avec plusieurs clients ayant chacun leur propre
identité visuelle, vous pouvez créer un fichier Job Jackets pour chaque client.
• Si vous êtes responsable d’un groupe de conception et que vous souhaitez vous
assurer que tous les maquettistes travaillant sur un projet particulier (tel qu’une
campagne publicitaire) utilisent exactement les mêmes ressources, vous pouvez
créer un fichier Job Jackets et un gabarit de bon de travail contenant ces
ressources, et demander à tous les maquettistes de partager ce fichier.
• Si vous êtes prestataire de services prépresse et d’impression, et possédez une
presse particulière avec des spécifications précises, vous pouvez créer un fichier
Job Jackets détaillant ces spécifications pour vos clients (et les aider ainsi à les
respecter). Vous pourriez même télécharger un fichier Job Jackets contenant les
spécifications d’une presse du fabricant.
CRÉATION D’UN FICHIER JOB JACKETS : MODE DE BASE
Pour créer un fichier Job Jackets en mode de base :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (Utilitaires >
Gestionnaire Job Jackets).
2 Si plusieurs listes s’affichent dans la boîte de dialogue, cliquez sur Paramètres
de base pour afficher la rubrique de base.
3 Cliquez sur le bouton Nouveau fichier Job Jackets
. La boîte de dialogue
Nouveaux fichiers Job Jackets s’affiche.
4 Entrez le nom du fichier Job Jackets dans le champ Nom.
5 Si vous souhaitez autoriser plusieurs utilisateurs à partager ce fichier, cochez
la case Partager ce fichier Job Jackets. Si vous ne cochez pas cette case, le
fichier Job Jackets sera imbriqué dans le projet actif (le cas échéant). Notez
que si vous ne partagez pas immédiatement le fichier Job Jackets, vous pouvez
le faire ultérieurement dans la boîte de dialogue Paramétrage collaboration
(menu Fichier). Pour plus d’informations, reportez-vous à Collaboration via
des dossiers de fabrication Job Jackets partagés.)
6 Si vous avez coché la case Partager ce fichier Job Jackets à l’étape précédente,
indiquez l’emplacement de stockage du fichier Job Jackets en choisissant une
option dans le menu déroulant Enregistrer dans :
• Pour utiliser l’emplacement par défaut (reportez-vous à Dossiers de fabrication
Job Jackets liés et imbriqués), choisissez Répertoire dossier par défaut.
• Pour stocker le fichier Job Jackets partagé dans le même dossier que le projet
actif, choisissez Dossier projet.
• Pour stocker le fichier partagé ailleurs, choisissez Autre et recherchez un
répertoire cible (comme un volume réseau accessible par tous les maquettistes).
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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315
UTILISATION DE JOB JACKETS
7 Cliquez sur le contrôle Paramètres pour afficher les rubriques Bons, Paramètres
style, Contacts et Spécifications mise en page.
La boîte de dialogue Nouveau fichier Job Jackets permet d’ajouter des
ressources à un nouveau fichier Job Jackets.
8 Utilisez la rubrique Bons pour ajouter des gabarits de bon de travail au fichier
Job Jackets. Pour plus d’informations, reportez-vous à Création d’un gabarit
de bon de travail : mode de base.
9 Utilisez la rubrique Paramètres style pour ajouter des ressources au fichier
Job Jackets. Vous pouvez ajouter des ressources de niveau projet provenant de
sources diverses à l’aide de l’option Ajouter depuis :
• Pour ajouter des ressources depuis les valeurs par défaut de l’application,
cliquez sur Application.
• Pour ajouter des ressources d’un fichier du projet ou d’un autre fichier Job
Jackets, cliquez sur Autre, puis sur Sélectionner et recherchez le fichier souhaité.
Pour copier des ressources du gabarit de bon de travail, utilisez les trois listes au
bas de la boîte de dialogue. Choisissez un type de ressource dans la première
liste, puis des ressources spécifiques dans la seconde et cliquez sur le bouton
pour copier ces ressources dans la troisième liste (qui affiche les ressources de ce
type dans le gabarit du bon de travail).
Pour retirer des ressources du fichier Job Jackets, choisissez un type de ressource
dans la première liste, puis des ressources spécifiques dans la troisième, et cliquez
sur le bouton Supprimer.
10 Les contacts permettent à tous ceux qui travaillent avec un fichier QuarkXPress
de joindre le créateur du projet en cas de problème. Pour ajouter les coordonnées
d’un contact JDF dans le fichier Job Jackets, cliquez sur l’onglet Contacts, puis sur
le bouton Nouvel élément . Cliquez sur l’icône de développement à côté du
nouveau contact pour en afficher les champs, puis renseignez ces derniers.
316
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DE JOB JACKETS
11 La rubrique Spécifications mise en page permet de définir des attributs tels
que les dimensions de page et le nombre de pages pour les mises en page
générées automatiquement. Pour ajouter une spécification de mise en page
dans le fichier Job Jackets, cliquez sur l’onglet Spécifications mise en page,
puis sur le bouton Nouvel élément . Cliquez sur l’icône de développement
à côté de la nouvelle spécification pour en afficher les champs, puis renseignez
ces derniers.
12 Cliquez sur OK.
CRÉATION D’UN FICHIER JOB JACKETS : MODE AVANCÉ
Pour créer un fichier Job Jackets en mode avancé :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires).
2 Si une seule liste apparaît dans la boîte de dialogue, cliquez sur Paramètres
avancés pour afficher la rubrique avancée.
3 Cliquez sur le bouton Nouveau fichier Job Jackets
. La boîte de dialogue
Nouveau fichier Job Jackets s’affiche.
4 Entrez le nom du fichier Job Jackets, localisez le répertoire cible et cliquez sur
Enregistrer. Si vous souhaitez permettre à plusieurs maquettistes d’utiliser le
même fichier, vous devriez choisir un répertoire accessible à tous sur le réseau.
5 Ajoutez des ressources au fichier Job Jackets comme décrit dans la rubrique
Ajout de ressources à un fichier Job Jackets : mode avancé.
AJOUT DE RESSOURCES À UN FICHIER JOB JACKETS :
MODE AVANCÉ
La procédure suivante est utile si vous souhaitez créer un fichier Job Jackets à
l’aide des ressources d’un projet existant. Par exemple, si vous avez la copie de
l’année précédente d’un projet de brochure et que vous souhaitez inclure toutes
les feuilles de style, couleurs, etc., du projet dans un nouveau fichier Job Jackets,
vous pouvez le faire en suivant cette procédure. Vous pouvez également l’utiliser
pour copier des ressources d’un fichier Job Jackets dans un autre.
Pour ajouter des ressources à un fichier Job Jackets en mode avancé :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires).
2 Si une seule liste apparaît dans la boîte de dialogue, cliquez sur Paramètres
avancés pour afficher la rubrique avancée.
3 Spécifiez la provenance des ressources à copier :
• Pour copier des ressources d’une structure Job Jackets, d’un gabarit de bon
de travail ou d’un bon de travail, sélectionnez l’élément source dans la liste
à gauche.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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317
UTILISATION DE JOB JACKETS
• Pour copier des ressources d’un projet ouvert, sélectionnez celui-ci dans la
liste à gauche.
• Pour copier des ressources des valeurs par défaut de l’application, cliquez sur
le bouton Charger ressources application .
4 Sélectionnez une catégorie de ressources dans la liste en haut à droite.
5 Faites glisser chaque ressource de la liste en bas à droite vers l’icône Job Jackets
de la liste de gauche.
***
Vous pouvez également faire glisser des ressources vers un bon de travail ou
un projet.
Pour plus d’informations sur le déplacement des ressources dans un bon
de travail, reportez-vous à Définition de l’emplacement des ressources :
mode avancé.
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
Un bon de travail est un ensemble de ressources (spécifications et règles)
pouvant être appliqué à un ou plusieurs projets QuarkXPress. Tous les bons
de travail portent un nom et sont stockés dans une structure Job Jackets particulière. Un bon de travail contient des ressources de niveau projet (telles que
les couleurs, les feuilles de style et les paramètres de gestion de la couleur) et
de niveau mise en page (telles que les spécifications et les définitions de mise
en page).
Il existe trois types de bons de travail :
• Un gabarit de bon de travail définit une matrice de bon de travail. Par certains
aspects, un gabarit de bon de travail est semblable à une page maquette ou à
un fichier de gabarit QuarkXPress.
• Un bon de travail actif est une copie d’un gabarit de bon de travail associée à
un projet particulier.
• Un bon de travail différé est une copie d’un gabarit de bon de travail qui était
associée à un projet, mais ne l’est plus (par exemple, si le projet a été fermé
sans être enregistré).
CRÉATION D’UN GABARIT DE BON DE TRAVAIL
Voici quelques raisons pour lesquelles nous vous recommandons de créer des
gabarits de bon de travail distincts :
• Si vous effectuez un travail d’impression récurrent, tel qu’une lettre d’information
ou un magazine, vous devriez créer un gabarit de bon de travail pour lui.
318
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
• Si vous souhaitez créer plusieurs types de mises en page (tels que des posters,
des cartes postales, des sites Web et des présentations Flash) pour une même
campagne ou un même thème, vous devriez créer un gabarit de bon de travail
pour chaque mise en page et stocker tous ces bons dans un fichier Job Jackets
unique. Ainsi, toutes les mises en page pourront partager les mêmes feuilles
de style, couleurs, etc.
• Si vous disposez d’un format standard utilisé par plusieurs personnes, tel qu’un
format d’annonce, vous devriez créer un gabarit de bon de travail pour aider
vos clients à construire leurs annonces suivant les directives.
• Si des maquettistes doivent s’assurer qu’ils utilisent tous les mêmes feuilles de
style, couleurs ou autres ressources, et pour que ces ressources soient toujours
synchronisées entre ces maquettistes si elles sont modifiées, vous devriez stocker
celles-ci dans un gabarit de bon de travail afin qu’ils y accèdent via un fichier
Job Jackets partagé. Cette approche peut vous aider à respecter les standards
de la marque dans une grande société.
CRÉATION D’UN GABARIT DE BON DE TRAVAIL : MODE DE BASE
Pour ajouter un gabarit de bon de travail dans une structure Job Jackets en
mode de base :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (Utilitaires >
Gestionnaire Job Jackets). Si plusieurs listes s’affichent dans la boîte de
dialogue, cliquez sur Paramètres de base pour afficher la rubrique de base.
Vous pouvez créer des gabarits de bon de travail dans le panneau de base de la
boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires).
2 Sélectionnez la structure Job Jackets qui contiendra le gabarit de bon de travail.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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319
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
3 Cliquez sur le bouton Nouveau gabarit bon
. La boîte de dialogue Nouveau
bon de travail s’affiche.
Vous pouvez affecter des ressources à un nouveau gabarit de bon de travail dans
la boîte de dialogue Nouveau bon de travail.
4 Configurez le nouveau gabarit de bon de travail comme décrit dans Utilisation
des ressources d’un bon de travail : mode de base.
MODIFICATION D’UN BON DE TRAVAIL : MODE DE BASE
Pour modifier le bon de travail actif d’un projet, ouvrez ce dernier, puis choisissez Fichier > Job Jackets > Modifier bon de travail. La boîte de dialogue
Modifier bon de travail s’affiche. Pour plus d’informations sur l’utilisation
de la boîte de dialogue Modifier bon de travail, reportez-vous à Utilisation
des ressources d’un bon de travail : mode de base.
UTILISATION DES RESSOURCES D’UN BON DE TRAVAIL :
MODE DE BASE
Cette rubrique décrit comment ajouter et retirer des ressources dans un bon de
travail ou un gabarit de bon de travail à l’aide de la boîte de dialogue Nouveau
bon de travail ou Modifier bon de travail. Ces deux boîtes de dialogue sont
essentiellement identiques, mais la seconde est légèrement différente pour les
bons de travail et pour les gabarits.
320
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
Vous pouvez ajouter des ressources à un gabarit de bon de travail ou à un bon
de travail dans les boîtes de dialogue Nouveau bon de travail et Modifier bon
de travail.
Pour affecter des ressources dans la boîte de dialogue Nouveau bon de travail
ou Modifier bon de travail :
1 Pour ajouter ou retirer des ressources de niveau projet, utilisez les contrôles de
la rubrique Paramètres style (pour les gabarits) ou de la rubrique Paramètres
projet (pour les bons de travail actifs et différés).
Vous pouvez ajouter des ressources de niveau projet provenant de sources
diverses à l’aide du menu déroulant Ajouter depuis :
• Pour ajouter des ressources provenant de la structure Job Jackets parent du bon
de travail, choisissez Fichier Job Jackets en cours.
• Pour ajouter des ressources du projet actif, choisissez Projet lié.
• Pour ajouter des ressources provenant des valeurs par défaut de l’application,
choisissez Application.
• Pour ajouter des ressources d’un fichier du projet ou d’un fichier Job Jackets,
cliquez sur Autre, puis sur Sélectionner et recherchez le fichier cible.
Pour copier des ressources dans le bon de travail, utilisez les trois listes au bas
de la boîte de dialogue. Choisissez un type de ressource dans la première liste,
puis des ressources spécifiques dans la seconde et cliquez sur la flèche droite
pour copier ces ressources dans la troisième liste (qui affiche les ressources de
ce type dans le bon de travail).
Pour retirer des ressources du bon de travail, choisissez un type de ressource
dans la première liste, puis des ressources spécifiques dans la troisième, et
cliquez sur la flèche gauche.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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321
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
2 La présence d’une définition de mise en page indique que QuarkXPress créera
automatiquement une mise en page lorsque ce bon de travail sera appliqué à
un projet. Lors de la création d’une définition de mise en page, vous pouvez
définir une spécification de mise en page (avec des informations, telles que
les dimensions de page et le nombre de pages), un type de support (papier ou
Web), des jeux de règles et des spécifications de sortie.
Pour ajouter une définition de mise en page au bon de travail, cliquez
sur l’onglet Paramètres mise en page, puis sur le bouton ; une nouvelle
définition de mise en page est ajoutée à la liste.
Pour configurer la définition de mise en page sélectionnée, cliquez sur le contrôle
Propriétés de la mise en page pour afficher les contrôles de propriétés, puis :
• Pour nommer la définition, renseignez le champ Nom mise en page. Ce nom
sera appliqué à la mise en page générée automatiquement.
• Pour spécifier des informations, telles que les dimensions de page et le nombre de pages dans la définition de mise en page, choisissez une option dans le
menu déroulant Spécifications mise en page. (Notez qu’une spécification de
mise en page doit se trouver dans la structure Job Jackets pour vous permettre
d’en choisir une ici ; reportez-vous à Création des fichiers Job Jackets pour
plus d’informations.)
• Pour indiquer le type de la mise en page à créer automatiquement avec cette
définition, choisissez une option dans le menu déroulant Type support.
• Pour copier les jeux de règles et les spécifications de sortie de la structure Job
Jackets parent dans la définition de mise en page, utilisez les trois listes au bas
de la boîte de dialogue. Choisissez un type de ressource dans la première liste,
puis des ressources spécifiques dans la seconde et cliquez sur le bouton pour
copier ces ressources dans la troisième liste (qui affiche les ressources de ce
type dans la définition de mise en page).
Pour supprimer une définition de mise en page, sélectionnez-la et cliquez sur
le bouton .
3 Lorsque vous avez terminé la configuration du bon de travail, cliquez sur OK.
CRÉATION D’UN GABARIT DE BON DE TRAVAIL : MODE AVANCÉ
Pour ajouter un gabarit de bon de travail dans une structure Job Jackets en
mode avancé :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (Utilitaires >
Gestionnaire Job Jackets). Si une seule liste apparaît dans la boîte de dialogue,
cliquez sur Paramètres avancés pour afficher la rubrique avancée.
2 Pour indiquer l’emplacement de stockage du nouveau gabarit de bon de travail,
créez ou sélectionnez une icône Job Jackets dans la liste de gauche.
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
3 Cliquez sur le bouton Nouveau gabarit bon
. Un nouveau gabarit de bon
de travail est ajouté dans la structure Job Jackets sélectionnée.
4 Configurez le nouveau gabarit de bon de travail comme décrit dans Utilisation
des ressources d’un bon de travail : mode avancé.
UTILISATION DES RESSOURCES D’UN BON DE TRAVAIL : MODE AVANCÉ
Vous devrez utiliser des ressources de bon de travail dans plusieurs situations :
• Vous pouvez utiliser cette procédure si vous souhaitez créer un gabarit de bon
de travail en utilisant les ressources d’un projet existant. Par exemple, si vous
avez la copie de l’année dernière d’un projet de brochure et que vous souhaitez
inclure toutes les feuilles de style, couleurs, etc., du projet dans un nouveau
gabarit de bon de travail ou dans un bon de travail actif d’un projet existant,
vous pouvez le faire en suivant cette procédure.
• Vous pouvez également utiliser cette procédure pour copier des ressources d’un
bon de travail dans un autre.
• Vous pouvez l’utiliser pour copier des ressources d’une structure Job Jackets ou
d’un projet dans un bon de travail.
Pour ajouter des ressources à une structure Job Jackets en mode avancé :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires).
2 Si une seule liste apparaît dans la boîte de dialogue, cliquez sur Paramètres
avancés pour afficher la rubrique avancée.
3 Spécifiez la provenance des ressources à copier :
• Pour copier des ressources d’une structure Job Jackets, d’un gabarit de bon de
travail ou d’un bon de travail, sélectionnez l’élément source dans la liste en
haut à gauche.
• Pour copier des ressources d’un projet ouvert, sélectionnez celui-ci dans la liste
à gauche.
• Pour copier des ressources des valeurs par défaut de l’application, cliquez sur
le bouton Charger ressources application .
4 Sélectionnez une catégorie de ressources dans la liste en haut à droite.
5 Faites glisser chaque ressource de la liste en bas à droite vers le gabarit de bon
de travail ou le bon de travail souhaité de la liste à gauche.
AJOUT D’UNE DÉFINITION DE MISE EN PAGE À UN BON DE
TRAVAIL : MODE AVANCÉ
Une définition de mise en page est un groupe de spécifications qui se combinent pour décrire une seule mise en page. Elle comporte des ressources telles
qu’un type de support (sortie) (papier, Web ou interactif), des spécifications
de sortie et des jeux de règles.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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323
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
Lorsque vous créez un projet à partir d’un gabarit de bon de travail, QuarkXPress
crée automatiquement une mise en page pour chaque définition de ce gabarit.
Si une définition de mise en page ne contient pas de spécification de mise en
page, QuarkXPress affiche la boîte de dialogue Nouveau projet pour vous
permettre de définir des dimensions de page, des marges, etc.
Lorsque vous ajoutez une définition de mise en page à un bon de travail,
une mise en page est créée de cette définition et ajoutée automatiquement au
projet correspondant.
Pour ajouter une définition de mise en page à un gabarit de bon de travail ou
à un bon de travail :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (Utilitaires >
Gestionnaire Job Jackets) et sélectionnez le bon de travail cible dans la
liste de gauche.
2 Pour afficher des contrôles de ressource, cliquez sur le bouton
Paramètres avancés.
3 Sélectionnez Mises en page dans la liste en haut à droite. Toutes les définitions
de mise en page dans le bon de travail s’affichent dans la liste en bas à droite.
4 Cliquez sur le bouton Nouvel élément
placé au-dessus de cette liste. Une
nouvelle définition appelée Mise en page est ajoutée. (Le nom que vous donnez
à une définition est celui qui sera appliqué à la mise en page à la création du
projet. Pour renommer une définition, double-cliquez sur son nom et entrez-en
un nouveau.)
5 Cliquez sur le bouton de développement à côté du nom de la définition pour
en afficher les champs.
6 Choisissez ou entrez une valeur pour les champs que vous souhaitez utiliser.
7 Cliquez sur Enregistrer.
Pour plus d’informations sur l’utilisation des définitions de mise en page,
reportez-vous à Application d’une définition de mise en page à un projet.
APPLICATION D’UN GABARIT DE BON DE TRAVAIL À UN PROJET
Vous pouvez appliquer un gabarit de bon de travail à un projet de deux façons :
• en créant un projet à partir du gabarit de bon de travail ;
• en reliant un projet existant à un gabarit de travail.
Dans les deux cas, un bon de travail est créé à partir du gabarit et cette nouvelle
instance est appliquée au nouveau projet. Les rubriques ci-dessous décrivent
les deux approches.
324
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
CRÉATION D’UN PROJET À PARTIR D’UN GABARIT DE BON
DE TRAVAIL
Lorsque vous créez un projet à partir d’un gabarit de bon de travail, QuarkXPress
crée toujours un bon de travail à partir de ce gabarit. Vous pouvez décider de
l’emplacement de stockage de ce bon de travail : dans un fichier Job Jackets
partagé ou dans une structure Job Jackets imbriquée dans le fichier de projet.
Pour créer un projet à partir d’un gabarit de bon de travail :
1 Choisissez Fichier > Créer > Projet du bon. La boîte de dialogue Nouveau
projet du bon s’affiche.
La boîte de dialogue Nouveau projet du bon permet de sélectionner un gabarit
de bon de travail pour un nouveau projet.
2 Si la structure Job Jackets souhaitée ne s’affiche pas, cliquez sur Parcourir,
recherchez le fichier Job Jackets, puis cliquez sur Ouvrir.
3 Sélectionnez le gabarit de bon de travail cible dans la liste. (Notez que vous
pouvez également sélectionner un bon de travail différé.)
4 Cochez ou désactivez la case Partager dossier, comme suit :
• Pour stocker le bon de travail actif de ce projet dans un fichier Job Jackets externe
afin que ce bon partage des ressources avec d’autres utilisateurs du fichier, cochez
la case Partager fichier Job Jackets. (Pour plus d’informations, reportez-vous
à Collaboration via des dossiers de fabrication Job Jackets partagés.)
• Pour stocker le bon de travail de ce projet dans une structure Job Jackets
imbriquée du fichier de projet, désactivez la case Partager fichier Job Jackets.
5 Cliquez sur Sélectionner. Le nouveau projet hérite des paramètres de projet du
gabarit et QuarkXPress crée automatiquement des mises en page pour toutes
les définitions de ce dernier.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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325
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
***
Vous ne pouvez pas stocker de bon de travail dans la structure Job Jackets par
défaut. Si vous créez un projet à partir d’un gabarit de bon de travail placé dans
la structure Job Jackets par défaut et que vous cochez la case Partager fichier
Job Jackets, vous serez invité à enregistrer un nouveau fichier Job Jackets dans
le système de fichiers.
LIAISON D’UN PROJET EXISTANT À UN FICHIER JOB JACKETS
Lorsque vous reliez un projet existant à un fichier Job Jackets, vous retirez le bon
de travail actif actuel de ce projet et liez ce dernier à un nouveau bon de travail
créé à partir d’un gabarit d’un autre fichier Job Jackets. Vous pouvez choisir de
procéder ainsi lorsque, par exemple, vous souhaitez relier un projet existant à un
fichier Job Jackets dans lequel un autre maquettiste dispose d’un bon de travail
actif et synchroniser de cette façon certaines ou toutes les ressources que vous
utilisez tous les deux. (Pour plus d’informations, reportez-vous à Collaboration
via des dossiers de fabrication Job Jackets partagés.)
Pour appliquer un bon de travail à un projet existant :
1 Créez ou ouvrez le projet.
2 Choisissez Fichier > Job Jackets > Lier projet. La boîte de dialogue Lier
projet s’affiche.
3 Si le fichier Job Jackets souhaité ne s’affiche pas, cliquez sur Parcourir,
recherchez-le, puis cliquez sur Ouvrir.
4 Sélectionnez le gabarit de bon de travail cible dans la liste.
5 Cochez ou désactivez la case Partager fichier Job Jackets, comme suit :
• Pour stocker le bon de travail de ce projet dans le fichier Job Jackets contenant
le gabarit de bon de travail cible, cochez la case Partager fichier Job Jackets.
• Pour stocker le bon de travail de ce projet dans une structure Job Jackets
imbriquée du fichier de projet, désactivez la case Partager fichier Job Jackets.
6 Cliquez sur Annexer. Le projet hérite des paramètres de projet du gabarit de
bon de travail et des mises en page sont créées automatiquement pour toutes
les définitions de ce dernier.
***
326
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Si vous utilisez un gabarit de bon de travail de la structure Job Jackets par
défaut et que vous cochez la case Partager fichier Job Jackets, vous serez
invité à enregistrer un nouveau fichier Job Jackets dans le système de fichiers.
En effet, vous ne pouvez pas stocker de bon de travail dans cette structure.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
AFFICHAGE DES RELATIONS D’UN BON DE TRAVAIL
Vous pouvez visualiser les relations entre des fichiers Job Jackets, des gabarits
de bon de travail, des bons de travail et des projets dans la boîte de dialogue
Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires). Les icônes affichées dans cette
boîte de dialogue sont les suivantes :
• Structure Job Jackets (liée)
• Structure Job Jackets (imbriquée)
• Gabarit de bon de travail
• Bon de travail actif ou différé
• Projet (un nom de projet en gras indique le projet actif.)
Un projet relié à un bon de travail actif est repéré de cette manière :
Projet relié à un bon de travail actif
Un bon de travail différé est associé à l’icône , mais n’est pas lié à un projet.
Ceci signifie que le projet a été déplacé, supprimé ou n’a jamais été enregistré.
APPLICATION D’UNE DÉFINITION DE MISE EN PAGE À UN PROJET
Une définition de mise en page fournit un groupe de paramètres qui se combinent pour décrire une mise en page. Ces paramètres peuvent comporter un
type de support (papier, Web ou interactif), des jeux de règles, des paramètres
de sortie et un paramètre source de gestion de la couleur. Une définition de
mise en page peut également inclure une spécification de mise en page, qui
contient des informations relatives notamment aux dimensions de page et
au nombre de pages (notez que les spécifications de mise en page peuvent être
créées au niveau des dossiers de fabrication Job Jackets).
Lorsque vous associez un projet à un gabarit de bon de travail, QuarkXPress
crée automatiquement une mise en page pour chaque définition de ce gabarit.
Ces mises en page portent le même nom que les définitions qui leur servent
de base.
Vous pouvez appliquer une définition de mise en page à un projet de
deux façons :
• en créant un projet à partir du bon de travail contenant la définition de mise
en page, comme décrit dans Création d’un projet à partir d’un bon de travail ;
• en reliant le bon de travail au projet actif après la création de ce dernier, comme
décrit dans Liaison d’un projet existant à un fichier Job Jackets.
Quelle que soit l’approche utilisée, les mises en page définies sont créées
automatiquement.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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327
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
COLLABORATION VIA DES DOSSIERS DE FABRICATION JOB
JACKETS PARTAGÉS
Les ressources d’un fichier Job Jackets partagé peuvent être utilisées dans tous les
projets associés à des bons de travail de ce même fichier. Lorsqu’un projet met à
jour une ressource partagée, le changement peut être transmis automatiquement
à tous les projets utilisant cette ressource.
Prenons l’exemple de deux maquettistes nommés Andrea et Hector travaillant
séparément sur deux projets. Chaque projet utilise un bon de travail placé dans
un fichier Job Jackets nommé Dossier de fabrication de Bryn. (Il n’est pas indispensable que ces deux bons de travail soient basés sur le même gabarit, tant
qu’ils sont placés dans le même fichier.)
Supposons maintenant que les deux bons de travail comportent une feuille de
style nommé Sous-titre logo. Comme cette feuille de style est incluse dans un
bon de travail, sa définition est stockée dans le fichier Job Jackets. Et comme les
bons de travail des deux maquettistes contiennent cette feuille de style, les deux
projets peuvent utiliser sa définition stockée dans le fichier Job Jackets partagé.
Aussi, si Andrea, la maquettiste en chef, décide de changer la police utilisée dans
la feuille de style Sous-titre logo, cette modification est automatiquement répercutée dans la mise en page sur laquelle Hector travaille et la police de sa copie
de la feuille de style est modifiée également. En d’autres termes, la ressource de
feuille de style Sous-titre logo peut être synchronisée entre les deux projets.
Dans un fichier Job Jackets partagé, il ne peut exister qu’une seule définition de
chaque ressource, quel que soit le nombre de bons de travail utilisant cette
dernière. Ainsi, si les bons de travail de deux projets utilisent la même ressource
(dans le cas présent, une feuille de style), cette ressource peut être synchronisée
automatiquement entre ces projets.
Il est important de noter que la copie d’une ressource dans un fichier de projet
est liée à, mais distincte de, la copie de cette ressource dans le bon de travail.
Donc, si la copie d’une ressource dans un projet change (par exemple, si Andrea
modifie la police de la feuille de style Sous-titre logo), QuarkXPress ne met pas
automatiquement à jour la copie de cette ressource dans le projet d’Hector à
moins que la collaboration ne soit activée pour les projets d’Andrea et d’Hector
(Fichier > Paramétrage collaboration). Si la collaboration est activée pour
Andrea, QuarkXPress communique automatiquement la modification du projet
d’Andrea à son bon de travail actif, mettant ainsi automatiquement à jour la
328
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
copie de la ressource dans le fichier Dossier de fabrication de Bryn. Si la collaboration est également activée pour Hector, son exemplaire de QuarkXPress lit la
définition actualisée dans le fichier Dossier de fabrication de Bryn et insère la
nouvelle définition dans son projet.
Lorsqu’Andrea change la définition de la ressource de feuille de style partagée,
son exemplaire de QuarkXPress envoie cette modification (via le bon de travail
actif du projet) au fichier Job Jackets partagé. L’exemplaire de QuarkXPress
d’Hector lit la définition de la feuille de style actualisée à partir du fichier Job
Jackets et met à jour la définition dans son projet.
Les paramètres contrôlant l’occurrence de ces mises à jour sont situés dans la
boîte de dialogue Paramétrage collaboration (menu Fichier).
Dans la rubrique Mises à jour, les cases à cocher À l’ouverture, Avant la sortie et Lors utilisation contrôlent comment le projet met à jour ses définitions
de ressource à partir du fichier Job Jackets partagé à son ouverture, avant son
envoi à la sortie et pendant que vous travaillez dessus.
Pour contrôler la fréquence d’écriture et de lecture des changements apportés
aux ressources partagées dans un fichier Job Jackets partagé, utilisez la rubrique
Mises à jour de la boîte de dialogue Paramétrage collaboration (menu Fichier).
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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329
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
La rubrique Job Jackets de cette boîte de dialogue affiche le nom de la structure Job Jackets du projet actif, le statut (partagé ou non partagé), le chemin
d’accès au fichier Job Jackets (le cas échéant) et le nom du bon de travail actif
du projet en cours. Les boutons au bas de la rubrique sont les suivants :
• Modifier dossier : ce bouton permet de relier ce projet à un bon de travail
dans un fichier Job Jackets différent.
• Modifier bon : ce bouton permet de relier ce projet à un bon de travail différent.
• Extraire MAJ : si les options de mise à jour automatique en haut de cette boîte
de dialogue sont désactivées, vous pouvez utiliser ce bouton pour effectuer une
mise à jour manuelle.
• Activer partage/désactiver partage : ce bouton permet de détacher le projet
actif du fichier Job Jackets partagé. Le bon de travail du projet est placé dans
une structure Job Jackets imbriquée dans le fichier de projet.
Vous pouvez contrôler le partage pour la structure Job Jackets du projet actif
dans la rubrique Job Jackets de la boîte de dialogue Paramétrage collaboration
(menu Fichier).
Il est important de noter qu’un lien entre deux bons de travail n’implique pas
que toutes les ressources sont automatiquement synchronisées entre les projets
utilisant ces bons de travail. Une ressource est synchronisée entre deux projets
uniquement si les trois conditions ci-après sont remplies :
• la ressource est présente dans les deux projets ;
• la ressource est présente dans les bons de travail des deux projets ;
• les bons de travail des deux projets se trouvent dans le même fichier Job Jackets.
