Hachette PROG à l'école maternelle Manuel utilisateur
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Profession Enseignant Apprentissages progressifs de l’écrit à l'école maternelle PROG coordonné par Mireille Brigaudiot P001-V01-9782011404220.indd 1 05/02/14 18:13 P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 2 Équipe de rédaction Mireille Brigaudiot, IUFM de Versailles Marie-Alix Defrance, IUFM de Versailles Gilbert Ducancel, IUFM de Picardie Jean-Luc Gaillard, IUFM de Lorraine Claudine Lhuillier, IUFM de Lorraine Jacques Rilliard, IUFM de Bourgogne Les droits d’auteur sont versés intégralement à l’INRP. © HACHETTE LIVRE 2000 pour la première édition, 2014 pour la présente édition 43, quai de Grenelle, 75905 Paris CEDEX 15 www.hachette-education.com ISBN : 978-2-01-140422-0 Tous droits de traduction, de reproduction et d’adaptation réservés pour tous pays. Le Code de la propriété intellectuelle n’autorisant, aux termes des articles L. 122-4 et L. 122-5, d’une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective », et, d’autre part, que « les analyses et les courtes citations » dans un but d’exemple et d’illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite ». Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, sans autorisation de l’éditeur ou du Centre français de l’exploitation du droit de copie (20, rue des GrandsAugustins 75006 Paris), constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal. P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 3 Ont participé à la recherche PROG : Michelle Amathieu, conseillère pédagogique, Brunoy, 91 Laurence Bacot, conseillère pédagogique, Mâcon, 71 Marie-Hélène Beaussart, directrice d’école d’application, Malakoff, 92 Danièle Bertrand, PIUFM, centre de Laon, 02 Danielle Brancati, institutrice,Yerres, 91 Mireille Brigaudiot, maître de conférences, IUFM de Versailles, 78 Brigitte Calleja, IMF, Mâcon, 71 Mado Cauvas, conseillère pédagogique, Massy, 91 Ghislaine Chatté, directrice d’école d’application, Nancy, 54 Chantal Cloix, IMF, Berzé-la-Ville, 71 Anne Cordonnier, IMF, Nancy, 54 Marie-Ange Cote, institutrice, Boulogne, 92 Thérèse Coulmont, IMF, centre IUFM d’Amiens, 80 Chantal Dan, psychologue scolaire, Massy, 91 Fabienne de Caso, directrice d’école maternelle, Toulouse, 31 Danièle Debove, IMF, Amiens, 80 Marie-Alix Defrance, PIUFM, centre d’Étiolles, 91 Aline Delaunay, directrice d’école maternelle,Yerres, 91 Anne Delbrayelle, PIUFM, centre d’Amiens, 80 Emmanuel Dequevauviller, directeur d’école d’application, Amiens, 80 Catherine de Saint Riquier, institutrice,Yerres, 91 Cécile Diaz, IMF, Poitiers, 86 Danièle Douvenot, directrice d’école maternelle, Dreux, 28 Mireille Dubroca, conseillère pédagogique, Poitiers, 86 Gilbert Ducancel, PIUFM, centre d’Amiens, 80 Édith Duport, inspectrice de l’Éducation nationale, Amiens, 80 Marianne Duriez, directrice d’école maternelle, Dreux, 28 Claire Evrat, professeur des écoles, Massy, 91 Henriette Ewald, directrice d’école d’application, Clichy, 92 Pascal Ferrand, instituteur, Dreux, 28 Michèle Fournier, conseillère pédagogique, Boulogne, 92 Jean-Luc Gaillard, PIUFM, centre de Bar-Le-duc, Nancy, 54 Danielle Gallarino, institutrice, Balma, 31 Monique Ganem, institutrice, Sèvres, 92 Sophie Gauthier, IMF, Laon, 02 Gérard Gérôme, directeur d’école d’application, Amiens, 80 Nicole Goubet, conseillère pédagogique, Péronne, 80 Myriam Grafto, IMF, Meudon, 92 Marie-Josèphe Guerville, directrice d’école d’application, Amiens, 80 Françoise Grenon, IMF, centre IUFM d’Amiens, 80 Marylène Hay, IMF, Châtellerault, 86 André Huet, directeur d’école d’application, Poitiers, 86 P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 4 Annie Joyet, directrice d’école maternelle, Mâcon, 71 Danièle Kopytko, IMF, Bar-Le-Duc, 55 Jean-Pierre Krug, IMF, Dijon, 21 Éliane Larouzière, institutrice, Balma, 31 Dominique Lecomte, IMF, Amiens, 80 Élisabeth Le Deun, PIUFM, centre de Toulouse, 31 Isabelle Letot, IMF, Laon, 02 Élisabeth Lemeille, professeur des écoles, Bagneux, 92 Annick Lemoine, IMF, Laon, 02 Alain Le Petit, PIUFM, centre de Poitiers, 86 Martine Le Petit, directrice d’école d’application, Poitiers, 86 Claudine Lhuillier, PIUFM, centre de Nancy, 54 Catherine Marchand, professeur des écoles, Massy, 91 Nathalie Martin – Brisac, professeur des écoles, Boulogne, 92 Josette Massicard, directrice du centre IUFM de Dijon, 21 Danièle Mathivet, IMF,Yerres, 91 Martine Médard, IMF, Bar-Le-Duc, 55 Yolande Moreaux, institutrice, Poitiers, 86 Anne Nibas, IMF, Amiens, 80 Bruno Nibas, IMF, Amiens, 80 Alain Nicaise, conseiller pédagogique, Amiens, 80 Chantal Pardon, institutrice, Balma, 31 Claudine Parmentier, IMF, Laon, 02 Corinne Pauchet, conseillère pédagogique, Abbeville, 80 Jean-Michel Petiot, conseiller pédagogique, Dreux, 28 Monique Pianello, conseillère pédagogique, Dreux, 28 Annie Piffet, professeur des écoles, Dreux, 28 Thierry Poulain, IMF, Amiens, 80 Michèle Pourteau, directrice d’école d’application, Rueil, 92 Sylvie Puzin, institutrice, Sèvres, 92 Isabelle Racoffier, directrice d’école, Vouneuil-sous-Biard, 86 Chantal Rebière, conseillère pédagogique, Péronne-Doullens, 80 Annie Roger, directrice d’école d’application, Châtellerault, 86 Rosy Rieu, institutrice, Balma, 31 Jacques Rilliard, PIUFM, centre de Mâcon, 71 Danièle Rymarski, conseillère pédagogique, Dreux, 28 Dominique Sauneron, professeur des écoles, Boulogne, 92 Nathalie Sohet, institutrice, Laon, 02 Jacques Treignier, inspecteur de l’Éducation nationale, Dreux, 28 Denyse Verecque, conseillère pédagogique, Doullens, 80 Évelyne Villard, conseillère pédagogique, Mâcon, 71 Marcelle Yhuel, institutrice, Sèvres, 92 Hervé Zägel, conseiller pédagogique, Pont-à-Mousson, 54 P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 5 Sommaire Mode d’emploi .......................................................................... 7 PARTIE 1 LES PRINCIPES DE TRAV TRAVAIL 1. Le premier principe de PROG ou «le langage d’abord et toujours» ........................................ 14 2. Le deuxième principe de PROG ou «faire de l’écrit un objet pas comme les autres» . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 3. Le troisième principe de PROG ou «être devant/être derrière» ................................................ 4. Le quatrième principe de PROG ou «ton école, c’est la meilleure du monde» .............................. 44 58 PARTIE 2 LES APPRENTISSAGES APPRENTISSAGES DANS DANS LA DÉMARCHE PROG PROG 1. Utiliser le langage pour dire, pour comprendre, pour réfléchir .............................................. 74 2. Comprendre le langage écrit et se construire des représentations de l’acte de lire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94 3. Produire du langage écrit et se construire des représentations sur l’acte d’écrire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134 4. Découvrir la nature de l’écrit et se construire des représentations de la nature de l’écrit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173 PARTIE 3 DES OUTILS D’ÉVALU ATION-APPRENTISSAGE D’ÉVALUA TION-APPRENTISSAGE 1. Nature et intérêt des outils proposés ....................................... 2. Outils utilisables à partir de la Petite Section ............................. 3. Outils utilisables à partir de la Moyenne Section ........................ 4. Outils utilisables à partir de la Moyenne-Grande Section 5. Outils utilisables à partir de la Grande Section © Hachette Livre – La photocopie non autorisée est un délit 210 220 226 ............. 232 ........................... 242 5 P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 6 PARTIE 4 TÉMOIGNAGES TÉMOIGNAGES .............................................................. 254 .......................................................................... 255 1. Les regroupements 2. Les ateliers 3. Un cycle d’activités en Petite Section ....................................... 259 4. Un cycle d’activités en Grande Section . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 262 5. Un travail d’équipe entre collègues ......................................... 271 ............................................................ 276 .............................................................. 280 .................................................................................... 