EXPORTATION ET IMPORTATION DES BONS DE TRAVAIL
Parfois, le créateur de projet peut avoir besoin de copier un gabarit de bon de
travail ou de bon de travail d’un fichier Job Jackets à un autre, ou d’importer tous
les gabarits de bon de travail et bons de travail d’une structure Job Jackets dans
une autre. Vous pouvez effectuer ces deux opérations à l’aide des fonctions
d’exportation et d’importation de bons de travail.
330
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES BONS DE TRAVAIL
EXPORTATION D’UN GABARIT DE BON DE TRAVAIL OU
D’UN BON DE TRAVAIL
Pour exporter un gabarit de bon de travail ou un bon de travail d’une structure
Job Jackets :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires) et
sélectionnez le ou les bons de travail cible dans la liste de gauche.
2 Cliquez sur le bouton Exporter bon
placé au-dessus de cette liste. La boîte
de dialogue Nouveaux fichiers Job Jackets s’affiche.
3 Indiquez un nom et un emplacement, puis cliquez sur Enregistrer. Tous les
bons de travail sélectionnés sont enregistrés dans un fichier Job Jackets avec
le nom de fichier indiqué et les ressources dont ils ont besoin.
IMPORTATION D’UN GABARIT DE BON DE TRAVAIL OU D’UN BON
DE TRAVAIL
Pour importer un gabarit de bon de travail ou un bon de travail dans une
structure Job Jackets :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires) et
sélectionnez l’icône Job Jackets cible dans la liste de gauche.
2 Cliquez sur le bouton Importer
placé au-dessus de cette liste. La boîte de
dialogue Sélectionner fichier Job Jackets s’affiche.
3 Sélectionnez un fichier Job Jackets et cliquez sur Ouvrir. Tous les gabarits de
bon de travail et les bons de travail du fichier sélectionné sont importés dans
la structure Job Jackets, avec toutes les ressources dont ils ont besoin.
FICHIER JOB JACKETS PAR DÉFAUT
Lorsque QuarkXPress est installé, un fichier Job Jackets par défaut (contenant
un gabarit de bon de travail par défaut) nommé DefaultJacket.xml est également installé à l’emplacement indiqué dans le volet Job Jackets de la boîte de
dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
Lorsque vous créez un projet à l’aide de la commande Fichier > Créer > Projet,
les événements ci-après se produisent :
• QuarkXPress génère une copie de ce fichier Job Jackets par défaut (nommé
Dossier Job Jackets par défaut) et l’imbrique dans le nouveau projet. La structure
Job Jackets imbriquée est appelée [nom de fichier] Job Jacket.
• Dans la structure Job Jackets imbriquée, QuarkXPress crée un bon de travail à
partir du gabarit par défaut (nommé Bon de travail par défaut). Le nouveau
bon de travail est appelé [nom de travail] Bon.
• QuarkXPress associe le bon de travail dans la structure imbriquée au
nouveau projet.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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331
FICHIER JOB JACKETS PAR DÉFAUT
Vous pouvez utiliser le fichier Job Jackets par défaut pour contrôler les ressources
employées dans de nouveaux projets QuarkXPress. Vous pouvez également
modifier le gabarit de bon de travail par défaut utilisé par les projets créés via la
commande Fichier > Créer > Projet. Cette section explique les deux procédures.
***
Vous ne pouvez pas stocker de nouveau bon de travail dans le fichier Job
Jackets par défaut. Pour plus d’informations, reportez-vous à Création d’un
projet à partir d’un gabarit de bon de travail.
MODIFICATION DU GABARIT DE BON DE TRAVAIL PAR DÉFAUT :
MENU FICHIER
Le gabarit de bon de travail par défaut est utilisé par les projets créés à l’aide
de la commande Fichier > Créer > Projet. Le gabarit de bon de travail par
défaut peut être modifié de deux façons :
Pour modifier le gabarit de bon de travail par défaut depuis le menu Fichier :
1 Fermez tous les projets ouverts.
2 Pour ouvrir le gabarit de bon de travail par défaut dans la boîte de dialogue
Modifier bon de travail, choisissez Fichier > Job Jackets > Modifier bon
de travail.
3 Utilisez les contrôles de la boîte de dialogue Modifier bon de travail pour
configurer le gabarit de bon de travail par défaut, puis cliquez sur OK.
MODIFICATION DU GABARIT DE BON DE TRAVAIL PAR DÉFAUT :
MENU UTILITAIRES
Pour modifier le gabarit de bon de travail par défaut depuis la boîte de dialogue
Gestionnaire Job Jackets :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires).
2 Cliquez sur le bouton Ouvrir fichier Job Jackets, accédez au fichier Job Jackets
par défaut et cliquez sur Ouvrir.
3 Développez la structure Job Jackets par défaut et sélectionnez le gabarit de bon
de travail nommé Bon de travail par défaut dans la liste.
4 Cliquez sur le bouton Modifier
. La boîte de dialogue Modifier bon de
travail s’affiche.
5 Utilisez les contrôles de la boîte de dialogue Modifier bon de travail pour
configurer le gabarit de bon de travail par défaut.
6 Cliquez sur OK.
Le prochain projet créé via la commande Fichier > Créer > Projet utilisera le
gabarit de bon de travail par défaut modifié.
332
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
FICHIER JOB JACKETS PAR DÉFAUT
MODIFICATION DU FICHIER JOB JACKETS PAR DÉFAUT
Vous pouvez utiliser le fichier Job Jackets par défaut pour contrôler les ressources
employées dans de nouveaux projets QuarkXPress. Pour modifier le fichier
Job Jackets par défaut :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires).
2 Cliquez sur le bouton Ouvrir fichier Job Jackets
, accédez au fichier
Job Jackets par défaut et cliquez sur Ouvrir.
3 Sélectionnez la structure Job Jackets nommée Default Job Jackets (fichiers
Job Jackets par défaut) dans la liste.
4 Utilisez les contrôles de la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets pour
configurer la structure Job Jackets par défaut, puis cliquez sur OK.
Pour plus d’informations sur l’utilisation des ressources, reportez-vous à
Utilisation des ressources : mode avancé.
UTILISATION DES RESSOURCES : MODE AVANCÉ
« Ressources » est une catégorie générique qui décrit la plupart des composants
d’un dossier de fabrication et d’un bon de travail. Les ressources incluent tous
les éléments, des feuilles de style aux spécifications de dimensions de page. Les
rubriques ci-après décrivent comment accéder à, créer et mettre à jour des
ressources dans la rubrique avancée de la boîte de dialogue Gestionnaire
Job Jackets (menu Utilitaires).
***
Les créateurs de projet peuvent utiliser cette procédure souvent, dans des buts
divers. Les maquettistes, cependant, n’auront probablement jamais à s’en servir.
ACCÈS AUX RESSOURCES : MODE AVANCÉ
Avant d’utiliser une ressource, vous devez pouvoir y accéder. Pour accéder à
une ressource :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires).
2 Si une seule liste apparaît dans la boîte de dialogue, cliquez sur Paramètres
avancés pour afficher la rubrique Avancé.
3 Dans la liste de gauche, ouvrez
ou créez
un fichier Job Jackets. Les
catégories de ressources du fichier Job Jackets sont répertoriées par ordre
alphabétique dans la liste sur le côté supérieur droit.
4 Pour utiliser des ressources spécifiques à une structure Job Jackets, sélectionnez
la structure cible dans la liste de gauche. Notez que les catégories de ressources
inaccessibles représentent des ressources à définir au niveau du bon de travail.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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333
UTILISATION DES RESSOURCES : MODE AVANCÉ
5 Pour travailler avec des ressources spécifiques à un bon de travail, développez la
structure Job Jackets ; créez , dupliquez ou importez un bon de travail ;
puis vérifiez que le bon de travail cible est sélectionné dans la liste de gauche.
Notez que les catégories de ressources en grisé représentent des ressources à
définir au niveau des dossiers de fabrication.
6 Sélectionnez un type de ressources dans la liste en haut à droite. Les ressources
existantes du type sélectionné sont répertoriées dans la liste en bas à droite.
Utilisez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets pour afficher, créer,
dupliquer, supprimer, importer et exporter des ressources.
CONFIGURATION DES RESSOURCES : MODE AVANCÉ
Une fois que vous avez accédé à une ressource dans la boîte de dialogue
Gestionnaire Job Jackets, vous pouvez la configurer. Différentes options sont
disponibles pour les divers types de ressources dans cette boîte de dialogue :
• Vous pouvez spécifier un emplacement pour la plupart des ressources.
• Vous pouvez supprimer la plupart des ressources.
• Vous pouvez créer et modifier certains types de ressources, mais d’autres doivent
être créés et modifiés à l’aide d’autres composants de l’interface utilisateur
de QuarkXPress.
• Vous pouvez créer, dupliquer, supprimer et configurer des définitions de mise en
page, des spécifications de sortie et de mise en page, des descriptions de travail,
des contacts, des règles et des jeux de règles dans une structure Job Jackets.
Si une ressource le permet, vous pouvez la créer et la configurer dans la boîte
de dialogue Gestionnaire Job Jackets comme suit :
334
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES RESSOURCES : MODE AVANCÉ
1 Pour créer une ressource du type sélectionné dans la liste en haut à droite,
cliquez sur le bouton Nouvel élément dans la liste en bas à droite. Pour
renommer la ressource, cliquez sur son nom.
2 Si une ressource affiche une icône de développement, cliquez dessus, puis configurez les champs ainsi affichés. Certains champs de ressource comportent des
menus déroulants, tandis que d’autres peuvent être renseignés manuellement.
3 Si une ressource affiche un bouton
, cliquez sur celui-ci pour créer des
instances supplémentaires de la ressource. Par exemple, lorsque vous créez une
spécification de mise en page, vous pouvez cliquer sur ce bouton de la ressource
Couleur d’accompagnement pour créer des couleurs d’accompagnement
supplémentaires.
DÉFINITION DE L’EMPLACEMENT DES RESSOURCES : MODE AVANCÉ
Les ressources peuvent être placées à plusieurs endroits :
• Dans un fichier Job Jackets : elles sont stockées dans une structure
Job Jackets, mais ne sont utilisées dans aucun des gabarits de bon de travail
ou bons de travail de celle-ci.
• Dans un bon : elles sont stockées dans une structure Job Jackets et associées à
un gabarit de bon de travail ou à un bon de travail. Si une ressource Dans bon se
trouve dans un gabarit de bon de travail associé à un projet, elle est également
disponible dans ce dernier.
• Dans un projet : elles sont stockées dans un projet, mais NE SONT PAS associées
à une structure Job Jackets ni à un bon de travail.
Vous pouvez spécifier l’emplacement des ressources comme suit :
1 Accédez à une ressource à l’aide de la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets,
comme décrit dans Accès aux ressources : mode avancé.
2 Sélectionnez la ressource dans la liste en bas à droite.
3 Choisissez un emplacement dans la liste déroulante de la colonne État :
• Si l’élément sélectionné dans la liste de gauche est une structure Job Jackets, vous
pouvez uniquement choisir Dans le fichier Job Jackets.
• Si l’élément sélectionné dans la liste de gauche est un gabarit de bon de travail
ou un bon de travail, vous pouvez spécifier si la ressource est associée à ce
gabarit ou à ce bon en choisissant Dans le fichier Job Jackets ou Dans bon.
• Si l’élément sélectionné dans la liste de gauche est un projet, vous pouvez
indiquer si la ressource est définie uniquement dans le projet (État = Dans
projet) ou si elle utilise la définition du bon de travail actif du projet
(État = Dans bon).
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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335
UTILISATION DES RESSOURCES : MODE AVANCÉ
Utilisez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires) pour
spécifier l’emplacement de stockage des ressources.
UTILISATION DES SPÉCIFICATIONS DE MISE EN PAGE
Une spécification de mise en page permet de définir des informations spécifiques
à la mise en page, telles que les dimensions de page, le nombre de pages, les
marges, les informations de planche, de fond perdu, de reliure, etc.
La procédure standard d’utilisation des spécifications de mise en page est
la suivante :
1 Créez une spécification de mise en page (voir Création d’une spécification de
mise en page : mode avancé). Cette partie du travail est généralement effectuée
par un créateur de projet.
2 Associez la spécification à une mise en page via un gabarit de bon de travail ou
un bon de travail. Cette tâche est généralement effectuée par le maquettiste.
Les rubriques ci-dessous détaillent chacune des procédures précédentes.
CRÉATION D’UNE SPÉCIFICATION DE MISE EN PAGE : MODE AVANCÉ
Les spécifications de mise en page sont des ressources et doivent donc être
créées dans la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets, comme décrit dans
Utilisation des ressources : mode avancé.
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES SPÉCIFICATIONS DE MISE EN PAGE
Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires)
pour créer des spécifications de mise en page.
APPLICATION D’UNE SPÉCIFICATION À UNE MISE EN PAGE
Vous pouvez associer une spécification à une mise en page de deux façons : en
créant la mise en page à partir d’un gabarit de bon de travail ou en appliquant
la spécification au bon de travail actif d’une mise en page existante.
Un créateur de projet ajoute généralement une spécification de mise en page
à une définition de mise en page dans un fichier Job Jackets avant la création
même du projet et de la mise en page. Comme la spécification de mise en
page est une ressource, vous pouvez l’ajouter à une définition de mise en page
comme n’importe quelle autre ressource (reportez-vous à Utilisation des
ressources : mode avancé).
Pour configurer un gabarit de bon de travail afin de créer automatiquement une
mise en page utilisant une spécification particulière, associez la spécification à une
définition de mise en page à l’aide de la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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337
UTILISATION DES SPÉCIFICATIONS DE MISE EN PAGE
Un maquettiste peut appliquer une spécification au bon de travail actif d’une
mise en page après la création du projet et de la mise en page à l’aide de la boîte
de dialogue Modifier bon de travail (Fichier > Job Jackets > Modifier bon
de travail). Pour ajouter une spécification à un bon de travail actif, cliquez sur
l’onglet Paramètres mise en page, sélectionnez la mise en page dans la liste et
choisissez une option dans la liste déroulante Spécifications mise en page.
Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Modifier bon de travail (Fichier >
Job Jackets > Modifier bon de travail) pour affecter une spécification à une
mise en page du projet actif.
UTILISATION DES SPÉCIFICATIONS DE SORTIE
Une spécification de sortie permet de définir des informations particulières à la
sortie, telles l’espace colorimétrique et la résolution des images, le format des
fichiers graphiques, la superposition des encres, la fréquence de tramage, le
niveau PostScript, la conformité PDF/X, etc. Comme les règles, les spécifications
de sortie sont des tests effectués sur la mise en page active lorsqu’un maquettiste
choisit Fichier > Job Jackets > Évaluer mise en page.
La procédure standard d’utilisation des spécifications de sortie est la suivante :
1 Créez une spécification de sortie (reportez-vous à Création d’une spécification
de sortie : mode avancé). Cette partie du travail est généralement effectuée
par un créateur de projet en collaboration avec un spécialiste de la sortie.
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES SPÉCIFICATIONS DE SORTIE
2 Associez la spécification de sortie à une mise en page via une définition dans
un gabarit de bon de travail. Cette tâche peut être effectuée par le créateur de
projet ou par le maquettiste, mais devrait être réservée au premier.
3 Utilisez la spécification de sortie à la production (Fichier > Travail de sortie)
pour vérifier que le travail est imagé correctement. Pour plus d’informations,
reportez-vous à Utilisation des spécifications de sortie avec un travail de sortie.
Les rubriques ci-dessous détaillent chacune des procédures précédentes.
CRÉATION D’UNE SPÉCIFICATION DE SORTIE : MODE AVANCÉ
Les spécifications de sortie sont des ressources et doivent donc être créées
dans la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets, comme décrit dans
Utilisation des ressources : mode avancé.
Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu
Utilitaires) pour créer des spécifications de sortie.
APPLICATION D’UNE SPÉCIFICATION DE SORTIE À UNE MISE EN PAGE
Vous pouvez associer une spécification de sortie à une mise en page de deux
façons : en créant la mise en page à partir d’un gabarit de bon de travail ou en
appliquant la spécification au bon de travail actif d’une mise en page existante.
Un créateur de projet ajoute généralement une spécification de sortie à une
définition de mise en page dans un fichier Job Jackets avant la création même
du projet et de la mise en page. Comme la spécification de sortie est une
ressource, vous pouvez l’ajouter à une définition de mise en page comme
n’importe quelle autre ressource (reportez-vous à Utilisation des ressources :
mode avancé).
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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339
UTILISATION DES SPÉCIFICATIONS DE SORTIE
Pour configurer un gabarit de bon de travail afin de créer automatiquement
une mise en page utilisant une spécification de sortie particulière, associez la
spécification à la définition de la mise en page à l’aide de la boîte de dialogue
Gestionnaire Job Jackets.
Un maquettiste peut associer une spécification de sortie à une mise en page après
la création du projet et de la mise en page. Pour plus d’informations sur cette
procédure, reportez-vous à Modification d’un bon de travail : mode de base.
Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Modifier bon de travail (Fichier >
Job Jackets > Modifier bon de travail) pour affecter une spécification de sortie
à une mise en page du projet actif.
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES SPÉCIFICATIONS DE SORTIE
UTILISATION DES SPÉCIFICATIONS DE SORTIE AVEC UN
TRAVAIL DE SORTIE
Une spécification de sortie peut contenir des règles précises sur le mode d’envoi
d’un travail en sortie, notamment des règles à évaluer et des directives sur le
passage du travail en production. Par exemple, une spécification peut indiquer
qu’une mise en page ne doit pas inclure d’images d’une résolution inférieure
à 150 ppp et qu’elle doit être envoyée en sortie dans le format PDF.
Si la structure Job Jackets de la mise en page active contient une spécification de
sortie (reportez-vous à Création d’une spécification de sortie : mode avancé),
vous pouvez utiliser celle-ci pour envoyer le travail en production. Procédez
comme suit :
1 Choisissez Fichier > Travail sortie. La boîte de dialogue Travail sortie s’affiche.
2 Sélectionnez une spécification de sortie.
3 Cliquez sur Sortie.
Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Travail sortie (menu Fichier) pour
envoyer la mise en page active en production à l’aide d’une spécification de
sortie incluse dans la structure Job Jackets de la mise en page.
***
Un fichier JDF est systématiquement inclus lorsque vous envoyez un travail
en production via Travail sortie.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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341
UTILISATION DES RÈGLES ET DES JEUX DE RÈGLES
UTILISATION DES RÈGLES ET DES JEUX DE RÈGLES
Une règle est un test exécuté sur la mise en page active lorsque vous choisissez
Fichier > Job Jackets > Évaluer mise en page.
Chaque règle peut tester une condition. Par exemple, une règle peut indiquer
que tous les caractères de texte devraient être paramétrés sur surimpression. Les
règles peuvent également inclure des descriptions, des stratégies (pour indiquer
au maquettiste si une condition donnée est obligatoire, recommandée ou
interdite) et des instructions pour résoudre les situations problématiques.
La procédure standard d’utilisation des règles et des jeux de règles est
la suivante :
1 Créez des règles (reportez-vous à Création des règles : mode avancé) et
ajoutez-les à un jeu (reportez-vous à Ajout de règles à un jeu de règles : mode
avancé). Cette opération est généralement effectuée par un créateur de projet,
éventuellement en collaboration avec un spécialiste de la sortie.
2 Associez le jeu de règles à une mise en page via un gabarit de bon de travail
(reportez-vous à Application d’un jeu de règles à une mise en page). Cette
tâche est généralement effectuée par le créateur de projet.
3 Utilisez le jeu de règles pour évaluer la mise en page (reportez-vous à Évaluation
d’une mise en page). Cette tâche est généralement effectuée par un maquettiste.
Les rubriques ci-dessous détaillent chacune des procédures précédentes.
CRÉATION DES RÈGLES : MODE AVANCÉ
Pour construire une règle, accédez d’abord aux ressources de règle dans la
boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets, comme décrit dans Utilisation
des ressources : mode avancé. Utilisez ensuite l’assistant Règles, comme suit :
1 Cliquez sur le bouton Créer
. La boîte de dialogue Modifier règle (première
partie de l’assistant Règles) s’affiche.
2 Entrez le nom du jeu de règles dans le champ Nom.
3 Pour indiquer le type d’objet auquel la règle doit s’appliquer, choisissez une
option dans le menu déroulant Sujet. Parmi les objets disponibles, on trouve
tous les blocs, blocs de texte, blocs d’image, caractères de texte, traits, chemins
de texte, images et polices.
342
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES RÈGLES ET DES JEUX DE RÈGLES
La boîte de dialogue Modifier règle permet de créer des règles.
4 Pour indiquer ce que la règle doit vérifier, cochez une option de la zone
Conditions. Les conditions disponibles dépendent du sujet sélectionné.
Répétez cette étape pour chaque condition que vous souhaitez inclure à la règle.
Les conditions sont combinées à l’aide d’un opérateur logique AND. Par exemple, pour créer une règle spécifiant que le fond des blocs de texte doit être 50 %
Bleu, choisissez Blocs de texte, puis cochez Fond et Teinte.
5 Cliquez sur Suivant pour afficher la boîte de dialogue suivante de l’assistant
Règles. Dans cette boîte de dialogue, vous devez définir les conditions qui
déclenchent la règle (par exemple, « n’est pas en surimpression » ou « est
inférieur à 10 pt »). Pour configurer chaque condition, cliquez sur l’icône de
développement pour ouvrir l’élément de la liste, puis choisissez des options
et renseignez les champs présentés.
La seconde boîte de dialogue de l’assistant Règles permet de configurer une règle.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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343
UTILISATION DES RÈGLES ET DES JEUX DE RÈGLES
Si une condition affiche un bouton , vous pouvez cliquer dessus pour ajouter
des clauses supplémentaires à la condition. Les clauses sont combinées à l’aide
d’un opérateur logique OR. Par exemple, pour spécifier que l’élément indiqué
doit utiliser une couleur CMJN ou une couleur d’accompagnement, configurez
la première ligne sur CMJN, puis ajoutez une seconde ligne et configurez-la sur
Encre d’accompagnement.
6 Cliquez sur Suivant pour afficher la troisième et dernière boîte de dialogue
de l’assistant Règles. Elle permet de définir une description de la règle, une
politique (qui détermine l’icône qui s’affiche si la règle est enfreinte) et des
instructions pour résoudre le problème. Les informations entrées dans le
champ Instructions s’affichent lorsqu’un maquettiste choisit Évaluer mise
en page en cas de violation de la règle.
La troisième boîte de dialogue de l’assistant Règles permet de contrôler ce qui se
produit en cas d’infraction à une règle.
AJOUT DE RÈGLES À UN JEU DE RÈGLES : MODE AVANCÉ
Les règles doivent être placées dans des jeux de règles, collections nommées de
règles. Un créateur de projet peut inclure un ou plusieurs jeux de règles dans une
définition de mise en page dans un gabarit de bon de travail. Un maquettiste travaillant sur une mise en page basée sur cette définition peut alors évaluer cette
dernière à l’aide des règles de ces jeux (reportez-vous à Évaluation d’une mise
en page). Pour ajouter une règle à un jeu de règles :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires).
2 Si une seule liste apparaît dans la boîte de dialogue, cliquez sur Paramètres
avancés pour afficher la rubrique Avancé.
3 Créez ou sélectionnez une structure Job Jackets.
344
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES RÈGLES ET DES JEUX DE RÈGLES
4 Sélectionnez Jeux de règles dans la liste en haut à droite.
5 Cliquez sur le bouton Créer pour générer un jeu de règles. La boîte de dialogue
Modifier jeu règles s’affiche.
Utilisez la boîte de dialogue Modifier jeu règles pour travailler sur des jeux de règles.
6 Entrez le nom du jeu de règles dans le champ Nom.
7 Sélectionnez les règles souhaitées dans la liste Disponible et cliquez sur le
bouton, ou cliquez sur Tout inclure pour ajouter toutes les règles de la liste
Disponible au jeu de règles actif.
8 Cliquez sur OK.
APPLICATION D’UN JEU DE RÈGLES À UNE MISE EN PAGE
Une fois un jeu de règles associé à une instance du gabarit de bon de travail
d’une mise en page, le maquettiste peut évaluer la mise en page par rapport à
ce jeu de règles (reportez-vous à Évaluation d’une mise en page). Vous pouvez
associer un jeu de règles à une mise en page de deux façons :
Un créateur de projet ajoute généralement un jeu de règles à une définition
de mise en page dans un fichier Job Jackets avant la création même du projet
et de la mise en page. Comme le jeu de règles est une ressource, vous pouvez
l’ajouter à une définition de mise en page comme n’importe quelle autre
ressource (reportez-vous à Utilisation des ressources : mode avancé).
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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345
UTILISATION DES RÈGLES ET DES JEUX DE RÈGLES
Pour qu’un jeu de règles soit disponible dans une mise en page dès que cette
dernière est créée, associez le jeu à la définition de mise en page dans la boîte de
dialogue Gestionnaire Job Jackets.
Un maquettiste peut ajouter un jeu de règles à une mise en page après la création
du projet et de la mise en page. Pour plus d’informations sur cette procédure,
reportez-vous à Utilisation des ressources d’un bon de travail : mode de base.
Vous pouvez utiliser la boîte de dialogue Modifier bon de travail (Fichier >
Job Jackets > Modifier bon de travail) pour affecter un jeu de règles à une mise
en page du projet actif.
346
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
ÉVALUATION D’UNE MISE EN PAGE
ÉVALUATION D’UNE MISE EN PAGE
Les jeux de règles, les spécifications de mise en page et de sortie fournissent des
tests permettant d’évaluer ne mise en page respecte les spécifications définies par
le créateur de projet. La commande Évaluer mise en page permet d’effectuer ces
tests et de déterminer si (et où) des violations se produisent. Cette commande
compare également la mise en page à sa définition, pour vérifier le type de support (papier, Web ou Interactif) et les paramètres de gestion des couleurs. Une
fois ces violations identifiées, un maquettiste peut décider comment les traiter
(le cas échéant).
***
Avant de tenter d’évaluer une mise en page, assurez-vous que le projet est bien
associé à un bon de travail qui définit les jeux de règles ou les spécifications de
sortie pour la mise en page active.
***
La fonction Évaluer mise en page est conçue pour mettre en évidence les
problèmes de mise en page et indiquer où les résoudre. Cependant, elle ne
peut pas empêcher un maquettiste d’effectuer des changements en violation
avec les spécifications et règles définies dans un bon de travail.
Pour évaluer une mise en page :
1 Choisissez Fichier > Job Jackets > Évaluer mise en page. La boîte de dialogue
Évaluation mise en page s’affiche, qui répertorie les jeux de règles, les spécifications de mise en page et de sortie disponibles. Pour développer un jeu de
règles, une spécification de mise en page ou de sortie, et en voir les éléments,
cliquez sur l’icône placée à côté.
La boîte de dialogue Évaluation mise en page permet de comparer la mise en
page active aux jeux de règles et aux spécifications de mise en page et de sortie.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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347
ÉVALUATION D’UNE MISE EN PAGE
2 Pour changer la règle sélectionnée, cliquez sur son nom, puis sur le bouton
Modifier règle. Tous les changements apportés à la règle sont réinscrits dans
le fichier Job Jackets et s’appliquent à tous les autres projets utilisant ce bon
de travail.
3 Pour indiquer qu’une règle doit être vérifiée, cochez la case placée à côté.
Pour indiquer que toutes les règles d’un jeu, d’une spécification de mise en
page ou de sortie doivent être vérifiées, cochez la case à côté du nom du jeu
ou de la spécification.
4 Pour évaluer la mise en page active par rapport aux règles cochées, cliquez sur
Évaluer. La colonne Cas est mise à jour pour indiquer si le document réussit
chaque vérification de règle.
5 Pour afficher des informations plus détaillées concernant une règle enfreinte,
cliquez sur son nom, puis vérifiez les zones Instructions et Détails. La zone
Instructions présente des instructions écrites par le créateur de la règle, la
zone Détails fournit des informations sur le projet (comme par exemple, s’il
a été modifié depuis la dernière évaluation).
La boîte de dialogue Évaluation mise en page présente les règles respectées et
celles qui ont été enfreintes.
6 Pour faire défiler la mise en page et localiser les violations, cliquez sur les boutons
Afficher cas. Ceci facilite la résolution des infractions aux règles.
***
348
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Vous pouvez configurer QuarkXPress pour évaluer automatiquement chaque
mise en page lorsque le projet est ouvert, enregistré, fermé et lorsque la mise
en page est envoyée en production. Pour plus d’informations, reportez-vous à
Préférences Job Jackets.
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
VERROUILLAGE DES DOSSIERS JOB JACKETS
VERROUILLAGE DES DOSSIERS JOB JACKETS
Pour empêcher deux personnes de modifier une ressource au même moment,
QuarkXPress verrouille les fichiers Job Jackets dans les cas suivants :
• Lorsque l’utilisateur d’un projet partageant un fichier Job Jackets ouvre la boîte
de dialogue Modifier bon de travail (Fichier > Job Jackets > Modifier bon
de travail), QuarkXPress verrouille ce fichier Job Jackets.
• Lorsqu’un utilisateur ouvre la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets
(menu Utilitaires), QuarkXPress verrouille tous les fichiers Job Jackets
affichés dans celle-ci.
• Lorsque l’utilisateur d’un projet partageant un fichier Job Jackets crée, duplique,
modifie ou supprime une ressource figurant dans celui-ci, QuarkXPress verrouille
le fichier Job Jackets. Par exemple, si Tara travaille sur un projet partageant le
fichier Job Jackets Liste de produits et qu’elle choisit Édition > Couleurs afin
de modifier une couleur figurant sur le bon de travail du projet, QuarkXPress
verrouille toutes les ressources partagées du fichier Job Jackets Liste de produits
pour que seule Tara soit autorisée à les changer.
Quand un fichier Job Jackets est verrouillé :
• vous ne pouvez pas créer de projet à partir d’un gabarit de bon de travail de
ce fichier ;
• vous ne pouvez pas lier de projet au fichier Job Jackets ;
• vous ne pouvez pas afficher la boîte de dialogue Modifier bon de travail
(Fichier > Job Jackets > Modifier bon de travail) pour un projet partageant
ce fichier Job Jackets ;
• vous pouvez afficher la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu
Utilitaires), mais vous ne pouvez pas modifier le fichier Job Jackets verrouillé
ou ses bons de travail ;
• vous ne pouvez pas modifier une ressource partagée dans le fichier Job Jackets.
Par exemple, si Tara a verrouillé le fichier Job Jackets Liste de produits et que
Samuel choisit Édition > Couleurs pour modifier une couleur figurant dans le
bon de travail du projet, la couleur apparaît en grisé et n’est pas disponible tant
que Tara n’a pas déverrouillé le fichier Job Jackets ;
• vous ne pouvez ni ajouter ni renommer de mise en page dans un projet
partageant ce fichier Job Jackets ;
• vous ne pouvez pas modifier de règle à partir de la boîte de dialogue Évaluation
mise en page (Fichier > Job Jackets > Évaluer mise en page).
Un fichier Job Jackets verrouillé est déverrouillé dans les cas suivants :
• lorsque l’utilisateur à l’origine du verrouillage ferme la boîte de dialogue
Modifier bon de travail ;
CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
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349
VERROUILLAGE DES DOSSIERS JOB JACKETS
• lorsque l’utilisateur à l’origine du verrouillage ferme la boîte de dialogue
Gestionnaire Job Jackets ;
• lorsque l’utilisateur à l’origine du verrouillage finit de modifier une ressource
figurant dans le fichier Job Jackets partagé. Pour reprendre l’exemple précédent,
ceci se produirait lorsque Tara clique sur Enregistrer ou Annuler dans la boîte
de dialogue Couleurs après modification de la couleur partagée.