285 6. Le parcours de Laure 7. Le parcours de Sam Index http://www.mireillebrigaudiot.com pour continuer la réflexion et pour échanger. P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 7 Mode d’emploi e livre a été rédigé pour aider les maîtres qui ont un profond désir de plus grande démocratisation de l’école. Un tel progrès ne peut être réalisé que si chaque enseignant, à chaque instant de sa pratique, s’empêche de se laisser entraîner par le rythme des élèves les plus performants, et choisit de considérer les moins brillants comme les élèves prioritaires. Chaque maître travaille alors réellement pour TOUS les enfants. C’est là une des choses les plus difficiles dans l’acte d’enseignement, tout simplement parce que les lourdes contraintes du métier sont compensées « naturellement » par cette autovalorisation – non consciente – recherchée par chacun de nous auprès des élèves qui donnent les bonnes réponses à nos questions. La voie proposée ici est celle d’un accompagnement pour les maîtres qui veulent échapper à cette fatalité. À travers la théorisation d’une nouvelle manière d’enseigner, ils trouveront des pistes de travail et des encouragements. C En matière d’apprentissages de l’écrit, les pratiques de l’école maternelle présentent une grande diversité. Les maîtres ont du mal à se situer : de « pas assez » à « trop », comment savoir ce qui est nécessaire pour que les enfants entrent dans l’écrit, comment savoir ce qui est bon pour eux, ce qui est sans effet, ou même, ce qui est néfaste ? À titre de repères, voici quelques-unes des positions que l’on rencontre fréquemment : 1. Il arrive que les apprentissages de l’écrit soient considérés comme fastidieux et qu’on se représente le cycle 2 comme une étape particulièrement ardue pour un certain nombre d’enfants. Dans cet état d’esprit, la maternelle devient « lieu de plaisir » et de liberté, car on considère que les enfants ont bien le temps de faire des choses difficiles. Exemples d’incidences pour l’écrit : dans l’école, la préparation des fêtes rituelles de l’année scolaire occupe davantage les maîtres que l’état des acquisitions de chaque enfant ; dans les classes, les enfants choisissent des ateliers où les objectifs d’apprentissages sont flous ; les produits finis, « jolis », propres, sont valorisés au détriment des activités qui ont permis leur fabrication ; l’écrit est toujours présenté sous une même forme, de la Petite à la Grande Section, c’est-à-dire la forme « traditionnelle » d’utilisation rituelle par l’adulte (calendrier, étiquettes-prénoms, « exploitation » d’album, etc.). Dans cette optique, on pose implicitement un principe proche de : « bonheur pour les moins de 6 ans » = incompatibilité avec de « vrais apprentissages de l’écrit ». © Hachette Livre – La photocopie non autorisée est un délit 7 P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 8 APPRENTISSAGES PROGRESSIFS DE L’ÉCRIT À L’ÉCOLE MATERNELLE 2. On peut considérer, à l’inverse, que la réussite ou l’échec d’un élève dépend de ses premiers apprentissages de l’écrit. L’enjeu est tel que, pour que les enfants aient le plus de chance possible d’y arriver, on commence alors ces apprentissages avant le Cours Préparatoire. Exemples d’incidences : les enfants ont des cahiers à lignes dès la Moyenne Section ; on utilise des méthodes de lecture en Grande Section ; des activités sur les petites unités de la langue (phonèmes-graphèmes) sont proposées. Principe implicite ici : les apprentissages métalinguistiques (extrêmement complexes) du CP-CE1 sont possibles dès l’âge de 5 ans pour tous. 3. Position plus modulée, celle qui consiste à poser l’importance de ces premiers apprentissages de l’écrit, mais avec un souci de les « préparer », car c’est au CP que revient la fonction de systématisation. Les préparer c’est faire faire à l’élève ce que l’on considère comme un « amont » des apprentissages de l’écrit du cycle 2. Exemples d’incidences : on travaille quatre grands domaines, le corps et le geste graphique, le traitement visuel de l’information, la production et la reconnaissance des images, le langage oral. Principe implicite : il y a des « prérequis » aux apprentissages de l’écrit (la conscience phonique par exemple). 4. Courant assez répandu depuis quelques années, notamment en ZEP : les difficultés à l’écrit en cycle 2 ayant leur origine essentielle dans les difficultés rencontrées à l’oral, la mission essentielle du cycle 1 serait de travailler le langage oral, l’écrit relevant plus du CP. Si cette conception n’est pas fausse, les moyens mis en œuvre dans une telle optique ne peuvent pas suffire. La proposition de PROG est de garder les quatre éléments positifs de ces différentes conceptions de l’écrit à l’école maternelle : des enfants heureux, très « langagiers », bien préparés à ce qu’ils vont travailler en élémentaire, mais dans des tâches qui sont extrêmement ajustées à leurs capacités (intelligentes) et à leurs envies. Ni méthode, ni recueil de recettes, ni nouvelle théorie, l’optique de PROG est avant tout un