***
En raison du verrouillage intégré à Job Jackets, il est important de n’ouvrir les
boîtes de dialogue Modifier bon de travail et Gestionnaire Job Jackets que
si nécessaire, et de les refermer dès que vous avez terminé le travail.
***
Si vous ouvrez la boîte de dialogue Gestionnaire Job Jackets (menu Utilitaires)
et découvrez que vous ne pouvez pas modifier le fichier Job Jackets associé à
votre projet, ce fichier est probablement verrouillé par un autre utilisateur.
IMPRESSION AVEC SORTIE JDF
Lorsque vous envoyez un projet en production, vous pouvez maintenant
demander qu’un fichier JDF soit généré et stocké à l’enregistrement du fichier de
sortie. (Notez que si vous imprimez directement sur le périphérique de sortie,
aucun fichier JDF n’est généré.)
Utilisez la rubrique JDF de la boîte de dialogue Imprimer pour que les informations
Job Jackets oient incluses à la sortie sous forme de fichier XML conforme JDF.
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CHAPITRE 12 : JOB JACKETS
UTILISATION DES MISES EN PAGE WEB
Chapitre 13 : Mises en page Web
Outre des mises en page papier et interactives, QuarkXPress prend en charge
des mises en page Web que vous pouvez exporter pour créer des pages Web
HTML. QuarkXPress offre un ensemble riche d’outils permettant de construire
des pages Web comportant des rollovers, des images cliquables, des formulaires,
des menus et des feuilles de style en cascade, ainsi que d’autres composants plus
classiques de pages Web, tels que les hyperliens – la plupart des manipulations
de pages Web peuvent être effectuées dans QuarkXPress.
UTILISATION DES MISES EN PAGE WEB
Les rubriques ci-après décrivent les principes de base de l’utilisation des mises
en page Web.
CRÉATION D’UNE MISE EN PAGE WEB
La procédure ci-après explique comment créer une mise en page Web.
1 Pour commencer, effectuez l’une des opérations suivantes :
• Si vous créez une mise en page Web vierge comme première mise en page
d’un projet, choisissez Fichier > Créer > Projet.
• Si vous la créez pour un projet existant, ouvrez ce dernier et choisissez
Mise en page > Créer.
• Si vous souhaitez créer une mise en page Web basée sur une mise en page
existante, ouvrez cette dernière et choisissez Mise en page > Dupliquer.
La boîte de dialogue Nouveau projet, Nouvelle mise en page ou Dupliquer
mise en page s’affiche (elles sont quasiment identiques).
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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UTILISATION DES MISES EN PAGE WEB
Vous pouvez configurer une nouvelle mise en page Web dans la boîte de dialogue
Nouveau projet.
2 Choisissez Web dans le menu déroulant Type de mise en page.
3 Pour utiliser du texte et des couleurs de fond différents de ceux définis par
défaut pour une mise en page Web, choisissez des options dans le menu
déroulant de la zone Couleurs.
4 Définissez une largeur de page à l’aide de l’une des méthodes suivantes :
• Pour créer une page d’une largeur fixe (quelle que soit la taille de la fenêtre du
navigateur), renseignez le champ Largeur de page et laissez l’option Page à
largeur variable désactivée.
• Pour baser la largeur de page sur celle de la fenêtre du navigateur, cochez la
case Largeur de page variable et renseignez le champ Largeur (qui contrôle la
position du repère vertical de fin de page) et le champ Minimum (qui contrôle
la largeur minimum autorisée de la page). Lorsque vous construisez la page,
vous devez indiquer les blocs de texte à ajuster à la fenêtre du navigateur en
cochant la case Bloc > Modifier > Texte > Largeur variable pour ces blocs.
5 Pour indiquer une image de fond pour la page, cochez la case Image de fond,
cliquez sur Sélectionner pour indiquer le fichier de l’image de fond, puis
choisissez une option dans le menu déroulant Répétition.
6 Cliquez sur OK.
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352
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Vous pouvez élargir les blocs jusqu’à la zone grise au delà du repère de page,
indépendamment de la taille de page spécifiée. Le contenu au-delà du repère
ne sera pas rogné.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
UTILISATION DES MISES EN PAGE WEB
BLOCS DE TEXTE DANS DES MISES EN PAGE WEB
Les mises en page Web prennent en charge deux types de blocs de texte :
• Blocs de texte raster : la case Convertir en graphique à l’exportation est cochée
dans la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc) pour les blocs de texte raster
(matriciels). Ces derniers ont une apparence attrayante dans une page exportée
car ils sont convertis en images à l’exportation (comme indiqué par les petites
icônes d’appareil photo dans leur coin supérieur droit), mais leur contenu ne
peut pas être modifié ni recherché par l’utilisateur final. Utilisez les blocs de texte
raster lorsqu’une représentation fidèle est nécessaire.
• Blocs de texte HTML : la case Convertir en graphique à l’exportation est désactivée dans la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc) pour les blocs de texte
HTML. Ces derniers peuvent être sélectionnés et recherchés dans une page
Web exportée mais ne peuvent utiliser que les polices installées sur l’ordinateur
de l’utilisateur final. Lors de la conception, vous pouvez utiliser les polices
que vous souhaitez dans un bloc de texte HTML mais leur affichage dans le
navigateur de l’utilisateur final n’est pas garanti. Utilisez les blocs de texte
HTML lorsque la recherche et la sélection du texte sont plus importantes que
son apparence.
Les blocs de texte HTML présentent les restrictions suivantes :
• Ils doivent être rectangulaires. Un bloc de texte HTML non rectangulaire est
converti en graphique à l’exportation.
• Il n’est pas possible de les faire pivoter.
• Les blocs de texte HTML peuvent contenir des colonnes, mais celles-ci seront
converties en tableau HTML à l’exportation de la mise en page Web.
• Il est impossible de redimensionner (étirer) un bloc de texte HTML de manière
non proportionnelle.
• Vous ne pouvez utiliser que des valeurs entières de taille de police pour le texte
d’un bloc de texte HTML.
• Le texte d’un bloc HTML habillera un élément devant le bloc dans la page
exportée mais uniquement si l’élément placé devant ne recouvre pas entièrement
le bloc. Si ce dernier est complètement couvert, il agit comme si l’élément
placé devant est associé à un habillage Néant.
• Il est impossible de relier des blocs de texte HTML d’une page à une autre.
Les fonctions suivantes ne sont pas disponibles pour les blocs de texte HTML :
• Alignement forcé ou justifié
• Spécifications de césure et de justification (C&J)
• Retrait d’alinéa
• Blocage sur grille
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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353
UTILISATION DES MISES EN PAGE WEB
• Onglets
• Paramètres Première ligne de base et Max Inter paragraphe
• Décalage ligne de base
• Approches de paire et de groupe
• Échelles horizontale et verticale
• Styles typographiques Relief, Ombre, Petites majuscules, Supérieur et
Mot souligné
• Retournements horizontal et vertical
Si vous souhaitez utiliser un de ces paramètres dans un bloc de texte HTML,
choisissez Bloc > Modifier et cochez la case Convertir en graphique à
l’exportation pour convertir le bloc de texte HTML en bloc raster.
UTILISATION DES FAMILLES DE POLICES CSS
La norme CSS (feuilles de style en cascade) permet de créer des familles de
polices, groupes de polices qui peuvent être associés au texte de blocs HTML.
Habituellement, une famille de polices commence par une police bien spécifique
(telle qu’Agency FB), puis répertorie des polices similaires mais plus communes,
généralement disponibles sur la plupart des plates-formes (telles qu’Arial et
Helvetica), et enfin, une police générique : Serif, Sans-serif, Cursive, Fantasy
ou Monospace.
Pour créer une famille de polices CSS :
1 Choisissez Édition > Familles de polices CSS. La boîte de dialogue Familles
de polices s’affiche.
Paramétrez des familles de polices dans la boîte de dialogue Familles de polices.
2 Cliquez sur Créer. La boîte de dialogue Modifier famille de polices s’affiche.
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
UTILISATION DES MISES EN PAGE WEB
Vous pouvez indiquer les polices membres d’une famille dans la boîte de dialogue
Modifier famille de polices.
3 Sélectionnez une police générique dans le menu déroulant Police générique.
4 Pour ajouter des polices à une famille, utilisez les boutons fléchés. Utilisez les
boutons Monter et Descendre pour modifier la priorité des polices de la famille
(plus haut dans la liste signifie une priorité plus élevée).
5 Cliquez sur OK.
Pour utiliser une famille de polices, il suffit d’en appliquer la première police
au texte d’un bloc HTML.
ÉLÉMENTS GRAPHIQUES DES MISES EN PAGE WEB
Lorsque vous exportez une mise en page Web, les objets suivants sont convertis
en images dans un format permettant l’affichage sur le Web :
• des blocs contenant des images importées ;
• des lignes ;
• un texte sur un chemin ;
• des blocs Néant (Bloc > Contenu > Néant) ;
• des blocs vides ;
• des tableaux pour lesquels l’option Bloc > Modifier > Tableau > Convertir
tableau en graphique à l’exportation est activée.
Vous pouvez contrôler cette conversion dans la rubrique Exporter de la boîte
de dialogue Modifier.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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UTILISATION DES MISES EN PAGE WEB
Vous contrôlez les options d’exportation des images, des blocs de texte raster
et d’autres éléments graphiques dans la rubrique Exporter de la boîte de
dialogue Modifier.
Pour configurer un élément graphique à exporter :
1 Choisissez Bloc > Modifier et cliquez sur l’onglet Exporter.
2 Choisissez une option dans le menu déroulant Exporter sous. Les options
disponibles sont les suivantes : GIF, JPEG, SWF et PNG. Les options sous ce
menu changent en fonction du format sélectionné.
3 Pour indiquer un répertoire cible pour le fichier image exporté, renseignez le
champ Exporter vers.
4 Entrez une description brève ou un nom pour l’image dans le champ
Autre texte.
IMPORTATION D’UN FICHIER AU FORMAT FLASH (SWF)
En plus de l’importation d’images dans tous les formats pris en charge par
les mises en page papier, vous pouvez importer des fichiers au format Flash
(SWF). Lorsque vous exportez une mise en page contenant un fichier Flash
importé, ce dernier est copié dans l’emplacement d’exportation et s’affiche
comme partie de la page HTML exportée.
CONVERSION EN ET À PARTIR DE MISES EN PAGE WEB
Pour convertir une mise en page papier en mise en page Web, ouvrez la mise
en page et choisissez Mise en page > Dupliquer, puis sélectionnez Web dans
le menu déroulant Type de mise en page.
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
UTILISATION DES MISES EN PAGE WEB
Lors de la conversion d’une mise en page papier en mise en page Web, les
changements suivants se produisent :
• La case Convertir en graphique à l’exportation est cochée pour tous les
blocs de texte. Si vous la désactivez et transformez le bloc en bloc de texte
HTML, toutes les tabulations sont converties en espaces.
• Les blocs de texte chaînés sur les pages en regard s’affichent sur la même page
comme blocs de texte distincts.
***
Les attributs de feuilles de style non pris en charge dans les blocs de texte HTML
sont marqués d’un astérisque (*) dans la boîte de dialogue Modification de la
feuille de style (Édition > Feuilles de style).
Lors de la conversion d’une mise en page Web en mise en page papier, les
changements suivants se produisent :
• Les blocs de texte HTML et matriciels s’affichent comme simples blocs de texte.
• Les blocs de formulaire et formulaires HTML sont supprimés.
• Les images rollover et cliquables sont converties en images ordinaires.
RESTRICTIONS DES MISES EN PAGE WEB
Les fonctions ci-après ne sont pas disponibles pour les blocs de texte des mises
en page Web :
• Caractères hors justification
• Spécifications d’approches fixes, de groupe, de paire et C&J
• Caractères insécables
• Styles OpenType
• Verrouiller sur la grille
• Marques d’accentuation
• Direction d’histoire verticale.
***
Pour conserver ces fonctions dans les mises en page Web, sélectionnez le bloc
de texte et cochez la case Convertir en graphique à l’exportation dans la boîte
de dialogue Modifier (Bloc > Modifier).
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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357
HYPERLIENS
HYPERLIENS
Dans la plupart des outils HTML, vous créez un hyperlien en sélectionnant
une portion de texte ou une image, puis en entrant l’URL dans un champ.
QuarkXPress est un peu différent.
La palette Hyperliens apparaît
DESTINATIONS
Une destination contient une URL particulière. Comme un projet QuarkXPress
peut contenir des listes de couleurs et de feuilles de style, il peut également
contenir une liste de destinations. Chaque destination comporte un des types
d’URL suivants :
• URL : pointe vers une ressource particulière sur le Web.
• Page : pointe vers une page particulière de la même mise en page.
• Ancre : pointe vers une portion particulière d’une page de la mise en page.
***
Bien que l’interface utilisateur établit une différence entre les URL, les pages et
les ancres, le lien réel inclus dans le fichier HTML exporté est toujours une URL.
Tout comme les couleurs et les feuilles de style, chaque destination a un nom.
Vous pouvez lui donner celui que vous souhaitez. Par exemple, la destination
de l’URL http://www.quark.com peut être appelée Site Web Quark.
Tout comme vous pouvez consulter une liste des couleurs d’un projet dans la
palette Couleurs, vous pouvez afficher la liste des destinations d’un projet dans
la palette Hyperliens. Et tout comme vous pouvez appliquer une couleur à
partir de la palette Couleurs, vous pouvez appliquer une destination au texte ou à
l’élément sélectionné en cliquant sur cet hyperlien dans la palette Hyperliens.
Vous pouvez modifier votre liste de destinations dans la boîte de dialogue
Hyperliens (menu Édition). Notez que comme avec les couleurs, la liste des
destinations d’un projet peut contenir des destinations qui ne sont pas vraiment
utilisées dans le projet.
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
HYPERLIENS
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Si vous préférez créer des hyperliens en sélectionnant un élément, puis en
entrant une URL, vous pouvez toujours le faire dans QuarkXPress. Cependant,
vous devez garder à l’esprit que vous créez, dans ce cas, une destination et que
cette dernière sera ajoutée à la liste des destinations du projet et répertoriée dans
la palette Hyperliens.
ANCRES
Une ancre est simplement un indicateur que vous reliez à un objet quelque part
dans la mise en page. Vous pouvez joindre des ancres aux objets suivants :
• un mot, un caractère ou une chaîne dans un bloc de texte raster ou HTML,
ou dans du texte sur un chemin ;
• un bloc d’image ;
• une zone précise d’une image cliquable ;
• une cellule d’un tableau ;
• un bloc vide ;
• un trait.
Les ancres dans QuarkXPress se présentent comme suit :
ou
.
CIBLES
Les cibles permettent de contrôler dans quelle fenêtre une destination s’ouvre.
Les types de cibles disponibles sont les suivants :
• Néant : la destination doit s’afficher dans la même fenêtre que l’hyperlien.
• _blank : la destination doit s’afficher dans une nouvelle fenêtre de navigateur.
• _self : la destination doit s’afficher dans la même fenêtre que l’hyperlien.
• _parent : la destination doit s’afficher dans la fenêtre parent de la page
contenant l’hyperlien.
• _top : la destination doit supprimer tous les cadres de la page et occuper toute
la fenêtre du navigateur.
***
Une cible est associée à un hyperlien individuel (sur lequel l’utilisateur final
clique), plutôt qu’à une destination (l’URL ouverte par ce clic). Aussi, vous ne
pouvez pas spécifier de cible si vous créez simplement une destination.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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HYPERLIENS
CRÉATION D’UNE DESTINATION
Une destination contient une URL vers laquelle un hyperlien peut pointer.
Pour créer une destination :
1 Choisissez Fenêtre > Hyperliens. La palette Hyperliens apparaît.
• Pour définir manuellement l’URL, choisissez URL, puis entrez l’URL dans le
champ correspondant ou utilisez le bouton Sélectionner pour créer un chemin
vers un fichier précis. (N’oubliez pas de vérifier que le chemin est toujours valable
dans la page HTML exportée.) Vous pouvez sélectionner un des quatre protocoles
courants dans la liste déroulante en regard du champ URL.
• Pour relier à une page différente de la même mise en page, choisissez Page dans le
champ Type, puis sélectionnez une page dans le menu déroulant correspondant.
• Pour relier à une ancre précise de la même mise en page, choisissez Ancre dans le
champ Type, puis sélectionnez une ancre dans le menu déroulant correspondant.
2 Cliquez sur OK. (Si vous ajoutez plusieurs destinations, appuyez sur la touche
Maj lorsque vous cliquez sur OK pour que la boîte de dialogue Nouvel hyperlien
reste ouverte.)
Créez une destination à l’aide de la boîte de dialogue Nouvel hyperlien.
CRÉATION D’UNE ANCRE
Une ancre est simplement un élément pointant vers un emplacement précis
d’une mise en page. Pour créer une ancre :
1 Choisissez Fenêtre > Hyperliens. La palette Hyperliens apparaît.
• Cliquez sur le bouton Nouvelle ancre dans la palette Hyperliens.
• Choisissez Style > Ancre > Créer.
• Affichez le menu de la palette Hyperliens, puis choisissez Nouvelle ancre.
• Affichez le menu contextuel pour le texte ou l’élément sélectionné et choisissez
Ancre > Créer.
2 Renseignez le champ Nom de l’ancre ou choisissez un nom d’ancre non utilisé
dans le menu déroulant.
3 Cliquez sur OK.
Configurez une nouvelle ancre dans la boîte de dialogue Nouvelle ancre.
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
HYPERLIENS
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Pour créer une ancre vide, désélectionnez tout et cliquez sur le bouton Nouvelle
ancre de la palette Hyperliens. Utilisez cette méthode pour créer des hyperliens pointant vers des ancres se trouvant dans des parties d’une mise en page
auxquelles vous n’avez pas accès ou que vous n’avez pas encore créées.
CRÉATION D’UN HYPERLIEN À L’AIDE D’UNE DESTINATION EXISTANTE
Un hyperlien est une chaîne de texte, un bloc ou un trait qui pointe vers une
destination particulière. Pour créer un hyperlien à l’aide d’une destination
existante, sélectionnez la portion de texte ou le bloc d’image que vous souhaitez
utiliser comme hyperlien, puis effectuez l’une des opérations suivantes :
• Cliquez sur une destination dans la palette Hyperliens.
• Choisissez Style > Hyperlien > [destination].
• Affichez le menu contextuel du texte ou de l’élément sélectionné et choisissez
Hyperlien > [destination].
CRÉATION D’UN HYPERLIEN À PARTIR DE RIEN
Un hyperlien est une chaîne de texte, un bloc ou un trait qui pointe vers
une destination particulière. Pour créer simultanément un hyperlien et
une destination :
1 Sélectionnez la portion de texte ou l’élément que vous souhaitez utiliser
comme hyperlien.
• Cliquez sur le bouton Nouvel hyperlien dans la palette Hyperliens.
• Choisissez Style > Hyperlien > Créer.
• Affichez le menu contextuel du texte ou du bloc sélectionné et
choisissez Hyperlien.
• Pour définir manuellement l’URL, choisissez URL, puis entrez l’URL dans le
champ correspondant ou utilisez le bouton Sélectionner pour créer un chemin
vers un fichier précis. (N’oubliez pas de vérifier que le chemin est toujours
valable dans la page HTML exportée.) Vous pouvez sélectionner un des quatre
protocoles courants dans la liste déroulante en regard du champ URL.
• Pour relier à une page différente de la même mise en page, choisissez Page,
puis sélectionnez une page dans le menu déroulant correspondant.
• Pour relier à une ancre précise de la même mise en page, choisissez Ancre, puis
sélectionnez une ancre dans le menu déroulant correspondant.
2 Cliquez sur OK.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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HYPERLIENS
AFFICHAGE DES LIENS DANS LA PALETTE HYPERLIENS
Les boutons et menu déroulant Afficher de la palette Hyperliens permettent
de contrôler ce qui est affiché dans la liste défilante de celle-ci :
• Cliquez sur le bouton Afficher destinations pour afficher les destinations.
• Cliquez sur le bouton Afficher ancres pour afficher les ancres.
• Cliquez sur le bouton Afficher les liens de page pour afficher les liens aux
pages de cette mise en page.
• Choisissez Nom pour classer les éléments de la liste par nom ou Lien pour
les classer par URL.
FORMATAGE DES HYPERLIENS
Par défaut, le texte en hyperlien est souligné et coloré à l’aide des couleurs par
défaut définies dans la boîte de dialogue Propriétés de mise en page (Mise
en page > Propriétés de mise en page). Il est toutefois possible d’annuler
l’apparence par défaut d’un hyperlien et de la remplacer en sélectionnant des
mots, puis en leur appliquant le formatage souhaité (couleur, taille et police).
Si vous modifiez le formatage d’un paragraphe contenant du texte en hyperlien,
les hyperliens adoptent la police et la taille des caractères du paragraphe mais
conservent leur couleur et leur soulignement par défaut.
MODIFICATION ET SUPPRESSION DES DESTINATIONS
Pour modifier le nom ou l’URL d’une destination, sélectionnez celle-ci dans la
palette Hyperliens et cliquez sur le bouton Modifier . Tous les changements
effectués s’appliquent à tous les hyperliens de la mise en page qui utilisent
la destination.
Pour supprimer une destination, sélectionnez-la dans la palette Hyperliens et
cliquez sur le bouton Supprimer . Tous les hyperliens vers cette destination
sont retirés de la mise en page.
Vous pouvez également modifier et supprimer des destinations à l’aide de la
boîte de dialogue Hyperliens (menu Édition).
MODIFICATION ET SUPPRESSION DES ANCRES
Pour modifier le nom d’une ancre, sélectionnez celle-ci dans la palette
Hyperliens et cliquez sur le bouton Modifier . Vous pouvez modifier le nom
de l’ancre et l’ancre elle-même. Si l’ancre ne porte pas de nom, elle s’affiche seule
dans la palette Hyperliens.
Pour supprimer une ancre, sélectionnez-la dans la palette Hyperliens et cliquez
sur le bouton Supprimer . Tous les hyperliens vers cette ancre sont retirés
de la mise en page.
Vous pouvez également modifier et supprimer des ancres à l’aide de la boîte
de dialogue Hyperliens (menu Édition).
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
HYPERLIENS
MODIFICATION ET SUPPRESSION DES HYPERLIENS
Pour modifier la destination d’un hyperlien, sélectionnez ce dernier dans la
mise en page, cliquez sur le bouton Modifier dans la palette Hyperliens, puis
entrez une nouvelle valeur dans le champ URL ou choisissez une option dans
le menu déroulant à côté du champ URL.
Pour retirer la destination d’un hyperlien, sélectionnez ce dernier dans la mise en
page et cliquez sur Aucun hyperlien dans la palette Hyperliens, ou choisissez
Style > Hyperlien > Supprimer.
NAVIGATION À L’AIDE DE LA PALETTE HYPERLIENS
En plus de créer des hyperliens dans la palette Hyperliens, vous pouvez
utiliser celle-ci pour accéder à des hyperliens et à des ancres de la mise en
page QuarkXPress active. Pour naviguer à l’aide de la palette Hyperliens :
• Afin d’accéder à une destination correspondant à une URL, double-cliquez dessus
dans la palette Hyperliens. L’URL est transmise au navigateur Web indiqué.
• Pour atteindre une ancre de la mise en page active, cliquez deux fois sur son
nom dans la palette Hyperliens.
ROLLOVERS
Un rollover est une image d’une page HTML qui change lorsque l’on passe le
pointeur de la souris dessus. En général, ce type d’image est utilisé comme
bouton menant à une nouvelle page ou entraînant le téléchargement d’un
fichier. Tout en étant impressionnants sur le plan visuel, les rollovers impliquent
une taille de fichier plus importante et une durée de téléchargement plus
longue. De plus, les rollovers ne sont pas pris en charge par toutes les versions
des navigateurs Web (même s’ils le sont par les versions 3.x et supérieures de
Microsoft Internet Explorer et Netscape Navigator, ainsi que les versions actuelles
de Safari et Firefox).
QuarkXPress propose deux types de rollovers :
• Rollover simple : change l’image lorsque le pointeur de la souris est placé sur le
bloc de rollover.
• Rollover à deux positions : change l’image dans un ou plusieurs autres blocs
lorsque le pointeur de la souris est placé sur le bloc de rollover.
Un rollover change d’apparence lorsqu’un utilisateur final passe le pointeur de la
souris dessus.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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363
ROLLOVERS
CRÉATION D’UN ROLLOVER SIMPLE
Vous pouvez créer un rollover simple avec des blocs d’image ou de texte. Si
vous utilisez des blocs de texte, ces derniers sont automatiquement convertis
en images à l’exportation. Pour créer un rollover simple :
1 Sélectionnez un bloc d’image ou de texte dans la mise en page Web active.
2 Choisissez Bloc > Rollover simple > Créer rollover. La boîte de dialogue
Rollover s’affiche.
3 Indiquez ce qui doit apparaître lorsque le pointeur de la souris n’est pas placé
sur le rollover :
• Pour une image rollover, entrez le chemin et le nom du fichier image dans le
champ Image par défaut ou cliquez sur Sélectionner/Parcourir pour localiser
le fichier manuellement.
• Pour un texte rollover, entrez et formatez le texte.
4 Indiquez ce qui doit apparaître lorsque l’utilisateur final passe le pointeur de
la souris sur le rollover :
• Pour une image rollover, entrez le chemin et le nom du fichier image dans le
champ Image rollover ou cliquez sur Sélectionner/Parcourir pour localiser
le fichier manuellement.
• Pour un texte rollover, entrez et formatez le texte.
5 Pour ajouter un hyperlien au rollover, entrez une URL dans le champ
Hyperlien ou choisissez une URL dans le menu déroulant Hyperlien. Vous
pouvez également cliquer sur Sélectionner/Parcourir pour localiser le fichier
cible manuellement, mais notez que cette opération crée un lien absolu. Pour
créer un lien relatif, entrez manuellement le chemin relatif vers le fichier cible.
6 Cliquez sur OK. Le bloc de rollover affiche l’icône
pour indiquer qu’il
contient des images permutables, l’icône
pour indiquer qu’il est sensible
aux rollovers et (si vous avez ajouté un hyperlien) l’icône
pour indiquer
un hyperlien.
MODIFICATION ET SUPPRESSION DES ROLLOVERS SIMPLES
Pour modifier un rollover, sélectionnez un bloc d’image contenant ce dernier et
choisissez Bloc > Rollover simple > Modifier rollover. La boîte de dialogue
Rollover s’affiche. Vous pouvez soit changer l’image, soit modifier l’hyperlien.
Pour supprimer le comportement rollover, sélectionnez le bloc d’image contenant
le rollover et choisissez Bloc > Rollover simple > Supprimer rollover.
CRÉATION D’UN ROLLOVER À DEUX POSITIONS
Dans un rollover à deux positions, l’utilisateur final passe le pointeur de la souris
sur un bloc et l’image d’un bloc différent affiche l’image rollover. Le bloc sur
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
ROLLOVERS
lequel l’utilisateur final passe le pointeur est appelé bloc d’origine, celui qui
affiche l’image rollover, bloc cible. Pour créer un rollover à deux positions :
1 Créez un bloc de texte ou d’image qui servira de bloc d’origine, le bloc sur lequel
le pointeur de la souris passera pour appeler le rollover. S’il s’agit d’un bloc
de texte, choisissez Bloc > Modifier et cochez la case Convertir en graphique
à l’exportation.
2 Créez un autre bloc de texte ou d’image qui servira de bloc cible, le bloc dont le
contenu sera modifié lorsque le pointeur de la souris passera sur le bloc d’origine. S’il s’agit d’un bloc de texte, choisissez Bloc > Modifier et cochez la
case Convertir en graphique à l’exportation.
3 Importez une image ou entrez du texte dans le bloc cible. Il s’agit du contenu
par défaut du bloc cible.
4 Le bloc cible sélectionné, choisissez Bloc > Rollovers > Créer une cible à deux
positions. L’icône
s’affiche dans le bloc d’origine.
5 Pour définir l’image rollover, importez une nouvelle image ou entrez un
nouveau texte dans le bloc cible.
6 Pour lier le bloc d’origine au bloc cible, sélectionnez l’outil Chaînage rollover à
deux positions dans la palette Outils Web, cliquez sur le bloc d’origine, puis sur
le bloc cible. L’icône
s’affiche dans le bloc cible.
7 Pour créer des blocs cible supplémentaires, répétez les étapes 2 à 6.
PASSAGE D’UNE IMAGE ROLLOVER À UNE AUTRE DANS LA MISE
EN PAGE
Un rollover simple ou à deux positions cible est un bloc d’image dans lequel
deux images sont importées : une pour l’état par défaut et une pour l’état
rollover. Cependant, une seule de ces images peut être affichée à la fois dans
la mise en page. Pour passer d’une image à une autre dans la mise en page,
sélectionnez le bloc contenant le rollover simple ou à deux positions cible et
effectuez l’une des opérations suivantes :
• pour un rollover simple, choisissez Bloc > Rollover simple > Image par défaut
pour l’image par défaut ou Bloc > Rollover simple > Image rollover pour
afficher l’image rollover.
• Pour un rollover à deux positions, choisissez Bloc > Rollovers à deux positions >
Afficher, puis sélectionnez une des options du menu.
SUPPRESSION D’UNE CIBLE D’UN BLOC DE ROLLOVER À
DEUX POSITIONS
Pour retirer une cible simple d’un bloc de rollover à deux positions, sélectionnez le bloc contenant le rollover à deux positions, choisissez Bloc > Rollover
à deux positions > Supprimer la cible, puis choisissez l’image que vous
souhaitez retirer.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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365
ROLLOVERS
SÉPARATION D’UN ROLLOVER À DEUX POSITIONS
Pour supprimer le lien d’un rollover à deux positions, sélectionnez l’outil
Séparation de rollover à deux positions dans la palette Outils Web, cliquez
sur le bloc d’origine, puis sur le bloc cible.
IMAGES CLIQUABLES
L’image cliquable est une fonction HTML qui permet à l’utilisateur final de se
connecter à différentes URL en cliquant sur des parties d’une image d’une page
Web. Pour créer une image cliquable, vous importez une image, dessinez des
zones sensibles (formes) sur les parties de l’image que vous souhaitez utiliser
comme hyperliens, puis associez les hyperliens aux zones sensibles. Ces dernières
sont invisibles à l’exportation mais les hyperliens fonctionnent lorsque
l’utilisateur final clique sur les différentes parties de l’image.
CRÉATION D’UNE IMAGE CLIQUABLE
Pour créer une image cliquable, sélectionnez un bloc d’image, puis tracez-y
au moins une zone sensible. Pour dessiner des zones sensibles sur le bloc
d’image actif :
1 Sélectionnez l’un des outils Image cliquable disponibles dans la palette
Outils Web. Vous pouvez choisir entre l’outil Image cliquable rectangulaire,
l’outil Image cliquable ovale et l’outil Image cliquable de Bézier.
Outils Image cliquable rectangulaire, Image cliquable ovale et Image cliquable
de Bézier
2 Si vous utilisez l’outil Image cliquable rectangulaire ou Image cliquable
ovale, faites glisser le pointeur Croix à partir de l’intérieur du bloc d’image.
3 Si vous utilisez l’outil Image cliquable de Bézier, cliquez (ou cliquez et faites
glisser la souris) pour placer les points du polygone. Veillez à effectuer le premier
clic à l’intérieur du bloc d’image. Une fois le polygone tracé, double-cliquez
pour fermer le contour de la zone sensible.
4 Pour changer la zone sensible en hyperlien, cliquez sur une destination ou
une ancre dans la palette Hyperliens.
5 Choisissez Affichage > Repères, puis vérifiez que les zones sensibles se trouvent
bien à l’endroit souhaité.
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
IMAGES CLIQUABLES
***
Les zones sensibles ne s’affichent que lorsque leur bloc d’image est sélectionné.
Elles ne s’impriment pas.
***
Il est possible de créer des zones sensibles s’étendant au-delà des limites d’un
bloc d’image. Toutefois, à l’exportation, ces zones sensibles sont découpées
suivant les contours du bloc (sauf dans le cas des zones sensibles circulaires).
MODIFICATION D’UNE IMAGE CLIQUABLE
Après avoir créé une image cliquable, vous pouvez déplacer ses zones sensibles,
modifier leur taille ou les supprimer. Pour modifier une image cliquable :
1 Sélectionnez un bloc d’image contenant une image cliquable.
2 Si les zones sensibles ne sont pas visibles, choisissez Affichage > Repères.
3 Pour redimensionner une zone sensible, sélectionnez-la, puis faites glisser
l’une de ses poignées.
4 Pour déplacer une zone sensible, faites glisser la souris à l’intérieur de ses limites.
5 Pour supprimer une zone sensible, sélectionnez-la, puis appuyez sur la touche
Supprimer/Retour arrière.
***
Les zones sensibles sont stockées avec l’image dans laquelle elles sont créées. Par
conséquent, si vous dupliquez, déplacez, redimensionnez, inclinez ou faites
pivoter une image, les images cliquables restent incluses.
FORMULAIRES
Les formulaires HTML permettent aux utilisateurs de s’inscrire sur des listes
de publipostage, d’acheter des produits et de donner leurs impressions sur
Internet ou un intranet. Les formulaires peuvent contenir des champs de
texte, des boutons, des cases à cocher, des menus déroulants et des listes. Les
utilisateurs peuvent se servir de ces commandes pour saisir du texte, soumettre
leur mot de passe en toute sécurité et même télécharger des fichiers.
Il est primordial de savoir que les formulaires ne peuvent pas exister dans le
vide ; lorsque vous créez un formulaire, vous devez aussi créer un script ou une
application serveur pour traiter les données soumises à partir de ce formulaire.
De tels scripts ou applications utilisent souvent, mais pas toujours, le protocole
CGI (Common Gateway Interface) ; ils peuvent s’écrire en langages tels que Perl,
C, Java et AppleScript. Les protocoles et langages que vous pouvez utiliser
dépendent du logiciel du serveur Web et de la plate-forme sur laquelle ce dernier
est exécuté.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
|
367
FORMULAIRES
Si vous souhaitez intégrer des formulaires HTML à votre site Web, vous devez
utiliser un outil tiers pour construire le script ou l’application serveur. Pour
obtenir des informations sur cette procédure, consultez votre Webmestre.
Vous pouvez utiliser un formulaire pour recueillir des informations concernant les
visiteurs de votre site Web.
CRÉATION D’UN BLOC DE FORMULAIRE
Un bloc de formulaire indique les limites d’un formulaire HTML. Il doit contenir
un contrôle de formulaire au moins et éventuellement des champs masqués.
Pour créer un bloc de formulaire :
1 Sélectionnez l’outil Bloc de formulaire
dans la palette Outils Web.
• Sélectionnez Get si vous souhaitez que le navigateur Web ajoute les données
de formulaire à la fin de l’URL du script ou de l’application cible.
• Sélectionnez Post si vous souhaitez que le navigateur Web envoie les données de
formulaire au script ou à l’application cible dans une transaction HTTP distincte.
• Les options Néant et Identique permettent d’utiliser le même cadre ou la même
fenêtre que le formulaire.
• L’option Vierge permet d’utiliser une nouvelle fenêtre sans nom comme fenêtre
de résultat.
• L’option Parent permet d’utiliser le cadre ou la fenêtre parent du formulaire
comme fenêtre de résultat. En l’absence de fenêtre parent, les données de formulaire sont affichées dans la même fenêtre que le formulaire (ce qui revient
à définir l’option Néant ou Identique dans le champ Cible).
• L’option Top permet d’utiliser la première fenêtre ne contenant pas de cadre
(en général la page d’introduction du formulaire) comme fenêtre de résultat.
368
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
FORMULAIRES
• Choisissez Page d’erreur pour indiquer qu’une page HTML différente doit
s’ouvrir, puis entrez l’URL de celle-ci. Vous pouvez également cliquer sur
Sélectionner/Parcourir pour localiser la page cible manuellement, mais
notez que cette opération crée un lien absolu. Pour créer un lien relatif, entrez
manuellement le chemin relatif vers le fichier cible.
• Choisissez l’option Message de dialogue si vous souhaitez qu’une alerte s’affiche dans la boîte de dialogue, puis entrez le message d’alerte dans le bloc de
texte. Pour inclure le nom du premier champ vide obligatoire dans l’alerte,
utilisez la balise <missing field>. Si l’alerte apparaît, cette balise est alors
remplacée par le nom des champs obligatoires non renseignés.
2 Cliquez sur OK.
Il est également possible de créer un formulaire en traçant un contrôle de
formulaire dans une partie vide d’une mise en page Web.
***
Il est impossible de superposer des blocs de formulaire.
***
Les contrôles de formulaire doivent être contenus entièrement dans un bloc
de formulaire.
AJOUT D’UN CONTRÔLE DE TYPE TEXTE, MOT DE PASSE OU
CHAMP MASQUÉ
Un contrôle de texte permet aux utilisateurs d’entrer du texte plein. Un contrôle
de mot de passe est également prévu pour accueillir du texte plein, mais ne
l’affiche que sous la forme d’astérisques (ou d’autres caractères spéciaux). Un
contrôle de champ masqué soumet, lorsque le formulaire est envoyé, une valeur
que l’utilisateur ne voit pas. Pour ajouter un contrôle de type texte, mot de
passe ou champ masqué à un formulaire :
1 À l’aide de l’outil Champ de saisie
, dessinez un contrôle de texte dans le
bloc de formulaire. Il est possible de superposer des champs masqués au sein
d’un bloc de formulaire, mais pas des contrôles visibles.
2 Choisissez Bloc > Modifier, puis cliquez sur l’onglet Formulaire.
3 Entrez le nom du contrôle de texte dans le champ Nom.
4 Choisissez une option dans le menu déroulant Type pour spécifier le type
du champ :
• L’option Texte - Une ligne permet de créer un contrôle contenant une seule
ligne de texte.
• L’option Texte - Multiligne permet de créer un contrôle contenant plusieurs
lignes de texte.
• L’option Mot de passe permet de créer un contrôle affichant tous les caractères
saisis sous la forme d’astérisques ou de puces.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
|
369
FORMULAIRES
• Choisissez Champ masqué pour créer un contrôle à envoyer en même temps
que le formulaire mais qui ne doit pas apparaître dans le navigateur Web de
l’utilisateur final.
5 Renseignez le champ Maximum caractères pour définir le nombre maximum
de caractères pris en charge par le contrôle.
6 Cochez la case Retour ligne pour que le texte sur plusieurs lignes dans le
contrôle soit automatiquement renvoyé à la ligne suivante.
7 Pour empêcher l’utilisateur final de modifier le contenu du contrôle, cochez
Lecture seule.
8 Pour indiquer que le contrôle doit contenir une valeur avant l’envoi du
formulaire, cochez Obligatoire.
9 Cliquez sur OK.
AJOUT D’UN CONTRÔLE DE TYPE BOUTON
Un contrôle de bouton d’envoi permet aux utilisateurs d’envoyer leur formulaire au
script ou à l’application cible sur un serveur. Un contrôle de bouton de réinitialisation permet de rétablir la valeur par défaut de tous les champs et boutons d’un
formulaire. Pour créer un contrôle de bouton d’envoi ou de réinitialisation :
1 À l’aide de l’outil Bouton
, dessinez le contrôle de bouton dans le bloc
de formulaire.
• L’option Réinitialiser permet de configurer le contrôle de bouton pour
rétablir la valeur par défaut des champs et des boutons du formulaire.
• Choisissez Soumettre pour configurer un contrôle de bouton qui envoie les
données de formulaire au script ou à l’application CGI cible indiqués par le
bloc de formulaire.
2 Cliquez sur OK.
3 Pour ajouter du texte au bouton, cliquez dessus à l’aide de l’outil
Modification
***
, puis saisissez le texte voulu.
La taille des boutons s’adapte automatiquement à la longueur de leur nom.
AJOUT D’UN CONTRÔLE DE TYPE BOUTON D’IMAGE
Les contrôles de bouton d’image permettent d’envoyer un formulaire. Pour créer
un contrôle de bouton d’image :
1 À l’aide de l’outil Bouton d’image
, dessinez le contrôle de bouton d’image
dans le bloc de formulaire.
2 Choisissez Importer image (Fichier > Importer image) pour accéder à la
boîte de dialogue correspondante. Sélectionnez le fichier image à afficher
dans le contrôle, puis cliquez sur le bouton Ouvrir.
370
|
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
FORMULAIRES
3 Choisissez Bloc > Modifier, puis cliquez sur l’onglet Formulaire.
4 Renseignez le champ Nom du nouveau contrôle de bouton.
5 Cliquez sur l’onglet Exporter (Bloc > Modifier) afin d’accéder aux options
d’exportation pour le contrôle de bouton d’image sélectionné.
6 Cliquez sur OK.
AJOUT DE CONTRÔLES DE TYPES MENU LOCAL ET LISTE
Les contrôles de menu local permettent aux utilisateurs finals de choisir une
option dans un menu. Les contrôles de liste leur permettent de choisir une ou
plusieurs options dans un menu. Pour ajouter un contrôle de liste déroulante
ou de liste dans un formulaire :
1 À l’aide de l’outil Menu local
ou Bloc de liste
, dessinez le contrôle de
liste dans le bloc de formulaire.
• Choisissez Menu local pour un menu déroulant.
• Choisissez Liste pour une liste défilante.
• Pour insérer un menu déjà créé, choisissez son nom dans le menu
déroulant Menu.
• Pour créer un menu, cliquez sur le bouton Créer.
2 (Contrôles de liste uniquement) Pour signaler que les utilisateurs peuvent
sélectionner plusieurs éléments simultanément, cochez la case Autoriser
plusieurs sélections.
3 Pour indiquer que l’un des éléments du contrôle doit nécessairement être
sélectionné avant l’envoi du formulaire, cochez la case Obligatoire.
4 Cliquez sur OK.
AJOUT D’UN GROUPE DE CONTRÔLES DE TYPE BOUTON RADIO
Un groupe de contrôles de bouton radio permet à l’utilisateur final de choisir
une valeur parmi un ensemble disponible. Lorsqu’il clique sur un bouton
radio, tous les autres du groupe sont désélectionnés. Pour ajouter un groupe
de boutons radio à un formulaire :
1 À l’aide de l’outil Bouton radio
, dessinez plusieurs contrôles de bouton radio
dans le bloc de formulaire.
2 Sélectionnez un des contrôles de bouton radio, puis choisissez Bloc > Modifier
et cliquez sur l’onglet Formulaire.
3 Le cas échéant, choisissez l’option Bouton radio dans le menu déroulant Type.
4 Les contrôles de bouton radio portant le même nom sont considérés comme
appartenant au même groupe. Attribuez un nom au groupe de boutons radio
en renseignant le champ Groupe.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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371
FORMULAIRES
5 Pour attribuer une valeur au bouton radio sélectionné, renseignez le
champ Valeur.
6 Répétez les étapes 2 à 5 jusqu’à ce que tous les contrôles de bouton radio du
groupe soient créés et configurés.
7 Pour sélectionner un contrôle de bouton radio par défaut, activez-le, choisissez
Bloc > Modifier, cliquez sur l’onglet Formulaire, puis cochez Utiliser par défaut.
8 Pour indiquer que l’un des boutons radio du groupe doit nécessairement être
sélectionné avant l’envoi du formulaire, sélectionnez l’un des contrôles de
bouton radio, puis cochez la case Obligatoire. Lorsque vous cochez la case
Obligatoire pour un contrôle de bouton radio, celle de tous les autres du groupe
est activée.
9 Cliquez sur OK.
***
Un contrôle de bouton radio ne peut pas porter le même nom qu’un contrôle
de case à cocher du même formulaire.
AJOUT D’UN CONTRÔLE DE TYPE CASE À COCHER
Un contrôle de case à cocher peut être coché ou non par l’utilisateur final. Pour
ajouter un contrôle de case à cocher dans un formulaire :
1 À l’aide de l’outil Case à cocher
, dessinez le contrôle de case à cocher dans
le bloc de formulaire.
2 Choisissez Bloc > Modifier, puis cliquez sur l’onglet Formulaire.
3 Choisissez l’option Case à cocher dans le menu déroulant Type.
4 Renseignez le champ Nom du nouveau contrôle de case à cocher.
5 Renseignez le champ Valeur du contrôle de case à cocher.
6 Pour indiquer que la case doit être cochée lorsque la page Web apparaît, cochez
Initialement activée.
7 Pour indiquer qu’un contrôle de case à cocher doit être activé avant l’envoi
du formulaire, cochez Obligatoire.
8 Cliquez sur OK.
372
|
***
La rubrique Formulaire ne permet pas d’ajouter de texte au contrôle de case
à cocher. Toutefois, vous pouvez définir le texte à afficher à côté d’une case à
cocher lorsque le contrôle est sélectionné à l’aide de l’outil Modification.
***
Un contrôle de case à cocher ne peut pas porter le même nom qu’un contrôle
de bouton radio du même formulaire.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
FORMULAIRES
AJOUT D’UN CONTRÔLE DE TYPE ENVOI DE FICHIER
Un contrôle d’envoi de fichier permet aux utilisateurs finals de préciser le chemin
d’accès à un fichier local qui sera téléchargé à l’envoi d’un formulaire. L’utilisateur
final peut entrer le chemin du fichier ou cliquer sur le bouton Parcourir (créé
avec le contrôle de formulaire) pour rechercher le fichier. Pour créer un contrôle
d’envoi de fichier dans un bloc de formulaire :
1 À l’aide de l’outil Sélection de fichier
, dessinez le contrôle d’envoi de fichier
dans le bloc de formulaire.
2 Choisissez Bloc > Modifier, puis cliquez sur l’onglet Formulaire.
3 Renseignez le champ Nom du nouveau contrôle d’envoi de fichier.
4 Si vous le souhaitez, dans le champ Accepter, dressez la liste des types de MIME
pris en charge en séparant chaque entrée par une virgule.
5 Cochez la case Obligatoire pour préciser qu’un fichier doit être envoyé avec
le formulaire.
6 Cliquez sur OK.
MENUS
Un menu est une liste d’options pouvant apparaître dans un contrôle de liste
ou de menu local au sein d’un bloc de formulaire. Vous pouvez utiliser des
menus pour permettre à vos utilisateurs de choisir une option dans une liste
ou vous pouvez créer des menus de navigation où chaque élément est associé
à une URL.
UTILISATION DES MENUS STANDARD
Les menus standard sont de simples listes d’options pouvant être utilisées
dans un formulaire HTML. Un menu standard peut présenter des valeurs à
soumettre dans le formulaire ou peut être utilisé pour la consultation.
CRÉATION D’UN MENU STANDARD
Pour créer un menu standard :
1 Choisissez Édition > Menus pour afficher la boîte de dialogue Menus.
Vous pouvez manipuler des menus standard dans la boîte de dialogue Menus.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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373
MENUS
2 Pour créer un menu, cliquez sur le bouton Créer. La boîte de dialogue Modifier
le menu s’affiche.
La boîte de dialogue Modifier le menu permet de configurer un menu standard.
3 Pour définir un menu comme menu de navigation, cochez Menu de navigation.
Lorsqu’un utilisateur final choisit un élément dans un menu de navigation,
son navigateur Web tente d’ouvrir l’URL définie comme valeur de l’élément.
4 Pour ajouter un élément dans le menu sélectionné, cliquez sur le bouton
Ajouter. La boîte de dialogue Option de menu s’affiche.
La boîte de dialogue Option de menu fournit des contrôles de configuration des
options de menu standard.
5 Renseignez le champ Nom. Le nom s’affiche comme élément dans le
menu déroulant.
6 Renseignez le champ Valeur. La façon dont la valeur est utilisée dépend du
type de menu dont il s’agit :
• S’il s’agit d’un menu de navigation, la sélection d’un élément implique que
le navigateur Web tente d’ouvrir l’URL définie dans le champ Valeur. Aussi,
veillez à saisir une URL correcte dans le champ Valeur.
• S’il ne s’agit pas d’un menu de navigation, la sélection d’un élément signifie
simplement que les données du champ Valeur font partie des données à envoyer
au serveur Web conjointement avec les autres données du formulaire.
7 Pour préciser que l’option de menu doit être sélectionnée par défaut, cochez
Utiliser par défaut.
8 Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Option de menu.
374
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
MENUS
9 Cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Modifier le menu.
10 Cliquez sur le bouton Enregistrer pour fermer la boîte de dialogue Menus.
***
Si aucun élément par défaut n’est défini, la première option du menu ou de la
liste apparaît généralement sélectionnée dans le formulaire (ce comportement
peut dépendre du navigateur utilisé).
UTILISATION D’UN MENU STANDARD
Pour ajouter un menu standard à une mise en page Web, vous devez ajouter
un bloc de formulaire.
• Si vous utilisez le menu pour fournir des valeurs pour un formulaire HTML,
tracez le menu dans le bloc de formulaire comme décrit dans Ajout de contrôles
de types menu local et liste.
• Si vous utilisez le menu pour la consultation, tracez-le sur la page à l’aide de
l’outil Menu local
ou Liste
de la palette Outils Web. QuarkXPress crée
automatiquement un formulaire qui contiendra le menu local ou la liste, mais
utilisera le formulaire uniquement comme un conteneur pour le menu local
ou la liste.
UTILISATION DES MENUS EN CASCADE
La fonction Menus en cascade permet de créer des mises en page optimisées Web
offrant une interface utilisateur attrayante. Les menus en cascade permettent
de simplifier la conception en masquant les options de menu jusqu’à ce que le
pointeur de la souris passe sur un élément particulier.
CRÉATION D’UN MENU EN CASCADE
Avant d’appliquer un menu en cascade, vous devez le créer. Procédez
comme suit :
1 Choisissez Édition > Menus en cascade. La boîte de dialogue Menus en
cascade s’affiche.
Vous pouvez manipuler les menus en cascade dans la boîte de dialogue Menus
en cascade.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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375
MENUS
2 Cliquez sur Créer. La boîte de dialogue Modifier menu en cascade s’affiche.
La boîte de dialogue Modifier menu en cascade permet de configurer des
menus en cascade.
3 Nommez le menu en cascade dans le champ Nom de menu.
4 Dans la rubrique Propriétés du menu, configurez les propriétés générales du
menu en cascade comme suit :
• Choisissez la couleur du menu en cascade dans le menu déroulant Couleur
de fond.
• Choisissez la feuille de style du menu en cascade dans le menu déroulant
Feuille de style.
• Renseignez le champ Retrait du texte pour indiquer à quelle distance du bord
du menu en cascade le texte apparaîtra.
• Dans la zone Orientation du menu, activez Horizontale ou Verticale pour
indiquer la direction de lecture du menu.
• Dans la zone Bloc, indiquez une largeur et une hauteur pour tout le menu en
cascade. La valeur auto est calculée à l’aide du nombre de caractères du nom
de l’élément de menu ou de sous-menu et le corps de la police.
• Dans la zone Bordure, indiquez une épaisseur dans le champ Ligne et une
couleur de ligne dans le menu déroulant Couleur. L’épaisseur et la couleur
seront appliquées à tout le bloc du menu en cascade.
• Dans la zone Séparateur, entrez une épaisseur dans le champ Ligne et une
couleur de séparateurs dans le menu déroulant Couleur. L’épaisseur et la
couleur seront appliquées aux séparateurs placés entre les options de menu.
376
|
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
MENUS
• Dans la zone Animation d’ouverture, choisissez une option dans le menu
déroulant Direction pour déterminer le mode d’ouverture du menu.
• Si vous choisissez une option autre que Néant dans le menu local Animation
d’ouverture, le champ Vitesse est disponible. Entrez-y une valeur comprise
entre 0 et 10 000. La vitesse est exprimée en millisecondes.
• Dans la zone Décalage, renseignez les champs X et Y pour indiquer le retrait
des options par rapport au menu.
5 La rubrique Options de menu permet de définir les options de menu et de
sous-menu. Dans la zone Structure du menu, choisissez Option de menu à
partir du bouton Créer pour créer une option de menu.
Vous pouvez créer des options de menu et de sous-menu dans la rubrique
Options de menu de la boîte de dialogue Modifier menu en cascade.
6 Renseignez le champ Nom option de menu.
7 Pour définir un hyperlien pour l’option de menu, choisissez-en un dans le menu
déroulant Hyperlien ou entrez-en un dans le champ correspondant. Seuls les
hyperliens associés à des URL sont affichés dans le menu déroulant Hyperlien.
8 Pour définir une option de sous-menu, sélectionnez le menu dans la liste
Structure du menu et choisissez Option sous-menu dans le bouton déroulant
Créer. Configurez ensuite l’option de sous-menu comme décrit ci-dessus.
9 Dans les zones Mouseover option de menu ou Mouseover option de sousmenu, choisissez des couleurs pour les options de menu et de sous-menu
dans le menu déroulant Police et des couleurs de fond dans le menu
déroulant Fond.
10 Cliquez sur OK, puis sur Enregistrer dans la boîte de dialogue Menus en cascade.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
|
377
MENUS
APPLICATION D’UN MENU EN CASCADE À UN BLOC
Une fois le menu en cascade créé, vous pouvez l’appliquer à n’importe quel
élément à exporter en tant que graphique (Bloc > Modifier > Convertir en
graphique à l’exportation). Pour cela, il vous suffit de sélectionner l’élément,
puis de choisir Bloc > Menu en cascade > [Nom du menu en cascade].
SUPPRESSION D’UN MENU EN CASCADE D’UN BLOC
Pour supprimer un menu en cascade d’un bloc, sélectionnez ce dernier et
choisissez Bloc > Menu en cascade > Supprimer le menu en cascade. Le
menu en cascade est supprimé du bloc ; le contenu de ce dernier reste intact.
***
La suppression d’un menu en cascade d’un bloc ne supprime pas le menu en
cascade du projet. Pour cela, utilisez la boîte de dialogue Menus en cascade
(menu Édition).
TABLEAUX DANS LES MISES EN PAGE WEB
La création de tableaux dans des mises en page Web s’effectue de la même
façon que dans des mises en page papier. Cependant, les fonctions de tableau
ci-après sont disponibles uniquement dans les mises en page papier ; elles sont
soit différentes, soit indisponibles dans les mises en page Web :
• Dégradé appliqué au fond des cellules.
• Teintes de fond avec pourcentage lorsque vous avez sélectionné des couleurs
Web standard.
• Tirets et rayures dans le quadrillage.
• Largeurs de quadrillage variables.
• Options Première ligne de base, Minimum, Décalage et
Max Inter paragraphe.
• Option Retraits multiples de la zone Retrait texte.
• Option Habiller chaque côté de texte.
• Options Retourner horizontalement/Retourner verticalement appliquées à
un texte.
• Rotation ou inclinaison de texte dans des cellules.
Si vous souhaitez utiliser ces fonctions dans une mise en page Web, il vous faut
rastériser le tableau ou certaines de ses cellules :
• Pour rastériser tout un tableau, choisissez Bloc > Modifier et cochez Convertir
tableau en graphique à l’exportation. Pour en savoir plus sur les options de
378
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
TABLEAUX DANS LES MISES EN PAGE WEB
cette rubrique, reportez-vous à Utilisation des éléments graphiques plus haut
dans ce chapitre.
• Pour rastériser une seule cellule, sélectionnez celle-ci à l’aide de l’outil
Modification, choisissez Bloc > Modifier, cliquez sur l’onglet Cellules et
cochez Convertir cellule en graphique à l’exportation.
BALISES MÉTA
Les balises Méta contiennent des informations concernant une page Web.
Elles n’apparaissent pas dans un navigateur Web, mais leur insertion dans
vos mises en page Web peut faciliter l’indexation de vos pages par les moteurs
de recherche.
Les balises Méta sont stockées dans des jeux de balises Méta. Il est possible d’associer un jeu de balises Méta à une mise en page Web, puis d’exporter cette
dernière au format HTML et de conserver l’intégralité des balises Méta du jeu.
Une balise Méta est un élément HTML, tel que <titre> ou <corps>. Les
balises Méta les plus utilisées disposent de deux attributs : name et content.
L’attribut name identifie le type d’une balise Méta, l’attribut content inclut les
valeurs uniques de la balise Méta.
Vous pouvez utiliser une large gamme de balises Méta. Toutefois, deux des
balises Méta les plus utilisées sont les suivantes :
• <meta name="description"> : l’attribut content de cette balise Méta est lu
et affiché par certains moteurs de recherche.
• <meta name="keywords"> : l’attribut content de cette balise Méta est utilisé
par certains moteurs de recherche pour classer les pages et sert dans les recherches
par mots-clés.
***
Pour plus d’informations sur des balises Méta spécifiques et leurs valeurs,
consultez un ouvrage de référence sur le HTML.
CRÉATION D’UN JEU DE BALISES MÉTA
Pour créer un jeu de balises Méta :
1 Choisissez Édition > Balises Méta. La boîte de dialogue Balises Méta s’affiche.
2 Cliquez sur Créer. La boîte de dialogue Modifier jeu de balises Méta s’affiche.
3 Dans le champ Nom, entrez le nom du nouveau jeu de balises Méta.
4 Cliquez sur le bouton Ajouter. La boîte de dialogue Nouvelle balise
Méta s’affiche.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
|
379
BALISES MÉTA
5 Utilisez les contrôles de la boîte de dialogue pour configurer la nouvelle balise
Méta comme suit :
• Choisissez un type d’attribut pour la balise Méta dans le menu déroulant Balise
Méta ou saisissez un attribut dans le champ Balise Méta.
• Définissez dans le menu déroulant et le champ Nom la valeur à associer au type
d’attribut sélectionné dans le champ Balise Méta.
• Dans le champ Contenu, entrez le texte de la balise Méta. Séparez par une
virgule les différentes parties du contenu.
6 Cliquez sur OK pour enregistrer la nouvelle balise Méta.
7 Une fois toutes les balises Méta ajoutées, cliquez sur OK pour fermer la boîte
de dialogue Modifier jeu de balises Méta.
8 Cliquez sur le bouton Enregistrer pour sauvegarder les modifications et refermer
la boîte de dialogue Balises Méta.
Vous pouvez manipuler les jeux de balises Méta dans la boîte de dialogue
Balises Méta.
***
Créez un jeu de balises Méta par défaut, lorsqu’aucun projet n’est ouvert, pour
le réutiliser et le personnaliser pour chaque projet Web.
DÉFINITION D’UN JEU DE BALISES MÉTA POUR UNE PAGE WEB
Pour associer un jeu de balises Méta à une page Web, choisissez Page >
Propriétés de la page, sélectionnez un jeu dans la liste déroulante Jeu de
balises Méta, puis cliquez sur OK.
PRÉVISUALISATION DES PAGES WEB
Les mises en page Web n’ont pas forcément le même aspect dans QuarkXPress
que dans un navigateur Web. Il arrive même qu’elles se présentent différemment
selon le navigateur Web employé ou selon la plateforme utilisée avec un même
navigateur. QuarkXPress permet toutefois la prévisualisation des pages HTML
dans le navigateur de votre choix avant l’exportation du fichier.
380
|
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
PRÉVISUALISATION DES PAGES WEB
Deux méthodes permettent de prévisualiser la mise en page Web active dans
un navigateur :
• Cliquez sur le bouton Aperçu HTML
de la mise en page.
dans la partie inférieure de la fenêtre
• Choisissez une option dans le menu déroulant Aperçu HTML
fenêtre de la mise en page.
au bas de la
DÉFINITION DE NAVIGATEURS SUPPLÉMENTAIRES
POUR LA PRÉVISUALISATION
Lors de l’installation de QuarkXPress, le navigateur HTML par défaut de votre
ordinateur est utilisé automatiquement pour visualiser les mises en page Web.
Toutefois, afin de faciliter la prévisualisation des pages Web dans plusieurs
navigateurs, vous pouvez définir des navigateurs HTML supplémentaires qui
seront affichés dans un menu déroulant placé dans la partie inférieure de
la fenêtre de mise en page. Pour créer une liste de navigateurs destinés à la
prévisualisation des pages Web :
1 Ouvrez la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition) et cliquez
sur Navigateurs dans la liste sur la gauche pour afficher le volet correspondant.
2 Cliquez sur Ajouter pour accéder à la boîte de dialogue Sélectionner navigateur.
3 Recherchez le navigateur Web souhaité, sélectionnez-le dans la liste, puis cliquez
sur Ouvrir. Le navigateur vient s’ajouter à la liste du volet Navigateurs.
4 Si vous souhaitez que ce navigateur devienne le navigateur par défaut de
prévisualisation des mises en page Web dans QuarkXPress, cliquez sur la
colonne située sur sa gauche et assurez-vous qu’une coche y apparaît.
5 Cliquez sur OK.
EXPORTATION DES PAGES WEB
Vous pouvez créer une page Web superbe sous forme de mise en page Web
QuarkXPress. Avant de rendre la page Web accessible à tout le monde, il vous
faut toutefois exporter la mise en page Web au format HTML.
PRÉPARATION DE L’EXPORTATION
Avant d’exporter une page, effectuez les opérations suivantes :
1 Affichez le volet Mise en page Web > Générales de la boîte de dialogue
Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
2 Pour indiquer la destination des fichiers, entrez un chemin d’accès à un
répertoire de votre système de fichiers local dans le champ Répertoire racine
du site ou cliquez sur Sélectionner/Parcourir pour localiser vous-même le
dossier cible.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
|
381
EXPORTATION DES PAGES WEB
3 Lorsque vous exportez une mise en page Web, les fichiers images qui
accompagnent les pages HTML exportées sont automatiquement placés
dans un sous-dossier du répertoire racine du site. Pour indiquer le nom
de ce sous-dossier, renseignez le champ Répertoire d’images à exporter.
4 Prévisualisez la mise en page pour vous assurer qu’elle apparaît comme vous
le souhaitez (reportez-vous à Prévisualisation des pages Web).
EXPORTATION D’UNE PAGE WEB
Pour exporter la mise en page Web active au format HTML :
1 Choisissez Fichier > Exporter > Mise en page en HTML, Mise en page en
XHTML 1.1 ou Mise en page en XSLT 1.0. La boîte de dialogue Exportation
HTML s’affiche.
La boîte de dialogue Exportation HTML vous permet de contrôler les options de
formatage des mises en page Web exportées.
2 Recherchez le dossier de stockage des fichiers exportés. Il ne doit pas nécessairement s’agir du dossier défini dans le champ Répertoire racine du site
du volet Mise en page Web > Générales de la boîte de dialogue Préférences
(menu QuarkXPress/Édition).
3 Choisissez une option dans le menu déroulant Exporter sous :
• HTML : exporte la page au format HTML 4.0 Transitional. Cette option assure
une compatibilité maximale avec les navigateurs existants.
• XHTML 1.1 : exporte la page au format XHTML 1.1. Choisissez cette option si
vous souhaitez adhérer au format XHTML 1.1 et créer un fichier HTML qui soit
également un fichier XML valide. Notez que certains navigateurs ne prennent
pas actuellement en charge ce format.
382
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CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
EXPORTATION DES PAGES WEB
• XSLT : génère des transformations XSL dans un fichier XSL contenant des nœuds
XML. Ces transformations XSL, appliquées à XML à l’aide d’un processeur XSLT,
peuvent produire un fichier HTML (compatible XHTML 1.1) représentant les
données XML dans la fenêtre de votre navigateur Web.