savoir-être de l’enseignant qui, perpétuellement découvreur des richesses de l’intelligence de chaque enfant, « cale » sa pratique sur eux. En tant qu’outil, l’ouvrage propose : – de grands principes de travail (1re partie) ; – des pratiques théorisées qui constituent une démarche (2e partie) ; – quelques situations très précieuses pour le maître (3e partie) ; – des témoignages de cette aventure dans les classes de la recherche (4e partie). Il est complété par un fichier photocopiable (voir références page 10) renvoyant à des situations mentionnées dans les exemples. Dans ce livre, le projecteur est centré sur les apprentissages relatifs au langage écrit, mais de manière très articulée avec toutes les autres formes que peut prendre l’activité langagière. 8 © Hachette Livre – La photocopie non autorisée est un délit P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 9 MODE D’EMPLOI Les choix théoriques sont ceux de l’équipe de recherche INRP qui a travaillé avec des maîtres et des élèves pendant quatre ans. La recherche PROG avait pour intitulé exact : « Construction progressive des compétences en langage écrit, de la Petite Section au CE1 ». Ce livre est destiné aux enseignants d’école maternelle (Petite Section – Moyenne Section – Grande Section) et il sera suivi d’un ouvrage s’adressant spécifiquement aux collègues de cycle 2. Le suivi hebdomadaire de cohortes d’élèves, durant plusieurs années, a permis de construire des outils et des concepts didactiques visant toujours à mieux adapter l’enseignement aux cheminements individuels des enfants dans leur conquête progressive de l’écrit. Les résultats de la recherche ont clairement montré qu’en faisant le maximum pour aider les enfants jugés temporairement en retrait par rapport aux apprentissages, ceux-ci obtiennent des résultats de fin de CE1 tout à fait honorables (attestés dans les évaluations nationales CE2) et que les plus avancés progressent parallèlement de manière significative. Globalement, et avec une mise en œuvre de cycle durant trois ans, une pratique PROG profite essentiellement aux enfants en difficulté et aux enfants fragiles (voir Repères, n° 18, INRP, 1998). La confiance de l’enseignant dans ce qui se joue là est le point le plus important de la réussite. Certes, plus facile à dire qu’à faire, cela nécessite un travail à plusieurs. Nous conseillons donc à nos lecteurs une démarche entre collègues, adjoints chargés des trois niveaux, directeur, et enseignants du Réseau d’aides spécialisées (RASED). Chaque utilisateur choisira sa manière d’entrer dans ces pages. Le principe d’une pratique théorisée est présent dans toutes les pages, ce qui explique les nombreux renvois, la foule d’illustrations par des exemples, la présence d’un index très fourni qui permet de trouver plusieurs aspects d’une question à différents endroits du livre. À nos lecteurs qui ont du mal à entrer dans les écrits théoriques, nous conseillons : – de regarder dans la 1re partie, d’abord les encarts présentant «maîtresse 1» et « maîtresse 2 ». Ce sont des exemples contrastés de pratiques ; – de regarder dans la 2e partie, d’abord les encarts présentant à gauche des transcriptions et à droite des commentaires. Ces tableaux permettent de comprendre la philosophie de PROG dans des pratiques réelles ; – de se reporter aux 3e et 4e parties qui sont des outils de travail ; – d’utiliser l’index. Il appartient à l’équipe de recherche de souligner aussi que certaines questions n’ont pas trouvé de réponse durant la recherche, et il arrive que le texte le précise. Quant aux aspects du domaine qui n’ont pas fait l’objet de réflexion par manque de temps, alors que leur importance est déterminante, ils sont © Hachette Livre – La photocopie non autorisée est un délit 9 P001-071-9782011404220.qxd 10/02/14 11:13 Page 10 APPRENTISSAGES PROGRESSIFS DE L’ÉCRIT À L’ÉCOLE MATERNELLE les absents regrettés : choix et usages relatifs au coin-livres et aux bibliothèques, prise en compte de la culture télévisuelle des enfants, relations avec les parents, les aînés, usages du livret scolaire pour les familles, utilisation d’outils informatiques et télématiques, prise en compte des jeux et jouets préférés des enfants d’aujourd’hui… Apprentissages progressifs de l’écrit à l’école maternelle, Fichier photocopiable, Équipe PROG INRP, Hachette Éducation-INRP. 10 © Hachette Livre – La photocopie non autorisée est un délit ">

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