4 Entrez une série de pages dans le champ Pages ou choisissez une option dans
le menu déroulant Pages.
5 Choisissez une option dans le menu déroulant Codage :
• Si vous exportez une page contenant des caractères dotés de plusieurs codages
(par exemple différentes langues utilisant diverses polices de caractères),
choisissez Unicode (UTFx).
• Si vous exportez une page n’utilisant qu’un codage simple (par exemple, une
langue unique utilisant une seule police de caractères), choisissez le codage
correspondant dans ce menu déroulant.
6 Activez la case à cocher Fichier CSS externe pour préciser que les informations
relatives au style de la mise en page Web exportée doivent être stockées sous la
forme d’un fichier CSS (Cascading Style Sheet) dans le dossier d’exportation.
7 Cochez la case Lancer le navigateur pour afficher la première page exportée
dans votre navigateur par défaut.
8 Cliquez sur Exporter.
CHAPITRE 13 : MISES EN PAGE WEB
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383
APPLICATION D’UNE LANGUE DE CARACTÈRE
Chapitre 14 : Travail en
plusieurs langues
QuarkXPress est disponible dans plusieurs configurations linguistiques. Si
votre configuration linguistique prend en charge ces fonctions, vous pouvez :
• ouvrir et modifier des projets utilisant n’importe quelle langue de caractère prise
en charge. La langue de caractère est un attribut que vous pouvez appliquer au
texte pour indiquer les règles de césure et de vérification de l’orthographe à
utiliser avec ce texte. Vous pouvez appliquer la langue de caractère au niveau
du caractère. Ainsi, même si une phrase utilise des mots dans deux langues
différentes, chaque mot peut être coupé et vérifié correctement. Pour plus
d’informations, reportez-vous à Application d’une langue de caractère.
• Changer les commandes de l’interface utilisateur et clavier dans une des
langues du programme prises en charge. Langue du programme fait référence à
la langue utilisée dans les menus d’application et boîtes de dialogue. La langue
du programme affecte uniquement l’interface utilisateur ; elle n’affecte pas la
vérification de l’orthographe et la césure. Pour plus d’informations, reportez-vous
à Modification de la langue du programme.
***
Toutes les éditions de QuarkXPress peuvent ouvrir, afficher et produire un
projet utilisant des fonctions de langues est-asiatiques. Toutefois, seule une
édition en langue d’Asie orientale de QuarkXPress permet de modifier du
texte utilisant des fonctions de langues d’Asie orientale.
APPLICATION D’UNE LANGUE DE CARACTÈRE
L’attribut de langue de caractère détermine le dictionnaire utilisé pour la vérification de l’orthographe ainsi que les règles et exceptions de césure. Lorsque vous
vérifiez l’orthographe d’un texte en plusieurs langues, chaque mot est vérifié à
l’aide du dictionnaire de la langue attribuée. Lorsque la césure automatique est
activée pour un projet utilisant différentes langues de caractère, chaque mot est
coupé suivant les règles et exceptions de cette langue.
Pour appliquer une langue de caractère à un texte, utilisez le menu déroulant
Langue de la boîte de dialogue Attributs de caractère (Style > Caractère).
Vous pouvez également appliquer une langue de caractère à l’aide de feuilles
de style et de la rubrique Attributs de caractère de la palette Spécifications.
384
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CHAPITRE 14 : TRAVAIL EN PLUSIEURS LANGUES
MODIFICATION DE LA LANGUE DU PROGRAMME
MODIFICATION DE LA LANGUE DU PROGRAMME
Pour définir la langue du programme, choisissez une option dans le sous-menu
Édition > Langue du programme. Les menus, boîtes de dialogue et palettes
s’affichent dans la langue choisie. Les commandes clavier sont basées sur la
langue du programme.
***
Certaines éditions de QuarkXPress ne comportent pas la fonction Langue
du programme.
***
La langue du programme n’a aucun effet sur la césure et la vérification
de l’orthographe.
CHAPITRE 14 : TRAVAIL EN PLUSIEURS LANGUES
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385
UTILISATION DES MODULES XTENSIONS
Chapitre 15 : Logiciels XTensions
Vous pouvez grâce aux modules XTensions ajouter des fonctionnalités, telles
que des palettes, des commandes, des outils et des menus, afin de prolonger
la quasi-totalité des activités que vous réalisez.
UTILISATION DES MODULES XTENSIONS
QuarkXPress est fourni avec un ensemble par défaut de modules XTensions,
présentés dans ce chapitre. Vous pouvez également installer des logiciels
XTensions supplémentaires mis au point par Quark ou par des sociétés tierces.
INSTALLATION DES MODULES XTENSIONS
Pour installer des modules XTensions, placez-les dans le répertoire XTensions du
dossier de votre application. Les modules XTensions nouvellement installés
sont chargés au lancement suivant.
ACTIVATION ET DÉSACTIVATION DES LOGICIELS XTENSIONS
Désactivez les modules XTensions si la mémoire est insuffisante ou pour
effectuer des opérations de dépannage. Pour activer ou désactiver un module
XTensions, choisissez Utilitaires > Gestionnaire d’XTensions afin d’afficher
la boîte de dialogue Gestionnaire d’XTensions.
La boîte de dialogue Gestionnaire d’XTensions permet d’activer et de désactiver
des modules XTensions.
Pour activer un module, cochez la case en regard de son nom dans la colonne
Activer. Pour désactiver un module, désactivez la case. La modification prend
effet au prochain démarrage de l’application.
386
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
UTILISATION DES MODULES XTENSIONS
UTILISATION DES GROUPES DE MODULES XTENSIONS
Si vous êtes amené à activer et à désactiver fréquemment des groupes particuliers
de modules XTensions, vous pouvez créer un groupe de modules XTensions
pour faciliter la permutation entre ces groupes.
Pour créer un groupe de modules XTensions, affichez la boîte de dialogue
Gestionnaire d’XTensions (menu Utilitaires) et activez les modules XTensions
souhaités dans le groupe. Cliquez ensuite sur Enregistrer sous et entrez le nom
du groupe. Lorsque vous souhaitez passer à ce groupe, il vous suffit d’afficher la
boîte de dialogue Gestionnaire d’XTensions et de choisir le nom du groupe
dans le menu déroulant Groupe.
Vous pouvez également importer et exporter des groupes de modules XTensions
à l’aide des boutons Importer et Exporter, si vous souhaitez les partager avec
d’autres utilisateurs.
LOGICIEL CUSTOM BLEEDS XTENSIONS
Le terme fond perdu est employé pour décrire les éléments imprimés jusqu’au
bord d’une page terminée. Le logiciel XTensions Custom Bleeds offre des
fonctionnalités de fond perdu améliorées pour QuarkXPress, vous donnant
un contrôle accru sur les fonds perdus.
Pour créer un fond perdu dans QuarkXPress, ajoutez simplement des éléments
débordant de la page sur la table de montage, puis spécifiez quelle quantité de
la zone au-delà du bord de la page doit être imprimée. Il existe deux types de
fonds perdus :
• Un fond perdu symétrique couvre la même distance de chaque côté de la page.
• Un fond perdu asymétrique est caractérisé par différentes valeurs de fond perdu
pour chaque côté de la page.
• Un fond perdu d’élément de page imprime intégralement tous les éléments
débordant de la page.
Le rectangle de fond perdu représente la distance sur laquelle le fond perdu
déborde des limites de la page et est défini par les valeurs de fond perdu entrées.
Par exemple, si vous créez un fond perdu symétrique d’une valeur de 2 picas,
le rectangle englobe tout ce qui se situe à 2 picas au plus de chaque bord de la
page. Il est important de noter que Custom Bleeds crée le rectangle du fond
perdu automatiquement, mais les éléments ne sont pas étendus systématiquement dans cette zone. Ils doivent être placés de manière à déborder de la page
de la mise en page pour créer le fond perdu.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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387
LOGICIEL CUSTOM BLEEDS XTENSIONS
***
Avant d’imprimer une mise en page sur film, prenez le temps de la prévisualiser
pour vérifier que le fond perdu sera imprimé selon vos prévisions. Choisissez
Fichier > Imprimer > Résumé. L’icône de page graphique située sur le côté
supérieur droit affiche la zone de fond perdu pour la première page de la mise en
page et indique si une partie de la mise en page ou du fond perdu est située en
dehors de la zone imageable. N’oubliez pas d’ajouter la zone de fond perdu aux
dimensions de la mise en page lorsque vous comparez la taille de cette dernière
à la zone imageable.
UTILISATION DE CUSTOM BLEEDS
Le logiciel XTensions Custom Bleeds permet de créer des fonds perdus lors de
l’impression ou de l’enregistrement d’une page dans un fichier EPS, de l’exportation d’une mise en page dans un fichier PDF ou au format PPML. La procédure
est similaire pour toutes ces options de sortie, mais certaines options de fond
perdu ne sont disponibles que pour certaines méthodes de sortie.
• Imprimer : le menu déroulant Type de fond perdu se trouve dans la rubrique
Fonds perdu de la boîte de dialogue Imprimer.
• EPS : le menu déroulant Type de fond perdu se trouve dans la boîte de dialogue
Enregistrer page en EPS. Lorsque vous enregistrez une page dans un fichier EPS,
les options Éléments de page et Détourer au bord du fond perdu ne sont pas
disponibles. En effet, ces options créent un bloc de contrainte qui inclut tout élément débordant de la page. Chaque page de la mise en page comporterait alors
un bloc de contrainte différent, ce qui entraînerait une sortie incorrecte.
• PDF : le menu déroulant Type de fond perdu se trouve dans la boîte de dialogue
Exporter au format PDF.
UTILISATION DE L’OPTION DÉTOURER AU BORD DU FOND PERDU
Lorsque vous créez un fond perdu symétrique ou asymétrique, la case à cocher
Détourer au bord du fond perdu vous permet de définir si QuarkXPress se sert
de la valeur de fond perdu pour détourer des éléments :
• Si la case Détourer au bord du fond perdu est cochée, QuarkXPress imprime
tous les éléments de la page et de la table de montage au moins partiellement
inclus dans le rectangle de fond perdu, et utilise les valeurs de fond perdu pour
détourer les éléments.
• Si la case Détourer au bord du fond perdu est désactivée, QuarkXPress imprime
tous les éléments de la page et de la table de montage au moins partiellement
inclus dans le rectangle de fond perdu et ne les détoure que s’ils dépassent des
limites de la zone imageable du périphérique d’impression. Les éléments de
la table de montage non inclus dans le rectangle de fond perdu ne sont
pas imprimés.
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL CUSTOM BLEEDS XTENSIONS
***
Si vous stockez des éléments sur la table de montage, assurez-vous qu’ils sont
placés à l’extérieur du rectangle de fond perdu lorsque vous utilisez un fond
perdu symétrique ou asymétrique. S’ils sont inclus dans le rectangle, ils peuvent
s’imprimer sur la sortie finale.
LOGICIEL DEJAVU XTENSIONS
Le logiciel XTensions DejaVu pour QuarkXPress ajoute une liste des derniers
projets ouverts dans le menu Fichier, au bas du menu ou sous forme de menu
hiérarchique à partir du sous-menu Fichier > Ouvrir. Cette liste vous permet
d’accéder aux projets plus rapidement et plus facilement. DejaVu permet également de désigner des dossiers par défaut pour l’extraction de texte et d’images,
et l’ouverture et l’enregistrement de projets.
La fonctionnalité Liste de fichiers ajoute une liste des derniers projets ouverts
dans le menu Fichier au bas du menu ou sous forme de menu hiérarchique à
partir du sous-menu Fichier > Ouvrir. Vous pouvez choisir d’afficher trois à
neuf projets modifiés et enregistrés récemment. Pour modifier les paramètres
Liste de fichiers, utilisez les contrôles du volet Liste de fichiers de la boîte de
dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
La fonctionnalité Chemin par défaut permet de désigner des dossiers par
défaut pour les commandes de menu Fichier suivantes : Ouvrir, Importer,
Enregistrer et Enregistrer sous.
***
La fonctionnalité Chemin par défaut n’est active que si vous spécifiez des
chemins par défaut. Pour cela, affichez le volet Chemin par défaut de la
boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition). Une fois le
chemin par défaut défini pour une commande du menu Fichier, QuarkXPress
l’utilise à chaque exécution de la commande.
LOGICIEL DROP SHADOW XTENSIONS
Le logiciel XTensions Drop Shadow vous permet d’appliquer des ombres portées
lissées automatiques à des éléments et du texte dans une mise en page.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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389
LOGICIEL DROP SHADOW XTENSIONS
Deux méthodes permettent d’appliquer des effets d’ombre portée à des éléments
actifs : à l’aide de la rubrique Ombre portée de la palette Spécifications et de la
rubrique Ombre portée de la boîte de dialogue Modifier (menu Bloc). Dans les
deux cas toutefois, les options sont les suivantes :
• Champ Angle : entrez une valeur comprise entre 180 et –180° par incréments
de 0,001 pour définir l’angle de la source lumineuse provoquant l’ombre portée.
• Case à cocher Synchroniser l’angle : cochez cette case pour synchroniser l’angle
avec les autres ombres portées de la mise en page pour laquelle cette fonction est
activée. Si vous modifiez la valeur Angle d’une ombre portée pour laquelle la
case Synchroniser l’angle est cochée, toutes les ombres portées pour lesquelles
cette option est activée seront affectées.
• Champ Distance : entrez une valeur de décalage pour l’élément ; le décalage
de l’ombre portée est calculé à partir du coin supérieur gauche du bloc de
contrainte de l’élément.
• Champ Échelle : entrez une valeur comprise entre 0 et 1 000 % pour spécifier
la taille de l’ombre portée par rapport à l’élément d’origine.
• Champ Flou : entrez une valeur pour définir le flou des bords de l’ombre portée :
plus la valeur est élevée, plus les bords sont flous.
• Champ Inclinaison : entrez une valeur comprise entre –75 et 75° pour incliner
l’ombre portée selon un certain angle.
• Couleur, Teinte et Opacité : choisissez une couleur dans le menu déroulant
et renseignez les champs pour définir la couleur, la teinte et l’opacité de
l’ombre portée.
• Multiplier ombre portée : ce paramètre contrôle la combinaison de l’ombre
à son fond. Lorsque cette case est cochée, la couleur de l’ombre est combinée
aux couleurs de fond à l’aide d’un mode de flou multiplicateur, qui produit un
résultat plus foncé (similaire à une surimpression). Lorsqu’elle n’est pas cochée,
la couleur du fond est combinée à celle de l’ombre pour créer les teintes intermédiaires que vous voyez à l’écran. En général, cette case doit être cochée lorsque
l’ombre est noire (quelle que soit la teinte ou l’opacité), mais désactivée lorsque
l’ombre est de couleur claire.
• Conserver opacité élément : activez cette option pour que l’ombre portée
reflète les différentes opacités de l’élément, telles que les différences du fond
et du cadre du bloc.
• Ombre portée masquée par l’élément : activez cette option pour empêcher
l’ombre d’apparaître à travers les zones semi-opaques d’un élément ; pour
l’empêcher de percer à travers son bloc, par exemple.
390
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL DROP SHADOW XTENSIONS
• Habiller ombre portée : activez cette option pour inclure une ombre portée
avec le contour d’habillage de texte défini dans la rubrique Habillage (Bloc >
Modifier). La valeur Réserve extérieure est mesurée à partir des bords de
l’ombre portée. Par exemple, si le texte habille une relance rectangulaire à
ombre portée, le texte ne chevauchera pas cette dernière si la case Habiller
ombre portée est cochée.
***
Pour créer du texte avec ombre portée, placez-le dans un bloc avec un fond
Néant et appliquez l’ombre portée au bloc.
***
Lorsque vous appliquez des ombres portées à plusieurs éléments non groupés,
ils peuvent projeter des ombres les uns sur les autres s’ils se chevauchent.
En revanche, lorsque vous appliquez une ombre portée à un groupe, celui-ci
projette une seule ombre.
LOGICIEL FULL RESOLUTION PREVIEW XTENSIONS
Le logiciel XTensions Full Resolution Preview permet à QuarkXPress d’afficher les
images à l’écran en utilisant la pleine résolution du fichier image. Ceci permet de
mettre à l’échelle ou d’agrandir l’image sans pixellisation (tant que l’image source
dispose d’une résolution assez élevée pour permettre l’agrandissement).
***
Le logiciel XTensions Full Resolution Preview n’a aucun effet sur la sortie.
Il n’affecte que les prévisualisations à l’écran.
Vous pouvez appliquer la fonction Full Resolution Preview à des images
individuelles, une par une. Vous pouvez également activer et désactiver Full
Resolution Preview pour une mise en page où la fonction a été appliquée à
une ou plusieurs images.
Pour appliquer la fonction Full Resolution Preview à l’image des blocs d’image
actifs, choisissez Bloc > Résolution de prévisualisation > Pleine résolution.
Pour activer ou désactiver la fonction Full Resolution Preview dans une mise
en page, choisissez Affichage > Prévisualisations pleine résolution. Lorsque
la fonction est activée, toutes les images paramétrées pour s’afficher en pleine
résolution apparaissent ainsi. Lorsqu’elle est désactivée, toutes les images
apparaissent dans leur résolution de prévisualisation normale, que la fonction
Full Resolution Preview leur a été appliquée ou non.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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391
LOGICIEL FULL RESOLUTION PREVIEW XTENSIONS
Si vous spécifiez Basse résolution dans la boîte de dialogue Imprimer (Fichier >
Imprimer > Images > Sortie), toutes les images de la mise en page, y compris
celles paramétrées pour s’afficher en pleine résolution, sont imprimées en
basse résolution.
***
Full Resolution Preview n’est pas conçu pour les formats de fichier BMP, PCX,
GIF, PICT et WMF.
***
Pour désactiver la fonction Full Resolution Preview lorsque vous travaillez sur
une mise en page, choisissez Affichage > Prévisualisations pleine résolution.
LOGICIEL GUIDE MANAGER PRO XTENSIONS
Guide Manager Pro offre des contrôles de précision pour la création et la modification des repères à l’écran. Vous pouvez définir un emplacement pour un
repère, choisir s’il est horizontal ou vertical, s’il s’applique à une page ou à une
planche entière, une couleur d’affichage et une échelle d’affichage du repère.
Vous pouvez modifier, copier et coller des repères ; réfléchir des repères ; créer
des grilles, rangées et colonnes de repères ; créer des repères à partir d’un bloc ;
et ajouter des repères de fond perdu et de sécurité.
Ce logiciel XTensions ajoute la palette Repères à QuarkXPress (menu Fenêtre).
Reportez-vous à Utilisation des repères.
UTILISATION DE LA PALETTE REPÈRES
La palette Repères fournit des contrôles puissants pour manipuler les repères.
Palette Repères
La palette Repères fonctionne comme suit :
• Les contrôles du haut de la palette, de gauche à droite, vous permettent de créer
ou de réfléchir des repères, d’afficher des repères horizontaux et/ou verticaux,
de n’afficher que les repères actuels et de supprimer des repères.
392
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL GUIDE MANAGER PRO XTENSIONS
• Pour trier les repères en fonction d’un attribut, cliquez sur l’en-tête de colonne
de cet attribut.
• Pour ajouter des colonnes de données à la palette, choisissez une option du
bouton Sélecteur de colonnes à droite de la liste des colonnes.
• La colonne Planche affiche un numéro pour chaque page ou planche de la
mise en page. Pour afficher une page ou planche, cliquez sur cette planche
dans la colonne Planche. Pour afficher les repères d’une planche dans la
palette, cliquez sur la flèche en regard de la planche. Pour modifier un repère,
double-cliquez dessus.
• Pour afficher un menu contextuel d’options de modification, appuyez sur
Contrôle+cliquez/cliquez avec le bouton droit dans chaque colonne. Par
exemple, le menu contextuel de la colonne Repère inclut les options suivantes : Couper repère, Copier repère, Coller repère, Supprimer repère et
Sélectionner tous les repères.
Pour plus d’informations sur les options du menu de la palette, reportez-vous
à Menu de la palette Repères.
Que les repères apparaissent ou non à l’écran, vous pouvez travailler avec eux
dans la palette Repères (menu Fenêtre) comme suit :
• Pour afficher les repères d’une page ou planche, cliquez sur la flèche en regard
de celle-ci dans la colonne Repère.
• Pour afficher les repères sur toutes les pages ou planches, appuyez sur Option/Alt
et cliquez sur la flèche en regard d’une planche.
• Pour n’afficher que des repères verticaux ou horizontaux, choisissez Afficher
repères verticaux ou Afficher repères horizontaux dans le menu de la palette.
Pour afficher tous les repères, choisissez les deux.
• Pour n’afficher que des repères de page (repères horizontaux limités à une
seule page) ou de planche (repères horizontaux qui englobent toutes les pages
d’une planche), choisissez Afficher repères de page ou Afficher repères de
planche dans le menu de la palette. Pour afficher tous les repères, choisissez
les deux.
• Pour n’afficher des repères que sur la page ou planche figurant dans la fenêtre
du projet, choisissez Afficher actuel seulement dans le menu de la palette.
MENU DE LA PALETTE REPÈRES
La palette Repères comprend les options suivantes :
• Nouveau repère : permet de créer un repère. Reportez-vous à Création de
repères avec Guide Manager Pro.
• Couper repère : coupe le repère sélectionné.
• Copier repère : copie le repère sélectionné dans le Presse-papiers.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
|
393
LOGICIEL GUIDE MANAGER PRO XTENSIONS
• Coller repère : colle le repère stocké dans le Presse-papiers sur la page ou la
planche active.
• Tout sélectionner : sélectionne tous les repères de la page ou la planche active.
• Réfléchir repère : copie le repère sélectionné sur le côté opposé de la page ou
de la planche.
• Supprimer repère : supprime le repère sélectionné.
• Créer une grille : permet de créer une grille. Reportez-vous à Création de grilles
avec Guide Manager Pro.
• Créer rangées et colonnes : permet de créer des rangées et des colonnes de
repères. Reportez-vous à Création de rangées et de colonnes de repères.
• Créer des repères à partir d’un bloc : permet de créer des repères à partir
d’un bloc. Reportez-vous à Création de repères avec Guide Manager Pro.
• Créer des repères de fond perdu et de sécurité : permet de créer des repères de
fond perdu et de sécurité. Reportez-vous à Création des repères de fond perdu
et de sécurité.
• Afficher/Masquer les repères verticaux : affiche ou masque des
repères verticaux.
• Afficher/Masquer les repères horizontaux : affiche ou masque des
repères horizontaux.
• Afficher/Masquer les repères de page : affiche ou masque les repères de la
page active.
• Afficher/Masquer les repères de planche : affiche ou masque les repères de
la planche active.
• Repères devant : place les repères et les grilles de page devant ou derrière le
contenu de la page.
• Magnétiser les repères : active ou désactive la fonction de magnétisation
des repères.
• Dist. magnétisme : permet de contrôler la distance de magnétisme de la
fonction Magnétiser les repères.
• Modifier les couleurs : permet de modifier les couleurs disponibles pour les
repères créés dans Guide Manager Pro.
• Importer : permet d’importer des repères à partir d’un fichier de repère exporté.
• Exporter : permet d’exporter des repères dans un fichier distinct.
Reportez-vous également à Utilisation des repères.
394
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL GUIDE MANAGER PRO XTENSIONS
CRÉATION DE REPÈRES AVEC GUIDE MANAGER PRO
Guide Manager Pro offre deux méthodes de création des repères.
• Pour créer des repères manuellement avec Guide Manager Pro, cliquez sur le
bouton Créer un repère au sommet de la palette Repères ou choisissez Créer
dans le menu de la palette. Dans la boîte de dialogue Attributs de repère,
renseignez les champs Emplacement, Direction et Type pour le repère. Vous
pouvez également définir l’échelle à laquelle le repère s’affiche (à la valeur
par défaut, 0 %, le repère est toujours affiché). Renseignez le champ Couleur
du repère et indiquez si le repère est verrouillé afin d’interdire son déplacement par la souris. Cliquez sur Prévisualisation pour voir le repère à l’écran
avant de le créer, puis cliquez sur OK.
Boîte de dialogue Attributs de repère
***
Vous pouvez également afficher la boîte de dialogue Attributs de repère en
double-cliquant sur un repère existant de la mise en page.
• Pour créer des repères automatiquement à partir des limites d’un bloc, sélectionnez ce dernier, puis choisissez Créer des repères à partir du bloc dans le
menu de la palette. Utilisez les contrôles Créer des repères à partir du bloc
pour ajuster les positions des repères qui seront placés sur les côtés Haut, Bas,
Gauche et Droite du bloc. Les contrôles restants fonctionnent de la même
manière que ceux de la boîte de dialogue Attributs de repère.
Options Créer des repères du bloc pour la création de repères autour des
limites rectangulaires d’un bloc de n’importe quelle forme.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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395
LOGICIEL GUIDE MANAGER PRO XTENSIONS
CRÉATION DE GRILLES AVEC GUIDE MANAGER PRO
Guide Manager Pro permet de créer rapidement une grille de repères
régulièrement espacés sur des pages et planches.
Guide Manager Pro facilite la création d’une grille comme celle-ci.
Pour créer une grille sur la page ou planche active :
1 Choisissez Créer une grille dans le menu de la palette Repères.
Contrôle de la boîte de dialogue Créer grille
2 Dans la zone Lignes de grille, cochez Horizontale et/ou Verticale.
3 Si les repères doivent démarrer à un emplacement spécifique, par exemple à
l’intérieur des marges, cochez les champs Début et/ou Fin, puis entrez la
distance de début et de fin des repères depuis les bords de la page.
396
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL GUIDE MANAGER PRO XTENSIONS
4 Pour créer des repères régulièrement espacés, choisissez Nombre et entrez le
nombre de repères souhaités dans le champ. Pour créer des repères espacés
d’une distance spécifique, choisissez Écart et entrez la distance dans le champ.
5 Utilisez les contrôles Type, Série, Couleur, Échelle et Verrouillé comme vous le
faites dans la boîte de dialogue Attributs de repère (reportez-vous à Création
de repères avec Guide Manager Pro).
6 Cliquez sur Prévisualisation pour afficher la grille à l’écran, puis cliquez sur OK.
CRÉATION DE RANGÉES ET DE COLONNES
Guide Manager Pro vous permet de créer des rangées et des colonnes
régulièrement espacées de repères avec gouttières. Pour créer des rangées et
des colonnes de repères sur la page ou planche active :
1 Choisissez Créer des rangées et des colonnes dans le menu de la palette Repères.
Boîte de dialogue Créer des rangées et des colonnes
2 Entrez le nombre de rangées horizontales dans le champ Rangées. Pour ajouter
de l’espace entre les rangées, renseignez le champ Gouttière.
3 Entrez le nombre de colonnes verticales dans le champ Colonnes. Pour ajouter
de l’espace entre les colonnes, renseignez le champ Gouttière.
4 Pour créer des repères au sein des repères de maquette, cliquez sur Marges.
Sinon, laissez l’option Limite de page activée.
5 Utilisez les contrôles Type, Série, Couleur, Échelle et Verrouillé comme vous
le faites dans la boîte de dialogue Attributs de repère (reportez-vous à Création
de repères avec Guide Manager Pro).
6 Cliquez sur Prévisualisation pour afficher les repères à l’écran, puis cliquez
sur OK.
CRÉATION DES REPÈRES DE FOND PERDU ET DE SÉCURITÉ
Si vous avez besoin de repères de fond perdu et/ou de sécurité, vous pouvez
les ajouter à l’aide de Guide Manager Pro au lieu de modifier les dimensions
de page ou de tracer vos propres repères.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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397
LOGICIEL GUIDE MANAGER PRO XTENSIONS
Ici, des repères de fond perdu rouges sont placés 9 points en dehors de la page,
tandis que des repères de sécurité verts sont 9 points à l’intérieur de la page.
Pour créer des repères de fond perdu et/ou de sécurité sur la page active :
1 Choisissez Créer repères fond perdu et sécurité dans le menu de la
palette Repères.
2 Pour les repères de fond perdu, cochez Fond perdu, renseignez le champ
Gouttière pour indiquer à quelle distance placer les repères en dehors de la
page, puis choisissez une option dans le menu Couleur.
3 Pour les repères de sécurité, cochez Sécurité, renseignez le champ Gouttière
pour indiquer à quelle distance placer les repères à l’intérieur de la page, puis
choisissez une option dans le menu Couleur.
4 Utilisez les contrôles Échelle et Verrouillé comme vous le faites dans la boîte
de dialogue Attributs de repère (reportez-vous à Création de repères avec
Guide Manager Pro).
5 Pour appliquer les repères de fond perdu et de sécurité à plusieurs pages, utilisez
les contrôles Série de planches.
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL GUIDE MANAGER PRO XTENSIONS
Vous pouvez ajouter des repères de fond perdu et de sécurité aux pages maquette
et aux pages de mise en page.
6 Cliquez sur Prévisualisation pour afficher les repères à l’écran, puis cliquez
sur OK.
LOGICIEL HTML TEXT IMPORT XTENSIONS
Le logiciel XTensions HTML Text Import vous permet d’importer du texte
HTML dans une mise en page papier ou Web, et de convertir le formatage de
texte HTML au format QuarkXPress.
Pour utiliser HTML Text Import :
1 Sélectionnez un bloc.
2 Choisissez Fichier > Importer. La boîte de dialogue Importer s’affiche.
3 Sélectionnez le fichier texte HTML à importer.
4 QuarkXPress tente automatiquement de déterminer le codage du fichier HTML.
Si vous savez que le codage du fichier est différent de l’option affichée dans le
menu déroulant Codage, choisissez l’option correspondante.
5 Cliquez sur Ouvrir.
***
Pour importer un fichier HTML en texte standard et laisser les balises HTML
non interprétées, appuyez sur la touche Pomme/Ctrl en cliquant sur Ouvrir.
LOGICIEL ITEM FIND/CHANGE XTENSIONS
Ce logiciel XTensions ajoute la palette Rechercher/Remplacer dans QuarkXPress
(Édition > Rechercher/Remplacer). Vous pouvez utiliser cette palette pour
effectuer des opérations de recherche sur des blocs de texte, d’image et sans
contenu, des traits et des chemins de texte. Vous pouvez trouver et modifier des
attributs tels que les emplacement, forme, couleur, opacité, style de cadre,
échelle d’image, nombre de colonnes, etc.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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399
LOGICIEL ITEM FIND/CHANGE XTENSIONS
Palette Rechercher/Remplacer
La palette Rechercher/Remplacer fonctionne comme suit :
• Les onglets au sommet affichent le type d’attributs que vous pouvez rechercher :
Bloc, Couleur bloc, Cadre, Trait, Image et Texte. Les attributs de chaque
rubrique correspondent aux attributs de la boîte de dialogue Modifier (menu
Bloc) pour chaque type d’élément.
• Chaque rubrique comporte deux côtés : Rechercher et Remplacer par. Vous
cochez les attributs à rechercher du côté Rechercher, puis les attributs de
remplacement du côté Remplacer par de la palette. Vous pouvez rechercher
des attributs dans plusieurs rubriques en même temps.
• Le menu de la palette permet de placer les attributs de l’élément sélectionné du
côté Rechercher de la palette. Vous pouvez sélectionner des options dans toutes
les rubriques de la palette Rechercher/Remplacer en choisissant Acquérir tous
les attributs ou renseignez une rubrique à la fois en choisissant Acquérir les
attributs de la rubrique. Vous pouvez utiliser Effacer tous les attributs et
Effacer les attributs de la rubrique pour vider des rubriques.
• La rubrique Résumé reprend les paramètres de toutes les rubriques.
• Les cases à cocher au bas de la palette permettent de limiter votre recherche à
des types d’éléments spécifiques. Pour rechercher et remplacer tous les types
d’éléments, laissez toutes ces cases vides.
• Lorsque vous cliquez sur Rechercher, Item Find/Change effectue la recherche
dans toute la mise en page, du début à la fin. Pour limiter une recherche à
la planche active, appuyez sur la touche Option/Alt en cliquant sur le
bouton Rechercher.
400
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL ITEMSTYLES XTENSIONS
LOGICIEL ITEMSTYLES XTENSIONS
ItemStyles permet d’enregistrer les attributs d’éléments, tels que la couleur, le
style de cadre, l’épaisseur de trait, l’échelle des images et les retraits de texte,
en tant que styles que vous pouvez appliquer à l’aide d’une palette.
Le logiciel XTensions ItemStyles ajoute la palette Styles d’élément (Fenêtre >
ItemStyles), la boîte de dialogue Modifier styles d’élément (Édition >
ItemStyles) et la boîte de dialogue Usage ItemStyles (Utilitaires >
Usage ItemStyles).
***
ItemStyles n’affecte pas les attributs d’éléments verrouillés (position, histoire ou
image). Par exemple, si vous appliquez un style ItemStyle à un élément dont la
position est verrouillée (Bloc > Verrouiller > Position), l’élément ne se déplacera
pas même si le style ItemStyle indique des valeurs X, Y. Lorsque l’élément est
sélectionné, le nom de son style ItemStyle s’affiche avec un signe +.
***
N’utilisez pas ItemStyles avec les fonctions Contenu partagé et
Composition Zones.
***
ItemStyles ne prend pas en charge les tableaux.
UTILISATION DE LA PALETTE STYLES D’ÉLÉMENT
Pour appliquer un style à tous les éléments sélectionnés, double-cliquez sur
le nom du style dans la palette Styles d’élément ou choisissez le style, puis
cliquez sur Appliquer style. Les boutons Ajouter style et Supprimer style
vous permettent d’ajouter et de supprimer des styles d’élément.
***
Vous pouvez également appliquer un style à des éléments sélectionnés en
choisissant le nom de celui-ci dans le sous-menu Style > Styles d’élément.
Palette Styles d’élément
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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401
LOGICIEL ITEMSTYLES XTENSIONS
Pour appliquer un style d’élément, sélectionnez les éléments cible, puis cliquez
sur le nom du style dans la palette Styles d’élément. Vous pouvez également
appuyer sur la commande clavier figurant à droite du nom du style d’élément.
Le style appliqué à l’élément sélectionné (le cas échéant) s’affiche en gras dans
la palette Styles d’élément. Si le signe + figure en regard du nom, l’élément
utilise un formatage local différent de celui défini dans le style d’élément. Pour
supprimer le formatage local d’un élément, sélectionnez ce dernier, cliquez sur
Aucun style en haut de la palette Styles d’élément, puis cliquez à nouveau sur
le nom du style. Pour supprimer le formatage local, vous pouvez également
cliquer sur le nom du style d’élément en appuyant sur la touche Option/Alt.
Pour créer, modifier, dupliquer, supprimer, importer ou exporter des styles
d’élément, utilisez la boîte de dialogue Style d’élément (Édition > Style
d’élément). Vous pouvez également modifier des styles d’élément en cliquant
sur le nom du style tout en appuyant sur la touche Option/Alt dans la palette
Styles d’élément, ou en sélectionnant le style d’élément et en choisissant
Modifier dans le menu de la palette Styles d’élément.
Reportez-vous également à Création de styles d’élément et Vérification de
l’usage des styles d’élément.
CRÉATION DE STYLES D’ÉLÉMENT
Vous pouvez baser un style d’élément sur un élément formaté ou le créer de
toutes pièces. Pour créer un style d’élément :
1 Pour partir d’un élément formaté, sélectionnez-le. Pour créer un style de toutes
pièces, assurez-vous qu’aucun élément n’est sélectionné.
2 Cliquez sur le bouton Créer
de la palette Styles d’élément. Vous pouvez
également choisir Créer dans le menu de la palette, ou choisissez Édition >
Styles d’élément, puis cliquez sur Créer dans la boîte de dialogue.
Boîte de dialogue Modifier style d’élément
402
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL ITEMSTYLES XTENSIONS
3 Dans la rubrique Générales, entrez un nom descriptif dans le champ Nom.
4 Si vous souhaitez créer un raccourci clavier, entrez-le dans le champ Équivalent
clavier. Sous Mac OS, vous pouvez utiliser n’importe quelle combinaison des
touches Pomme, Option, Contrôle et Maj avec les chiffres du pavé numérique
ou les touches de fonction. Sous Windows, vous pouvez utiliser n’importe
quelle combinaison des touches Ctrl et Alt avec les chiffres du pavé numérique,
ou des touches Ctrl, Alt et Maj avec les touches de fonction.
***
Si vous décidez d’utiliser les touches de fonction, vous supplanterez les
commandes QuarkXPress et les commandes système.
5 Si vous souhaitez baser ce style d’élément sur un autre, choisissez une option
dans le menu déroulant Basé sur.
6 Si vous partez d’un élément sélectionné, vérifiez les attributs répertoriés dans
la zone Description ou cliquez sur les onglets pour vérifier leurs paramètres.
7 Pour apporter des modifications au style d’élément, cliquez sur un onglet, puis :
• Cochez Appliquer pour inclure des attributs d’une rubrique au style d’élément.
Cochez ensuite chaque attribut que vous souhaitez inclure et modifiez-le selon
les besoins.
• Désactivez Appliquer si vous ne souhaitez inclure aucun attribut d’une
rubrique entière.
• Désactivez un attribut individuel pour le retirer du style d’élément.
VÉRIFICATION DE L’USAGE DES STYLES D’ÉLÉMENT
Pour savoir où sont utilisés les styles d’élément et où se produisent les remplacements locaux, choisissez Usage dans le menu de la palette Item Styles.
La boîte de dialogue Usage Item Styles répertorie toutes les utilisations d’un
style d’élément, son numéro de page et son statut.
Boîte de dialogue Usage Item Styles
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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403
LOGICIEL ITEMSTYLES XTENSIONS
Les options de la boîte de dialogue fonctionnent Usage de la manière suivante :
• Pour défiler jusqu’à un élément utilisant un style d’élément, cliquez dessus
dans la colonne Nom, puis cliquez sur Afficher.
• Lorsqu’un élément sélectionné est répertorié comme Modifié, des remplacements
locaux se sont produits. Cliquez sur Mettre à jour pour supprimer tous les
remplacements locaux.
• Si l’usage de votre style d’élément indique des erreurs, cliquez sur Afficher
les erreurs.
LOGICIEL OPI XTENSIONS
Le logiciel XTensions OPI améliore les fonctionnalités OPI (Open Prepress
Interface) intégrées à QuarkXPress.
Dans un système OPI, vous manipulez la version basse résolution des images
dans QuarkXPress, puis celle-ci est remplacée par la version haute résolution
de chaque image par un système prépresse ou un serveur OPI à la sortie. La
fonction OPI requiert la sortie de la mise en page sur un système prépresse ou un
serveur pouvant interpréter des commentaires OPI et ayant accès aux versions
haute résolution d’images désignées OPI.
DÉSIGNATION D’UNE IMAGE IMPORTÉE POUR SUBSTITUTION OPI
Vous pouvez activer la fonction OPI image par image lorsque vous importez
une image, que vous modifiez une image importée ou que vous utilisez la
rubrique OPI de la boîte de dialogue Usage (menu Utilitaires) :
• Lorsque vous importez une image (Fichier > Importer image), cochez Utiliser
OPI afin d’activer la substitution OPI pour l’image.
• Sélectionnez une image déjà importée dans la mise en page, puis choisissez
Bloc > Modifier et cliquez sur l’onglet OPI. Cochez Utiliser OPI afin d’activer
la substitution OPI pour l’image.
• Choisissez Utilitaires > Usage > onglet OPI pour afficher une liste de toutes
les images de la mise en page. Si une image est cochée dans la colonne OPI,
elle sera remplacée.
***
404
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Évitez de renommer les fichiers images lors de la manipulation d’images à
substituer avec OPI.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL OPI XTENSIONS
ACTIVATION DE LA FONCTION OPI POUR UNE MISE EN PAGE
Lorsqu’une mise en page papier contenant des commentaires OPI atteint le
stade de la sortie finale, vous devez vous assurer que la fonction OPI est active
pour autoriser QuarkXPress à écrire des commentaires OPI dans le flux de sortie. Même si toutes les images appropriées sont désignées pour la substitution
OPI, QuarkXPress n’écrira des commentaires OPI que si la fonction est activée
pour la mise en page. Toutefois, dans un environnement de fichiers proxy
qui contiennent eux-mêmes les informations OPI et ne s’appuient pas sur nos
commentaires, l’activation de la fonction OPI est inutile.
Pour activer la fonction OPI d’une mise en page :
1 Choisissez Fichier > Imprimer. La boîte de dialogue Imprimer s’affiche.
2 Cliquez sur OPI pour afficher la rubrique du même nom.
3 Cochez la case OPI active.
4 Cliquez sur Imprimer.
***
Lorsque la case OPI active est cochée, QuarkXPress écrit des commentaires OPI
pour toutes les images de la mise en page. Toutefois, seules les images désignées
à l’aide d’une des méthodes décrites dans Désignation d’une image importée
pour substitution OPI seront échangées avec une version haute résolution.
CRÉATION DES COMMENTAIRES OPI POUR LES FORMATS
D’IMPRESSION, EPS ET PDF
Le logiciel XTensions OPI ajoute une rubrique OPI aux boîtes de dialogue
Imprimer, EPS et Options d’exportation PDF. Vous pouvez utiliser cette
rubrique si des informations supplémentaires doivent être incluses dans le
flux PostScript pour réussir la substitution OPI.
LOGICIEL PDF FILTER XTENSIONS
Le logiciel XTensions PDF Filter permet deux opérations :
• L’enregistrement d’une page ou d’une série de pages d’une mise en page
QuarkXPress dans un fichier PDF (Portable Document Format). Pour plus
d’informations, reportez-vous à Exportation d’une mise en page au format PDF.
• L’importation d’une page d’un fichier PDF dans un bloc d’image. Pour
plus d’informations, reportez-vous à Importation d’un fichier PDF dans un
bloc d’image.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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405
LOGICIEL PDF FILTER XTENSIONS
IMPORTATION D’UN FICHIER PDF DANS UN BLOC D’IMAGE
Pour importer un fichier PDF dans le bloc d’image actif :
1 Choisissez Fichier > Importer image.
• Bloc rogne : utilise les dimensions de la page après le rognage. Cette option
n’inclut pas les hirondelles et n’est pas affectée par les fonds perdus appliqués
à l’espace de mise en page lorsque le fichier PDF est créé.
• Bloc découpage : utilise les dimensions de la page, plus l’espace des fonds
perdus définis et l’espace alloué aux hirondelles. Bloc découpage représente
les dimensions de l’espace de mise en page du point de vue du logiciel
PDF Boxer XT.
• Bloc fond perdu : utilise les dimensions de la page plus l’espace des fonds perdus.
• Bloc média : utilise les dimensions de la page, espace réservé aux fonds perdus
ou aux hirondelles non inclus.
2 Cliquez sur Ouvrir.
***
La prévisualisation d’une page PDF s’affiche avec la résolution de couleur spécifiée dans le menu déroulant TIFF en couleurs du volet Affichage de la boîte
de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition).
***
Pour prévisualiser une page différente d’un fichier PDF dans la boîte de dialogue
Importer image, cochez la case Prévisualisation, puis entrez le numéro de
page dans le champ Page PDF.
***
Pour retrouver quelle page d’un fichier PDF a été importée dans une mise
en page, affichez la rubrique Images de la boîte de dialogue Usage (menu
Utilitaires), puis vérifiez la zone Informations supplémentaires.
LOGICIEL SCISSORS XTENSIONS
Le logiciel XTensions Scissors ajoute l’outil Ciseaux à la palette Outils.
Vous pouvez utiliser l’outil Ciseaux pour couper le contour d’un bloc et le
transformer en ligne, ou pour couper une ligne ou un chemin de texte en deux.
Lorsque le logiciel XTensions Scissors est chargé, l’outil Ciseaux s’affiche dans
la palette Outils de QuarkXPress. Pour utiliser l’outil Ciseaux :
1 Sélectionnez l’outil Ciseaux
.
• Lorsqu’un bloc d’image est découpé, il est converti en ligne de Bézier. Le contenu
d’un bloc n’est donc pas conservé après la découpe.
406
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL SCISSORS XTENSIONS
• Lorsqu’un bloc de texte est coupé, il est converti en chemin de texte.
• Lorsqu’un chemin de texte est coupé, il est converti en deux chemins de
texte chaînés.
2 Sélectionnez l’outil Sélection de point
, puis cliquez sur le point et faites-le
glisser pour l’ajuster.
LOGICIEL SCRIPT XTENSIONS
Lorsque le logiciel XTensions Script est chargé, le menu Scripts
est disponible
dans la barre de menus QuarkXPress. Depuis ce menu, vous pouvez exécuter un
script AppleScript quelconque du dossier Scripts dans le dossier d’application
QuarkXPress. Par défaut, le logiciel XTensions Script met à disposition un
ensemble de scripts AppleScript à partir de ce menu, et vous pouvez insérer vos
propres scripts AppleScript dans le menu en les ajoutant au dossier Scripts.
Pour utiliser le logiciel XTensions Script, choisissez simplement un script dans
le menu Scripts
pour l’exécuter. Les scripts par défaut fournis sont organisés
dans des sous-menus.
Veuillez noter que ces scripts ont été conçus pour fonctionner dans le plus
grand nombre possible de flux de production. Néanmoins, certains réglages
propres au flux sont susceptibles de perturber leur fonctionnement. Il vous
est donc recommandé d’enregistrer vos mises en page avant d’exécuter un
script les affectant.
***
Le logiciel XTensions Script est réservé à Mac OS.
***
Le logiciel XTensions Script doit être chargé si vous souhaitez exécuter des
scripts AppleScript affectant QuarkXPress, qu’ils soient exécutés à partir de ce
dernier ou d’un autre emplacement (tel que le Bureau).
Les autres composants requis sont les suivants :
• Standard Additions Scripting Addition
• AppleScript Extension
SOUS-MENU BOX TOOLS
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu Box
Tools du menu Scripts
lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
• Le script Add Crop Marks permet de placer des marques de coupe autour du
bloc sélectionné.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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407
LOGICIEL SCRIPT XTENSIONS
• Le script Easy Banner permet de créer un bandeau (bloc de texte) dans le coin
supérieur gauche du bloc sélectionné ; vous indiquez le texte du bandeau.
• Le script Make Caption Box permet de créer un bloc de légende (bloc de texte)
sous le bloc sélectionné.
• Le script Shrink or Grow at Center permet de redimensionner un bloc à partir
de son centre et non de son origine (coordonnées 0,0).
SOUS-MENU GRID
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu Grid
du menu Scripts
lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
Utilisez le script By Dividing a Box pour créer une grille de blocs basée sur les
dimensions du bloc sélectionné.
SOUS-MENU IMAGES
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu Images
du menu Scripts
lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
• Le script Contents to PICT File permet d’enregistrer la prévisualisation PICT
de l’image sélectionnée dans un fichier.
• Le script Copy to Folder permet d’enregistrer une copie de l’image du bloc
d’image sélectionné dans un dossier défini.
• Le script Fldr to Select PBoxes permet d’importer des fichiers images d’un dossier
spécifié dans des blocs d’image sélectionnés. Les images sont importées par
ordre alphabétique.
SOUS-MENU PICTURE BOX
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu
Picture Box du menu Scripts
lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
• Le script Crop Marks & Name permet de placer des marques de coupe autour
d’un bloc d’image actif et d’entrer le nom du fichier image dans un bloc de
texte sous le bloc d’image.
• Le script Place Name permet d’entrer le nom d’une image dans un bloc de
texte sous le bloc d’image contenant l’image.
• Le script Set All Bkgnd None permet de remplacer la couleur de fond de tous
les blocs d’image de la mise en page par Néant.
• Le script Set All Bkgnd permet de remplacer le fond de tous les blocs d’image
de la mise en page par une couleur et une teinte spécifiques.
408
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
LOGICIEL SCRIPT XTENSIONS
SOUS-MENU PRINTING
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu
Printing du menu Scripts lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
• Le script OPI Swap Image permet d’activer la propriété de substitution OPI
pour des blocs d’image sélectionnés. Ce script nécessite le chargement du
logiciel XTensions OPI.
• Le script OPI Don’t Swap Image permet de désactiver la propriété de substitution OPI pour des blocs d’image sélectionnés. Ce script nécessite le chargement
du logiciel XTensions OPI.
SOUS-MENU SAVING
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu
Saving du menu Scripts lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
Le script Each Page as EPS permet d’enregistrer chaque page de la mise en page
dans un fichier EPS individuel avec une prévisualisation TIFF en couleurs.
• Pour enregistrer les pages de la mise en page active dans des fichiers EPS,
cliquez sur Active.
• Pour enregistrer les pages d’une mise en page dans un projet différent, cliquez
sur Choose (choisir) pour afficher la boîte de dialogue Choose a File (choisir un
fichier), accédez au projet cible, puis cliquez sur Choose. Le script enregistre les
pages de la mise en page active à la dernière sauvegarde du projet.
SOUS-MENU SPECIAL
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu
Special du menu Scripts lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
• Le script Move to Scripts Folder permet de copier ou de déplacer un script
AppleScript sélectionné dans un répertoire spécifique du dossier Scripts.
• Le script Open Apple Events Scripting PDF permet d’ouvrir le fichier A Guide
to Apple Events Scripting.pdf. Ce fichier PDF contient des informations détaillées
sur la rédaction de scripts AppleScript pour QuarkXPress.
• Le script Open QuarkXPress Folders permet d’ouvrir les dossiers spécifiés dans
le dossier QuarkXPress.
SOUS-MENU STORIES
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu
Stories du menu Scripts lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
• Le script Link Selected Text Boxes permet de lier des blocs de texte sélectionnés.
L’ordre de la chaîne de texte est déterminé par l’ordre de superposition des blocs
de texte.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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409
LOGICIEL SCRIPT XTENSIONS
• Le script To/From XPress Tags convertit le texte du bloc sélectionné en codes
« XPress Tags », ou les codes XPress Tags en texte formaté (le texte est formaté
à l’aide des codes XPress Tags). Ce script requiert l’installation de
« XPress Tags » Filter.
• Le script Unlink Selected Boxes brise les liens entre les blocs de texte
sélectionnés tout en conservant la position du texte dans la chaîne.
SOUS-MENU TABLES
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu
Tables du menu Scripts lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
• Le script Row or Column Color permet d’appliquer une couleur et une teinte
spécifiques à une rangée ou colonne sur deux d’un tableau.
SOUS-MENU TYPOGRAPHY
Cette rubrique décrit les scripts AppleScript disponibles via le sous-menu
Typography du menu Scripts lorsque le logiciel XTensions Script est installé.
• Le script Baseline Grid +1pt permet d’augmenter la taille de la grille des lignes
de base (l’espace entre les lignes) d’un point.
• Le script Baseline Grid –1pt permet de réduire la taille de la grille des lignes
de base (l’espace entre les lignes) d’un point.
• Le script Columns & Gutter Width (largeur des colonnes et de la gouttière)
permet de définir la largeur des colonnes et de la gouttière (espace entre les
colonnes) d’un bloc de texte sélectionné.
• Le script Make Fractions permet de convertir toutes les instances de nombres
de chaque côté d’une barre oblique (par exemple, 1/2) en fractions formatées.
• Le script Set Textbox Insets permet de spécifier les valeurs de retrait pour chaque
côté du bloc de texte sélectionné.
LOGICIEL SHAPE OF THINGS XTENSIONS
Le logiciel XTensions Shape of Things ajoute l’outil Bloc Étoile dans
QuarkXPress. Cet outil vous permet de créer rapidement et facilement
des blocs en forme d’étoiles.
UTILISATION DE L’OUTIL BLOC ÉTOILE
Vous pouvez créer un bloc d’image en forme d’étoile de deux façons.
1 Sélectionnez l’outil Bloc étoile
410
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
, puis cliquez et faites glisser la souris.
LOGICIEL SHAPE OF THINGS XTENSIONS
2 Sélectionnez l’outil Bloc étoile, puis positionnez le pointeur Croix
à l’emplacement souhaité du bloc en forme d’étoile et cliquez une fois. Lorsque la
boîte de dialogue Bloc étoile s’affiche, renseignez les champs suivants, puis
cliquez sur OK :
• Largeur de l’étoile
• Hauteur de l’étoile
• Nombre de branches
• Longueur des branches : entrez la distance souhaitée de la pointe à la base
de la branche sous forme de pourcentage.
• Branches irrégulières : entrez une valeur comprise entre 0 et 100, où 0 représente
une application non aléatoire et 100 une application totalement aléatoire.
LOGICIEL SUPER STEP AND REPEAT XTENSIONS
Le logiciel XTensions Super Step and Repeat offre une alternative versatile à la
fonction Dupliquer et déplacer de QuarkXPress. Le logiciel Super Step and
Repeat vous permet de transformer des éléments lorsque vous les dupliquez
en les mettant à l’échelle, en les faisant pivoter ou en les inclinant.
UTILISATION DE SUPER STEP AND REPEAT
Super Step and Repeat permet la duplication rapide et simple d’éléments,
ainsi que leur rotation, mise à l’échelle ou inclinaison. Pour utiliser Super
Step and Repeat :
1 Sélectionnez un bloc d’image, un bloc de texte, un chemin de texte ou une ligne.
• Pour indiquer le nombre de copies de l’élément à réaliser, entrez un nombre
compris entre 1 et 100 dans le champ Répétition(s).
• Pour indiquer la position horizontale des copies par rapport à l’élément d’origine, renseignez le champ Déplacement horizontal. Une valeur négative place
les copies à gauche de l’original et une valeur positive les place à droite.
• Pour indiquer la position verticale des copies par rapport à l’élément d’origine,
renseignez le champ Déplacement vertical. Une valeur négative place les copies
au-dessus de l’original et une valeur positive les place au-dessous.
• Pour faire pivoter chaque élément dupliqué, entrez une valeur de rotation en
degrés pour chacun dans le champ Angle. Par exemple, si vous entrez 10, le
premier élément dupliqué pivotera de 10 degrés par rapport à l’original ; le
second de 20 degrés, etc. La rotation s’effectue dans le sens trigonométrique
par rapport à l’original.
• Pour indiquer l’épaisseur du cadre dupliqué final (pour un bloc d’image ou de
texte) ou de la ligne dupliquée finale (pour un chemin de texte ou une ligne),
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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411
LOGICIEL SUPER STEP AND REPEAT XTENSIONS
entrez une valeur en points dans le champ Épaisseur cadre/ligne de fin ou
Épaisseur ligne de fin.
• Si vous dupliquez un bloc ou une ligne, entrez une valeur comprise entre 0
et 100 % dans le champ Teinte bloc final ou Teinte ligne finale pour indiquer
la teinte de fond du dernier bloc dupliqué ou la teinte du dernier trait du chemin
de texte ou de la ligne dupliqués finals.
• Si vous dupliquez un bloc dont le fond est en dégradé, le champ Teinte
bloc final 2 est activé. Entrez une valeur comprise entre 0 et 100 % dans
ce champ pour définir la seconde teinte de fond pour le dégradé du dernier
bloc dupliqué.
• Pour indiquer l’échelle des derniers bloc d’image, bloc de texte, chemin de
texte ou ligne dupliqués, entrez une valeur comprise entre 1 et 1000 % dans
le champ Échelle bloc final ou Échelle ligne finale.
• Pour incliner un bloc dupliqué, entrez une valeur comprise entre 75 et –75°
dans le champ Inclinaison bloc final pour indiquer l’inclinaison du dernier
bloc dupliqué.
• Pour mettre à l’échelle le contenu d’un bloc d’image, d’un bloc de texte ou
d’un chemin de texte et l’ajuster aux blocs dupliqués, cochez la case Contenu
à l’échelle.
• Pour établir un point de base de toutes les rotations et mises à l’échelle de l’élément, choisissez une option dans le menu déroulant Permuter & mettre à
l’échelle par rapport à. Notez que l’option Point sélectionné n’est disponible
dans le menu déroulant Permuter & mettre à l’échelle par rapport à que si un
point est sélectionné sur un élément de Bézier.
2 Cliquez sur OK.
LOGICIEL TABLE IMPORT XTENSIONS
Le logiciel XTensions Table Import vous permet de créer un tableau dans
QuarkXPress en utilisant un fichier Microsoft Excel comme source des données,
et de mettre à jour ce même tableau QuarkXPress lorsque les données du fichier
Excel changent. Ce module XTensions permet également d’importer et de
mettre à jour des diagrammes et images de Microsoft Excel.
Lorsque le logiciel XTensions Table Import est actif ou chargé, les éléments
suivants sont ajoutés à l’interface QuarkXPress :
• La case à cocher Relier à des données externes est ajoutée à la boîte de dialogue
Propriétés du tableau.
• La rubrique Tableaux est ajoutée à la boîte de dialogue Usage.
• La rubrique Insérer un diagramme est ajoutée à la boîte de dialogue Importer
image et affiche tous les diagrammes du classeur.
412
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
TYPE TRICKS
TYPE TRICKS
Type Tricks est un logiciel XTensions qui ajoute les utilitaires typographiques
suivants : Faire fraction, Faire prix, Approche de groupe intermots, Contrôler
les lignes et Soulignement personnalisé.
FAIRE FRACTION
La commande Faire fraction (Style > Style) permet de formater automatiquement des fractions. Cette commande devient active lorsqu’une fraction est
sélectionnée ou que le curseur est placé à côté des caractères constituant la
fraction (et sur la même ligne). Voici des exemples de fractions pouvant être
formatées : 11/42, 131/416 et 11/4x.
Pour convertir des caractères en fraction, sélectionnez les caractères et choisissez
Style > Style > Faire fraction.
Les caractères de la fraction sont convertis à l’aide du décalage de la ligne de base
et du formatage spécifié dans le volet Fraction/Prix de la boîte de dialogue
Préférences (QuarkXPress/Édition > Préférences > Application > Fraction/Prix).
FAIRE PRIX
La commande Faire prix (Style > Style) permet de formater automatiquement
des prix. Cette commande est disponible lorsque le texte pouvant être formaté
en tant que prix (tel que 1,49 €, 20 £ et a,bc) est sélectionné ou que le curseur
est placé à côté de (et sur la même ligne que) l’un des caractères. Un prix doit
contenir une base (symbole décimal) représentée par un point ou une virgule.
Les caractères placés avant ou après la base doivent être des chiffres ou des
lettres uniquement.
Pour convertir des caractères en prix, sélectionnez-les et choisissez Style >
Style > Faire prix.
Lorsque vous appliquez la fonction Faire prix, QuarkXPress applique
automatiquement le style Supérieur aux caractères suivant la base.
L’aspect des fractions et des prix convertis est déterminé par les valeurs et les
sélections entrées dans le volet Fraction/Prix de la boîte de dialogue Préférences
(QuarkXPress/Édition > Préférences > Application > Fraction/Prix).
APPROCHE DE GROUPE INTERMOTS
La fonction Approche de groupe intermots permet d’appliquer l’approche de
groupe aux espaces intermots uniquement. (Les valeurs d’approche de groupe
sont généralement appliquées entre les caractères et les mots.) Cette fonctionnalité
est accessible uniquement par les commandes clavier.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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413
TYPE TRICKS
MAC OS
VALEUR D’APPROCHE DE GROUPE
COMMANDE
Pour augmenter l’espace de 0,05 cadratin
Pomme+Contrôle+Maj+]
Pour augmenter l’espace de 0,005 cadratin Pomme+Contrôle+Option+Maj+]
Pour diminuer l’espace de 0,05 cadratin
Pomme+Contrôle+Maj+[
Pour diminuer l’espace de 0,005 cadratin
Pomme+Contrôle+Option+Maj+[
WINDOWS
VALEUR D’APPROCHE DE GROUPE
COMMANDE
Pour augmenter l’espace de 0,05 cadratin
Ctrl+Maj+@
Pour augmenter l’espace de 0,005 cadratin Ctrl+Alt+Maj+@
***
Pour diminuer l’espace de 0,05 cadratin
Ctrl+Maj+!
Pour diminuer l’espace de 0,005 cadratin
Ctrl+Alt+Maj+!
L’approche de groupe intermots est implémentée par l’application de l’approche
de paire manuelle après chaque espace sélectionné. Pour retirer l’approche
de groupe intermots, sélectionnez le texte, puis choisissez Utilitaires >
Supprimer approche manuelle.
CONTRÔLER LIGNES
La fonction Contrôler lignes permet de rechercher les lignes veuves, orphelines,
incorrectement justifiées ou se terminant par un trait d’union, ainsi que les
débordements de texte. La fonction Contrôler lignes (Utilitaires > Contrôler
lignes) analyse tout le document et met en surbrillance les lignes à corriger.
Pour indiquer ce que la fonction Contrôler lignes doit rechercher, affichez
la boîte de dialogue Critères de recherche (Utilitaires > Contrôler lignes >
Critères de recherche) et cochez les catégories de typographie indésirable
à rechercher.
Pour inspecter tout le document, placez le curseur n’importe où dans le texte
et choisissez Utilitaires > Contrôler lignes > Première ligne. Pour effectuer
une recherche à partir de l’emplacement du curseur jusqu’à la fin du document,
placez le curseur où vous souhaitez démarrer la recherche et choisissez Utilitaires >
Contrôler les lignes > Ligne suivante ou appuyez sur les touches Pomme+;/
Ctrl+;. Pour continuer la recherche, appuyez sur ces mêmes touches.
414
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
TYPE TRICKS
SOULIGNEMENT PERSONNALISÉ
La fonction Soulignement personnalisé permet d’individualiser les couleur,
teinte, épaisseur et décalage des soulignés. Les soulignements personnalisés se
comportent de manière fort similaire aux traits de soulignement, mais offrent
un plus grand contrôle sur les attributs de soulignement.
Les styles de soulignement personnalisé fonctionnent de manière similaire aux
feuilles de style. Pour créer, modifier ou supprimer un style de soulignement,
choisissez Édition > Styles de soulignement. Pour appliquer un style de
soulignement personnalisé, choisissez son nom dans le sous-menu Style >
Styles de soulignement.
Pour appliquer un soulignement personnalisé, sélectionnez le texte à souligner
et choisissez Style > Styles de soulignement > Personnalisé. Dans la boîte de
dialogue Attributs de soulignement, vous pouvez spécifier la couleur, la teinte,
la largeur et le décalage du soulignement.
Pour supprimer un soulignement personnalisé, sélectionnez le texte, puis
choisissez Style > Style > Supprimer soulignement personnalisé.
WORD 6–2000 FILTER
Word 6–2000 Filter permet l’importation de documents depuis ou leur exportation vers le format Word 97/98/2000 (Word 8). Vous pouvez également importer
des documents à partir de Microsoft Word 6.0/95 (Word 6 et Word 7).
***
Pour éviter les problèmes d’importation, désactivez la case Autoriser les
enregistrements rapides (dans l’onglet Enregistrement de la boîte de dialogue Options) dans Microsoft Word ou utilisez la commande Enregistrer
sous pour créer une copie du fichier Word à importer.
WORDPERFECT FILTER
WordPerfect Filter permet l’importation de documents depuis WordPerfect 3.0
et 3.1 (Mac OS) et WordPerfect 5.x et 6.x (Windows). Il permet aussi d’enregistrer
du texte au format WordPerfect 6.0.
***
WordPerfect 3.1 pour Mac OS peut lire les documents WordPerfect 6.0 pour
Windows ; il n’existe donc aucune option d’exportation WordPerfect 3.1 pour
Mac OS.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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415
LOGICIEL PDF EXPORT XTENSIONS
LOGICIEL XSLT EXPORT XTENSIONS
Le logiciel XTensions XSLT Export vous permet de générer un fichier XSL
(Extensible Stylesheet Language) comprenant des transformations XSL du
contenu d’une mise en page Web. Vous pouvez ensuite utiliser un processeur
XSLT pour appliquer les transformations XSL générées à un fichier XML et
produire un fichier HTML compatible XHTML–1.1.
AUTRES MODULES XTENSIONS
Cette rubrique répertorie les modules XTensions supplémentaires installés
avec QuarkXPress.
• Composition Zones : active la fonction Composition Zones (reportez-vous à
Utilisation de la fonction Composition Zones).
• Compressed Image Import : permet l’importation de fichiers TIFF utilisant la
compression d’image LZW.
• Design Grid : active la fonction Design Grid (reportez-vous à Grilles
de conception).
• EA Text : permet à QuarkXPress d’ouvrir des projets utilisant des fonctions
typographiques de langues d’Asie orientale, telles que le texte rubi, les caractères groupés, l’alignement des caractères, les marques d’accentuation et le
compte des caractères.
• Edit Original (Mac OS uniquement) : permet d’ouvrir des images à l’aide d’une
application par défaut et de mettre à jour les images modifiées à l’aide des commandes Modifier original et Mettre à jour pour les blocs et cellules d’image.
Lorsque le logiciel XTensions Edit Original est chargé, vous pouvez afficher la
boîte de dialogue Modifier original en utilisant l’outil Modification image
pour double-cliquer sur un bloc d’image contenant une image importée.
• Error Reporting : permet à QuarkXPress d’envoyer des rapports à Quark lorsque
l’application se ferme de manière inopinée.
• GlyphPalette : active la palette Glyphes (reportez-vous à Utilisation de la
palette Glyphes).
• HyphDieckmann (Mac OS uniquement) : active et référence les ressources de
césure Dieckmann dans le dossier Resources.
• Hyph_CNS_1, Hyph_CNS_2, Hyph_CNS_3 (Mac OS uniquement) : active les
ressources Circle Noetics.
• ImageMap : active la fonction Image Map dans les mises en page Web
(reportez-vous à Images cliquables).
• Index : active la fonction Index (reportez-vous à Utilisation des index).
416
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CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
AUTRES MODULES XTENSIONS
• Interactive Designer : active la fonction Mises en page interactives (reportez-vous
à Mises en page interactives).
• Jabberwocky : génère du texte aléatoire. Pour créer du texte aléatoire, sélectionnez un bloc de texte à l’aide de l’outil Modification texte , puis choisissez
Utilitaires > Jabber.
• Kern-Track : active les tables d’approche de paire et les ensembles d’approche
de groupe personnalisés (reportez-vous à Approche de paire automatique et
Modification des tables d’approche de groupe).
• Mojigumi : active la fonction mojigumi dans les projets en langues
d’Asie orientale.
• PNG Filter : permet d’importer des images au format PNG (Portable
Network Graphics).
• PSD Import : active la fonction PSD Import (reportez-vous à Utilisation des
images PSD).
• QuarkVista : active la fonction Effets d’image (reportez-vous à Utilisation des
effets d’image).
• RTF Filter : permet d’importer et d’exporter du texte au format RTF.
• Special Line Break : active la fonction Space between CJK & R dans les
projets en langues d’Asie orientale (reportez-vous à Préférences - Mise en
page - Caractère).
• SWF Filter : permet d’importer des images au format SWF.
• SWF Toolkit : active la fonctionnalité d’importation et d’exportation pour les
mises en page interactives et Web.
CHAPITRE 15 : LOGICIELS XTENSIONS
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417
PRÉSENTATION DES PRÉFÉRENCES
Chapitre 16 : Préférences
Les préférences vous permettent de contrôler le comportement par défaut
de QuarkXPress.
PRÉSENTATION DES PRÉFÉRENCES
La commande Préférences (menu QuarkXPress/Édition) ouvre la boîte de
dialogue du même nom. Cette boîte de dialogue comporte plusieurs volets
où vous pouvez définir les paramètres par défaut des diverses fonctions de
QuarkXPress. Pour afficher un volet, cliquez sur son nom dans la liste de
gauche. Il existe trois types de préférences :
• Les préférences pour l’application se rapportent à QuarkXPress et affectent la
manière dont tous les projets sont gérés.
• Les préférences pour un projet n’affectent que le projet actif. Toutefois, si vous
modifiez des préférences sans projet ouvert, les nouvelles préférences deviennent
les paramètres par défaut de tous les nouveaux projets.
• Les préférences pour une mise en page n’affectent que la mise en page active.
Toutefois, si vous modifiez des préférences sans projet ouvert, les nouvelles
préférences deviennent les paramètres par défaut de toutes les nouvelles mises
en page.
Des volets et des options supplémentaires apparaissent parfois dans le
sous-menu Préférences lorsque certains logiciels XTensions sont chargés.
ALERTE PRÉFÉRENCES DIFFÉRENTES
QuarkXPress affiche l’alerte Préférences différentes à l’ouverture d’un projet
dont le dernier enregistrement comprenait des informations sur les tables
d’approche de paire ou de groupe, ou des exceptions de césure différentes des
paramètres inclus dans les fichiers actuels de préférences. Vous avez le choix
entre utiliser les paramètres du projet ou ceux des fichiers de préférences.
• Si vous cliquez sur Utiliser les préférences XPress, les informations de
préférences enregistrées avec le projet sont ignorées et toutes les mises en
page reprennent les paramètres de vos fichiers de préférences. Le texte peut
alors être repositionné du fait de la variation des informations d’approche
de paire ou de groupe automatique, ou des exceptions de césure. Les changements apportés à ces paramètres alors que le projet est actif seront stockés à la
fois dans le projet et dans les fichiers de préférences. L’avantage de la fonction
Utiliser les préférences XPress réside dans le fait que le projet conserve les
mêmes informations de tables d’approche de paire et de groupe, et d’exceptions
de césure que vos autres projets.
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉSENTATION DES PRÉFÉRENCES
• Si vous cliquez sur Conserver les réglages du document, le projet conservera
les préférences définies précédemment pour chaque mise en page. Le texte ne
se repositionnera pas. Les changements apportés aux approches automatiques
de paire et de groupe ou aux exceptions de césure alors qu’un projet est actif
ne seront stockés qu’avec celui-ci. La fonction Conserver les réglages du
document est utile si vous souhaitez ouvrir et imprimer une mise en page
sans risquer de repositionner le texte.
MODIFICATIONS APPORTÉES AUX PRÉFÉRENCES QUARKXPRESS
Les modifications apportées aux préférences QuarkXPress sont traitées des
manières suivantes :
• Si vous modifiez les préférences d’application dans la boîte de dialogue
Préférences (menu QuarkXPress/Édition) avec ou sans projet ouvert, les
changements sont enregistrés dans les fichiers de préférences et affectent
immédiatement tous les projets ouverts et ceux qui le sont par la suite.
• Si vous modifiez les paramètres du gestionnaire d’XTensions (menu Utilitaires)
avec ou sans projet ouvert, les changements sont enregistrés dans les fichiers de
préférences et affectent tous les projets après le redémarrage de QuarkXPress.
• Si vous modifiez les paramètres du gestionnaire PPD (menu Utilitaires) avec
ou sans projet ouvert, les changements sont enregistrés dans les fichiers de
préférences et affectent immédiatement tous les projets ouverts et ceux qui le
sont par la suite.
• Si vous modifiez les préférences pour la mise en page dans la boîte de dialogue
Préférences (menu QuarkXPress/Édition) avec un projet ouvert, les changements
ne sont enregistrés qu’avec la mise en page active.
• Si vous modifiez le dictionnaire auxiliaire avec un projet ouvert, ce changement
n’est enregistré qu’avec le projet actif.
• Si vous modifiez les informations incluses dans les tables d’approche et les
exceptions de césure d’un nouveau projet, ces changements sont enregistrés
avec le projet actif et dans les fichiers de préférences.
Si l’alerte Préférences différentes apparaît lorsque vous ouvrez un projet et que
vous cliquez sur Utiliser les préférences XPress, les modifications apportées
aux tables d’approche de paire et de groupe, et aux exceptions de césure sont
stockées à la fois dans ce projet et dans les fichiers de préférences.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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419
PRÉSENTATION DES PRÉFÉRENCES
CONTENU DES FICHIERS DE PRÉFÉRENCES
Le contenu des fichiers de préférences est le suivant. La liste est divisée en trois
groupes selon la manière dont les préférences sont enregistrées.
GROUPE A
Le groupe A contient les informations suivantes :
• Tables d’approche de paire (Utilitaires > Modification de la table d’approche
de paire)
• Tables d’approche de groupe (Utilitaires > Approche de groupe)
• Exceptions de césure (Utilitaires > Exceptions de césure)
Tous les changements apportés aux paramètres du groupe A sans projet ouvert
sont stockés dans les fichiers de préférences et sont appliqués à tous les projets
créés par la suite.
Si la boîte de dialogue d’alerte Préférences différentes s’affiche à l’ouverture
d’un projet et que vous cliquez sur Utiliser les préférences XPress, tous les
changements apportés par la suite aux paramètres du groupe A sont enregistrés
avec le projet et dans les fichiers de préférences. (Les paramètres de groupe A
définis initialement pour le projet sont ignorés lorsque vous cliquez sur Utiliser
les préférences XPress.)
Si l’alerte Préférences différentes s’affiche à l’ouverture d’un projet et que
vous cliquez sur Conserver les réglages du document, tous les changements
apportés par la suite aux paramètres du groupe A sont enregistrés uniquement
avec le projet.
GROUPE B
Le groupe B contient les informations suivantes :
• Feuilles de style, couleurs, cadres, tirets, listes et spécifications de césure et de
justification par défaut (menu Édition)
• Paramètres du volet Projet de la boîte de dialogue Préférences (QuarkXPress/
Édition > Préférences)
• Informations relatives au chemin d’accès au dictionnaire auxiliaire par défaut
(Utilitaires > Dictionnaire auxiliaire)
Tous les changements apportés aux paramètres du groupe B sans projet ouvert
sont stockés dans les fichiers de préférences et sont appliqués à tous les projets
créés par la suite. Tous les changements apportés aux paramètres du groupe B
alors qu’un projet est ouvert ne sont enregistrés qu’avec celui-ci.
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉSENTATION DES PRÉFÉRENCES
GROUPE C
Le groupe C contient les informations suivantes :
• Styles de sortie (Édition > Styles de sortie)
• Paramètres des boîtes de dialogue Gestionnaire d’XTensions et Gestionnaire
PPD (menu Utilitaires)
• Paramètres des volets Application de la boîte de dialogue Préférences
(QuarkXPress/Édition > Préférences)
Tous les changements apportés aux paramètres du groupe C sont toujours
stockés dans les préférences, qu’un projet soit ouvert ou non.
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
Les contrôles des volets Application de la boîte de dialogue Préférences
(QuarkXPress/Édition > Préférences) affectent les opérations de QuarkXPress
sur tous les projets, notamment, leurs modes d’affichage et d’enregistrement.
Ces paramètres sont enregistrés avec l’application, mais jamais avec les projets.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — AFFICHAGE
Le volet Affichage de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir la façon dont la table de montage et d’autres éléments
de l’application apparaissent à l’écran pour tous les projets.
Les paramètres de la zone Table de montage sont les suivants :
• Le champ Largeur table de montage permet de définir la largeur de la table
de montage de chaque côté d’une page ou d’une planche dans une mise en
page papier. Cette largeur se mesure en pourcentage de la largeur de la mise
en page.
• Utilisez le contrôle Couleur pour définir une couleur pour la table de montage.
• Pour afficher la table de montage de la planche active d’une autre couleur, cochez
Changer la couleur de la table de montage pour indiquer la planche active,
puis choisissez une couleur avec le contrôle Couleur correspondant.
Les paramètres de la zone Affichage sont les suivants :
• Si vous cochez la case Modification de blocs de texte opaques, les blocs de
texte que vous modifiez deviennent temporairement opaques.
• La liste déroulante TIFF en couleurs permet de définir la résolution des couleurs
des prévisualisations à l’écran d’images TIFF en couleur importées.
• La liste déroulante TIFF gris permet de définir la résolution des prévisualisations
créées pour des images TIFF à niveaux de gris importées.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
• Windows uniquement : le champ Val. ppp pour l’affichage permet de régler le
moniteur afin qu’il affiche la meilleure représentation possible d’un document
à l’écran.
• Choisissez le profil qui correspond à votre moniteur dans le menu déroulant
Profil de moniteur ou choisissez Automatique. Les profils peuvent être placés
dans le répertoire Profiles du dossier de l’application QuarkXPress. (Pour plus
d’informations sur les préférences de gestion de la couleur, reportez-vous à
Préférences — Application — Gestionnaire des couleurs.)
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — PARAMÈTRES DE SAISIE
Le volet Paramètres de saisie de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition) vous permet de personnaliser le défilement et autres
actions à la volée.
• La zone Défilement permet de définir la vitesse de défilement et de mise à jour
des mises en page à l’écran. La case à cocher Défilement direct permet de mettre
à jour l’affichage d’une mise en page au fur et à mesure que vous faites glisser
les cases des barres de défilement de la fenêtre. Pour activer et désactiver le
défilement direct pendant que vous faites défiler l’article, appuyez sur Option/
Alt tout en faisant glisser une case de défilement.
• Le menu déroulant Format et la case à cocher Guillemets typographiques
permettent de choisir un style de conversion ou de saisie des guillemets.
Pour définir les caractères par défaut à utiliser avec la fonction Guillemets
typographiques et avec l’option Convertir guillemets de la boîte de dialogue
Importer (Fichier > Importer), choisissez une option dans le menu déroulant
Guillemets. La case à cocher Guillemets typographiques force le remplacement
automatique des symboles ' et " par les guillemets que vous avez sélectionnés
au fur et à mesure de la saisie du texte.
• Les traits d’union et les virgules sont les séparateurs utilisés par défaut pour
définir des séries de pages continues et discontinues dans le champ Pages de
la boîte de dialogue Imprimer d’une mise en page papier. Si vous avez saisi
des virgules et des traits d’union comme éléments des numéros de page dans
la boîte de dialogue Section (menu Page), vous devez remplacer les séparateurs
par défaut. Dans le cas de numéros de page définis sous la forme A–1, A–2, par
exemple, il est impossible d’utiliser un trait d’union dans le champ Page(s) pour
définir une série. Pour modifier les séparateurs, entrez de nouveaux caractères
dans les champs Continu et Discontinu.
• (Mac OS uniquement) Utilisez la zone Touche active pour préciser la fonction de la
touche Contrôle. Cliquez sur Loupe pour que la touche appelle temporairement
l’outil Loupe . Cliquez sur Menu contextuel pour que la touche Contrôle
appelle un menu contextuel. (La combinaison Contrôle+Maj effectue la fonction
qui n’est pas sélectionnée.)
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
• Le champ Délai avant rafraîchissement permet de définir l’intervalle entre
le clic et le déplacement pour le rafraîchissement. Le rafraîchissement montre
en temps réel les modifications d’habillage provoquées par l’élément en
déplacement. Si l’option est cochée, vous pouvez activer le rafraîchissement
en appuyant sur le bouton de la souris jusqu’à la disparition des poignées de
redimensionnement, puis en faisant glisser l’élément.
• La case à cocher Déplacer le texte par glissement permet de couper, de copier
et de coller du texte dans une histoire au moyen de la souris plutôt que de
commandes de menu ou clavier. Sous Mac OS, vous pouvez activer temporairement cette fonction en enfonçant les touches Contrôle+Pomme avant
d’effectuer le glissement. Sélectionnez le texte à couper et coller, puis faites-le
glisser à son nouvel emplacement. Sélectionnez le texte à copier et coller, et
appuyez sur la touche Maj tout en le faisant glisser vers son nouvel emplacement.
• Cochez la case Afficher astuces outil pour que QuarkXPress affiche le nom
des outils ou des icônes de palette sur lesquels se trouve le pointeur.
• Cochez la case Conserver attributs bloc d’image pour qu’un bloc d’image
mémorise son échelle et autres attributs par défaut lorsque vous y importez
une nouvelle image. Cette option est cochée par défaut.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — POLICE DE REMPLACEMENT
Cochez la case Police de remplacement pour activer la fonction Font Fallback.
Dans ce cas, si QuarkXPress détecte un caractère qu’il ne peut pas afficher
dans la police actuelle, il en recherche une parmi les polices actives de votre
système qui contient ce caractère.
Cochez Rechercher pour que QuarkXPress recherche une police qui convient,
utilisée dans le projet actif. Pour limiter la recherche à une portion de texte
particulière, cochez Dernier, puis entrez un nombre dans le champ Paragraphes.
Pour étendre la recherche à l’histoire entière où une police fait défaut, cochez
Histoire entière.
Pour indiquer les polices de remplacement à utiliser lorsqu’aucune autre n’a
été trouvée (en tenant compte des paramètres Rechercher), choisissez une
option dans la colonne Police pour tous les scripts et/ou langues indiqués
dans la colonne Script/Lang.
Pour indiquer les polices à utiliser pour la ligne lorsqu’une mise en page est
imprimée avec des marques de repérage activées, choisissez une option dans
le menu déroulant Police de ligne.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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423
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — ANNULATION
Le volet Annulation de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de contrôler les options Répétition d’annulations.
• Dans le menu déroulant Touches Recommencer, indiquez la commande clavier
permettant d’appeler la commande Recommencer.
• Le champ Maximum des actions dans l’historique permet d’indiquer le
nombre d’actions que vous pouvez stocker dans votre historique d’annulations. L’historique des annulations peut contenir jusqu’à 30 actions ; le
paramètre par défaut est 20.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — OUVRIR ET ENREGISTRER
Le volet Enregistrement de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition) permet de personnaliser comment QuarkXPress
enregistre les projets et en effectue la sauvegarde.
• La case à cocher Enregistrement automatique permet de protéger le travail
en cours contre les pannes de courant ou du système. Lorsque cette option
est cochée, QuarkXPress enregistre automatiquement et selon l’intervalle
défini toutes les modifications apportées au projet dans un fichier temporaire
du dossier du projet. Saisissez un intervalle dans le champ Toutes les minutes.
Vous pouvez spécifier un délai minimum de 0,25 minute. Lorsque la case
Enregistrement automatique est cochée, le paramètre par défaut est Toutes
les 5 minutes. QuarkXPress n’écrase les données du fichier d’origine que lorsque
vous enregistrez manuellement (Fichier > Enregistrer). Lorsque vous ouvrez le
projet à la suite d’une interruption du système, QuarkXPress affiche une alerte
indiquant que la dernière version enregistrée automatiquement sera restaurée.
• Cochez la case Sauvegarde automatique et renseignez le champ Conserver
révisions pour garder jusqu’à 100 révisions d’un projet. Chaque fois que vous
effectuez un enregistrement manuel (Fichier > Enregistrer), QuarkXPress copie
la version précédente enregistrée manuellement dans le dossier Destination
que vous définissez. Par défaut, le paramètre Sauvegarde automatique est
désactivé. Cliquez sur Dossier du projet pour stocker les révisions dans le
dossier où se trouve le projet. Cliquez sur Autre dossier pour stocker les révisions dans un dossier différent. Cliquez sur Sélectionner/Parcourir pour
afficher la boîte de dialogue Dossier de sauvegarde/Rechercher dossier.
Choisissez ou créez ensuite un dossier, puis cliquez sur le bouton Sélectionner/
OK pour fermer la boîte de dialogue. Le nom du dossier sélectionné apparaît
dans la zone Destination. À chaque sauvegarde, le numéro de la révision
vient s’ajouter au nom du projet d’origine. Lorsque la dernière révision est créée
(par exemple, 5 sur 5), la révision la plus ancienne du dossier est supprimée.
Pour récupérer une copie de sauvegarde dans le dossier de destination, ouvrez
le fichier requis comme n’importe quel autre projet QuarkXPress.
424
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
• La case à cocher Enregistrer position du document permet à QuarkXPress
de mémoriser automatiquement la taille, la position et les proportions de la
fenêtre d’un projet. Cette option est cochée par défaut.
• Sous Prise en charge non Unicode, choisissez une option dans le menu
déroulant Codage pour indiquer comment QuarkXPress doit afficher les
caractères dans un texte non Unicode.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — GESTIONNAIRE D’XTENSIONS
Le volet Gestionnaire d’XTensions de la boîte de dialogue Préférences
(menu QuarkXPress/Édition) vous permet de contrôler l’affichage de la
boîte de dialogue Gestionnaire d’XTensions.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — PARTAGE
Le volet Partage de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir des options par défaut pour le nouveau contenu
partagé. Pour plus d’informations sur la signification de ces options,
reportez-vous à Partage et synchronisation du contenu.
Pour utiliser systématiquement les options définies dans ce volet lors de l’ajout
de plusieurs éléments dans l’espace de contenu partagé, cochez Ne pas afficher
de boîte de dialogue lors du partage de plusieurs éléments.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — POLICES
Le volet Polices de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir les préférences suivantes.
Dans la zone Prévisualisations de polices, cochez Afficher dans le menu de
police pour afficher le nom de chaque police dans la police correspondante.
Dans la zone Mappage police :
• Pour annuler l’affichage de la boîte de dialogue Polices manquantes, cochez la
case Ne pas afficher la boîte de dialogue Polices manquantes. Les boutons
radio sous cette case à cocher déterminent ce qui se passe lorsque vous ouvrez
un document contenant une police manquante pour laquelle vous n’avez pas
défini de police de remplacement.
• Pour indiquer une police de remplacement par défaut, cochez Spécifiez la
police de remplacement par défaut et choisissez une option dans le menu
déroulant Police de remplacement par défaut.
• Pour définir des polices de remplacement par défaut, cochez Spécifiez la police
de remplacement par défaut et choisissez des options dans le menu déroulant
Roman et Est-asiatique.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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425
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — LISTE DE FICHIERS
Le volet Liste de fichiers de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition) permet de personnaliser l’affichage dans le menu
Fichier des fichiers QuarkXPress ouverts et enregistrés récemment :
• Dans le champ Nombre de fichiers récents à afficher, entrez le nombre de
fichiers QuarkXPress ouverts et enregistrés récemment à afficher.
• La zone Emplacement de la liste de fichiers permet de choisir le menu qui
affiche la liste des fichiers QuarkXPress ouverts récemment.
• Cochez la case Classer les noms par ordre alphabétique pour afficher la
liste de fichiers dans l’ordre alphabétique.
• Cochez Afficher le chemin entier pour faire apparaître l’emplacement
des fichiers.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — CHEMIN PAR DÉFAUT
Le volet Chemin par défaut de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition) permet de définir un emplacement par défaut dans le
système de fichiers ou sur le réseau pour les commandes Ouvrir, Enregistrer/
Enregistrer sous et Importer.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — EPS
Le volet EPS de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition)
permet de spécifier des options relatives aux images EPS importées.
• Pour contrôler si QuarkXPress doit générer une prévisualisation d’un fichier
EPS ou utiliser celle (éventuellement) imbriquée dans le fichier, choisissez une
option dans la liste déroulante Prévisualisation. L’option spécifiée dans ce
volet est utilisée uniquement lors de la création de la prévisualisation EPS. Si
vous modifiez la préférence, il vous faut réimporter le fichier EPS.
• Mac OS uniquement : pour accroître la quantité de mémoire virtuelle
disponible pour le rendu des fichiers EPS volumineux au cours d’une
opération d’enregistrement de page en EPS, augmentez la valeur du
champ Mémoire virtuelle.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — PRÉVISUALISATION
PLEINE RÉSOLUTION
Pour contrôler où QuarkXPress met en mémoire cache les images haute résolution à afficher, cliquez sur Dossier Préférences QuarkXPress ou cliquez sur
Autre dossier, puis indiquez un emplacement différent. Pour indiquer une taille
maximale pour le dossier du cache de prévisualisation, renseignez le champ
Taille maximale dossier cache.
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
Dans la zone Afficher prévisualisations plein écran pour :
• Lorsque l’option Toutes les prévisualisations en pleine résolution est
sélectionnée, toutes les images du projet paramétrées pour s’afficher en pleine
résolution apparaissent ainsi.
• Lorsque l’option Prévisualisations en pleine résolution sélectionnées est
activée, les images paramétrées pour s’afficher en pleine résolution apparaîtront
ainsi uniquement lorsqu’elles sont sélectionnées.
Vous pouvez désactiver la prévisualisation pleine résolution en cas de baisse
des performances si vous pensez qu’elle est liée à ce module XTensions. Pour
désactiver la fonction Prévisualisation pleine résolution à l’ouverture d’un
projet, cochez l’option Désactiver prévisualisations pleine résolution à
l’ouverture. Si la fonction Prévisualisation pleine résolution a été spécifiée
pour une image, celle-ci conserve ce paramètre ; toutefois, l’image ne s’affiche
pas réellement en pleine résolution si vous n’avez pas activé la fonction pour
la mise en page en choisissant Affichage > Prévisualisations pleine résolution.
Si l’option Désactiver prévisualisations pleine résolution à l’ouverture n’est
pas cochée, les images paramétrées pour s’afficher en pleine résolution apparaîtront ainsi à l’ouverture du projet (si l’option Affichage > Prévisualisations
pleine résolution est cochée).
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — NAVIGATEURS
Le volet Navigateurs de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir les navigateurs Web à utiliser pour prévisualiser des
mises en page Web ou pour visualiser des fichiers HTML après leur exportation.
• La colonne Défaut permet de définir le programme à utiliser lorsque vous ne
précisez aucun navigateur particulier pour la prévisualisation. Ce navigateur
est également utilisé lorsque l’option Lancer le navigateur est cochée dans la
boîte de dialogue Exportation HTML (Fichier > Exporter > HTML). Cliquez
dans la colonne Défaut afin de placer une coche en regard du navigateur
par défaut.
• La colonne Navigateur affiche la liste des navigateurs Web disponibles
dans QuarkXPress.
• La colonne Nom affichage indique comment le nom de chaque navigateur
apparaît dans QuarkXPress.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — INDEX
Le volet Index permet de personnaliser la couleur et la ponctuation des
indicateurs dans les index générés.
Pour modifier la couleur des indicateurs d’index, cliquez sur le bouton Couleur
des indicateurs d’index.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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427
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
Les paramètres de la zone Caractères de séparation permettent de contrôler
la ponctuation de l’index généré :
• Renseignez le champ Suivant l’entrée pour définir les signes de ponctuation
à utiliser immédiatement après chaque entrée d’index.
• Renseignez le champ Entre numéros de page afin de définir les mots ou les
signes de ponctuation à utiliser pour séparer une liste de numéros de page
dans un index.
• Renseignez le champ Entre série de pages afin de définir les mots ou les signes
de ponctuation à utiliser pour séparer une série de pages dans un index.
• Renseignez le champ Avant renvoi pour définir les mots ou les signes de
ponctuation à utiliser avant un renvoi (en général un point, un point-virgule
ou un espace).
• La liste déroulante Style référence croisée permet de sélectionner une feuille
de style de caractères à appliquer aux renvois. Cette feuille de style n’est
appliquée qu’aux mentions Voir, Voir aussi et Voir ici, et non aux entrées
ou aux références.
• Renseignez le champ Entre entrées pour définir les mots ou les signes de
ponctuation à insérer entre les entrées d’un index continu ou à la fin d’un
paragraphe dans un index imbriqué.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — JOB JACKETS
Le volet Job Jackets de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir des préférences pour l’évaluation automatique des
mises en page et l’emplacement par défaut des fichiers Job Jackets.
Utilisez les options de la zone Évaluation mise en page pour contrôler quand
QuarkXPress exécute automatiquement la commande Fichier > Évaluer mise
en page. Par exemple, en cochant la case À la sortie, vous êtes assuré de toujours évaluer une mise en page avant son envoi en production. Les options sont
les suivantes :
• À l’ouverture
• À l’enregistrement
• À la sortie
• À la fermeture
Utilisez les options de la zone Emplacement pour indiquer le lieu de stockage
par défaut des fichiers Job Jackets. Pour enregistrer les fichiers Job Jackets à
l’emplacement par défaut, cliquez sur Utiliser chemin par défaut pour dossiers
partagés. L’emplacement par défaut est le dossier Documents sous Mac OS et
Mes documents sous Windows.
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — PDF
Le volet PDF de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition)
permet de définir des préférences pour l’exportation en PDF.
Utilisez les options de la zone Flux de production PDF pour déterminer
comment les fichiers PDF sont distillés.
• Cliquez sur Direct en PDF pour que QuarkXPress distille le fichier PDF.
• Cliquez sur Créer un fichier PostScript pour distillation ultérieure pour
exporter un fichier PostScript comportant des marques PDF. À l’aide de cette
option, vous pouvez générer ultérieurement le fichier PDF à l’aide d’une
application de distillation PDF tierce. Si vous cochez cette option, vous pouvez également activer Utiliser le « dossier surveillé » et indiquer le répertoire
où les fichiers PostScript doivent être placés (pour traitement automatique
éventuel par un outil de distillation PDF). Si vous ne cochez pas l’option
Utiliser le « dossier surveillé », vous êtes invité à indiquer l’emplacement
du fichier PostScript.
Mac OS uniquement : pour accroître la quantité de mémoire virtuelle disponible
pour le rendu des fichiers PDF volumineux au cours d’une opération d’exportation
en PDF, augmentez la valeur du champ Mémoire virtuelle.
Dans le menu déroulant Nom par défaut, choisissez le nom par défaut des
fichiers PDF exportés.
Cochez la case Consigner erreurs pour créer un journal des erreurs
éventuellement détectées au cours de la création des fichiers PDF. Lorsque
cette option est cochée, vous pouvez activer Utiliser dossier journal pour
spécifier l’emplacement d’enregistrement du fichier journal ; si elle n’est
pas cochée, le fichier journal est créé dans le même répertoire que le fichier
PDF exporté.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — PSD IMPORT
Lorsque vous importez une image PSD, PSD Import crée une prévisualisation
selon les paramètres actuels du volet Affichage de la boîte de dialogue
Préférences (menu QuarkXPress/Édition). Pour afficher des images Adobe
Photoshop, PSD Import utilise une mémoire cache pour accélérer l’affichage.
Pour assurer le contrôle de la mémoire utilisée et de la vitesse de rafraîchissement
de l’écran, vous pouvez optimiser l’environnement PSD Import à l’aide des
paramètres d’affichage QuarkXPress et modifier les paramètres de mémoire
cache dans le volet PSD Import de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition).
Pour créer la mémoire cache dans le dossier des préférences, cliquez sur
Préférences QuarkXPress. Pour créer la mémoire cache dans un dossier différent,
cliquez sur Autre dossier et sélectionnez un autre dossier. Pour définir la taille du
dossier du cache, renseignez le champ Taille maximale dossier cache.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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429
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
Vous pouvez vider la mémoire cache PSD Import si les prévisualisations ne
s’affichent pas correctement. Pour effacer cette mémoire cache, cliquez sur
Effacer cache.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — INDICATEURS DE POSITION
Le volet Indicateurs de position de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition) permet de définir des préférences d’affichage pour les
indicateurs de position de texte.
• Le bouton Couleur de la zone Indicateur de position texte permet de spécifier
la couleur des indicateurs de position de texte dans la mise en page. Dans le
menu déroulant Teinte, choisissez un pourcentage de teinte pour la couleur.
• Le bouton Couleur de la zone Indicateur de position TexteNoeud permet de
spécifier la couleur des indicateurs de position de nœud de texte dans la mise
en page. Dans le menu déroulant Teinte, choisissez un pourcentage de teinte
pour la couleur.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — SPELLCHECK
Le volet SpellCheck de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir des options de vérification orthographique.
Dans la zone Exceptions de vérification orthographique :
• Pour exclure des mots comprenant des nombres de la vérification
orthographique, cochez Ignorer les mots avec des nombres.
• Pour exclure des adresses électroniques et des URL de la vérification
orthographique, cochez Ignorer les adresses Internet et de fichier.
Dans la zone Langues réformées, cochez Utiliser allemand réformé 2006
pour utiliser les règles de l’allemand réformé lorsque vous vérifiez l’orthographe
d’un texte en allemand.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — FRACTION/PRIX
Le volet Fraction/Prix de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de formater automatiquement des fractions et des prix.
• Dans la zone Numérateur, l’option Décalage positionne le numérateur par
rapport à la ligne de base ; l’option Éch.V détermine la hauteur du numérateur en tant que pourcentage du corps de police ; l’option Éch.H détermine la
largeur du numérateur en tant que pourcentage de la largeur normale du caractère ; et l’option Approche de paire ajuste l’espacement entre les caractères
et la barre oblique.
• Dans la zone Dénominateur, l’option Décalage positionne le dénominateur par
rapport à la ligne de base ; l’option Éch.V détermine la hauteur du dénominateur
en tant que pourcentage du corps de police ; l’option Éch.H détermine la largeur
du dénominateur en tant que pourcentage de la largeur normale du caractère ;
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR L’APPLICATION
et l’option Approche de paire ajuste l’espacement entre les caractères et la
barre oblique.
• Dans la zone Barre oblique, l’option Décalage positionne la barre oblique par
rapport à la ligne de base ; l’option Éch.V détermine la hauteur de la barre
oblique en tant que pourcentage du corps de police ; l’option Éch.H détermine
la largeur de la barre oblique en tant que pourcentage de la largeur normale du
caractère ; et l’option Approche de paire ajuste l’espacement entre les caractères
et la barre oblique. Cochez la case Barre fraction pour conserver le corps lorsque
vous choisissez Style > Style > Faire fraction.
• Dans la zone Prix, l’option Souligner les cents place un souligné sous les
caractères de centimes et l’option Supprimer le séparateur décimal retire la
virgule ou le point décimal du prix.
PRÉFÉRENCES — APPLICATION — EFFETS D’IMAGE
Il est parfois possible d’améliorer les performances en indiquant un dossier
cache sur un lecteur différent de celui d’installation de l’application et du projet
QuarkXPress. Le volet Effets d’image de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition) permet de définir l’emplacement du dossier cache pour
la retouche des images.
PRÉFÉRENCES POUR UN PROJET
Les volets Projet de la boîte de dialogue Préférences (QuarkXPress/Édition >
Préférences) affectent toutes les mises en page du projet actif. Toutefois, si
vous modifiez des préférences sans projet ouvert, les nouvelles préférences
deviennent les paramètres par défaut de tous les nouveaux projets.
PRÉFÉRENCES — PROJET — GÉNÉRALES
La version Projet du volet Générales de la boîte de dialogue Préférences
(menu QuarkXPress/Édition) permet d’indiquer des paramètres par défaut
pour l’importation automatique d’images, le mode de mise en page unique et
l’approche de paire OpenType (pour les polices OpenType).
La zone Importation d’image automatique permet de préciser si QuarkXPress
met automatiquement à jour les images modifiées depuis la dernière ouverture
de la mise en page.
• Pour activer la fonction Importation d’image automatique, cliquez sur Oui.
Lorsque vous ouvrez un projet, QuarkXPress réimporte automatiquement les
images modifiées dans chaque mise en page à l’aide des fichiers changés.
• Pour désactiver la fonction Importation d’image automatique, cliquez sur Non.
• Pour recevoir un message d’alerte avant que QuarkXPress n’importe les images
modifiées, cliquez sur Vérifier.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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431
PRÉFÉRENCES POUR UN PROJET
L’activation de l’option Mode mise en page unique sans projet ouvert entraîne
l’activation de cette option dans la boîte de dialogue Nouveau projet.
Cochez la case Utiliser approche de paire OpenType afin d’activer les valeurs
d’approche de paire par défaut pour les polices OpenType. Lorsque cette option
est active, elle supplante toutes les approches de paire définies via l’option
Modification de la table d’approche de paire (menu Utilitaires) pour les
polices OpenType.
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
Les volets Mise en page de la boîte de dialogue Préférences (QuarkXPress/
Édition > Préférences) affectent la manière dont certaines fonctions
QuarkXPress agissent sur les documents, comme par exemple, l’insertion
automatique ou non de pages en cas de débordement de texte ou la défonce
des couleurs.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — GÉNÉRALES
Les versions Mise en page du volet Générales de la boîte de dialogue
Préférences (menu QuarkXPress/Édition) permettent de définir divers
paramètres à appliquer par défaut à la mise en page (distance de magnétisme
des repères et couleur des hyperliens et des ancres, par exemple).
Dans la zone Affichage :
• Lorsque vous cochez la case Faux texte sous et renseignez le champ associé,
QuarkXPress accélère la reproduction d’écran en créant un faux texte (c’est-à-dire,
en affichant des bandes grises à la place du texte d’une taille inférieure à celle
définie). Ce procédé n’affecte pas le texte à l’impression ou à l’exportation.
La création de faux texte est déterminée par le taux d’affichage.
• Si vous cochez la case Fausses images, QuarkXPress affiche les images importées
sous la forme de blocs gris. Si vous sélectionnez un bloc contenant une fausse
image, celle-ci s’affiche normalement. Cette case est désactivée par défaut.
La zone Hyperliens permet de choisir la couleur des icônes d’ancre et des
hyperliens. L’option de couleur est disponible tant dans les mises en page
papier que Web pour les icônes d’ancre, mais elle n’est disponible que dans
les mises en page papier pour les hyperliens. Vous pouvez choisir les couleurs
d’ancre et d’hyperlien d’une mise en page papier si vous envisagez de
l’exporter dans un fichier PDF.
Utilisez la zone Éléments de maquette pour contrôler le traitement des éléments
de maquette à l’application de pages maquette. De nouvelles pages maquette
sont appliquées aux pages de mise en page dans les situations suivantes : (1)
vous faites glisser l’icône d’une page maquette de la zone des pages maquette
de la palette Mise en page à l’icône d’une page de mise en page dans cette
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
même palette (Fenêtre > Afficher la mise en page) ; (2) vous supprimez une
page maquette appliquée à des pages de mise en page dans la palette Mise en
page ; (3) vous ajoutez, supprimez ou déplacez un nombre impair de pages
dans une mise en page composée de pages en regard.
• Pour que les éléments de maquette modifiés demeurent dans les pages de
mise en page après application d’une nouvelle page maquette, cliquez sur
Conserver modifications. Les éléments conservés ne sont plus des éléments
de maquette.
• Cliquez sur Supprimer modifications si vous souhaitez retirer les éléments
de maquette modifiés lors de l’application d’une nouvelle page maquette.
La zone Cadre permet de définir si les cadres sont placés à l’intérieur ou à
l’extérieur des blocs de texte et d’image.
• Si vous cliquez sur Intérieur, la distance qui sépare le texte du cadre est
déterminée par les valeurs de la zone Retrait de texte pour le bloc concerné
(Bloc > Modifier). Lorsque vous placez un cadre à l’intérieur d’un bloc d’image,
le cadre vient se superposer à l’image.
• Si vous cliquez sur Extérieur, le cadre est placé en dehors du bloc, ce qui augmente la largeur et la hauteur de ce dernier. Le cadre ne peut pas dépasser les
limites d’un bloc de contrainte ou de la table de montage.
Mises en page papier uniquement : les options du menu déroulant Insertion auto.
pages permettent de définir l’insertion automatique ou non de pages dès qu’un
texte déborde de son bloc automatique ou de sa chaîne (sur une page associée
à une page maquette qui contient un bloc de texte automatique). Ce menu
déroulant permet également de définir l’endroit où insérer les pages :
Mises en page Web uniquement : le champ Répertoire d’exportation des images
permet de définir le nom du dossier où stocker tous les fichiers images lors de
l’exportation d’une mise en page Web. Ce dossier est créé au même niveau que
la mise en page exportée (ou dans le dossier racine du site, le cas échéant). Si
vous ne renseignez pas ce champ, les fichiers images sont placés dans le même
dossier que la mise en page exportée (ou dans le dossier racine du site, le cas
échéant). Par défaut, un dossier nommé « image » est créé au même niveau que
la mise en page exportée pour y placer les images exportées.
Mises en page Web uniquement : le champ Répertoire racine du site permet
de définir le nom et l’emplacement du dossier à utiliser comme dossier racine
de la version exportée de la mise en page Web active. Cliquez sur le bouton
Sélectionner/Parcourir situé sur la droite du champ pour rechercher dans
une boîte de dialogue le dossier racine du site.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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433
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — MESURES
Le volet Mesures de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir les unités de mesure par défaut des règles de mise
en page et de la palette Spécifications :
• Les menus déroulants Horizontale et Verticale permettent de définir le système
de mesure des règles affichées au sommet et à gauche de la fenêtre de mise en
page. Le menu Horizontale s’applique à la règle supérieure, le menu Verticale à
la règle gauche.
• Divers autres aspects de l’interface utilisateur sont affectés par ces deux
menus locaux, notamment les coordonnées X et Y par défaut de la palette
Spécifications. QuarkXPress convertit automatiquement en points l’épaisseur
des cadres et des traits ainsi que le corps des polices et l’interlignage, quelle
que soit l’unité de mesure choisie.
• Le champ Points/Pouce permet de supplanter la valeur par défaut de 72 points
par pouce. QuarkXPress se base sur cette valeur pour réaliser toutes les mesures
en points et en picas ainsi que toutes les conversions en pouces des points et
des picas. Même s’il s’agit de la norme utilisée en PAO, l’étalon employé en
typographie traditionnelle et qui figure sur la plupart des règles métalliques est
d’environ 72,27 ou 72,307 points par pouce (fourchette = 60 à 80 pt, système
de mesure = points, incrément minimal = 0,001).
• Le champ Cicéros/cm permet de définir une valeur de conversion des cicéros
en centimètres différente de la valeur standard 2,1967 (fourchette = 2 à 3 c,
système de mesure = cicéros, incrément minimal = 0,001)
• Mises en page papier uniquement : les boutons Coordonnées élém. permettent de
préciser si les graduations de la règle horizontale repartent de zéro à chaque
nouvelle page ou continuent sans interruption à travers toute une planche.
Ce paramètre détermine les coordonnées des éléments affichées dans les
champs. L’option par défaut est Page.
• Utilisez le menu déroulant Unités de mesure pour définir l’unité par défaut
des nouvelles mises en page.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — PARAGRAPHE
Le volet Paragraphe de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de contrôler divers paramètres au niveau du paragraphe.
La fonction Interlignage automatique permet de définir automatiquement
l’espacement des lignes. Ce paramètre peut être appliqué à un paragraphe en
entrant auto ou 0 dans le champ Interlignage de la boîte de dialogue Attributs
de paragraphe (Style > Interlignage). Contrairement aux paragraphes auxquels un interlignage absolu (espacement identique des lignes) est appliqué,
les paragraphes auxquels un interlignage automatique est appliqué peuvent
inclure des lignes avec espacement différent si plusieurs polices et corps de
polices figurent dans un même paragraphe.
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
L’interlignage automatique part d’une quantité de base que QuarkXPress calcule
à partir des valeurs des hampes ascendantes et descendantes intégrées aux
polices utilisées sur la ligne à laquelle l’interlignage est appliqué et sur la
ligne située au-dessus. Toutefois, le corps de texte défini par l’utilisateur
(Style > Corps) est le déterminant principal de la quantité d’interlignage
utilisée. Enfin, la valeur définie par l’utilisateur dans le champ Interlignage
automatique est ajoutée à la quantité de base pour obtenir la quantité
totale d’interlignage.
Pour définir un interlignage automatique en pourcentage, entrez une valeur
comprise entre 0 % et 100 % par incréments de 1 %. Comme expliqué ci-après,
cette valeur détermine la quantité d’espace séparant deux lignes de texte :
le corps de police le plus élevé sur la ligne supérieure est multiplié par le
pourcentage saisi. Le résultat est ajouté à la quantité de base d’interlignage
automatique entre les deux lignes. Bien que le style de certaines polices
complique quelque peu l’opération, voici un exemple simplifié : un texte de
10 points composé uniformément dans une police standard et pour lequel la
valeur d’interlignage automatique a été définie sur 20 % se voit appliquer
un interlignage de 12 points (10 pt + [20 % de 10] = 12 pt). Pour définir un
interlignage automatique incrémentiel, saisissez une valeur précédée du signe
plus (+) ou moins (–) comprise entre – 63 et + 63 points avec l’unité de mesure
de votre choix. La saisie de + 5, par exemple, ajoute 5 points d’interlignage à
la quantité de base d’interlignage automatique, tandis que la saisie de + 5 mm
ajoute 5 millimètres.
La case à cocher Conserver l’interlignage permet de contrôler la position
d’une ligne de texte placée immédiatement sous un objet constituant un
obstacle dans une colonne ou un bloc. Si cette option est cochée, la ligne de
base est positionnée selon la valeur d’interlignage qui lui est attribuée. Si elle
est désactivée, l’ascendante de la ligne s’appuie contre la base de l’obstacle ou
selon une valeur quelconque d’habillage appliquée (Bloc > Habillage).
Dans la zone Verrouiller sur la grille selon :
• Cliquez sur Ascendante et descendante pour verrouiller le texte sur la grille
en fonction des hampes ascendantes et descendantes des caractères.
• Cliquez sur Corps de police (carré cadratin) pour verrouiller du texte sur la
grille en fonction de la taille des carrés cadratins des caractères.
Pour chaque langue de la liste Césure, le menu déroulant Méthode de la zone
Césure permet de spécifier la méthode utilisée par QuarkXPress pour couper les
mots des paragraphes lorsqu’aucune entrée applicable ne figure dans votre dictionnaire Exceptions de césure. Le paramètre choisi n’affecte que les paragraphes
pour lesquels l’option Césure automatique (Édition > C&J) est activée :
• Choisissez la méthode Standard afin d’utiliser l’algorithme de césure intégré
aux versions antérieures à la version 3.1 de QuarkXPress. Les documents
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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435
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
créés dans les versions de QuarkXPress antérieures à 3.1 utilisent par défaut
l’option Standard lorsqu’ils sont ouverts dans les versions 3.1 ou ultérieures.
• Choisissez la méthode Avancée afin d’utiliser l’algorithme de césure intégré
aux versions 3.1 et ultérieures de QuarkXPress.
• L’option Étendue 2 utilise le même algorithme que l’option Avancée, mais
consulte tous les dictionnaires de césure intégrés avant de faire appel à cet
algorithme. Étendue 2 utilise les ressources et algorithmes d’exception
Dieckmann pour la césure. Cette option a été utilisée pour la première fois dans
QuarkXPress 4.11 pour l’allemand (réformé) et a été étendue à d’autres langues
dans les versions plus récentes. Si elle est disponible pour une langue, cette
méthode est utilisée par défaut pour les projets créés dans QuarkXPress.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — CARACTÈRE
Le volet Partage de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir des options par défaut pour le nouveau contenu
partagé. Le volet Caractère de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition) vous permet de définir comment QuarkXPress construit
des styles typographiques, tels qu’Exposant et Indice :
• La zone Exposant permet de contrôler la position et l’échelle (corps) des caractères mis en exposant. Le champ Décalage détermine la hauteur à laquelle
QuarkXPress place un exposant au-dessus de la ligne de base. Sa valeur se
mesure en pourcentage du corps de police. La valeur par défaut est 33 %. Le
champ Éch.V détermine la hauteur du caractère en pourcentage du corps de
sa police. La valeur Éch.H détermine la largeur en pourcentage de la largeur
normale du caractère (définie par le créateur de la police). La valeur par défaut
pour les deux échelles est 60 % (fourchette = 0 à 100 %, système de mesure =
pourcentage, incrément minimal = 0,1).
• La zone Indice permet de contrôler la position et l’échelle (corps) des caractères
mis en indice. Le champ Décalage détermine le niveau auquel QuarkXPress
place un indice sous la ligne de base. Sa valeur se mesure en pourcentage du
corps de police. La valeur par défaut est 33 %. Le champ Éch.V détermine la
hauteur du caractère en pourcentage du corps de sa police. La valeur Éch.H
détermine la largeur en pourcentage de la largeur normale du caractère (définie
par le créateur de la police). La valeur par défaut pour les deux échelles est 100 %
(fourchette = 0 à 100 %, système de mesure = pourcentage, incrément
minimal = 0,1).
• La zone Petites majuscules permet de contrôler l’échelle des caractères auxquels
ce style typographique est appliqué. Le champ Éch.V détermine la hauteur du
caractère en pourcentage du corps de sa police. Le champ Éch.H détermine la
largeur en pourcentage de la largeur normale des caractères (définie par le
créateur de la police). La valeur par défaut pour les deux échelles est 75 %
(fourchette = 0 à 100 %, système de mesure = pourcentage, incrément
minimal = 0,1).
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
• La zone Supérieur permet de contrôler l’échelle des caractères supérieurs. Le
champ Éch. V détermine la hauteur du caractère en pourcentage du corps de
sa police. Le champ Éch.H détermine la largeur en pourcentage de la largeur
normale des caractères (définie par le créateur de la police). La valeur par
défaut pour les deux échelles est 60 % (fourchette = 0 à 100 %, système de
mesure = pourcentage, incrément minimal = 0,1).
• La zone Ligatures permet d’utiliser les ligatures intégrées à une police. Une
ligature est une convention typographique qui lie certaines lettres en un seul
glyphe. La plupart des polices conçues pour la plate-forme Mac OS prévoient
une ligature entre la lettre f et la lettre i ou l. Le champ Césure à partir de
permet de définir la valeur d’approche de paire ou de groupe (mesurée en
incréments d’1/200ème de cadratin) au-dessus de laquelle les caractères ne
doivent pas être combinés en ligatures. Un titre doté d’une valeur d’approche
élevée ne contiendra vraisemblablement aucune ligature, par exemple. La valeur
par défaut est 1 (fourchette = 0 à 10, système de mesure = 0,005 [1/200ème]
de cadratin, incrément minimal = 0,001). Pour empêcher la ligature des deux
dernières lettres dans les combinaisons ffi et ffl (comme dans affiche et affliger),
cochez la case Pas « ffi » ou « ffl ». Les ligatures de trois lettres sont fréquentes
dans les systèmes typographiques traditionnels, mais ne sont pas standardisées
dans les polices conçues pour la plate-forme Mac OS. Aussi certains typographes
préfèrent-ils conserver les trois lettres séparées au lieu de ne combiner que
deux d’entre elles. Notez que de nombreuses polices PostScript ne disposent
pas des ligatures ffi et ffl, contrairement à la plupart des polices OpenType.
Cette option est désactivée par défaut.
• La case à cocher Approche automatique à partir de permet à QuarkXPress
d’utiliser des tables d’approche de paire, intégrées à la plupart des polices, pour
contrôler l’espacement des caractères. Le champ Approche automatique à
partir de permet de définir le corps en points au-dessus duquel une approche de
paire automatique doit être réalisée. La fonction Approche automatique à
partir de met également en œuvre les informations d’approche de groupe personnalisées définies dans la boîte de dialogue Valeurs d’approche de groupe
d’une police donnée (Utilitaires > Approche de groupe). Cette option est cochée
par défaut, avec un seuil de 4 points (fourchette = 0 à 72 pt, système de mesure =
divers (", pt, cm, etc.), incrément minimal = 0,001).
• La case à cocher Cadratin standard permet de définir un cadratin équivalant au
corps du texte en points (un texte de 24 points est doté d’un cadratin de 24 points,
par exemple). Si la case à cocher Cadratin standard est désactivée, QuarkXPress
base la largeur du cadratin sur la largeur de deux zéros dans la police active.
Cette option est cochée par défaut. Pour insérer un espace cadratin dans un
texte, appuyez sur les touches Option+Espace/Ctrl+Maj+6.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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437
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
• Le champ Espace variable permet de changer la largeur par défaut de 50 %
d’un espace variable. Pour créer un espace variable sécable, appuyez sur
Option+Maj+Espace/Ctrl+Maj+5 ; pour créer un espace variable insécable,
appuyez sur Pomme+Option+Maj+Espace/Ctrl+Alt+Maj+5. La valeur du
champ Espace variable est exprimée en pourcentage d’un demi-cadratin
normal dans une police et un corps donnés (fourchette = 0 à 400 %, système
de mesure = pourcentage, incrément minimal = 0,1).
• La case à cocher Accentuer les majuscules permet d’utiliser ou non des
accents sur les lettres accentuées auxquelles le style typographique Tout
majuscules est appliqué. Cette option est cochée par défaut.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — OUTILS
Les volets Outils de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permettent de définir les caractéristiques par défaut des outils Loupe
et Déplacement , et les valeurs par défaut des éléments conçus avec les outils
de création.
• Pour configurer les options de l’outil Déplacement , sélectionnez l’outil
Déplacement, puis cliquez sur Modifier. Utilisez la zone Maj + incrément de
déplacement pour contrôler sur combien de pixels l’outil Déplacement fait
bouger un élément. Utilisez les boutons radio sous Quand je double-clique sur
un bloc de contenu Néant pour déterminer si la boîte de dialogue Importer
ou Modifier s’ouvre lorsque vous double-cliquez sur un bloc de contenu Néant
avec l’outil Déplacement.
• Pour contrôler l’échelle et l’incrément de changement de la vue pour l’outil
Loupe , sélectionnez ce dernier, puis cliquez sur Modifier.
• Pour modifier les attributs par défaut des éléments conçus à l’aide d’un
ou de plusieurs outils de création liés, sélectionnez les outils, puis cliquez
sur Modifier.
• Si vous avez modifié les préférences d’un outil et souhaitez rétablir les
paramètres par défaut, sélectionnez l’outil concerné dans la liste, puis cliquez sur
Restaurer. Si vous avez modifié les préférences de plusieurs outils et souhaitez
rétablir les paramètres par défaut de tous, cliquez sur Tout rétablir.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — DÉFONCE
Le volet Défonce de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir la défonce par défaut des mises en page papier.
Sélectionnez une méthode de défonce :
• Cliquez sur Absolue pour appliquer les valeurs de défonce des champs Quantité
automatique et Indéterminée suivant les couleurs d’objet et de fond concernées. Si la couleur de l’objet est plus sombre, celui-ci est contracté par le
fond selon la valeur Quantité automatique. Si la couleur de l’objet est plus
claire, celui-ci est dilaté dans le fond selon cette même valeur.
438
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
• Choisissez la méthode Proportionnelle pour baser la défonce sur la valeur
saisie dans le champ Quantité auto. multipliée par la différence entre la
luminosité (tons clairs ou luminance) de la couleur de l’objet et celle de la
couleur de fond.
• Cliquez sur Aucun débord pour désactiver la défonce et imprimer les objets
avec une quantité de défonce nulle.
• Cochez la case Défonce des couleurs pour défoncer chaque film de séparation
individuellement si une page contient des couleurs quadrichromiques qui
se chevauchent.
• Cochez la case Ignorer blanc pour indiquer qu’une couleur d’objet située
devant plusieurs couleurs de fond (dont le blanc) ne prend pas en compte le
blanc lors de la défonce.
Entrez une valeur de défonce dans le champ Quantité auto. ou
choisissez Surimpression.
• Renseignez le champ Quantité auto. pour contrôler la quantité de défonce que
QuarkXPress applique aux couleurs d’objet et de fond ayant une quantité
automatique définie dans la boîte de dialogue Spécifications de défonce
(Édition > Couleurs > Modifier défonce), ainsi que la quantité de défonce
appliquée aux éléments ayant une quantité automatique (+) ou (–) indiquée
dans la palette Informations de défonce (Fenêtre > Informations de défonce).
• Choisissez Surimpression pour surimprimer les couleurs d’objet et de fond pour
lesquelles une quantité automatique est définie dans la boîte de dialogue
Spécifications de défonce (Édition > Couleurs > Modifier défonce), et les
éléments pour lesquels une quantité automatique (+) ou (–) est définie dans
la palette Informations de défonce (Fenêtre > Informations de défonce).
Entrez une valeur de défonce dans le champ Indéterminée ou
choisissez Surimpression.
• Renseignez le champ Indéterminée pour contrôler la quantité de défonce
que QuarkXPress applique aux couleurs d’objet situées devant des fonds
indéterminés (plusieurs couleurs ayant des relations de défonce conflictuelles).
• Choisissez Surimpression pour provoquer la surimpression d’une couleur
d’objet sur un fond indéterminé.
Renseignez le champ Limite d’aucun débord. Cette valeur (exprimée en
pourcentage de luminosité de la couleur d’un objet) vous permet de contrôler
le point à partir duquel la couleur d’un objet ne débordera pas sur la couleur
de fond.
Renseignez le champ Limite de surimpression. La limite de surimpression
est un paramètre de défonce autorisant la défonce d’un objet défini pour se
surimprimer selon la valeur Quantité automatique si la teinte de l’objet est
inférieure à un pourcentage particulier.
CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
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439
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — REPÈRES ET GRILLE
Le volet Repères et grille de la boîte de dialogue Préférences (menu
QuarkXPress/Édition) permet de définir divers paramètres par défaut pour
les repères et les grilles de conception.
Le champ Dist. magnétisme permet de modifier la distance par défaut de
6 pixels à laquelle les objets sont magnétisés contre les repères de page lorsque
vous sélectionnez la commande Magnétiser les repères (menu Affichage)
(fourchette = 1 à 216, système de mesure = pixels, incrément minimal = 1).
Dans la zone Repères :
• Pour indiquer la couleur par défaut des marges et des repères, utilisez les
boutons Couleur de marge et Couleur de repère.
• Cliquez sur Devant le contenu ou Derrière le contenu pour indiquer si les
repères de règle et de page sont placés devant ou derrière tous les éléments
d’une page.
Dans la zone Grille de page :
• Pour contrôler la valeur de zoom minimum à laquelle la grille de page
maquette et les grilles de bloc de texte deviennent visibles, renseignez le
champ Visibilité du zoom.
• Cliquez sur Devant le contenu ou Derrière le contenu pour indiquer si la
grille de page maquette est placée devant ou derrière tous les éléments d’une
page. Si vous cliquez sur Devant le contenu, vous pouvez également indiquer
si la grille de page maquette doit figurer devant ou derrière les repères.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — GESTIONNAIRE DES COULEURS
Le volet Gestionnaire des couleurs de la boîte de dialogue Préférences
(menu QuarkXPress/Édition) permet de définir des couleurs pour assurer
la cohérence de l’affichage et de la sortie sur tous les périphériques.
Dans la zone Méthode transformation :
• Pour indiquer un moteur de transformation des couleurs, choisissez une
option dans le menu déroulant Moteur de couleur.
• Pour obtenir le noir le plus foncé dans toutes les méthodes de sortie, cochez
Compensation point noir.
Dans la zone Options source :
• Le menu déroulant Paramétrage source permet de spécifier l’espace chromatique
source des images et des couleurs utilisées dans QuarkXPress.
• Pour activer la commande Informations de profils du menu Fenêtre et de
la rubrique Gestion des couleurs de la boîte de dialogue Importer image, cochez
Activer accès aux profils image. Cette option vous permet de visualiser des
informations sur les profils.
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CHAPITRE 16 : PRÉFÉRENCES
PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
Mises en page papier uniquement : pour indiquer le mode d’affichage des mises
en page lorsque vous utilisez le sous-menu Affichage > Sortie préliminaire,
utilisez les options de la zone Vérification à l’écran :
• Pour spécifier un paramétrage de sortie préliminaire par défaut, choisissez une
option dans le menu déroulant Sortie préliminaire.
• Pour indiquer le mode de rendu de la vérification à l’écran, choisissez une
option dans la liste déroulante Usage final du rendu. Perceptible modifie
l’échelle des couleurs de la gamme source pour que la gamme cible puisse
toutes les contenir. Colorimétrie relative conserve les couleurs qui font partie à
la fois de la gamme source et de la gamme de destination. Les seules couleurs
source modifiées sont celles qui ne font pas partie de la gamme de destination.
L’option Saturation examine la saturation des couleurs source, puis remplace
ces dernières par des couleurs présentant la même saturation relative dans la
gamme cible. Colorimétrie absolue conserve les couleurs qui font partie à la
fois de la gamme source et de la gamme de destination. Les couleurs hors de la
gamme cible sont ajustées par rapport à leur apparence sur papier blanc. Défini
par sources utilise les usages finals du rendu spécifiés dans le paramétrage source
pour toutes les couleurs et images.
Mises en page papier uniquement : Dans la zone Fichiers vectoriels EPS/PDF :
• Pour gérer la couleur du contenu vectoriel dans des fichiers EPS et PDF importés,
cochez la case Gérer couleur EPS/PDF vectoriels. Notez que cette préférence ne
s’applique qu’aux fichiers EPS et PDF importés après l’activation de cette case.
• Pour gérer la couleur du contenu vectoriel dans des fichiers EPS et PDF déjà
importés dans le projet actif, cochez la case Inclure EPS/PDF vectoriels dans
mise en page.
Mises en page Web uniquement : pour spécifier un profil de sortie pour
l’exportation en HTML, choisissez une option dans le menu déroulant
Exportation HTML.
Mises en page interactives uniquement : pour spécifier un profil de sortie
pour l’exportation en SWF, choisissez une option dans le menu déroulant
Exportation SWF.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — CALQUES
Le volet Calques de la boîte de dialogue Préférences (menu QuarkXPress/
Édition) permet de définir les paramètres utilisés à la création d’un calque.
• Pour rendre les nouveaux calques visibles par défaut, cochez la case Visible.
• Pour annuler l’impression des nouveaux calques par défaut, cochez la case
Ne pas imprimer.
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PRÉFÉRENCES POUR LA MISE EN PAGE
• Pour verrouiller les nouveaux calques par défaut, cochez la case Verrouillés.
• Cochez la case Conserver l’habillage pour que le texte des calques visibles
continue d’habiller les éléments situés dans les calques masqués.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — PRÉSENTATION
Mises en page interactives uniquement : le volet Présentation de la boîte de
dialogue Préférences (menu QuarkXPress/Édition) permet de spécifier des
transitions de pages par défaut, de paramétrer des curseurs par défaut, l’intervalle de progression automatique par défaut et si les pages des projets qui
utilisent la fonction de progression automatique défilent ou non en boucle.
• Pour définir une transition de page par défaut, choisissez une option dans le
menu déroulant Effet et entrez une durée de transition dans le champ Durée
situé au-dessous.
• Pour définir des curseurs par défaut, choisissez des options dans les menus
déroulants de la zone Curseurs.
• Pour désigner le curseur qui s’affiche lorsque l’utilisateur final place le curseur
de la souris sur un élément interactif, choisissez une option dans le menu
déroulant Utilisateur.
• Pour que les pages du projet actif (éventuel) défilent automatiquement sans
intervention de l’utilisateur, cliquez sur Progression automatique toutes les
et entrez un intervalle de progression automatique dans le champ secondes.
• Pour que le projet passe automatiquement de la dernière page à la première à la
suite d’une action Afficher page suivante (et vice versa), cochez l’option Boucle.
PRÉFÉRENCES — MISE EN PAGE — SWF
Mises en page interactives uniquement : le volet SWF vous permet de paramétrer les
options d’exportation par défaut pour les mises en page interactives. Pour
afficher et configurer ces options, cliquez sur Options par défaut dans ce
volet : la boîte de dialogue Paramètres export s’affiche. Pour en savoir plus
sur ce volet, reportez-vous à Configuration des paramètres d’exportation.
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